Troublante Marie (3).

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Amy Anderssen

Troublante Marie (3).Je fut la première réveillée, ma squatteuse par la force des choses dormait encore lourdement sur le ventre, je dégageais doucement ses cheveux pour admirer son visage lumineux; même pendant son sommeil ses lèvres fines esquisse un sourire naturel; Marie est vraiment craquante, et que dire de sa chute de rein que ma main descendais après avoir soulevé légèrement la couette, des fesses au galbe bien dessinés surmontés de deux fossettes sacro-iliaques très prononcées…… Marie la reine des fossettes, j’adore ce détail, j’inspecterais Marie une nuit à la recherche de ses autres coquetteries.Sans me presser je démarrais doucement la matinée, mon téléphone affichait un message d’Antoine« Salut ma puce, espérant ta nuit douce, encore merci pour cette journée improvisée, je t’aime »J’avais bien tenter de le faire bander une fois Marie dans la salle de bain mais il avait besoin d’un peu plus de temps, du coup il m’a bouffé la chatte façon gourmet, un délice.Apres un rapide petit déjeuner, je prenais mon courage à deux mains pour m’occuper du sac de Marie et sauver les vêtements éventuel; l’odeur au premier abord me disait de pas le faire.L’inventaire dénombrait un couverture en laine, un sac plastique rempli de culottes sales avec une prolifération de moisissure importante, un autre avec des chaussettes dans le même état, deux pulls et deux jeans pour ce qui était à peux près rangé, le reste en vrac sous forme de boules de culotte chaussette t-shirt moisi aussi , un trousse de toilette avec un pauvre morceau de savon incrusté de cheveux et poils en tout genre, dentifrice brosse a dent, tampon et serviette, flacon vide, bref la misère, je faisait une pose tellement l’odeur était insoutenable, le fond du sac était comblé de protection féminine neuve et usagé, d’emballage de nourriture, d’une tente et juste dessous une grande boite a biscuit en fer.J’avais sous les yeux ses effets personnelle, des babioles sans intérêt sous forme de bric à brac indescriptible, des photos, des bijoux sans valeurs réel et sa carte d’identité.Mona c’est jolie, c’est manifestement le vrai prénom de l’usurpatrice qui dort dans mon lit et qui répond au doux nom de Marie.Apres avoir isolé le corrompu de ce qui pouvait être sauvé , c’est à dire pas grand chose, la moisissure ayant partiellement envahi le sac, Mona ….. enfin Marie, avait en sa possession une tente douteuse dans son intégrité, une boite en fer avec ses effets et plus un seul vêtement.Apres un bon café, j’allais méditer dans un bon bain chaud pour réfléchir à la situation, dix minutes plus tard Marie enfin réveillée toquet à la porte.« J’peux entrer, j’ai envie de faire pipi ?»« Non » lui dis je « je suis toute nu » « Marion s’te plait » dit elle plaintive et lasse de mes conneries« Bien sur, entre voyons »Marie entre en me fusillant du regard la culotte baissé à mi cuisse dans l’urgence, s’assoie prestement en finissant d’enlever sa culotte et son jet d’urine inonde d’un bruit de cascade le silence de la salle de bain.« Même pas un petit bonjour ce matin » lui dis je pour la taquiné encore un peux plus, le bras tendu pour qu’elle me donne sa culotte sale.« Y’avait urgence……. j’peux venir avec toi ? »« J’ai pissé dans l’eau » lui dis je en reniflant les effluves du coton blanc« Bon bin je m’essuie pas alors » dit elle en enjambant la baignoireMarie se blottis contre moi et tourna la tête pour me présenté ses lèvres.« Comment ça va, tu est toujours fiévreuse ? « Je suis pas bien réveillé et j’ai mal au cul » dit elle« ça c’est pas la grippe » lui dis jeMarie fit non de la tête, dépité n’ayant rien d’autre à dire à ma boutade« je regarderais si tu n’as pas de blessure » lui dis je « ha et puis je me suis occupé de ton sac ce matin, j’ai cru qu’il y avait un cadavre dans la pièce en entrant tellement il empestait » lui dis je en lui ramenant ses cheveux pour les attacher « C’est jolie Mona… »« J’ai jamais aimé ce prénom » me dit elle sèchement en m’interrompant « Te fâche pas, je ne te juge pas, je pensais pas trouver ça dans ton sac et il puait tellement ……..Marie c’est ton deuxième prénom?« …………… »« Moi c’est Florence et Louise, comme ma marraine et ma grand mère » dis je en attendant une réaction de sa part « ……………. »« Hey tu boude ? » lui dis je en saisissant ses seins« J’ai beaucoup prié Marie quand j’étais petite, je voulais lui ressembler » fini elle tuzla escort part dire« Je suis désolé de ce qui t‘arrive Marie, tu es dans une situation critique, sans vouloir t’affoler tu es actuellement sans ressource, sans toit et sans vêtement….. aide moi pour que je puisse t’aider tu veux bien ?, je m’occupe de toi si tu me montre un peu plus d’optimisme »« Pardon Marion, je sais pas où j’en suis, je sais plus comment faire » « Demain je vais au boulot et je passerais te chercher des vêtements que tu puisse au moins sortir »Marie qui reprenais conscience de sa situation précaire se mise à pleurer, c’était déjà un signe.« T’inquiète pas, je suis là, on va remonter la pente toute les deux….. ok….. allez on sort du bain la réunion est terminé ».Un petit café et j’allais faire le lit avec Marie qui voulait que j’inspecte son trou du cul comme promis; Elle laissa tombé sa serviette et s’allongea sur le lit« Ecarte tes fesses….. tu a mal quand tu contracte ton anus ou c’est une douleur constante ?» lui demandais je « Les deux mais plus vif quand je contracte » me dit elle«  Extérieur je vois rien, il est tout rose avec quelques poils »« J’ai pas fini de me raser hier, six mois sans y toucher, t’as vu le résultat, j’étais parti pour tout enlevé et j’ai pas eu le temps » «  Je peu arrangé ça si tu veux, après ton trou du cul….. bon….. décontracte toi je vais l’écarter un peu plus et toi tu pousse »« Va y doucement hein » me supplie t’elleJ’écartais son anus et les chaires rouges et violacés meurtris de la veille sortait maintenant d’un centimètre « Tu as ce qu’on appelle le trou du cul en chou fleur, ça va passer, je vais te mettre de la crème hydratante après le rasage »De retour de la salle de bain avec le nécessaire à éradiqué la pilosité abondante, Marie se doigtais le cul à la recherche de trace de sang?« En position » lui dis je, et je mettais en route la tondeuse électrique pour le plus gros de sa touffe avant de finir à la mousse et au rasoir; J’entretenais la conversation avec des questions qui me turlupinais« Comment tu est arrivé jusqu’a moi, tu n’as pas d’amis qui pouvais t’aider ? » lui demandais je« Si comme tu vois il m’ont tous laissé tombé, j’avais demandé ton adresse à ta cousine peu de temps après que nous ayons fait connaissance chez elle, je voulais t’écrire et je ne l’ai pas fait du reste, sans être sur de moi, j’ai tenté ma chance avec toi et la suite c’était avant hier donc tu la connait »« Et si j’avais refuser ? »« Au fond de moi je savais que j’avais une chance, je l’avais vu dans ton regard chez ta cousine, tu étais sincère » dit elle en caressait son pubis tout lisse avec douceur.« Puisqu’on en est au confidence je me suis beaucoup masturber en pensant à toi, ton visage m’a envouté, je te trouve très belle Marie »Elle fit sa timide un instant, juste le temps pour moi de finir d’essuyer la mousse résiduel et d’embrasser la peau douce de sa chatte.«  Tourne toi que je t’enduise l’anus de crème et met une serviette dans ta culotte, tu va avoir le cul gras » lui dis jeNous avons papoté toute la journée, de tout de rien, collé l’une à l’autre…… enfin Marie collé contre moi, cette fille à vraiment manqué d’affection et ratt**** le temps perdu jusqu’à éprouver le besoin de m’embrasser n’importe où sur la peau quand ses mains ne me caresse pas une partie du corps machinalement.Marie partie se coucher avant moi et s’est endormi très vite, ses ronflements parvenait jusqu’au salon.J’avais laissé un mot sur la table en évidence pour ma colocataire qui dormait toujours lors de mon départ pour le travail; « Utilise mon ordinateur et fait des recherches auprès des services sociaux pour obtenir les aides auxquels tu as droit, un travail ( ça c’est une bonne idée !!! LOL ) et tout ce qui te sera utile, je t’appelle en sortant du travail vers dix sept heures…… au boulot Marie on se motive et on remonte la pente » et puis …..  « bisous partout »…….. j’ai pas pu m’en empêcher.J’appelais Marie depuis le centre commercial « tu me manque, la journée est longue toute seul » me dit elle en décrochant le téléphone fixe« T’avais mis le téléphone dans ta culotte…… ça n’a pas pas eut le temps de sonner » lui dis je « Tu rentre quand » me demande t’elle aussitôt sans même commenter ma boutade.« Je vais passer au rayon des fringues du supermarché, tu fait quoi comme tour de poitrine, j’ai beau les avoirs tuzla escort bayan tripotés, je voudrais être sur de pas me tromper »« Oubli, j’en met plus, au pire prend moi des brassières en L »« Pantalon, pull, t-shirts, chaussette, culotte…. et brassière, c’est bon pour démarrer ta nouvelle garde robe ?«  oui……. je t’aime » dit elle ému « Je fini par le rayon hygiène prendre le basic et puis j’arrive, à tout de suite »« j’t’embrasse » et elle raccrocheIl est presque dix neuf heure quand je rentre enfin chez moi, la table est mise avec ô surprise deux bougie odorante dont les flammes vacillent, le diner est prêt et les deux verre pour l’apéro attende qu’on les remplissent; Le contraste vient de Marie en culotte qui n’est même pas la sienne en plus.« ha !!! …. t’as un rendez vous amoureux t’attend quelqu’un ? » lui dis je « je reviens vers quelle heure ? »Je laisse tomber les sacs, marie me saute au cou pour m’embrasser.« J’aime pas quand tu me fais ça » me reproche t’elle « L’autodérision, ça va de paire avec l’humour, tu va devoir te pencher sur le sujet avec moi….allez habille toi,  je suis resté basique dans les couleurs, blanc pour les sous vêtements, un jean classique, un pull vieux rose passe partout, pour le reste je dois avoir des vestes que je met plus, c’est pas à la mode, mais ça ne l’était déjà pas quand je les ai achetés ».Marie refait peau neuve ainsi vêtu, et vient se blottir contre moi pour me prendre dans ses bras reconnaissant.« La fée Marion existe, elle est dans mes bras » dit elleJ’embrassais sa joue pour faire disparaitre une larme, alors que j’avais envie de manger son visage attendrissant.Marie me fit un rapide exposé positif de ses recherches et pouvais dès le lendemain, maintenant vêtu, faire les démarches extérieur à ma grande joie.Le diner passé, Marie eut la bonne idée de proposer un bain à deux que je ne pouvais pas refuser puisque c’est elle qui allait me dorloter.Déjà dans l’eau, Marie me regardais me dévêtir, je fit glisser ma culotte en marchant sur place le long de mes jambes tout en grattant mon triangle de poils noir machinalement.« Tu te rase jamais le pubis Marion ? »« Non, mes amants hommes et femmes préfère avec et moi aussi, nous avons les même gouts dans ce domaine, les poils, les odeurs corporelles entre autre » « Tes amants, ça fait drôle d’entendre ça » me dit elle pendant que j’entrais à mon tour dans l’eau« Comment te considère tu par rapport à moi maintenant, nous partageons du plaisir charnelle en prenant du plaisir à le faire »« Je ne sais pas, j’ai pas pensé à ça »« Tu le découvrira petit à petit comme les envie que ton corps réclame, tout se passe dans la tête, à toi de canaliser tes pulsions, le sexe est un plaisir partagé »« Tu m’apprendra Marion »« Tu as un rapport à la douleur que tu peu sans doute approfondir par exemple……. hey … tu devais pas t’occuper de moi là ?« Tes sidérante Marion !!! »« Toi aussi dans ton genre »Ses mains saisirent enfin mes seins, prolongea ses caresses sur mon ventre pour remonter sur ma poitrine, sa bouche vint effleurer mon cou, ses baisés interrompu de petit coup de langue déclenchait de violente contraction de mon anus, j’abandonnais mon corps sous ses caresses; Marie remonta légèrement ses jambes, et une douce chaleur vint me chauffer le bas du dos, je pouvais sentir la puissance de son jet d’urine.« Mmmmmmm Marie tu apprend vite, ça t’as excité de faire ça ? » lui dis je« Carrément, ça me chatouille dans le bas ventre, on va pas pouvoir rester dans l’eau je sent que ça va dé****r »«  Oui, laisse moi pisser moi aussi d’abord » lui dis je tout en me retournant face à elle et lui présenter ma chatte au ras de l’eau.Marie passa ses mains sous mes fesses pour m’aider a sortir mon jet à la couleur ambré de l’eau qui éclabousser ses seins; Sans prendre la peine de nous rincer et seulement un rapide coup de serviette, nous étions sur le lit chacune léchant les dernières goutes de pisse emprisonné dans les replis de peau de nos sexes en contractant frénétiquement le bas ventre; Marie me combla d’un dernier petit jets le visage que je lui proposais de gouter en allant l’embrasser après m’être positionné au dessus d’elle, J’enlaçais nos doigts et maintenais ses bras en croix plaqué contre lit pour la dominer et attendais sa réaction, se sentant prisonnière elle ne lutta pas, son sourire comme son regard bleu escort tuzla intense m’intimais l’ordre de continuer, je me penchais pour lécher sa bouche du plat de la langue, puis ses joues, ses yeux, ses taches de rousseur; Marie trouvait ça plaisant et riait sottement.« Tu veux jouer Marie ? » lui dis je doucement à l’oreille« Han han » dit elle en faisant oui de la tête« Tu tiens les barreaux de la tête de lit et tu n’as pas le droit de les lâcher, sinon je t’attache » «  Attache moi » dit elle aussitôt, les yeux pleins de curiosité « attache moi » puis elle répétait à voix basse « attache moi ……attache moi ……. attache moi !!! »Je la regardais avec un sourire de défiance , lui léchait la bouche une dernière fois et sauta du lit chercher le rouleau de film alimentaire qui fait une excellente corde avec l’avantage qu’il ne blesse pas, de quoi lui bander les yeux.Je bandais les yeux de marie pour commencer pour qu’elle ne vois pas ce qu’il allait se passé puis l’écartelais au maximum à la tête de lit, j’allais ensuite chercher dans la salle de bain des pinces à linge et retournais dans la cuisine chercher une bande de trente centimètre du scotch, des élastiques…. bref quelques instruments de torture« Tu est prête Marie »«  oui » fit elle « Voici les règles, à partir de maintenant tu n’as plus le droit de parler, tu as compris ? »« Oui » dit elleje giflais aussitôt sa poitrine, elle hurla« tu n’as plus le droit de parler » dis je un ton au dessus » tu as compris ? »Marie fit oui en hochant la tête rapidement, je saisi le mamelon que j’avais meurtri du bout des lèvres et le suçais délicatement puis l’aspirais complètement pour le caressé avec ma langue, Marie compris instantanément, sa bouche s’ouvrit et sa respiration monta d’un cran .« Je continus, tu as le droit d’exprimer ce que tu ressent par des sons mais ils ne devrons pas faire de mot, donc ni oui ni non et je considère « aïe » comme un mot si tu as mal, à toi de maitriser tes émotions; maintenant un conseil, écoute ton corps Marie, aveugle tu doit chercher un autre sens pour comprendre ce qu’il te dit; as tu bien compris » .Elle fit oui de la tête, si je ne pouvais pas voir l’anxiété dans ses yeux son corps parlait pour eux.je devenais un bureau sadique, Marie ne bougeait pas et attendait un signe, je passais mes ongles sur sa cuisse rapidement sans la griffer, elle fit un bond de surprise et vu sa réaction je décidais de lui attacher les jambes aussi, Marie formait un « x »Je me déplaçais sans bruit pour ne pas lui laissé une chance de deviner d’ou le supplice allait venir, je m’approchant de ses orteils pour les sucer et posais une pince à linge sur l’intérieur d’une cuisse, puis mettais un élastique autour d’un sein et suçais l’autre tout en donnant de petite tape sur sa fente, Marie était électrique et ponctuait ses bonds de cris de stupeur, c’était au tour du verre avec deux glaçons que je versais sur son ventre, elle poussa un long cris strident et continua pendant que je les faisais fondre en les tournant sur son pubis puis j’introduit mes doigts glacé dans son vagin, elle inspira bruyamment et fini par gémir, je lui mis mes doigts sorti de sa chatte dans la bouche qu’elle suça longuement et retournais les enduire à nouveau de l’humidité de son vagin de lent va et vient en même temps que je m’introduit deux doigts dans le miens, j’ôtais mes doigts de sa fente et donnais à sucer les doigts sortie de ma chatte, sa tête eut un geste de surprise et elle sapait de la bouche ne comprenant pas le subterfuge, je fit une pause douceur en lui caressant le ventre et descendre sur une cuisse pour coller l’adhésif sans qu’elle le perçoit, ma main remonta sur son ventre pour faire des rond autour de l’ombilic avec mon doigts, puis je l’inondais d’un filet de salive pour le fouiller avec la langue.Marie fit sauter tout le bas de son corps frénétiquement sa gorge émettant des plaintes d’extases.je tirais le scotch d’un coup sec, elle eut un « aie » fatale et je giflais son pubis violemment, Marie geint en serrant les dents et raidit tout son corps puis se relâcha en respirant bruyamment. Je la calmais en posant mes lèvres sur sa bouche qu’elle saisi immédiatement comme un appel au secours. Enfin je posais une main sur sa fente et la masturbais pendant que je découvrais ses yeux de l’autre.« Tu peux parler » lui dis je avec un large sourire « tu m’a fait mal » me gronda t’elle« Oui je sais, mais tu peux rien me faire tu es toujours attachée »« Détache moi et tu va voir »«  Non j’ai pas fini » lui dis jePuis j’allais glisser mon visage entre ses cuisses lui bouffer la chatte pour me faire pardonner.

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