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Ma petite soeur compliceA cette époque j’avais 20 ans et je vivais seul depuis quelques temps dans un studio. Je travaillais depuis quelques mois ayant eu la chance d’avoir été embauché dans une grande et prestigieuse entreprise dès mon premier job.J’avais donc alors quitté rapidement le domicile familial en estimant que je ne devais plus être à la charge de mes parents. J’avais du même coup laissé un peu derrière moi ma jeune sœur, Laure, dont j’ai toujours été très proche. Il existe une complicité extrême entre nous deux. Nous avons en commun des idées et des comportements très similaires depuis notre plus jeune âge. Toujours ensemble, inséparables dans nos bêtises de mômes, beaucoup de gens nous prenaient pour des jumeaux et aujourd’hui encore c’est assez fréquent. Depuis l’adolescence, il est impensable pour nous de sortir l’un sans l’autre, et il nous semble tout à fait naturel de nous tenir par la main ou par la taille dans la rue ou en soirée. Ceci laisse penser à beaucoup, qui ne nous connaissent pas, que nous sommes plutôt en couple que frère et sœur.Une complicité extrême, absolue nous unis.Cela nous amuse beaucoup et évidement nous en rajoutons presque sans y penser, main sur la fesse lorsqu’elle passe devant moi, main posée négligemment sur un sein lorsque je passe mon bras autour de son cou lorsque nous sommes assis côte à côte, sur un canapé par exemple. De son côté elle dépose des petits bisous dans mon cou à la première occasion.Ce jeu est devenu une seconde nature au point que nous sommes comme cela aussi dans notre vie de tous les jours. Il y a toujours eu une certaine impudeur entre nous. Mômes, il était naturel d’être nus ensemble pour notre toilette et à beaucoup d’autres occasions comme des jeux d’été ou des baignades.Avec l’âge, il n’était plus trop possible de continuer ceci, mais même si maintenant nous préservons naturellement une certaine intimité, aucune gêne n’existe si les circonstances font que nous nous trouvons nus en présence de l’autre, mais cela est de plus en plus rare et surtout depuis que j’ai quitté la demeure familiale. Ma sœur, par exemple, m’a toujours pris comme conseil dans le choix de sa lingerie et je l’accompagne volontiers dans les magasins. Mon avis de mec l’intéresse afin de rester jolie, sexy et désirable pour les autres garçons, car il n’existe aucune forme de jalousie entre nous et il nous apparaît comme normal que chacun mène une vie amoureuse.Comme toujours les vendeuses nous prennent pour un couple lorsque je vais avec elle dans les cabines d’essayage. Je la vois donc très souvent en sous-vêtement, qu’elle aime, et moi aussi, très transparents.Une de nos rares divergences m’apparaît à chacune de ces occasions. La transparence de sa lingerie laisse apparaître clairement le fait qu’elle a gardé sa toison pubienne depuis l’adolescence. Je déteste les poils, quels qu’ils soient, où qu’ils soient. Je ne sais pas trop pourquoi, mais c’est comme ça. Je n’aime pas, je trouve que cela ne fait pas “propre” Elle a des jambes somptueuses qu’elle entretient et épile très régulièrement, mais pas son sexe. Je ne sais pas pourquoi, et c’est une des rares choses güvenilir bahis dont nous n’avons jamais parlé. Je suppose qu’elle a ses raisons puisque rien ne l’empêche de changer cela … Nous gardons tout de même chacun nos petits coins de mystère et ce sujet-là en fait partie.De toute façon, mon déménagement a un peu rompu cette intimité car, par la force des choses, nous nous voyons moins. Je travaille maintenant alors qu’elle finit sa dernière année d’étude de droit.Très récemment, elle m’appelle pour me dire que nous sommes invités à une soirée.L’idée de la retrouver m’enchante et je m’empresse d’accepter et d’organiser son voyage chez moi, où elle passera quelques jours, puisque la soirée a lieu dans ma région.Elle est arrivée juste un peu avant le moment de repartir pour cette soirée. Elle était déjà venue bien sûr et connaissait donc mon studio et donc les conditions d’hébergement, un peu précaires compte tenu de la taille de cet appartement.Un seul grand lit, mais aucun problème sur ce point, nous dormons souvent ensemble. En fait nous aimons beaucoup cela depuis toujours et nous trouvons toutes sortes de raison pour le faire.Et nous voilà à reprendre immédiatement nos vieilles habitudes et c’est donc avec plaisir que je constate que rien n’a changé entre nous, tous nos réflexes se remettent en place instantanément.Elle eut juste le temps de prendre une douche et de se coiffer avant de s’habiller un peu plus qu’avec la simple petite culotte qu’elle portait en sortant de la salle de bains.Lorsque je dis un peu plus ce n’est pas une simple expression… elle ajouta juste une toute petite robe noire moulante, très courte.Elle a de très jolis petits seins, bien fermes. Je le sais pour les avoir très souvent palpés. Cette robe les mettait vraiment en valeur, ainsi que les courbes harmonieuses de son corps. Le fait de ne l’avoir pas vue pendant quelques temps me permis de constater à quel point elle est jolie et bien foutue.Et nous voilà partis.Soirée banale et sans grand intérêt et comme beaucoup de soirées de jeunes maintenant, un peu trop alcoolisée. Pour contrebalancer le manque d’ambiance je suppose, Laure a bu un peu plus qu’à l’accoutumée. Ce qui n’est pas difficile car nous ne buvons que très peu l’un et l’autre.Par contre, l’inconvénient est que, lorsque cela nous arrive, l’alcool a beaucoup d’effet sur nous.Toujours est-il que Laure était un peu “pompette” et que très rapidement elle me demande de rentrer car elle s’endort dans ces cas-là.La soirée avait lieu dans un bled de campagne à une cinquantaine de km de chez moi et nous en avions donc pour une bonne demi-heure de voiture. Au bout d’à peine 10 min, Laure, à moitié assoupie, me demande de m’arrêter car elle a envie d’uriner. Je stoppe en pleine campagne, et elle descend. Elle laisse la portière ouverte et fait à peine trois mètres, remonte sa robe sur son ventre, baisse sa culotte, s’accroupit et commence à uriner. Je dois avouer que cette vision ne me laissa pas indifférent. Je l’ai déjà vue nue sous tous les angles possibles, mais cette fois, la vue de ma sœur, fesses nues, jambes suffisamment écartées pour me livrer la vue türkçe bahis de sa toison dans la faible lueur de la lumière de la voiture, provoqua en moi une forme de désir, très agréable.Je disais jambes écartées… mais visiblement pas assez car dans son état, elle avait un peu de mal à rester dans cette position. D’un coup je l’entends s’écrier: “et merde?!!!”.Je lui demande ce qui se passe, et elle me répond qu’elle vient de pisser sur sa culotte qui était à mi-mollet. Et je la vois se relever, et enlever complètement sa culotte et remettre tant bien que mal sa robe en place. Cette dernière était vrillée autour de ses hanches et avait du mal à couvrir ne serait-ce que le haut des cuisses.Elle revint comme ça à la voiture, lança négligemment sa culotte sur le tableau de bord et s’assit. Elle ne paraissait pas en forme et je dus me pencher sur elle pour fermer la portière.Ce faisant, je m’aperçus que sa robe s’était retroussée à mi fesse lorsqu’elle s’était hissée sur le siège.Elle s’installa en biais sur le siège afin de caler sa tête entre l’appui tête et le haut de la ceinture de sécurité afin de pouvoir dormir, je suppose.Nous repartîmes sans un mot. En quelques minutes, il m’a semblé qu’elle s’était réellement assoupie.Cela devait être un sommeil léger et inconfortable car elle bougeait fréquemment pour trouver une bonne position. Elle finit par placer ses jambes de mon côté et son genou gauche vint s’appuyer contre le levier de vitesse. Je regardais ses jambes superbes autant que pouvait me le permettre la conduite, et je vis que son sexe était totalement visible. Ses jambes légèrement écartées et sa robe retroussée dévoilaient totalement son pubis.Sa toison était visiblement bien entretenue car bien taillée. Ses poils n’étaient pas très touffus et laissaient deviner un mont de vénus bien rond, juste fendu par des grandes lèvres charnues.Je n’avais pas vu son sexe depuis très longtemps et je pu constater qu’à part les poils il n’avait pas vraiment changé depuis notre enfance.Je ne me lassais pas de le regarder et, très rapidement, j’eus l’envie de le toucher. N’ayant encore, malgré notre intimité, jamais “touché” Laure, je me suis demandé comment elle prendrait cela.Je me décidai avec le prétexte que sa jambe me gênait pour manœuvrer le levier de vitesse, même si mon allure de plus en plus modérée et une route parfaitement libre à cette heure ne justifiait aucun changement de vitesse.Je mis ma main à plat sur sa cuisse, largement au-delà du genou avec le pouce au-dessous et, doucement, je tentai de déplacer sa jambe, sans y parvenir. Sa position bloquait tout déplacement et Laure ramenait immédiatement sa jambe et position écartée lorsque les deux se rejoignaient. A croire qu’elle le faisait exprès,… mais non?! Elle dormait toujours paisiblement.Je laissai donc ma main à plat très haut sur cette cuisse chaude et douce pendant un temps. Doucement, j’animai ma main d’un léger mouvement caressant, mouvement qui prenait petit à petit de l’amplitude au point que, très rapidement, mes doigts effleurèrent la lisière de sa toison.Laure dormait toujours, avec de temps à autre un mouvement spasmodique güvenilir bahis siteleri de tout son corps.N’y tenant plus je finis pas avancer encore un peu ma main jusqu’à poser le bout de mes doigts sur son sexe. Aucune réaction, je bougeai alors lentement mes doigts en un léger va-et-vient le long de sa fente. Au bout de quelques minutes, je me décidai à enlever ma main. Et c’est lorsque la pression sur son sexe s’est allégée que Laure dans un soupire souleva son bassin en avant pour rétablir le contact et en marmonnant un “continue, c’est agréable?!”. Elle était dans un état mi éveillée, mi endormie. Son mouvement avait eu pour effet de déplacer son sexe et maintenant mes doigts étaient beaucoup plus bas entre ses jambes. Sous la pression, ses lèvres s’étaient écartées et mon index était juste au bord de son vagin. A ma grande surprise, je constatai que ce dernier était très mouillé. Preuve que mes caresses avaient tout de même fait leur effet. Je repris cette caresse, et, tout doucement je lubrifiai bien mon index et mon majeur que je remontai vers son clitoris. Photos http://cut-urls.com/HKw5mLorsque je le trouvai entre ses lèvres, Laure émit un long gémissement et son bassin se tendit au-devant de mes doigts. Un doigt de chaque côté et sur toute la longueur de la base de son clitoris, j’entrepris de le masser délicatement. Chaque mouvement était maintenant accompagné par celui du bassin de Laure. Une mouille maintenant abondante permettait un contact soyeux.Il ne fallut pas longtemps pour que Laure atteigne une longue et douce jouissance. Elle se cambra légèrement en soulevant les fesses du siège, émit un long soupire, puis se détendit, resserra un peu ses jambes lorsque j’enlevai ma main.Elle dit tout bas et toujours sans ouvrir les yeux : “c’était délicieux”, se pelotonna un peu plus et se rendormit immédiatement.J’essayai ensuite de me concentrer un peu plus sur la route, mais toutes sortes de pensées me venaient à l’esprit. Je prenais conscience que je venais de caresser le sexe de ma propre sœur jusqu’à l’amener à la jouissance. J’essayais de me rassurer en me disant qu’elle était consentante et même demandeuse, mais c’était tout de même ma sœur, et était-elle en état de prendre conscience réellement de la situation?? N’avais-je pas abusé de cette situation?? D’un autre côté, je me disais aussi que ce n’était pas si grave, ce n’était que des caresses tendres, très ambiguës certes, mais sans conséquence non plus.Nous sommes bientôt arrivés à mon logement. J’ai garé la voiture juste devant ma porte. J’ai fait pivoter Laure pour dégager ses jambes en dehors de la voiture. Sa jupe était toujours remontée très haut et son sexe m’apparut de nouveau, ouvert et encore luisant de sa jouissance. Vision merveilleuse pour moi. Je la réajustai du mieux possible, la pris dans mes bras et l’emmenai dans mon studio, heureusement au rez-de-chaussée. Sentir ses seins contre ma poitrine me remplit de plaisir. Elle me parla un peu pour me demander si nous étions arrivés et me remercier de mon aide. Je la déposai sur mon lit, lui retirai difficilement sa petite robe ajustée car elle ne fit rien pour m’aider. Et, pour la première fois depuis très longtemps, je la vis entièrement nue. Elle est vraiment ravissante.Je la couvris avec la couette, me déshabillai à mon tour et, nu également, je me glissai à ses côtés, sous la couette…Suite à venir

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Der Hausmeister (Teil6)

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Der Hausmeister (Teil6)Es waren noch ein paar Tage bis Mittwoch. Jeden Tag wurde es etwas besser mit dem laufen auf den Pumps. Als der Mittwoch da war konnte ich sogar schon richtig gut darauf laufen. Karl “bestellte” mich in der Zeit nur einmal in den Keller wo ich ihm schnell einen blasen sollte. Es dauerte nur 2-3 Minuten und eine satte Ladung seiner Sahne verteilte sich in meinem Mund die ich dann auch schlucken musste. “Sei Mittwoch so gegen 5 Uhr bei mir Süßer und bring die Schuhe mit !” mit diesen Worten verabschiedete er mich dann auch schon wieder.Mittwochs um kurz vor 5 Uhr packte ich die Pumps in eine Tüte und machte mich auf den Weg zu Karl. Im Wohnzimmer stand schon Knabberzeug, 2 kalte Bier und eine Flasche Korn mit Pinnchen.”Alles für einen schönen Fusballabend vorbereitet.” lachte Karl mich freundlich an. Er öffnete das Bier füllte die Pinnchen wir prosteten uns zu und tranken den kurzen erstmal auf ex. Rund 2 Stunden vergingen und redeten über alles mögliche und tranken dabei gemütlich was. Bei mir machte der Alkohol sich auch etwas bemerkbar. Mitten im Satz unterbrach mich Karl plötzlich “zieh dich mal aus du hast viel zu viel an !” Es war mehr ein Befehl als eine freundliche Bitte. Als ich nackt im Zimmer stand schaute er mich grinsend an. “Na freust du dich auf deine Überraschung? Ach ja du weißt ja garnicht was es ist.” freute er sich als ich ihn fragend anssah.”Es wird dir bestimmt gefallen da bin ich mir sicher und ich will keine Widerrede hören.” dabei warf er mir einen strengen Blick zu. “Geh ins Bad ich komme sofort” mit diesen Worten stand er auf und ging Richtung Schlafzimmer und ich Richtung Bad.”Stell dich vor die Heizung mit dem Rücken zu mir und Hände nach oben.” rief Karl mir schon aus dem Flur zu. Als ich da stand trat canlı bahis şirketleri er hinter mich. 2 klickende Geräusche und blitzschnell war ich mit den Handschellen an der Heizung gefesselt. “Ich geh mal lieber auf Nummer sicher nicht das du nachher noch was sagst was mir nicht gefällt.” sagte Karl herablassend und fummelte mir den Knebel in den Mund und befestige ihn an meinem Hinterkopf. Wieder einmal packte mich das Gefühl von Scharm und gleichzeitiger Erregung. “Perfekt !” lachte Karl und verließ dabei das Bad schloss die Tür und machte das Licht auch noch aus. Nach einigen Minuten klingelte es an der Tür. Bekam es ein wenig mit der Panik zu tun wollte so auf keinen Fall gesehen werden. Dann hörte ich kurz Stimmen und das rascheln von Tüten die anscheinend im Wohnzimmer verschwanden. Wieder vergingen einige Minuten als auf einmal Schritte aufs Bad zukamen. Mir blieb fast das Herz stehen als das Licht anging und die Tür sich öffnete. Karl war nicht alleine. Dieter der Typ aus dem Sexshop stand mit ihm im Bad.”Na was sagst du kannst ihn dir ruhig genau anschauen ?” fragte Karl Dieter stolz. “Du hast nicht zu viel Versprochen !” grinste Dieter zurück. Dabei spürte ich schon seine Hände an meinem Po. Zuckte ein wenig zusammen was ihn nicht groß interessierte. Er nutzte meine Hilflosigkeit gerne aus und berührte mich überall. Mal zwickte er mir in meine Nippel mal griff er von hinten an meine Eier und meinen Schwanz. Nach 2-3 Minuten ließ er von mir ab und die beiden verschwanden wieder.Karl kam alleine nach kurzer Zeit zurück. “Mache dich jetzt los und dann gehst du ins Schlafzimmer Dieter hat dir ein paar schöne Sachen mitgebracht. Du suchst das Zimmermädchenkostüm und halterlose Strümpfe raus und ziehst alles mit den hohen Schuhen suchst canlı kaçak iddaa dir eine Perücke aus und kommst ins Wohnzimmer. Hast du verstanden oder magst du noch was hier bleiben ? schüttelte mit dem Kopf und Karl öffnete zuerst den Knebel und dann die Handschellen. Im Schlafzimmer lagen zwei große Tüten mit jeder Menge Zeug drin. Verschiedene Röckchen, Tangas, halterlose Strümpfe, Spielzeug, Perücken (zwar immer die selbe Frisur aber in verschiedenen Farben) und natürlich das Kostüm. Das Kostüm reichte gerade so über meinen Hintern und verdeckte gerade so den dazu passenden String. Ich entschied mich für die blonde Perücke und stöckelte dann ins Wohnzimmer. “Du sorgst jetzt erstmal dafür das wir immer ein neues Bier bekommen und füllst auch die Pinnchen immer nach wenn sie leer sind.” begrüßte mich Karl zurück während Dieter micg lüstern anschaute. Das Spiel was wir eigentlich gucken wollten began und ich bediente die beiden wie Karl es mir befohlen hatte. Natürlich blieb es nicht aus das mir immer mal wieder einer von beiden unter dem Röckchen in den Po kniff oder ihn streichelte wenn ich mich vorbeugen musste. Zwischendurch musste ich ab und zu einen mit ihnen trinken. Fast die ganze erste Halbzeit unterhielten sie sich über mich was ich nicht für eine kleine Schlampe bin und wie gut mir die Sachen stehen usw. Gerade war Halbzeit und ich stellte gerade die Flasche ab mit der ich Dieters Pinnchen gefüllt hatte da packte er mich von hinten und zog mich auf seinen Schoß. Dieter drehte meinen Kopf zur Seite “Komm gib mir einen Kuss du kleine geile Sau !” und schon pressten seine Lippen auf meinen und seine dicke feuchte Zunge zwängte sich in meinen Mund während seine Hand unter das Röckchen gleitete und meinen Schwanz massierte der dadurch natürlich canlı kaçak bahis steinhart wurde.”Karl hat nicht gelogen du bist wirklich eine kleine versaute Schlampe” flüsterte mir Dieter zwischendurch ins Ohr und küsste mich dann weiter. Karl guckte uns dabei zu. Langsam spürte ich an meinem Po wie Dieters Erregung immer mehr zunahm und was ich da spürte machte mir ein wenig Angst. “Komm knie dich vor mich Karl hat mir gesagt du bist ein Naturtalent was Schwänze lutschen angeht das will ich jetzt mal testen !” grinste mich Dieter an drückte mich von seinem Schoß auf den Boden stand auf und zog sich seine Hose komplett mit Unterhose aus. Sein Penis war bestimmt 21mal5,5 mit einer fetten Eichel und richtig dicken Eiern. Er setze sich wieder hin. “Na dann mal los zeig mir mal wie gut du blasen kannst.” forderte er mich auf. Langsam fing ich an seinen harten zu massieren und ihn mit der Zunge zu bearbeiten. Dann begann ich seinen harten Schwanz feste zu saugen wie Karl es immer von mir wollte. Zufrieden grunzte Dieter auf. Immer wieder spielte ich mit meiner Zunge an seiner dicken Eichel und seinen prallen Eiern und saugte danach wieder heftig an seinem Schwanz. “Ahhh Karl die kleine Hure ist echt gut !” keuchte Dieter. Plötzlich spürte ich wie Karl mir von hinten den String beiseite schob und kurz darauf den größeren Plug während ich am blasen war langsam in meinen Po drückte. “Oooohhh die kleine Sau bläst noch heftiger wenn sie was im Arsch hat.”stöhnte Dieter laut und auch ich war heftig am stöhnen. Karl fickte mich immer schneller mit dem Plug wodurch Dieters Latte auch immer heftiger von mir gelutscht wurde. “Ja ja ja mir kommts”. Dieters Schwanz fing an zu pumpen und dann spritzte er mehrere große Schübe von seiner Ficksahne in meinen Mund. Gab mir große Mühe alles zu schlucken aber ein Teil lief mir einfach aus dem Mund während Karl noch immer meinen Hintereingang bearbeitete. Wie der Abend weiterging erzähle ich das nächste mal. Wie immer freue ich mich über nette Kommentare und Bewertungen!

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My first male / male handjob

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My first male / male handjobLike many of us, I still have fond memories of my first experience with another male, and also the beginnings of my love for soft sexy panties…At the age of about 12-13, Mick was a frequent companion of mine. Mick was also popular with a lot of us pre-pubescent lads, as his Mum was comparatively young and always wore very sexy & revealing attire around their house. For this reason lots of us liked to call round to see Mick, just to get a look at her. All of us fantasised about her.However, one afternoon I was with Mick, fishing at a pond in the nearby countryside, when he got bored with the inactivity of the fish, and lay back on the grassy bank to smoke a cigarette. I soon joined him and we began to chat. Somehow the conversation got around to his Mum; I mentioned to him that we all thought she was sexy and he smiled knowingly. He agreed that she was, adding that he too enjoyed seeing her wandering around their house in her bra & panties (she was very ‘laid back’ in her attitude to the ’60s sexual revolution). My mind was obviously soon filled by exciting thoughts of that, when he added that he particularly loved the sexy knickers she wore. By then my mind was racing.”Yes, always casino oyna lovely soft nylon or silky satin” he cooed softly, his own mind filling with the sights he saw often at home. Then “occasionally, if she’s forgotten to do the family washing and I need a clean pair of undies, she gives me a pair of hers to wear for the day”. I was already thinking “Lucky sod” when he continued “and I must admit that they fit and feel a lot better than my usual boring cotton Y-fronts”. He then passed me his ciggie to share and leant back on the grassy bank. As I smoked his cigarette I noticed that he had slid his hand inside his shorts, smiling to himself as his fingers stroked. “Yea, I bet they do” I heard myself agree (thinking of the occasions when I had slipped on aa pair of my elder sister’s panties). I then noticed him slowly slide down the zip on his shorts, exposing his fingers stroking over a gorgeous pair of silky paisley patterned panties. At first I was slightly taken aback, I had often seen other lads’ willies in the showers at school, but this was strangely different? My eyes were glued to those sexy panties, before I looked up to his face to see him smiling at me then saying “would you like slot oyna to feel how soft they are?”. Nervously I smiled back and said “they certainly look very nice” (or some other garbled comment) before looking around to make sure we were completely alone and not overlooked. Mick then moved his hand away to reveal more of his panties to my view, looking gorgeous in the bright sunlight, and the slight rise beneath the material. Mick then lay back more fully, his hands behind his head in complete relaxation, and I watched as I saw my slightly trembling hand reach out to touch him. I heard him sigh quietly at my touch, then encouraging me saying “feel lovely, don’t they Alex?” I nodded silently as my fingers stroked over the soft material, also noticing that the bulge was increasing in size and firmness. “Mmmmm…” was all I heard from him as my fingers continued to stroke, roaming further, up & down the firm ridge as my thumb and forefinger traced either side of his cock.Very soon I noticed that his length had exceeded the waistband of his panties and his shiny engorged cock-head was poking out. Never having seen another hard-on apart from my own, I found the sight caused a stirring in my own underpants. canlı casino siteleri I think Mick realised this too, as he raised himself slightly onto one elbow and reached across to tug down my own zip. “Mmm, it seems you’re enjoying playing with my panties” he smilingly murmured, his agile fingers pushing aside my boring cotton. At that my fingers wrapped more firmly around his fine cock, and I began to wank it with more urgency. “Ohh yes, that’s heavenly” purred Mick quietly “and yours is just a bit bigger than mine?” he complimented me, making me increase my strokes. But all too suddenly the sensations I was seeing and feeling overcame me as I felt the familiar hot tingles rising from my balls and I wanked on his cock more rapidly – all of a sudden I heard him jerk and gasp as he shot a silvery jet of cum straight onto his quivering belly, and my own cock exploded coating his hand. For several moments we both jerked and sighed as we shared our orgasms together….After a few moments of silence, mutual smiles told us we had both enjoyed it. Soon we washed our sticky hands in the cool pond water, then shared another cigarette before parting company for now, better friends than we had been before… We shared a few more meetings at his home after that (occasionally he lent me a ‘spare’ pair of his Mum’s panties for mutual benefit) with the progression to oral enjoyment, but after about a year his family moved away from the area……

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Und plötzlich war alles anders

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Brunette

Und plötzlich war alles andersSeit 2 Jahren lebte ich nun mit meiner zwei Jahre älteren Schwester und meiner Mutter allein in unserem schönen Haus. Mein Vater war 22 Jahre älter als meine Mutter, aber offensichtlich war sie ihm trotzdem nicht jung genug, denn er hat uns verlassen und sich mit einer 19 Jährigen Sekretärin aus seiner Firma ein neues Leben aufgebaut. Dabei sah meine Mutter mit ihren 33 Jahren wirklich toll aus; sportlich schlank mit recht großen, vollen Brüsten und einem hübschen Gesicht, umrahmt von langen blonden Haaren. „So, jetzt bist du der Mann im Haus!“ verkündete meine Mutter nachdem mein Vater ausgezogen war wohl eher im Spaß, denn behandelt hat sie mich nie wirklich so und ich war ja auch noch viel zu jung. Für mich war das aber auch ganz ok. Ich wollte gar nicht der Mann im Haus sein, denn schon mit 7 oder 8 hab ich mich eher für die hübschen Klamotten meiner Schwester und meiner Mutter interessiert als für die sportlichen Jungssachen, die mir mein Vater immer kaufte oder kaufen ließ. Besonders für die feine und sehr sexy Unterwäsche entwickelte ich dann ein Faible. Irgendwann begann ich dann, heimlich die Spitzentangas, BHs und auch Nylons meiner Mutter zu tragen, oft auch tagsüber in der Schule unter meinen Klamotten. Jedenfalls lebten wir zu dritt ganz glücklich ein, naja fast, normales, modernes Familienleben.Jedenfalls bis zu jenem Tag an dem sich plötzlich alles änderte.Ich hatte gerade Handy und Computerverbot und eigentlich sollte ich ja nicht ungefragt an den Laptop meiner Mutter gehen. Aber sie war gerade einkaufen, meine Schwester war noch in der Schule und ich wollte ja nur mal kurz ein bisschen ins Internet. Als ich in ihr Schlafzimmer kam, sah ich gleich, dass der Laptop noch an war, also setzte ich mich schnell auf ihr Bett und schnappte mir das Gerät. Nachdem ich kurz mein Facebook und meine Emails gecheckt hatte wollte ich nur noch kurz den Verlauf löschen, damit es meine Mutter nicht mitkriegt. Aber dann viel mir auf, dass ihr Verlauf ziemlich voll war. „Wenn ich den jetzt komplett lösche, weiß sie ja erst recht, dass ich an ihrem Laptop war.“ Dachte ich. Also kam ich auf eine andere Idee. Ich klick einfach nacheinander ihre letzten 50 Seiten nochmal an und so rutschten meine Seiten dann weiter nach hinten und mit ein bisschen Glück bemerkt sie dann nichts. Ich fing also an die Seiten aus ihrem Verlauf aufzurufen. Eine nach der anderen, bis ich plötzlich sehr neugierig geworden bin. Denn auf dem Monitor sah ich die Seite eines Fetish-Erotik-Forums und ich wollte wissen, was meine Mutter denn auf solchen Seiten macht. Ok, meine Mutter ist mit ihren 33 Jahren eine echt attraktive Frau, mit einer tollen Figur und echt hübschem Gesicht. Mir war klar, dass sie sicher bei der Männerwelt gut ankam, obwohl ich seit ihrer Scheidung nie irgendetwas von einem Freund oder so mitgekriegt hab. Aber Sexseiten im Internet, und dann auch noch gleich irgendwas mit Fetish, sowas hätte ich ihr echt nicht zugetraut. Um so größer war natürlich meine Neugier. Also stöberte ich etwas auf dieser Seite herum und was ich da alles sah ließ mir den Atem stocken. Auf der Seite ging es um die verschiedensten Fetische. Nylon, Füsse, Oral, Anal, NS, Latex, Leder usw. konnte ich als Kategorien finden. Und dann sah ich einen Button auf dem stand: Mein Profil. Ich dachte: „ Wow, Mom hat doch nicht etwa ein eigenes Profil hier!“ Jetzt war ich doch ziemlich aufgeregt. Mit Spannung drückte ich auf den Button und wartete, was ich zu sehen kriegen würde. Und dann öffnete sich tatsächlich ein Profil. Auf dem Bild sah man eine sehr nuttig angezogene Frau. Sie trug schwarze Nylonstrümpfe mit Strapsen, einen schwarzen Lack-Strapsgürtel und eine schwarze Lack-Korsage aus der üppige Brüste quollen, dazu extrem hochhackige Pumps. Mit weit gespreizten Beinen präsentierte sie ihre glattrasierte Vagina, die mit mehreren silbernen Piercings geschmückt war. Ihr Gesicht war aber mit einer Maske aus schwarzer Spitze verdeckt. War das echt meine Mutter? Ich konnte es nicht sicher sagen, aber von der Figur her konnte sie es wirklich sein. Über dem Bild stand der Nutzername: WetTina32 mit den Zusätzen: weiblich, devot. Meine Mutter heißt Christina und sie ist zwar schon 33 aber das Profil könnte ja auch schon älter sein. Ich stöberte weiter durch das Profil. Als nächstes klickte ich auf Nachrichten. Die letzte Nachricht war gerade mal eine halbe Stunde alt und im bahis firmaları Betreff stand „Outdoor Freitag“ und der Absender war ein „Schlampenabrichter47“. Ich las: „Also heute Abend, 22Uhr am Parkplatz bei der Autobahnauffahrt Pleidelsheim. Du trägst nur Halterlose, Korsage und Overknees… schwarzer Lack ist das Motto. Warte in deinem Auto bis ich dir ein Lichtzeichen gebe. Sei pünktlich!!!“ Die Antwort von WetTina32 lautete: „Lackoverknees hab ich nicht…ich geh schnell welche kaufen…ich freu mich schon…Danke!“ Jetzt wurde mir langsam klar, warum meine Mutter so urplötzlich einkaufen musste und warum sie mich nicht mitnehmen wollte. Eigentlich wollte ich so gern noch weiter in ihrem Profil stöbern, aber ich hörte vor dem Haus ein Auto vorfahren, also schloss ich schnell alle Fenster und huschte rüber ins Wohnzimmer. Als ob nichts wäre saß ich auf dem Sofa als Mom die Wohnungstür öffnete. „Na, hast du alles gekriegt?“ fragte ich. Ich war auf ihre Reaktion gespannt. Hektisch rannte sie wortlos an mir vorbei und brachte die große Einkaufstüte direkt in ihr Schlafzimmer. Ich kriegte irgendwie das Bild von dem Profil nicht aus meinem Kopf und bei dem Gedanken, dass diese verruchte Frau auf dem Bild tatsächlich meine Mutter sein könnte, stieg eine seltsame Erregung in mir auf. In dem schwarzen Spitzentanga den ich gerade trug wurde es schon merklich eng. Es machte mich total geil, mir meine Mutter als WetTina32 vorzustellen, wie sie vom Schlampenabrichter47 benutzt wird. Das musste ich sehen, beschloss ich. Also reifte schnell ein Plan in meinem Kopf. Ich fragte meine Mutter ob ich bei einem Schulfreund übernachten darf und anders als sonst, stimmte sie recht schnell zu. „Sina übernachtet heute auch bei einer Freundin!“ erzählte sie mir noch beiläufig. „Ja klar, dann hast du besser freie Bahn um dich heute als Schlampe abrichten zu lassen.“ Dachte ich grinsend. So gegen 19Uhr verließ ich dann offiziell das Haus um zu meinem Freund zu fahren. Ich fuhr aber nur bis zum Supermarkt um mir etwas zum trinken zu holen und fuhr dann wieder zurück nach Hause. Nachdem ich mein Fahrrad hinter dem Haus versteckt hatte schlich ich aber zur Kellertür und wollte dann bis kurz vor halb zehn im Hobbykeller warten um dann in die Garage zu huschen und mich im Kofferraum von Moms Voyager zu verstecken. Als ich gerade zur Kellertür runter wollte, sah ich, wie im Hobbykeller das Licht anging. Ich schlich zu dem kleinen Fenster und kniete mich daneben um vorsichtig reinspicken zu können. Ich sah meine Mutter, wie sie splitternackt einen Stapel Kartons zur Seite schob und den dahinter befindlichen alten Kleiderschrank öffnete. Ich dachte, ich sehe nicht richtig. Der riesige Kleiderschrank war voll mit Kleidungsstücken und Schuhen. Alles war in schwarz gehalten und aus Materialien wie Lack und Latex. Mom kramte ein Paar Nylons und eine Lack-Korsage heraus. Dann sah ich sie eine große Schublade öffnen. Sie kramte eine Weile drin herum, aber ich konnte nicht genau erkennen, was sie da raus genommen hatte. Nachdem sie sich dann noch einen langen schwarzen Lackmantel über den Arm warf, verließ sie den Hobbykeller und löschte das Licht. 2 Minuten später sah ich dann wie das Licht im Bad anging. Jetzt schlich ich mich schnell in den Hobbykeller, denn ich wollte unbedingt den Inhalt des Schrankes genauer inspizieren. Mit meinem Handy leuchtete ich in den Schrank und was ich da alles drin sah machte mich noch geiler als ich eh schon war. Ich befühlte die geilen Materialien und stellte mir vor, wie ich wohl in den geilen Klamotten aussehen würde. Und ich wurde immer noch geiler. Also beschloss ich, etwas davon anzuprobieren. Zuerst fand ich Halterlose Nylons, die ich schnell anzog. Wow, das fühlte sich so verrucht an. Als nächstes probierte ich eine Korsage an, die mir aber etwas zu groß war, vor allem im Brustbereich. Dann fand ich aber einen Lack-Body bei dem die Brüste frei lagen. Vorne war ein Reißverschluß der bis in den Schritt reichte und dann in einen String überging. Ich probierte ihn an und er passte wie angegossen. Ich fühlte mich so herrlich nuttig in den geilen Sachen, dass ich beschloss, sie anzulassen. Ich musste mich ja eh verstecken, also würde mich ja keiner sehen. Und da mich das ganze nun schon so aufgegeilt hatte wollte ich auch geile Klamotten tragen bei meinem Abenteuer. Ich versteckte meine Klamotten in einem Karton und schlich mich dann in die Garage. Unter kaçak iddaa einer Decke versteckte ich mich dann im Kofferraum und wartete, bis meine Mutter losfahren würde. Es fühlte sich wie eine Ewigkeit an und ich hätte beinah schon aufgegeben, als ich dann plötzlich meine Mutter hörte, wie sie in die Garage gestöckelt kam. Die Autotür öffnete sich und sofort war der ganze Wagen vom Duft ihres Parfums überflutet. Dann ging alles recht schnell. Garagentor auf, Motor an, Musik auf laut und die Fahrt ging los. Mein Herz klopfte wie verrückt und mein Schwanz drückte vor lauter Geilheit in dem engen Body. Die Fahrt dauerte ca. 20 Min, dann waren wir wohl am Parkplatz angekommen, denn Mom fuhr eine Weile im Schritttempo bis sie dann rückwärts einparkte. Ich hatte mich inzwischen hingekniet und konnte so vorsichtig zwischen den Kopfstützen nach vorne lugen. Nach ca. 2 Minuten sah ich wie ein Auto genau gegenüber 2 Mal aufblendete, das schien das Signal für Mom zu sein, denn sie stieg daraufhin aus, zog ihren schwarzen Mantel aus und warf ihn auf den Beifahrersitz. Dann ging sie langsam den Weg entlang. Rechts und links gingen an den geparkten Autos plötzlich nacheinander die Lichter an, so dass Mom von allen sehr gut gesehen werden konnte. Sie trug, wie von Schlampenabrichter47 gefordert, nur Lackoverknees, halterlose Nylons und eine Lackkorsage, natürlich alles in sündigem schwarz. Bei dem Anblick drohte mein Schwanz fast zu platzen. Nach etwa 20 Metern erreichte Mom nun die gegenüberliegende Seite, wo 2 VW-Busse nebeneinander standen. Genau dazwischen stand ein großes schwarzes Kreuz. Ich sah zu, wie Mom von einem Mann in Empfang genommen wurde. Er dirigierte sie nun an das Kreuz und fesselte Mom ausgestreckt an das Kreuz. Nun gingen nacheinander die Lichter an den geparkten Autos wieder aus und nur die Innenlichter der VW-Busse erleuchteten meine ans Kreuz gefesselte Mom in ihrem nuttigen Outfit. Fasziniert verfolgte ich das Spektakel, das sich mir darbot. Als nächstes sah ich, wie aus den geparkten Autos immer mehr Leute ausstiegen und in Richtung meiner Mom strömten. Das meiste waren wohl Männer, aber ich meinte auch die ein oder andere Frau in dem schummrigen Licht erkannt zu haben. Die Abrichtung meiner Mom als Schlampe schien nun los zu gehen. Leider konnte ich aber nicht sehen, was sich dort abspielte, denn die vielen Leute verdeckten mir nun die Sicht. „Verflucht, das gibt’s doch nicht. Ich riskiere hier so viel und am Ende sehe ich gar nicht was da geiles passiert!“ Fluchte ich leise vor mich hin. Meine Geilheit und Neugierde übernahm nun wohl das Regiment, denn ich beschloss: „Ich muss da näher ran!“ Mein Plan war, mich hinter den geparkten Autos am Waldrand entlang anzuschleichen und mir dann einen versteckten Platz zu suchen, von wo aus ich beobachten konnte, wie meine Mom zur Schlampe abgerichtet wird. Etwas mulmig war mir nun doch zu Mute, denn ich war ja selbst auch nur mit Halterlosen und einer Lackkorsage bekleidet. Ich beschloss, mich in die graue Decke aus dem Kofferraum einzuwickeln. Zum Glück hatte ich wenigstens meine Sneakers an, denn auf hochhackigen Pumps oder sowas hätte ich auf dem weichen Waldboden sicher so meine Probleme gehabt. Also schlich ich mich leise aus dem Auto und pirschte mich an den Ort des Geschehens ran. Zwischen 2 Autos kauernd, war ich nun zwar nah genug dran, aber die Leute verdeckten mir immer noch die Sicht. Ich konnte meine Mom zwar hören, denn sie stöhnte immer wieder laut auf, aber ich sah sie nicht. Ungefähr 10-15 Leute standen um sie herum, alle in schwarze Lackklamotten gekleidet. Ich erkannte auch, dass einige Männer bereits ihre steifen Schwänze herausgeholt hatten. Und immer wieder das laute, lustvolle Stöhnen meiner Mom. Obwohl ich nichts sehen konnte, machte mich allein die Vorstellung, dass meine Mom nur 3 Meter von mir entfernt von einer Gruppe geiler Lackfetischisten als Schlampe benutzt und abgerichtet wird total geil. Ich stellte mir vor, wie ich neben ihr auch an so ein Kreuz gefesselt, mit ihr gemeinsam abgerichtet werde. Wie ich wehrlos alles mit mir machen lassen müsste. Langsam wickelte ich mich aus der grauen Decke, legte sie auf den Boden und kniete mich dann breitbeinig darauf. Mit einer Hand fingerte ich schon wieder an meinem steifen Schwanz und mit der anderen Hand zwirbelte ich immer fester abwechselnd meine Nippel. „Wen haben wir denn da?“ hörte ich plötzlich eine dunkle kaçak bahis Stimme hinter mir. In Panik drehte ich mich um und sah einen großen muskulösen Mann vor mir stehen. Er trug schwarze Lackhosen, die im Schritt offen waren und seinen riesigen, halbsteifen Schwanz freizügig darboten. Der Oberkörper war nackt. Mit weit aufgerissenen Augen kniete ich vor ihm und wusste nicht, was ich tun sollte. Und dann folgte gleich der nächste Schock. Als er noch einen Schritt näher kam erleuchtete ein Lichtstrahl sein Gesicht und ich erkannte meinen ca. 50 Jahre alten Mathe-Lehrer. Am liebsten wäre ich im Erdboden versunken. „Schleichst du etwa deiner Mutter hinterher?“ wollte er wissen. Mit offenem Mund sah ich ihn an und brachte keinen Ton heraus. „Und dann auch noch in so einem geilen Outfit.“ Grinste er lüstern. „Tja, der Apfel fällt wohl nicht weit vom Stamm!“ Ich war wie im Schock und starrte ihn nur an. „Steh auf!“ herrschte er mich an und wie in Trance gehorchte ich. Unvermittelt griff er mir direkt in meinen Schritt und ertastete meinen zum bersten prallen Schwanz durch das glänzende Material des Bodies. „Du bist ja tatsächlich genauso eine versaute Schlampe wie deine Mutter. Deine kleines Schlampenschwänzchen steht ja schon.“ Grob schob er einen seiner dicken Finger unter den String und drückte ihn mir tief in meine Rosette, dann zog er ihn wieder raus und hielt mir den Finger direkt vor meinen Mund. „Los kleine Schlampe, leck deinen Arschfotzensaft ab und zeig mir wie gehorsam du bist.“ Langsam öffnete ich den Mund und wartete, was passieren würde. Aber er schob mir den Finger nicht in den Mund, wie ich erwartet hatte. Ein paar Augenblicke zögerte ich noch, dann lehnte ich mich etwas nach vorne und leckte seinen Finger vorsichtig ab. „Zeig mir, wie sehr dich dein eigener Fotzensaft geil macht.“ Forderte er mich auf. Und dann stülpte ich meine Lippen über seinen Finger und leckte und saugte gierig daran. „Braves Mädchen!“ grinste er mich wieder an. „Mit dir können wir sicher auch so einiges anfangen.“ Dann packte er mich plötzlich bei den Haaren und drängte mich in Richtung der Gruppe Leute, die sich gerade mit meiner Schlampenmutter beschäftigten. „Schaut mal, was ich hier geiles gefunden habe!“ rief er laut und alle drehten sich schnell um. „Sieht aus, als ob wir heute Nacht 2 versaute Schlampen abrichten müssen.“ Verkündete er. „Lasst mich durch. Ich will erst mal prüfen, ob sie auch gehorsam genug ist für uns.“ Die Gruppe machte einen Gang und ich wurde von meinem Lehrer an den Haaren zwischen ihnen durch gezogen. Plötzlich stand ich vor meiner ans Kreuz gefesselten Mutter, die mich geschockt ansah. Verängstigt schaute ich in ihre weit aufgerissenen Augen. Dann zwang mich mein Lehrer auf die Knie und befahl mir: „Los, leck die nasse Fotze!“ Ich blickte direkt auf die glattrasierte Fotze meiner Mutter und zum ersten Mal sah ich ihre gepiercten Schamlippen. Ein weiteres Piercing war direkt an ihrem Kitzler angebracht. Der Anblick und die ganze Situation ließen meinen Schwanz in seinem engen Gefängnis fast platzen und meine Geilheit stieg ins unermessliche. Ich beugte mich etwas vor und der geile Duft aus Mom’s Schlampenfotze stieg mir in die Nase. Dann vergrub ich gierig mein Gesicht in der herrlichen Pussy meiner Mutter und begann wild zu lecken und zu saugen. Tief stieß ich meine Zunge in ihren nassen Fickkanal und schlürfte laut ihre geilen Säfte bis ich an den Haaren von ihr weggezogen wurde. „Und jetzt prüfen wir noch, ob auch du wirklich gehorsam genug bist, um dir unsere Behandlung zu verdienen.“ Sagte mein Lehrer nun zu meiner Mutter: „Los WetTina, mach deinem Namen alle Ehre und piss der kleinen Schlampe in ihr gieriges Maul.“ Meine Mutter sah mich mit weit aufgerissenen Augen an und dann platzte die Bombe auch für alle anderen Anwesenden. „Oder hast du etwa doch Tabus? Müssen wir das Alles hier sofort beenden weil du nicht gehorchst? Oder zögerst du etwa…nur weil du die Mutter dieser kleinen Schlampe bist?“ Ein Raunen ging durch die Gruppe. In diesem Moment schloß meine Mutter ihre Augen und dann spritze es auch schon los. Meine Mutter pisste mir einen satten Strahl direkt in mein Gesicht. Und mich machte das ganze so geil, dass ich sofort meinen Mund öffnete und versuchte so viel wie möglich von ihrer heißen Pisse zu schlucken. Als ihre goldene Quelle dann versiegte leckte ich die letzten Tropfen unaufgefordert noch von ihrer nassen Fotze. „Na dann kann die Session ja jetzt richtig losgehen!“ verkündete nun der Mann, den auch ich später als Schlampenabrichter47 kennen lernen durfte. …wenn euch interessiert, wie es weiter ging, dann kommentiert gerne…

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Das Leben des Damianos Episode 29

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Das Leben des Damianos Episode 29Episode 29Wir betraten unser Heim und Telemachos zog sich sofort mit einem Lächeln auf den Lippen in seinen Raum zurück und lässt Nikolaos, Nikos und mich zurück.„Ich denke der ist so überglücklich das er sogar vergisst sich zu verabschieden oder was denkt ihr Nikos und Nikolaos?“Nikos ist es der zuerst das Wort ergreift bevor Nikolaos es tun kann.„Ich denke es ist beides Freude und Wehmut das ihn so rasch entschwinden ließ. Natürlich freut er sich schon bald eine Gemahlin zu haben und die Prinzessin von Sparta ist nicht gerade eine schlechte Wahl doch er verliert auch seine Heimat. Wie ich weiß ihr Athener liebt eure Stadt und niemals verlasst ihr sie wirklich freiwillig doch mit seinem Ansuchen die Prinzessin zur Gemahlin zu nehmen tat er dies.“„Glück und Trauer liegen oft nahe beieinander ich denke er wird in Sparta bald eine neue Heimat finden oder sollte ich mich hier in deiner Heimat täuschen?“„Nein ich denke er wird bald Sparta als seine neue Heimat ansehen doch muss auch er nach der Vermählung seinen Dienst an Sparta tun und dies ist in seinem Fall als zukünftiger Gemahl der Königin und baldiger General im Militärdienst. Ich kenne Telemachos noch nicht wirklich doch das was ich bisher erkenne ist er nicht wirklich für den Krieg geboren.“Das Gespräch der beiden hatte ich bisher stumm verfolgt doch nun war es auch an mir meine Meinung kundzutun.„Er muss nach der Vermählung in die Spartanische Streitmacht Nikos ist das wahr?“„Ja Damianos jedes männliche Mitglied der königlichen Familie muss in der Streitmacht dienen, so ist es und war es schon immer. Wieso fragst du Damianos?“Ein grinsen konnte ich mir nun nicht verkneifen.„Nun in Athen bewahrte sein Vater der Archon, Telemachos vor seinem militärischen Dienst da er meinte diese archaische Zurschaustellung von Männlichkeit liege ihm nicht und nun hat sein Herz ihm genau das beschert.“Nun lachten wir alle drei doch spätestens wenn Telemachos von seinem Schicksal erfahren würde selbiges ihm im Halse steckenbleiben. Nikos blieb noch eine geraume Zeit und so erfuhren wir noch so manch uns unbekanntes über die Lebensbedingungen der Hebontes speziell Nikolaos stellte ihm die Fragen die etwas delikater waren.„Ihr lebt und schlaft ja alle an einem Ort ich meine da bleibt es ja wohl nicht aus das ihr irgendwann an sexueller Anspannung leidet oder etwa nicht?“Nikos brach ob dieser Frage in schallendes Gelächter aus und bekam sich auch nur schwer wieder ein.„Eigentlich Nikolaos hatte ich mit dieser Frage schon viel früher gerechnet denn sie kommt jedes Mal wenn ich mit jemanden von außerhalb über das spartanische Bildungssystem spreche. Doch ich kann dir verraten auch wenn Anspannung vorhanden ist bleibt diese nicht lange.“Diese seine Anspielung ließ Raum für Vermutungen und so kam auch ich nicht umhin mich in diese Diskussion einzumischen.„Ist dem so na das klingt aber mehr als interessant Nikos wollen wir dies nicht in meinem Raum besprechen? Was denkt ihr darüber ihr zwei.“Nikolaos und Nikos sahen sich an musterten sich förmlich gegenseitig blickten dann mich an und antworteten wie aus einem Mund.„Aber gerne doch Damianos.“Wir gingen zu dritt in meinen Raum kaum das wir diesen betreten hatten stellte Nikolaos sich vor Nikos und mich hob langsam seine Arme und zog aus unsren Chitons die Haltenadel und sofort standen wir bis auf unsere Lendenschurze entkleidet vor ihm. Nikos löste sich zuerst aus seiner Perplexität und tat es Nikolaos gleich und so standen wir nun zu dritt nahezu unbekleidet voreinander uns allen war die Nervosität anzumerken. Nikolaos war es güvenilir canlı bahis siteleri der die Initiative ergriff und erst seinen und dann unseren Lendenschurz entfernte.Es war mir während unseres Besuches im Gymnasion nicht aufgefallen beziehungsweise hatte ich nicht darauf geachtet doch nun fiel mir auf das Nikos recht massiv gebaut war dies blieb auch Nikolaos nicht verborgen.„Das nenne ich mal gut gebaut mein lieber Nikos ich denke Damianos ist mehr als begeistert wenn ich mal seinen offenen Mund als Ausdruck der Begeisterung rechne.“„Danke Nikolaos es ist ein Fluch und ein Segen gleichzeitig, ja ich mag Männer doch viele betrachten mich nur wegen dem da unten nur als Objekt ihrer Begierde. Es ist nicht so dass ich es nicht mag mal den einen oder anderen zu besteigen doch ich muss gestehen ich bin es der es liebt bestiegen zu werden.“„Nun ich denke das können wir drei arrangieren ich kenne da jemand der es ebenfalls liebt. Los auf die Bettstatt mit euch beiden.“Wir taten wie uns geheißen und so lagen Nikos und ich nun auf dem Bett vor Nikolaos welcher sich nun langsam auf uns zubewegte. Seinen Kopf bewegte er an mein Ohr und flüsterte mir leise zu.„Geliebter lass ihm uns zeigen wie sehr wir ihn wollen vielleicht schenkt er dir dann auch die Lust die du so begehrst.“Kaum das er fertig gesprochen hatte hob ich mich aus meiner liegenden Position hoch und sah noch wie Nikolaos nun auch Nikos etwas ins Ohr flüsterte und wie dieser mich lüstern anlächelte.Nikos legte seine Hand an meinen Hinterkopf zog mich zu sich ran und küsste mich inniglich währenddessen strich ich mit meiner Hand über seinen perfekt geformten Brustkorb. Seine Hände durchfuhren meine Haare und seine Zunge focht mit meiner und es gefiel mir. Meine Hand glitt langsam in Richtung seines gewaltigen Speers doch dieser so stellte ich fest war bereits in Benutzung durch meinen geliebten Nikolaos. Ich glitt nach Lösung unserer Lippen nach unten zu meinem Nikolaos welcher als er mich bemerkte den Schaft von Nikos aus seinem Mund entließ und mit seinen Lippen die meinigen suchte. Unseren Kuss nützte ich aus um die Gewalt über den gewaltigen Speer des Nikos zu erlangen und massierte ihn sanft.Nikolaos der meinen Hinterhältigkeit bemerkt hatte brummte mürrisch in meine Richtung sank danach jedoch ein Stück tiefer und liebkoste mit seiner Zunge den augenscheinlich gut gefüllten Sack von Nikos. Nun da wir uns zu zweit um sein Gemächt kümmerten kamen aus seinem Munde nur noch verzückte laute und er stöhnte wohlig auf. Wir wechselten unsere Position und nun war es an mir mich um den prall gefüllten Sack zu kümmern und ich tat dies gerne und mit Genuss.So wie ich es gerne bei meinem Nikolaos tat vergrub ich mein Gesicht tief darin und sog Nikos herben männlichen Duft ein und war berauscht davon. Dieser Duft war so völlig anders als der meines geliebten doch auch er löste in mir etwas wildes aus und mein eigenes Schwert richtete sich schlagartig zur vollen Größe auf und pulsierte fast schon schmerzhaft zwischen meinen Beinen was auch Nikolaos nicht verborgen blieb.„Ich sehe mein Damianos hat Spaß dich zu verwöhnen Nikos, was hältst du davon ihm diese Freude zu vergelten.“„Das würde ich sehr gerne tun darauf hatte ich schon Lust als ich euch das erste Mal sah.“Nikos richtete sich auf griff mir unter die Arme zog mich an sich hoch legte mich mit dem Bauch auf das Lacken rollte sich auf meinen Rücken glitt langsam nach und küsste meine Backen des Gesäß. Er ging danach über die selbigen sanft zu kneten und immer wieder konnte ich wahrnehmen das er sie küsste. Ich güvenilir illegal bahis siteleri war außerstande wahrzunehmen was hinter mir geschah doch da Nikos ab und an ein leises stöhnen entwich schloss ich daraus das an seinem Hinterteil die gleiche Prozedur vollführt wurde.Kaum merklich hatte er meine Backen auseinander geschoben und nun konnte ich seinen heißen Atem und seine Zunge an meiner Pforte spüren was mir ein wohliges seufzen entlockte. Nikos so stellte ich fest beherrschte das was er da tat den jede seiner Berührungen ließ Lichtblitze vor meinen geschlossenen Auge aufblitzen und ich konnte nicht mehr als wild zu stöhnen.„Nutze deine Finger Nikos damit machst du meinen Damianos willenlos und er wird es lieben.“Offensichtlich gefiel es Nikolaos all meine Geheimnisse Nikos zu verraten jedoch war ich außer Stande es zu verhindern den der selbige war bereits dazu übergegangen den Tipp in die Realität umzusetzen. Sein Finger hatte bereits meine Pforte erobert und er ließ ihn auf Wanderschaft gehen bis zu jenem Punkt der mir wie immer einen kleinen spitzen Schrei entlockte. Nun da er besagten Punkt erkundet hatte konzentrierte er sich auf selbigen und so ließ er mich dauerhaft stöhnen.Das auch Nikolaos ihn gut verwöhnte entnahm ich den stöhnen und seinem schwergängigen Atem den ich an meiner Pforte spürte. Nikos ließ von mir ab und glitt entlang meines mittlerweile vom Schweiß rutschigen Rückens hoch und flüsterte mir leise ins Ohr.„Bist du bereit für mehr Damianos, bist du bereit mich in dir aufzunehmen ich würde es mir so wünschen.“„Was immer du willst Nikos.“Kaum das meine Worte meinen Mund verlassen hatten spürte ich die Spitze seines Speers an meiner Pforte die ganz sachte Einlass begehrte. Mit geschlossenen Augen lag ich da als ich Lippen an den meinigen fühlte ich öffnete die Augen und blickte in die wundervollen smaragdgrünen Augen meines Nikolaos.„Ich liebe dich Nikolaos das musst du wissen mein Herz.“„Das weiß ich Geliebter doch nun genieße es.“Mit der Zustimmung die ich von Nikolaos erhalten hatte entspannte ich mich richtig und so gelang es Nikos meine Pforte zu passieren. Das Gefühl lag zwischen Pein und Lust den noch niemals hatten solch Ausmaße mein innerstes erobert. Den Laut den ich von mir gab musste auch Nikos wahrgenommen haben den er hielt inne.„Alles in Ordnung Damianos? Ich muss nicht weitermachen wenn es dir Zuviel ist.“„Nein alles ist gut Nikos doch halte inne und gib mir etwas Zeit mich zu gewöhnen.“Nikos tat wie ihm geheißen doch wurde er für seine Zurückhaltung von Nikolaos mit einem Kuss belohnt so dass es ihm wohl nicht schwerfiel. Ich gönnte ihm diesen Kuss doch auch nagte die Eifersucht in mir was absurd war den immerhin war ich es der hier lag gepfählt vom massivsten das ich je erblickte. Meine eigene Eifersucht schob ich beiseite indem ich begann sanft meine Hüfte gegen den Pfahl in meiner Pforte schob umso zu signalisieren das ich bereit für mehr war. Nikos erkannte wohl dieses subtile Signal und begann sanft mit dem Stoßbewegungen welchen ich gerne entgegen kam. Fast so als hätte Nikolaos meine Gedanken gelesen lag er nun neben mir und suchte sanft nach meinen Lippen um mir meine Ängste des Verlustes zu nehmen. Hin und hergerissen war ich durch meine Gefühle zwischen der Lust die Nikos mir bereitete und der unendlichen Liebe die ich für Nikolaos empfand.Nikos erhöhte das Tempo und ich wollte und konnte mein Empfinden nun nicht mehr zurückhalten und stöhnte meine Lust hinaus. Immer wieder fuhr er in mich und stieß gegen meinen empfindlichen Punkt wodurch ich meiner Sinne güvenilir bahis şirketleri beraubt wurde und in meiner Wollust gefangen war. In mir strebte bereits alles einem Höhepunkt entgegen als Nikos völlig unvermittelt innehielt und mich so komplett ausfüllte.Nikos stöhnte hörbar auf und ich konnte nur vermuten was geschah den das Gewicht welches ich zu tragen hatte war nun deutlich höher.Ich schwenkte meinen Kopf und erblickte einen völlig verklärten Blick von Nikos und über dessen Schulter einen lächelnden Nikolaos. Mein Geliebter musste wohl die Pforte von Nikos erobert haben und so war es nun auch sein Gewicht welches ich zu tragen hatte doch störte mich dies in keinster Weise. Die folgenden Stöße von Nikos waren unkoordiniert und schwerfällig doch dies war wohl dem Schwert von Nikolaos in ihm geschuldet. Je öfter er nun in mich stieß desto intensiver und rhythmischer erfolgten die Bewegungen den die beiden hatten sich im Rhythmus geeinigt.Nun da die beiden ihren Rhythmus gefunden hatten erklang im Raum alsbald eine Symphonie des Stöhnens und der Lust. Nikolaos war es nun der das Tempo und die Tiefe bestimmte in der Nikos in mich eindrang und er tat dies so wie ich es liebte. Auch wenn es nicht mein Geliebter war der sich mit mir vereinigte so war es dennoch irgendwie er und ich ließ mich fallen lag auf dem Laken stöhnte und genoss den Pfahl von Nikos in mir. Immer intensiver wurden Nikos Stöße und sein Stöhnen wurde immer lauter und a****lischer.„Nikolaos w.. w.. wenn du so weitermachst dann kann ich nicht für meine Zurückhaltung garantieren.“„Dies sollst du auch nicht Nikos lass dich gehen so wie mein Damianos es tut genieße es nun da du mein Schwert in dir fühlst so wie du es liebst. Du sagtest selbst Fluch und Segen und nun genießt du die Vorzüge von beiden du kannst meinen Damianos beglücken und genießt es auch durch mich.“Ich kann nicht sagen wie lange unsere Vereinigung dauerte da ich völlig extatisch die tiefen Stöße von Nikos genoss doch es kam wie es kommen musste und ich fühlte wie Nikos sich pulsierend in mir ergoss. Obwohl sein Pfahl an Stärke verlor blieb er in mir und nun war er es der sich seiner Ektase hingab und die Stöße von Nikolaos genoss welche durch ihn direkt an mich weitergegeben wurden. Obgleich Nikos Pfahl nicht mehr völlig erhärtet war traf er bei jedem Stoß den Nikolaos ihm versetzte meinen empfindlichsten Punkt. Immer und immer wieder entwich mir ein spitzer Schrei bis auch Nikolaos sich mit einem lauten a****lischen Schrei in Nikos entlud und ich mich in das Laken erleichterte.Mit einem Schlag erhöhte sich das Gewicht welches auf mir ruhte drastisch da nun beide auf mir lagen. Anfangs war es noch gut zu erdulden doch mit jeder Minute wurde mir das Gewicht zufiel.„Nicht das ich eure Nähe nicht genießen würde doch ich bitte euch verlasst meinen armen Körper ihr seid nicht gerade leicht.“„Verzeih Damianos ich war von Nikolaos so überwältigt das ich deiner völlig vergaß.“Die beiden rollten von mir herunter und schlagartig ließ die Beklemmung nach und ich atmete erleichtert auf.„Dieses Gefühl kenne ich nur zu gut Nikos so ergeht es mir jedes Mal wenn ich in der Nähe von ihm bin.“„Ihr beide habt Glück das ihr einander habt, wie sehr würde ich mir einen Gefährten wünschen der auch mich so inniglich lieben könnte wie ihr es tut.“Nun war Nikolaos es der die richtigen Worte fand um Nikos zu beruhigen.„Dies wirst du Nikos dessen bin ich mir sicher irgendwann findest du auch so wie ich die Liebe deines Lebens.“„Mögen die Götter es geben Nikolaos dies hoffe ich inniglich.“Wir lagen noch eine ganze Weile nebeneinander und sprachen über allerhand bis uns die Müdigkeit übermannte. Da lag ich nun zwischen Nikolaos und Damianos und war völlig befriedigt und legte mich ganz nah an meinen Nikolaos legte meine Hand auf seinen Bauch und schlummerte sanft ein nicht ohne von der anderen Seite einen tiefen Seufzer zu vernehmen.

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Ein halbes Jahr im Leben eines Dedektives

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Ein halbes Jahr im Leben eines DedektivesAuf meinem Schreibtisch türmten sich die Rechnungen. Es war ein Fehlergewesen, in dieses Büro zu gehen. Es war sehr Schicki-Micki, und viel zuteuer. Ich hatte mir mehr davon versprochen, Aufträge von einer besserenKlientel.Und ich wollte diese Überwachung von Ehemännern loswerden, denn das warfast ausschließlich mein täglich Brot gewesen. Im Auto stundenlang voreiner Wohnung zu sitzen war nicht unbedingt das, was ich mir alsDetektiv erträumt hatte.Meine Sekretärin war ich mittlerweile los, weil ich mir das Gehalt nichtmehr leisten konnte. Statt dessen jobbte eine Jura Studentin bei mir.Und selbst das war eigentlich zu teuer.Aber da tauchte auf einmal diese Frau bei mir auf. Schon ihr Äußereszeigte viel Klasse. Ich kannte mich in bei den großen Labels nicht aus,aber ihr dezentes Kostüm musste sehr viel gekostet haben. Es gibt nurwenige Kleidungsstücke, die diese Aura verbreiten, und alle sind fürnormale Menschen nicht erschwinglich.Mein Blick ging zu ihren Füßen, die ihn zu dem Kostüm genau passendenPumps mit einem relativ hohen Absatz steckten. Vermutlich hätte ich fürden Gegenwert allein dieser Schuhe die meisten meiner Rechnungenbezahlen können.Und ihre Beine sahen einfach toll aus, wie sie in einer perfektgraziösen Bewegung übereinandergeschlagen wurden. Selbst als sie nunruhig da saß, hatte ich Schwierigkeiten, meine Augen abzuwenden. Dabeilag das Reizvollste höher, aber da traute ich mich nicht hinzusehen.Also richtete ich meine Aufmerksamkeit auf ihr Gesicht. Ein überausreizvolles Gesicht. Klassisch schön und kaum merklich geschminkt. Ichwar mir sicher, dass sie sich geschminkt hatte, aber man sah es nicht,abgesehen von etwas Maskara und einem zarten Lidstrich. Und das sah ichauch nur, weil ich durch meine letzte Freundin davon wusste. Sie hattesich auch sehr gut geschminkt, aber an diese Klasse kam sie nicht heran.Ich riss mich zusammen und hörte ihrer Sc***derung zu.”… ich kann die Polizei nicht einschalten. Dabei würden eventuellunangenehme Details an die Öffentlichkeit kommen.”Bis jetzt wusste ich nicht mehr, als das ihr Vater verschwunden war.”Und was genau ist das Problem?”Zum ersten Mal verlor sie etwas von ihrer Selbstsicherheit. “Das – äh -ist sehr persönlich.””Gute Frau-” Kaum hatte ich es gesagt, hätte ich mich für die Worteohrfeigen können. Aber ich schaffte es, ohne große Verzögerungfortzufahren. “Ich kann ihnen nicht helfen, wenn ich nicht darüberinformiert bin. Nach dem, was ich bis jetzt weiß-” und das war vor allemdas sie richtig viel Geld hatte “-möchte ich Ihnen gerne helfen. Aberohne detaillierte Informationen geht das nicht. Dann sollten Sie besserzur Polizei gehen.”Ich merkte, wie sie mit sich rang. Schließlich antwortete sie, “Seitmeine Mutter gestorben ist, begann mein Vater langsam etwas merkwürdigzu werden…”Ich sagte nichts, als sie pausierte, sondern sah sie nur auffordernd an.”Ich… ich habe Magazine bei ihm gefunden. Er scheint einen etwas – äh- außergewöhnlichen Geschmack entwickelt zu haben.””Was meinen Sie? Sex-Magazine?””Wenn es nur das wäre. Das würde ich noch verstehen. Moment, ich habeeines mitgebracht.”Sie griff in ihre Tasche und holte ein Hochglanzmagazin hervor. Wiealles andere sah auch das extrem teuer aus, selbst ohne das ich Detailserkennen konnte.Es war ein Fetisch Magazin. Man sah sexy Frauen in extremen Outfits, ausLack, Leder und Latex. Und es wurden Dominas gezeigt mit dem, wasDominas so tun: Männer mit Peitschen und ähnlichem traktieren. Dabeihatten die Männer nicht weniger extreme Outfits an und waren oft genugin irgendeiner Form von Bondage.Nun gönnte ich wirklich jedem seinen Lebensstil, aber das war nichts fürmich. Ich mochte es beim Sex zu experimentieren, aber das war mir nundoch zu extrem. Ich konnte nicht verstehen, was daran toll sein sollte,sich fesseln zu lassen und dann den Hintern versohlt zu bekommen.Ich versuchte meinen Gesichtsausdruck so neutral wie möglich zu halten,als ich ihr das Magazin zurückgab. “Und was hat das nun mit Ihrem Vaterzu tun?””Er hatte Kontakte mit einer dieser Frauen, mit so einer Domina.” Esfiel ihr wirklich schwer das zu erzählen. “Jasmin heißt sie. Ich weißleider nicht viel mehr, vermute aber, dass er bei ihr ist.””Sie verstehen aber, dass ich, wenn er das aus freiem Willen macht,nichts daran tun kann? Außer Ihnen die Information zu geben, natürlich.””Das verstehe ich. Mir reicht es auch, zu wissen, wo er ist. Und das esihm gut geht….””Ja?””Ich möchte natürlich nicht, dass etwas davon bekannt wird. Wenn Sie ihngefunden haben, dann müssten wir das auf geeignete Weise sicherstellen.”Sie sagte es genau so, wie ich es von ihr erwartet hatte. Sie wollte nurein bestimmtes Ergebnis haben, wie war völlig egal. Und wenn etwasUngesetzliches dabei war, wollte sie einfach davon nichts wissen. Wieetwa geeignete Drohungen, um ein Schweigen sicherzustellen. Oder auchnur eine entsprechende Summe Geld; in ihren Kreisen sicherlich dasMittel der Wahl.”Ich nehme ihren Auftrag an”, sagte ich absichtlich formell. “Aber ichbrauche weitere Informationen. Kann ich seine Wohnung sehen?” Ich schobihr dabei das Standard-Auftragsformular zum Unterschreiben hin.Sie nickte und unterschrieb. Ich fand es äußerst angenehm, dass eskeinerlei Diskussion über das Geld gab. Bald würde ich erst einmalsaniert sein.##Am nächsten Tag fuhr ich wie vereinbart zu ihrer Villa. Zum ersten Malerschien mir mein Auto völlig unangemessen.Ein Butler öffnete mir die Tür und führte mich in einem etwas steifeingerichteten Raum, anscheinend speziell für Besucher. Es dauerte nichtlange und meine Klientin kam zu mir. Nach der Begrüßung sagte sie, “Ichhabe leider nicht viel Zeit. Mein Butler wird sie zu den Räumen meinesVaters führen. Sie können sich dort in Ruhe umsehen. Wenn sie fertigsind, rufen Sie ihn einfach hiermit.” Damit gab sie mir ein winzigkleines Teil mit einem einzigen Knopf darauf. So etwas wie eineFernbedienung.So etwas brauchte ich für zuhause. Einen ferngesteuerten Butler.Kurz darauf war ich ein den Zimmern ihres Vaters. Eigentlich eine eigenekleine Wohnung, obwohl ich bezweifelte, dass die Küche jemals benutztwurde. Der Butler verließ mich und ich begann mich umzusehen.Alles war penibel sauber und aufgeräumt. Ich bezweifelte, dass ich hieretwas finden würde. Trotzdem ließ ich nichts unversucht. Nachdem ichmich umgesehen hatte, erschien mir der Schreibtisch am Interessantesten.Alles war unverschlossen. Warum auch nicht, es war nichts außergewöhnlichem Büromaterial darin. Stifte würde hier wohl keiner klauen.Wichtige Unterlagen waren garantiert in einem Safe, von dem absolutnichts zu sehen war. Aber es gab nicht einmal ein Magazin oder einWerbeprospekt.Auch sonst fand sich nichts, auch nicht in seinem Schlafzimmer. Alleswar wie in einem frisch aufgeräumten Hotelzimmer. Sehr edel, alles vomFeinsten, aber ich hätte mich hier nicht wohlgefühlt. Vielleicht triebihn das zu etwas außergewöhnlichen Dingen. Als extreme Kompensationquasi.Aber sollte es nicht einen kleinen Hinweis darauf geben, bevor er zueiner Domina ging? So etwas entwickelt sich doch nicht abrupt. Oderhatte er schon früher ein Doppelleben geführt?Auch eine Stunde später war ich nicht weiter gekommen. Schließlichdrückte ich den Knopf auf der Fernbedienung. Kurz darauf kam der Butler.Trotz des Butler-typischen Benehmens war irgendetwas nicht so, wie essein sollte. Ich fragte ihn, “Kann ich Sie etwas fragen?””Sicher.””Ich bin Detektiv, das wissen Sie?”Er nickte.”Ich suche nach Hinweisen für das Verschwinden, aber ich finde nichts.Sie räumen zu gut auf.”Das brachte ein leises Lächeln auf sein Gesicht.”Kamen Sie gut mit ihm aus? Und bitte geben Sie mir jetzt nicht dieStandard Antwort eines guten Butlers. Ich brauche Hinweise!””Er war immer gut und freundlich zu mir.”Irgendetwas störte mich an der Art und Weise, in der er es sagte. “Esgab also ein Problem”, stellte ich fest.Verblüfft schaute er mich an. “Wie kommen sie darauf?””Ich bin nicht ohne Grund Detektiv. Ich könnte meinen Job nicht machen,würde ich so etwas nicht bemerken.” Das war einfach mal auf den Buschgeklopft.Er wirkte verwirrt. Augenscheinlich machte es ihm zu schaffen, dass ermit seiner normalen Maske nicht weiterkam.Ich fragte ihn, “Er hat sich verändert, nicht wahr?”Er wollte etwas sagen, nickte aber nur.”Sie haben seine, äh… ungewöhnlichen Vorlieben mitbekommen?””Sie wissen davon?”Diesmal nickte ich.”Nun, wenn Sie es sowieso wissen… Ja, er hat sich wirklich verändert.Seine Vorlieben wurden immer seltsamer.””Hat er Besuch bekommen? Etwa von Frauen?”Mit einem merkwürdigen Gesichtsausdruck verneinte er.”Gar keinen Besuch? Das ist aber sehr ungewöhnlich.””Doch, normalen Besuch bekam er schon, aber nicht, was Sie meinen.””Und was meine ich?””Etwas – Außergewöhnliches. Eine ungewöhnlich aussehende Frau etwa.”Ich nickte bestätigend und auffordernd.”Sie müssen wissen, dass ich schon seit Jahrzehnten hier arbeite. Es warimmer eine gute Arbeit. Ich habe es so gut gemacht, wie ich konnte. Aberdann… veränderte er sich einige Zeit nach dem Tod seiner Frau. Erwollte auf einmal nicht mehr, dass ich bestimmte Sachen machte. EtwaStaubwischen. Obwohl ich das nicht persönlich machte, dafür ist dasMädchen da, kam es mir sehr merkwürdig vor. Obwohl niemand bei ihm Staubwischte, war alles sauber.”Ich nickte ihm wieder auffordernd zu. Das versprach interessant zuwerden.Schließlich fuhr er fort. “Dann sah ich ihn einmal durch Zufall…””Und?” fragte ich gespannt.Er machte wieder eine Pause. “Ich möchte nicht darüber reden. Ich lasseIhnen die Sachen zukommen; es ist besser, wenn sie aus dem Haus sind.”Und dabei blieb es. Mehr war aus ihm nicht heraus zu bekommen.##Zwei Tage später wurden mir mehrere große Kartons geliefert. Ich warversucht, gleich einen Blick hineinzuwerfen, fand aber dann doch dasBüro nicht geeignet dafür. Zu schnell konnte jemand etwas mitbekommen,und das würde das Aus für meinen lukrativen Auftrag bedeuten.So räumte ich alles in mein nicht elegantes, aber dafür geräumiges Auto.Und zuhause in meine kleine Wohnung, die meine finanziellen Verhältnissewiederspiegelte.Zuerst machte ich den schwersten Karton auf. Darin befand sich eine ArtMaschine, deren Zweck ich nicht deuten konnte. Ein großer schwerer Motorwar daran, und so etwas wie eine Seilwinde. Die wenigen Piktogramme anden Bedienungselementen ergaben keinen Aufschluss. So etwas hatte ichnoch nicht gesehen.Ich öffnete den nächsten Karton. Ordentlich gepackt sah ich aufglänzendes Satin, Rüschen und Spitze. Stück für Stück packte ichexquisite feminine Unterwäsche aus. Seidenstrümpfe, Slips unddergleichen mehr. Für vieles wusste ich nicht einmal den Namen. Aberalles strömte diese Aura feinster Qualität aus. Besonders auffälligwaren die Korsetts, die es in mehreren Farben und Formen gab. So etwashatte ich bis jetzt nur in einer Zeitschrift gesehen. Es tatsächlich inder Hand zu halten war etwas Besonderes.In der nächsten Kiste fand ich den Hauptgrund für des Butlers Abneigung:Mehrere Dienstmädchenkostüme. Spätestens damit war klar, dass daskeineswegs für eine Angestellte war. Ich nahm eines der Kleider. Ja, daswar für ein etwas kräftigeres Mädchen. Ich hatte nur ein Bild von ihmgesehen, aber ich war nicht abgeneigt zu glauben, dass es ihm passenkönnte.Das Kostüm war aus glänzendem Satin und aufwendig gearbeitet. Die Tailleschien sehr klein zu sein. Der Rock war kurz und weit, um Platz füreinen Petticoat zu haben. Am Saum war Spitze, wie auch an denPuffärmeln. Der Stoff fühlte sich unglaublich glatt in der Hand an.Meine Hand zuckte zurück, als ob ich etwas Verbotenes angefasst hätte.In dem letzten Karton fand sich Zubehör: Schuhe, Petticoats,Spitzenhauben und andere Kleinteile. Eine Perücke und Kosmetika.Wusste die Tochter davon? Ich konnte mir gut vorstellen, dass das nichtder Fall war. Nur der Butler hat es versehentlich mitbekommen, und wardann wohl regelmäßig damit konfrontiert worden.So konservativ wie der Butler war, dürfte er nicht wenige Probleme damitgehabt haben. Seinen Chef als Dienstmädchen vor sich zu sehen – nein,das konnte selbst ich mir nicht vorstellen.Obwohl – das Kostüm sah sexy aus. Ich hätte mir gerne ein Bild davongemacht. Wie sah ein Mann in so etwas aus, mit korsettierter Taille undden Schuhen mit den sehr hohen Absätzen? Lächerlich? Ich konnte es mirkaum anders vorstellen. Nun, ich würde es wohl nie erfahren.##Normalerweise träumte ich nicht. Beziehungsweise konnte ich mich nichtan meine Träume erinnern. Aber diese Nacht war es anders. Als ichaufwachte, hatte ich ein überaus klares Bild in meinem Kopf: Ich war amStaubwischen in der Villa – in dem Dienstmädchenkostüm.Ich bekam eine Gänsehaut. Wieso erinnerte ich mich ausgerechnet an soeinen Traum? Und warum hatte ich das Kostüm an, das ich im richtigenLeben nie tragen würde?Während des kurzen Frühstücks konnte ich an nichts anderes denken. Ichwar froh, als mich die Fahrt zum Büro ablenkte.Nachdem ich dort die Post durchgesehen hatte – höchst unerquicklich -dachte ich über meinen aktuellen Fall nach. Ich hatte außer dem Kostümnichts in Händen. Ich brauchte dringend mehr Informationen.Ich rief bei meiner Klientin an. Der Butler meldete sich und teilte mirmit, dass sie nicht da sei und er ihr eine Nachricht geben würde. Dannfragte er, “Haben Sie die Pakete bekommen?””Ja, aber der Inhalt bringt mich erst einmal nicht weiter.””Ich habe einige Zeit überlegt, ob ich ihnen das sagen soll. Aber ichmuss meiner Herrschaft helfen, und es geht wohl nur so.”Zu sagen, dass das meine Neugier weckte, wäre stark untertrieben.”Es gibt einen Raum, der sehr gut abgesichert ist. Früher gab es einenSchlüssel und Zahlencode, aber das war ihm zu unsicher. Da hatte ich dieIdee mit der optischen Erkennung. In unserem Supermarkt erkennt dieWaage das aufgelegte Obst mit einer kleinen Kamera.””Und er installierte so ein System? Eine Gesichtserkennung?””Ja, obwohl er keine Gesichtserkennung benutzte. Es erschien ihm zuunsicher, und er wollte auch erkannt werden, wenn er geschminkt war.”Seine Stimme zeigte deutlich seine Abneigung, obwohl er versuchte,neutral zu sein.”Und…?” fragte ich ungeduldig in die Pause.”Es reagiert nur auf Dienstmädchen. Männliche Dienstmädchen, um genau zusein. Er war sich sicher, dass kein Einbrecher jemals so aussehenwürde.”Und damit hatte er wohl recht. Wer zog schon freiwillig so ein Kostüman? Außer ihm natürlich. Damit war es der perfekte “Schlüssel”.”Gibt es keine andere Möglichkeit, in den Raum zu kommen?””Nein.””Weiß noch jemand von der Leidenschaft ihres Chefs?””Nein.””Niemand hat ihn je so gesehen? Sie haben doch noch mehr Personal?””Oh – das Personal kannte ihn als Dienstmädchen.””Und sie haben ihn nicht erkannt?” Das konnte ich mir nicht vorstellen.”Nein. Durch das Korsett hatte er eine andere Figur. Nicht nur dieschmale Taille, und er war stolz auf seine besonders kleine Taille. Auchstand er viel aufrechter, und die hohen Absätze ließen seine Beine nichtmehr sehr männlich aussehen.””Aber sein Gesicht?””Er benutzte nicht nur Makeup, sondern auch professionelle TheaterAusrüstung. Unter anderem klebte er sich etwas auf die Wangenknochen, umsie prominenter erscheinen zu lassen. Alleine schon seine schmalenAugenbrauen veränderten ihn sehr.””Deshalb glaubte er auch nicht an Gesichtserkennung”, stellte ich fest.”Wie konnte er seine schmalen Augenbrauen im normalen Leben verbergen?””Er hatte kleine Haarteile, die aufgeklebt werden.”Perücken für Augenbrauen? Was es nicht alles gibt.Aber jetzt kam ich zu einem anderen Gedanken. Wenn niemand über dasDienstmädchen wissen durfte, dann gab das nur eine Möglichkeit, um inden Raum zu kommen…Der Butler deutete meine Pause richtig. “Ja, wenn, dann können nur Siein das Zimmer kommen. Sie haben auch dir richtige Statur, wenn auchetwas zu viel Gewicht.””Zu viel Gewicht?” sagte ich fassungslos. Ich empfand mich als schlank,hatte einen BMI mitten im guten Bereich.”Sie werden so keines der Korsetts tragen können. Und probieren Sie esbesser nicht aus, die Korsettiermaschine schnürt sie erbarmungslos zu.”Ahs, das war also das merkwürdige Gerät. “Aber – wie konnte er estragen?””Zuerst eine Diät, und dann eine Fettabsaugung.””Fettabsaugung?” wiederholte ich unbewusst.”Einer seiner guten Freunde hat eine Privatklinik. Dort wurde esunauffällig gemacht.”##Ich lag mit ziemlichen Schmerzen im Bauch in einem Bett und wartete,dass die Schwester endlich mit einem Schmerzmittel kommen würde.Zwei Wochen waren vergangen. Zwei Wochen mit einer knallharten Diät.Zwei Wochen, in denen ich dauernd daran denken musste, warum ich dieDiät machte. Öfters stand ich vor dem Korsett und ließ fassungslos meineHand darüber wandern. Ich tat das alles, um dort hineinzupassen. In einhöchst feminines Teil. Nie wäre es mir sonst eingefallen, auch nur daskleinste Stück weibliche Kleidung anzuziehen.Erneut dachte ich an das Kostüm. Nachdem ich es so oft betrachtet hatte,übte es eine gewisse Faszination aus. Eher eine ziemlich großeFaszination. Ich wollte es mir nicht zugeben, sagte mir, ich wollte esnur hinter mich bringen. Aber tatsächlich fieberte ich dem Tag entgegen,an dem ich es endlich tragen würde.Das kam auch durch die Schuhe, die ich so fot wie möglich trug, um dasGehen darin zu erlernen. Anfangs sah es schlimm aus, wie ich mit krummenKnie dastand. Es dauerte einige Zeit, bis sich Muskeln und Sehnenangepasst hatten. Und ich wollte nicht nur halbwegs gut laufen, sondernmich sicher bewegen können. Schließlich war ich Detektiv, und ich konntemich nicht dadurch behindern lassen. Ich erinnerte mich nur ungern anden Muskelkater der ersten Tage. Und die Krämpfe nachts von derungewohnten Beanspruchung.Ohne Erfahrung hatte ich es natürlich zuerst übertrieben. Schließlichkonnte sich die halbe Menschheit in solchen Schuhen bewegen, und ichnicht?Ein Masseur brachte meine Beine wieder halbwegs in Schwung undhinterließ eine weitere Rechnung. Dazu kamen die Kosten für einenPrivatkurs im Sich-Verwandeln am Theater. Und dabei musste ich noch frohsein, überhaupt auf die Schnelle so einen Kurs bekommen zu haben.Das war nur möglich mit der Hilfe meiner Klientin. Obwohl der Butlerüberhaupt nicht davon begeistert war, weihte ich sie nach reiflicherÜberlegung ein. Anders konnte ich nicht weiterkommen, und sie hatte alsmeine Auftraggeberin ein Recht auf diese Informationen.Sie zeigte sich äußerlich ungerührt und zuckte auch nicht bei derKostenübernahme. So konnte ich den Rechnungen gelassen entgegen sehen.Sie hatte nicht nur den Kurs vermittelt – als eine der großen Sponsorendes Theaters konnte man ihr kaum das ablehnen – sondern auch den Grundfür mein Bauchweh.Ich hatte gerade eine Fettabsaugung überstanden. Und das war bei Männerndeutlich schwieriger als bei Frauen. Der Arzt hatte mich gründlichdarüber aufgeklärt. Frauen hatten nicht nur eine weniger gut vernetzteHautstruktur – damit sich die Haut bei der Schwangerschaft besser dehnenkann – sondern auch Unterhautfettgewebe, das quasi wie eine Trennschichtwirkte. So konnte man die Haut leicht abheben.Bei Männern war es nur durch neueste Technik möglich. Statt wie beiFrauen einen Stab zur Absaugung zu benutzen, der unter der Haut hin- undherbewegt wurde, war es bei Männern eine Art Kamm. Jedenfalls sah es soaus. Tatsächlich waren es viele hohle Nadeln nebeneinander.Von der Operation wusste ich natürlich nichts, außer meinenBauchschmerzen ein paar Stunden später. Für so ein bischen Absaugenschmerzte es verblüffend stark. Jetzt kam tatsächlich die Schwester. IhrKittel konnte ihre natürlich kleine Taille nicht verbergen. Ich warneidisch. Moment mal, was hatte ich da für Gedanken? Ich konnte dochnicht neidisch sein auf eine feminin kleine Taille! Ich war ein Mann!Und einer, der stolz darauf war.Sie bemerkte meinen Blick. Frauen haben in solchen Dingen eine spezielleWahrnehmung. “Neidisch?” sagte sie mit einem Blick an sich herunter.Vermutlich dachte sie, ich wünschte mir diese Taille, wäre einTranssexueller. “Seien Sie beruhigt: Ihre ist nicht mehr viel größer.Die Absaugung ging besser als geplant. Damit sie allerdings wohlgeformtwird, müssen sie unbedingt dauernd ein spezielles medizinisches Korsetttragen.”Das hatte mir vorher niemand gesagt! “Und wie lange?” fragte ich,nachdem ich die neue Information verdaut hatte.”Wie meinen Sie das? Wie lange täglich? Die nächsten Wochen sicherlichrund um die Uhr. Und danach Nachts noch sehr viel länger. Hängt von derHeilung ab, und wie klein die Taille werden soll. Einige Monatevielleicht.”Einige Monate! Auf was hatte ich mich da eingelassen? “Was meinen Siedamit, wie klein meine Taille werden soll? Die Fettabsaugung ist dochschon gemacht worden.””Ja, aber das Korsett bestimmt, wie anderes Gewebe verteilt wird. Undein ganz klein bisschen Fett ist da immer noch, die Absaugung ist nichthundertprozentig.””Aha.” Nun hatte ich etwas, über das ich nachdenken konnte. Und Lesen.Nachdem ich mein Schmerzmittel erhalten hatte, bekam ich eine Broschüre,in der erklärt wurde, wie ich mich die nächste Zeit zu verhalten hätte.Eines der Dinge, die ich dort lernte, war, dass die Fettzellen an meinemBauch nie wieder kommen würden. Einmal weg, immer weg. Nie einenBierbauch. Aber das war nur bedingt eine gute Nachricht. Würde ichzunehmen, würde das Fett sich an anderen Stellen ablagern. Und das würdemir kaum Gefallen.Am nächsten Morgen kam nach dem Arzt, der alles gut fand, die Schwester.Sie betrachtete meinen wie ein Nadelkissen aussehenden Bauch. “Das siehtja sehr gut aus.”Fand ich nicht.”Es ist gut verheilt in den letzten 24 Stunden. Alle Wunden sind zu. Wirbrauchen nur noch einen dünnen Verband. So können sie auch schon ihrKorsett tragen, wenn auch noch nicht so eng geschnürt. Für welches habenSie sich entschieden?”Ich deutete auf das entsprechende Modell in der Broschüre.”Oh, Sie wollen eine wirklich kleine Taille? Das ist mutig.”Mutig, dachte ich? Wohl kaum. Bittere Notwendigkeit, sonst würde ich indas andere Korsett nicht passen. Das war wirklich schmal.Nachdem sie es geholt hatte, begann sie es mir anzulegen.Ich schaute etwas verwirrt. “Da sind ja gar keine Schnüre?””Das wäre ja auch unpraktisch, oder? Wie wollten Sie es sich dennalleine anlegen?”Ich zuckte nur die Schultern. “Ich habe keine Erfahrung mit Korsetts.””Wollen Sie dann nicht vielleicht doch ein anderes nehmen?””Ist das denn schon das Endgültige? Der Bauch ist doch nochgeschwollen.””Nein, natürlich nicht. Das Endgültige bekommen Sie in ein paar Tagen,wenn die Wunden gut verheilt sind und nichts mehr geschwollen ist.”Nun lag das Korsett aus einem leicht flexiblen Plastikmaterial um mich.Es war deutlich nicht für sexuelle Dinge gedacht, denn es warausgesprochen hässlich.”Sehen sie hier, diese gezahnten Plastikstreifen gehen in diese Löcher.Das kennen Sie vielleicht von Skistiefeln. Und hier ist der Hebel, mitdem Sie es spannen können. Machen Sie es am Besten selbst.”Ich führte die restlichen Streifen ein, die sie noch nicht gemachthatte. Dann bewegte ich den Hebel, der sonst flach auf dem Korsett lag.Es verengte sich augenblicklich. “Und wie eng?””Es darf keinesfalls schmerzen. Heute sollten sie es eher locker lassen,morgen dann enger. Sie sollen sich fest umschlossen fühlen, aber nichteingeengt.”Ich zog alle Verschlüsse zwei Rasten nach, dann fand ich, es war genug.”Sehr gut”, lobt sie.”Warum überhaupt ein Korsett, wenn es nur locker sitzt?””Die Fettabsaugung kann nie hundertprozentig gleichmäßig sein. Mit demKorsett wird das übrig gebliebene Fett gleichmäßig verteilt. Es ist mehrein optischer Effekt als medizinisch notwendig, da würde ein festerVerband reichen. Aber die ganze OP ist ja ohnehin nur aus optischenGründen.””Und das muss direkt nach der OP sein? Ich meine, das ist doch nochalles geschwollen.””Ja. Je früher, umso besser ist das Ergebnis. Sie sollten auch dasKorsett öfters nachspannen, das es immer so stramm wie möglich sitzt.Anfangs nimmt die Schwellung recht schnell ab. Je fester, umso besserdas Ergebnis. Aber übertreiben Sie es nicht: Zu viel schadet nur. Esdarf nicht weh tun, zu keiner Zeit. Wenn es ihnen unklar ist, dannkommen Sie lieber hierher und lassen sich beraten. Alles klar?”Ich nickte.”Gut, dann können Sie sich anziehen und nach Hause gehen. Wir sehen unsin zwei Tagen wieder.”Erstaunt sah ich Sie an. Dass mein Aufenthalt so kurz sein würde, hätteich nicht gedacht.Kurz darauf saß ich in meinem Auto. Ich dachte, das Einsteigen wäre einProblem, aber es ging erstaunlich gut. Nur die Sitzlehne musste ichverstellen, da ich jetzt wesentlich aufrechter saß. Was meinenOrthopäden sicherlich begeistert hätte.Auf der Fahrt hatte ich etwas Zeit nachzudenken. Ich war überhaupt nichtbegeistert über das, was ich erst nach der OP erfahren hatte. Ich glaubekaum, dass ich mich mit der Aussicht, monatelang ein Korsett tragen zumüssen, auf die Sache eingelassen hätte. Und die Spätwirkungen konntenauch noch problematisch werden. Wo würde das Fett hingehen, wenn ichirgendwann einmal zunehmen würde?Aber ich konnte dem Arzt kaum einen Vorwurf machen. Ich hatte auf dasganze übliche Prozedere verzichtet, nur das es möglichst schnell ging.Ich hatte viele Formulare unterschrieben, unter anderem, das ich keinBeratungsgespräch wünschte. Keine gute Idee, fand ich jetzt.Zuhause zog ich als Erstes den Trainingsanzug aus, den ich wie gefordertfür die OP angezogen hatte. Zum ersten Mal stand ich vor einem Spiegel.Meine erste Reaktion war großes Erschrecken. Meine Figur hatte sich sehrverändert. Ich glaube nicht, dass ich mich jemals wieder in einSchwimmbad trauen würde. Verdammt blöde Idee, nur um an ein paarInformationen zu kommen! Und ich wusste nicht einmal, ob ich überhauptetwas in dem gesicherten Raum finden würde. Aber andererseits – ichhatte schon jetzt viel Geld verdient.Ich wusste nun auch, warum ich einen Trainingsanzug tragen sollte. DerGummibund sorgte dafür, dass mir die Hose überhaupt noch passte. Meinenormale Jeans dürfte sich kaum noch halten. Das fand ich interessantgenug, um es gleich auszuprobieren.Die Hose schlackerte nur so um mich, als ob sie für jemanden ganzanderen wäre. Der Bund war weit über zehn Zentimeter zu groß. Sodramatisch hatte ich mir die Auswirkungen nicht vorgestellt. Selbst meineinziger Gürtel hatte keine Löcher an der passenden Stelle. Ich mussteerst ein Loch stechen.Dann blieb die Hose zwar oben, aber der zusammengekrumpelte Bund sahnicht gerade schön aus. Als hätte ich sie aus dem Altkleidercontainer.Ich würde neue Hosen brauchen.War nicht zu viel gemacht worden? Hätte es nicht viel weniger getan? Ichholte das Korsett aus der Kiste. Im Vergleich zu meinem war das Sex pur.Es war wirklich wunderschön, ich hatte es bis jetzt noch nicht sogesehen.Dann hielt ich es vor mir. Oh, das war klein! Meine reduzierte Taillewar ja noch VIEL zu groß!Ich wurde wankelmütig. Sollte ich wirklich meine Taille so klein machen?Der Gedanke begeisterte mich nicht gerade. Eher genau im Gegenteil. Wiesollte ich so in Zukunft leben?Ich nahm mir ein Bier und setzte mich vor den Fernseher, um auf andereGedanken zu kommen. Nach einiger Zeit beruhigte ich mich. Ich würde zwareine schmale Taille haben, aber richtig klein würde sie nur mit einemKorsett sein. Und das würde ich nur so lange tragen, wie es nötig war.Trotzdem, ich würde neue Hosen brauchen. Vielleicht mochten ja dieFrauen meinen neuen Look?##Nachmittags kam der Paketdienst. Darauf hatte ich dringend gewartet. Eswaren die bestellten Hochglanz-Magazine, die es beimZeitschriftenhändler um die Ecke nicht gab. Selbst in Sexshop hielt sichdas Angebot in Grenzen.Ich hatte wieder den Trainingsanzug an, denn kaum etwas anderes passte.Der Bote sah mich kaum an, meine Taille schien nur mir ungewöhnlich zusein. Nun ja, vielleicht würde ich mich einfach daran gewöhnen müssen.Dann machte ich mich an das Studium der Magazine. Ich wollte einVerständnis für die Szene bekommen. Manche Dinge fand ich sehr schön,wie etwa Frauen in hautengem Latex. Anderes abstoßend, wie etwa sehrschmerzvoll aussehendes Bondage.Mein Interesse galt jedoch einem Magazin, das auf der Titelseite einenMann in deinem Dienstmädchenkostüm zeigte.Völlig ohne jedes Vorwissen lernte ich nun, dass es nicht ums Putzenging, sondern um Unterwerfung und Dominanz in vielfältigen Spielarten.Auch nach einigen Stunden Studium war ich nicht viel weiter. Ja, ichhatte nun eine gute Vorstellung davon, um was es ging. Aber das half mirnicht wirklich weiter. Die Geschmäcker waren unendlich verschieden. Esgab jene, denen es nur um die Erniedrigung ging und die sich kaum um ihrAussehen scherten, und andere, für die die Kleider das Wichtigste waren.Meine Zielperson schien eher zu der zweiten Kategorie zu gehören. DieSachen in den Kartons waren besser als alles, was in den Magazinen war.Trotzdem, eines stand für mich fest: Ich würde ihn entweder bei einerDomina finden, oder bei einer Frau, die einfach dominant war und soseine Wünsche erfüllte. Ich fragte mich nur, warum er seine tollenUniformen nicht mitgenommen hatte, die sicher sehr, sehr teuer gewesenwaren. Ich konnte kaum manche der Preise in den Anzeigen der Magazineglauben.##Zwei Tage später war ich wieder in der Klinik. Mein Korsett hatte ichzwischenzeitlich schon deutlich enger gestellt. Ich hatte mich schon gutdaran gewöhnt und nahm es nur noch selten als störend wahr.Der Verband kam ab, und der Arzt war zufrieden. Alles bestens verheilt,die Schwellung schon weit zurück gegangen. Heute würde ich endlichwieder duschen können.Merkwürdig erschienen mir zwei dicke Pflaster in den Achseln und demBauchnabel. Ich fragte die Schwester.Sie schaute mich an, als ob ich nicht alle Tassen im Schrank hätte. Dannbelehrte sie mich mit einer Stimme, die man für ganz kleine Kinder odergeistig verwirrte Personen benutzt: “Das ist natürlich für das Endoskopnötig. Wie sonst hätte man die unteren Rippen verkürzen können?”Ich schaute jetzt sicherlich so, wie es ihrer Stimme entsprach.Ganz langsam erklärte sie: “Ohne die Verkürzung der Rippen sähe einesehr schmale Taille höchst unnatürlich aus, es würde nicht zumOberkörper passen. Unsere Klinik liefert die besten Ergebnisse,weltweit. Denn wir entfernen nicht die unterste Rippe, wie es oftgemacht wurde. Das ist aus vielen Gründen problematisch, sogargefährlich. Wir trennen die Rippe auf, nehmen ein Stück heraus, undverbinden sie wieder mit einem Dübel. Ist sofort belastbar. Wir sindeine der wenigen Klinke, die das per Endoskop machen. Eine perfekteTaille ohne Narben.”Ich hätte diese Formulare nicht einfach so unterschreiben sollen. Werhatte das in Auftrag gegeben? Ich hörte jetzt jedenfalls zum ersten Maldavon.Jedenfalls war die Operation perfekt ausgeführt worden, ich hatte nichteinmal Schwierigkeiten mit meinen Rippen gehabt. Ohne die Pflaster hätteich am Ende nie etwas davon erfahren, mich nur gewundert, warum meineTaille so wohlgeformt war.Wohlgeformt für eine Frau. Das wurde mir erst jetzt in allerDeutlichkeit klar. Ein nicht kleiner Teil meines Körpers war dem einerFrau angepasst worden. Mir wurde fast schwindlig. DAS hatte ichsicherlich nicht gewollt.Ich hatte nicht gemerkt, dass die Schwester weggegangen war. Nun kam siemit einem Korsett zurück.”Ist das das Endgültige?”Sie nickte, anscheinend davon angetan, dass ich nicht völlig verblödetwar. Dan legte sie es mir an. Oha, das war selbst in der weitestenStellung schon sehr eng. “Zu eng?” fragte sie.”Nein, das ist OK”, log ich. Ich musste in ein deutlich Kleinerespassen, und das so schnell wie möglich. Schon viel zu viel Zeit warvergangen.”Bei so einem Korsett würde ich Ihnen zu zusätzlicher Medikation raten”,sagte sie. “Oder nehmen Sie schon etwas?””Nein, ich nehme keinerlei Medikamente.””Wir sind mit den Üblichen auch nicht zufrieden, zumal da die Diskussionum gesundheitliche Nebenwirkungen solcher Präparate durch die Pressegeht.”Ich dachte an die unsägliche Werbung für Abnehm-Pillen und nickte. Ichwusste nicht, dass sie von etwas anderem redete.”Wir haben eine eigene Mischung gemacht. Es besteht aus zugelassenenInhaltstoffen, ist aber in dieser Mischung nicht zugelassen. Interesse?””Erzählen Sie mir mehr.””Botenstoffe wirken oft nicht so, wie sie sollen, weil die Zellen sienicht aufnehmen, weil einfach zu viel da ist. Der Fachbegriff istRezeptor Down Regulation. Deshalb haben wir statt einem oder wenigerInhaltsstoffe einen breiten Cocktail möglichst niedrig dosierter Stoffebenutzt, die sich perfekt ergänzen. Kaum Nebenwirkungen, aber wirkenWunder auf die Fettverteilung in ihrem Körper. Garantiert ein wesentlichbesseres Ergebnis als nur mit der Absaugung.””Das hört sich interessant an. Muss ich dann laufend Pillen nehmen?” Siemerkte an meinem Tonfall, dass ich das überhaupt nicht mochte.”Wir haben eine Alternative. Eine einmalige Injektion mit einem Depot,das im Laufe der nächsten Monate gleichmäßig seine Stoffe abgibt.””Eine einzige Spritze?”Sie nickte.Sie hatte mir aber nicht erzählt, was für eine riesige Spritze das seinwürde. Trotz einer Betäubung vorher piekste es nicht gerade nur einbisschen.Aber das war nicht das Einzige, was sie mir nicht erzählt hatte, wie icherst viel später erfuhr.##Zuhause machte ich das Korsett eine Stufe kleiner. Das war nicht mehrangenehm! Aber da musste ich durch. Spätestens in einer Woche wollte ichdas andere tragen können. Ob das gesund war, darüber machte ich mirkeine großen Sorgen. Ich musste das enge Korsett genau einmal tragen,dann konnte ich meines wieder tragen und es weiter stellen.Ich musste mir gestehen, dass ich so etwas wie Bewunderung für den Mannempfand. In seinem Alter noch so etwas machen, das war irre. Wie langehatte er gebraucht, um das Korsett tragen zu können?Zwei Tage später stand ich zum ersten Mal wieder nackt vor dem Spiegel.Ohne Korsett fühlte ich mich merkwürdig. Die feste Umschlossenheitfehlte. Und das war keine positive Empfindung, wie es ist, wenn maneinen zu engen Schuh auszieht.An der Operation konnte man nicht meckern. Ich hatte eine perfektwohlgeformte Taille. Nur sehr wenige Frauen hatten das, vor allem inKombination mit dem absolut flachen Bauch. Die Operationsfolgen begannenzu verschwinden. In ein paar Tagen würden nur noch Verfärbungen daranerinnern, und dann überhaupt nichts mehr.Ich duschte und freute mich darauf, mein Korsett wieder zu tragen. Dashätte mir jemand vor kurzem erzählen sollen! Die Freude endeteallerdings, als ich es erneut eine Stufe enger stellte.##Ich rief bei meiner Klientin an. Nach der Begrüßung sagte ich, “Ich binbald soweit. In wenigen Tagen kann ich das Korsett tragen. Ich würdegerne mit ihnen besprechen, wann ich zu ihnen kommen kann. Kann ich michbei Ihnen umziehen?””Ich weiß nicht, ob das so eine gute Idee ist.””Warum?” fragte ich völlig verständnislos.”Das einfache Personal wechselt bei uns recht häufig, das ist heutzutageleider normal. Ich habe eines der Mädchen dabei erwischt, dass siespioniert hat.””Wollte sie nicht einfach nur etwas stehlen?””Nein. Sie hat sich bei anderen Angestellten nach meinem Vatererkundigt. Und sie war mehrfach in seinen Räumen, obwohl sie da nichtszu suchen hatte. Ihre Ausreden klangen nicht glaubwürdig. Ich wollte sieheute schon feuern.””Aber sie haben nicht?””Nein. Vielleicht ist sie die Spur zu meinem Vater. Ich habe mich mitden Möglichkeiten beschäftigt. Können Sie zu mir kommen, sofort?”Ich hatte gerade heute meine erste Zahlung von ihr bekommen. Eine nichtgerade kleine Summe, die mich aller unmittelbarer Sorgen enthob. Ichwäre notfalls zu ihr gejoggt.Wenig später saß ich ihr gegenüber. Missbilligend sah sie auf meinenJogginganzug.”Mir passen meine Sachen leider nicht mehr”, entschuldigte ich mich.”Und warum kaufen Sie sich nichts Neues?””Mein Größe ändert sich täglich. Ich wollte abwarten, bis sich meineendgültige Größe herauskristallisiert.””Gut, ich verstehe. Ich habe eine Idee, wie wir an Informationen von demMädchen kommen können. Tragen Sie jetzt ein Korsett?””Ja, rund um die Uhr. Ein spezielles medizinisches Korsett.””Aha. Könnten Sie es kurz ausziehen?””Ich verstehe nicht?””Ich möchte sehen, wie sie aussehen. Schließlich habe ich es bezahlt.”Da hatte sie wohl recht. Ich nickte.”Gut. Gehen Sie nach nebenan, dort habe ich ein Trikot bereitlegenlassen. Ziehen Sie sich bitte um.”Wortlos ging ich nach nebenan. Dort lag ein dünner Overall aus Lycra,wie etwa Eisläufer ihn tragen. Ich zog meinen Trainingsanzug aus, unddann das Korsett. Wieder befiel mich dieses merkwürdige Gefühl, dasetwas von mir fehlte.Ich wollte schon den Anzug anziehen, da sah ich einen Slip obenaufliegen. Er war aus einem festen, aber trotzdem elastischen Material. Ichbrauchte nur wenige Momente, um zu begreifen, wozu das diente. Das sehrelatische Material des Anzuges hätte meine Genitalien zu deutlichgezeigt. Ich zog meine Unterhose aus und den Slip an, wobei ich denPenis zwischen die Beine nahm. Tatsächlich war nun nichts mehr von ihmzu sehen, aber der Slip war nicht gerade bequem.Der Anzug war schnell angezogen, der Reißverschluss auf der Brust bequemzu schließen. Völlig von hautengen leuchtend blauen Lycra umhüllt kehrteich zu ihr zurück.”Bitte stellen Sie sich dahin.” Sie wies in die Mitte des Raumes. Nacheiniger Zeit, in der sie mich intensiv studierte, sagte sie, “Bittedrehen Sie sich um neunzig Grad.” Ich folgte ihrer Aufforderung.Nach einigen Minuten, in denen ich mich noch mehrmals drehen musste,wurde ich allmählich ungeduldig.Endlich sagte sie, “Ich denke, es könnte gehen.””Was könnte gehen?””Lassen Sie mich zuerst zusammenfassen, was ich sehe. Einendurchschnittlich großen Mann mit fast zu wenig Gewicht. Vor allem dieMuskeln sind eher unterdurchschnittlich.””Ich habe eine krasse Diät hinter mir. Dabei werden leider zuerst dieMuskeln abgebaut.””Mir sind dir Ursachen klar. Und ich habe Sie auch vor einigen Wochengesehen, deshalb sind Erklärungen überflüssig. Gut, wo war ich stehengeblieben? Ja, nicht sehr ausgeprägte Muskeln. Die Schultern sind nichtzu breit, der Hals könnte schmaler sein. Zeigen Sie mir ihre Hände.”Ich hielt sie hoch.”Ja, das geht gerade noch. Etwas groß, aber da können wir kaum etwasmachen. Doch, vielleicht…” nach einer kurzen Pause ging ihr Blick nachunten. “Die Taille ist wunderschön, aber das hatte ich auch erwartet.Die Hüfte hat etwas zu wenig Rundungen. Obwohl, für einen Mann schonganz ordentlich.”Ich hatte auch bemerkt, dass mein Po etwas runder geworden war.”Die Beine – hmm. Ziehen Sie die Pumps an.”Sie wies auf einen kleinen Tisch, auf dem von mir bislang unbemerkt einPaar Pumps stand. Der Absatz war ähnlich hoch wie von dem Paar, mit demich täglich übte. Schnell hatte ich die Pumps an und ging problemloswieder in die Mitte des Raumes.Ein Lächeln machte sich auf ihrem Gesicht breit. “Sie haben geübt?”Ich nickte. “Ja. In meinem Beruf muss man sich jederzeit sicher bewegenkönnen.””Dieses Ziel haben Sie zweifellos erreicht. Ich glaube, ich kann michnicht so sicher mit hohen Absätzen bewegen, und ich bin damit großgeworden. Ich sehe, Sie gehen an die Sache professionell heran. Dasgefällt mir.”Das zauberte nun ein Lächeln in mein Gesicht.”Ich habe wohl den richtigen Mann, aus mehreren Gründen.”Mein Lächeln verstärkte sich.”Allerdings kommt es nicht nur darauf an, sich sicher zu bewegen. Ihnengeht völlig die Eleganz, die Grazie einer Frau ab.”Mein Lächeln erstarb.”Das werden sie noch üben müssen.”Ich wollte schon fragen wieso, aber ich ließ sie weiterreden. ErErklärung würde wohl gleich kommen.”Nun sehen die Beine schon besser aus. Die Unterschenkel sind gut, dieKnie Ok. Die Oberschenkel sind zu schlank. Das heißt, das Problem liegtfor allem um die Hüfte herum. Aber das lässt sich verdecken. Hier,ziehen Sie das an.” Sie warf mir ein Kleidungsstück zu. So einenzielgerichteten, ziemlich sportlichen Wurf hätte ich von ihr nichterwartet.Ich nahm das Kleidungsstück in die Hände. Es war ein roter Minirock ausDenim. Schon wollte ich protestieren, da erschien mir dasunprofessionell. Ich war ja kein kleines Kind mehr. Wortlos zog ich ihnan, mit meinen Pumps vorsichtig in ihn hinein steigend. DerReißverschluss an der Seite ließ sich problemlos schließen. WenigeMomente später wurde mir klar, was das bedeutete. Ich hoffte trotzdem,dass nun niemand in das Zimmer kam, während ich einen Rock und Pumpsanhatte.”Sehr gut. Nun sieht das deutlich besser aus. Selbst mit so einem kurzenRock fallen die fehlenden Rundungen kaum noch auf. Übrigens, den Rocktrug ich als Teenager, er passt mir schon lange nicht mehr. Sie könnenihn behalten, da er Ihnen ja passt.”Ich wusste nicht, was ich sagen sollte. Und auf was ich etwas erwidernsollte. Darauf, dass ich einen Rock geschenkt bekam? Oder darauf, dasser mir im Gegensatz zu meiner Klientin passte? Nicht dass sieübergewichtig wäre, ganz im Gegenteil. Sie hatte eine fantastischeFigur.”Ich nehme an, sie wissen nun, was ich vorhabe?””Ich vermute es.””Als ein weiteres Dienstmädchen haben sie alle Möglichkeiten etwasherauszubekommen, ohne Verdacht zu erwecken. Niemand sonst könnte dasmachen.””Ich könnte eine Kollegin…””Nein”, unterbrach sie mich, “niemand soll etwas über meinen Vatererfahren. Nur Sie können diese Aufgabe erledigen.”Das erschien mir logisch. Nun, ich musste mich sowieso als Dienstmädchenanziehen, um in den Raum zu kommen. Damit hatte ich mich abgefunden, unddeswegen hatte ich mich operieren lassen. Da konnte ich das auch nochein paar Stunden länger machen.”OK. Meinen Sie, ich falle nicht auf?””Was ich vor mir sehe, überzeugt mich. Jedenfalls vom Hals abwärts. Wasmacht ihr Theaterkurs?””Ich beherrsche die Technik. Aber ich könnte ein paar Tipps von einemProfi vertragen. Keinen Theatermenschen, sondern einenSchönheitsspezialisten.””Daran habe ich auch schon gedacht. Ich habe einen Termin für Morgenausgemacht. Sie haben doch nichts vor?”Ich schüttelte den Kopf. Sie war derzeit meine einzige Klientin, und daswusste sie.”Gut, da bleibt nur noch eines: Ihre Stimme. Sie ist nicht besonderstief, aber auch nicht sehr feminin.””Bis jetzt hatte ich nicht gedacht sprechen zu müssen. Es ging nur umsAussehen.””Richtig. Ich habe mich beraten lassen. Es gibt zwei Möglichkeiten:Anders sprechen zu lernen, aber das dauert zu lang. Oder dieStimmfrequenz ändern. Aber ich will ihnen keine weitere Operationzumuten, zudem Sie ja später normal weiterleben wollen. Ich habe abereine Lösung gefunden.”Ich sah sie gespannt an. An meinen Stimmbändern würde ich michgarantiert nicht operieren lassen, das hatte sie vollkommen richtigerkannt.”Kenn sie Botox?””Ja, damit lassen sich Frauen Falten wegspritzen.””Richtig. Es ist ein sehr starkes Nervengift. Es wird auch viel in derMedizin eingesetzt. Es ist damit möglich, einen Teil der Stimmbänder amSchwingen zu hindern. Das Resultat dürfte klar sein.””Eine höhere Stimme.””Und es hält nur begrenzte Zeit, dann verschwindet der Effekt vonselber.”Ich nickte, denn ich wusste, dass Frauen immer wieder Injektionen damitbrauchten. Nach einiger Zeit kommen die Falten wieder, wenn das Botoxabgebaut ist.”Sie wollen, dass ich mich damit behandeln lasse?”Sie nickte. “Es birgt nahezu kein Risiko, und ich sehe keine andereMöglichkeit. Ich weiß, dass sie so keine anderen Aufträge annehmenkönnen. Deshalb habe ich einen Vorschlag: Solange ihre Stimme höher ist,erhalten Sie von mir ein sehr großzügiges Gehalt, zusätzlich zu ihrerEntlohnung als Detektiv. Dafür leben Sie hier und arbeiten alsDienstmädchen, wenn Sie nicht mit ihren Nachforschungen beschäftigtsind. So fallen Sie nicht auf.”Ich wollte schon Nein sagen, da sagte sie eine Zahl: “Zehntausend Euromonatlich. Das dürfte ihren Einkommensverlust ausgleichen. Dazu allevereinbarten Honorare und Kosten als Detektiv.”Ich wurde unsicher.Sie fuhr fort, “Ich brauche nur jemanden, der formell das Gehaltbekommt. Sie müssen sowieso ein Dienstmädchen spielen, deshalb erscheintes mir am Einfachsten, dass sie das eine Zeitlang fortsetzen. Zudemnicht klar ist, wie schnell sie die nötigen Informationen bekommen.””Ist ein solches Gehalt für eine einfache Tätigkeit nicht ein wenigungewöhnlich?””Das ist weniger wichtig. Entscheidend ist: Fünf Angestellte, fünfLöhne.”Ich wollte ihr nicht widersprechen, denn Steuerdinge waren meine größteSchwäche. “Gut, ich bin einverstanden.””Am Besten bleiben Sie gleich hier. Ich hatte mit Ihrem Einverständnisgehofft und für morgen einen Termin ausgemacht, um Ihre Stimme zuverändern. Da das nicht sehr aufwendig ist, kann das hier gemachtwerden.”Ich war nun doch etwas überwältigt. Zu viel geschah zu schnell. Hatteich gerade zugesagt, hier als Dienstmädchen zu leben?”Ich habe hier die Verträge. Lesen Sie sich sie durch und unterschreibenSie, wenn Sie einverstanden sind. Ein paar Dinge sollten Sie nochwissen. Wenn Sie hier arbeiten, werden Sie genauso wie alle anderenbehandelt. Das heißt, Sie werden von mir geduzt, während Sie mich alsMadame ansprechen. Eben wie ein normales Dienstmädchen. Sie wollen jaauch nicht auffallen?”Ich nickte. Das machte Sinn.”Es ist ja auch nur für die Dauer unseres Vertrages, und das ist nichtlang. Im Angestelltenvertrag werden Sie nichts Besonderes finden, außerder Uniformpflicht, solange Sie auf diesem Grundstück sind. Unterkunftund Verpflegung kostet Sie nichts extra.”Hmm, das klang immer besser. Ich glaube, ich kündige meine Bruchbude undleiste mir was Anständiges nach diesem Auftrag. Zum ersten Mal seit sehrlangen Zeiten würde Geld dann kein Problem sein.Als ich nichts sagte, fragte sie, “Sie sind so still?””Oh, Entschuldigung, ich wollte nicht unhöflich sein. Ich dachte geradean meine alte Wohnung, die ich sowieso aufgeben wollte. Und wenn ichsowieso hier die nächsten Wochen wohne…” Solange würde es wohl dauern,bis meine Stimme wieder normal wäre. Die Miete musste ich nichtbezahlen, auch wenn ich jetzt gut verdiente. Lange Zeit mit wenig Geldhatte mich sparsam gemacht.”Das kann mein Anwalt erledigen. Was brauchen Sie aus Ihrer Wohnung?”Ja, was brauchte ich? Die Kleider passten nicht mehr, waren sowiesonicht gerade neu. Die Küche gehörte wie einige andere Einrichtung zurWohnung. Blieb der alte Fernseher und kaum mehr. Ein paar Fotosvielleicht. Nichts, was ich wirklich brauchte. Alles Wertvolle war inmeinem Büro, die gesamte teure Technik und alle wichtigen Unterlagen.Ich hatte nicht lange überlegt. “Eigentlich nichts.””Gut, dann brauchen Sie sich nicht mehr darum zu kümmern. Dafür bezahleich Profis. Unterschreiben Sie nur die Vollmacht, dann brauchen Sienicht mehr zurückzugehen.””Aber ich habe nichts bei mir, keine Kleider, nichts.””Es passt Ihnen doch sowieso nichts mehr?””Auch wieder richtig.””Ich habe ein Zimmer für Sie fertig machen lassen. Hier ist der Code,lernen Sie ihn bitte auswendig. Mit Ausnahme eines Raumes werden alleTüren per Code geöffnet. Ihr Code berechtigt Sie zu allen Räumen, in dieein Dienstmädchen muss, für ihr Zimmer, und zu allen Räumen meinesVaters, für eventuelle Nachforschungen.”Ich nickte. Den einen Raum kannte ich, deswegen musste ich zumDienstmädchen werden.”Nehmen Sie die Verträge und gehen Sie nach nebenan. Sie haben beliebigviel Zeit um sie zu lesen. Unterschreiben Sie, wenn Sie alles für gutbefinden. Ich muss mich jetzt leider anderen Verpflichtungen widmen.Rufen Sie den Butler, wenn Sie fertig sind. Ach ja, noch eines. Ich magfranzösische Namen für meine Dienstboten. Ich finde Michelle wäre einschöner Name. Wäre das OK?”Michelle? Es klang nicht schlecht. “Ja, Michelle ist OK.””Gut, Michelle. Dann gehe bitte nach nebenan.”Selbst ohne den Vertrag unterschrieben zu haben, duzte sie mich undnannte mich bei einem femininen Namen. Nun ja, ich würde mich wohl darangewöhnen müssen, jedenfalls für die nächsten Wochen. Denn ich warentschlossen, den Job anzunehmen. Etwas Besseres war mir noch niepassiert.Und danach würde ich erst einmal richtig Urlaub machen. Das war schonviel zu lange überfällig.##In dem anderen Raum war von meinem Trainingsanzug nichts mehr zu sehen.Von den Schuhen auch nichts. Ich setzte mich an den Couchtisch undbegann alles zu lesen. Es war nicht gerade wenig, und in diesemmerkwürdigen Anwaltsdeutsch geschrieben.Die wichtigen Sachen las ich genau. Alles war so, wie sie es gesagthatte. Selbst der Name Michelle war festgehalten. Bei dem unendlichenKleinkram gab ich bald auf. Ich las einiges, bis mir der Kopf schwirrte.Ich musste mein Zimmer sauber halten, immer vernünftig aussehen – selbstschmutzige Fingernägel wurden erwähnt. Es erging sich in unendlichenKleinigkeiten, die alle eigentlich völlig selbstverständlich waren.Irgendwann, nach einigen Stunden konzentrierten Lesens, gab ich auf.Alles war Ok. Sollte ich irgendwo überlesen haben, das meine Zähnezweimal täglich geputzt werden müssen, würde ich damit leben können. Ichdrückte den Knopf, der den Butler rief.Wie ich es nicht anders von ihm kannte, war er kurz darauf da. Er nahmdie Verträge vom Tisch und prüfte die Unterschriften.”Gut Michelle, alles scheint in Ordnung zu sein. Du kannst auf deinZimmer gehen.”Oh, das ging aber schnell. Schon war er auch mit mir per Du und nanntemich Michelle.”Wo ist mein Zimmer?””Zweite Etage, letztes Zimmer links. Morgen bist du noch nicht bei demFrühstück der Dienstboten. Ich werde dir es um sieben Uhr bringen. Dasolltest du fertig angezogen sein.””Ich habe keine Kleider hier, außer diesen Sachen.” Erst jetzt wurde mirbewusst, dass ich in Pumps und einem Minirock vor ihm stand.”Keine Sorge, auf deinem Zimmer findest du mehrere Uniformen.””Uniformen?””Sicher. Wie im Vertrag festgelegt, gilt für alle Angestellten hierUniformpflicht.””Ach ja, richtig.””Dann bis morgen um sieben.”Es war unheimlich, wie er so plötzlich erscheinen und verschwindenkonnte. Plötzlich war er weg.Ich ging die Treppe nach oben.Die Tür zu meinem Zimmer ließ sich problemlos mit dem Code öffnen. Fürein Dienstmädchenzimmer war es überraschend groß. Aber ich war ja auchkein richtiges Dienstmädchen.War ich nicht? Ich hatte einen entsprechenden Vertrag unterschrieben.Rein rechtlich war ich ein Dienstmädchen, mit Uniformpflicht. Erst jetztwurde mir klar, auf was ich mich da eingelassen hatte.Ich öffnete den Schrank. Tatsächlich, da waren drei typischeDienstmädchen Uniformen. Und außer der Unterwäsche und Schuhen nichts.Das Einzige, was man halbwegs als Hose durchgehen lassen konnte, war derLycra Anzug unter meinem Minirock. Mein Minirock! Ich konnte es kaumglauben. Außer den Uniformen war es das einzig normale Kleidungsstück -denn der Lycra Anzug war das sicherlich nicht.Und außer dem Korsett, das auf dem Bett lag, war der Minirocktatsächlich das Einzige, was mir hier gehörte. Die Uniformen waren mirja nur zur Verfügung gestellt.Auf was hatte ich mich nur eingelassen? Ich hatte meine Wohnung mitallen Kleidern aufgegeben, und einen Job als Dienstmädchen angenommen.Mit Uniformzwang. In diesem Haus würde ich keine Hose mehr tragen.Ich holte mir eine Uniform aus dem Schrank und betrachtete sie.Reiche Leute, die sich Dienstboten hielten, zerfielen in zwei Gruppen.Jedenfalls die, die auf Uniformen bestanden. Einmal die, die denDienstboten durch möglichst einfache Kleidung ihre Position klar machenwollten. Und dann die, die durch üppige Kleidung ihren Reichtum zurschau stellten. Wie mit einem teueren Auto.Dies gehörte definitiv zur zweiten Gruppe. Die Uniform war kaum andersals die, dich ich in den Kartons gefunden hatte. Der auffälligsteUnterschied war der, dass diese hier schwarz war. Jedenfalls das Kleid.Der Rest war weiß: Der Petticoat, die Schürze, das Spitzenhäubchen.Im Schrank befand ich eine laminierte Karte, in der genau festgehaltenwar, wie die Uniform auszusehen hatte. War sie nicht perfekt, würde manbestraft werden.Ich hatte für heute genug. Ich hatte mich in eine Situation manövriert,in der ich bestraft würde, wenn morgen mein Kleid oder der Petticoatnicht richtig saßen.Ich ließ mich auf das Bett fallen wie ich war und fiel in Bruchteileneiner Sekunde in Schlaf.##Ich wachte vom Geräusch eines Weckers auf. Grrr, ich hatte doch garkeinen Wecker gestellt. Halb sechs! Aber da ich schon wach war, ging ichauf die Toilette.Zurück an meinem Bett sah ich einen Zettel neben dem Wecker. “Ich habemir erlaubt den Wecker zu stellen, damit du rechtzeitig fertig bist. Zudeinen vertraglichen Verpflichtungen gehört ein gepflegtesErscheinungsbild, und das bedeutet keine Haare an Armen und Beinen. Indeinem Fall auch das Kinn. Ich empfehle auch die Achseln zu rasieren,und auch das Korsett dürfte angenehmer ohne Haare darunter sein. Vergissnicht die Augenbrauen. Wegen des Arzttermins ist Makeup nicht nötig,auch auf Parfum solltest du verzichten. Aber du wirst dich um deineNägel kümmern müssen. Ich empfehle einen nicht zu kräftigen Nagellack,um die Unschönheiten zu bedecken, da für eine richtige Maniküre keineZeit ist. Ich werde um 6:45 eine erste Abnahme machen.”Ich konnte kaum glauben, was ich da las. Ich wurde tatsächlich wie einDienstmädchen behandelt. Wieder einmal wurde mir zu spät klar, auf wasich mich eingelassen hatte. Trotz meiner Vertragsstudien. Aber selbstohne Vertrag hätte mir so etwas klar sein müssen. Spätestens, wenn ichzu den anderen Dienstmädchen ging, musste ich genauso aussehen. Einegewisse Übung war da sicherlich nicht schlecht. Ich hätte mir nur eineetwas einfühlsamere Mitteilung gewünscht.Es war schon beinahe viertel vor sechs. Nur noch eine Stunde. Nicht vielZeit für alle Aufgaben.Ich ging ins Bad und entledigte mich aller Körperhaare, teils mitEnthaarungscreme und teils mit einem Rasierer. Je nachdem, wie es an derjeweiligen Stelle schneller ging. Es dauerte fast eine halbe Stunde, bisich außer meinem Haupthaar und den Augenbrauen keine Haare mehr hatte,und mich komplett eingecremt hatte, um die Hautirritationen zuminimieren.Die Augenbrauen wurden nun zu dünnen Bögen gezupft. Keine angenehmeProzedur am frühen Morgen, wo man besonders schmerzempfindlich ist. Ichwürde später noch einmal nacharbeiten müssen. Die dünnen Bögenveränderten mein Gesicht ziemlich stark. Ich wusste das zwar durchmeinen Theaterkurs, aber in der Realität verblüffte es mich doch. Daswar für die nächste Zeit mein Gesicht, ich konnte es kaum glauben.Ich zog mich an. Zuerst das Korsett, wieder eine Stufe enger. Ohne Haarewar es tatsächlich besser. In meinem Schrank fand ich etliche weitereSlips wie den Gestrigen. Dann folgte die schwarze Feinstrumpfhose. Ichbin zwar eigentlich nicht ungeschickt und auch kein Grobmotoriker, aberich hatte einfach keine Übung. Ich zerriss das erste Paar. Bei demzweiten Paar war ich vorsichtiger. Kurz darauf waren meine Beine inschimmerndes zartes Schwarz gehüllt – ein höchst ungewohnter Anblick.Ich nahm mir einen Augenblick Zeit, um in den Spiegel zu schauen. Vonder Brust an abwärts sah man nichts als eine Frau mit einer besonderskleinen und wohlgeformten Taille.Nun stand ich ratlos vor dem Teil, das mir anscheinend eine Oberweitegeben sollte. Ich beschloss die Zeit zu nutzen, in der ich esbetrachtete, um es zu enträtseln. Der Punkt, an dem mir meine Aktionenmerkwürdig vorkamen und ich jede Einzelne in Frage stellte war längstüberschritten. Die Zeit raste und ich musste fertig werden.Schnelltrocknend stand auf dem kleinen Fläschchen mit Nagellack. Dasdunkle Rosa war schnell auf die linke Hand gebracht, aber dann mit derlinken Hand die Rechte zu lackieren war wirklich nicht einfach. Ichmachte das ja zum ersten Mal. Perfekt war das Ergebnis nicht, ich wareinige Male über den Nagel hinaus gekommen.Ich wedelte meine Hände in der Luft, wie ich es meine Freundin so ofthabe machen sehen. Dabei betrachtete ich das hautfarbene Teil vor mirgenau. Nach ein paar Minuten war mir klar, wie es funktionierte. Esbedeckte vom Hals abwärts den Oberkörper wie ein ärmelloserRollkragenpulli.Vorsichtig testete ich meine Nägel. Ja, sie schienen trocken zu sein. Daich mir über die Trockenzeit nicht sicher war, zog ich das Teil mitgrößter Vorsicht über den Kopf und zog es dann nach unten glatt. Esreichte gerade bis zum Korsett. Auf meiner Brust wölbten sich nun zweiprominente Brüste. Etwas zu groß für meinen Geschmack. Mit jederBewegung wippten sie leicht, wie ich das von echten Brüsten kannte. Abernun bewegte es sich auf meiner Brust!Ich nahm den BH in die Hand. Ich brauchte etwas, um die wabbelndenDinger unter Kontrolle zu bringen. Dieser Gedanke half mir, dasultimativ weibliche Kleidungsstück in die Hand zu nehmen. Ich versuchte,mich daran zu erinnern, wie meine Freundinnen es angezogen hatten.Plötzlich öffnete sich die Tür und der Butler kam herein. “Ah, ich sehe,ich habe richtig vermutet. Bu brauchst Hilfe, Michelle.”Ich war bei der plötzlichen Störung zusammengezuckt und brauchte nocheinen Moment, um mich von dem Schreck zu erholen. Er nahm mir den BH auszittrigen Händen. Unwillkürlich bedeckte ich die Brüste mit den Händen,in einer vergeblichen Anstrengung, sie zu verbergen.”Du brauchst dich nicht zu schämen. Das sind sehr schöne Brüste”, sagteer in einem beruhigenden Tonfall. Dann strich er mir wie einem kleinenKind über den Kopf.Ich hätte ihn im ersten Moment umbringen können. Aber dann überwog derbesänftigende Effekt, und ich ließ ihn gewähren. Tatsächlich beruhigteich mich schnell. Wie hatte es zu so einer Reaktion kommen können? Ichwar ein Detektiv, verdammt noch mal. Ich kannte genugKampfsporttechniken, um ihn sofort zu Boden zu schicken. Statt dessenbenahm ich mich wie ein junges Mädchen. Sehr passend, dachte ichsarkastisch.Nun legte er mir den BH um und schloss ihn im Rücken. Es war ein höchstmerkwürdiges Gefühl, die Nähe eines Mannes zu spüren, während er mireinen BH umlegt.Der BH war weiß und hatte Halbschalen, die die obere Hälfte meinerBrüste freiließen. Ich wollte nicht darüber nachdenken, warum ich daskünstliche Teil nun als meine Brüste bezeichnete. Aber eigentlich lagder Gedanke nahe. Die Oberfläche sah aus wie richtige Haut, und der Tonentsprach genau meinem. Man musste schon sehr genau hinsehen, um dieBrüste als Prothesen zu entlarven. Ich konnte mir nicht vorstellen, dassdas jemals geschehen würde. Das gab mir ein Gefühl der Sicherheit, dennich wollte keinesfalls als Mann entlarv werden. Nicht nur wegen der dannunmöglichen Ermittlungen, ich fände es einfach unglaublich peinlich.Wenn das andere Klienten erfahren würden! Nein, ich musste alles tun, umso überzeugend wie möglich zu sein.Geistesabwesend ließ ich mir den Petticoat geben und zog ihn an. EinMeer weicher Rüschen legte sich um meine Hüfte. Ehe ich ihn richtigbetrachten konnte, kam schon das Kleid. Das glatte Satin rutschte fastwie von selber über den Kopf. Ehe ich mich versah, schloss der Butlerschon den Reißverschluss in meinem Rücken. Dann zupfte er den Rockzurecht, bis er ordentlich über dem Petticoat lag. Als Nächstes zog erdie Puffärmel in Position.Ohne mich zur Besinnung kommen zu lassen, wies er mich an, “Ziehe dirdie Schuhe an.”Folgsam steckte ich meine Füße in die Schuhe mit dem ziemlich hohenAnsatz. Ein Riemen ging über den Spann und musste mit einer winzigenSchnalle geschlossen werden, was ziemlich fummelig war. Mein Detektiv-Verstand fand das nicht gut, denn ich würde nicht schnell aus denSchuhen kommen, sollte es nötig sein.In der Zwischenzeit hatte der Butler eine typische Spitzenhaube geholt,wie es Zimmermädchen gewöhnlich trugen. Während er sie mir umständlichin die Haare steckte, sagte er, “Diese Haube muss unbedingt immergetragen werden, es gibt keine Ausnahme. Wegen des Arztterminsverzichten wir auf die Perücke. Aber auf die Haube kann keinesfallsverzichtet werden. Wiederhole!””Ich muss die Haube immer tragen.””Noch einmal, genauer!”Ich muss die Haube immer tragen, egal unter welchen Umständen.””Gut, nimm es dir zu Herzen. Die Strafe für Vergessen ist ziemlichhoch.”Merkwürdigerweise störte mich das kleine bisschen weißer Spitze aufmeinem Kopf am Meisten. Ich war zwar wie eine Frau angezogen, und daswar überhaupt nicht mein Fall. Aber ich kam damit zurecht. Eine Frau warja erst einmal kein geringeres Lebewesen. Das sah man mehr als deutlichan meiner Klientin. Chefin, musste ich wohl eher jetzt sagen.Aber das Ding auf meinem Kopf änderte meinen Status. Ich war dadurch fürjeden sichtbar zum Befehlsempfänger geworden, zu einen Dienstboten. Ichhatte mich nicht mehr um meine Dinge zu kümmern, sondern um die andererLeute. Ich empfand das als außerordentlich erniedrigend. Wahrscheinlochdeshalb, weil ich sonst immer mein eigener Herr war. Jetzt war ich nichteinmal mehr Herr, dachte ich traurig.”Deine Fingernägel sind in einem nicht akzeptablen Zustand. Aber jetzthaben wir keine Zeit dafür. Hier, das ist dein Halsband. Alle Mädchenmüssen es tragen, damit man ihren Namen weiß. Bei dir dient es außerdemdazu, die Naht der Brustprothese zu verdecken, samt dem Adamsapfel. Wirlassen es jetzt erst einmal weg. Sofort nach dem Arzttermin musst du estragen.””Ich muss mein Halsband immer tragen”, sagte ich wie in Trance, und ohnedazu aufgefordert worden zu sein. Grund dafür war, dass ich mich geradezum ersten Mal im Spiegel sah.Ich konnte es nicht glauben, was ich sah. Von mir war nichts übriggeblieben. Da stand nur ein etwas verängstigt aussehendes Mädchen miteiner tollen Figur. Das Kleid mit dem Petticoat verstärkte noch denSanduhr-Effekt. Und mein Dekolleté war ein Hingucker. Es war supersexy.Mein Kopf passte noch nicht so richtig dazu. Aber mit den dünnenAugenbrauen und dem Spitzenhäubchen wirkte er ziemlich feminin. Mit einwenig Makeup würde ich sehr überzeugend sein, da war ich mir sicher.Männer würden sowieso nur auf meinen Busen starren.Ich hatte nicht bemerkt, dass der Butler gegangen war. Aber nun kam ermit einem Tablett zurück, auf dem sich mein Frühstück befand.Ich setzte mich an den kleinen Tisch und begann wortlos zu essen. Schonkurz darauf war ich voll. In meinen korsettierten Bauch passte nichtviel hinein, ich war in der letzten Zeit immer sofort satt. Ich mussteaufpassen, um nicht zu viel Gewicht zu verlieren, sagte ich mir.Als ich fertig war, gab mir der Butler zwei weiße Handschuhe. “Mitdiesen Händen kannst Du dich nicht sehen lassen. Sie gehören zurUniform, werden aber nur getragen, wenn keine schmutzigen Arbeitenverrichtet werden.”Ich zog sie an. Sie gingen gerade bis zum Handgelenk. Meine Hände sahendarin gleich viel zierlicher aus.Dann folgte ich dem Butler nach unten. Ich merkte schon bei den erstenSchritten, dass diese Absätze deutlich höher waren. Ich würde mich darangewöhnen müssen.Auf der Treppe konnte ich in dem weiten Rock meine Füße nicht sehen. Ichmeisterte sie, aber bei weitem nicht so sicher, wie ich das erwartethatte. Bei meinem Üben hatte ich weder die Tatsache berücksichtigt, dassich noch höhere Absätze tragen würde – denn ich glaubte nur das Paar ausdem Karton tragen zu müssen – noch, dass ein weiter Rock mir die Sichtnach unten versperren würde. Und das hätte ich wissen müssen. Sollte ichjemals wieder in diese Situation kommen, würde ich mir ein Kostüm zumTrainieren kaufen. So wie ich das gemacht hatte, war es unprofessionell.Aber der Butler hatte meine leichte Unsicherheit nicht bemerkt. ImErdgeschoss angekommen richtete sich meine Aufmerksamkeit immer noch aufden bei jedem Schritt mitschwingenden Rock.Mit einem Ruck riss ich mich davon los. Das war unprofessionell,unprofessionell, unprofessionell!!! Ich hätte wirklich vorher in soeinem Outfit üben müssen, auch wenn es mir nicht gefiel, einen Rockanzuziehen. Diese Kleidung war in einer Art und Weise ablenkend, wie iches nie erahnt hätte. Nicht nur der Rock schwang bei jedem Schritt,sondern auch der Petticoat darunter. Unzählige Rüschen streicheltenmeine Oberschenkel. Weil ich nicht an so etwas gewöhnt war, war es nurum so erotischer.Und dann das Gefühl, wie meine Beine in der Strumpfhose aneinanderglitten. Es machte ein ganz leises Geräusch. Aber das menschliche Gehörist verblüffend: Man hört es aus allen anderen Geräuschen heraus, wiemein ein ungewohntes Geräusch im Auto heraushört. Und dieses Geräuschwar genauso sexy, wie es sich anfühlte.Dazu kam das Stakkato meiner Absätze auf dem harten Boden. Auch daraufwar ich nicht vorbereitet, denn ich hatte zuhause auf Teppich trainiert.Auf dem harten Parkett war nicht nur das Laufgefühl völlig anders,sondern vor allem das Geräusch. Es war laut, sehr laut. Klack, klack,klack. Für Detektivarbeit völlig ungeeignet.Obwohl, das stimmte nicht. Zu bestimmten Dingen gehörten bestimmteGeräusche, und es wäre eher sehr auffällig gewesen, wenn die Schuhelautlos wären. Ich war es nur nicht gewohnt.Da ich nicht ganz sicher mit den Schuhen auf dem Boden war – es waruraltes Parkett, das nicht ganz gleichmäßig war, und in diesen Schuhenmerkte man jede kleinste Unebenheit – schaute ich immer wieder nachunten.Der verstörendste Anblick war mein wogender Busen. Ein reichhaltigesDekolleté, umrahmt von weißer Spitze, die reizvoll mit dem glänzendenSchwarz des Kleides kontrastierte. Alles bewegte sich so reizvoll, wieich es gerne bei meiner Freundin gehabt hätte. Nur dass die weder soeine Oberweite hatte, noch sie zur Schau stellte.Endlich kamen wir in einem Raum an. Es war der Empfangsraum, in dem ichschon einmal gewesen war. Mir wurde bedeutet zu warten. Ich setzte mich,froh selbst nach dieser kurzen Strecke nicht mehr auf den Schuhen stehenzu müssen. Wie sollte das bei einem ganzen Tag werden?Ich wusste nicht einmal, ob ich mich richtig hingesetzt hatte. Wie setztman sich mit einem Petticoat? Ich war froh das der Tisch die Sichtdarauf blockierte.Die Tür öffnete sich und ein Mann kam herein. Er sah mich genau an undsagte dann, “Entschuldigung, ich wollte zu jemand anderem.” Nach einemweiteren prüfenden Blick ging er. Gab es hier jemand, der mir so ähnlichsah, dass er mich so genau ansehen musste? Vielleicht wollte er auch nureinmal ein klassisches Dienstmädchen in Uniform betrachten. Konnte miregal sein. Oder hatte er mich als Mann entlarvt? Ich trug kein Makeup.Nun sah ich auf meine weiß behandschuhten Hände. Sie sahen so andersaus. Keinesfalls wie ich mich im Winter an Handschuhe erinnerte. DieseHandschuhe waren ganz dünn und elegant. Sie ließen meine Hände vielzierlicher erscheinen. Und feminin, was auch durch den Spitzenabschlusskam, wie er auch am Rocksaum, Dekolleté und Ärmeln war.Beim Warten hatte ich Zeit zum Nachdenken. Zum ersten Mal seit einigerZeit. Wie hatte es nur dazu kommen können, dass ich hier inFrauenkleidung saß? Und nicht irgendeine feminine Kleidung, sondernausgesprochen sexy.Ich hatte doch mit so etwas nichts am Hut. Hatte noch nie etwasFeminines angezogen. Und nun war ich nicht nur ein sexy Dienstmädchen,ich hatte auch den passenden Angestelltenvertrag unterschrieben. Nochmehr, ich hatte meine Wohnung aufgegeben und nur noch meinDienstbotenzimmer, mit Dienstmädchen-Uniformen als einziger Kleidung.Nein, ich hatte ja den roten Minirock vergessen. Das änderte natürlichalles, dachte ich sarkastisch.Dazu kam, dass ich eine sehr feminine Taille hatte, auf die viele Frauenneidisch wären. Und sie musste noch kleiner werden. Da ich so schnellnicht abnehmen konnte, hieß dass, dass das Fett – oder was auch immer danach der Absaugung war – woanders hin musste. Mein Po war schon etwasgrößer, und ich vermutete, dass er um so größer würde, je kleiner meineTaille wurde.Dabei fiel mir die riesige Spritze ein. Die half sicherlich auch nochdabei mit. Aber eigentlich hatte ich nichts mehr seither davon gespürt.Die Schwester hatte recht, es gab keine Nebenwirkungen. Selbst wenn, ichkonnte nichts daran machen, das Depot war in meinem Körper. Ich hättedoch Pillen nehmen sollen, irgendwie war mir das unheimlich.Eine von vielen Fehlentscheidungen. Und es gab viele, sonst sähe ichnicht so aus, und würde nicht meine Spitzenhaube als Zeichen meinesStatus tragen. Das hatte ich nie gewollt. Ich wollte nur Informationenfür meinen derzeitigen Fall. Wann war das so entglitten?Und es war noch nicht zu Ende, denn ich würde gleich eine höhere Stimmebekommen. Mit den Verträgen, die ich unterschrieben hatte, konnte ichmich nicht einmal umentscheiden. Ich würde die nächste Zeit eine schönehohe Stimme haben. Niemand würde mich mehr am Telefon erkennen.Oh! Das war der nächste Fehler. Ich hätte einige Leute kontaktierenmüssen. So konnte ich nicht einmal meiner Aushilfs-SekretärinAnweisungen geben. Mist! Ich hoffte nur, die Änderung wird nicht zustark ausfallen, sodass ich meine Stimme nach unten verstellen konnte.Ja, das könnte gehen, beruhigte ich mich. Und bei einer temporärenGeschichte konnte es ja sowieso nicht so schlimm sein.Irgendetwas juckte mich am Bein. Ich strich mit der behandschuhten Handdarüber. Satinhandschuh auf Feinstrumpfhose – dieses Gefühl hatte ichauch noch nicht gekannt. Mmmmh.Nach einer Minute zog ich beinahe panikartig meine Hand weg. Ich musstemich zusammenreißen, sonst würden die Verlockungen schnell übermächtigwerden.Jedenfalls sah ich den nächsten Wochen in meiner neuen Stellung nichtmehr ganz so negativ entgegen.##Zwischenzeitlich fand zwei Räume weiter ein Gespräch zwischen derHausherrin und dem Arzt statt.Gerade sagte der Arzt, “Ich versichere Ihnen, der Eingriff ist sehrrisikoarm. Ich habe ihn schon oft zur vollsten Zufriedenheitausgeführt.””Aber hier gibt es ein paar zusätzliche Dinge zu bedenken. Erstens habeich versprochen, das der Eingriff mittels Botox ausgeführt undreversibel ist.””Das ist fast richtig. Natürlich kann das Botox die Stimme nicht selbstverändern. Dazu muss die schwingende Lippe verkürzt werden.””Sie benutzen kein Botox?””Oh doch. Früher hatte man an den Stimmlippen herumgeschnitten odergenäht. Das Ergebnis war oft nicht sehr gut, die Stimme konnte kratzigwerden oder andere unangenehme Effekte haben. Ich klebe die Stimmlippenzusammen. Das ist aber oft wieder aufgerissen. Nun immobilisiere ichdiesen Teil mit Botox. Dadurch wird die Klebung nicht beansprucht undkann gut verheilen. Das Ergebnis ist nahezu immer perfekt.””Und ist es reversibel?””Natürlich wachsen die Stimmlippen an der geklebten Stelle zusammen undhalten, auch wenn die Wirkung des Botox abklingt. Die Stimme kann sichdann noch geringfügig verändern, aber meistens ist das so gering, dasses weder der Patient noch andere bemerken. Man müsste dann die Stellewieder auftrennen. Das geht, aber es ist nicht ratsam, da dabeiNarbengewebe entsteht. Die Stimme würde wieder tiefer sein, aber nichtmehr gut klingen. Außerdem kann sie nie wieder so tief werden, wie sieeinmal war. Insofern ist es also nicht ganz reversibel.””Ok, ich denke, ich habe aber nichts Falsches gesagt. Das ist mirnämlich sehr wichtig.””Gut. Welche anderen Dinge wollten Sie noch geklärt haben?””In welchen Umfang die Stimmlage sich ändern lässt.””Nun, die Stimmlippen müssen noch schwingen können, das ergibt eineGrenze. Aber machbar ist eine Erhöhung weit über den Bereich, der fürFrauen normal ist.””Wie genau ändert sich die Stimme?””Durch die kürzeren Stimmlippen wird die Stimme erst einmal höher. Abernatürlich wird so auch weniger akkustische Energie erzeugt, sie ist alsoleiser. Die Modulation wird etwas geringer. Das steigert sich bei einersehr starken Verkürzung, dann hört es sich mehr wie Micky Maus statteiner Frau an.””OK. Ich möchte also Folgendes: Die Stimme soll so weit erhöht werden,wie es möglich ist, ohne das es nach Micky Maus klingt. Also eine sehrgroße Erhöhung. Aber es noch wie eine Frau klingen, eine Frau mit einersehr hohen Stimme, wie bei einem Teenager.””Das lässt sich machen. Allerdings kann ich das Ergebnis nicht ganzgenau vorher sagen. Das ist kein Stück Eisen, sondern lebendes Gewebe.””Ich verstehe. Wie lange dauert es?””Der Eingriff selbst nur wenige Minuten. Aber inklusive Vorbereitungenund Betäubung etwa zwei Stunden. Dann ist der Kehlkopf für wenigstens 24Stunden völlig betäubt. Meistens werden das 36 Stunden. Solange kann derPatient nicht reden. Danach wird der Patient langsam wieder sprechenkönnen. Einige Tage später hat sich die neue Stimme stabilisiert.””Das ist etwas langsamer als gedacht. Aber wenn das Resultat gutausfällt, können wir das Sprachtraining verkürzen.””Sie können sich darauf verlassen. Sie wollten noch meinen Kollegensprechen?”Auf das zustimmende Nicken kam ein anderer Mann.”Sie haben sich ihn vorhin ansehen können”, sagte sie. “Was meinen Sie?””Es sieht gut aus. Er hat kein sehr ausgeprägtes Kinn. Ein bisschenSilikon weiter hinten wird es noch schmaler erscheinen lassen. SeinGesicht wirkt mehr durch die flachen Wangenknochen maskulin. EtwasAufpolsterung wird das ändern. Dann müssen die Lippen modelliert werden.Was wünschen Sie für Lippen?””Nichts Auffälliges. Er soll möglichst jung aussehen. Am besten wie einTeenager.””Ich denke das wird gut gelingen. Er hat einen guten Teint.””Wird man etwas von den Silikoninjektionen sehen?””Nein. Die Nadeln sind extrem dünn, es bleiben keine Spuren.”##Endlich wurde ich von dem Butler in einen anderen Raum geführt. Ichfragte mich, warum das heute Morgen so eine Hektik war, wenn ich jetztso lange warten musste. Aber andererseits war es wohl ganz gut, dass ichnicht alleine auf meinem Zimmer war. Sagen wir es einmal so: Ich konntemeiner Uniform immer mehr positive Seiten abgewinnen.In einem großen Badezimmer war eine Art Anglerstuhl aufgestellt. So einfaltbarer Stuhl aus Stoff mit Metallrohren als Gestell. Nur war diesesTeil deutlich größer. Mehr wie ein Chefsessel, mit einer zusätzlichenKopfstütze. Dort hinein setzte ich mich nun, nachdem ich den Arztbegrüßt hatte.Es war eigentlich sehr bequem. Der Kopf ruhte in der Stütze. Sie war sogeformt, dass ich ihn kaum bewegen konnte.”Leiden Sie unter Klaustrophobie?””Nein, warum?””Ich muss nun ihren Kopf fixieren. Manche Menschen bekommen dann Panik.””Ich denke, das ist bei mir kein Problem.”Kurz darauf war mein Kopf völlig bewegungslos fixiert. In so einerSituation merkt man erst, wie sehr man ihn normalerweise bewegt.”Es wird jetzt kalt im Hals. Dadurch spüren Sie die Betäubungsspritzenicht.”Es wurde kalt, und dann spürte ich nichts mehr. Eine lange Zeit, in derich entweder die Decke oder das Gesicht des Arztes sah. Irgendwannmusste ich eingeschlafen sein.”So, fertig”, weckte mich eine Stimme. Ich fühlte, wie die Fixierunggelockert wurde. “Sie können aufstehen.”Etwas unsicher stand ich auf. Das lag aber mehr an den ungewohntenSchuhen.”Sie werden mindestens 24 Stunden nicht sprechen können, es kann auchdoppelt so lange sein. Dann kommt ihre neue Stimme allmählich, alsowerden Sie nicht ungeduldig.”So lange? Das würde wieder alles verzögern. Ich begann mir Sorgen ummeine Zielperson zu machen.Der Butler war anscheinend im Zimmer gewesen, denn er führte mich nunheraus – in ein anderes Bad. Dachte er vielleicht, ich müsste auf dieToilette? Wieder besseres Wissen wollte ich aus Gewohnheit sprechen.Nichts kam heraus, nicht der leiseste Laut, außer dem Atmen.”Hier ist deine Halskette. Es gibt nun keinen Grund mehr, sie nicht zutragen. Ganz im Gegenteil, niemand soll versehentlich die Naht von derBrustprothese sehen. Wenn Du fertig bist, gehst Du zu Madame, sieerwartet dich im Empfangszimmer.” Damit war er weg.Fast hatte ich erwartet, noch einmal darauf hingewiesen zu werden, dassich dazu verpflichtet sei. Aber nichts dergleichen geschah. Vermutlichdachte er sich, dass ich die Notwendigkeit schon einsehen würde. Und dasstimmte auch.Die Halskette bestand aus einem breiten schwarzen Samtband, an dessenRand oben und unten weiße Spitze war. Genau passend zu meiner Uniform.Daran hingen metallene Buchstaben, die in einer geschwungenen femininenSchreibschrift das Wort Michelle formten. Auf den Buchstaben waren vieleKristallsplitter, die sie im Licht funkeln ließen.Überraschenderweise war das Halsband recht stabil, als ich in die Handnahm, aber trotzdem leicht. Achselzuckend legte ich sie um den Hals. Ichhatte nicht nach dem Verschluss gesehen. Aber das war auch gar nichtnötig, denn es rastete problemlos in meinem Nacken mit einem leisenKlicken ein.In meinem Dekolleté baumelten nun mit jeder Bewegung die Buchstabenmeines neuen Namens und funkelten dabei. Jeder konnte bei einem Blickfeststellen, dass ich Michelle, das Dienstmädchen war. Insofern wardieser Schriftzug genauso erniedrigend wie das Spitzenhäubchen.Nun entdeckte ich, dass in dem Samt des Halsbandes eine ArtWasserzeichen war. Der Name des Hauses mit dem Wappen. Sehr dezent, abersichtbar. Darauf aufmerksam geworden, sah ich dasselbe auf meinemSpitzenhäubchen.Auf den ersten Blick war es harmlos. Aber eigentlich markierte es michwie ein Brandzeichen als Besitz meiner Chefin. Zumahl ich verpflichtetwar, es zu tragen. Für mich war das ein kurzes Gastspiel, aber ichbedauerte die anderen Dienstboten.Ich ging zu meiner Chefin. Als ich nach Klopfen eintrat, sah sie michan, als hätte ich etwas verbrochen. Aber ich konnte sie nicht fragen.”Ich sehe, du hast den Eingriff gut überstanden.” Anerkennend sah sieauf mein Halsband. “Michelle”, sagte sie, als ob sie es ablesen würde,”der Arzt hat mich informiert, dass es länger dauern wird, bis du wiedersprechen kannst als geplant. Ich habe deswegen entschieden, dass du auchso die anderen Dienstmädchen treffen wirst. Ich werde sie wahrheitsgemäßinformieren, dass du einen Eingriff hattest und deshalb ein oder zweiTage nicht sprechen kannst.”Ich nickte. Wie meistens war das, was sie sagte, logisch.”Ich habe einen Terminplan aufgestellt. Nachher wird die dringend nötigeManiküre gemacht. Die Dame weiß bescheid, also ist es kein Problem, dassdu nicht sprechen kannst.”Wieder nickte ich. Ich musste das modifizieren, den jedes Mal baumeltemein Namenszug.”Wenn du möchtest, kannst du auch von ihr Ohrschmuck bekommen. Das istkeine Verpflichtung, aber ich denke, es ist sinnvoll. Etwas an den Ohrenlenkt vom nicht ganz perfekt femininen Gesicht ab.”Zögernd nickte ich. Das würde ich mir noch überlegen, denn sie meintewohl ein Piercing in den Ohrläppchen.”Danach kommt Madame Berliot von der hiesigen Schule für höhere Töchter.Sie wird dich in die Benimmregeln an einem Haus wie diesem einweisen.”Ich ahnte, dass ich irgendetwas in dieser Richtung falsch gemacht hatte.Ich wollte nicht auffallen, deshalb war das unbedingt nötig.Professionell wäre es gewesen, wenn ich selbst daran gedacht hätte.Dieser Auftrag erwies sich als immer schwieriger.”Ich empfehle besondere Aufmerksamkeit, denn ich kann dich nicht andersbehandeln als alle anderen Dienstboten. Das beinhaltet auch Strafen beiFehlverhalten. Meistens sind das Geldstrafen, aber es kann auchkörperliche Züchtigungen geben. Das weißt du ja alles, denn du hast dieVerträge gelesen.”Ich nickte, obwohl ich nichts davon gelesen hatte. Nun, ich hatte nichtvor das Tafelsilber zu stehlen. Insofern betrachtete ich das alsRandinformation.”Morgen kommt die Kosmetikerin. Sie soll dir nicht nur beibringenmöglichst gut auszusehen, sondern auch deine Körpersprache verbessern.In diesen Schuhen gehst du noch schlechter als in den Anderen. “Eigentlich war ich empört, aber statt eines Protestes errötete ich. Ichwar noch nie in so einer Situation errötet. Das empfand ich als sopeinlich, das ich noch intensiver errötete. Ich hätte mich selbst tretenkönnen, aber es half nichts, ich stand da wie ein Schulmädchen.”In einer halben Stunde bekommst du Mittagessen auf dein Zimmer. Abübermorgen isst du mit den anderen Dienstboten und arbeitest genau wiesie. Das wäre alles.”Damit wand sie ich ab. Ich war entlassen wie ein kleines Kind – oder wieein einfacher Dienstbote.##Auf meinem Zimmer ärgerte ich mich erst einmal über das überheblicheVerhalten. Aber eigentlich machte es Sinn, sagte ich mir dann. Sie warviel professioneller als ich. Sie behandelte mich meiner derzeitigenRolle entsprechend, und das war richtig so. In so einem Haus gab esschnell unerwünschte Mithörer.Ich musste mich dringend damit beschäftigen, mehr wie ein devotesDienstmädchen aufzutreten. Ich durfte nicht versehentlich aufbegehren,auch wenn es noch so sehr meinem Naturell entsprach. Ich war jetztMichelle. Und die verhielt sich nicht wie ein selbstbewusster Detektiv.Ich musste das lernen, was mir am Schwersten fiel: Unterwürfig zu sein.Aber ich war ein Profi. Das würde mir gelingen. Ich wollte diesenAuftrag unbedingt positiv abschließen. Denn ich hatte schon so vielinvestiert, von meiner Taille bis zu einer anderen Stimme.Bis der Butler mit dem Essen kam, nannte ich mich selbst immer wiederlaut Michelle, um mich an den Namen zu gewöhnen. Nicht nur zu gewöhnen,sondern zu verinnerlichen. Ich sagte mir immer wieder, dass ich nieeinen anderen Namen hatte. Immer wieder. In einer Art Selbsthypnose.Als ich aß, wäre ich vermutlich überrascht gewesen, anders als mitMichelle angeredet zu werden. Als er mich so nannte, fühlte ich michbestätigt. Ich versuchte in mein Hirn zu bringen, es jedes Mal toll zufinden, wenn ich Michelle gerufen wurde. Eine positive Bestätigung.Irgendwann einmal hatte ich das in einem Kurs gelernt.Nach dem Essen fuhr ich mit diesen Überlegungen fort. Ich durfte nichtmehr feminine Sachen ablehnen. Nein, ich musste es so toll finden wieein kleines Mädchen seine Prinzessin. Feminin war toll, maskulinschlecht. Nur wenn ich das verinnerlichte, konnte ich meinenSpionageauftrag erfüllen. Andernfalls wäre ich sofort entlarvt. Dennwelche Frau denkt sich etwas dabei, einen BH oder einen Rock anzuziehen?Für die nächsten Tage oder Wochen musste es bei mir genauso sein.Dann kam die Frau für die Maniküre. Als sie ihren Koffer aufmachte, sahich, dass mehr als nur Feilen angesagt war.”Madame hat empfohlen, dass wir Ihre Nägel verlängern. Damit die Händegestreckter wirken.”Beinahe hätte ich meinen Vorsatz vergessen. Beinahe. Dann sagte ich mir:Michelle, du bist ein Mädchen. Mädchen lieben lange Nägel.Ich nickte ihr auffordernd mit einem Lächeln zu.”Was haben Sie für Vorstellungen?”Ich nahm einen Zettel und kritzelte darauf: “Was immer Ihnen am Bestenerscheint und für ein Dienstmädchen sinnvoll ist.”Ein Lächeln machte sich bei ihr breit. So einen Freibrief bekam sie wohlnur selten.Ich staunte was für ein Aufwand es war, neue Fingernägel zu bekommen.Erst wurde ausgiebig gefeilt, dann Plastiknägel aufgeklebt. Ich staunteüber die Länge.Aber dann nahm sie eine Art Seitenschneider und hielt ihn fünfMillimeter von meiner Fingerkuppe. “Arbeiten Sie körperlich?”Ich wusste überhaupt nicht, was ich einmal machen sollte. Ich schüttelteden Kopf.Sie hielt den Seitenschneider nun einen Zentimeter weg. “OK?” Ichnickte. Ich hatte keinerlei Ahnung, ob das gut oder schlecht, viel oderwenig war. Wieder einmal schlechte Vorbereitung, schalt ich mich.Nun wurde ein Gel aufgetragen, dann kam meine Hand unter eine UV-Lampe.Das Gel wurde hart. Dann wurde wieder gefeilt, und alles begann vonvorne.Endlich hatte ich zehn mustergültige feminine Nägel.”Welche Farbe?”Ich machte eine Geste, dass sie entscheiden sollte.”Nagellack oder farbiges Gel?”Ich erinnerte mich an meine Freundin. Wenn sie einmal Nagellack trug,fluchte sie darüber, dass er nicht hielt. Ich hielt zwei Finger hoch,für die zweite Option. Sie verstand.Es dauerte noch einmal eine halbe Stunde, dann hatte ich perfektefeuerwehrrote Nägel. Wortgewaltig hatte sie erklärt, dass kaum nochjemand dies Farbe benutze, sie aber so gut zu jungen Frauen wie mirpasste.”Gut, das wäre erledigt. Madame erwähnte Ohrschmuck?”Ich nickte.”Und an was dachten Sie?”Ich wies auf den Zettel, den ich vorhin geschrieben hatte.”Gut. Madame hat mir schon einen Vorschlag gemacht, wenn Sie nichtsanderes wollten.”Ich nickte wieder einmal.”Madame wollte einen Anhänger. Das geht normalerweise nur, wenn das Locheinige Wochen ausgeheilt ist. Aber ich kann ein kleines Röhrchenimplantieren, das sich nach einiger Zeit selbst auflöst. Das ist zwaretwas teurer, aber dafür sofort belastbar.”Ich gönnte ihr den Umsatz und nickte. Sie schaute verwirrt auf meinebaumelnden Buchstaben. Ich sollte weniger nicken. Aber was sonst, wennman nicht sprechen kann?Es dauerte noch einmal eine Stunde, dann baumelte von jedem Ohrläppchenein glitzerndes Hauswappen auf einer herzförmigen Unterlage. Sehrfeminin und sehr glitzernd. Aber auch sehr elegant, das sah nicht billigaus.Darüber hatte ich in jedem Ohr fünf weitere Piercings, mit kleinenOhrsteckern, die Kristalle wie Diamanten hatten. Nach oben wurden sieimmer kleiner. Bei den vielen Piercings hatte ich meine Bedenken gehabt,dass ich wie manche dieser jungen Frauen aussehen könnte, dieentsprechende Piercings auch in der Nase und sonstwo hatten.Aber ich wurde angenehm enttäuscht: Es sah sehr dezent und elegant aus.Alles passte perfekt zusammen: Die glitzernden Buchstaben, die Ohrhängerund die kleinen Stecker.Sie weckte mich aus meinen Überlegungen. “Sie dürfen den Hänger dienächste Zeit nicht entfernen. So ist alles steril, aber dann könntenKeime eindringen und alles entzünden.”Auf meine fragende Geste sagte sie: “Ein Monat, besser zwei.”Beinahe wäre ich sarkastisch geworden. Aber dann sagte ich mir, dass ichso lange sowieso einen Rock anhaben würde. Und ich wollte feminin undunterwürfig sein.Es fiel mir schwer.##Während ich auf Madame Berliot wartete, betrachte ich mich im Spiegel.Zugegeben, es sah ausgesprochen gut aus. Und lenkte ab, das wargarantiert.Aber es war das Hauswappen, wenn auch dem Herz untergeordnet. Trotzdem,es war ein weiteres Brandzeichen, da ich auch das nicht entfernendurfte. Letztendlich nicht anders als die Ohrmarke bei einem Rind.Ruhig, sagte ich mir. Unterwürfig sein. Nicht ganz passend zu meinemVorsatz ergänzte ich: Es ist nur für kurze Zeit.Und dann kam auch schon meine nächste Lehrerin.”Ahs, ich sehe, da liegt einiges im Argen”, stellte sie fest.Ich schaute sie verwirrt an.Sie erklärte: “Wenn jemand Übergeordnetes eintritt, und das ist beieinem Dienstmädchen eigentlich jeder, dann musst du einen Knicks machen.Und auch, wenn dir etwas aufgetragen wird.”Und so lernte ich zu knicksen. Eine Geste, in der sich die Frau perKörpersprache unterwirft, indem sie sich kleiner macht, und auch nocheine unterwürfige Geste mit ihrem Rock macht.Eigentlich wollte ich genau das lernen. Aber man kann seinePersönlichkeit nicht einfach so über Bord werfen, egal, welche Vorsätzeman hat.Aber sie war eine geschickte Lehrerin. Wahrscheinlich begehrten ihreSchülerinnen aus besserem Hause auch auf, und sie war so ein Verhaltengewöhnt.Nach drei Stunden fand sie es akzeptabel. Noch zwei Stunden Intensivkursspäter kamen Knickse wie andere passende Körpersprache – letztendlichalles Unterwürfigkeitsgesten – praktisch automatisch.Ich fühlte mich meinem Ziel ein gutes Stück näher, aber trotz meinesVorsatzes war es nicht gut genug. Kann man Unterwürfigkeit überhauptlernen?Ich wäre wohl überrascht gewesen, wie stark sich meine Körpersprachegeändert hatte, hätte ich mich sehen können. Und der Effekt wurde sogarstärker, da ich nicht glaubte, auch nur annähernd gut genug zu sein.Der Butler sah sehr zufrieden aus, als er mir das Abendessen brachte,und ich ihn mit einem Knicks begrüßte.Aber ich war mit mir nicht zufrieden. Und so übte ich nach demAbendessen, bis ich irgendwann todmüde ins Bett fiel. Natürlich erst,als ich meine Uniform aufgefrischt und sorgfältig weggeräumt hatte.Keine einfache Aufgabe mit den ungewohnt langen Fingernägeln.Damit schaffte ich es auch nicht, meine Halskette abzunehmen. Ich fandden Verschluss nicht, konnte ihn also noch viel weniger öffnen. Da meineBrustprothesen darunter waren, konnte ich sie auch nicht ausziehen.Es war meine erste Nacht in einem Nachthemd. Einem mit vielen Rüschen,aber das war wohl der Stil des Hauses, und ich hatte nichts andereserwartet. Es zeigte von Brüsten bis schmaler Taille alle nötigen Kurven.Ich schlief so gut wie lange nicht mehr, ohne zu wissen, warum.##Der Wecker klingelte wieder um dieselbe Zeit. Obwohl ich mich weder umHaarentfernung noch um Fingernägel kümmern musste, reichte die Zeit fastnicht.Ein Grund waren eben diese langen Fingernägel, mit denen ich den BHnicht zu bekam. Und wie sollte ich den Reißverschluss von dem Kleid inmeinem Rücken schließen?Letzteres schaffte ich mit einem Stück Schnur. Aber es war nicht dasEinzige, wo meine Kreativität gefragt war.Kaum warf ich einen abschließenden Blick auf das sexy Dienstmädchen imSpiegel, das kam auch schon der Butler herein – wie immer, ohneanzuklopfen. Praktisch automatisch kam der Knicks.Er schaute zufrieden. “Ich sehe, dass sich der Unterricht gelohnt hat.Hier ist das Frühstück. In einer Stunde kommt die Kosmetikerin.”Wie gestern fragte ich mich, warum ich jetzt schon fertig war. ZumFrühstücken brauchte ich nur zehn Minuten.Ich nutzte die Zeit, um das gestern Gelernte zu wiederholen, damit es inFleisch und Blut überging.Etwa später fragte ich mich, was ich wohl gesagt hätte, wenn mir vor einpaar Wochen jemand gesagt hätte, ich würde in einer Dienstmädchenuniformvor dem Spiegel Knicksen üben. Stumm, in Erwartung einer neuen femininenStimme.Da fiel mir ein: Wenn ich morgen den anderen Dienstboten vorgestelltwurde, ohne sprechen zu können, warum dann überhaupt der Eingriff? Ichhätte auch noch ein paar Tage länger stumm sein können.Nein, falsch, berichtigte ich mich. Wie sollte ich die Verdächtigeausfragen, wenn ich nicht reden konnte? Der Eingriff schien nötig zusein, obwohl ich mich eines unangenehmen Gefühls nicht erwehren konnte.Und morgen sollte ich ja eigetlich auch wieder sprechen können.Ich stellte mich wieder vor den Spiegel und zupfte an meiner Uniform,damit alles perfekt war, da gleich die Kosmetikerin kommen würde.Kam sie auch, und ich empfing sie mit einem Knicks. Schon erschien esmir befremdlich, jemanden mit Handschlag zu begrüßen. Eine ausgestreckteHand war fast so etwas wie eine aggressive Handlung, und das schicktesich nicht für einen Dienstboten. Mir fiel die devote Einstellunglangsam leichter.Es würde einige Zeit dauern, bis ich das wieder machen würde, wurde mirklar. Aber jetzt wollte ich nicht darüber nachdenken, denn ich wolltelernen, wie ich mich schön machte. Mein Gesicht musste besser zum Restpassen.##Die Kosmetikerin war wirklich gut. Sie nannte sich auch Visagistin, undhatte eine nette, offenherzige Art. Mit keinem Wort ging sie darauf ein,dass ihr da ein Mann in einer Dienstmädchenuniform gegenübersaß.Nach einiger Zeit war kaum noch etwas davon zu sehen. Ich hattezugestimmt, dauerhafte lange Wimpern zu bekommen. Mit denen zumAufkleben kam ich einfach nicht klar, immer zwinkerte ich oder es warschief. Eine Sache weniger, die morgens Zeit kostete.Das lag natürlich auch an meinen langen Fingernägeln. Speziell kleineDinge waren sehr schwierig, alles mit einem Stiel daran konnte ichproblemlos handhaben. So bereitete es mir keine Probleme, denLidschatten auf die Lider zu tun. Langsam wurde ich auch geschicktgenug, das Resultat wurde von Versuch zu Versuch besser.”Ich denke, wir machen eine Pause mit den Augen. Sie sind zwar dasWichtigste im Gesicht, aber das ist nicht alles. Mir bereitet vor allemder Bart sorgen. Sollen wir da etwas machen?”Das war auch meine Sorge. Ich musste mich zweimal täglich rasieren, wennman nichts sehen sollte. Und selbst da blieb ein Schatten.”Ich fürchte, mit rasieren ist da nichts zu machen. Man könnte die Haarebleichen, damit sie nicht so auffallen. Aber das ist etwas für eineneinmaligen Auftritt. Bei täglicher Anwendung hält die dickste Haut nichtaus. Ich schlage vor zu Lasern. Ihre Haarfarbe verspricht ein optimalesErgebnis.”Permanente Entfernung? Warum nicht, ich hasste, rasieren. Einen Bartwollte ich mir nie wachsen lassen. Ich nickte zustimmend.”Gut, wir können gleich anfangen. Ich habe ein Gerät dabei. Was sollenwir zuerst machen? Das Kinn?”Ich machte eine Handbewegung über das ganze Gesicht.”Alles? Wissen Sie, was Sie sich da zumuten?”Ich nickte, obwohl ich es nicht wusste.”Sie nehmen es wie ein Mann?” sagte sie, während ihr Blick von meinemBusen bis zu meiner Taille ging. Dabei grinste sie.Ich grinste zurück. Das sollte mir aber bald vergehen. Der Laser warkaum zu spüren, aber die irritierte Haut wurde danach schnell rot undschmerzte. Nach Stunden, die mir wie Tage vorkamen, war mein Gesichteine aufgequollene rote Masse.Sie cremte mich vorsichtig ein. Es gab ein wenig Linderung. “Diese Cremesorgt dafür, dass sich nichts entzündet. Tragen Sie sie regelmäßig auf,mindestens die nächsten 24 Stunden.”Ich nickte.”Gut. Die Behandlung muss in ein paar Wochen wiederholt werden, denn diemomentan inaktiven Haarwurzeln haben wir noch nicht erwischt. KeineAngst, das wird dann weit weniger schlimm. So, für heute bleibt nur nochdie Perücke. Ich hatte ein Bild von Ihnen bekommen, so habe ich ein paargeeignete Modelle mitgebracht.”Sie setzte mir die erste Perücke auf. Lange braune Haare umrahmten meinrotes Gesicht. Es sah nicht schlecht aus, aber die Haare waren zu lang.Ich war schon durch die Fingernägel und die hohen Absätze genugbehindert, ich brauchte nicht auch noch störende Haare.Nach einigen weiteren Modellen entschied ich mich für eine aschblondePerücke in einem Pagenschnitt. Die Haare endeten gerade oberhalb meinesHalsbandes. Trotz der relativen Kürze sah es sehr feminin aus, was wohlvor allem durch den Pony kam. Der Stil war jugendlich und irgendwieniedlich. Ich sah deutlich jünger damit aus. Und es passte hervorragendzu meiner Uniform.Und obendrein war sie deutlich pflegeleichter als die längeren Modelle,wie sie mir erklärte. “Sollen wir sie an ihren Haaren befestigen? Dasist erheblich angenehmer, wenn man sie lange trägt.”Zum wiederholten Male nickte ich.Die Prozedur war ziemlich aufwendig. Zuerst wurden mit einemelektrischen Haarschneider meine Haare ziemlich kurz geschnitten. Dannschnitt sie ein Haarnetz passend für meinen Kopf im Form und legte esauf meine Haare. Nun zog sie mit einer Art Häkelnadel meine Haare durchdas Netz. Als sie fertig war, war von dem Netz nichts mehr zu sehen.Nun träufelte sie eine Flüssigkeit aus einer Art Spritze vorsichtig aufdas Haarnetz. “Das ist eine Art Sekundenkleber”, erklärte sie. “Das gehtam Schnellsten. Man kann es auch verknoten, aber das dauert endlos.”So war sie nach ein paar Minuten fertig. Dann zog sie testweise an demHaarnetz. Es rührte sich nicht von der Stelle, aber ich spürte den Zugan meinen Haaren. Das änderte sich auch nicht, als mir die Perückeaufgesetzt wurde und nach der Verbindung mit dem Netz nun an ihr gezogenwurde. Sie saß bombenfest.”Du kannst sie behandeln, als wären es deine eigenen Haare. Auch waschengeht problemlos.”Kurz danach war sie weg. Ich setzte mich vor den Spiegel und steckte mirmein Spitzenhäubchen in die ungewohnte Frisur. Immer wieder kitzeltenmich die Haare am Hals. Dort bogen sich die Haare zum Hals hin. Das ließihn schlanker erscheinen, hatte sie mir erklärt. Ich konnte nichtwidersprechen. Abgesehen von meiner roten Haut sah mein Kopf stimmigfeminin aus. Und es war pflegeleicht, worüber ich sehr dankbar war. Ichwollte nicht noch früher aufstehen. Vielleicht konnte ich jetzt sogarein wenig länger schlafen.Ich verbrachte einen sehr ungemütlichen restlichen Tag. Mehrfach trugich die lindernde Creme auf, trotzdem verfluchte ich die Idee, alles aufeinmal machen zu lassen. Nie wieder. Nun, das wäre auch kaum möglich,musste ich grinsen. Die meisten Haarwurzeln waren dauerhaft zerstört.##Am nächsten Morgen ging es mir deutlich besser. Die Schwellung warpraktisch völlig verschwunden, die Haut nur noch ein wenig rot. Undnachdem ich die Creme erneut aufgetragen hatte, war die letzteunangenehme Reizung weg.Gestern hatte ich schon vergeblich versucht, mein Halsband zu öffnen.Ich konnte nicht in meinen Nacken sehen, und ertasten brachte keinenErfolg, ging auch kaum mit den Nägeln. Um meine Brustprothese zuentfernen, musste ich das Halsband mühselig nach oben schieben. Damitkam ich aber in den Bereich meiner malträtierten Haut. Deswegen gab ichauf.Nun probierte ich es noch einmal. Wenn ich das Kinn weit nach oben nahm,konnte ich das Halsband gerade so hoch schieben, dass der Abschluss derBrustprothese freilag. Jetzt war keine Zeit dafür, ich würde heute Abendduschen.Statt dessen griff ich zum Deo und sprühte reichlich. Oh, das roch aberintensiv. Ich sah auf die Dose. Parfumdeo. Kein Wunder. Aber der Duftwar nicht schlecht, schön leicht und blumig. Nun roch ich auch noch wieein Mädchen. Frau wollte ich nicht sagen, denn mein Kopf sah mit derFrisur und der jetzt glatten Haut ziemlich jugendlich aus. Und der Duftwar auch nichts für eine Frau, er passte zu einem Teenager.Noch vor sehr kurzer Zeit hätte mich das entsetzt. Ein Ding kam zumNächsten, ich wurde immer weiter feminisiert. Aber ich wollte das ja, eswar für meine Nachforschung unbedingt nötig. So war ich zufrieden übermeine Fortschritte. Spätestens in ein paar Monaten würde es nur nocheine verrückte Erinnerung sein.Heute war ich schon ein paar Minuten früher fertig, und ich sahperfekter aus als jemals zuvor. Meine Uniform saß perfekt, die Haarewaren in Ordnung. Um Makeup musste ich mich heute nicht kümmern, dafürwar die Haut noch zu sehr gereizt. Ich hätte die Augen schminken können,hatte jedoch beschlossen, der Anweisung Folge zu leisten und heute garkein Makeup zu benutzen.Der Butler kam wie immer ohne zu klopfen herein. Privatsphäre gab es fürDienstboten hier anscheinend nicht. Ein weiterer Punkt, mich mehr wieein Sklave als einem Angestellten zu fühlen. Aber ich musste aufhören,von mir als Mann zu denken, dachte ich noch, bevor ich den Butler miteinem Knicks begrüßte.”Guten Morgen”, sagte er freundlich, als er mich picobello dastehen sah,den Blick demütig zu Boden gerichtet.”Guten Morgen”, wollte ich antworten, bevor mir einfiel, dass ich janicht sprechen konnte. Aber es kam tatsächlich ein piepsiges “Gu…”heraus, bevor mich der Schreck über die unglaublich hohe Stimmeverstummen ließ.”Ah, die Stimme kommt langsam wieder.”Ich probierte es noch einmal. “Test, test. Eins, zwei drei.”Aber ich hatte wohl noch so eine Art Frosch im Hals. Irgendetwasklemmte, vermutete ich. Denn meine Stimme blieb so hoch. Dabei war sievöllig klar, nicht kratzig oder so etwas, was die ersten Tage seinkonnte, wie mir gesagt worden war.”Meine Stimme ist so hoch!” klagte ich. Das Sprechen ging problemlosohne jede Schwierigkeiten. Ich erinnerte mich an meine Schulzeit. Dorthatte eines der Mädchen auch so eine Stimme gehabt. Das gab sich dann,als sie älter wurde. Später wurde sie sogar Sängerin in einer Popgruppe.”Ich finde die Stimme sehr schön”, sagte der Butler in einembeschwichtigenden Tonfall.”Aber so hoch güvenilir bahis sollte nicht sein. Wie soll ich so arbeiten? Niemand wirdmich ernst nehmen.”Sein Blick sagte nichts anderes als warum man ein Dienstmädchenüberhaupt ernst nehmen soll. “Das ist hier kein Problem.”Ja, toll. Ich erfüllte meine Rolle noch besser. “Ich meine meine Arbeitals Detektiv. Deswegen bin ich ja hier.””Ach so.” Man könnte glauben, er hielt mich jetzt für völlig verrückt.Oder bildete ich mir das nur ein?”Ich sehe, dass du dir Mühe mit deinem Aussehen gegeben hast”, fuhr erfort, ohne mir eine Antwort zu geben. “Aber warum bist du nichtgeschminkt?””Ich darf heute noch nicht. Mein Bart ist epiliert worden, deswegen istdie Haut gereizt.” Ich könnte wahnsinnig werden mit dieser Stimme. Ichklang wie ein kleines Mädchen.”Gut, dann ist das für heute in Ordnung. Aber ich denke, du gehst bessernicht so zu den anderen Dienstmädchen. Was macht die Taille?”Ach, nun nahm er meinen Job doch zur Kenntnis. “Ich bin auf dervorletzten Stufe. Allerdings kann ich so schnell nicht abnehmen, deshalbscheint alles in meinen Po zu gehen.” Nicht nur von der Stimme, auch vomInhalt her klang ich wie ein weiblicher Teenager, stellte ich entsetztfest.”Kein Problem, das sieht man unter dem Rock nicht”, tröstete er mich.”Eigentlich ist es sogar gut, denn dann ist deine Figur überzeugender.”Das kam mir nun doch merkwürdig vor. Ich mochte klingen wie einTeenager, aber mein Verstand funktionierte noch. “Ich denke, ich sollmöglichst wie ihr Chef aussehen? Der hat doch keinen großen Po.””Wie gesagt, unter dem Rock sieht man das nicht”, speiste er mich ab.Anscheinend war er mit meinem Auftreten nicht zufrieden, denn er sahmich prüfend an. “Kann es sein, dass deine Haube nicht richtig sitzt?””Das ist wegen der Perücke. Sie lässt sich nicht richtig einstecken.””Das hättest du mir gleich sagen müssen”, sagte er streng.Nicht aufbrausen, devot sein, sagte ich mir. Ich machte einen Knicks.”Warte, ich habe eine andere Sorte.”Er kam kurz darauf zurück. “Stelle dich gerade vor mich.”Ich folgte seiner Anweisung. Erst jetzt wurde mir bewusst, dass er trotzmeiner hohen Absätze deutlich größer war als ich.Er steckte eine Spitzenhaube in meine Perücke und fummelte dann einwenig damit, bis es einen leisen Knacks gab. Er trat zurück undbetrachtete mich. Er schien zufrieden zu sein, sagte aber nichts.”Ich hole dein Frühstück”, sagte er dann und verschwand.Ich betrachtete mein neues Spitzenhäubchen im Spiegel. Es war nicht vielanderes als das Andere. Etwas zierlicher vielleicht, und die Spitzeetwas verspielter. Ich wollte es näher betrachten und es aus dem Haarnehmen. Es ging nicht. Es saß unverrückbar fest.Als der Butler wiederkam, stand ich schnell auf und machte einen Knicks.”Entschuldigung…””Ja?””Ich bekomme das neue Spitzenhäubchen nicht ab.””Das sollst du auch nicht. Wenn es einmal einrastet, lässt es sich nichtmehr entfernen. Keine Sorge, es ist wasserfest.”Beinahe wäre ich wieder aufgebraust. Ich glaube, er war zufrieden, alsnach einem kurzen Funkeln in meinen Augen ich den Blick devot senkte.”Und was ist mit dem Halsband? Es stört beim Anziehen der Prothese. Ichfinde den Verschluss nicht.””Es gibt keinen normalen Verschluss. Man braucht ein speziellesWerkzeug. Einige Mädchen hatten es verloren, und es ist ziemlichwertvoll. Deswegen kann nur ich es entfernen.” Damit ging er.Das war ja klasse! Nun war ich doch kurz davor, die Beherrschung zuverlieren. Aber ich schaffte es, die aufkommende Wut zu unterdrücken.Ich machte einen Knicks, um mich daran zu erinnern, nicht aus meinerRolle zu fallen. Es funktionierte.Ich frühstückte, während ich darüber nachdachte, dass das schon ziemlichunverschämt war, was den Dienstboten hier zugemutet wurde. Ich mussteselbst in meiner Freizeit das Halsband tragen. Das wäre ja gerade nochOK, auch wenn es mich für den, der das Wappen kannte, als Angestellteauswies. Als Dienstmädchen, um genau zu sein. Aber das Spitzenhäubchen!Damit konnte ich unmöglich das Haus verlassen. Niemand ging so auf dieStraße, auch kein richtiges Dienstmädchen.Erst jetzt dachte ich daran, dass ich auch meine Ermittlungen fortführenmusste. In dieser Umgebung begann ich manchmal zu vergessen, dass icheigentlich Detektiv war. Alles drehte sich um mein korrektes Aussehenals Dienstmädchen.Ich hatte den ganzen Tag nichts zu tun. Gegen die Langeweile nahm ichdas Buch zur Hand, das ich von Madame Berliot bekommen hatte und lernte,wie sich eine bessere Tochter zu benehmen hatte. Besonders dieTischmanieren waren völliges Neuland für mich. Wohin mit den Händen, undwie vermeidet man Lippenstift an Gläsern.Abends nahm ich eine Dusche, nachdem ich mühsam die Prothese unter demHalsband hervor gefummelt hatte. Es war auch dringend nötig, denn meineBrust war irritiert. Die Brustwarzen waren deutlich geschwollen und sehrempfindlich. Wahrscheinlich hatte die Prothese zu sehr darüber gerieben.Nach der Dusche cremte ich sie mit der Creme ein, die bei der Schwellungmeines Gesichtes so gut geholfen hatte. Es wurde auch ein wenig besser,die Schwellung blieb aber.##Nach dem Aufstehen, wie immer um halb sechs, ging ich Zähne putzen.Selbst unter dem Nachthemd zeichneten sich deutlich zwei Schwellungenab. Ich hatte erwartet, dass die Creme helfen würde, aber heute Morgenerschienen sie eher noch größer. Ich cremte sie wieder ein, bevor ichdie Prothese überzog. Es war nun schon fast normal, dass sich zweiBrüste auf mir bewegten. Es war unglaublich, welches Eigenleben sieentwickeln konnten, wenn ich keinen BH anhatte. War das mit echtenBrüsten auch so?Mit dem BH fühlte ich mich deutlich besser. Dann verengte ich dasKorsett auf die letzte Stufe. Wie immer war es zuerst unangenehm. Aberich wusste, dass ich mich bald daran gewöhnen würde. Das Gewebe darunterwich langsam an andere Stellen, und der Druck nahm ab.Meine Taille war jetzt fast irrwitzig klein. Gerade noch fünfzigZentimeter. Das war schon klein für eine Frau, aber ich hatte etwasbreitere Schultern. Entsprechend dramatisch war die Kurve.Aber das andere Korsett war noch einmal fünf Zentimeter kleiner. Ichhatte gestern die Kartons bekommen, die ich zuletzt zu Hause gesehenhatte. Eine Frage nach meiner Wohnung ersparte ich mir, sie warsicherlich schon weitervermietet.Ich hatte alles ordentlich weggeräumt. Zusätzlich zu meinen schwarzenUniformen kamen jetzt die Farbenfrohen dazu. Sie waren deutlichverspielter, mit mehr Spitze und Rüschen als meine. Mir fiel überhauptnicht auf, wie selbstverständlich ich sie als meine Uniformenbetrachtete. Nun, ich hatte auch nichts anderes zum Anziehen.Ich hatte versucht, eine der Uniformen anzuziehen. Keine Chance, esfehlten ein paar Zentimeter an der Taille. Aber das Material war edel.Schimmernd und samtweich. Für den Herrn des Hauses nur das Beste.Dann hatte ich das Korsett gemessen. Unglaublich, dass da ein nicht mehrganz junger Mann hineinpassen sollte. Ich dürfte es dank Fettabsaugungund verkürzten Rippen in ein oder zwei Tagen schaffen. War er auch anden Rippen operiert worden? Ich hatte diese Information nicht bekommen.Er musste jedenfalls zierlicher sein als ich, sonst war das in seinemAlter nicht möglich. Trotzdem unglaublich, was er für seinen Fetisch aufsich nahm.##Die Schwellung auf meiner Brust wurde einfach nicht kleiner. War dasdas, wovor mich die Schwester gewarnt hatte? Das sich Fett an anderenStellen ablagern würde? Bei älteren Männern hatte ich das schon häufiggesehen. Es scheint eine der Standardstellen des Körpers zu sein, umFett abzulagern.Mit meiner Prothese war es kein Problem, denn sie war innen ein wenighohl. Wohl um Gewicht zu sparen. Es fühlte sich angenehm an, wenn siesich weich um meine empfindlichen Brustwarzen legte.Meine Rötung im Gesicht war völlig verschwunden, die Haut wunderbarglatt. So war sie selbst nach noch so gründlichem Rasieren nie gewesen.Das war sicherlich eine der positivsten Sachen, die ich aus diesemAuftrag mitnehmen würde. Ich konnte mir vorstellen, dass das bei Frauengut ankam. Meine Freundin hatte sich immer über die kratzigen Stoppelbeschwert, manchmal auch einen Kuss verweigert.Die einzigen Haare, um die ich mich kümmern musste, waren meineAugenbrauen. Ich zupfte sie mit einer Pinzette in perfekte Bögen – nichtein Härchen stand heraus.Ich cremte mein Gesicht sorgfältig mit Makeup ein. Alle kleinenUnschönheiten verschwanden. Meine Haut sah ebenmäßig schön aus. So warmein Gesicht wohl zum letzten Mal vor der Pubertät gewesen.Ich verzichtete darauf, meine Theatertricks anzuwenden. Ein wenig Farbetat es genauso, und war nicht so störend wie etwas Aufgeklebtes. MeineWangenknochen erschienen mir auch nicht mehr so flach.Durch etwas hellere und dunklere Farbe zauberte ich meine Nase klein.Unglaublich, was ein so einfacher Trick ausmachte. Das menschlicheGehirn lässt sich leicht überlisten.Nun kam Rouge, und meine Backenknochen sahen prominenter aus. Schonjetzt sah mein Gesicht sehr feminin aus, denn ich hatte kein besondersgroßes Kinn.Um meine Wimpern musste ich mich nicht kümmern – die waren durch dieVisagistin dauerhaft lang und dicht. Ich brauchte nicht einmal Maskara.Ein dünner Lidstrich, und etwas Lidschatten – sehr dezent. Zum Schlussdie Augenbrauen nachgezogen, fertig.Stolz betrachtete ich mein Werk. Ganz ohne Eigenlob – ich sah gut aus.Und deutlich jünger, man hätte mich auf 18 schätzen können. Hörte jemandmeine Stimme, würde das schnell weiter nach unten korrigiert.So perfekt meine Verkleidung war, sie konnte zu Problemen führen. Zuschnell würde ich als minderjährig eingestuft. Von Autofahren bisAlkohol trinken konnte das Schwierigkeiten geben. Mein Ausweis konntemir nicht helfen, denn das Bild zeigte eine ganz andere Person.Ich brauchte eine Legitimation, wenn ich aus dem Haus ging. Und dannmusste mein Spitzenhäubchen ab. Ich glaube nicht, dass sie mit derHalskette mit sich reden lassen würden, damit musste ich leben. Hat aucheinen Vorteil, dachte ich sarkastisch, ich musste mich niemandemvorstellen.Ich hatte Verbindungen für gefälschte Ausweise. Aber so, wie ich aussah,kam ich kaum in mein Büro. Und meine Kontakte würden mich weder amAussehen noch an der Stimme erkennen. Es blieb nur eines, ich musste beinächster Gelegenheit mit Madame darüber reden. Schon komisch, wie siejetzt nur noch “Madame” war.Als der Butler kam, war ich fertig, perfekt in allen Details. Niemandhätte geglaubt, dass ich etwas anderes war als ein junges sexyDienstmädchen.Der Butler schien auch entsprechend zufrieden. “Gut, ich sehe, du bistbereit. Gehen wir zu den anderen zum Frühstück. Was macht das Korsett?””Ich denke, morgen kann ich es probieren. Wenn ich heute nicht zu vielesse.””Iss lieber nicht zu wenig. Ich möchte nicht, dass du umkippst.””Aber dann könnte es noch einen Tag dauern.””Es ist so viel Zeit verstrichen, da kommt es auf einen Tag auch nichtmehr an.”Viel Sorge um seinen Herrn klang da aber nicht heraus.In der Küche traf ich drei weitere Personen. Zwei Frauen und ein Mann.Das waren mit dem Butler und mir wohl die fünf Angestellten, von derMadame gesprochen hatte. Der Mann war auf den ersten Blick als Gärtnerzu erkennen, mit der Kleidung gab es kein Vertun. Eine der Frauen warälter und hatte eine strengere Form der Uniform an. Mit einem langenschmalen Rock. Die andere Frau war ein junges Mädchen, deutlich jüngerals ich. Nein, korrigierte ich mich, gleich alt wie ich, so wie ichaussah. Als sie mich wie alle anderen begrüßte, musste ich feststellen,dass sie eine tiefere Stimme hatte als ich.Beim Frühstück wurde ich natürlich ausgefragt. Ich hatte mir natürlichplausible Antworten überlegt, und konnte ohne zu zögern allesbeantworten. Dabei erfuhr ich auch etwas über die Anderen. Der Gärtnerhatte erst gestern seinen vierzigsten Geburtstag gefeiert. Vermutlichhatte er einen Kater, er schaute nicht so ganz frisch. Die Frau nannteihr Alter nicht, aber sich schätzte sie ein paar Jahre Älter. DasMädchen war stolz darauf, schon achtzehn zu sein. Sie hatte eine netteunverdorbene Art, manchmal sprudelte die Fröhlichkeit aus ihr hervor.Und das sollte die Spionin sein?”Was hältst du von dieser Halskette?” fragte sie auf einmal. Sie hattegenau so eine an wie ich, nur das bei ihr Tina darauf stand. Der Namepasste zu ihr. Die ander Frau hatte eine hochgeschlossene Bluse an,sodass man nicht sehen konnte, ob sie auch ein Halsband trug.”Soll ich ehrlich sein?” fragte ich sie mit einem Blick auf die Anderen.”Du kannst offen sprechen. Du wirst schon nicht verpetzt.””Ich war ziemlich sauer, dass sie nicht abgeht. Sie ist nicht geradeunauffällig.””Ja, da habe ich mit meinen wenigen Buchstaben direkt Glück”, kichertesie. “Aber die meisten Jungs finden sie toll. Sieht irgendwie wertvollaus.”Damit waren wir bei einem sehr wichtigen Gespräch für sie, denn es gingum Jungs. Ich ließ sie reden, und sie freute sich, einem anderen Mädchenerzählen zu können. Ich glaubte, dass meine Zielperson eher einer ihrerFreunde war. Sie schien viel zu unbedarft.Dann war das Frühstück zu Ende und wir begannen unsere Arbeiten. Ichwurde eingewiesen, was ich zu machen hatte. Alle Besucher undLieferanten empfangen, und Anrufe entgegen nehmen. Dazwischen kleinereAufgaben wie Rechnungen abheften – es schien, ich konnte dieserungeliebten Aufgabe nicht entrinnen.Die Zeit verging wie im Fluge. Schnell war es Mittag. Es gab noch einenAngestellten, den ich jetzt kennenlernte. Die Köchin. Madame hatte wohlfünf Angestellte ohne mich gemeint.Es gab für alle etwas zu essen, außer für Tina und mich. Wir musstenbedienen. Tina war froh über die Hilfe, bis jetzt hatte sie alles alleinmachen müssen. Und ich war froh das Buch gelesen zu haben, denn sonsthätte ich nicht gewusst, was zu tun war. Selbst so machte ich genugFehler. Aber heute wurden sie dem neuen Mädchen nachgesehen.Endlich konnten auch Tina und ich essen. So schnell es ging zog ich dieSchuhe aus und fluchte über die fummeligen Schnallen. Dann streckte ichdie schmerzenden Füße aus. Nina tat dasselbe, schien aber nicht solcheProbleme wie ich zu haben. Das lag sicherlich daran, dass sie mehr Übunghatte. Aber nun sah ich auch, dass ihre Absätze etwas niedriger waren.Wenn wir des Öfteren nebeneinandergestanden hatten, hatte ich bemerkt,dass wir genau gleich groß waren. Sie war anscheinend ein paarZentimeter größer als ich, und das wurde über die Absätze justiert.Warum hatte sie nicht fünf Zentimeter kleiner sein können? Meine Füßehätten es ihr gedankt.Nach dem Essen hätte ich am Liebsten die Schuhe nicht mehr angezogen.Aber was blieb mir übrig? Ich war mir sicher, heute Abend kaum nochlaufen zu können. Es war nur gut das die vielen Aufgaben mich ablenkten.Ich hatte gedacht, mein Job wäre nur Tarnung. Aber sie brauchten einweiteres Dienstmädchen, das war klar. Selbst noch eines wäre kein Fehlergewesen.Immerhin musste ich nicht mit einem Staubwedel durch die Räume gehen,darüber war ich froh. Es war zu sehr das klassische Dienstmädchenbild.Warum ich mir darüber Sorgen machte, war mir nicht klar. Ich war zuhundert Prozent Dienstmädchen – ich sah so aus und hatte einenentsprechenden Vertrag.Am Ende des Arbeitstages kam noch einmal eine große Herausforderung fürmeine Füße: Abendessen servieren. Ich war unendlich froh, als dasüberstanden war. Ich wusste nicht, wie viele Kilometer ich gelaufen war,und wie oft ich einen Knicks gemacht hatte. Es kam nun schon völligautomatisch, ich brauchte nicht mehr darüber nachzudenken.Endlich war ich in meinem Zimmer und konnte die Schuhe für heuteausziehen. Zuerst tat es fast mehr weh, mit dem flachen Fuß aufzutreten.Für die Zeit nach dem Abendessen hatte einer der DienstbotenBereitschaft. Bis jetzt waren auch die Frau und der Butler daranbeteiligt, nun waren es nur wir zwei Mädchen, die sich abwechslenmussten. Deshalb mussten wir auch nach Feierabend unsere Uniformentragen. Nun, ich hatte sowieso nichts anderes. Dafür einen ganzenSchrank voll.Bei den bunten Uniformen war ein nicht gerade alltäglicher Geschmack zumAusdruck gekommen. Aber was sollte man auch von einem älteren Mannerwarten, der so etwas anzog?Eine war in einem leuchtenden Rosa, das es schon fast die Augenschmerzte. Eine andere in einem Neon Farbton, der sowohl gelb wie grünsein konnte. Ich konnte mich nicht entscheiden, was es war. Jedenfallsziemlich grell. Eine war feuerrot, so ziemlich das grellste Rot, das ichje gesehen hatte. Die Letzte war weiß. Aber ein sehr glänzendes Weiß.Ich fühlte das Material. Meine Vermutung bestätigte sich: Das war keinStoff, das war PVC. Neugierig geworden untersuchte ich die zugehörigenSachen, die an dem Bügel nebenan hingen, wie bei allen Uniformen. DerPetticoat und das Korsett waren ebenfalls aus PVC. Nun entdeckte ichauch weiße oberschenkelhohe Stiefel aus PVC mit himmelhohen Absätzen.Wie hatte ich das bis jetzt übersehen können? Ich hatte doch das Meisteselbst hineingeräumt? Nein, ich war mir sicher, bis jetzt war das nichtin meinem Schrank gewesen. Nun entdeckte ich auch ein weiteres PaarSchuhe. Slipper mit einem hohen Absatz, der etwas niedriger war alsmeine Uniform Schuhe. Er hatte nur ein Band über den Vorderfuß, das mitflauschigen Fell besetzt war. Ziemlich kitschig, fand ich. Trotzdem zogich einen an, denn ich hatte keine Hausschuhe und wusste nicht, wielange das meine Strumpfhose mitmachen würde.Er war verblüffend bequem. Und auch meine Beine protestierten nichtmehr, nach einem ganzen Tag in sehr hohen Absätzen flach aufgesetzt zuwerden. Die etwas kleineren Absätze waren ideal, obwohl sie immer nochhoch waren. Ganz im Gegensatz zu den PVC-Stiefeln, von denen ich mirnicht vorstellen konnte, wie man darin laufen sollte.Plötzlich stand wieder der Butler im Raum. Ich fand das wirklichstörend, das auf die Privatsphäre keinerlei Rücksicht genommen wurde. Ober das bei Tina genauso machte? Ich würde sie bei Gelegenheit fragen.”Ziehe dich morgen nicht an. Wir werden das Korsett probieren.”Ich nickte und machte einen Knicks.Später zog ich mir das Nachthemd an. Obwohl der Stoff recht weich war,schmerzte die Berührung auf meinen geschwollenen Brustwarzen. Ich wusstemir nicht anders zu helfen, als wieder einen BH anzuziehen. Die Cupswurden zwar kaum ausgefüllt, aber nun rieb nichts mehr.##Irgendwann bringe ich ihn um, dachte ich, während ich den plötzlicheintretenden Butler mit einem Knicks begrüßte. Ich war wunschgemäß immernoch im Nachthemd, mit Korsett und BH darunter. Den BH merkte ich erstwieder, als ich nun das Nachthemd auszog. Leicht errötend zog ich ihnaus, um ihn mit meiner Brustprothese zu ersetzen. Ich war froh, dass nunmeine geschwollenen Brustwarzen nicht mehr zu sehen waren.Nun folgte das Korsett. Nach der sehr engen Umschließung war esunangenehm, plötzlich ohne es zu sein. Ich fühlte mich regelrechtinstabil.Der Butler schwang ein Maßband um meine Taille. Er nickte anerkennend.”Sehr gut, das müsste gehen. Hier, ziehe den Slip an.” Er gab mir einenin leuchtendem Rosa.Ich ging ins Bad und wechselte die Slips. Dieser war raffinierter alsder andere, der meinen Penis einfach nur durch sein festes Materialwegdrückte. Dieser hatte eine Tasche dafür. Das war deutlich bequemer,und man sah trotzdem nichts von meinem Penis.Ich ging zu ihm zurück und er legte das Korsett lose um mich, dasgenauso rosa wie der Slip war. Dann zog er die Schnürung leicht an. Nunmusste ich die Maschine wie einen Rucksack anziehen. Er fädelte dieSchüre in sie ein, steckte den Stecker in die Dose und betätigte einenSchalter.Es summte leicht und es wurde enger um mich. Schnell wurde es enger undenger. Als ich dachte, ich würde zerdrückt, stoppte der Motor. Er nahmmir die Maschine ab.Ich konnte mich kaum auf den Beinen halten. Das war unglaublich eng! ImSpiegel sah ich meine irrwitzig kleine Taille. Ich hätte nie geglaubt,dass so etwas möglich sein würde. Ich hoffte nur, das verdrängteMaterial würde nicht wieder auf meinem Po landen. Oder gar auf meinerBrust.Was sagten eigentlich meine inneren Organe dazu? War das nichtschädlich?Der Butler beschäftigte sich in meinem Rücken, während ich um Luft rang.”Eine Abdeckung, damit man die Schnürung nicht sieht”, erklärte er.Wer sollte denn mein Korsett sehen? Das war doch völlig egal.Aber jetzt war er fertig. “Wo ist…? Ach ja.” Damit zeigte er mir einkleines Vorhängeschloss. “Es gab ihm immer den gewissen Kick, wenn erdie Sachen nicht mehr ausziehen konnte.” Damit machte es in meinemRücken klick.Klasse, jetzt war ich in diesem unglaublich engen Korsetteingeschlossen. Ich fand das überhaupt nicht lustig. Aber ich warmomentan zu schwach, um zu protestieren.”Ich komme in einer Viertelstunde wieder, damit du dich erholen unddaran gewöhnen kannst.” Damit war er auf seine unglaubliche Art weg.Ob er es deshalb abgeschlossen hatte, damit ich es mir nicht von Leibriss? Ohne das Schloss wäre ich tatsächlich in Versuchung gewesen, dennes war viel zu eng. So hatte ich keine Chance als zu warten.Langsam beruhigte sich mein Atem. Ich war wohl auch etwas in Panikgeraten. Nach ein paar Minuten war es besser. Ich betrachtete micherneut im Spiegel. Es war schon ein bizarrer Anblick. Ich glaube, einFetisch Magazin würde viel Geld bezahlen. So etwas hatte ich nochnirgends gesehen. Und ich war es, den ich da betrachtete. Unglaublich.Ich schüttelte den Kopf und meine Haare kitzelten mich wieder, und dieOhrringe baumelten wild.Der Butler kehrte zurück. “Geht es jetzt?””Gerade so. Es ist nicht gerade angenehm.””Es wird besser im Laufe der Zeit. Ziehe dich an. Hier, zuerst dieStrümpfe.” Er gab mir lange weiße Feinstrümpfe mit einemSpitzenabschluss.Ich schaffte es nicht mich zu meinen Füßen zu bücken. “Ich schaffe esnicht. Können sie mir helfen?”Wortlos setzte er sich auf einen Stuhl, nahm ein Bein auf seine Knie undzog mir den Strumpf an. Bald war mein Bein in hauchzartes Weiß gehüllt.Dann befestigte er ihn an den Strapsen vom Korsett. Kurz darauf sah daszweite Bein genauso aus.”Ich denke, ich ziehe dir auch gleich die Schuhe an”, sagte er mit etwaseigentümlicher Stimme. Sonst klang er immer so reserviert.Er nahm einen der Schuhe. Ein kleines Stiefelchen, genauso intensiv rosawie der Rest. Der Absatz war fast so hoch wie bei den PVC-Stiefeln. Obich darin überhaupt gehen konnte?Er zog mir den Schuh an. Er passte wie alles andere, als ob ermaßgefertigt wäre. Schon komisch, dass ich genau dieselbe Schuhgrößehatte. Die Schnürung wurde langsam aber sicher geschlossen. Mein Fuß wareng umhüllt. Das versprach eine gewisse Stabilität, sodass ichvielleicht doch laufen könnte. Jetzt war er fertig mit der Schnürung,aber es hing immer noch ein breites Band von dem Schuh. Er zog mir nunaber den Anderen an und begann ihn zu schnüren.Fast hatte ich das Gefühl, er machte es langsam, weil er es genießenwollte. Und nun sah ich auch die Beule in seiner Hose. Er hatte eineErektion! Der Kerl war genauso pervers wie sein Herr.Nun nahm er das erste Bein auch auf seine Knie. Ich war darauf nichtgefasst und wäre beinahe nach hinten gekippt. Während ich mich wiederaufrichtete, hörte ich ein Klick. Als ich wieder zu meinen Füßen sehenkonnte, sah ich, wie gerade am anderen Schuh das Band um meine Fesselgeschlungen und mit einem Schloss gesichert wurde. Ein Schloss an meinerFessel – welch passender Ort, dachte ich sarkastisch.Er atmete schwer und ich sah einen kleinen feuchten Fleck an seinerHose. Der Typ war echt kaputt. Ich tat so, als hätte ich nichts bemerkt.Wer weiß, wie er reagieren würde. Ich wollte schließlich aus diesenSachen wieder heraus, und ohne ihn ging das nicht.Ich stand auf. Oha, ich war deutlich größer geworden. Aber die Stiefelgaben festen Halt, und so ging es. Mit Pumps hätte ich es kaumgeschafft, ich wäre sicherlich ungeknickt. Dann stelzte ich zum Schrank,denn Gehen konnte man das kaum nennen, und holte die rosa Uniform samtPetticoat. Nach dem, was ich bereits anhatte, kam nur die in Frage. DerPetticoat war wie ein Unterhemd mit angenähtem Rock und warangenehmerweise weiß. Ich zog ihn über den Kopf. Das Oberteil war sehrflexibel und passte sich meiner Taille an. Der Petticoat war üppig, sehrüppig. Wahrscheinlich hatte er deshalb nicht nur einen Gummibund.Ohne den Rock darüber stand er beinahe horizontal ab. Und ich spürte,dass um meine Beine jede Menge Material war. Er liebkoste den schmalenBereich nackter Haut oberhalb der Strümpfe. Hmmmm, das war gut, sehrgut. Ich glaube, ich wollte keine Strumpfhose mehr.Nun kam die Uniform. Der Stoff war wesentlich fester als meine Uniform.Ich meine die Schwarze, die ich sonst trug. Es war Brokat oder so etwas.Der Butler hatte sich erholt und half mir, sie über den Kopf zu ziehen.Dann zog ich sie nach unten. Der Rock legte sich in schönen Wellen überden Petticoat, stand aber immer noch etwa in einem 45-Grad-Winkel ab.Das sollte später noch zu einem Problem werden.Er zog mit den Reißverschluss zu. Das war anscheinend gar nicht soeinfach, denn immer wieder stockte es, und er musste an dem Stoffziehen. Zum einen lag das an dem schweren Stoff, aber auch daran, dassdas Kleid gerade so über meine Taille passte. Und das bei meinersuperschmalen Taille!Endlich war er zu. Ich hörte wieder ein Klick. Ich konnte es nichtfassen. Der Herr des Hauses mochte wirklich das Gefühl, die Kleidernicht mehr ausziehen zu können. Und dem Butler gab es auch einem Kick,wie ich alleine schon am Atmen hörte. Kaum schaffte er es, mir dieSchürze umzubinden.Nachdem er mich eine Zeitlang betrachtet hatte, sagte er, “Ich nehmenicht an, dass du frühstücken willst?”Ich schüttelte den Kopf. “Ich bezweifle, dass etwas in meinen Bauchpasst.””Gut, in der Zwischenzeit schminke dich. Zu der Uniform gehört einkräftiges Makeup, hier sind die Sachen.” Er gab mir eine kleine Tasche.Damit war er wieder verschwunden.In welches Irrenhaus war ich hier eigentlich gekommen, fragte ich mich.Da schließt mich der Butler in die Parodie einer Uniform ein, und esgeht ihm einer ab dabei. Ich konnte nicht glauben, was ich im Spiegelsah. Durch die riesigen Puffärmel war ziemlich viel Stoff um dieSchultern. Durch den festen Stoff standen sie schön, es sah gut aus.Und dann der weit abstehende Rock, unter dem das Meer der Rüschen desPetticoats aufblitze. Dazwischen war die unglaublich kleine Taille, dienun noch kleiner wirkte. Es sah irrwitzig aus.Unten ragten meine weiß schimmernden Beine hervor, um in denStiefeletten mit den unwirklich hohen Absätzen zu enden.Das war etwas, was sich nur ein Fetisch Liebhaber ausdenken konnte. Vorallem in dieser Farbe! Das Rosa war nur grell zu nennen. Trotzdem – esübte in all seiner grenzenlosen Übertriebenheit eine gewisse Faszinationaus. Je länger ich mich betrachtete, um so mehr fühlte ich meinen inseiner Tasche eingeengten Penis.Ich wandte mich ab, ehe es einen Unfall in meinem Höschen gab. Ichsetzte mich an den Spiegel und holte den Inhalt aus der Tasche. RosaNagellack und Lippenstift, passend zu meinem Kleid. Lidschatten,Eyeliner und Maskara. Und ein Bild, das vorgab, wie es auszusehen hätte.Es war anscheinend aus einer Werbung für Kosmetik und zeigte ein extremstark geschminktes Auge.Nun würde ich meine Theaterkenntnisse doch noch anwenden können, dennmit dezenten Schminken hatte das nichts zu tun. Ich bezweifelte auch,dass das notwendig war, um in den Raum zu kommen. Das war nur zurBefriedigung des Butlers.Ich machte mich an die Arbeit. Die Lider wurden intensiv Azurblau. DasBlau war mindestens so leuchtend wie das Rosa des Kleides. Dazu kamenglitzernde Akzente. Meine dichten künstlichen Wimpern wurden durch dieMaskara noch mehr hervorgehoben. Ein dicker Lidstrich umrahmte die Augendramatisch.Das hatte ziemlich lange gedauert. Umso schneller war der Lippenstiftappliziert. Noch nie hatte ich bei einer Frau so grellrosa Lippengesehen. Aber in all seiner Übertriebenheit wirkte es trotzdem, odergerade deshalb, sehr erotisch. Irgendwie erinnerte es mich an eines derMusicals. Ja, Starlight Express hieß es.Nun fehlte nur noch der Nagellack. Bald waren auch meine Nägelgrellrosa. Ich wedelte mit meinen Fingern in der Luft, als der Butlerwiederkam. Ich hatte, während der Nagellack trocknete, darübernachgedacht, was an meiner Kleidung nicht richtig war. Etwas war nichtso, wie es sein sollte, aber ich kam nicht drauf. Und damit meinte ichnicht mein Aussehen als Fetisch-Dienstmädchen.”Stell dich bitte hin, ich möchte dich ansehen.”Ich stellte mich in die Mitte des Raumes und ließ mich anstarren. Ichhatte gehört, wie Frauen sich darüber beschwerten. Nun konnte ich esverstehen. Er sah mich mit verklärten Augen an. Nach ein paar Minutenlöste er sich aus seiner Starre. “Ja, du bist sehr überzeugend. Ichdenke, du wirst passieren können. Lass uns gehen.” Damit ließ er michdurch die Tür. Das war garantiert keine Höflichkeit, er wollte mich nurvon hinten beobachten.Das Ganze kam mir immer merkwürdiger vor. Was passierte hiertatsächlich? Beinahe wäre ich stehen geblieben, als ich endlicherkannte, was es war. Alle Sachen waren nagelneu! Nichts davon warjemals getragen worden, auch das Makeup unbenutzt.Das musste nicht unbedingt etwas heißen, denn die anderen Uniformenkonnten getragen worden sein. Vielleicht tickte der Hausherr ja dochetwas normaler wie der Butler und hatte kein Faible für rosa.Trotzdem, ich bekam Bauchkribbeln. Und das lag nicht an dem zu engenKorsett. Oder jedenfalls nicht nur.Endlich hörte ich ihn rufen und wir hielten vor einer Tür. Darüber wartatsächlich eine kleine Kamera. “Stell dich vor die Kamera”, forderte ermich auf.Ich tat es, denn nur deshalb hatte ich das alles auf mich genommen, dieOperation und die Korsetts. Und letztlich auch die Bartepilation, um nurdie permanenten Dinge zu nennen. Wenn sich noch mehr Fett auf meineBrust verlagerte, dann konnte ich bald besser im Bikini ins Schwimmbadgehen.Und das alles dafür, dass sich nun die Tür nicht öffnete. Was michallerdings wunderte, der Butler schaute genauso enttäuscht wie ich.”Ah, ich weiß, was fehlt!” rief er auf einmal, und er sah tatsächlich soaus, als wäre ihm ein Licht aufgegangen. Er eilte davon und kam mitetwas in der Hand zurück. Dann kniete er sich vor mir hin. “Bleib stillstehen,” wies er mich an. Ich fühlte etwas Kaltes an meinem Bein direktoberhalb der Stiefeletten, und dann am anderen Bein. Er stand auf.Ich konnte nichts sehen, da der Rock im Weg war. Wegen der Schuhe mussteich mich an der Wand abstützen, um mich über den Rock beugen zu können.Fassungslos sah ich auf zwei breite chromglänzende Metallschellen anmeinen Beinen direkt oberhalb der Schuhe. Sie waren mit einer dünnenfiligran Kette von etwa 30cm Länge verbunden.”Sorry, er hatte halt diesen Tick.”Entweder dieser Butler war ein hervorragender Schauspieler oder ermeinte es ehrlich, als er mich etwas zerknirscht ansah.Merkwürdigerweise machte mir die Kette nichts aus. Ich fand das Korsettwesentlich restriktiver, und darin war ich auch eingeschlossen. Wieviele Schlösser waren jetzt eigentlich an mir?Aber wieder passierte nichts. Wenn er jetzt mit noch etwas käme, dannwäre ich endgültig überzeugt, dass er mir etwas vormachte. Aber erschaute nur ratlos.Auf einmal kam mir ein Gedankenblitz. Es ist schon merkwürdig, wie einemdiese Ideen kommen. Ich erinnerte mich an “Herr der Ringe”, als dieGruppe vor dem Tor nach Moria stand und nicht herein kam. “Sprich Freundund tritt ein” war die Lösung. Ein Dienstmädchen spricht nicht, es machteinen Knicks.Ich machte es und hörte ein kaum wahrnehmbares Klick. Die Leuchtdiode amTürgriff wechselte von rot nach grün.”Super, du hast es geschafft!” freute sich der Butler. “Entschuldige,die Kette wäre wahrscheinlich nicht nötig gewesen.”Ich wurde nicht schlau aus ihm. Meinte er es doch ehrlich? Er wollte inden Raum gehen.”Moment bitte”, sagte ich mir aller Autorität, zu der ich mit meinerStimme fähig war. “Ich möchte den Raum unverändert sehen. Das bedeutet,ich gehe allein hinein.”Er sah überrascht in mein Gesicht. Dort war trotz des Makeups deutlichzu lesen, dass ich es nicht als Bitte meinte. Hier war ich der Detektivund nicht das unterwürfige Dienstmädchen.Nun wandelte sich sein Gesichtsausdruck in Ärger. Aber er sagte nichtsund ging. Dieser finstere Gesichtsausdruck ließ aber nichts Gutes ahnen.Ich glaube, dass er sich dafür rächen würde.Aber nun ging ich erst einmal in den Raum. Ich schloss die Tür hintermir, um nicht gestört zu werden. Niemand außer mir konnte hierhereinkommen.Ich war am richtigen Ort, und das in mehr als einem Sinn. Denn meinOutfit passte perfekt zu dem Raum. Er war voller Fetisch Artikel undBDSM. Lack, Latex, Leder, es gab alles. Fesseln in allen Variationen.Ich schaute mir alles gründlich an. So beeindruckend die Auswahl war, sowenig half sie mir weiter. Es gab keinen Bezug auf eine Domina oderBilder. Es hätte der Ausstellungsraum eines Fetischladens sein können.Und das stimmte auch dahin gehend, das vieles neu war. Allerdings leiderohne Etiketten. Ich schaute in diverse Kleidungsstücke – nichts. Genauwie in meiner derzeitigen Uniform, stellte ich fest.Es gab nicht einmal Magazine, was mich sehr verwunderte. Nach mehrerenStunden genauer Inspektion verließ ich den Raum. Einiges davon hätte ichgerne einmal ausprobiert, aber das Meiste lieber nicht. Einige derFesseln sahen gemein aus. Als Profi hatte ich nichts angerührt, auchwenn mich niemand stören konnte. Nur ich hatte die schmale Taille, dieder Schlüssel zu diesem Raum war. Nicht einmal Tina käme hier herein.Es war schon ein merkwürdiges Gefühl, eine schmalere Taille zu haben,als ein junges, attraktives Mädchen.Ich verließ den Raum. Draußen wartete der Butler, sichtbar nicht besterLaune. “Lass die Tür auf”, pflaumte er mich an.”Nein”, piepste ich. “das geht nur Madame und mich an, und keinenAngestellten.” Damit zog ich die Tür zu. Die Led wurde rot.Der Butler schnaubte wie ein wütender Stier. Er hätte devot sein übensollen, dachte ich, und lächelte bei dem Gedanken.Mein Lächeln erzürnte ihn nur noch mehr. “Dann geh nach unten undbeginne deine Arbeit.”Das ich das in diesem Aufzug machen sollte, war garantiert nichtgeplant. Er wollte mich demütigen. Und fast gelang es ihm. So wollte ichsicherlich von niemanden gesehen werden, es war zu peinlich.Aber im letzten Moment beherrschte ich mich. Mein automatischer Knickswar die Rettung.Ich fragte ihn erst gar nicht, mich von der Kette zu befreien. Es wärevergeblich gewesen, er wollte mich in seinem Zorn so allen vorführen.Ich muss zugeben, dass ich gehöriges Kribbeln in Bauch hatte, als ichdie eine Etage nach unten ging. Mit der Kette an den Beinen konnte ichkaum die Stufen laufen, zusätzlich zu den unsäglich hohen Absätzen. DasKorsett tat sein Übriges.Unten angekommen überholte mich der Butler, was mit meiner kurzenSchrittlänge nicht schwierig war. “Gehe in die Küche. Gleich muss dasEssen serviert werden.”In der Küche hätten mich die Köchin und Tina nicht erkannt, sie stauntenden bizarren Anblick nur an. Als ich dann etwas sagte, wurden ihre Augennoch größer.”Mein Gott, was ist passiert?” Sie sah mich noch einmal von oben bisunten an.”Erzähle ich dir später.””Nicht reden bei der Arbeit”, fuhr mich der Butler von hinten an.Ich sagte nichts mehr. Ich würde aufpassen müssen, er würde die kleinsteChance nutzen, um sich zu rächen. Dabei erledigte ich nur korrekt meinenJob. Meine zwei Jobs genauer gesagt, aber er wollte mich nur als devotesDienstmädchen sehen, mit dem er seinen Fetisch ausleben konnte.Das Auftragen der Speisen fiel mir nicht leicht, da ich dauernd mit demGleichgewicht kämpfen musste. Mehrmals wäre ich beinahe gestürzt, alssich die Kette in einem Absatz verfing. Ich lernte allmählich, siemöglichst gespannt zu halten.Bei einem so einem Beinahesturz fragte mich Tina, “Kann ich dir helfen?””Nicht nötig”, sagte ich leise zurück.Aber der Butler hatte es gemerkt. “Ich hatte dich doch schon wegensprechens bei der Arbeit zurecht gewiesen. Jetzt ist es genug. Ich mussdisziplinarische Maßnahmen ergreifen.” Er kam zu mir und holte dabeietwas aus seiner Tasche.Er befahl mir, “Mund auf.” Völlig verdattert gehorchte ich. Schnellschob er etwas Birnenförmiges hinein. Meine Erstarrung ob dieserunerwarteten Handlung nutzte er, um ein Band um meinen Nacken zu ziehenund vor meinem Mund mit dem anderen Ende mittels eines nicht geradekleinen Vorhängeschlosses zu verbinden.Als ich eine Sekunde später zu mir kam, tastete ich ungläubig an dasbaumelnde Schloß vor meinem Mund. Meine Mundhöhle war fast völligausgefüllt und ein intensiver Gummigeschmack machte sich breit.Immer noch völlig verdutzt schüttelte ich den Kopf. Nun gesellte sich zuden baumelnden Ohrringen noch ein baumelndes Schloss. Es war wohldeshalb so groß, um jedem zu zeigen, dass mein Mund wortwörtlichverschlossen war.”So, und nun erwarte ich, dass du keine Fehler mehr machst.”Auf allen Gesichtern war ungläubiges Staunen. Das konnte er sich nurleisten, weil Madame nicht da war. Dadurch war er der Ranghöchste.Wollen wir einmal sehen, ob du jetzt keine Fehler gemacht hast, dachteich mir. Ich werde den heutigen Tag auch geknebelt überstehen, aber duhast eventuell morgen keinen Job mehr. Plus eine Anzeige. Genug Zeugenwaren da.Nach dem Essen war nur noch Bereitschaft für mich. Tina zog mich in dieKüche, wo wir jetzt alleine waren. Endlich konnte ich sitzen, aberleider meine Schuhe nicht ausziehen. Vermutlich würde ich das Schlossauch so schnell nicht loswerden. Tina fragte, “Hast du dieses Kostümwegen ihm an?”Ich nickte. Nicht sprechen zu können war nichts Neues für mich, unddeshalb schockte es mich nicht. Nur das baumelnde Schloss störte. Undder Gummigeschmack, der aber nun stark nachließ. Vermutlich war auchdieser Knebel neu und schmeckte deshalb so intensiv.”Er war so sauer. Hast du ihn geärgert?”Ich nickte wieder. Beim nächsten Mal würde ich das Schloss festhalten.Es war schwer genug, das auf die Dauer das Baumeln weh tat.”Prima. Der Kerl ist ein Arschloch. Ich hatte auch einmal etwas falschgemacht, da hat er mir den Hintern versohlt.”Das ihm das Spaß gemacht hatte, konnte ich mir gut vorstellen.Da klingelte der Alarm. Natürlich das Zimmer des Butlers.”Das macht er nur, um dich zu ärgern.”Ich nickte wieder, und hielt dabei diesmal das Schloss in der Hand. Dannstand ich auf.Aus der Küche ging es durch das Esszimmer zur Treppe. Im Flur warendiverse Gegenstände zur Dekoration. Sehr stilvoll, wie nicht anders zuerwarten.Ich richtete meine Aufmerksamkeit mehr auf die Kette zwischen meinenBeinen als auf den Weg, um nicht zu stürzen. Was eigentlich auch keinProblem war, denn es gab keine Hindernisse. Aber ich hatte meinenabstehenden Rock vergessen, durch den ich wesentlich mehr Platzbrauchte. Er streifte eine Vase, ohne dass ich es merkte. Erst das lauteScheppern sagte mir, dass etwas nicht stimmte.Ich drehte mich langsam um, um nicht das Gleichgewicht zu verlieren. Aufdem Boden lagen Scherben. Ich konnte mich an die Vase erinnern, die dortgestanden hatte. Irgendetwas Asiatisches.Wenige Augenblicke später kam der Butler angestürmt. Er sah die Scherbenund schrie, “Was hast du da angestellt? Bist du nur unfähig?”Ich stand einfach nur da, was sollte ich auch sonst tun? Reden konnteich nicht, und bücken, um die Scherben aufzuheben, war genausounmöglich.”Die Vase war unglaublich teuer! Das wird Folgen haben. Jetzt werde icherst einmal dafür sorgen, das du nicht noch mehr Blödsinn machst.”Einige Augenblicke später starrte ich auf die Kette an meinen Armen. Siewar genauso wie die an meinen Beinen, praktisch identisch. Nur hattendie breiten Manschetten weniger Umfang, da für Arme gedacht, und dieKette kürzer, kaum zwanzig Zentimeter.Wie er das so schnell an meine Arme gebracht hatte, war mir völligunverständlich. Es war wie die unheimliche Art, in der er in ein Zimmerkam oder verschwand.Nun hatte ich aber die Nase gestrichen voll. Nein, ich war richtigsauer. Schluss mit devoten Dienstmädchen. Dummerweise war ich an Armenund Beinen gefesselt, hatte einen Knebel. Dabei war meine Kleidung schonrestriktiv genug.Wie auf einen telepathischen Hilferuf hin kam Madame. “Was geht hiervor?” fragte sie mit ruhiger Stimme. Nur einen kurzen Augenblick hattesie meinen bizarren Anblick gemustert. So eine Professionalität wünschteich mir.”Michelle zeigt ein Fehlverhalten nach dem Anderen. Ich habe deshalb zudisziplinarischen Maßnahmen gegriffen.””Ich muss sowieso mit ihr reden. Bringe sie in die Bibliothek.” Es warvöllig selbstverständlich für alle mich feminin anzureden, selbst beidenen, die es besser wussten.Der Butler folgte der Anweisung. Bald saß ich in einem bequem Sessel,wofür ich überaus dankbar war. Meine Füße schmerzten. Ich bezweifelteallerdings, dass ich mit meinem Korsett und den Armfesseln ohne Hilfewieder aufstehen konnte.Dann wies sie ihn an, “Entferne den Knebel.”Es passte ihm sichtlich nicht, das zu tun. Aber kurz darauf war derKnebel entfernt. Er legte ihn neben mich auf einen kleinen Tisch, wohlals mahnenden Hinweis. Vielleicht sollte ich das so interpretieren,besser nichts Falsches zu sagen.”Du kannst gehen.”So rausgeschmissen zu werden passte ihm überhaupt nicht. Er wollte wohleine Anklage vortragen. Missmutig verschwand er.”Gut, jetzt will ich wissen, was in meiner Abwesenheit passiert ist. Unddas will ich von Ihnen als Detektiv wissen.”Diese Frau beeindruckte mich immer mehr. Es war so, als ob ich mit ihrin meinem Büro säße, und nicht als Fetisch Dienstmädchen in ihrem.Ich versuchte zu sprechen, aber es kamen nur einige piepsige Lauteheraus. Vielleicht eine Folge des Knebels, oder war es meine Aufregung?Ich war nicht so ruhig, wie sie es war.Sie ignorierte meinen Fehlversuch. “Fangen Sie am Besten damit an, warumSie dieses”, sie machte eine abfällige Handbewegung, “Kostüm tragen.”Ich nahm befriedigt zur Kenntnis, dass sie sie es nicht Uniform nannte.”Es ging um den Zugang zu dem verschlossenen Raum Ihres Vaters. Es warklar, dass ich ein spezielles Kostüm tragen musste, um von derElektronik erkannt zu werden. Trotzdem hat mich das Ausmaß ein wenigüberrascht.””Inwieweit?””Nun, das Rosa ist ein wenig intensiv für meinen Geschmack, zudem derZutritt wohl nur nach der Silhouette gewährt wird, und nicht nach derFarbe. Es wären nicht ganz so extreme Kostüme vorhanden gewesen.”Sie nickte bestätigend.”Dann sind da die vielen Schlösser. Das Korsett, das Kleid und dieSchuhe sind verschlossen, ich kann sie nicht ausziehen. Das Makeup warsicherlich auch nicht nötig.””Ja, ich kenne diese Schwäche von ihm. Solche Dinge erregen ihn. Nur hater sie bis jetzt noch sie so öffentlich gezeigt. Ich nehme an, IhrAnblick hat ihn ein wenig aus der Bahn geworfen, da sein Fetisch sodeutlich Realität geworden ist. Ich muss sagen, ich bin von Ihrer Taillebeeindruckt.” Das war das einzige Mal, das sie auf mein Ausseheneinging.”Er ist ein überaus wertvoller Mitarbeiter und ich werde ihm seineoffensichtlichen Verfehlungen nachsehen. Ich möchte nicht, dass eszwischen Ihnen zum Streit kommt. Er ist jetzt erregt. Ich kenne ihn, erwird in Kürze wieder sein gutmütiges Selbst sein. Vermutlich hat es mitdem Verschwinden meines Mannes zu tun. Sie haben wohl beide dieselbenNeigungen, und er kann seinen nicht mehr nachgehen. Auch weil nur SieZutritt zu dem Raum haben, aber er nicht.”Ich weiß nicht, wie sie diesen Aspekt erraten hatte. Meine Hochachtungwuchs weiter.”Wie gesagt, ich möchte, dass diese Angelegenheit gütlich beendet wird.Er wird sich noch ein wenig abreagieren wollen. Das bedeutet wohl morgenein paar Klapse auf den Po und die Strafuniform für ein oder zwei Tage.Nichts, was Sie umbringen wird. Ich möchte Ihnen für dieseUnannehmlichkeiten einen Bonus zahlen. Sind 3000 Euro akzeptabel?”Ich nickte, beinahe zu dem nicht mehr vorhandenen Schloß greifend.”Das beinhaltet, dass Sie ihm etwas entgegen kommen. Wenn er sichabreagiert hat, verbringen Sie einen Abend in dieser Fetischkleidung mitihm oder so etwas.” Eine Handbewegung zeigte, wie wenig sie von solcherKleidung hielt.”Kein Problem.””Ich sehe, Sie sind wie immer professionell. Das gefällt mir. Was habenIhre Recherchen ergeben?””Leider nicht viel. In dem Raum sind nur unpersönliche Dinge. Aber ichhabe nur einen groben Überblick, ich muss das noch genauer untersuchen.Bezüglich des Mädchens ist meine erste Annahme, dass sie nichts weiß,vielleicht durch einen Liebhaber gesteuert wird. Das braucht noch Zeit,sie muss Vertrauen zu mir fassen.””Nun, ein weiterer Besuch des Raumes bedingt ein erneutes Tragen desKostüms. Vielleicht eine Möglichkeit, mit dem Butler Frieden zuschließen. Am Besten, Sie kommen ihm entgegen. Sagen Sie ihm, dass Siediese Kostüme erregen, und die Schlösser und all das.” Wieder dieseabwertende Handbewegung.”Das dürfte ein paar zusätzliche Unannehmlichkeiten bedeuten. Ich erhöheden Bonus auf 5000 Euro. Dafür stellen Sie mir aber auch meinen Butlerzufrieden. Einverstanden?””Ja.””Sonst noch etwas?””Ja. Ich muss demnächst wohl Recherchen außerhalb machen. Ich habe aberkeine Papiere. Mein derzeitiges jugendliches Aussehen könnte schnell zuProblemen führen. Außerdem brauche ich Kleidung, ich kann nicht in einerUniform recherchieren.””Gut. Ich werde das Vorbereiten. Kommen Sie morgen Nachmittag in meinBüro. Die Kleidung erhalten Sie, sobald die Papiere fertig sind.””Dann wäre das von meiner Seite alles.””Gut. Ich erwarte, dass es keinen Ärger mehr gibt. Sollte er über dieStränge schlagen, dann sagen Sie mir Bescheid.” Nach einer winzigenPause fuhr sie fort, “Und nun Michelle, lege deinen Knebel wieder an. Duwarst wirklich ein unartiges Mädchen und musst bestraft werden.”Ich versuchte genau so professionell zu sein wie sie und legte denKnebel ohne ein Seufzen an. Wenigstens schmeckte es nicht mehr so starknach Gummi.Der Butler wurde per Fernbedienung gerufen und hatte nun ausgiebigGelegenheit, seinen Frust von der Seele zu reden. Ich konnte dazusowieso nichts sagen und spielte das devote Dienstmädchen, das durch dieversammelte Autorität völlig verschüchtert war.Nachdem er fertig war, wurde mir das verkündet, was ich schon wusste:Züchtigung morgen und zwei Tage Strafuniform. Was auch immer das war.Dann waren wir entlassen.Er traktierte mich noch etwas. Kaum hatte ich mich gesetzt, ließ er sichein Getränk bringen oder die Haustüre nachsehen. Er weidete sich daran,wie schwer es mir fiel, alles etwas anstrengendere zu erledigen. Sowohldas Korsett als der Knebel raubten mir die Luft.Endlich konnte ich schlafen gehen. Er entfernte die Armfesseln und ließmich Kleid und Petticoat ausziehen. Dann legte er mir die Armfesselwieder an. Arschloch, dachte ich mir.Was man nicht alles für einen hohen Bonus macht. Aber wenigstens dieSchuhe hätte er mich ausziehen lassen können. Meine Füße brachten michum. Genau deshalb musste ich sie wohl anbehalten. Ob der Bonus wirklichgroß genug war? Keine Chance für Nachverhandlungen, da musste ich jetztdurch.##Die Nacht war unangenehm gewesen, wie kaum anders zu erwarten.Eigentlich störten mich nur zwei Dinge: Der Knebel und die Schuhe.Momentan mehr der Knebel, mein Kiefer tat einfach nur weh.Aber ich war ja ein Mann, oder? Also Augen zu und durch.Ich bildete mir dann auch ein, dass meine Tränen, als er am Morgen insZimmer kam, geschauspielert waren. Aber dafür kamen sie viel zu schnellund reichhaltig. Nun, ja, Einbildung…Er öffnete alle Schlösser und gab mir dann etwas. “Da hat mir Madamegegeben, damit die Diskretion gewahrt bleibt.” So ganz schien ihm danicht zu gefallen, richtig abgeneigt war er auch nicht.”Gehe duschen. Ich komme in einer halben Stunde und helfe dir mit demKorsett.” Damit öffnete er die Schürung in meinem Rücken.Am Anfang war dieses Korsett unangenehm gewesen. Das war kein Vergleichzu dem, als es entfernt wurde. Meine Innereien schoben sichprotestierend an andere Stellen. Ich bekam so etwas wie eine Kolik. Umnicht laut zu schreien, steckte ich mir den Knebel in den Mund.Nach ein paar Minuten wurde es etwas besser. Aber auf dem Knebel warendeutliche Beißspuren. Ich steckte ihn gleich wieder in dem Mund, dennnun waren die Schuhe dran. Es war gut, dass ich das getan hatte. MeineWaden protestierten genauso wie meine Füße. Mit ein paar Beißspuren mehrlegte ich den Knebel weg. Nicht sehr elegant ging ich zur Dusche.Das warme Wasser baute mich wieder auf. Der Duschkopf war umstellbar undich benutzte den harten Massagestrahl. Langsam lockerten sich alleverkrampften Muskeln.Wieder halbwegs Mensch stellte ich mich vor den Spiegel. Die Taille wardas Herausragende: Sie war so klein wie nie zuvor. Leider war dafürWachstum auf meine Brust zu vermelden. Die Brustwarzen waren empfindlichwie immer die letzte Zeit, aber die Schwellung war nun noch größer.Und war meine Haut immer schon so bleich gewesen? Ich musste wieder indie Sonne. Aber irgendwie war diese Bleiche anders als von zu wenigSonne. Was war das nun wieder? Wurde ich krank? Aber abgesehen vonschmerzenden Muskeln fühlte ich mich gesund.Nun untersuchte ich das Teil, das mir der Butler gebracht hatte. EineAnleitung aus Piktogrammen brachte die Erkenntnis, sonst hätte ich esnicht erraten. Es war eine Vagina, komplett mit Behaarung.Den Piktogrammen folgend legte ich sie an. Kurz darauf war mein Penisversteckt und es sah so aus, als ob ich eine richtige Vagina hätte. DasUnangenehmste daran war ein Riemen, der zwischen meinen Pobackenverschwand.Ich verstand den Sinn der Aktion nicht. Niemand würde das sehen können.Sollte ich da nun noch einen Slip darüber ziehen? Ich tat es, ohne zubegreifen, warum.Ich hatte kaum die Brustprothese angezogen – nicht ohne wieder über dasHalsband zu fluchen – da kam der Butler.Wortlos nahm er aus dem Schrank das rote Korsett und legte es mir um.Dann wurde es wieder mit der Maschine geschnürt. Diesmal war es nur einwenig unangenehm. Das positive Gefühl der festen Umschließung überwog.Dann kamen Strümpfe und Schuhe. Kaum anders als die Gestrigen. Und alleswurde wieder verschlossen. Ich wollte eine Basis für eine Annäherungschaffen, und ihm irgendwie andeuten, das ich die Schlösser gut fand.Ich überlegte. Warum war er davon fasziniert? Es ging darum, dass ichals Mann sehr feminine Sachen anhatte. Und die nicht ausziehen zu können- andere könnten einen erwischen, ohne das man daran etwas machenkönnte…Ich fand einen Keim von Faszination, der ähnlich war wie Gestern, alsich mich zum ersten Mal in der rosa Uniform gesehen hatte. Diesem Gefühlging ich nach. So geschah es, dass es, als das zweite Schloß an meinemBein klickte, mich das tatsächlich erregte. Ich fühlte, wie sich meinPenis gegen sein Gefängnis wehrte. Ein leises Stöhnen kam aus meinemMund. Verwundert sah er mich an, aber ich sagte nichts.Zu meiner Verwunderung kam nun nicht das entsprechende rote Kostüm. Erhatte ein anderes mitgebracht. Ebenfalls rot, aber kein Kleid, sondernzweiteilig, aus Oberteil und Rock bestehend. Sonst gab es wenigUnterschiede, außer das es leichter war und weniger verziert. Mehr wiemeine normale Uniform in Rot. Und ohne Petticoat. Trotzdem schwang derRock schön um mich, wenn er aus nicht so füllig aussah wie mitPetticoat. Nach der obligatorischen weißen Schürze war ich fertigangezogen.”Du brauchst dich heute nicht zu schminken.” Mit diesen Worten reichteer mir den Knebel. Ich sah ihn erstaunt an.”Deine Strafe ist noch nicht vorbei. Ich war großzügig, ihn dir für dieMorgentoilette zu erlassen.”Entgegen einem ersten Impuls sagte ich, “Vielen dank”, machte einenKnicks und schob ihn mir in den Mund. Hoffentlich sah er die Beißspurennicht. Ich führte das Band um meinen Hals und sicherte es mit demSchloss, nicht ohne mein Lächeln zu verlieren.Er wusste nicht, was das bedeutete. Nun, um mich zu fragen, war es zuspät. Ich spürte so etwas wie Frust, das ich mich nicht gewehrt hatte,und Erregung, weil ich mich nicht gewehrt hatte.Das Frühstück verlief völlig normal, außer das ich nichts essen konnte,sondern statt dessen alle bediente. Ich hatte immer noch keinen Hunger,wusste aber, dass ich bald etwas essen musste, sollte ich keine Problemehaben wollen. Mit dem engen Korsett war das aber nicht so einfach, eseliminierte meinen Hunger.Als alle fertig waren, sagte der Butler zu mir, “Für deine Strafe kommmit in mein Büro.”Tina sah mich bedauernd an, sie wusste aus eigener Erfahrung, was aufmich zukam. Als sie aufstand, rieb sie sich unbewusst über den Po.Ich musste wieder vor dem Butler gehen. Was dachte er wohl jetzt? Hatteer Vorfreude?In seinem Zimmer angekommen wies er mich an, “Strecke die Arme aus.” Alsich der Aufforderung folgte, schob er zwei lange Lederhülsen über sie,die fast den gesamten Unterarm bedeckten und miteinander verbundenwaren. Mit jeweils drei Schnallen schloss er sie fast unangenehm eng.Meine Unterarme waren starr miteinander verbunden.”Ziehe deinen Slip aus.”Mit den verbundenen Armen war das nicht einfach. Und die Aufforderungwar als solche eigentlich schon ungeheuerlich. Trotzdem folgte ich ihr.Er beobachtete meine Anstrengungen, was wohl Sinn der Sache war.”Und nun lege dich über meine Knie.”Es war so ziemlich das Demütigste, was ich bisher je machen musste. Michauf die Beine eines anderen Mannes zu legen, um gezüchtigt zu werden.Ich konnte mir vorstellen, dass er nun eine Erektion bekam. Gottseidankkonnte ich das wegen des Korsetts nicht spüren. Tina war nicht soglücklich gewesen, vermutete ich.Als nun nichts passierte, sah ich über die Schulter. Der Feigling zogsich einen Handschuh an! Er hatte nicht einmal genügend Mumm, es mitbloßer Hand zu machen.Nun fühlte ich, wie mein Rock hochgeschoben wurde. Ich konnte nichtglauben, was geschah. Vor kurzem war ich noch ein völlig normaler Mann,und nun hatte ich mich gerade als Mädchen gekleidet über seine Kniegelegt. Nicht zu vergessen die vielen Schlösser und das ich mich selbstgeknebelt hatte.Letzteres erwies sich als sehr gut. Ich weiß nicht, aus was derHandschuh bestand, aber es tat weh. Unglaublich weh. Sehr schnell kamendie ersten Tränen. Ich ließ ihnen freien Lauf, ich musste hier nichttapferer Mann spielen.Aber der Butler wusste, dass ich ein Mann war. Deshalb schlug er kräftigzu. Ich konnte mit dem Knebel nicht protestieren, und die gefesseltenArme behinderten mich mehr, als ich das geglaubt hätte. Ich war völlighilflos seien Schlägen ausgesetzt. Mir blieb nur zu wimmern und zuweinen.Zwischen den Schlägen sagte er in ruhigem Tonfall, immer alle zwei oderdrei Worte ein Schlag, “Früher haben wir das öffentlich vor allenAngestellten gemacht. Aber das geht ja heute nicht mehr. Trotzdem solldie Strafe abschreckend sein, und das geht nur, wenn alle es sehen. Ichhabe eine Lösung dafür gefunden.”Endlich war er fertig. Mein Po war unter Feuer. Es tat unglaublich weh.Ich wimmerte in meinen Knebel, ohne das ich eine Rolle spielen musste.Hätte ich jetzt auch nicht gekonnt.Er richtete mich auf, zog aber dann meinen Rock zu Boden. Wegen desGummibundes war das kein Problem. Dann entfernte er die Fessel.”Zieh das an.”Ich nahm durch verquollene Augen nur war, das es so etwas wie ein Rockwar und zog ihn an. Er richtete die Schürze aus und wies mich vor dieTür. Mein Slip blieb zurück.Im Flur stand ich ein paar Minuten, um mich zu fassen. Die Tränenversiegten langsam, und ich begann wieder klar zu sehen.Ich hatte einen durchsichtigen Rock aus klarem PVC an. Durch dieSteifigkeit des Materials stand er so ab wie mit einem Petticoat. Anmeiner Taille vorbei konnte ich meinen feuerroten Po sehen. Dasverstärke den Schmerz, und die Tränen kamen wieder. Nun wusste ich,warum ich den Knebel wieder tragen sollte.Und etwas anderes wurde mir klar: Nur die Schürze verhinderte die Sichtauf meine Genitalien. Nun verstand ich die künstliche Vagina. Niemandsollte meinen Penis versehentlich sehen.Das hatte ich Madame zu verdanken. Aber das bedeutete auch, dass siediese Praktiken billigte. Wieso? Sie schien so eine vernünftige Frau zusein.Das gehen fiel mir aus mehr als einem Grund schwer. Am liebsten hätteich mich irgendwo verkrochen, aber genau das durfte ich nicht tun.Trotzdem kostete mich riesige Überwindung, mit meinem durchsichtigemRock in die Küche zu gehen, wo ich andere Angestellte treffen würde.Es war so erniedrigend! Jemand nach einer Züchtigung in einemdurchsichtigen Rock durch das Haus zu schicken war menschenverachtend.Und bei mir kam noch hinzu das ich ein Mann war. Wie hatte sich Tina inder Situation gefühlt? Sie war ein junges Mädchen, weniger gereift alsich. Es musste völlig verstörend sein. Oder steckten junge Menschen dasleichter weg?In de Küche war nur Tina, und die stürzte auf mich zu, umarmte mich undstreichelte mein Gesicht. Es tat mir unsäglich gut.”Es ist gemein, einfach nur gemein”, sagte sie. Am liebsten hätte ichihr gesagt, besser still zu sein.Ihr Trost löste paradoxerweise einen neuen Tränenschub aus. Sie nahmmeinen Kopf an meine Schulter und wiegte mich sanft vor und zurück.”Weine nur, das befreit.”Die Bewegung war eigentümlich tröstend. Langsam gewann ich meine Fassungwieder. Wieso war ich nur so emotional gewesen? Sicher, es hatte wehgetan, aber so schlimm war es nun auch wieder nicht gewesen. Ein Mannsollte so etwas doch abkönnen. Ganz augenscheinlich konnte ich nicht.Ich verhielt mich eher so, wie ich angezogen war.Dann löste sie sich von mir. “Ich hole Creme, das hilft.” Damit war sieweg.Meine Füße begannen wieder zu schmerzen. Vermutlich hatten sie das dieganze Zeit getan, aber ich hatte es nicht bemerkt. Aber zu setzen trauteich mich auch nicht. Also lehnte ich mich an die Wand. Mit dem Kopf zurWand, um so keinen Kontakt mit dem Po zu haben.Natürlich sah jeder damit sofort mein Hinterteil durch dendurchsichtigen Rock und wusste, was geschehen war. Das war daseigentlich Schlimme: Die öffentliche Zurschaustellung. Auch mit derAusrede, ich wäre ja vollständig bekleidet, weswegen ich wohl den Rockbekommen hatte. Fast war ich über die Schürze dankbar, auch wenn sie nureine falsche Vagina verdeckte.##Immerhin wurde ich kurz darauf von dem Knebel befreit. Aber ich musstedas Essen in dem durchsichtigen Rock servieren. Jeder hatte freien Blickauf meinen roten Po. Ich ertrug es so tapfer, wie es ging. Manchmalrollte aber doch eine Träne über meine Backe.Als ich endlich auf dem Bauch einschlief, ging ein wirklichschrecklicher Tag zu Ende.Am nächsten Morgen war nur noch die Erinnerung übrig. Wieder hatte ichim Korsett geschlafen. Das war aber nicht so schlimm, denn die Schuhewaren mir erspart geblieben. Und kein Knebel. Über was man sich nicht soalles freuen kann.So langsam gewöhnte ich mich an den plötzlich auftauchenden Butler.”Aufstehen. Du willst doch duschen?”Ich nickte groggy. Dann stand ich auf und der Butler löste das Korsett.In der Dusche wurde ich richtig wach. Ich hatte immer noch die falscheVagina an. Nachdem ich sie entfernt hatte, wusch ich mich, trocknetemich ab und ging in mein Zimmer. Als ob ich es geahnt hätte, hatte ichmir das Handtuch umgebunden. Um den Oberkörper, um die stetig wachsendenSchwellungen zu verbergen. So sah ich dem Butler gelassen entgegen.”Normalerweise haben wir eine andere Strafuniform, aber das Korsett wärefür dich viel zu groß. Das hier ist besser.” Er deutete auf die PVC-Uniform in dem geöffneten Schrank. “Das Korsett hat 35 Zentimeter.”Nun schluckte ich. Das war noch einmal drastisch weniger. Das Korsettder letzten zwei Tage war schon überaus eng gewesen, und selbst nach derNacht darin spürte ich es noch.”Es ist auch schön lang und gut verstärkt. Du wirst es toll finden.”Er bemerkte meinen suchenden Blick. “Unterwäsche brauchst du heutenicht.”Ich ergab mich devot in mein Schicksal. Mit einem Knicks. Das schmälerteseinen Triumph. Wenigstens ein kleiner Gewinn.”Zuerst ziehe die Stiefel an, das geht mit dem Korsett nicht mehr.”Dazu musste ich das Handtuch loslassen. Es fiel zwar nicht sofortherunter, aber als ich nach dem ersten Stiefel griff, war ich nackt. Ersah mich interessiert an, mit einem leisen Lächeln.Erneut fühlte ich mir gedemütigt, ohne etwas dagegen unternehmen zukönnen. Ich hätte die falsche Vagina nicht entfernen sollen.Ich zog den Stiefel an. Das waren die höchsten Absätze bis jetzt. Höherewaren wohl kaum möglich, der Fuß hat nur eine begrenzte Länge. Um denhohen Absatz zu ermöglichen, war die Fläche für die Zehen sehr klein,was es nicht gerade komfortabel machte.Die lange Schnürung war Schweißtreibend. Den zweiten Stiefel schnürte erzum größten Teil, ich hätte erst eine Pause gebraucht. Nun waren beideBeine praktisch komplett in weißes PVC gehüllt.Die Stiefel konnten ähnlich wie die kleinen Stiefeletten abgeschlossenwerden. Auf das kurz nacheinander folgende zweimalige Klick versteiftesich mein Penis. Es war mir mehr als peinlich, aber was sollte ich tun?Viel wichtiger: Warum geschah das, ohne das ich daran gedacht hatte? Unddie Erektion blieb, obwohl ich sie dringend wegwünschte. Warum erregtees mich, in zwei Stiefel eingeschlossen zu werden?Auf seine Aufforderung stand ich auf. Es gelang nur mit seiner Hilfe.Die Stiefel waren so steif, dass ich meine Beine nicht beugen konnte.Ich stand wie auf zwei Stelzen. Ohne mich festzuhalten wäre ichumgefallen, denn zu der Steifigkeit kamen die unglaublich hohen Absätze,die nadelfein endeten.Nun legte er das Korsett um mich. Ohne Brustprothesen. Er betrachteteinteressiert meine Schwellungen, sagte aber nichts dazu. Es war wirklichlang. Es bedeckte nicht nur praktisch meinen ganzen Oberkörper, sondernging auch bis zu den Oberschenkeln. Wenigstens konnte man meine Erektionnicht mehr sehen, obwohl ich sie deutlich spürte. Sie schien sich nochzu verstärken, als sich das Korsett langsam um mich schloss.Dann hatte ich keine Zeit mehr, mich darum zu kümmern. Es wurde eng,fürchterlich eng. Ich dachte, ich könnte nicht mehr atmen, aberirgendwie ging es doch. Und es hörte nicht auf. Immer enger zog es sichum mich. Ich glaube, ich habe gefleht aufzuhören, aber ich weiß es nichtmehr genau.Ich kam an die Wand gelehnt wieder zu mir. War ich ohnmächtig geworden?Jedenfalls fühlte ich um mich einen Panzer, der mich schier zerdrückte.Ganz langsam wurde es ein wenig besser. Ich war aber zu nichts anderenin der Lage, als an der Wand gelehnt zu stehen. Das ging auch nurdeswegen, weil mich Stiefel und Korsett ohne mein Zutun trugen.Ich war nun wieder in der Lage, meine Umgebung wahrzunehmen. Das merkteder Butler. Er zeigte mir ein Schloss, drehte mich etwas an der Wand,und ich hörte es klicken. Das Geräusch wanderte direkt zu meinem Penis.Ich glaubte, jeden Moment die Kontrolle zu verlieren.Während ich noch damit kämpfte, bekam ich etwas um den Hals gelegt. Esumschloss meinen gesamten Hals und reichte vorne und hinten bis zu demKorsett herunter. Vorne ging es über mein Kinn zu meinem Mund und biszur Nase. Nun zog es sich zu. Ich fühlte den Druck auf meine Halskettewachsen, aber es wurde nicht so schlimm, das es weh tat.Aber mein Kopf wurde immer unbeweglicher, und das Kinn nach obengedrückt. Ich konnte den Mund nicht mehr öffnen. Und dann hörte ichwieder das bekannte Klick, das wieder geradewegs zu meinem Penis ging.Erneut gelang es mir gerade so, die Kontrolle zu behalten.Nun bekam ich Handschuhe angezogen, wie alles andere auch aus weißemPVC. Sie reichten bis zu den Achseln und wurden fast über die ganzeLänge schnürt. Obwohl sie nicht ganz so steif waren wie die Schuhe,konnte ich den Arm nur mühsam anwinkeln, und ebenso mühsam die Fingerbewegen.Mein Korsett war nun gar nicht mehr das einzig Schlimme, da überall aufmeinen Körper Druck ausgeübt wurde. Merkwürdigerweise ging es mirdadurch besser. Vielleicht wurde das Blut zurückgedrückt oder so etwas.Nun kam das Kleid. Es war ähnlich wie die anderen Uniformen, war aberhochgeschlossen. Er zog es mir über den Hals. Anscheinend gab es keinenReißverschluss, denn er hantierte wieder an einer Schnürung in meinemRücken. Das Kleid zog sich eng um mich zusammen. Dann hörte ich erneutein Klick. Diesmal hätte ich beinahe verloren.Es hatte wie alle anderen Puffärmel, aber diese waren mit Abstand dieGrößten. Dann liefen die Ärmel hautnah hinter die Ellenbogen. Dortendeten sie in Manschetten, die metallisch weiß glänzend den gesamtenUnterarm bedeckten. An den Manschetten waren der Länge nach mehrereRinge angebracht, die bei jeder Bewegung leise klimperten und damitkundtaten, dass da stabiles Metall um meine Armen war. Nun wurden dieManschetten auch jeweils mit einem Schloss verschlossen.Ich konnte es nicht mehr halten. Nun war ich über den Punkt ohneWiederkehr. Ich verkrampfte, und dann tropfte es zwischen meinen Beinennach unten und lief teilweise die Stiefel herunter.Der Butler sah regungslos zu und wischte kurze Zeit später die Stiefelsauber.Ich konnte es nicht fassen. Ich hatte einen der besten Orgasmen meinesLebens bekommen, weil ich nahezu unbeweglich eingeschlossen war. Undgerade die eigentlich schlimme Aktion des Einschließens hatte dazugeführt. Obendrein hatte ich nicht einmal meinen Penis berührt.##Der Orgasmus hatte meinen Kopf wieder klar gemacht. In den Stiefelnkonnte ich nur mir Mühe das Gleichgewicht halten. Und das trotz meinerÜbung mit sehr hohen Absätzen. Natürlich war auch alles andere nichteinfach zu bewältigen. Unter anderem, dass ich den Kopf nicht drehenkonnte. Um mich im Spiegel zu sehen, musste ich mich mit vielen kleinenTippelschritten drehen.Der Anblick haute mich schier um. Wortwörtlich, beinahe hätte ich dasGleichgewicht verloren. Wieder verstärkten die bauschigen Puffärmel undder weit abstehende Rock noch optisch den Unterschied zu der unfassbarkleinen Taille. Nie hätte ich es für möglich gehalten, dass ein Menscheine so kleine Taille haben könnte. Und doch war der Beweis im Spiegelzu sehen.Auch hatte ich es nie für möglich gehalten, ein noch kleineres Korsettals das zu tragen, das zum Zutritt für den Raum nötig war.Würde meine Taille je wieder normal werden? Sicher, ohne das Korsettwürde sie größer sein. Aber immer noch kleiner als bei jeder Frau. Würdesich das im Laufe der Zeit normalisieren? Ich hatte da meine Zweifel.Ich musste mich wohl vom Strand verabschieden. Oder doch einen Bikinianziehen, wenn das auf meiner Brust noch größer wurde. Ich hoffte janoch, dass mit Ende des Korsetttragens es sich wieder zurückbildete.Aber der Gedanke an einen Bikini war gar nicht mehr so verstörend nachder ganzen Zeit ausschließlich in Röcken, Spitze und Rüschen. Undsicherlich normaler als mein derzeitiger Aufzug.Das lenkte meine Aufmerksamkeit wieder auf den Spiegel. Hatte ichwirklich so schmale Beine? Oder war das nur ein optischer Effekt derStiefel? So stark waren sie nun auch nicht geschnürt. Ich bezweifelteauch, dass sie wie die Taille komprimierbar waren. Jedenfalls warenmeine Beine makellos glatt in schimmerndes PVC gehüllt, ohne diekleinste Falte. Und dazu die irrwitzig hohen nadeldünnen Absätze. Obwohlich mit Fetisch Kleidung nie etwas zu tun hatte, fand ich den Anblicksehr erotisch. Bizarr erotisch, aber nichtsdestotrotz erotisch.Dann kam der weite Rock. In gleichmäßigen Wellen stand er ab, als ob einPetticoat darunter wäre. Aber das war nicht nötig. Der Winkel des Rockessetzte sich an meinem Körper weiter fort, bis er an meiner Tailleendete. Spiegelverkehrt wurde er wieder breiter.Das Kleid endete um meinen Hals mit einem breiten Abschluss aus PVCRüschen. Daraus ragte der von ebenmäßigen PVC umhüllte Hals. In einereleganten Kurve setzte sich es über mein Kinn fort bis zu meiner NaseVon meinem Gesicht war nur der Bereich von Nasenspitze bis Augenbrauenzu sehen. Das richtete den Blick vor allem auf die Augen. Ich bedauertesehr, dass ich kein Makeup trug. Das Outfit brauchte unbedingt ein paarstark geschminkte Augen.Was meine Gedanken darauf brachte, wie es wohl wäre, wenn mein ganzerKopf in glänzendes PVC gehüllt wäre. Meinem Penis schien das zugefallen, denn er meldete sich zurück. Dadurch in meine Aufmerksamkeitgerückt fiel mir auf, dass ich überall fest zugeschnürt war und das auchschön durch Schlösser gesichert wurde, außer in meinem Intimbereich.Der lag völlig frei unter einem weit schwingenden Rock. Wenn der nundurch einen Windstoß hochflog – jeder würde meine Genitalien sehen. Eineisiger Schreck durchfuhr mich, der die aufkommende Erektion beendete.Ich würde sehr, sehr vorsichtig sein müssen. Angesichts meinerUnbeweglichkeit ein schwieriges Vorhaben.Plötzlich hörte ich die Stimme des Butlers direkt neben meinem Ohr. Ichweiß nicht, was er die ganze Zeit gemacht hatte, jedenfalls klang siewieder etwas belegt. “Ich sehe, du hast gerade gemerkt, dass wir deinMakeup vergessen haben. Gehe in die Küche, ich sage Tina Bescheid, dasssie dich schminken soll.” Damit verschwand er auf seine typische Art.Ich stakste langsam und vorsichtig den Gang entlang. Dann kam ich zurTreppe. Da kam ich unmöglich herunter. Zum Treppensteigen muss man dieKnie beugen können. Unentschlossen blieb ich dort stehen, ich konnte janicht einmal jemanden rufen.Nach einigen Minuten tauchte der Butler auf und sagte ungeduldig, “Wobleibst du denn?”Ich zeigte auf die Treppe.”Ach ja, so kommst du nicht herunter?”Ich wollte nicken,aber natürlich ging das nicht. Statt dessen bewegtesich mein Oberkörper leicht vor und zurück.Ohne Vorwarnung nahm mich der Butler auf seine Arme und trug mich ohnesichtbare Anstrengung die Treppe herunter.Mann, war der stark! Ich hätte keinen Mann so einfach da heruntertragenkönnen.Eine winzige Stimme in meinem Kopf sagte mir, dass es auch eine andereErklärung gäbe. Ich hatte eine krasse Diät hinter mir und vielabgenommen. Wann hatte ich eigentlich zuletzt richtig gegessen? Oh!Der Butler war also nicht so stark, sondern ich so leicht. Das erklärteauch meine dünnen Beine und Arme. Als Erstes werden die Muskelnabgebaut, und erst dann das Fett. Und das ich trotz meines abgemagertenZustandes immer noch genug Fett hatte, zeigte sich an meinem Po.Eigentlich war es ja auch logisch. Ohne viel abzunehmen hätte ich niedieses Korsett tragen können. Das bedeutete aber auch, das wohl nichtmehr viel Kraft übrig war. Hoffentlich kam ich in keine brenzligeSituation, wo es darauf ankam. Nicht das mir mehr Muskeln in diesemOutfit genützt hätten.Nun, da meine Aufmerksamkeit darauf gerichtet war, merkte ich, wieschwach ich eigentlich war. Die Handschuhe waren eigentlich nicht sofürchterlich steif, ich war so schwach. Selbst in normalen Kleidernhätte ich wohl keine Chance gegen die zierliche Tina.Es wurde dringend Zeit, dass sich alles wieder umkehrte. Ich war in demRaum gewesen, und nur deswegen hatte diese ganze Korsettgeschichtestattgefunden. Der Arzt hatte zwar gesagt, ich müsste noch einige Zeitwenigstens Nachts ein Korsett tragen, aber das konnte ja ein weitessein. Ich musste dringend etwas essen. Leicht gesagt, wenn einem derMund verschlossen ist. Und selbst wenn nicht, ich bezweifelte, dass indiesem Korsett Platz genug für Nahrung war. Magen und Darm mussten totalzusammengedrückt sein.Wir kamen im Erdgeschoss an und er stellte mich auf meine Beine. Ichstakste Richtung Küche und der folgte mir. Er überholte mich nicht,obwohl ich nur sehr langsam gehen konnte.In der Küche sah mich sofort Tina. “Wow Michelle, du siehst super aus.”Sie strich mit dem Finger über mein Kinn und dann über meinenverschlossenen Mund.. Dann fuhr sie mit dem Finger dem Kleid entlang zurTaille und ließ ihn an der schmalsten Stelle mehrfach hin- und hergehen.”Hmmm, so eine Strafuniform hätte ich auch gerne einmal getragen.”Die so unschuldig wirkende Tina stand auf Fetisch Kleidung? Das hätteich nie gedacht. Plötzlich änderte ich alles, ich hatte erstmalig eineSpur. Madame hatte doch recht. Nun störte es mich nicht mehr, in dieserbizarren Uniform eingeschlossen zu sein, ganz im Gegenteil.Ich lehnte mich mit dem Po an die Fensterbank, da das Stehen anstrengendwar und ich mich wohl kaum setzten konnte mit einem Korsett, das bis zuden Oberschenkeln ging.Bei dem Gedanken fühlte ich plötzlich große Erleichterung. Mann konntemeinen Penis gar nicht sehen, er wurde von dem langen Korsett verdeckt!Nun war ich dankbar dafür, auch wenn ich mich nicht setzen konnte.Aber die Fensterbank bot Erleichterung genug, denn nun musste ich nichtmehr balancieren und die steifen Stiefel trugen mich auch so. Einzigmeine Füße protestierten. Ich weiß nicht, wie ich den Tag in denStiefeln überstehen sollte. Keine Chance, daran etwas zu tun, sie warenabgeschlossen.Nun begann Tina mich zu schminken. Sie war darin geübt und es gingziemlich schnell. Ich hatte dieses hübsche Mädchen direkt vor mir, sahauf ihre Brüste und atmete ihren Duft. Sie sah wunderschön aus in ihrersexy Uniform. Und dann dazu das Gefühl von meiner eigenen bizarrenUniform mit dem Wissen, darin eingeschlossen zu sein; als Mann einfeminines Fetischobjekt zu sein, ohne daran etwas machen zu können -mein Penis wurde so hart wie kaum jemals zuvor. Hätte ich nicht geradeschon einen Orgasmus gehabt, ich hätte mich nicht beherrschen können.Jetzt war sie fertig und sie hielt einen kleinen Spiegel vor mich. MeinGesicht war atemberaubend. Sie hatte mir “Smoky Eyes” gemacht, mit einerMenge schwarz und silber. Die dramatischen Augen passten perfekt zumeinem Outfit. Viel zu schnell nahm sie den Spiegel wieder weg. Danntrat sie einen Schritt zurück und begutachtete mich ausführlich.Nach ein paar Minuten kam sie wieder nahe zu mir, sagte, “Ein paarAccessoires fehlen noch, dann ist es perfekt.” Damit ging sie zu demButler und redete leise mit ihm. Ich verstand nichts.Aber auf seinem Gesicht zeichnete sich ein leises Lächeln ab und er gingmit Tina weg. Ich blieb einfach stehen, da mir alles andere zuanstrengend war. Was sollte ich auch machen? Ich hatte diese langenHandschuhe an, die man unter dem Kleid nicht einmal sah. Sie waren wohlnur dazu da, um meine Beweglichkeit einzuschränken. Und den Zweckerfüllten sie bestens.Dann kam Tina zurück. Ich sah es nur aus den Augenwinkeln, da ich denKopf nicht drehen konnte. “So, als Erstes hier unten”, sagte sie, undließ sich auf die Knie direkt vor mir sinken. Hoffentlich wird meinPenis wirklich von dem Korsett bedeckt, hoffte ich, denn sie war untermeinem Rock.Ich spürte eine schwache Berührung an den Fußgelenken, aber sonstnichts. Sehen konnte ich natürlich nicht, da ich den Kopf nicht beugenkonnte. Selbst wenn, der Rock wäre im Weg gewesen.Nun stand sie auf. “Strecke deine Arme aus.” Einen Moment später warenmeine Arme mit einer dicken kurzen Kette verbunden. Sie hatte sie mitzwei Schlössern an den Ringen meiner Metallmanschetten befestigt. DieKettenglieder sahen zwar martialisch dick aus, waren aber anscheinendhohl, denn nicht sehr schwer. Trotzdem höchst stabil, wie ein Zerrenzeigte.Ich konnte es nicht fassen, das Biest hatte mich gefesselt. Die Empörungdarüber drängte den Orgasmus zurück, den ich sonst gehabt hätte. Ichbewegte vorsichtig ein Bein und fühlte nun die Restriktion der Kettedort. Mit einem vorwurfsvollen Blick hielt ich ihr meine Arme hin.”Sorry meine Liebe, ich habe die Schlüssel nicht. Du wirst damit lebenmüssen. Aber du siehst einfach klasse aus.” Und das von der ach solieben Tina.##Ich wusste nicht, was ich nun machen sollte. So konnte ich sicherlichnicht arbeiten. Aber das verlangte anscheinend auch niemand. Ich waranscheinend nur zum Anstarren da. Alle mussten das Fetisch Dienstmädchenausgiebig betrachten, und selbst Madame nahm einen langen Blick. Dannlegte sie mir ein paar Papiere hin. “Für die Papiere, Ausweis undFührerschein. Bitte unterschreiben.”Ich unterschrieb ohne zu lesen. Das war mit meinem unbeweglichen Kopfviel zu anstrengend. Immerhin schaffte ich es, in meinen Handschuheneine leserliche Unterschrift zu produzieren.Dann ließ mich der Butler kleine Dinge von hier nach dort bringen undschaute mir fasziniert zu, wie ich mit winzigen Schritten ging. Dabeierzeugten die Kettenglieder ein lautes Geräusch, das man von der Optiknicht vermutet hätte. Weil sie hohl waren, boten sie wohl einenResonanzraum. Ich fand es nervig, dass ich nichts machen konnte, ohne dases von Kettengeklirr begleitet wurde. Aber alle anderen schienen es gutzu finden.Langsam wurde es in dem PVC ungemütlich, denn Schweiß begann sichanzusammeln. Ich merkte es vor allem in den Handschuhen.Ich war jetzt auch schon einige Stunden in dem superengen Korsett aufextrem hohen Absätzen unterwegs. Ich brauchte eine Pause. Dringend. Aberwie?Das war mein letzter Gedanke. Mir wurde schwindlig, ich verlor dasGleichgewicht und stürzte. Dann wurde alles schwarz um mich.##Ich wachte in einem weichen Bett auf. Der Druck um mich war verschwundenund ich konnte Arme und Kopf bewegen. Dann sah ich einen Plastikschlauchzu meinem Arm gehen, der zu einem Ständer mit einem Tropf führte.Nun nahm ich die ältere Angestellte wahr, die ich bis jetzt kaum gesehenhatte. “Aha, wieder wach”, sagte sie mit freundlicher Stimme. “KeineAngst, dir geht es gut. Ich bin ausgebildete Krankenschwester. Du warsttotal dehydriert, hast du denn nichts getrunken?”Ich zuckte die Schultern. Gegessen hatte ich schon lange nichts mehr,aber getrunken?”Wie fühlst du dich?”Ich wollte antworten aber nur ein Piepsen kam heraus. Ich räusperte michin einem extrem hohen Tonfall und konnte dann antworten: “Eigentlichganz gut. Etwas schwach.””Kein Wunder. Das andere Korsett war einfach zu eng. Der Butler hat dichhierher gebracht und ausgezogen.”Ich war erleichtert, dass es niemand anderes gewesen war. Aber ich warnicht nackt, das fühlte ich. Ich hatte etwas an, dass mich höchstangenehm umschloss. Meine Hand ging unter die Decke. Ein Korsett. Ichkonnte Satin und Rüschen fühlen.”Ich habe ihn angewiesen, dir ein weiteres Korsett anzuziehen. Ich haltees für keine gute Idee, wenn du jetzt völlig ohne Korsett wärest.””Danke. Es fühlt sich gut an.””Schön. Neben dir steht ein Energiedrink. Du solltest so viel wiemöglich davon trinken. Und ab morgen wirst du langsam wieder mit festerNahrung anfangen. Du bist viel zu dürr, bist du vielleichtmagersüchtig?””Nein. Es hat sich nur einfach so ergeben. Der neue Job…””Ich verstehe, du wolltest einen guten Eindruck machen. Das mag demButler gefallen, aber ich erlaube nicht, dass es auf Kosten deinerGesundheit geschieht. Ich habe noch nie ein Mädchen mit so einerschmalen Taille gesehen.””Danke.””Gut, dann gehe ich. In einer Stunde komme ich wieder, um den Tropf zuentfernen.””Danke. Noch eines, was ist in dem Tropf?””Ringerlösung. Die besteht hauptsächlich aus Salzwasser, um dirFlüssigkeit zuzuführen. Eine Spur Kaliumchlorid und Calciumchlorid istauch dabei, aber das wolltest du so genau wohl kaum wissen? Glaubst du,ich wollte dir schaden, oder wüsste nicht, was ich tue?””Nein, nein, ich war nur neugierig.”Sie ging und ich trank etwas. Hauptsächlich wegen meinem trockenenMundes, weniger, weil ich Durst hatte. Aber ich trank dann noch mehr,denn ich wusste eigentlich genau, was passiert war. Ich hatte wirklichviel zu wenig getrunken. Die langsame Austrocknung lässt auch das Gehirnschlechter arbeiten und man bemerkt die Warnsignale nicht.Ich wusste das und trotzdem war es mir passiert. Aber ich war auch durchzu viel abgelenkt worden. Wenn mein bizarrer Aufzug keine Ablenkung war,dann wusste ich nicht, was es sein könnte.Ich dachte an meinen Orgasmus. Hatte das auch mit meinem benebeltenGehirn zu tun? Ich war bis jetzt immer ein völlig normaler Mann gewesen,hatte Sex nur auf die gute alte Art gehabt. Ich stand doch nicht aufsolche Dinge!Aber als ich an die Fetisch-Uniform zurückdachte und das ich darineingeschlossen gewesen war, da spürte ich, dass wieder etwas zwischenmeinen Beinen geschah. Ich kannte das Gefühl. Mein Penis wollte sichaufrichten, konnte aber nicht, weil er in dem speziellen Slip war. Ichseufzte. Was bedeutete das nun? Stand ich auf Fetische und Bondage, ohnees zu wissen?Ich fühlte mich immer noch ziemlich matt. Kaum hatte ich die Augengeschlossen, schlief ich ein.##Als ich wieder aufwachte war der Schlauch samt Tropf weg. Ich musstesehr tief geschlafen haben, dass ich es nicht bemerkt hatte. Und jetzthatte ich tatsächlich Durst. Ich trank langsam ein ganzes Glas desEnergiedrinks.Dann stand ich vorsichtig auf, denn ich musste pinkeln. Alles schienwieder in Ordnung zu sein, kein Schwindel mehr, und auch die Mattigkeitwar weg. Ich ging auf die Toilette, bemerkte dabei, dass ich nur dasrote Korsett und den passenden Slip anhatte, zog den Slip herunter undsetzte mich.Während ich mein Geschäft erledigte, wunderte ich mich, dass das Korsettso bequem war. Gab es verschiedene Größen? Ich sah an mir herunter.Dabei lenkte mich meine nackte Brust ab. Oh, ich hatte die Prothesenicht an. Aber trotzdem waren da zwei kleine Brüste. Die Schwellungenwaren deutlich gewachsen. Wie war das möglich? Vielleicht lag es daran,dass ich nun genug Flüssigkeit in mir hatte.Jedenfalls waren das ganz unmissverständlich Brüste. Den Beweislieferten zwei Nippel, die sich in der Kühle steif aufrichteten. Solchegroßen Nippel hatte ich bislang nicht gehabt. Vorsichtig fasste ich siean. Sehr empfindlich, aber nicht so unangenehm, wie es gewesen war. Eher- schön.Dann wurde mir plötzlich bewusst, was ich da tat. Ich spielte mit meinerBrust und genoss das angenehme Gefühl. Panikartig zog ich die Hand weg.Das konnte doch nicht wahr sein!Ich packte meinen Penis wieder in seine Tasche im Slip und ging vor denSpiegel. Nein, das Korsett war keine größere Version. Es war genaudasselbe, dass ich schon einmal angehabt hatte. Wohl wegen des vielengeren PVC Korsetts kam es mir nun bequem vor.Im Spiegel sah ich nichts mehr, was an einen Mann erinnerte. SchlankeBeine und geradezu dünne Arme. Meine schlanke Taille ließ meine Hüftebreiter erscheinen. Aber sie war auch runder als früher. Mit den kleinenBrüsten, die in der Relation gar nicht sooo klein aussahen, hatte ichalle Kurven einer Frau. Nein, korrigierte ich mich, so schlank, wie ichwar und mit den kleinen Brüsten, eher die eines Teenagers. In das Bildpassten auch die dünnen Ärmchen und die für eine Frau zu schlankenOberschenkel.Ich staunte nur, wie jugendlich mein Gesicht aussah. Ich schien zehnJahre verloren zu haben. Wie war das passiert? Das konnte nicht dieBartepilation gewesen sein. Die ließ meine Haut zwar schön glattaussehen, aber dadurch konnte man nicht so viel jünger aussehen.Ich konnte den Grund dafür nicht feststellen, solange ich auch in denSpiegel sah. Ich sah nur mich, in einer jüngeren und feminineren Form.Doch, eines schien mir anders zu sein, dadurch war ich durch meinenTheaterkurs aufmerksam geworden. Meine Wangenknochen schienenprominenter zu sein. Ich tastete darüber. Weich. Über dem Knochen wareine weiche Schicht. Wie war die dahin gekommen?Mir fiel nur eine Lösung ein: Das ominöse Medikamentendepot in mir. Dassollte die Fettverteilung optimieren. Ich hatte nicht genau genuggefragt, was für Medikamente das waren. Was sorgte für eineFettverteilung mit einer schmalen Taille? Das, was auch bei Frauen dafürsorgte: weibliche Hormone.Nun war ich mir eigentlich sicher. Die Brüste konnten kaum durch dasKorsett gekommen sein. Das war das Resultat weiblicher Hormone, wasschon die Nippel bewiesen. Mir wuchsen richtige Brüste!Ich war entgeistert. Und ich hatte keine Chance, das Depot aus demKörper zu bekommen. Die Brüste würden weiter wachsen. Ehe mein Job hierzu Ende war, würde ich keine Prothese mehr brauchen.Wen konnte ich dafür zur Rechenschaft ziehen? Niemand. Ich hatte allesselbst bestimmt. Niemand hat mich zu etwas gezwungen. Alles war Schrittfür Schritt perfekt normal gewesen. Und nun stand ich, vor kurzem nochein normaler Mann, und sah im Spiegel einen weiblichen Teenager. Und dienächste Zeit würde ich mich auch so anhören.##Für meine dramatische Entdeckung schlief ich ausgezeichnet. Jemand hatteden Wecker ausgestellt, deshalb wurde ich durch den Butler geweckt. “Na,wieder alles in Ordnung?””Ja, mir geht es gut.””Gut. Ich mache jetzt das Korsett ab, damit du duschen kannst.””Oh ja, das ist dringend nötig. Ich bin ganz klebrig.”Er nahm es mit einem Nicken zur Kenntnis. “Madame sagte, dass du nocheinmal in den Raum willst?””Ja, ich will nichts unversucht lassen. Vielleicht finde ich etwas.””Gut, dann kannst du nicht die normale Uniform tragen. Welche von denanderen willst du?”Er war so freundlich heute, was war los? “Ist mir eigentlich egal.Suchen Sie aus.”Das schien ihn zu freuen. Er nahm die Neongelbe aus dem Schrank, von derich nicht wusste, ob sie nicht doch neongrün war. Nun ja, unauffälligwar etwas anderes. Aber selbst in Grau wäre sie auffällig gewesen, beidem Schnitt.Er löste das Korsett, dann ging ich duschen. Dabei rasierte ich wiedermeinen ganzen Körper, denn die Stoppel kamen zurück. Nach dem Abtrocknensah ich die Körperlotion. Hmm, das dürfte eine gute Idee nach der Rasursein. Ich musste lächeln, als ich mich eincremte. Früher hatte ich meinKinn rasiert und danach gecremt und sonst nichts, nun war es umgekehrt.Ich stieg in den neongelben Slip und verließ das Bad. Der Butler hattegeduldig gewartet. Wegen des Rasierens hatte es länger gedauert, aber ererwähnte es mit keinem Wort.Er half mir Korsett und alles andere anzuziehen. Das Kostüm war sehrähnlich wie die anderen. Strümpfe und Petticoat waren weiß, der Restneongelb. Es unterschied sich nur ein wenig in der Art, wie es mitSpitze verziert war.Ich band mir die Schürze um, während er den Stoffbeutel mit den Schuhennahm, in dem sie wie alle anderen im Schrank lagen. Dieser war aber mehrgefüllt.”Ah ja”, sagte er zufrieden, “zu dem Kostüm gibt es zwei Paar Stiefel.Die kleinen Stiefeletten wie die anderen, und diese hier.”Damit hielt er mir ein paar lange neongelbe Stiefel vor die Nase. Siewaren deutlich länger als die anderen.”Es sind Ballettstiefel. Sie heißen so, weil man darin so steht wie eineBalletttänzerin, mit den Zehen nach unten. Wie beim Spitzentanz.”Ja, jetzt sah ich es auch. Es gab keine Sohle, nur einen winzigenLederflecken an der Spitze. Das war die gesamte Standfläche. Dazu einsehr dünner Absatz, der noch länger als bei den PVC-Stiefeln, denn erlief über die ganze Fußlänge.”Willst du sie ausprobieren? Du kannst auch die Anderen nehmen.”Er war heute wirklich die Freundlichkeit selber. Und Madame wollte, dasswir gut miteinander auskamen. “Welchen würden Sie lieber an mir sehen?”Er lächelte. “Den Ballettstiefel.””Gut, dann nehme ich den.” Er war vermutlich bequemer als die PVC-Stiefel mit dem extrem abgeknickten Zehenteil.”Prima”, sagte er fröhlich. “Lege deine Beine meine auf meine Knie.” Erschnürte beide Stiefel, die bis gerade unter das Knie reichten. Dasdauerte einige Zeit. Dann sagte er, “Fertig. Warte, ich helfe dir, bisdu die Balance findest.”Er stützte mich. Oh, das war wirklich nicht einfach. Nach ein paarMinuten begann ich mich daran zu gewöhnen. Ich konnte ohne seine Hilfelaufen. Solange ich ging, war es nicht so ein Problem. Aber im Stehenkonnte man kaum das Gleichgewicht halten. Nun, dann würde ich michöfters setzen. Heute hinderte mich kein zu langes Korsett daran.Ich ging durch den Flur und konnte selbst die Treppe ganz gut laufen.Dort verließ mich der Butler. Die Kamera erkannte mich, obwohl ich durchden Knicks beinahe gestürzt wäre. Diese Stiefel waren definitiv nichtKnicks-tauglich.Ich begann meine Suche. Heute suchte ich nicht in der bizarren Kleidung,sondern nach versteckten Sachen. Etwa hinter den Schränken, oder inKartons. Nach zwei Stunden hatte ich nichts gefunden, aber ich warziemlich kaputt. Ich setzte mich auf einen Hocker. Nur wenig späterklopfte es an der Tür.Ich stakste hin und öffnete – von innen gab es eine normale Klinke. DerButler stand vor der Tür. “Kann ich hereinkommen?”Ich dachte, warum nicht. Hier war sowieso nichts zu finden, er konntekeine Spuren zerstören. Und immerhin war er mein Vorgesetzter, ichkonnte es ihm ohne Grund nicht verbieten. Ich machte eine einladendeHandbewegung.Er kam herein und sah sich um. “Sieht aus wie immer.””Sicher. Glauben sie, ich würde hier wild herumwühlen und ein Chaosverursachen?”Er zuckte mit den Schultern und sah dann mit sehnsüchtigem Blick aufdiverse Sachen. An einem Teil blieb sein Blick hängen. Ich folgte seinemBlick und sah etwas Chromglänzendes. “Was ist das?” fragte ich.”Oh, das ist ein Keuschheitsgürtel. Speziell für Männer. Willst du ihneinmal anprobieren?””Oh, lieber nicht. Das klingt doch zu martialisch.””Es würde mich wirklich freuen, dich darin zu sehen. Sage mir, wenn dudich anders entscheidest, ja?”Ich nickte.”Ich glaube, hier gibt es etwas, das dir besser gefallen dürfte. Zu demKostüm gibt es noch ein paar Sachen. Mal sehen, hier müsste es sein. Ja,das ist es.” Er holte eine der Stofftaschen, in der vieles hier verstautwar. Keine schlechte Methode, viel platzsparender als Kartons, allesbleibt sauber und verkratzte nicht.Er holte etwas hervor, das ganz augenscheinlich zu dem Kostüm gehörte,denn es hatte dieselbe neongelbe Farbe. “Ich habe dich beobachtet, wiedu die PVC-Sachen anhattest. Du hast dich gefragt, wie es ist, wenn deinganzer Kopf darin ist, und nicht nur die untere Hälfte?”War das so deutlich zu sehen gewesen? Ich nickte beschämt.”Diese Sachen sind reizvoll, nicht war? Du brauchst nichts zu sagen, ichhabe die Spuren deines Orgasmus weggewischt.”Ich nickte wieder nur, nun auch noch errötend.”Ich spielte mit Madames Vater hier öfters Rollenspiele. Er tat so, alsob er etwas verbrochen hätte, oder machte tatsächlich eine Tasse oder soetwas kaputt. Und ich musste das ‘böse Mädchen’ bestrafen.”Was sollte ich dazu sagen? “Klingt interessant.””Findest du? Das ist gut. Denn mir fehlen diese Rollenspiele. Ich würdegern wieder einmal strenger Herr spielen. Würdest du mitmachen und dasböse Mädchen spielen? Es ist noch früher Vormittag, wir haben genügendZeit. Die Arbeit kann etwas warten. Was meinst du?”Ich war nicht so richtig begeistert. Ich sah auf das Teil, das er in derHand hielt. Es sah aus wie ein gelber Kopf. Kein Wunder, es sollte aucheiner hinein. Das reizte mich schon. Wie sich das wohl anfühlte?”Ja, warum nicht?””Ich hatte es gehofft. Prima. Dann las uns das Spiel beginnen.” Er fuhrmit wesentlich strengerer Stimme fort, “Was hast du da nur wiederangestellt?”Ich musste kurz überlegen. Ach ja, warum nicht ein wenig bei denTatsachen bleiben? “Ich habe meine Stiefel dreckig gemacht.” Verschämtsenkte ich den Blick.”Und was hast du mir damit zugemutet?””Sie mussten sie sauber machen, Herr.””Und das ist eine Zumutung”, donnerte er. “Wie kannst du es nur wagen,mich so etwas Ekliges machen zu lassen!””Ich habe einen schrecklichen Fehler gemacht.””Das hast du! Du bist ein böses Mädchen. Was bist du?””Ich bín ein böses Mädchen.””Lauter.””Ich bin ein böses Mädchen.””Noch lauter.”Ich sagte, so laut es mir meine neue Stimme erlaubte, “Ich bin ein bösesMädchen!””Genau. Und was bedeutet das?””Ich muss bestraft werden.””Richtig. Und was für eine Strafe soll das sein?””Ich überlasse Ihnen die geeignete Strafe.””Gut, ich werde etwas finden. Mal sehen. Lege dich dort auf die Bank,Gesicht nach unten.”Ich folgte dem Befehl. Dann fühlte ich, wie er meine Stiefel anhob.”Böse Mädchen muss man erst einmal am Weglaufen hindern, damit sie derStrafe nicht entkommen können.”Etwas schob sich über meine Beine, wie ein großer Schlauch. Dann spürteund hörte ich, wie eine Schnürung geschlossen wurde. Langsam begann derSchlauch immer enger zu werden, bis beide Beine fest aneinander gepresstwurden. Es war nicht unangenehm, aber ich konnte meine Beine nur noch inden Knien anwinkeln, eine andere Bewegung ging nicht.Es machte Klick, und er sagte, “Gut, setz dich auf.”Das ging relativ leicht. Nun sah ich, dass aus meinem Rock statt zweiennur noch ein breites Bein kam. Bis zu den Fußgelenken waren meine Beinevon einem Stoffschlauch eng umhüllt. Er war aus demselben Material wiemein Kleid und hatte natürlich dieselbe Farbe. Statt weißer Strümpfe warich nun fast komplett neongelb bekleidet.Weglaufen konnte ich so allerdings garantiert nicht. Mit nakten Füßenvielleicht hüpfen, aber nicht in den Ballettstiefeln.”Böse Mädchen dürfen auch nicht reden.”Er entfernte mein Spitzenhäubchen. Ich hätte gerne gewusst, wie dasging. Dann schob er mir das Teil über den Kopf, das ich vorhin gesehenhatte. Es war in der Tat PVC und ich war dabei zu erleben, wie es ist,wenn der ganze Kopf davon eingeschlossen wird.Im Prinzip war es nicht anders als das weiße Halskorsett, nur das dieseshier den ganzen Kopf umschloss. Es saß schon so ziemlich stramm,jedenfalls die obere Hälfte des Kopfes. Vorne lief es spitz aus undreichte gerade zwischen meine Brüste. Hinten ging es genauso weitherunter, blieb aber gleich breit. Nun wurde ein Riemen knapp untermeiner Brust um mich geschlungen, fest angezogen und mit einem Schlossgesichert.Ich konnte meinen Kopf nicht mehr bewegen, obwohl die Schnürung imNacken noch offen war. Es mussten Verstärkungen darin eingearbeitetsein, ähnlich wie Korsettstäbe. Nun schloss sich die Schnürung.Faltenlos glatt legte sich die Haube um meinen Kopf und Nacken. Alleswar fest umschlossen, aber nicht unangenehm stramm. Es gab nur Öffnungenfür die Nase. An den Augen war das PVC durchsichtig genug, das man einundeutliches Bild der Umgebung gewinnen konnte. Als sie sich an dasneongelbe Sehen gewöhnt hatten, wurde es besser. Es ist schon toll, wiegut das Gehirn Farben ausfiltern kann – es war nicht anders als beieiner farbigen Sonnenbrille. Aber wurde nicht richtig scharf, halt so,als ob man durch eine Plastikfolie schaut. Was ja auch der Fall war.Wenn ich gedacht hatte, das weiße Halskorsett würde den Kopfbewegungsunfähig machen, dann hatte ich mich getäuscht. Dieses Teil tatdas viel perfekter. Der Kopf konnte nicht das kleinste Bisschen bewegtwerden, in keine Richtung. Es umschloss den Kopf so eng, dass ich denMund nicht öffnen konnte.Ich war praktisch völlig ohne Kommunikation. Ich konnte nicht sprechen,nicht nicken, und ein Augenblinzeln würde man nicht sehen. Es war schonunglaublich, wie perfekt ein bisschen gelbe Plastikfolie das unterband.Dabei war es nicht unangenehm. Vermutlich würde sich das nach einigerZeit ändern.Nun hörte ich wieder das bekannte Klicken eines Schlosses im Nacken. Ichtastete mir meinen Händen über den Kopf. Ich fühlte nur makellos glattesPlastik. Es fühlte sich toll an, über das Gesicht zu streichen, und dannüber das Kinn den Hals entlang bis zu den Brüsten und immer nur diesesglatte Gefühl zu haben. Im Nacken konnte ich das Schloss fühlen, dasverhinderte, dass jemand dieses Teil entfernte. Ich fühlte meinen Penissich versteifen, soweit das in dem Slip ging.”Böse Mädchen dürfen ihre Hände nicht benutzen. Nimm die Arme nachhinten.”Ich fand, dass das Spiel weit genug gegangen war. Ich behielt die Armevorne. “Was, du willst nicht gehorchen? Dir werde ich helfen.”Er betrachtete es anscheinend als Teil des Spiels. Sagen konnte ichnichts, deshalb wollte ich eine Geste benutzen. Aber das ging nichtmehr. Er hatte sich neben mich gesetzt und zog mich über seine Knie.Dann zog er meinen Rock samt Petticoat nach oben, sodass sich alles ummeine Taille sammelte. Nun zog er mir den Slip aus.Ich war so erstaunt darüber, und in welcher Geschwindigkeit es geschah,das ich vergaß, mich zu wehren. Nicht dass ich viel machen könnte, mirfehlte schon die nötige Menge Luft dafür. Die Beine waren nahezuunbeweglich, der Torso bildete mit dem Kopf eine unbewegliche Einheit.Nur die Arme konnte ich bewegen. Aber was nützte es mir über den Knienliegend? Sollte ich ihm die Schnürsenkel aufziehen?Zumal logische Gedanken nun ein Ende fanden, denn auf meinem Po machtesich brennender Schmerz breit.Was dann nach etlichen Schlägen passierte, ist mir bis heute nicht sorichtig klar. Ich war vorher sexuell stimuliert, das ist klar. Und nunrieb mein Penis auf seiner Hose. Ohne zusätzliche Stimulation sollte daseigentlich nichts machen. Und ich dachte wirklich nicht an sexuellstimulierende Dinge, ich kämpfte nur mit dem Schmerz. Aber ich hatteschon davon gehört, dass eine genau dosierte Menge Schmerz stimulierendist – der Sinn von BDSM.Jedenfalls hatte ich plötzlich einen Orgasmus. Es wäre mir ja peinlichgewesen, hätte ich irgendetwas dazu getan.Nun merkte der Butler den nassen Fleck. Er stand auf und ich fiel dabeizu Boden – wenigstens bremsten meine ausgestreckten Arme den Fall.”Ihhh, was für eine Sauerei”, schimpfte er und ich hörte, dass errichtig sauer war. So gut kannte ich ihn mittlerweile.”Du bist wirklich ein böses Mädchen.” Es klang anders als vorher. Nunwar richtige Wut dabei. Er nahm mich vom Boden und setzte mich auf dieBank. Mein schmerzender Po protestierte, aber ich wagte nichts zumachen, um nicht noch mehr Zorn hervor zu rufen.”Nimm die Arme auf den Rücken.”Ich gehorchte sekundenschnell. Nur nicht noch mehr Schläge.Er zog etwas über meine ausgestreckten Arme bis zu den Puffärmeln. Nunverengte es sich. Erst wurden meine Handflächen aneinander gepresst,dann die Handgelenke, und dann ging es immer weiter Richtung Schulter.Meine Schulterblätter wurden unangenehm nach hinten gezogen. Aber da warauch Schluss. Meine Arme waren wie meine Beine aneinander gepresst.Nun wurde ein Riemen um meine Taille geschlungen, angezogen und miteinem Schloss gesichert. Meine Arme waren eng an den Rücken fixiert, ichkonnte sie nicht das kleinste bisschen bewegen.Ich war so extrem gefesselt wie nie zuvor. Praktisch nichts konnte ichbewegen. Und ich brauchte nicht auf andere Hilfe zu hoffen, selbst wennjemand in den Raum kommen könnte. Ohne die Schlüssel ging nichts ab.Selbst mein Kleid und Korsett waren abgeschlossen, aber das war nunvöllig egal.So hilflos, wie ich war, bekam ich es nun mit der Angst zu tun. DerButler war jähzornig, das war deutlich. Und momentan hatte er geradeeinen Wutanfall. Auch wenn er es selbst verschuldet hatte, aber daswürde er kaum hören wollen.”So ein Mist”, schimpfte er. “Ich habe die Uniform gerade erst gekauft.Richtig guter Stoff und sauteuer. Das gibt garantiert einen Fleck, dernicht mehr herausgeht.”Statt sich um den Fleck zu kümmern, kramte er in einer Schublade. Dannlegte er mich wieder über seine Knie und zog den zurückgerutschten Rockwieder hoch. Dann spürte ich einen Druck an meinen Anus. Stück für Stückwurde etwas hineingeschoben. Es tat weh, obwohl es sich schlüpfriganfühlte. Er schon einen Dildo in meinen Po, und ich konnte nichtsdagegen tun. Wenigstens hatte er Gleitcreme darauf getan.Immer wieder ging es ein Stück hinein, bis sich mein Körper wehrte, unddann wieder heraus. Schließlich flutsche es auf einmal ganz in mich. Ichkonnte es nicht glauben, ich hatte einen Dildo in mir. Noch nie waretwas da gewesen. türkçe bahis Ich fühlte mich unglaublich erniedrigt. Das Gefühl warfast stärker als meine brennenden Pobacken.”So, ich habe einen speziellen Sitz für dich, damit du nicht auf deinenroten Backen sitzen musst.” Seine Stimme troff vor Sarkasmus.Er schob etwas in die Mitte des Raumes, was aussah wie ein senkrechtstehender Stab, mit einem kleinen Querstab kurz vor dem oberen Ende.Mühelos hob er mich auf und setzte mich auf den Stab. Der Dildo warhohl. Nun Schob sich der Stab bis zum Anschlag hinein. Der Querstab warnun zwischen meinen Pobacken. Nun justierte er die Höhe so, dass meineBeine gerade eben den Boden erreichten. Ich saß teils auf dem Querstab,teils auf dem Dildo und teilweise stand ich auf den Zehenspitzen.”So, jetzt kannst du über deine Sünden nachdenken.” Er wollte gehen,aber drehte sich noch einmal um. “Ach ja, Türsicherheit abschalten.Sonst hättest du ein richtig großes Problem gehabt.”Das Licht ging aus und ich saß in völliger Dunkelheit auf einem Dildo.Mal schmerzten die Füße, wenn ich mit allem Gewicht auf den Zehen stand.Ich war schließlich keine trainierte Balletttänzerin. Dann verlagertesich das Gewicht auf den Dildo, bis der unangenehm schmerzte. Und dannging es von vorne los.Ich fast ausschließlich damit beschäftigt, das Gewicht zu verlagern,dass ich nur wenig Zeit hatte, über meine Situation nachzudenken. Ichwar praktisch bewegungsunfähig gefesselt und saß auf einem Dildo, vondem ich nicht wegkam. Denn dazu hätte ich hoch gemusst, und das warvöllig unmöglich. Ich stand schon auf Zehenspitzen.Nun begannen auch meine Schultern immer mehr zu schmerzen, durch dienach hinten gezogenen Arme. Ich versuchte mich zu winden, aber ohne denkleinsten Erfolg. Alles saß bombensicher.Dann wurde es plötzlich wieder hell. Ich blinzelte. Der Butler kamherein. Er roch nach Essen. Das gab mir eine ungefähre Zeitangabe. Ichmusste drei Stunden auf dem Dildo gewesen sein.”Ich wollte dich ja eigentlich bis heute Nacht hier schmoren lassen”,begann er. Ich hörte an seiner Stimme, dass sein Zorn verraucht war.”Aber du hast Glück. Der Fleck ging raus. Aber Strafe muss sein.”War das bis jetzt keine Strafe gewesen?”Wenn du den Keuschheitsgürtel trägst, dann befreie ich dich jetzt.Stöhne einmal für ja, zweimal für nein.”Aha, daher wehte der Wind. Er sah nun die Chance, mir ihn anzulegen. Ichhätte es ihm wahrscheinlich sowieso erlaubt, aber das wusste er nachmeiner Ablehnung nicht.Schnell stöhnte ich einmal.”Gut. Dazu muss ich dich ausziehen, denn auch das Korsett muss ab.”Er hob mich von dem Stab. Ich seufzte erleichtert durch die Nase. Aberimmer noch war der Dildo in meinem Po. Dann entfernte er meineArmfessel. Ich rieb die schmerzenden Schultern, soweit es die Kopfhaubeerlaubte.Dann entfernte er die Umhüllung um meine Beine. Statt das Kopfteil zuentfernen, sagte er, “Gehe auf dein Zimmer. Ich komme gleich.”Ich stakste auftragsgemäß los. Entweder er wollte allein in dem Raumsein, oder ich sollte mit niemandem reden, oder beides. Da ich nurlangsam vorankam, kam er kurz nach mir in mein Zimmer. Ich hatte kaumZeit meinen PVC umhüllten Kopf anzusehen, so gut das durch die Folieging. Mein Kopf sah aus wie nicht von dieser Welt. Ein glänzendesneongelbes Oval saß auf meinen Schultern. Es sah bizarr, aberausgesprochen gut aus.Doch nun entfernte der Butler die Schlösser und wenig später war meinKopf frei. Ich war verschwitzt und die Haare waren auch nass. Ich sahnicht gerade gut aus. Wie ein nasser Hund.Zehn Minuten später war ich nackt und ging sofort duschen. Dort zog ichals erstes den Dildo heraus. Nun ging es mir wieder recht gut, mal vondem immer noch feuerroten Pobacken abgesehen. Ich föhnte die Haare undkehrte zu dem Butler zurück. Ich stand nackt vor ihm, es war unnötig,etwas verbergen zu wollen.”Du hast ja richtige Brüste bekommen. Nimmst du Hormone?”Ich schüttelte den Kopf. Jetzt wollte ich das nicht diskutieren.Er gab mir den metallenen Keuschheitsgürtel. “Unten ist eine Röhre, dakommt dein Penis rein. Ich habe schon Gleitcreme daran getan.”Ich fummelte den Penis in die Röhre. So erschlafft war das nicht ganzeinfach. Dann half er mir das Teil anzulegen. Kurz darauf hatte ich inmeinem Genitalbereich nur noch eine silbern glänzende Edelstahlplatte.Zwei Bänder gingen V-förmig nach oben bis über meine Hüftknochen. Dortwar nun, etwas unter der schmalsten Stelle meiner Taille, ein Band rundum meinen Körper. Hinten ging ein Band zwischen meinen Pobacken zu derStahlplatte. Damit war sie nicht mehr entfernbar – der Sinn einesKeuschheitsgürtels. Mein Penis war in seiner Röhre zwischen den Beinen.Ich konnte aber urinieren und auch bei meinem Anus war eine genügendgroße Öffnung.”Das ist feinster Stahl”, verkündete er, als er verschlossen war.”Selbst ein Handwerker bekommt das nicht ab. Nicht, ohne größereVerletzungen zu verursachen.””Wie lange soll ich ihn tragen?””Mal sehen. Ich denke, mindestens eine Woche. Wenn du wieder etwasausfrisst, dann länger. Aber ich bin noch nicht fertig. Ich habegesehen, du hast den Dildo schon entfernt. Gut, denn ich habe hier einenanderen.”Er zeigte mir einen kleineren aus silbernen Metall. Ich sagte nichtsAblehnendes. Das Ding würde doch in meinen Po kommen, und Gegenwehrwürde ihm nur Spaß machen. Statt dessen fragte ich, “Kann ich ihn selbereinsetzen?” Das würde sicher am Angenehmsten sein.Er zuckte die Schultern und gab ihn mir. Die Gleitcreme lag noch bereit,ich schmierte ihn ein. Nach dem anderen Dildo rutschte dieser rechtleicht hinein und rastete in den Keuschheitsgürtel ein.”Wie kann ich jetzt auf die Toilette?””Ich werde ihn jeweils für deine Morgenhygiene entfernen.”Nun zog er mir wieder das rote Korsett an. Die Metallbänder darunterbereiteten kein Problem, da sie flach anlagen und kaum auftrugen. Unterdem Korsett schaute nun die Metallplatte hervor. Völlig flach gab siekeinen Hinweis darauf, dass da irgendwo ein Penis war. Das war einPositives daran, niemand konnt mich mehr als Mann entlarven.Strümpfe und die roten Stiefeletten folgten. Dann kam wieder das roteOberteil. Ich sollte doch nicht etwa wieder den durchsichtigen Rocktragen?Doch. Für jeden sichtbar musste ich meinen roten Po präsentieren. “Wenndich jemand fragt, dann sagst du, dass du ein böses Mädchen warst,klar?”Ich nickte. “Gut. Dann schminke dich und komme nach unten. Es ist vielArbeit liegen geblieben.”Als ob ich Schuld daran wäre. Ich hatte mich nicht gefesselt und aufeinen Dildo gesetzt.Ich begegnete als erstes Tina. Auf ihre Frage, warum ich schon wiederverhauen worden war, antwortete ich auftragsgemäß, “Weil ich ein bösesMädchen war.”Sie schaute mich nur mitleidsvoll an. Vielleicht hatte sie das auchschon machen müssen.Nicht viel später hatte ich jedem erzählt, was für ein böses Mädchen ichwar. Niemand sagte etwas darauf.##Am nächsten Morgen befreite mich der Butler von Korsett und Dildo. Ichhatte wieder in dem Korsett geschlafen. Es war kein Problem, denn espasste perfekt.Nach Toilettenbesuch und kurzer Dusche stand ich vor dem Spiegel, nur indem Keuschheitsgürtel. Meine Taille war klein wie immer, aber nun feinergerundet. Auch meine Hüfte war einen Hauch runder geworden. Alles Essenwar wohl direkt dahin gegangen.Ich grinste. Das dachten wohl alle Frauen.Plötzlich wurde mir klar, dass ich mich gerade auch als Frau gesehenhatte. Dauernd nur sexy Kleider anzuhaben schien Auswirkungen zu haben.Nein, es war wohl eher, dass ich von allen als Frau behandelt wurde -die meisten wussten es nicht besser.Aber dazu kam noch etwas viel wichtigeres – mein Körper. Ich sah nichtmehr aus wie ein Mann. Die Taille war zuerst nur klein, nun rundete siesich harmonisch. Der Po wurde immer runder. Ob das Verhauen mit seinerstarken Durchblutung danach das förderte?Und dann waren da meine Brüste. Ich hatte nun sicherlich einen A-Cup.Nach allem, was ich wusste, wuchsen Brüste nicht so schnell. Jedenfallsbei einem normalen Teenager.Aber bei mir wirkten Medikamente. Ich wusste nicht, was darin war.Weibliche Hormone, das war klar. Aber davon gab es viele Verschiedene.Gut, man konnte so einen Mix optimieren. Erklärte es das?Nein. Es musste mehr sein. Mir kam ein Bericht von derWissenschaftsseite meiner Tageszeitung in den Sinn. Dort wurde davonberichtet, dass man im Labor die Heilung von Knochenbrüchen extrembeschleunigen konnte. Tage statt Wochen.Es musste etwas in dieser Richtung sein. Was auch immer es war, es tatseine Wirkung. Fett verteilte sich sehr wirkungsvoll neu an meinemKörper. Im Prinzip das, was die Schwester gesagt hatte. Sie hatte zwarnichts von wachsenden Brüsten erzählt, aber sonst gab es tatsächlichkeine Nebenwirkungen.Ich fragte mich, was ich machen sollte, wenn das alles vorbei war. So,wie ich mich gerade im Spiegel sah, konnte ich unmöglich als Mann leben.Kein Stück Männerkleidung würde mir passen, egal welcheKonfektionsgröße.Ok, die Brüste konnte man wegoperieren. Aber meine Taille? Man kann janichts hinoperieren. Und konnte man einen runden femininen Powegoperieren? Ich hatte schon viel Schlechtes über solche heiklenSchönheitsoperationen gehört. Nicht selten war das Ergebnis dabeikatastrophal. Das war etwas anders als eine einfache Fettabsaugung amBauch bei Frauen.Ich musste mich wohl damit abfinden, dass sich mein Leben ändern würde.Ein Leben als Frau schien mit diesem Aussehen sinnvoller. Lieber gut alsFrau aussehen als schlecht als Mann. Und ich sah gut aus, fand ich. Wennauch deutlich zu jung.Dabei fiel mir ein, dass ich mein Büro sträflich vernachlässigt hatte.Aber wie sollte ich auch? Telefonisch ging nicht, niemand würde micherkennen. Ich musste auf meine gefälschten Papiere warten und auf dieversprochenen Kleider. So konnte ich nicht auf die Straße, selbst wennich meine normale schwarze Uniform anzog, was das Normalste war, was ichhatte. Und dann war da das Spitzenhäubchen auf meinem Kopf, das derButler wieder dort platziert hatte und nur er wusste, wie man esentfernte.Nun kam der Butler wieder und riss mich au meinen Überlegungen. Er legtemir wieder das rosa Korsett an, warum auch immer. Es wurde nicht mehrbenötigt, der Raum war geöffnet. Ich ließ es mir trotzdem kommentarlosanlegen, machte sogar einen Knicks, und tat auch sonst sehr devot. Esfiel mir immer leichter, da es immer mehr zu Gewohnheit wurde.Der Grund war, dass ich diesen Keuschheitsgürtel so schnell wie möglichloswerden wollte. Deswegen wollte ich mich so gut mit ihm stellen wienur irgend möglich.Bald war ich wieder in der rosa Uniform. Wie immer verschloss erKorsett, Schuhe und Kleid. Warum auch immer. Es war wohl sein Fetisch.Und leider auch meiner, stellte ich wieder fest, als die Röhre imKeuschheitsgürtel zu eng wurde.Ich ging Frühstücken.##Der Tag verlief normal, bis Madame mich zu ihr rief. Ich klopfte an ihreTür und trat auf Aufforderung ein. Völlig automatisch kam der Knicks undebenso automatisch stand ich mit gesenktem Blick da, ein Bein leichtangewinkelt, bis ich angesprochen wurde.”Michelle, ich sehe, du hast dich gut in deine Rolle eingefunden. Ichkann deine Arbeit hier nur positiv bewerten. Der Butler hat mir gesagt,dass dir die Korsetts perfekt passen und du sie immer tragen solltest,denn dein altes Korsett ist zu groß. Ist das richtig?””Ja, Madame.””Damit passen auch die alten Uniformen nicht mehr richtig. Er will sieersetzen lassen. Er ist der Meinung, dass rosa dir sehr gut steht. Ichbin derselben Meinung. Ist das OK?””Ja, Madame.””Dann hat er mir berichtet, dass du kleine Brüste entwickelt hast.Richtig?””Ja, Madame.””Der Grund?””Ich weiß es nicht genau, Madame. Ich vermute es steht in Zusammenhangmit Medikamenten von der Fettabsaugung.””Diese Medikamente wirken immer noch?””Ich fürchte ja. Ich habe ein lang wirkendes Depot im Körper.””Deine Brüste werden also weiter wachsen?””Ja, Madame.””Nun, das ist gar nicht so schlecht. Um so besser kannst du deine Rollehier spielen. Deshalb denke ich, dass der Vorschlag nicht schlecht ist,keine Prothesen mehr zu benutzen, denn das dürfte dann bald ein Problemgeben. Statt dessen einen Push-Up BH. Der kann leichter mit dem Wachstummithalten. Einverstanden?””Ja, Madame.””Gut, das wäre alles.”Ein Knicks, und ich ging hinaus.##Am nächsten Morgen hatte sich der Inhalt meines Kleiderschrankesdeutlich geändert. Die alten Uniformen waren weg. Statt dessen mehrerevon der intensiv rosa Version. Entsprechende Korsetts und neu dazupassende Push-Up BHs. Die Stiefeletten kannte ich schon, nun waren auchnoch Ballett Boots dazu gekommen. Die PVC-Uniform war durch eine in Rosaersetzt worden. Und ich sah eine PVC Kopfhaube, auch in rosa. Nocheinige andere Sachen waren da, die ich nicht identifizieren konnte. Aberauch in rosa. Sogar mein Nachthemd war ersetzt durch ein rosa Baby Doll.Ich war von der Menge rosa nicht angetan. Überhaupt nicht. Bald würdejeder wissen, dass ich es war, wenn jemand in Rosa auftauchte. Und dieseFarbe war so schrecklich intensiv. Was war den Grund dafür?Mir fiel dazu ein Spruch aus einem alten Film ein. Nur ein unsichtbarerSpion ist ein guter Spion. Mit diesen Sachen war ich das genaueGegenteil: Extrem auffällig. Das konnte nur bedeuten, jemand wollteNachforschungen verhindern. Aber wer?Der Butler kam mir in den Sinn. Er schloss mich jeden Tag in meineKleidung ein. Wenn das nun kein Fetisch war, sondern verhindern sollte,dass ich mich unauffällig kleidete? Es verhinderte es auch, den überdiesen extrem üppigen Petticoat konnte man nicht einmal einen Manteltragen, ohne dass es auffiel. Und selbst wenn, leuchtete immer noch meinstrahlend weißes Spitzenhäubchen.Ich war mir sicher, dass irgendjemand hier im Haus falsches Spiel trieb.Der Butler war zu offensichtlich, als dass ich es wirklich glaubenwollte.Nicht viel später saß ich in einer brandneuen Uniform beim Frühstück undwartete darauf, dass jemand etwas zu meinen Brüsten sagen würde. Nun waralles echt, durch den Push-Up BH so groß wie möglich geschoben. Der BHkneifte ein wenig, aber das musste man wohl im Dienste der Schönheithinnehmen.Meine Oberweite war nun trotzdem kleiner. Aber außer Tina schien niemandetwas zu bemerken. Nach dem Frühstück zog sie mich in eine Ecke. “Trägstdu jetzt nur noch rosa? Und was ist mit deinen Brüsten, die sind diekleiner?””Beidesmal ja.””Und wieso?””Das mit der rosa Uniform war der Butler. Er meint, die Farbe stünde mirgut. Bist du auch der Meinung?””Nie und nimmer. Rosa passt überhaupt nicht zu dir. Und vor allem nichtso grell. Aber was ist mit deinen Brüsten?””Das sind die Echten.””Du hast gemogelt?”Ich nickte.”Und der Butler hat es gemerkt?””Ja, als er mir das Korsett anlegte”, sagte ich wahrheitsgemäß.”Ich verstehe. Sag mal, hast du jetzt auch eine rosa PVC Strafuniform?””Warum?””Weil bei mir im Schrank seit heute Morgen eine Weiße hängt.””Du meinst, das wäre meine?””Wieso nicht?””Könnte sie dir denn passen? Das Korsett ist sehr eng.””Keine Ahnung. Aber ich würde es gerne ausprobieren, kann es aber nichtalleine.””Du willst freiwillig die Strafuniform anziehen?””Ich finde eigentlich nur schlimm, wenn er mir den Hintern versohlt, undich den durchsichtigen Rock anziehen muss, sodass jeder es sehen kann.””Ja das finde ich auch soooo demütigend.””Diese PVC-Uniform aber… Wie ist es, wenn man sie anhat?””Solange man nicht zu sehr schwitzt, ist es einfach geil. Du bist totalfest umhüllt. Überall, nicht nur um die Taille. Und du kannst es nichtselbst ausziehen, weil überall diese kleinen Schlösser sind.””Geil! Das … aufpassen, der Butler!”Aber es war zu spät, er hatte uns erwischt. “Wieder beim Schwätzenerwischt”, stellte er fest. “Ich hatte mir schon gedacht, dass ihr euchnicht beherrschen könnt, und gleich die Strafe eingesteckt.”Er drückte mir einen Knebel in die Hand. In rosa. Tina bekam einenweißen, den sie aus großen Augen anstarrte. Ich seufzte, steckte dieBirne in den Mund, schlang das Band um meinen Nacken und sicherte es mitdem Schloss, das nun wieder vor meinem Mund baumelte. Grr, wiederGummigeschmack. Das Teil war neu.Tina hatte ihr Teil immer noch in der Hand und starrte es an. Ich nahmes ihr aus der Hand und sagte, “Mund auf.” Sie ignorierte es. Ich griffunter ihren Rock und zwickte sie in den Po. Erschreckt riss sie den Mundauf. Ich schob den Knebel hinein und sicherte ihn mit dem Band.Ungläubig tastete sie nach dem vor ihrem Mund hängenden Schloss.”Gut”, meinte der Butler. “Vielleicht sollte man das zum Bestandteil derStandard-Uniform machen.”Arschloch, dachte ich mir. Es wird Zeit, das du geknebelt wirst. Ich wares nun schon viel zu oft.##Nach dem Servieren des Abendessens bekamen wir die Knebel abgenommen undkonnten selber essen. Ich aß immer noch nicht sehr viel, trank aber vielWasser und andere Getränke, die für ausreichend Kalorien sorgten.Danach gingen wir auf ihr Zimmer. Ich war zum ersten Mal da. Es wargenau wie meines.Dann musste ich weiter von dem PVC-Kostüm erzählen. Als ich fertig war,fragte ich sie, “Dich machen so Sachen an, nicht war?””Oh ja! Ich ging immer in diesen Klub. Das gibt es auch alle möglichenLeute in Fetisch Kleidung. Und die Bedienungen sind in Gummi.” Siekicherte.”Du meinst, die haben Latex Kleider an?””Ja. Und manche haben auch Knebel und so etwas. Ich habe mich das niegetraut. Heute habe ich zum ersten Mal einen Knebel angehabt.””Und wieso bist du in den Klub gegangen?””Weil ich all diese Sachen sooo toll finde. Und weil da Thomasarbeitet.” Sie strahlte mich an.”Dein Freund?””Beinahe. Wir gehen nicht miteinander. Noch nicht. Aber wir sehen unsöfters. Er hat mir den Job hier verschafft.””Und wie kam er ausgerechnet auf diese Stelle?””Er wusste, dass hier auch Leute solche Sachen anziehen. Das fand ich sotoll, dass ich das dann jeden Tag sehen kann.””Hast du den Vater von Madame gesehen?””Nein. Ich bin noch nicht so lange hier.””Hast du ein Bild von deinem Freund?””Ja.” Sie wühlte in einer Tasche. “Hier ist es.”Ich prägte mir den jungen Mann ein. Gesichter konnte ich mirausgezeichnet merken, ein Vorteil in meinem Beruf. Er war meine neueZielperson. Er wusste von der Fetischleidenschaft und hatte das Mädchenhier eingeschleust. Ich fragte sie noch, wo dieser Klub war.Nun holte sie das PVC-Korsett aus dem Schrank. “Ist das deines?”Ich sah mir die Größe der Taille an. “Nein, das muss für dich passendsein.”Sie klatschte die Hände zusammen. “Klasse. Ich möchte es so gerneanziehen.””Das geht nicht so einfach. Wir brauchen zum Beispiel dieKorsettmaschine, sonst ist es viel zu anstrengend. Aber warum frisst dunicht einfach etwas aus? Dann musst du sie zur Strafe anziehen.””Aber das passiert nur, wenn man etwas Teueres zerschlägt oder so. Ichfürchte, sie schmeißen mich dann raus. Ich bin noch in der Probezeit.Und der Butler verhaut mich wieder, und jeder kann es sehen, und ich binnackt unter dem Rock. Nur die kleine Schürze und sonst nichts! Ich habedas Gefühl, das jeder schon meine Muschi gesehen hat.””Ich verstehe.” Auf eine nochmalige Züchtigung hatte ich wirklich auchkeine Lust. Zweimal war zweimal zu viel. Ich, ein erwachsener Mann von27 Jahren, wurde verhaut wie ein kleines unartiges Kind! Und dann ineinem durchsichtigen Rock zur Schau gestellt. Über diese Demütigung warich noch nicht hinweg.Sie sah, dass ich das mindestens so wenig mochte wie sie. “Und du Armemusstest das schon zweimal erdulden.” Sie strich über mein bestrumpftesBein. Es war sehr erotisch. Ich mochte zwar nicht ganz so aussehen, aberich war innerlich immer noch ein Mann. Dieser blöde Keuschheitsgürtel!Aber nur deswegen konnte ich auf ihr Zimmer. Männer durften die Zimmerder weiblichen Angestellten keinesfalls betreten. Aber solange ich denKeuschheitsgürtel trug, galt ich als Frau. Wenn ich ihn wieder loswurde,wäre Tinas Zimmer wieder verbotene Zone. Verkehrte Welt!”Ja, dagegen war die Strafuniform vergleichsweise angenehm.””Ich wette! Ich kann es nicht erwarten sie anzuziehen.””Es dauert, bis du sie anhast. Dann willst du sie eine Zeitlang tragen,und auch das Ausziehen dauert. Zusammen viel Zeit. Und dann bin ich nacheinem Tag in hohen Absätzen auch reichlich kaputt.”Sie schaute enttäuscht. Aber dann hellte sich ihr Gesicht auf. “Ich habeSonntag meinen freien Tag. Da ginge es doch?” fragte sie hoffnungsvoll.An den Wochenenden war Madame fast immer weg, und auch der Butler warwenig da. Ich hatte Samstags meinen freien Tag und Sonntag Bereitschaft,bei Tina war es umgekehrt.”Ja, warum nicht? Das könnte gehen, und wir haben keinerlei Zeitdruck”,antwortete ich.”Gut, dann ist es abgemacht. Ws hast du eigentlich mit dem Butler solange in dem abgesperrten Raum gemacht? Und dann kam er allein herausund schien richtig sauer zu sein.”Oh. Was erzählte ich jetzt? Warum nicht ein Stück von der Wahrheit? “Andem Tag hat mir der Butler gesagt, er steht auf Rollenspiele. Er fragte,ob ich mitmachen wollte, als wir über eine PVC-Kopfmaske sprachen. Ichwollte sie gerne ausprobieren.””Den ganzen Kopf in PVC? Das muss toll sein.””Ja, es ist schon ein ganz besonderes Erlebnis. Jedenfalls musste ichböses Mädchen spielen und er strengen Herr.””Das macht ihm garantiert Spaß.””Er zog einen Schlauch um meine Beine und schnürte ihn eng. Es sah soaus, als ob ich nur noch ein Bein hätte. Damit konnte ich nicht mehrweglaufen.”Ihre Augen wurden groß.”Dann zog er mir die PVC-Haube auf. Das war nicht schlecht, aber dasTeil ist schon ziemlich extrem. Der Kopf wird völlig unbeweglichfixiert.”Nun musste ich diese Haube genau sc***dern.”Dann wollte er mir eine Armfessel anlegen, aber ich wollte nicht. Dannbegann es schief zu laufen. Er versohlte mir den Hintern. Ich war durchdas Ganze sexuell erregt und merkwürdigerweise führte der Schmerz zueinem Orgasmus. Ein paar Tropfen kamen auf seine Hose, da ich ja aufseinen Knien lag. Das fand er überhaupt nicht gut.”Durch die Erzählung gab ich mein wahres Geschlecht nicht Preis, dennauch Frauen produzieren nicht wenig Flüssigkeit. Ein feuchtes Höschenkommt öfters vor.”Oh, das kann ich mir vorstellen. Er ist immer so penibel mit seinenSachen.””Jedenfalls fesselte er mir dann doch die Arme hinter dem Rücken. Auchmit so einer Art Schlauch. Ich konnte nichts mehr bewegen, war völlighilflos.”Nach ihrem Gesichtsausdruck schien sie das sehr zu faszinieren “Dashätte ich gerne gesehen!””Was, nicht ausprobiert?””Ich glaube, ich traue mich das nicht.”Ich fuhr mit meiner Erzählung fort. “Er war sehr wütend und schob mireinen Dildo in den Po.” Sie staunte und wusste anscheinend nicht, ob siefasziniert oder abgestoßen sein sollte.”Der Dildo ist hohl. Damit setzte er mich auf eine Stange, die in denDildo ging. Ich konnte davon nicht weg.”Sie versuchte sich das bildlich vorzustellen. Dann schüttelte sie denKopf.”Nach einigen Stunden befreite er mich unter der Bedingung, dass icheinen Keuschheitsgürtel tragen würde. So einen aus Stahl.””Uiiii. Hast du den immer noch an?”Ich nickte.”Kann ich ihn sehen?””Klar.” Sie konnte meinen Penis nicht sehen, der war hinter viel Stahl.Ich zog den Rock hoch. Die Metallplatte wurde sichtbar. Sie sah sie erstan, dann betastete sie sie.”Ganz schön massiv.”Ich nickte. “Aber das ist nicht alles. Er schließt auch einen Dildoein.””Du hast jetzt einen Dildo im Po?” Ihr Mund blieb offen.Ich musste die Details noch mehrmals erzählen, bis es Zeit zum Schlafenwar. Den Zeitpunkt setzte der Butler, der die Schlösser an meinem Kleidund Stiefeln öffnete. Wie immer schlief ich in dem Korsett, das BabyDoll darüber.##Ich konnte nicht sofort einschlafen. Ich dachte an die rosa Uniformen.Etwas hatte ich noch nicht bedacht. Ich hatte sie zum ersten Malgetragen, um den gesperrten Raum zu öffnen. Das Überwachungssystemerkannte die Form des Kleides. Die Farbe zu erkennen war erst recht keinProblem. Damit war ich für ein elektronisches System fehlerfrei zuidentifizieren. Und auch in diesem Zusammenhang machte es Sinn, das ichnichts selber ausziehen konnt.Aber es gab eine Lücke. Mein Babydoll war zwar rosa, hatte aber keinenPetticoat und viel locker um mich, meine Taille damit verdeckend. Nunwar ich über das flauschige rosa Fell am Saum angetan, das ich vorheraffig gefunden hatte. Aber es zog den zarten Stoff nach unten.Im Dunkeln würde das Rosa kaum zu identifizieren sein. Und infrarotDetektoren sahen keine Farben.Barfuß machte ich mich auf den Weg. Flache Schuhe hatte ich leidernicht. Ich war so an hohe Absätze gewohnt, dass ich es unangenehmempfand, den Fuß flach aufzusetzen. Ich wusste, wohin das nach längererZeit gehen würde: Meine Achillessehne würde sich verkürzen. Dann könnteich nicht mehr ohne hohe Absätze laufen. Aber das würde noch sehr langedauern.Nach der Treppe funktionierten meine Füße besser. Es gab zwei Computerim Haus, beim Butler und bei Madame. Der von Madame war sicherlichbesser gesichert, also ging ich in das Büro des Butlers. Alles bliebstill, als ich mich lautlos durch dunkle Flure dahin schlich. Aber ichkannte das Haus nun genau.Das Büro war unverschlossen. Warum auch nicht, es gab dort nur Dinge zurHausverwaltung, es war schlicht der Arbeitsraum für den Butler.Ich wollte auch an gar keine Geheimnisse, die sowieso kaum hier zufinden waren. Ich wollte an den Computer.Es machte mir keinerlei Problem mich anzumelden. Wie öfters warvergessen worden für den Administrator ein Passwort zu vergeben, nur derBenutzer hatte eines. Momente später war ich im Internet.Ich loggte mich auf meiner Bank ein und sah, dass Madame alle Rechnungenprompt beglich. Sogar der Bonus war da und mein erstes Gehalt alsDienstmädchen. Wenn Tina wüsste, was ich verdiente, würde sie ausrasten.Ich hatte ein Konto im Ausland. Nicht um Steuern zu hinterziehen, dazuhatte ich nie genug Geld gehabt. Aber mache Transaktionen sollten an demviel zu neugierigen Staat vorbei gehen.Ich transferierte alles, was da war, in die Schweiz. Ein Dauerauftragwürde auch alle zukünftigen Eingänge dorthin transportieren.Ich wahr sehr froh, dass ich wohlweislich die Chipkarte abgelehnt hatte,die das Online-Banking so viel sicherer machen sollte. Nur so konnte ichdas in meiner jetzigen Situation machen.Dann schrieb ich mehrere Emails. Ich kündigte mein Büro und erteilteVollmacht, das eine gewisse Michelle die persönlichen Dinge ausgehändigtbekommen konnte. Ich kündigte der Studentin.Dann sah ich im Telefonbuch unter meiner alten Adresse nach. Es wohntejetzt jemand anderes dort. Mit der Räumung des Büros gab es mein altesLeben nicht mehr.Ich löschte alle Daten aus dem Browser und fuhr den Computer herunter.Nicht viel später lag ich in meinem Bett. Nun schlief ich sofort ein.##Langsam nahm ich die rosa Uniform als völlig normal wahr. Und auch mitdem weit abstehenden Rock warf ich garantiert nichts mehr um. Besucherpflegten mich ausführlich anzustarren, aber mittlerweile fand ich dasnicht mehr schlimm. Des Öfteren schmeichelte es sogar meinem stärkerwerdenden femininen Ego.Tina und ich konnten es nicht lassen, ab und zu ein Schwätzen zu halten.Aber wir wurden nicht erwischt. Alles begann zur Routine zu werden.Es war nur schwer vorstellbar, wenn man mich nun sah, dass ich vorweniger als zwei Monaten ein völlig normaler Mann gewesen war. Nunpräsentierte ich in meinem Dekolleté meine eigenen A-Cup Brüste, diewegen des Push-Up BHs eine Nummer größer aussahen. Männer schienen mitder Größe keine Probleme zu haben, wenn man die dorthin wanderndenBlicke sah.Dann wurden Tina und ich zu Madame gerufen. Artig stellten wir unsnebeneinander und machten synchron einen Knicks.”Michelle hat mich um zivile Kleider gebeten. Da sie so nicht einkaufengehen will, möchte ich dich bitten, ihr ein paar passende Sachen zukaufen,” sagte sie zu Tina. “Kannst du das in deiner Freizeit machen?Als Bonus darfst du dir auch etwas kaufen.”Shopping. Das Zauberwort. Tina war begeistert. “Ja, Madame.””Du kannst gehen.”Dann wandte sie sich an mich. “Deine Papiere sind da. Ich fürchte, esgibt nur ein kleines Problem. Oder auch nicht, eigentlich passt es gut.”Sie gab mir einen Personalausweis. Er sah SEHR echt aus. Und ich warFachmann. Michelle war mein Name darauf, und das sollte ja auch so sein.Mein Nachname war geblieben, als Wohnort war nun diese Villa angegeben.Keine schlechte Adresse.Dann sah ich das Problem. “Ich bin ja nur siebzehn!””Als du den Antrag unterschrieben hattest, ist anscheinend ein Fleck aufeine ungünstige Stelle gekommen. Dein Geburtstagsdatum wurde dadurch aneiner Stelle unleserlich. Ich nehme an, dass wegen des Fotos diese eineZiffer um eins erniedrigt weiterverarbeitet wurde. Das macht genau zehnJahre weniger.””Äh – Antrag?” Ich erinnerte mich an das Formular, das ich in dem PVC-Outfit unterschrieben hatte, ohne es zu lesen.”Ja, der Antrag auf Namensänderung? Ich mache doch keine i*****lenSachen!” sagte sie entrüstet.”Das heißt, der Ausweis ist echt?””Aber sicher. Ich habe auch einen Führerschein.”Ich nahm ihn in die Hand. “Aber der ist nur zur Probe. Ich darf nur inBegleitung eines Erwachsenen fahren, steht da.” Wie das klang. Ich warselbst ein Erwachsener, verdammt noch einmal. Mir war gerade meineVolljährigkeit gestohlen worden. Und mein Geschlecht, denn im Ausweisstand weiblich.”Das geht mit siebzehn nun einmal nicht anders. In ein paar Monatenbekommst du den richtigen. Die Kosten werden dir vom nächsten Gehaltabgezogen.””Äh, apropos Gehalt. So kann ich nicht zu meiner Bank gehen, niemandwird mich erkennen. Selbst Telefonbanking geht nicht. Kann ich einenVorschuss haben? Ich habe eine Spur und muss Ermittlungen machen.””Ach ja? Gut. Ich sehe, was ich hier habe.” Sie ging zu einem kleinenWandsafe. “Reichen tausend Euro?””Ja, Madame”, kam automatisch, obwohl ich hier eigentlich als Detektivstand.”Noch etwas?””Ja. Können Sie den Butler anweisen, mir für Recherchen außer Haus dasSpitzenhäubchen abzunehmen? Ich kann es selbst nicht entfernen.””Ich werde ihn informieren. Du kannst gehen.”Geld und Papiere fest umklammert ging ich hinaus. Draußen wurde mir dieTragweite erst richtig klar. Ich war amtlich ein siebzehnjährigerweiblicher Teenager. Nicht mehr volljährig. Ohne Detektiv-Lizenz. OhneWohnung und Büro. Aber mit einem Dienstmädchenvertrag, der mich denganzen Tag in eine bizarre rosa Uniform zwang.Ich stützte mich an die Wand. Dann wurden mir die Knie schwach und ichließ mich zu Boden rutschen.##Ich hatte nicht lange da gesessen, ich wollte mir keine Blöße geben.Wenn Madame mich so sah… Immerhin hatte ich einen laufenden Detektiv-Vertrag mit ihr. So stürzte ich mich in die Arbeit, um mich abzulenken.Tina sah mich erstaunt an, da ich sonst nicht so arbeitswütig war.Den Abend verbrachte ich bei Tina, um erneut über Fetischkleidung zureden. Aber dann kam das Gespräch auf ihren Freund. Schließlich mussteich auch über Jungs erzählen. Natürlich musste ich mir alles ausdenken.Ich versuchte überzeugend zu sein, mich daran zu erinnern, wie ichGespräche von Mädchen mitgehört hatte.Dann sagte sie, “Ich habe übrigens schon etwas für dich gekauft.” Ichkam nicht sofort darauf, dass das nicht sein konnte, denn sie war nichtweg gewesen. “Hier”, sagte sie und gab mir eine edle Boutique Tüte.Erwartungsvoll griff ich hinein. Nacheinander holte ich einen sehrkurzen Faltenrock, ein kurzes Top, dass viel Bauch zeigen würde, undzwei lange weiße Strümpfe heraus.Ich starrte die Sachen verwundert an. Das konnte sie doch nicht ernstmeinen?”Das Gesicht war es wert”, rief sie fröhlich. “Da habe ich dich ja gutreingelegt!””Du Biest!” rief ich freundschaftlich und stupste sie in diekorsettierte Taille.”Aber einmal musst du es anziehen. Nachher, wenn du dich ausziehenkannst?”Auch sie hatte ihre Uniform noch an. Etwas anderes durften wir ja nichtim Haus tragen, außer zum Schlafen. Und ich konnte es nicht einmalausziehen.”Oh ja!” sagte ich. Woher dieser Enthusiasmus kam? Keine Ahnung.”Wieso hast du so etwas?””Ach, ich hatte es mir mal für Fasching gekauft. Irgendwie muss es inden Koffer gekommen sein, ich bin nicht so ordentlich beim Packen. Dukannst es behalten, wenn du willst. Ich werde es wohl nicht wiederanziehen.”Später ging ich dann in mein Zimmer und stellte mich vor den Spiegel,während ich auf den Butler wartete.Ich betrachtete mich. Das war ich also. Ein siebzehnjähriges Mädchen miteiner klasse Figur und einer Oberweite, die vielversprechend war, danoch im Wachstum. Nichts störte das Bild, kein noch so kleines Detailzeigte, dass da kein Mädchen stand.Ich nahm den Ausweis. Das Bild war fast identisch zu dem, was ich imSpiegel sah. Und darauf stand ein Geburtsdatum, das erst siebzehn Jahrezurücklag. Und “weiblich”.Das war ich jetzt. Nicht nur in diesem Ausweis, sondern auch bei derMeldebehörde. Mein altes männliches ich war vollständig getilgt, nichtswar übrig geblieben, außer einer Erinnerung.Ich hatte das gestern nicht wissen können, als ich Vorsorge getroffenhatte. Ich hoffte nur, dass es nicht zu spät gewesen war. Ich mussteheute überprüfen, ob die Transaktion geklappt hatte. Es würde wiedereine Nacht mit wenig Schlaf werden. Aber heute war Freitag. DasWochenende würde ruhiger sein.Nun kam der Butler, öffnete schnell die Schlösser und war wieder weg,ohne mir zu helfen. Vermutlich ging ihm dieser Gang mittlerweile auchauf den Keks, wo die erste Faszination weg war, einen Mann in extremfeminine Kleidung einzuschließen.Ich zog mich bis auf BH und Korsett aus. Das Schloss daran wareigentlich völlig überflüssig, ich konnte die Schnürung sowieso nichtöffnen.Dann zog ich die Sachen von Tina an. Erst den Rock. Er war nicht größerals eine Shorts und saß tief auf der Hüfte. Das Top war zum Binden unterder Brust und ließ viel Bauch sehen – jetzt ein rosa Korsett. Nun, meineTaille war perfekt geeignet, um so zur Schau gestellt zu werden.Dann die weißen Strümpfe. Sie reichten bis gerade über die Knie. Schuhe- hatte ich noch die von der schwarzen Uniform? Ja, und das Mary JanesStyling mit dem hohen Absatz passte perfekt dazu.Im Spiegel sah ich ein höchst sexy Schulmädchen. Ich konnte es kaumerwarten, das ohne Korsett zu sehen.Ich ging zu Tina. “Du siehst klasse aus! Echt toll! So sexy war es beimir nicht.”Wir redeten noch ein paar Minuten, dann ging ich zurück auf mein Zimmer.Ich zog die Schuhe aus, dann ging es zum Büro. Ich war froh, endlicheinmal wieder Sachen anzuhaben, die nicht rosa waren.Ich kam problemlos im Büro an und meldete mich am Computer an. Ich hattediesmal Zeit gehabt darüber nachzudenken, was ich machen wollte. Zuerstlegte ich einen weiteren Benutzer mit Administratorrechten an, damit ichden Computer auch benutzen konnte, wenn der jetzige Zugang gesperrtwerden sollte.Nach einigen weiteren Absicherungen rief ich mein Online-Banking auf.Ja, alles war ausgeführt worden. Dann beantragte ich bei einer anderenBank ein Konto. Die Unterlagen druckte ich aus, unterschrieb sie mitmeinem neuen Namen und steckte sie in einen Umschlag. In einem Büro istdankenswerterweise alles Nötige da. Dann steckte ich es zur ausgehendenPost. Da war so viel, dass das niemand bemerken würde, zumal es genauwie alle anderen Sendungen aussah.Zuletzt kaufte ich online ein Handy. Meines war damals samt meinemPortemonnaie und der Uhr verschwunden. Ich trug nie eine wertvolle Uhr,zu schnell konnte sie bei meiner Arbeit Schaden nehmen. Die Kreditkartenund Ausweis in meinem Portemonnaie waren jetzt wertlos, und das bisschenBargeld egal. Nur das Handy war ärgerlich, es war ein teueres Modell mitallerlei nützlichen Features gewesen.Nun, mein neues Handy war passender für mich. Ich weiß nicht, welcherTeufel mich geritten hatte oder ob meine Kleidung mich irgendwiebeeinflusste: Es war rosa, mit Strasssteinen. Auf meinem Konto war nocheine kleine Menge Geld übrig, die gerade dafür reichte.Dann machte ich eine kurze Recherche zum Thema Hormone. Ich wolltewissen, was mich erwartete. Als Letztes druckte ich mir eineKonfektions-Maßtabelle aus.Schließlich tilgte ich alle Spuren und ging auf mein Zimmer. Niemandhatte etwas bemerkt.##Samstag. Keine Arbeit heute, aber Bereitschaft. Der Butler war vomWochentag unbeeindruckt und kam wie immer um halb sechs. Ich verfluchteihn innerlich, begrüßte ihn aber mit einem Lächeln und demunvermeidlichen Knicks.Ich machte das mit dem Knicksen noch nicht so lange, aber es würdeschwer werden, damit aufzuhören. Zu automatisch geschah es, und auchgerade eben hatte ich es völlig unbewusst gemacht.”Ich brauchte heute etwas länger”, sagte ich ihm.”Gut, das passt mir. Ich komme um acht wieder.”Ich nahm eine richtig schön lange Dusche. Dabei reinigte ich auch denKeuschheitsgürtel gründlich. Ich hatte einen Trick gefunden, um das zubewerkstelligen: Ich schraubte den Duschkopf ab und lenkte den Strahlunter das Metall. Heute besonders gut, ich hatte keine Lust aufInfektionen oder so etwas.Frisch rasiert cremte ich mich ein. Meine Haut war wunderbar weichgeworden und ein wenig bleicher. Nun wusste ich, dass das von einerneuen dünnen Fettschicht kam, die durch die weiblichen Hormone gebildetwurde.Meine Brüste waren wieder einen Hauch größer. Nicht direkt sichtbar,aber ich maß sie mittlerweile jeden Morgen. Zwei Taschenbücher warenmein Messmittel. Eines auf der Seite auf die Rippen gelegt, und dasandere so angelegt, dass sich ein L bildete. Nun schob ich es bis geradean meine Brust und machte einen Strich am Buch. Jeden Tag war der Strichein Stück weiter, auch heute war es wieder ein Millimeter. Sie wuchs,obwohl man das so kaum bemerkte.Heute hatte ich endlich auch ein Maßband. Es hatte mich einige Zeitgekostet, eines im Haus zu finden. Ich maß über der Brust und direktdarunter. Dann sah ich in der Tabelle nach. Ich hatte einen vollen A-Cup, wie ich es schon vermutet hatte. Sogar ein bischen mehr, sozusagenA+.Ich hatte am Computer herauszubekommen versucht, wie groß sie werdenwürden. Aber das war anscheinend nicht vorherzusagen. Es hing etwas vonder Art der Hormone ab – Östrogene, Gestagene und wie sie alle hießen -aber vor allem, welche Gene man geerbt hatte.Ich hatte einen ziemlich potenten Hormonmix in mir, was alleine schondie ungewöhnliche Wachstumsgeschwindigkeit zeigte. Ich war auf bestemWeg zu einem B-Cup, sodass es dabei wohl nicht bleiben würde. Alsoschätzungsweise ein C-Cup. So groß, wie meine Prothesen gewesen waren.Das war nicht gerade klein.Nun maß ich meine Taille ohne Korsett. Das Korsett hatte 40cm, das warklar. Ich war gespannt, wie es ohne war.48cm. Das war verdammt wenig. Wieviel Kraft hatte ich noch? Mit demKorsett mussten meine Rumpfmuskeln kaum noch arbeiten und würden sichlangsam abbauen. Letztendlich würde das irgendwann dazu führen, dass ichohne Korsett nicht mehr leben konnte.Beim Duschen hatte ich keine Probleme. Ich ging zum Bett und versuchteSit-Ups. Oh, da zeigten sich schon Probleme. Eisern machte ich noch einpaar, um wenigstens zu etwas Training zu kommen. Dann noch Rumpfbeugenund was mir sonst so einfiel. Ich kam schnell ins Schwitzen. Das waraber auch eine Nebenwirkung der Hormone, wusste ich seit gestern.Jedenfalls war von meiner früheren Kraft nichts mehr übrig. Ich mussteunbedingt trainieren. Mir war klar, dass ich nie wieder so stark wiefrüher werden würde. Aber ich musste wenigstens fit sein, und so starkwie ein gesundes Mädchen. Vielleicht auch ein bisschen stärker. Mädchenprügelten sich sowieso nicht.Nach dem Wochenende musste ich mit Madame reden. Um das Korsett tagsüberkam ich wohl nicht herum. Aber nachts und vielleicht auch abends, wennich keine Bereitschaft hatte, wollte ich ohne eines sein.Ich nahm noch einmal Maß um meine Taille, wo alle Muskeln jetztgearbeitet hatten. 51cm. Ich würde wohl nie wieder wenigstens auf fürMädchen schöne 60cm kommen, selbst nach längerer Zeit ohne Korsett.Aber ich hatte nur bekommen, was ich bestellt hatte. Eine schmaleTaille, und der Arzt hatte seinen Job verstanden. Das Ergebnis war nurperfekt zu nennen.Nun nahm ich auch noch meine anderen Maße. Tina wollte ja heuteeinkaufen. Mit der Konfektionstabelle konnte ich wenig anfangen, meineMaße tauchten da nicht auf.Ich sah auf die Uhr. Kurz vor acht. Keine Zeit mehr für eine weitereDusche. Ich wusch nur kurz mein Gesicht und machte dann mein Makeup.Heute brauchte es nicht so normal wie sonst sein, ich konnteexperimentieren. Die “Smoky Eyes” hatten mir sehr gut gefallen. Ichprobierte es, mit recht passablem Ergebnis. Tina war besser. Aber siehatte auch viel mehr Übung, war damit aufgewachsen. Ihre Version waretwas eleganter gewesen, meine dramatischer.Der Butler warf mir einen kurzen interessierten Blick zu und legte mirdann kommentarlos das Korsett um. Die Übung machte alles viel schneller,bald sah ich aus wie immer.”Gut, das es so schnell ging. Ich muss gleich weg und bin den ganzen Tagnicht da. Du bist verantwortlich für das Haus, da du Bereitschaft hast.Bei Problemen wende dich an die Köchin.” Wieder verschwand er auf seinemerkwürdige Art.Da fiel mir etwas ein. Was machte eigentlich diese andere Frau? Ichbekam sie kaum zu Gesicht, nur wenn ich das Essen servierte. Sie warmomentan die große Unbekannte. Immer war sie mit einem langen Rock undweißer hochgeschlossener Bluse konservativ streng gekleidet. Einbisschen lack oder Leder, und sie gäbe die perfekte Domina. Warum hatteich da noch nicht daran gedacht? Vielleicht konnte ich heute etwas inErfahrung bringen.Ich ging zu Tina, die gerade erst aufgestanden war. “Schon wach?” meintesie schlaftrunken.”Zieh dich an, ich mache Frühstück.””Gut, ich bin in fünf Minuten da.”Es wurden zehn, aber damit hatte ich gerechnet. Als ich sie sah, war ichneidisch. Normale Kleidung. Eine Jeans und ein schönes Shirt. Die Jeanswar ziemlich eng und sah toll aus, zeigte ihren schönen Po und Beine.Nach dem Frühstück fragte ich, “Gehst du heute für mich einkaufen?””Klar, wenn du mitkommst.”Ich schaute sie nur strafend an. Sie zog mich wieder auf. Das wäre schonetwas, wenn ich so in ein Kaufhaus ginge. Vielleicht auch nicht, und ichwürde nur als Bedienung gesehen.”Ich habe Bereitschaft.” Eigentlich konnte ich das Umgehen, denn meineArbeit als Dienstmädchen war auf die Zeit terminiert, in denen ich keineNachforschungen machte. Nur hatte es leider bis jetzt nichts zumNachforschen gegeben. Ich war froh morgen aus dem Haus zu kommen.Endlich normale Kleider und keine Bestrafungen. Das war das, was mich amMeisten störte. Nur ein paar Worte, und man hatte einen Knebel. Aber amSchlimmsten war das Verhauen und die öffentliche Zurschaustellungdanach.Dabei merkte ich überhaupt nicht, wie viel kleine und große Demütigungenich einfach hinnahm. Angefangen davon geduzt zu werden, während manselbst das nicht durfte, bis zu einer Halskette, die man auch in derFreizeit nicht abnehmen konnte. Die Kleidung, die einem als ganz untenin der sozialen Hierarchie markierte – selbst ein einfacher Hilfs-Bauarbeiter hatte einen besseren Status. Und vieles mehr, wie etwa dasVerhalten. Die Knickse. Der gesenkte Blick. Ich hatte viele Dinge, diefür mich einmal wichtig gewesen waren, über Bord geworfen. Ich warziemlich devot geworden, ohne es in dieser Deutlichkeit zu merken.”Erde an Michelle. Was ist los? Ich habe es nur im Spaß gemeint.Natürlich gehe ich einkaufen.””Ach, ich war in Gedanken.””Der Butler ist weg?””Ja, kommt erst spät wieder.””Prima, sturmfreie Bude. Ich kann das PVC-Kostüm probieren!”Das hatte ich beinahe vergessen. “OK. Gehen wir auf mein Zimmer, dortist die Maschine.”Als ich meinen Kleiderschrank öffnete, sah sie die ganzen rosa Sachen.Aber sie interessierte nur die PVC Uniform.”Du, wir können uns beide so anziehen.””Geht nicht, ich bekomme meine Schlosser nicht auf.””Welche Schlösser?”Ich sah an meine Schuhe: Nichts. Ich fühlte im Nacken nach dem Kleid:Auch nichts. “Er muss sie vergessen haben, weil er in Eile war.””Ist doch toll. Ich stelle mir das toll vor, wenn wir beide so angezogensind.”Ich mir ehrlich gesagt auch. Ich war sehr empfänglich für die Reizeextremer Fetischkleidung geworden.”Gut”, stimmte ich zu. “Dann hole du deine Sachen hierher.””Warum ich?””Du hast flache Schuhe an und ich brauchte länger zum Ausziehen.””OK. Dann fang schon an.”Als sie mit vollen Händen zurückkam, hatte ich gerade erst Schuhe undStümpfe aus. Diese langen Schnürungen dauern, und auch Strapse zu öffnenist nicht so einfach mit langen Nägeln.Kurz darauf stand ich nur noch im Keuschheitsgürtel da. Tina hatte keineProbleme damit sich völlig nackt auszuziehen – es waren ja nur Mädchenda. Ich musste aufpassen, keinen zu intensiven Blick zu riskieren. Ichhatte immer noch ein männliches Gehirn. Und der Anblick war auchwirklich nicht schlecht, sie hatte einen schönen Körper.”Gibt es keine Unterwäsche?””Nein, aber das Korsett ist sehr lang.”Sie wollte es anlegen. “Nein, Zuerst die Schuhe. Mit dem Korsett kannman sich nicht mehr bücken.”Jetzt schaute sie sich die Schuhe genauer an. “Oh, wie sehen die dennaus?”Ein Blick sagte mir, dass es Ballettstiefel waren. Anscheinend war dieUniform nicht genauso wie die, die ich angehabt hatte. “Ballettstiefel.Die Zehen gehen senkrecht nach unten. Das ist eigentlich bequemer alsdie, die ich anhatte.”Ihre Augen waren groß. “Kann man darin überhaupt laufen?””Laufen geht ganz gut, nur stillstehen ist nicht einfach.””Toll, das muss ich unbedingt ausprobieren.”Deshalb waren wir doch hier oder, dachte ich verwirrt.Sie zog sich die Stiefel an, während ich mein Kostüm herausholte. Auchmeine Stiefel waren Ballettstiefel, in dem unvermeidlichen Rosa. DasKorsett würde meine Taille wieder auf 35cm bringen, darauf freute ichmich nicht unbedingt. Die Handschuhe sahen außer der Farbe genauso aus,und auch das Kleid. Die Kopfhaube war so wie die, die mir der Butlerangezogen hatte. Oh, und es gab Arm- und Beinbinder, wie er sie mir auchabgelegt hatte. Darauf konnte ich gerne verzichten.Wir schnürten uns gegenseitig in die Stiefel. Dann merkten wir, dass wirin den steifen Beinen nicht aufstehen konnten. Sie schob und drückte,bis ich stand. Dann hielt ich mich mit der einen Hand fest und zog siemit der Anderen hoch. Ich war es schon gewohnt auf den Zehenspitzen zustehen, aber mit diesen war es noch schwieriger, weil die Knie praktischunbeweglich waren.Tina versuchte unsicher ein paar Schritte. Sie stakste an der Wandentlang und kicherte. Ihre hauteng weiß umschlossenen Beine sahenerotisch aus. Um so mehr, als das sie sonst nichts anhatte.Schließlich sah sie sich an, wie ich kaum besser gehen konnte. Siestrich mit der Hand um mein rosa Bein. Ich konnte durch das PVC hindurchdie Berührung fühlen. Es sandte einen Schauer durch mich. Bei mir waraber oben das Band noch offen, das zum Abschließen diente. Sie hatteihres festgebunden, aber das war mir entgangen. Sie legte das Band amoberen Ende eng um die Stiefel und dann klickte das Schloss. Ich spürtees sofort in meinem Penis. Noch ein Klick, und auch der zweite Schuh wargesichert.Ich war so an die Schlösser gewöhnt, dass ich mir keine Gedanken darummachte. Hätte ich aber besser. Denn wir hatten keine Schlüssel, und derButler war weg. Ich würde die Stiefel sehr lange tragen müssen.Aber statt an ausziehen dachten wir beide an das Gegenteil. Wir legtenuns die Korsetts an und zogen die Schnürung locker zu. Ich holte dieKorsettmaschine, die ich auf dem Tisch bereitgelegt hatte, und hängteihr sie um. Nun machten die Piktogramme Sinn. Ich fädelte die Schnur einund drückte den Schalter. Die Maschine sog die Schnur in sich auf.”Das wird eng werden”, sagte ich.”Ich weiß, ich trage jeden Tag ein Korsett.””Dieses ist viel enger.”Das merkte sie nun selber. In ihrem Gesicht konnte man ablesen, wie derDruck zunahm. Sie atmete in schnellen, flachen Zügen. Die Maschineklackte, wie ich das kannte, und schaltete sich selbst ab. Ich nahm sieherunter.Wo war eigentlich die ganze Schnur geblieben? Ich schaute mir ihrenRücken an. Eine ganz gleichmäßige Schnürung ging darüber. Die Endenwaren abgeschnitten und mit einer Klammer verbunden.Das bedeutete, dass jedes Mal ein Stück Schnur verloren ging. ImVergleich zu dem, was aufgewickelt war, war das eher wenig, wie ichmerkte, als ich die Kordel aus der Maschine holte. Ich brauchte Platzfür meine.Ich erklärte ihr die Bedienung. Dann zog sich mein Korsett um michzusammen und es wurde eng, sehr eng. Mir ging es nicht anders als Tina.Aber meines hatte einen geringeren Umfang.Bald japste ich auch nach Luft. Dann kam die Maschine ab. Der größteTeil unserer Körper war in PVC gehüllt. Das Korsett ging ein Stück überdie Stiefel. Es blieb gerade genug Bewegungsmöglichkeit, um etwas zustaksen. Aber gerade das erregte mich. Tina auch, wie ich an ihremGesicht ablesen konnte. Nun kam sie aber an ihre Muschi nicht mehrheran.Sie strich langsam mit ihrer Hand über ihre kleine Taille. Es schien ihrsehr zu gefallen, was sie sah. Sie hatte etwas von einem Android, mitihrer makellos glatten Oberfläche.”Wir sollten schnell weiter machen. Sonst sind wir zu erschöpft.” JedeAktion wollte mit der eingeschränkten Bewegungsfähigkeit gut überlegtsein.Sie nickte. “Was als Nächstes?””Die Haube, denn sie muss geschnürt werden, das geht mit den Handschuhennicht. Dann die Handschuhe und darüber das Kleid. Das muss auch geschürtwerden, aber es geht ganz einfach. Nichts muss mehr zusammengezogenwerden und die Ösen sind sehr groß.”Wir zogen uns die Hauben über den Kopf – und gleich wieder ab.Irgendetwas war im Weg. Etwas ragte nach innen, wo der Mund hinkam.”Oh, ein Knebel”, sagte Tina. “Und nicht gerade klein. Und was sollendie zwei Röhrchen?””Die sind wohl für die Nase, um sicherzustellen, dass man immer genugLuft bekommt. Sollen wir die Haube weglassen?””Nein! Das erhöht den Reiz.”Und nur dafür konnte es gut sein, denn auch ohne den Knebel konnte mangenauso wenig sprechen, denn der Kiefer konnte nicht nach unten bewegtwerden. Aber das wenige an Geräusch, das man machen konnte, wurdepraktisch vollständig eleminiert, denn die Zunge konnte nicht mehrbewegt werden.Diesmal zog ich die Haube mit offenem Mund über. Ein großer Gegenstandaus weichem, gelartigem Kunststoff füllte ihn kurz danach völlig aus,gleichzeitig schoben sich die Röhrchen ziemlich weit in die Nase. Daswar einen Moment unangenehm, aber in der elektrisierenden Stimmung nahmich es kaum wahr. Wenigstens schmeckte der Knebel nicht nach Gummi, dasPlastik war völlig geschmacklos. Aber dafür deutlich länger nach hinten,gerade kurz genug, um keinen Würgereiz auszulösen. Der Mund war zumBersten gefüllt, mehr Knebel ging nicht. Mein Penis registrierte espositiv.Ich spürte, wie etwas oben auf meinen Kopf drückte. Oh, dasSpitzenhäubchen! Es würde später wohl nicht mehr gut aussehen.Ich schloss den Riemen um ihre Brust, sie tat bei mir dasselbe. Nunwurde es schwieriger. Der Kopf konnte nicht mehr bewegt werden und dieSicht war behindert.Ich versuchte die Schnürung in meinem Nacken zu schließen, als ich sah,dass Tina sie sich zuzog. Aber während sie geschickt genug war, gab ichschnell auf. Sie machte es auch bei mir. Oha, diese Haube war deutlichenger als die andere. Das PVC presste sich an meinen Mund und schlossihn Luftdicht ab. In der anderen Haube hatte ich noch durch diegeöffneten Lippen etwas Luft durch die Nasenlöcher bekommen. Ich stelltefest, dass es noch eine Steigerung zu bewegungslos gab: völligbewegungslos. Wieder hörte ich das leiste Klick, das so unglaublichstimulierend war. Ob ich in dem Keuschheitsgürtel einen Orgasmusbekommen konnte?Nun zogen wir uns die Handschuhe an und schnürten sie uns gegenseitig.Abgesehen von einem winzigen Stück Schulter war alles von PVC bedeckt.Das änderte sich, als das Kleid darüber kam. Wir schlossen unsgegenseitig die Schürung, was tatsächlich auch mit den Handschuhen ging.Es zog sich über dem Korsett glatt.Dann staksten wir vor den Spiegel, uns gegenseitig stützend. Das Bildsah einfach fantastisch aus. Zwei weibliche Androiden standen da, diesich gegenseitig festhielten. Alles war glattes glänzendes Plastik mittollen femininen Kurven, nicht ein bisschen Haut war zu sehen.Nach einiger Zeit hatten wir uns genug betrachtet. Schade, dass dieSicht nicht perfekt klar war. Wir hätten Fotos machen sollen.Sie ließ sich auf das Bett kippen. Ich folgte ihr. Dort lagen wir unsgegenüber. Sie begann mein Gesicht zu streicheln. Es fühlte sichwahnsinnig gut an. Ich erwiderte den Gefallen.Es ging so weiter. Ihre Hände waren an meinem Hals. Dann ein Finger anmeine Lippen, die um den Knebel waren. Ich konnte kaum glauben, wie gutsich die Berührung selbst unter dem PVC anfühlte.Es waren unzählige Eindrücke, die mein Gehirn verarbeiten musste. Dasunglaublich aussehende Wesen vor mir, das Wissen, dass ich genausoaussah und durch Schlösser daran gehindert wurde, etwas daran zu ändern.Das allgemeine Gefühl, überall fest umschlossen zu sein. Und keinen Lautvon mir geben konnte, abgesehen von einem Stöhnen durch die Nase.Und dann war da der Finger an meinen Lippen. Der Knebel in meinen Munderschien mir wir die Fortsetzung ihres Fingers. Es war zu viel. Icherschauerte. So viel zu dem Thema, ob man mit einem Keuschheitsgürteleinen Orgasmus haben kann. Nun, das Teil hieß ja auch Keuschheitsgürtelund nicht Orgasmusverhinderer.Ich hoffte, dass sie unweigerlich bald zu sehenden Konsequenzen anmeinen Stiefeln wie Vaginalflüssigkeit aussehen würden.Nun war es wieder an mir, sie zu verwöhnen. Und sie reagierte genausoempfänglich. Ich merkte, wie sie erstarrte und durch die Nase stöhnte.Wir waren ein Mann und eine Frau. Wir hatten jeder einen Orgasmus. Wardas nun Beischlaf? Schon merkwürdig, was einem für Gedanken durch denKopf gehen konnten.Wir lagen eine Zeitlang still da, dann rappelte sie sich auf. Ich halfund drückte mit meinen Armen hoch.Sie begann sich das Kleid zu öffnen und dann Stück für Stückauszuziehen. Warum hatte sie eigentlich keine Schlösser? Bei demGedanken durchfuhr es mich heiß und kalt: Wir hatten keine Schlüssel!Ich war so daran gewöhnt, dass Schlösser an mir befestigt worden. Abernur der Butler hatte den Schlüssel. Ich war eingeschlossen, ohne eineChance, wieder herauszukommen. Das würde frühestens heute Nacht sein.Dabei war erst früher Vormittag!Nun stand sie nur noch in dem Korsett da, dessen Schnürung sie natürlichnicht öffnen konnte.”Komm, ich helfe dir auf.” Sie zog an meinen Händen und ich stand. Jetztwar ich deutlich größer als sie, da sie keine Stiefel mehr anhatte. Alsich an der Wand abgestützt stand, sah sie mich noch einmal genau an. “Dusiehst einfach toll aus. Hattest du auch einen Orgasmus?”Ich machte eine bejahende Geste.”Das ist toll, nicht wahr? Ich werde ein Foto machen. Moment, gehe nichtweg…” Es schien ihr eine Idee zu kommen. “Genau, das fehlt noch. Beimletzten Mal sahen diese Ketten so toll aus. Haben wir hier welche?”Sie suchte in meinem Schrank und hatte sie kurz darauf triumphierend inder Hand. “Klasse. So wird das Bild noch besser.”Ohne das ich etwas dagegen machen konnte, befestigte sie die Ketten anBeinen und Armen. Nun war wieder jede meiner Bewegungen vonKettengeklirr begleitet. Und ich hatte vier Schlösser mehr an mir.Dann holte sie ihre Kamera und machte etliche Bilder von mir.”Gut, dann ziehen wir dich auch aus. Wo sind die Schlüssel?””Mhhh, mhhh!” Ich stakste klirrend zu meinem Tisch. Mit etwasSchwierigkeiten holte ich einen Block samt Stift uas der Schublade. Alserst einmal der Stift in der richtigen Position war, konnte ich ziemlichgut schreiben.”Nur Butler hat Schlüssel!”Sie las, und dann kam langsam das Verständnis. “Das heißt, du kannst auden Sachen nicht heraus!”Messerscharf erkannt. Ich hielt einen Daumen nach oben.”Oh du Arme! Wenn ich das gewusst hätte, hätte ich niemals die Schlösserbenutzt. Gut, das ich so eine Angst davor hatte, und selber keinegenommen habe. Sonst wären wir jetzt beide so. Was soll ich nun machen?”Ich schrieb: “Auf Butler warten. Keine andere Möglichkeit.””Dann musst du bis heute Abend so bleiben? Oh!” Ich sah, dass siebeinahe super gesagt hätte.Sie begann alles Mögliche zu erzählen. Ab und an strich sie überverschiedene Stellen meines Körpers. Dort, wo ich es fühlen konnte,genoss ich es sehr.Zach einiger Zeit wurden mir die Beine müde. Ich verschaffte mir mitKettengeklirr Aufmerksamkeit und zeigte auf meine Beine.”Ah, es ist anstrengend, nicht wahr?”Schlaues Mädchen.Sie dachte nach, so weit ich das sehen konnte. “Ich habe eine Idee. Drehdich mit dem Gesicht zur Wand.”Warum? Aber ich tat es, mich dann mit beiden Händen gegen die Wandstützend.Ich hörte, wie sie etwas aufhob und zu mir kam. Dann schlang sie miretwas um die Beine. Ich konnte nichts dagegen machen, da ich durch ihreBewegungen beinahe das Gleichgewicht verlor. Ich bewege die Hände vormir, um eine sichere Position zu bekommen. Dabei bemerkte ich, wie sichetwas immer fester um meine Beine zog, während ich das surrende Geräuschvon Kordel durch Ösen hörte. Bald waren meine Oberschenkel festaneinander gepresst. Ganz unten war etwas mehr Luft, wohl wegen derKette. Ein Klick beendete die Aktion. Sie wusste doch, dass wir keineSchlüssel hatten?!?!?Ich konnte meine Beine überhaupt nicht mehr bewegen. Als sie dann nachmir griff, wollte schon Panik aufkommen, aber sie drehte mich nur herum.Auf der Spitze eines Stiefels ging das wie auf einem Drehlager. Ichlehnte dann relativ sicher mit den Schultern an der Wand.”So dürfte es doch besser sein.”War es tatsächlich. Die Beine waren so stabil, dass sie ohne jedeMuskelkraft den Körper trugen. Aber ich konnte auch keinen Millimetermehr gehen. Sehr viel machte das nicht, denn in den Stiefel wäre ichsowieso höchstens bis zur Treppe gekommen.Trotzdem war ich sauer auf sie. Leider konnte sie meine blitzenden Augennicht sehen.”Und ich wollte es die ganze Zeit sehen, seit du davon erzählt hast. Essieht wirklich beinahe so aus, als würde nur ein Bein aus dem Rockkommen. Noch besser, als ich es mir vorgestellt hatte.”Sie betrachtete mich intensiv. “Ich weiß, dass es wohl ein wenig vielist. Aber könntest du auch die Armfessel tragen? Ich würde es wahnsinniggerne sehen.”Ich gestikulierte wird. Natürlich wollte ich nicht! Ich hätte nichtsdagegen, wenn es nur für kurze Zeit wäre, aber nicht so lange.Unglücklicherweise brachte mich das aus dem Gleichgewicht. Ich arbeitetewild mit den Armen, um nicht umzukippen. Es gelang.”Prima, ich wusste, dass du mir den Gefallen tust. Es macht ja auch kaumeinen großen Unterschied, ob du ein wenig mehr gefesselt bist.” Sieholte die Armfessel.Ich wusste nicht so recht, was ich tun sollte. Ich konnte nicht denBlock zum Schreiben holen, da ich keinen Millimeter laufen konnte. Undmeine Aktion eben ließ mich ersten Schweiß fühlen. Schweiß warunvermeidlich, wenn man komplett wasserdicht umhüllt ist. Aber es kamauf die Menge an. Ein bisschen störte kaum, ein wenig mehr, und esbegann unangenehm zu werden. Ich konnte zum Beispiel nichts dagegenmachen, sollte mir Schweiß in die Augen laufen.Und viel machte es wirklich nicht aus. Meine Arme waren sowieso schongefesselt. Und immerhin saß ich nicht auf einem Dildo wie beim letztenMal.Ich streckte ihr die Arme entgegen, als sie zu mir kam. Sie freute sichwie ein kleines Kind. So hatte es noch etwas Positives, und vielleichtkonnte ich ja später einen Gefallen dafür einfordern. Der heutige Tagwar sowieso gelaufen.Sie schob sie über meine Arme. Die Schürung war völlig offen und siebegann nun die Schnur einzufädeln. Ich ließ die Arme wieder sinken, daes sonst zu anstrengend wurde.Kurz darauf stockte sie. “Das stört das ganze Bild, wenn man dieSchnürung sieht. Sonst ist alles schön glatt.” Sie zog es wieder ab,drehte es um 180 Grad und schob es wieder über die flach aufeinanderliegenden Hände.”Jetzt muss ich erst einmal das Korsett loswerden.” Ich fragte mich wie,ohne Hilfe. Aber sie sah das pragmatisch. Mit einer Schere hatte diekein Problem, die Schürung vor dem Spiegel durchzuschneiden. Kurz daraufstand sie völlig nackt da. Ihr Oberkörper war leicht verschwitzt und sieSchamhaare feucht. Mein armer eingeschlossener Penis!Dann setzte sie sich mit dem Rücken zu meinen Beinen auf dem Boden undbegann die Schnürung zu schließen. Die Kette ließ sie zwischen zwei Ösendraußen, an dieser Stelle fädelte sie auch die Schnur nicht ein, damites nicht drückte.Ich kannte das Gefühl schon, wenn sich die Arme langsam von unten nachoben aneinander pressen. Aber es war etwas völlig anderes, wenn das einschönes nacktes Mädchen macht. Und nun wurden auch nicht meine Schulternschmerzhaft nach hinten gezogen.Bald war sie fertig und schlang dann den Riemen um meinen Bauch, zog ihnfeste an und dann hörte ich ein Klick. Es ging mir durch Mark und Bein.Nun konnte sie sie nicht wieder abmachen, ich würde auf jeden Fall bisheute Abend so bleiben. Aber gleichzeitig stimulierte es mich, von demMädchen eingeschlossen zu werden.Sie stand nun unmittelbar vor mir, ihr Körper berührte mich. Wie gernewäre ich jetzt auch nackt gewesen! Nun rieb sie sich an mir und tastetedabei nach dem letzen Schloss. Sie spielte damit zwischen ihren Fingern.Dann gingen die Hände wieder über meinen ganzen Körper. Ich stöhntedurch die Nase, ich war kurz vor dem Explodieren.Nun war ihre Hand an meinem Hals und spielte mit den PVC-Rüschen, dieden Abschluss von dem Kleid bildeten. Dann stockte sie kurz und schautein meinem Nacken. “Oh, da haben wir ja noch eines vergessen.”Sie holte eines der letzten noch vorhandenen Schlösser und hängte es andie vorgesehene Stelle in das Kleid. Es machte klick. Sie fuhr wirklichauf diese Schlösser ab, hatte ich gerade noch Zeit zu denken, bevor ichexplodierte. Während des Abklingens des Orgasmus hoffte ich nur, siewürde noch etwas finden, in dem sie mich fesseln konnte.Sie beschäftigte sich noch einige Zeit mit mir, dann hatte sie genug.Sie nahm ihre Kleider und begann sich anzuziehen. Schade, dachte ich.Dann stand sie in ihrer Jeans vor mir und sah etwas auf meinen Stiefeln.Sie lächelte. “Oh, da fährt jemand genauso drauf ab wie ich. Ich freuemich, dass ich eine Freundin mit den gleichen Interessen gefunden habe.”Dann holte sie ein Tuch und wischte mich sauber. Kurz darauf sagte sie,”Ich lasse dich ja ungern allein, aber ich muss shoppen gehen. Nur fürdich. Sonst hast du nichts anzuziehen und müsstest so bleiben. Waseigentlich auch nicht schlecht wäre…” Sie strich liebevoll über meinGesicht und ging.Schnell ließ die sexuelle Erregung nach. Nun war es nicht mehr so toll,bewegungsunfähig an der Wand gelehnt zu sein.Die Stunden verstrichen quälend langsam. Dann kam Tina wieder und zeigtemir ihre Einkäufe. Wenigstens hatte ich nun Gesellschaft. Schlimm wurdees erst, als der Butler kam und umgehend einen Wutanfall hatte.##Tina und ich standen am nächsten Morgen in unserer normalen Uniform imBüro von Madame. Gerade hatten wir einen Knicks gemacht, als Madamehereinkam.”Das ich schon unglaublich, dass ich wegen so etwas Sonntags hierherkommen muss!”Sie war sauer, aber wenigstens schrie sie uns nicht an. “Ihr verhalteteuch wie zwei kleine Kinder!” Dabei sah sie vor allem mich durchdringendan.”Michelle, du hast deine Bereitschaftsregeln verletzt. Wäre etwasgeschehen, du hättest nichts machen können. Was wäre, wenn ein Feuerausgebrochen wäre? Oder ein Einbrecher? Oder Michelle hätte eingesundheitliches Problem bekommen, oder keine Luft mehr durch die zweiwinzigen Löcher?”Wir sahen betreten zu Boden. Diesmal musste ich es nicht spielen.”Dazu kommen noch weitere Regelverletzungen, wie Bereitschaft ohne dievorgeschriebene Uniform, oder etwa das Zerstören von Teilen derselben.”Sie sah auf mein verknautschtes Spitzenhäubchen.Sie wandte sich an Tina. “Und du lässt sie einfach allein, um Shoppen zugehen? Das ist unverantwortlich. Dazu steht es dir nicht zu, Gegenständezu benutzen, die zur Bestrafung dienen und ausschließlich vonVorgesetzten benutzt werden dürfen. Du wirst nie wieder in diesem Hausein Schloss verschließen, ohne das es dir ausdrücklich aufgetragenwurde, klar?”Sie nickte.”Das gilt natürlich genauso für Michelle.” Sie machte eine kurze Pause.”Ihr müsst dafür bestraft werden, das ist euch doch klar?”Wir nickten.”Ich habe eine passende Strafe festgelegt und den Butler informiert.Morgen früh werdet ihr nach dem Frühstück eine Züchtigung erhalten. Ihrwerdet dazu schon nach dem Aufstehen die Uniform mit dem durchsichtigenRock anziehen.”Sie sah auf die sich windende Tina. Man könnte fast glauben, sie hätteden Hintern schon versohlt bekommen.”Was ist?” fragte Madame.”Dann… dann bin ich wieder nackt unter den Rock?””Sicherlich. Sonst kann man nicht sehen, dass ihr gezüchtigt wordenseid, und das ist Teil der Bestrafung.””Aber… jemand kann mich von vorne sehen.””Da ist die Schürze drüber.””Aber… die ist so klein.” Madame wurde ungeduldig. Ich wäre jetztbesser still gewesen, wo sie sowieso schon schlechte Laune hatte. AberTina fuhr fort, “Michelle hat wenigstens den Keuschheitsgürtel an, dasieht man nichts.””Ach, ist das so? Dann will ich euch natürlich beide gleichstellen”,sagte sie spöttisch. “Du wirst ab sofort auch einen tragen. Für eineWoche.””Aber…” Tina wusste nicht, wann Schluss war.”Ein Monat.”Jetzt wusste sie es.”Da es sich um einen schwerwiegenden Vorfall handelt, gibt es nochweitere Strafen. Und ich bin dabei weit unter dem geblieben, was derButler vorgeschlagen hat. Also beschwert euch lieber nicht, sonst werdeich seine Vorschläge in Betracht ziehen.””Damit man sieht, was ihr gemacht habt, werdet ihr den ganzen Tragen diePVC-Stiefel und Handschuhe tragen. Dazu einen Knebel und eine Kette fürArme und Beine. Sie wird so sein, dass ihr damit arbeiten könnt.Morgen kommen einige Besucher, unter anderem ein paar chinesischeKaufleute. Ich erwarte, dass sie perfekt bedient werden. Es dürfte füruns positiv sein, wenn sie sehen, dass wir Unregelmäßigkeiten zu ahndenwissen und nichts durchgehen lassen.”Oh, oh. Ein Tag in den Stiefeln und meine Füße würden abends mehr alsnur schmerzen. Dazu die Handschuhe, die alle Arbeiten viel anstrengendermachten. Aber am Schlimmsten war, das wir unsere roten Hintern fremdenLeuten präsentieren mussten, dazu gefesselt und geknebelt. Ich wäre vorScham am liebsten im Boden versunken.”Nehmt ihr eure Strafe an?”Ich brauchte nicht lange zu überlegen. Schnell würde es noch üblerkommen. Ich knickste. “Ja, Madame.”Kurz darauf sagte es auch Tina.”Gut, wenn ihr euch morgen gut benehmt, dann ist der Fall für micherledigt.””Madame?” fragte ich.”Ja?””Ich müsste Sie sprechen.””Gut, ich sage nur kurz dem Butler bescheid.” Sie griff zum Telefon undtrug ihm auf, Tina einen Keuschheitsgürtel anzulegen. Kurz darauf kam erund holte sie ab. Das musste ein Fest für ihn sein. Und so sah er allesandere als mürrisch aus.”Um was geht es?” fragte sie, als wir allein waren.”Ich müsste heute Nachforschungen machen.””Aber natürlich, Herr Detektiv.” Sie verzog in keinster Weise dasGesicht, als sie das sagte. Obwohl nichts, wirklich nichts an mir nachMann aussah. “Es ist heute sowieso Ihr freier Tag.””Ich müsste nur aus diesen Sachen heraus.” Ich deutete auf die Schlösseran meinen Schuhen. “Und ohne Spitzenhäubchen.””Der Butler wird es entfernen. Lassen Sie sich ohne Uniform hier im Hausso wenig wie möglich sehen. Das heißt, es ist nur der Weg nach Draußenund zurück erlaubt.””Sicher.””Sonst noch etwas?””Nein.””Du kannst gehen, Michelle.”Ich fand es unglaublich, wie sie von der einen Anrede in die anderewechselte, ohne dass es man ihr irgendwie anmerkte.##Ich saß in einem Taxi und war auf dem Weg in den Klub. Mein Outfit warso, wie es viele Mädchen trugen: Jeansrock und Shirt. Dazu die Schuhevon der schwarzen Uniform, das einzig Passende. Tina hatte auf Hosenverzichtet, sie meinte, der Keuschheitsgürtel könnte stören. Ich glaubtedas ja eher weniger.Ich war nun schon seit Wochen ausschließlich in Röcken. Trotzdem wardieser eher unauffällige Rock etwas anderes. Es war keine Uniform,sondern ein ganz normales Kleidungsstück. Für Mädchen. Und obwohl ichsicher perfekt normal darin aussah, erst recht mit dem Stück freienBauch darüber, fühlte ich mich als Mann in Verkleidung. Was jagrundsätzlich auch stimmte. Allerdings konnte ich anziehen, was ichwollte, niemand würde einen Mann sehen.Trotzdem blieb dieses nagende Gefühl. Ich war unsicher, und ich glaubte,jeder merkte es.Da half auch nicht, dass ich heute einen weiteren Strich an die Büchergemacht hatte, und erneut ein Wachstum protokollieren konnte. Mein Push-Up BH war gut gefüllt, und ein Teil davon war in meinem Dekolleté zusehen. So eine Brust hat kein Mann.Es war gegen sechs, als ich den Klub erreichte. Ich zahlte das Taxi,wobei mir der Fahrer auf die Brüste sah. Obwohl ich in meiner Uniformmehr von meinen Brüsten zeigte, hatte noch niemand so offensichtlichdarauf gestarrt. Ich errötete. Heftig. Ich spürte, wie mein Gesichtglühte.An die Handtasche hatte ich mich auch noch nicht gewöhnt. Ich hätte sieim Taxi vergessen, hätte ich nicht bezahlen müssen. Nun hing sieungeliebt an meiner Schulter. Ungeliebt deswegen, weil ich alle paarMeter den Riemen wieder hochschieben musste. Die nächste Handtaschewürde ich selber auswählen. Und es wäre auch nicht so ein Miniding, dasTina schick fand.Das nächste Problem waren meine Schuhe. Ich war nur Parkett gewöhnt. Dashier war die richtige Welt, und die war nicht so picobello sauber. Ichmerkte schnell, dass sie nur für Räume geeignet waren. Mehrmals knickteich beinahe um. Als ich endlich am Eingang war, war ich reichlichentnervt.Dort schaute mich ein Mann an. “Eintritt erst ab achtzehn, Mädel.””Ich bin achtzehn.”Meine Stimme trug nicht dazu bei, um ihn zu überzeugen. “Ausweis.””Habe ich nicht dabei.””Dann komme mit einem Ausweis wieder.”Beinahe hätte ich vor Frust mit dem Fuß auf den Boden gestampft. Ichhatte mir zwar allerlei Gedanken gemacht, was ich nachforschen wollte.Aber das geschah aus meinem Gedächtnis heraus. Und da war nichts vonhochhackigen Schuhen und kurzen Röcken gespeichert, auf das manRücksicht nehmen musste. Ich hätte nie damit gerechnet, schon am Eingangzu scheitern.Nun wurde mir auch bewusst, wie der Mann mich angesehen hatte. Dies warkeine schöne Gegend, es war ein Gewerbegebiet, das nicht mehr sehrgefragt war. Passanten waren eher Arbeiter. Ich wog wahrscheinlich fastdie Hälfte von dem, was die meisten Männer hier wogen. Ich hatte keinestarken Muskeln mehr und war in Schuhen, die hier mehr als ungeeignetwaren. Zudem war ich für die Männer interessant, denn ich sah gut aus.Im Magen fing es an zu kribbeln. So schnell es ging lief ich die kurzeStrecke zu dem Taxi, das Gottseidank immer noch da stand.”Das war aber ein kurzer Aufenthalt, Mädchen.””Ich musste nur etwas abgeben.””Wohin?””Zurück.”##Auf meinem Zimmer begann ich nachzudenken. Auf der Fahrt hatte ich michlangsam beruhigt. Nun war ich wieder in der Lage zu denken.So frustrierend der nutzlose Ausflog gewesen war, er war doch hilfreich.Ich hatte einiges gelernt. Der nächste Versuch würde anders sein, ohnedie ganzen Fehler von heute. Und ich wusste mehr darüber, wie ich michpräsentieren musste. Allerdings hatte ich noch sehr viel zu lernen. ZumBeispiel, wie ich geile Taxifahrer abfertigte.Ich ging nicht zu Tina, weil ich die Uniform nicht anziehen wollte. Beimeinem Glück wäre ich gesehen worden und die nächste Strafe wäre fälliggewesen. Sie ließ sich aber auch nicht blicken. Vielleicht hatte sieAngst, ich könnte sauer sein. Denn es war ihre Idee gewesen, und siehatte die ganzen Schlösser benutzt.Ich nutzte die Zeit für Gymnastik. Ich wollte meinen Rumpf stärken.Überhaupt kräftiger werden. Abe ich hatte keine Geräte oder ähnliches.Nicht einmal eine Turnhose. Ich grinste. Ein Gymnastikanzug war jetztwohl passender. Denn ich konnte jetzt nur Gymnastik machen.Nun übte ich eine neue Handschrift. Mit meiner alten würde ichauffallen, und das konnte schnell ins Auge gehen. Ich probierte mehrereVarianten und blieb bei einer, die schön geschwungen war, mit einemkleinen Herzchen auf dem i. Ganz anders als meine alte Schrift, die mehrzu einer Druckschrift tendierte. Ich schrieb dann ein Kapitel aus einemBuch ab. Das mit den kleinen Strichen vom Brustmessen.Dann gab es viel nachzudenken.##Am nächsten Morgen kam wie immer der Butler. Er entfernte den Dildo undich ging duschen. Als ich zurückkam, lag neben dem Korsett derdurchsichtige Rock aus klarem PVC. Es erinnerte mich daran, was mirbevorstand. Der Butler schien hingegen bester Laune zu sein.Bald hatte ich das Korsett an. Es folgten die PVC-Stiefel, in denen ichschon den ganzen Samstag gewesen war, und dann die Handschuhe. Beideswurde sorgfältig geschnürt und abgeschlossen. Oberteil und Rock folgten.Das einzig gute an dem Rock war, dass ich meine Füße sehen konnte. BeiBallettstiefeln nicht unwichtig.Natürlich bekam ich auch wieder ein Spitzenhäubchen. Mein Halsband warja noch nie ab gewesen, seit ich es hatte. Und das würde sich auch nichtso schnell ändern, da war ich sicher. Normalerweise war mir das egal,ich fand die glitzernden Buchstaben sogar schön. Da war nichts billigesdran, sie sahen sehr elegant aus. Nur würden sie gleich jedem zeigen,wem der Hintern versohlt worden war.Der Butler trug mich die Treppe herunter, problemlos wie immer. Ichdeckte den Frühstückstisch, dann brachte er Tina. Wir sahen uns nur kurzan. Obwohl es beim Frühstück kein Sprechverbot gab, sagten wir nichts.Gleich würde es uns nicht mehr gut gehen, das zeigte sich an unserenGesichtern. Wir hatten auch keinen Appetit. Da musste sich bei mirdringend etwas ändern. Ich wusste es, aber bekam nichts in mich hinein.Dann ging es ins Büro des Butlers. Ich fand es so unglaublicherniedrigend, mich selbst über seine Knie legen zu müssen und dann auchnoch den Rock hochzuziehen.Er nahm sich viel Zeit. Vielleicht kam es mir auch nur so vor. Endlichwar es vorbei. Mein Hintern brannte wie nie zuvor. Ich ging mit Tränenin den Augen hinaus und ließ Tina herein. Ich musste im Flur warten.Nach einer Minute kam Madame vorbei.”Madame?” sagte ich mit brüchiger Stimme.”Ja, Michelle?” Sie ließ sich nichts anmerken.Da stand meine Klientin vor mir, und ich hatte einen gut sichtbarenfrisch verhauenen Po. Keine gute Basis für ein Gespräch.”Ich müsste noch einmal das Haus verlassen. Morgen Nachmittag.””Kein Erfolg gestern?””Ich habe die Person nicht getroffen.””Gut, ich informiere den Butler. Du hast nach dem Mittagessen frei.””Ich, ich werde einen ziemlich kurzen Rock anziehen. Da kann ich denKeuschheitsgürtel nicht gebrauchen.””Er wird bis zum nächsten Morgen entfernt werden.””Wie lange soll ich ihn eigentlich tragen?””Er schützt sicher vor unangenehmen Entdeckungen. Ich kann eskeinesfalls gebrauchen, dass bei einem Dienstmädchen ein Penis entdecktwird. Also solange du hier bist. Oder keinen Penis hast.” Damit gingsie.Was meinte sie damit? Glaubte sie ernstlich, ich würde mir meinen Penisentfernen lassen? Bestimmt nicht. Vielleicht gab es doch einen Weg,wieder als Mann zu leben.Dann ging ich auftragsgemäß ins Bad, um mich zu schminken, wenn dieTränen versiegt waren. Viel schwarzer Eyeliner und knallroterLippenstift.Kurz darauf wurde ich hereingerufen. Tina stand weinend da. Der Butlerschickte sie nach draußen mit der Aufforderung, geschminkt zurück zukommen, kam dann zu mir und hielt mir etwas vor den Mund.Widerspruchslos öffnete ich den Mund. Er schob einen Gummiball hinein,der gerade so zwischen die Zähne passte. Dann schloss er mehrere Riemen,die wie ein umgekehrte Y nach oben liefen, nach rechts und links undunter das Kinn. Weitere Riemen liefen um den Hals. Es war ein richtigerHarness, den er mir am Kopf befestigte. Das entfernte Spitzenhäubchenwurde nun an den Lederriemen befestigt.An einem Ring am Kinn wurde eine lange Kette per Schloss befestigt.Unten waren zwei breite Metallschellen, die um meine Fußgelenke gingen.Jeweils ein Klick sagte, dass sie so schnell nicht mehr entfernt würden.In Höhe der Taille waren noch zwei Schellen daran, die sich nun um meineHandgelenke schlossen. Ich konnte nicht mehr nach meinem schmerzenden Pogreifen. “Du kannst mit der Arbeit beginnen. Der Konferenzraum mussfertig gemacht werden. Sieben Personen.”Ich stakste los und begann mit der aufgetragenen Arbeit. In einemSpiegel sah ich meinen Kopf: Die ganzen Riemen sahen martialisch aus,und der rote Mund um den schwarzen Gummiball ausgesprochen sexy. Ichhätte mir gerne so etwas angesehen, nur nicht an mir. Schon begann meinKiefer zu schmerzen.##Das Schlimmste an dem Tag waren die Besucher. Vor allem die chinesischenKaufleute schienen nicht aus bestem Haus zu kommen. Zuerst waren sie vonTina und mir schockiert. Dann erklärte Madame mit wenigen Worten dieSituation, dass es sich um eine Disziplinarmaßnahme handelte.Sie unterhielten sich darüber, dann mussten wir uns umdrehen, dass sieuns auch von hinten gut sehen konnten. Wir präsentierten widerwilligunsere Hintern, es war so unendlich peinlich! Und einer hob auch nochTinas Schürze hoch, um dadurch den Keuschheitsgürtel zu offenbaren. Ichsah, dass sie unter ihrem Rock nun völlig identisch zu mir aussah, mitder großen Metallplatte. Davon überzeugte sich nun ein anderer bei mir.Tina und ich flüchteten mit Tränen in den Augen auf einen Wink vonMadame. Sie war sichtlich pikiert von dem Benehmen ihrer Gäste.##Vor dem Mittagessen wurden uns Knebel und Fesseln abgenommen. Weil wiruns gut geführt hätten. Der Ballknebel war wirklich unangenehm gewesen.Nun tat der Kiefer erst einmal noch mehr weh, aber es ging rasch vorbei.Ich vermute, es lag eher an der Langsamkeit, in der alles geschah. Wirkonnten nur winzige Schritte machen, und das dazu in Ballettstiefeln.Man hätte uns für die Übung am Samstag belohnen müssen, denn sonsthätten wir kaum darin laufen können.Und dann konnten wir nichts sicher tragen, weil wir öfters mit demGleichgewicht rangen, aber das mit gefesselten Armen nicht gutausgleichen konnten. Der Butler hatte jedenfalls den Kaffee den Gästenvorsichtshalber selber serviert. Nun wollte er wohl nicht auch noch dasEssen servieren.Als Tina und ich endlich nach allen anderen essen konnten, merkten wir,dass unsere Hintern noch nicht wieder OK waren. Mit einem weichen Kissendarunter ging es etwas besser.Bis zum Abend hatten uns bestimmt zwanzig Leute gesehen. Es war sopeinlich! Ich wollte nicht wissen, was der Briefträger erzählen würde.Oder wenn wir jemanden im Ort begegneten!Nach dem Abendessen gingen wir auf mein Zimmer. Heute trug auch Tina anihren Kleidern Schlösser. Wir cremten uns unsere immer noch rotenHintern ein – der Butler hatte es wirklich übertrieben. Gut, das unsereHandschuhe aus PVC waren. Dabei stellten wir fest, dass unsereKeuschheitsgürtel völlig identisch aussahen. Madame hatte es ernstgemeint mit dem Gleichstellen, Tina hatte auch einen Dildo im Po.Da musste ich noch einmal mit Madame reden. Den Keuschheitsgürtel sahich ja notfalls noch ein, aber der Dildo war völlig unnötig und dientenur zu unserer Erniedrigung. In ein paar Tagen, wenn aller Ärgervergessen war.##Am nächsten Morgen kam mir meine rosa Uniform wie eine großeErleichterung vor. Endlich konnte ich mich wieder normal bewegen. Trotzhoher Absätze, die aber kein Problem mehr für mich waren. Madamekomplementierte mich sogar, denn ich hätte nun einen schönen femininenGang.Das war nicht das einzig positive. Der Briefträger hatte auch zweiSachen für mich: Ein kleines Päckchen und ein Brief. Ich brachte beidesschnell auf mein Zimmer, ehe es jemand sah.Nach dem Mittagessen, und nachdem Tina und ich auch gegessen hatten,hatte ich frei. Der Butler befreite mich aus allem außer der Halskette.Wieder stand ich vor dem Spiegel, zum ersten Mal seit langem völlignackt. Der Penis passte nicht zu der Mädchenfigur. Ich war so an einenflachen Schritt gewöhnt, dass es störend aussah.Ich holte die Kleider heraus, die Tina gekauft hatte. Viel war es nicht.Jeansrock und Shirt hatte ich schon angehabt. Das andere war ein Kostüm,eher Kostümchen, in rot, mit einem ziemlich kurzen Rock. Tina wusstesicherlich nicht, was etwas formellere Kleidung bedeutete. Ich hatte dasGegenstück zu einem Anzug gewollt. Vielleicht hatte ich mich nicht gutgenug ausgedrückt, ich kannte die Namen für all die femininenKleidungsstücke nicht.Ich zog die einzige Unterwäsche an, die ich besaß: Auch von Tinagekauft. Ein BH/Slip Set. Sicher genau das, was sie auch trug. Ich hättees früher sexy oder verspielt gefunden, nun war es einfach normaleUnterwäsche, die mir passte.Im Slip hatte ich leider eine nicht zu verhindernde Beule. Aber ichkonnte nichts daran machen, mit dem Keuschheitsgürtel waren alle andernSlips verschwunden.Der BH schob meine Brüste nach oben. Er saß schon recht stramm, baldwürden die Cups zu klein sein. Ich war ein Mädchen im Wachstum.Dann zog ich den kurzen roten Rock an. Er war ohne Schnickschnack undging bis zu der Mitte der Oberschenkel. Kurz, aber nicht zu kurz. Dannkam ein kurzes Top mit Spitze über den Brüsten.Ich machte mein Makeup. Dezent wie schon lange nicht mehr. Ein paarnachgewachsene Haare an den Augenbrauen mussten auch gezupft werden.Zuletzt die Jacke des Kostüms. Grrr. Es passte gut, aber ich sah aus wieein Teenager, der erwachsen aussehen will. Wirklich nicht schlecht,sogar schick, aber nicht seriös, wie ich es erhofft hatte. Ich würdeselbst einkaufen gehen müssen.Und meine einzigen Schuhe passten natürlich nicht richtig dazu. Diekünstlichen Nägel auch nicht so hundertprozentig, aber es war gut genug.An meinem Schmuck konnte ich nichts ändern, jeder konnte Michelle lesenund die Wappen des Hauses an meinen Ohren baumeln sehen. Aber das würdekaum jemand als das erkennen, was es war.Ich betrachtete mich noch einmal. Ja, ein schicker Teenager. Aber eineBanklehre hätte ich so nicht beginnen können.Ich setzte mich an meinen kleinen Tisch und machte den Brief auf. EineKontokarte mit dem Namen Michelle war darin. Keine EC-Karte, Gottbewahre, dafür war eine Siebzehnjährige nicht vertrauenswürdig genug.Das würde sich ändern. Vorerst kein bargeldloses Zahlen mehr.Nun packte ich das Päckchen aus. Mein Handy. Schön rosa und mitglitzernden Steinchen. Ich musste grinsen. Ich war ganz schön verrückt.Aber was soll’s, dachte ich mir, ich sehe aus wie ein Teenager, da kannich auch ein passendes Handy haben.Ich schob die Prepaid Karte hinein und konnte nun sagenhafte zwanzigEuro abtelefonieren. Ich testete es, indem ich ein Taxi rief. Dannpackte ich das Schulmädchen Outfit in eine Tüte und Makeup in meineHandtasche.##Ich stand vor dem Eingang meines Büros. Meines ehemaligen Büros, dennmein Namenssc***d gab es nicht mehr. Ich klingelte bei derHausverwaltung. Ich hatte eine Vollmacht von einem Detektiv, der hiereinmal ein Büro hatte, in der Handtasche. Leider immer noch die, derenRiemen dauernd rutschte.Ich traf den Verwalter und musste damit kämpfen, keinen Knicks zumachen. Das klappte nur, weil er mir sofort die Hand hinstreckte und ichsie verdutzt akzeptierte. Aber ich hatte danach einige Zeit das mulmigeGefühl, etwas falsch gemacht zu haben und gleich vom Butler bestraft zuwerden.Ich zeigte ihm die von mir selbst unterschriebene Vollmacht. In meineralten Handschrift natürlich. Er hatte keine Schwierigkeiten damit. Ichhatte denselben Nachnamen und hatte mich auch per Email angekündigt. Wasnicht unbedingt nötig gewesen wäre, aber die Sache erheblichvereinfachte.Er hatte eine Liste mit den Sachen, die aus meinem Büro herausgeräumtworden waren. Ich ging sie durch und machte die Ziffern 1 bis 3 an jedePosition. Von Wegwerfen über Einlagern bis Verkaufen.Einige persönliche Sachen wollte ich eingelagert haben. Es warengrößtenteils persönliche Dinge wie Bilder. Ich wollte wenigstens einmalnachsehen können, wie ich einmal ausgesehen hatte.Die ganze Technik wollte ich verkaufen. Die Entwicklung schritt soschnell voran, bis ich sie wieder brauchen würde, wären sie veraltet.Ich fragte, wer es verkaufen könnte. Er schlug sich selbst vor, das erimmer liegen gebliebene Dinge verkaufte und das als ausreichendeQualifizierung sah. Ich zuckte innerlich die Schultern, säuselte ihn an,wie gut er sich mit Technik auskennen müsse (bewundernder Blick), undging schnell wieder zu meiner Liste, ehe ich einen Lachanfall bekam.Ich war sehr zufrieden soweit, denn meine Überlegungen vom Sonntagfunktionierten. Ich nutzte meine Schwächen zu meiner Stärke. Er ließsich aber auch gut manipulieren.Nun fügte ich zu der Liste einen Verkaufspreis hinzu, als Mindestpreis.Alles darüber würde durch zwei geteilt, je für uns beide. Der arme Kerlwürde nicht sehr viel verdienen, da ich die Preise recht hoch ansetzte.Und meine Sachen waren wertvoll. Wenn das alles wirklich klappen sollte,und das Geld wirklich auf meinem Konto wäre, dann hätte ich ein gutesPolster. Ich wusste gar nicht, was ich alles hatte und wie viel es wertwar. Kein Wunder, dass ich pleite war, trotz regelmäßiger Aufträge. Aberich habe es ja schon gesagt, ich und Finanzdinge – das würde niezusammen kommen.Mit dem zum Wegwerfen markierten konnte er machen, was er wollte.Verkaufen, wenn es ihm gelang.Als ich ging, hinterließ ich einen mir sehr verbundenen Verwalter. Halbgeplant, und halb aus der Laune des Augenblicks, gab ich ihm einenleichten Kuss auf die Wange. Ich hatte schon viele Frauen so etwas tunsehen, und ich konnte meine persönliche Abneigung gegen solche Gestengegenüber Männern nicht beibehalten. Ich wollte ja nicht mit ihm insBett. Aber ich verstand nun die Abneigung meiner Freundin gegenBartstoppeln.Er hatte einen verträumten Blick, als ich mich noch einmal umsah undwinkte. Ich glaubte, er wird sich viel Mühe geben. Das wäre das ersteGeld auf meinem neuen Konto.##Das Taxi hatte unweit des Klubs gehalten. Ich hatte den Fahrer gefragt,ob ich mich auf den Rücksitz für den Klub umziehen könnte. Und ob ermich dann zu Eingang begleiten könne. Er stimmte nur zu gerne zu. Daswar auch die einzige Bezahlung dafür: Mich kurz in meiner Unterwäsche zusehen. Wenige Minuten später hatte ich das Schulmädchen Outfit an, mitviel zu sehendem Bauch und um so weniger Rock. Dann machte ich meinMakeup deutlich intensiver.An seinem Arm hatte ich wenig Schwierigkeiten mit den Schuhen. Und keinProblem herein zu kommen, ohne jeden Ausweis. Es funktioniere genauso,wie ich es geplant hatte. Diesmal vor allem unter dem Aspekt, jetzt wieein Mädchen auszusehen. Meine Laune war entsprechend gut.In dem Klub zeigte sich sofort, um was es ging. Fetisch und Bondage. Eswar ziemlich dunkel. Nach ein paar Minuten hatte ich mich daran gewöhnt.Schnell bemerkten mich ein paar Männer. Ich sprach mal mit einem, malmit einem anderen. Um Getränke brauchte ich mir keine Sorgen zu machen,jeder spendierte mir gerne etwas. Noch ein positiver Punkt. Teure Klubswurden auf einmal sehr preiswert.Das war der erste Teil meines Planes: Erst einmal allgemein den Platzerkunden, Räumlichkeiten und Personen.Zu Teil zwei kam es dann nicht mehr. Ein Mann hatte eine Frau alsBegleitung, die mich schon mehrmals nicht sehr freundlich angesehenhatte. Dann setzte sie sich doch zu uns. Beim Gespräch berührte sie michimmer wieder. Ich ließ es geschehen, da ich wusste, dass Frauen da vielweniger Probleme mit hatten als Männer.Trotzdem überraschte es mich, als die Hand auf meinem Oberschenkelplötzlich unter meinen Rock verschwand. Sofort rief sie: “Ich hab’sgeahnt. Das ist ein Mann!”Meine Beule im Slip musste irgendwie zu sehen gewesen sein. Nun hatteich vermutet, dass ein solcher Klub einer der Orte war, wo so etwas amehesten akzeptiert würde. Zumindest in diesem war das Gegenteil derFall. Ich hätte mich vorher schlaumachen sollen, dann wäre das nichtsoweit gekommen. Aber seitdem ich einen Rock trug hatte meineProfessionalität spürbar nachgelassen. Vermutlich lag es an den vielenunbekannten Eindrücken, denen ich seither ausgesetzt war.Mein Slip wurde heruntergezogen. Dann der Rock. Mehrere andere Frauenkamen hinzu, vor allem die Bedienungen in ihren Fetisch Outfits. Siesahen nicht so viel anders aus als meine schwarze Dienstmädchen Uniform,waren jedoch vollständig in Latex geleidet. Der Geruch nach Gummi war esdann auch, was ich als Letztes wahrnahm. Ich hatte einen Schlag an dieSchläfe bekommen.##Ich wachte in einem gekachelten Raum auf. Ein schneller Blick zeigte,das ich allein und nackt war.Ein paar Minuten später war ich wieder halbwegs fit, das Kopfweherträglich geworden. Ich war in einem Bad. Und ich war nicht völlignackt. Mein Penis war in einem stählernen Gefängnis. Allerdings war eskein Keuschheitsgürtel. Es war ein gebogenes Rohr in der Form des nichterigierten Gliedes. Ein Ring hielt es um Hodenbeutel- und Peniswurzel.Die beiden Hoden wurden dabei durch einen Steg getrennt. Es warwirkungsvoll befestigt, wie ich probeweise feststellte. Keine Chance, esabzubekommen. Aber auch keine Chance, meinen Penis zu verbergen.Nach diesen Entdeckungen untersuchte ich meine Umgebung. Außer einemkleinen billigen Tonbandgerät und einem Latexbody gab es nichts. Ichdrückte die Starttaste.”Du hast so ziemlich das Schlimmste gemacht, was möglich ist.”Die Stimme war weiblich und nicht ganz jung.”So etwas bestrafen wir normalerweise extrem hart.”Pause. Bislang keine Erklärung, was so fürchterlich war. Ich vermutete,es war mein Penis. Und das ich mich als Frau ausgegeben hatte.”Aber wir haben auch gesehen, dass du die Mühe gegeben hast. Dein Körperhat viel von den negativen Eigenschaften verloren. Vermutlich hast duauch eine entsprechende Einstellung. Deshalb sind wir zur Milde bereit.”Wieder eine Pause.”Du kannst deine Bereitschaft zeigen, indem du das Ritual zur Aufnahmeals Novize durchläufst. Es verlangt viel. Aber ein freier Geist wird dasakzeptieren.” Pause. Ich vermutete, freier Geist war synonym für ‘nichtmännlich’.”Du musst dich von allen Haaren befreien. Von allen! Der Kanister an derDecke beinhaltet ein Enthaarungsmittel. Über den Körper laufen lassenund zehn Minuten warten. Dann abspülen. Es darf keinesfalls in die Augenkommen. So gereinigt wirst in unseren Versammlungsraum gebracht werden.Dort findest du eine Kopfhaube, Handschuhe und Stümpfe aus Latex. Undeinen Topf mit Flüssiglatex. Streiche es reichlich auf deinen Körper undziehe dann die Sachen darüber.Das flüssige Latex beinhaltet Substanzen, die Schweißbildung unmöglichmachen. Und einen Stoff, der in die Haut eindringt und extrem gut mitihr verbindet. Du kannst dann die Sachen nicht mehr ausziehen. Das dudieses Opfer bringst, zeigt deine Bereitschaft. Andernfalls wirst duSklave.”Das war es. Mehr kam nicht. Ich spulte zurück und hörte es mir nocheinmal an. Was waren das für Leute? Extreme Feministinnen? Aber der Klubwar allen offen, Männern und Frauen. Aber anscheinend nichtTransvestiten.Jedenfalls war ich in einer präkeren Situation. Nicht wegen deseingeschlossenen Penis, das würde irgendwie zu lösen sein, auch wenn essehr stabil aussah. Aber der Raum hatte keine Fenster, und die Tür hätteich auch zu besseren Zeiten nicht eintreten können.Ich überlegte ein paar Minuten und beschloss, dass die Haare daskleinste Übel waren. Ich war nahezu haarfrei, und die Perücke warersetzbar.Ich entdeckte eine Schwimmbrille bei dem Kanister. Nachdem ich sieaufgesetzt hatte, ließ ich die Substanz über mich fließen und verteiltesie mit den Händen. Es begann überall leicht zu brennen. Nachgeschätzten zehn Minuten ging ich unter die Dusche. Alle Haare wurdenweggewaschen. Ich war kahl. Tatsächlich hatte ich nur noch die Wimpern.Als ich trocken war, wurde mir kalt. Das einzige Kleidungsstück war derBody aus Latex. Ich zog ihn an. Dabei stellte ich fest, dass er inneneinen Dildo hatte. Und ich hatte keine Gleitcreme. Etwas Wasser mussteals Ersatz dienen. Es ging, war aber nicht sehr angenehm. Vor allem,weil der Dildo sehr groß war. Mein Edelstahl umhüllter Penis ragte durchein Loch nach draußen.Ich hatte nicht viel Zeit zum Nachdenken, denn mehrere Personen kamenherein. Vier Dienstmädchen in Latexuniformen und eine in einem strengenKleid, auch Latex. Alle hatten Gesichtsmasken auf. So konnte ich keineEmotionen erkennen.Wortlos nahmen sie mich in ihre Mitte und führten mich hinaus.In einem größeren Raum warteten wenigstens zehn weitere Personen aufuns. Auch alle in Latex gekleidet. Acht waren Dienstmädchen, teilweisemit Ketten an Händen und Beinen. Und zwei hatten lange Latexkleider an.Ich wurde an das andere Ende gebracht. Dort lagen die beschriebenenSachen und der Topf mir einer zähen schwarzen Flüssigkeit. Alles war aufeiner Plastikplane.Niemand sagte etwas. Ich wurde nur angestarrt. Ich hatte immer nochKopfweh von der ersten Auseinandersetzung ein keinen Bedarf an mehr. Mirgefiel die Idee nicht, weder Handschuhe noch Strümpfe ausziehen zukönnen, aber was sollte ich machen? Es würde mich nicht umbringen, undvielleicht ließen sie mich dann ja laufen, wenn ich dauerhaft als eineder Ihren gekennzeichnet war. Irgendjemand würde es schon wiederabbekommen.Ich untersuchte die Sachen: Zwei lange Strümpfe, zwei lange Handschuheund eine gesichtsoffene Haube, die über den Hals ging. Erst jetztbemerkte ich, dass mein Halsband weg war. So aufmerksam gemacht griffich an die Ohren. Die Hänger waren weg, aber die fünf Stecker noch da.Man hatte sie wohl nicht abbekommen.Ich seufzte und steckte, da ich kein Werkzeug hatte, eine Hand in denTopf. Damm schmierte ich reichlich auf beide Beine. Da ich keinen Lappenhatte, wischte ich die Hand am anderen Arm ab. Dann zog ich die Strümpfean. Sie bedeckten praktisch das gesamte Bein. Ich strich über sie, bissie völlig glatt anlagen. Dann merkte ich auch schon, wie sie an derHaut zu kleben begannen. Die Flüssigkeit außerhalb der Strümpfeveränderte sich jedoch nicht. Die Strümpfe mussten etwas haben, was dasZeugs zum Abbinden brachte.Als nächstes behandelte ich den Kopf. Es war merkwürdig, über den völlighaarlosen Schädel zu streichen. Dann setzte ich die Haube auf und strichsie Glatt. Ein paar Minuten später hatte ich auch die Handschuhe an. Siebedeckten den gesamten Arm bis zu den Schultern.Niemand reagierte. Ich merkte, wie sich erst am Kopf und dann an denArmen sich das Latex mit der Haut verband. Ich versuchte an der Schulterunter den Handschuh zu kommen. Keine Chance. Es war so, als ob jetzt derHandschuh meine Haut war. Ich würde mich an schwarze Hände und Beinegewöhnen müssen. Nach unten sehend sah ich den silbernen Stahl um meinenPenis aus dem Body ragen. Es war ein starker Kontrast und fiel dadurchsehr auf. Jeder würde an meinem fast vollständig schwarzen Körper zuerstdahin sehen. Wenigstens war der Body nicht auch festgeklebt. Wohl wegendes Dildos. Oder weil man das Schwitzen nicht überall unterbindenkonnte. Jedenfalls wollten sie mich nicht umbringen.Jetzt kam eines der Dienstmädchen und wischte übrig gebliebeneFlüssigkeit ab. Dann wurde ich mit etwas eingesprüht und abgerieben. Nunglänzte das Latex und die wenige nicht bedeckte Haut war sauber.Topf und Plastikfolie wurden weggeräumt. Ich saß auf den Boden. Nunwurde mir Glas mit etwas zu Trinken gebracht. Ich hatte tatsächlichDurst und trank, in der Vermutung, dass damit die Prozedur beendet war.Sekunden später fiel ich ohnmächtig um.##Als ich aufwachte, glaube ich zuerst nicht, wach zu sein. Alles wardunkel. Das ich nicht klar denken konnte war auch die Nachwirkungen vondem Zeugs, dass ich getrunken hatte. Schließlich merkte ich, dass icheine absolut dichte Kopfhaube trug. Mit den Handschuhen war tasten nichteinfach. Aber ich hatte viel Zeit. Über Stunden war es mein einzigerZeitvertreib. Denn eine Kette um meinen Hals hielt mich auf meine Liege,ohne viel Spielraum.Ich war überzeugt, dass es eine gepolsterte Lederhaube war. Die Augenwaren von weichen Teilen bedeckt, die sanft auf sie drückten. Riemenhielten sie an Ort und Stelle. Ansonsten war es anscheinend ein Teil,mit dem Versschluss im Nacken. Ich ertastete drei kleine Schlösser.Es war meine erste Bekanntschaft damit, ich trug sie noch öfter. Es wardie klassische Methode: Zuerst wurde man mürbe gemacht, dann begann dieneue Erziehung. Jede Missachtung von Befehlen wurde drastisch bestraft.Mit allem, was möglich war: Längeres bewegungsloses Fesseln inDunkelheit, Drohungen, Schmerzen und was es noch alles gab.Ich dachte, ein Jahr wäre um, aber tatsächlich waren es nur vier Wochen,als ich aus meiner Einzelzelle kam. Ich war völlig zerstört und hattevor allem panische Angst. Auf den leisesten Befehl machte ich alles. Undich meine alles.Nun musste ich damit zum Geldverdienen beitragen. In so einem Klub gehtes nur um eines: Sex. Ich machte es in allen denkbaren Variationen mitallen Körperöffnungen.Wenn nicht “gearbeitet” wurde, dann waren wir in einem kleinen Raum mitmehreren Stockbetten angekettet. Dort hatte ich nichts an, wasbedeutete, es waren nur die Strümpfe, Handschuhe und Kopfhaube. Sieließen sich wirklich nicht mehr ausziehen, waren nun meine schwarzeHaut. Ich hatte mich längst daran gewöhnt, wie auch an meineneingeschlossenen Penis, der immer noch in seinem Edelstahlgefängnis war.Ich war nicht der Einzige. Obwohl sechs Betten vorhanden waren, warennur drei belegt. Namen gab es nicht. Ich hätte nie gewagt einen zubenutzen. Mein Nachbar war ganz nett, der andere schirmte sich ab undsagte nie etwas. Wer weiß, was er erdulden musste. Keiner macht so etwasohne geistigen Schaden durch.Mein Nachbar war ein gutes Beispiel. Er war wie einige Gefangene, dienicht mehr aus dem Gefängnis wollten. Er hatte sich damit abgefunden,hatte keinerlei Fluchtpläne. Wollte nur nicht bestraft werden.Bei mir war das anders. Ich arbeitete konsequent auf eine Flucht hin.Aber um in den öffentlichen Teil zu kommen, musste man Dienstmädchenwerden. Das war kein Abstieg, sondern ein weiter Aufstieg. Aber es sahso aus, als mein Penis das verhinderte. Ein Penisgefängnis war beiDienstmädchen nicht erlaubt. Ihre Röcke waren kurz, und ein Penis wardas, was mich letztlich hierher gebracht hatte. Völlig inakzeptabel.Aber nur in einer Dienstmädchenuniform durfte man aus den hinterenRäumen hinaus. Die Katze biss sich in den Schwanz.Und nun bekam ich gerade die Lösung präsentiert. Ich dachte, er wäreoperiert, weil er so eine Uniform trug und ich nie ein Penisgefängnisgesehen hatte. Mit seiner nach vorne ragenden Form war das abereigentlich unmöglich zu übersehen. Aber er war nur kastriert.Meinen Penis wegoperieren zu lassen erschien mir immer noch keine Optionzu sein. Obwohl meine Brüste mittlerweile einen C-Cup hatten. Als Quellemännlicher Hormone hatten sie es nicht verhindern können. Die einzigeandere Funktion waren Samenzellen. Aber nach allem, was ich wusste, warich durch die Hormone sowieso steril. Es gab also eigentlich nichts, wasmich daran hielt.Der Grund, warum man dann kein Penisgefängnis mehr güvenilir bahis siteleri trug, war diemangelnde Befestigungsmöglichkeit. Nur mit dem Penis allein ging dasnicht, man brauchte den Hodensack samt Hoden.Das erlaubte das Tragen der Uniform, und das wiederum machte mich zueiner Frau, Penis hin oder her. Verquere Logik, aber ich habe sie nichtgemacht.Ich sagte also der Herrin meinen Entschluss. Sie nahm es sehr positivaus, als ob ich damit vom Saulus zum Paulus würde. Ich glaube, sie hatsich zu lange selbst zugehört.Aber das es so schnell gehen würde, hätte ich nicht gedacht. Es wurdenicht in ein paar Tagen gemacht, sondern gleich jetzt und hier. Einkurzer Befehl genügte und ich knebelte mich selber. Dann ging es ineinem der “Spielräume”. Dort musste ich mich auf eine Bank legen undwurde sofort daran gefesselt. Die Beine kamen an zwei Ständern schrägnach oben. Meine Genitalien lagen frei. Nun wurde mein Penisgefängnisentfernt. Ich hatte Angst, riesige Angst. Schweißperlen bildeten sichauf meiner Stirn.”Keine Angst”, sagte die angebliche Frau mit einer ziemlich tiefenStimme. “Ich habe tausende Rinder kastriert.”Und das befähigte ihn, es bei Menschen zu machen? Meine Angst stieg.Er desinfizierte alles im Umkreis, Bank und meinen Körper. Mit etwasGlück würde ich wenigstens keine Infektion bekommen.Dann piekste mich etwas und ich fühlte, wie mein Unterleib taub wurde.Ich war ein gutes Stück erleichtert, hatte ich doch geglaubt, dass ereinfach so zum Messer greifen würde.Ich löste meine verkrampfte Haltung und sah an eine andere Stelle, alszwischen meine Beine. Meine Genitalien konnte ich nicht sehen, da ichmeinen Kopf nicht heben konnte. So merkte ich erst jetzt, dass an derDecke für Sexspielchen ein Spiegel war. Nicht immer konnte ich allessehen, da manchmal sein Kopf oder Hände im Weg waren. Aber prinzipiellverstand ich, was geschah. Mein Schritt war von dem Desinfektionsmittelorange gefärbt. Der Penis wurde nun nach oben gebunden, sodass derHodensack freilag.Nun setzte er auch schon das Skalpell an. Pulskontrolle oder so etwasgab es nicht. Das Ding wäre wohl auch aus dem Piepsen nichtherausgekommen.Ich spürte nichts von dem Schnitt. Kurz darauf waren beide Hoden ineiner Schale, die Samenleiter verknotet. Mit ein paar weiteren Schnittenschnitt er den Hodensack ab und nähte alles zu. Ein kleiner roter Strichwar alles, was noch zu sehen war. Es hatte kaum geblutet. Er wischte esnoch einmal ab und klebte ein größeres Pflaster darauf. Nicht einmaleinen Verband gab es.Meine Fesseln wurden gelöst und ich wurde in meinen Raum zu den anderengebracht.Mein Nachbar sah das Pflaster und fragte, “Alle gut gegangen?”Ich nickte. Sie hatten meine Hoden entfernt, als ob es ein Holzsplitterim Finger gewesen wäre. Und anscheinend war alles gut gegangen. Ichfühlte keine Schmerzen, auch als die Taubheit abklang.Drei Tage lang wurde täglich das Pflaster gewechselt, nach einer Wochesagte man mir, ich könne die Fäden entfernen. Mein Nachbar machte es miteiner Nagelschere und Pinzette. Es ziepte ein wenig, dann war er fertig.Ein letztes Pflaster, und die Sache mit den Hoden war endgültigGeschichte.##Seit zwei Wochen war ich nun in einem Latex Dienstmädchenkostüm. Wiewünschte ich mir nun meine rosa Uniform zurück!Wenn ich in den Gasträumen war, dann war ich immer in Fesseln, meistensmit mehreren Ketten. Die Tür in die Freiheit war so nah, aber selbstohne die Fesseln war es unmöglich. Der Typ, der mir die Hoden entfernthatte, hatte uns allen einen Chip implantiert, wie es auch Kühe,Schweine und andere Haustiere hatten. Vermutlich stammte es auch daher.Jedenfalls kam man da nicht durch, da an der Tür ein Scanner war, derbei meiner Nummer sofort Alarm schlagen würde. Man hatte es mir anmeinem ersten Tag hier vorne vorgeführt und eingeschärft, nicht näherals zwei Meter an die Tür zu kommen.Nein, das war kein Weg. Ich musste durch den Lieferanteneingang. Dortkam ich aber in einem Rock niemals durch. Das war in etwa dieKontrolle: Hose ja, Rock nein. So einfach. Für manche der mit dickenMuskeln ausgestatteten Typen auch das Maximum an Intelligenzleistung.Aber ich trug Fesseln. Sie hinderten mich nicht am weggehen, aber amAusziehen.Aber ich hatte es geschafft, einige Sachen auf die Seite zu bringen. VonKunden, die vollgetrunken oder zugedröhnt das Eine oder Andere liegenließen. Da es um Sex ging, waren es auch Sachen, die in einer normalenBar niemals liegen bleiben würden.Ich hatte bereits eine Krawatte, eine “Schlägerkappe” und ein Hemd – ausLatex. Es schien eine Bedingung zu sein, wenn man in die Separees oderSpielräume ging. Ich versteckte es in einer Toilettenspülung. Etwasanderes als Latex hätte hier Probleme gemacht.Gestern hatte ich mein Glück kaum glauben können, als ich eine Jeanserbeutete. Auch aus Latex. Dabei sah sie völlig normal aus, genau wiedas Hemd. Das einzig Besondere an der Hose waren die Reißverschlüsseüber die ganze Beinlänge. Aber sie waren als Naht getarnt, man sah sienicht. Diese Reißverschlüsse waren für mich sehr wichtig.Nachts waren wir immer angekettet, da war eine Flucht unmöglich. Es gingnur tagsüber. Und da half nur: Frechheit siegt. SelbstbewusstesAuftreten war mein Schlüssel. Denn ich würde aus meinen Stiefeln nichtherauskommen, das dauerte viel zu lange. Sie hatten eine Schnürung, fürdie man ewig brauchte, und darüber Schnallen, die sehr fummelig waren.Selbst offen waren sie immer noch sehr eng und rutschten schlecht übermeine Latexstrümpfe. Deswegen half mir immer jemand, meistens meinNachbar, denn er hatte dasselbe Problem.Ich musste also in Latexstiefeln mit himmelhohen Absätzen flüchten.Innen ging das, aber außen? Die Schuhe, in denen ich gekommen war,hatten viel breitere Absätze als diese Nadeldünnen, und die hatten schonSchwierigkeiten gemacht.Am nächsten Tag war es soweit. Ich war erstmalig ohne Fesseln. Manvertraute mir genügend, da ich nie aufbegehrt hatte, sondern alleBefehle wie ein Roboter ausgeführt hatte.Der Klub machte erst nachmittags auf, und das war der einzige Zeitpunkt.Nur dann kamen Lieferanten und der Hintereingang war offen.Aber das größte Problem war ich selber. Schon bei Madame war ichkonditioniert worden. Eines der Resultate war, dass ich sie nicht beimNamen nannte, sondern nur Madame. Und auch sonst war ich ein devotesDienstmädchen, das ständig knickste. Kein Mädchen machte das sonst.Und hier war die Konditionierung noch viel stärker. So stark, dass esbeinahe reichte, mich am Flüchten zu hindern. Beinahe. Bei meinen zweiZimmerkollegen hingegen hatte es funktioniert.Als es dann so weit war, schalte ich einfach mein Gehirn ab. Ich machtemir vor, ich würde einen Befehl ausführen. Und ich war trainiert,Befehle bedingungslos auszuführen.In der Nähe des Lieferanteneingangs bewaffnete ich mich mit Klebeband -das gab es immer, wo mit Kartons hantiert wurde. Dann ging es in eineToilette. Jetzt musste es schnell gehen.In einer Minute hatte ich die Latex Uniform aus. Das Korsett blieb, esmachte sowieso keinen Unterschied, da es für meine Taille zu groß war -selbst in der kleinsten Schnürung war es gerade so eng wie meine Taillenatürlich war. Dadurch war es natürlich sehr angenehm zu tragen – meineZimmerkollegen hatten große Schwierigkeiten damit.Nun nahm ich das Klebeband und wickelte es eng um meine Brust. MeineBrüste wurden klein gequetscht. Es würde nicht angenehm sein, es wiederzu entfernen, aber das war mein kleinstes Problem.Ich zog die Hose an und zog die Reißverschlüsse an den Beinen zu. Siewar eigentlich zu lang für mich, aber durch die hohen Absätze ging es.Dadurch waren sie angenehmerweise auch größtenteils verdeckt.Oben hätte mir die Hose vor einigen Monaten gepasst, die Weite war meinealte Größe. Nun aber bekam ich sie kaum über meine Hüfte. Der Bundhingegen war um Welten zu locker. Das war aber egal, sie würde auch sooben bleiben, sozusagen als Hüfthose.Das Hemd, das ich nun anzog, verdeckte Hosenbund, Taille und Klebeband.Als letztes kam die Latexkrawatte um den Hals. Sie verdeckte, dass mirdas Hemd zu groß war, indem sie den Kragen eng genug um meinen Hals zog.Nun noch die Schlägerkappe auf meinen Kopf und ins Gesicht gezogen. Meinschwarzer Kopf war das größte Risiko. Durch die Kappe war die glatteglänzende Umhüllung nicht ganz so offensichtlich, sie lockerte dieKontur auf.Ich versteckte meine Uniform in der Decke, deren Verkleidung leichtanzuheben war. Dann ging es auf den Flur. Ich sah einen Lieferantenetwas in den Keller tragen. Neben der Treppe lagen einige Kartons, diewohl gerade eben geliefert worden waren. Ich nahm einen kleinen und trugihn wieder nach draußen. Dort waren die zwei Muskelpakete, die jetzthier aufpassten und abends an dem Haupteingang Türsteher waren. Siewaren unter einem Sc***d mit rot durchgestrichener Zigarette am Rauchen.Einer warf mir einen kurzen gelangweilten Blick zu und unterhielt sichdann mit seinem Kumpel weiter.Ich ging auf die Rückseite des Lieferwagens und warf den Karton hinein.Dann ging ich weiter, ohne mich umzusehen. Hoffentlich verrieten michdie Geräusche meiner Schuhe nicht. Hätte mich jemand zurückgerufen, ichwäre dem Befehl wohl gefolgt, statt zu verschwinden.Aber ich hatte unendlich viel Glück. Ich lief immer weiter, wie einRoboter. So lange, bis mir die Beine den Dienst versagten. Ich mussteStunden unterwegs gewesen sein, es war längst dunkel. Ich kroch zwischenzwei eng aneinander geparkte Autos und schlief ein.Die Dämmerung weckte mich. Ich folgte sofort dem mir gestern selbergegebenen Befehl: So weit wie möglich weg von dem Klub. Nach ein paarStunden war die nächste Pause fällig, ich konnte einfach nicht mehr.Aber dann trieb mich die Angst weiter.Nun kam mir die Umgebung bekannt vor. Unbewusst war ich in Richtung derVilla gelaufen. Noch eine Stunde und ich ging mit letzter Kraft durchdas Tor. Noch ein paar Meter die Auffahrt hinauf, dann brach ichzusammen.##”Sie ist wach”, hörte ich eine bekannte weibliche Stimme.Langsam nahm ich meine Umgebung wahr. Ich lag in einem vertrauten Bett,in einem vertrauten Zimmer. Es suggerierte sofort, dass ich inSicherheit war. Zum ersten Mal nach so langer Zeit.Dann hörte ich auf einmal eine andere Stimme etwas antworten. Oh nein,es war der Butler! Er würde mich bestrafen! Ich musste weg.”Schnell, sie dreht durch. Haltet sie fest. Wo bleibt der Arzt?”Dann fühlte ich, wie ich festgehalten wurde. Ich wand mich, aber es halfnicht. Schließlich sagte die weibliche Stimme, “Nun bleib doch endlichliegen!”Sofort folgte ich dem Befehl. Aber die Anstrengung war sowieso zu vielfür mich gewesen. Es wurde wieder schwarz um mich.##Ich wachte wieder auf. Diesmal saß jemand neben mir. Nun hatte ich auchkeine Schwierigkeiten, sie sofort zu erkennen. “Tina!””Michelle! Geht es dir besser?””Ich glaube, es geht ganz gut. Die Beine schmerzen.””Du musst sehr lange gelaufen sein. Deine Stiefel sahen schrecklichaus.””Ja, es war wohl ziemlich lang.””Genug”, sagte eine andere Stimme. “Jetzt bin ich erst einmal dran.” Einjunger Mann kam zu mir. “Ich bin der Hausarzt. Ich habe gerade dieLaboruntersuchungen bekommen und bin deswegen hier. So etwas wie dichhatte ich noch nie gehabt.””Was- was ist das Problem?””Oh, du hattest eine Menge Psychopharmaka in dir. Mehrere Wirkstoffe.Ich weiß noch nicht alles.””Psychopharmaka?””Ja, bewusstseinsverändernde Substanzen. Wie lange hast du dasgenommen?””Ich weiß nichts davon.””Sicher? So etwa geht doch nicht unbemerkt.””Ich weiß wirklich nichts davon. Aber vermutlich hat man es mir mit demEssen gegeben.””Wie auch immer, das werden wir später klären. Die nächsten Tage könntenunangenehm werden. Du wirst eine Art Entzug durchmachen.””Schlimm?”Er drehte sich um. “Verlassen Sie bitte den Raum, damit ich mit meinerPatientin ungestört reden kann.”Als ich allein mit ihm war, fuhr er fort, “Ein junges Mädchen hätte wohleinige Probleme, aber ein erwachsener Mann wird es gut durchstehen.Kopfweh und Schweißausbrüche, Angstzustände, Schwindelattacken.Vielleicht auch Realitätsverlust, aber ich glaube, das haben wir schonhinter uns.””Sie wissen, dass ich ein Mann bin?””Nun, ich bin Arzt. Aber eigentlich brauche ich nur diese Deckezurückzuschlagen, um einen Penis zu sehen.””Bitte sagen Sie es niemanden, besonders Tina nichts.””Sie wird nichts erfahren. Aber Madame…””Sie weiß es sowieso.””Aber jetzt erzähle mir, warum hast du diese Latexsachen an? Und auchnoch festgeklebt. Ich hatte Schwierigkeiten einen Ort für eine Injektionzu finden.””Injektion?””Ein Beruhigungsmittel. Und dann einen Tropf gegen die Dehydration.”Schon wieder, dachte ich. Bei der nächsten Flucht muss ich mehr trinken.”Gehen die Sachen wirklich nie wieder ab?””Hat man das dir gesagt? Äh, ich darf doch du sagen? Du dürfest ältersein als du aussiehst. Nach deinem Ausweis bist du siebzehn, aber daskann ich kaum glauben.”Ich nickte. “Sie dürfen du sagen, jeder tut es. Und ich bin tatsächlich27. Was ist nun mit dem Latex?””27? Das hätte ich nicht gedacht. Nichts hält auf der Haut ewig, dennsie erneuert sich laufend. Und damit kann auch alles noch so gutfestgeklebte nicht mehr halten, denn das haftet nur auf den oberstenHautschichten. Und die erneuern sich laufend, wie schon gesagt. Wielange hast du es denn schon auf der Haut?””Ich weiß nicht genau… Welches Datum haben wir?” Er sagte es.”Ungefähr sieben Wochen.””Sieben Wochen? Du musst einiges durchgemacht haben.””Das kann man wohl sagen. Wie lange bleibt das noch auf meiner Haut?””Hautzellen erneuern sich je nach Umwelteinflüssen. Eigentlich müsste esnicht mehr allzu fest haften. Du musst dir das Vorstellen wie nach einemSonnenbrand, wenn sich die Haut pellt. Das geschieht auch nicht ganzgleichmäßig; an einigen Stellen ist die Haut schon ab, an anderen hältsie noch ziemlich fest. Hast du schon probiert, es auszuziehen?”Ich schüttelte den Kopf. Man probiert nichts, von dem man glaubt, esgeht sowieso nicht.”Dann lass es uns doch versuchen.” Er pulte vorsichtig. Ein Stück weitließ sich der Handschuh tatsächlich ablösen, dann tat es weh.”Ich nehme nicht an, du willst warten, bis das sich das auf natürlicheWeise löst?””Nein, ich möchte so schnell wie möglich heraus. Ich kann kein Latexmehr sehen.””Das kann ich mir vorstellen. Nun, dann werden ich dir ein Mittel geben.Das habe ich sogar dabei, denn ich brauche es häufiger.” Er gab mir zweiKapseln. “Jetzt eine und heute Abend eine. Es ist ein Mittel gegen Akne.Es wirkt auf die Erneuerung der Hautzellen.”Mit dem mir gereichten Wasserglas schluckte ich eine der Kapseln.”Ich denke, morgen bekommen wir die Sachen ab. Spätestens übermorgen.””Sehr gut.””Erzählst du mir nun, was vorgefallen ist?””Ich muss darüber nachdenken. In meinem Kopf ist zu viel durcheinander.””Aber es könnte ein Täter entkommen.””Ich kann keine Täter identifizieren, habe nie ein Gesicht gesehen. Ichkenne nur einen Ort. Und das dürfte nicht helfen. Ich kann niemandennachweisen, überhaupt dort gewesen zu sein.””Aber das weißt du so doch nicht, die Polizei könnte trotzdem jemandenüberführen.””O doch, ich weiß. Ich bin Detektiv. Das Ganze ist bei Nachforschungeneinem Auftrag passiert.””Oha, und ich dachte, du wärst hier als Dienstmädchen angestellt? Sagteman mir jedenfalls.””Stimmt. Mein Cover.””Da bin ich anscheinend in einen richtigen Krimi geraten?” sagte er mitdeutlich mehr Respekt in der Stimme. “Sollte ich dann besser nicht ‘du’sagen?””Nein. Es gehört zu meinem Job. Ich bin daran gewöhnt und habe keinProblem damit. Ganz im Gegenteil, Sie könnten mein Cover zerstören.Nennen Sie mich bitte Michelle, wie jeder.””Gut, wenn du es so willst. Es fällt mir auch leichter, denn Du siehstunglaublich jugendlich aus.””Ich weiß. Leider. Es gab gerade einen Fehler bei der Behörde. Nun binich ganz offiziell siebzehn, der Ausweis ist echt.””Manchmal wünsche ich mir auch, wieder zehn Jahre jünger zu sein.””Ja, aber es hat nicht nur Vorteile. Ich bin nicht mehr volljährig.”Er überlegte einen Moment. “Wer ist dein Vormund?””Es gibt keinen. Wie ich sagte, es war ein Fehler.””Das könnte problematisch werden. Du kannst nichts Wichtigesunterschreiben.””Ein Grund mehr, keine Polizei einzuschalten. In ein paar Wochen bin ichachtzehn. Zum zweiten Mal.””Gut. Ich werde mir dann die nötigen Sachen ersatzweise von Madame alsdeinem Arbeitgeber unterschreiben lassen. Du bist Krankenversichert?””Ich bin regulär angestellt und natürlich versichert. Meine Karte warnur noch nicht ausgestellt worden, das dauert immer ein bisschen.Vielleicht hat Madame sie in der Zwischenzeit.””Ich werde sie fragen. Für heute machen wir Schluss. Wir sehen unsmorgen wieder.”##Am nächsten Morgen fühlte ich mich fit und ausgeschlafen. So gut wieseit Langem nicht mehr. Ich ging unter die Dusche. Ich sehnte denAugenblick herbei, wo ich wieder Wasser auf meinen Armen und Beinenfühlen konnte.Ich hatte keine Lust wieder in das Bett zu gehen. Aber so konnte ich dasZimmer nicht verlassen, nur mit Handschuhen, Strümpfen und Kopfhaubebekleidet. Ich wollte auf keinen Fall so gesehen werden, vor allem nichtvon Tina. Ich brauchte etwas anzuziehen.Aber der Schrank hatte nichts zu bieten. Die von Tina gekaufteUnterwäsche war in dem Klub zerrissen worden, und andere gab es nicht,da ich die ganze Zeit nur den Keuschheitsgürtel getragen hatte.Aber der war da. Ich betrachtete ihn.Mit der Konditionierung von Menschen ist es nicht viel anders als mitder Dressur von Tieren. Man kann nur das verstärken, was schon da ist.Zebras zum Beispiel, obwohl sehr nahe mit Pferden verwandt, kann mannicht reiten. Keine Chance, selbst wenn sie von Menschen aufgezogenwerden. Pferde hingegen lassen sich das gefallen, lieben sogar ihrenHerrn.Die letzten zwei Monate hatten nichts an meiner Faszination fürSchlösser ändern können. Ganz im Gegenteil. Und meine Hemmschwellenwaren mir abtrainiert worden. Jedenfalls, wenn es um solche Dinge ging.Ohne zu zögern legte ich mir ihn an. Zum Verschließen brauchte man keineSchlüssel. Der Dildo war nichts Ungewohntes mehr. Im Gegenteil, ichfühlte mich nun sicher. Niemand kam mehr an meinen Anus heran.Nicht viel später klopfte es. Das konnte kaum der Butler sein.Es war Tina mit dem Frühstück. Es war sehr merkwürdig sie mit demTablett in ihrer Uniform zu sehen. Ich konnte es innerlich nicht fassen,dass mich ein Dienstmädchen bediente. Normalerweise bedienten wirzusammen andere. Ich hätte ihr am Liebsten das Tablett aus der Handgenommen.Nun begrüßten wir uns aber erst einmal ausgiebig mit einer langenUmarmung. In ihren Schuhen war sie größer als ich, sehr ungewohnt fürmich. Sonst waren wir ja immer genau gleich groß.Ich setzte mich und begann zu frühstücken – ich hatte Hunger wie langenicht mehr. Dabei unterhielten wir uns. Sie wollte natürlich wissen, waspassiert war, und fragte mich zu den Latexsachen, die ich trug. Icherklärte es, sagte aber nichts weiter zu den Ereignissen im Klub. Esreichte, wenn das in meinem Kopf war.Sie fragte nicht nach dem Keuschheitsgürtel, dachte wohl ich hätte ihndie ganze Zeit angehabt. Unter der Bettdecke hatte sie es nicht sehenkönnen. Ich war aber sehr froh ihn angezogen zu haben. Es wäre für michein Desaster gewesen, hätte Tina meinen Penis gesehen.Dabei wusste ich nicht einmal genau warum. Vermutlich wollte ich unsereFreundschaft nicht gefährden. Sie war die einzige Freundin, die einzigeVertrauensperson, die ich hatte.Nach einiger Zeit, es musste schon später Vormittag sein, wurde mir aufeinmal klar, dass sie nicht arbeiten gegangen war.”Musst du nicht arbeiten?””Nein, ich bin den ganzen Tag nur für dich da. Madame macht sich großeSorgen.”Oh. Das hatte ich nicht erwartet.##Am Nachmittag kam der Arzt wieder. Ich hatte eine der Uniformen von Tinaan. Wir hatten erst meine probiert, aber das Rosa sah mit schwarzenArmen und Beinen nicht gut aus. Mir wäre es nicht so wichtig gewesen,aber Tina meinte, ich müsse so gut aussehen, wie es eben ging. Und ichkonnte nicht mit nackten Brüsten außerhalb des Bettes sein. Mit ihrerUniform sah sogar mein schwarzer Kopf nicht ganz unpassend aus. Vorallem, als sie kichernd ein Spitzenhäubchen mit Klebeband befestigte.Der Arzt sah mich merkwürdig an. “Schon wieder in Uniform?””Ja, ich habe nichts anderes. Und ich kann nicht allen meine Brüstezeigen.””Ah, ich verstehe. Es steht dir ausgezeichnet. Du machst ein sehr süßesDienstmädchen, wenn ich das sagen darf. Aber nun musst du es ausziehen.”Ich folgte seiner Aufforderung.”Ein Keuschheitsgürtel?” fragte er ziemlich erstaunt.”Ja. Ich wollte nicht, dass jemand meinen Penis sieht. Und ich hattenichts anderes.””Aber ein Keuschheitsgürtel? Das würde kaum jemand freiwillig anziehen.””Ich habe schon vor einiger Zeit entdeckt, dass ich es mag, in etwaseingeschlossen zu sein.” Ich zuckte die Schultern. “Es ist stärkergeworden.””Ich denke, das wird wieder etwas normaler werden, wenn erst einmal alleDrogen aus deinem Körper sind. Irgendwelche Probleme?Entzugserscheinungen?””Überhaupt nicht. Mir geht es so gut wie lange nicht mehr. Ich habeheute Morgen unglaublich viel gegessen.” Ich zeigte auf meinen Bauch.Man konnte es tatsächlich sehen.”Das ist sehr gut. Wenn der Appetit da ist, dann ist man auch meistensgesund. Gut, dann wollen wir sehen, ob wir die Latexsachen abbekommen.”Es war nicht einfach und auch schmerzhaft, und hinterließ mich mit soroter Haut wie nach einer Züchtigung durch den Butler. Aber es war ab.Creme half, die gereizte Haut zu beruhigen.Ich saß in meinem Babydoll auf dem Bett, als Tina wiederkam. “Oh, dassieht ja schlimm aus!””Ist nicht so schlimm. Es endlich los zu sein ist wichtiger. Morgen istalles vorbei.””Gut, denn morgen will dich Madame sehen. Da solltest du besser nichtmehr so aussehen.” Für Tina war es sehr wichtig, dass man gut aussah.Wir quatschten bis spät in den Abend. Ihre Nähe gab mir eineGeborgenheit, die ich schon lange nicht mehr gespürt hatte.##Am nächsten Morgen half mir Tina in mein rosa Korsett. Ich wusste nicht,ob ich immer noch angestellt war, nachdem fast zwei Monate verstrichenwaren. Aber ich hatte keine Kündigung bekommen, also galt derAngestelltenvertrag noch. Und der verpflichtete mich zu meiner Uniform.Ich fand es nicht schlecht. Es war etwas Gewohntes. AndereMädchenkleidung wäre mir nur fremd erschienen. Ich musste es erstlernen, mich wie alle anderen Teenager anzuziehen, und das als normal zubetrachten.Tina schüttelte den Kopf, als ich sie aufforderte, auch die Schlösser zubefestigen. Ich erzählte ihr nicht warum. Eigentlich sollte sie esverstehen, bei ihrer eigenen Faszination dafür. Als sie dann dieSchlösser zudrückte, sah ich ihr Gesicht. Sie genoss es.Ich sah aus wie immer, selbst eine Perücke hatte sich gefunden. Zumersten Mal trug ich wieder normales Makeup. Ich fühlte mich gut.Dann musste ich mich bei Madame melden. Ich trat ein und machte dengewohnten Knicks. Der Butler war auch da.”Nein, bitte knicksen Sie nicht. Warum haben Sie denn die Uniform an?””Ich dachte… Bin ich denn gekündigt?””Oh – ich denke, nein.””Dann muss ich sie tragen.””Nein. Es ist Zeit für Erklärungen. Das Spiel hat ein Ende.””Spiel?””Ja. Ich fürchte, ich war nicht sehr aufrichtig zu Ihnen. Es gibt keinenverschwundenen Vater.”Meine Augen wurden groß. “Oh!”Sie zeigte auf den Butler. “Darf ich vorstellen? Mein Mann.”Meine Augen wurden noch größer.”Am besten fange ich ganz am Anfang an. Wir sind sehr begütert, dasdürfte klar sein. Das resultiert aber auch irgendwann in einer gewissenGelangweiltheit. Wenn man sich alles kaufen kann und sich auch sämtlicheDienstleistungen leisten kann, dann ist nichts mehr wirklich reizvoll.Manche stürzen sich dann in Arbeit, aber wir sind beide nicht soarbeitsam.” Sie lächelte ihren Mann an. Erst jetzt bemerkte ich, dass ereinen normalen Anzug trug, keine Butleruniform.”Wir entdeckten unsere Liebe für Rollenspiele. Zuerst nur kurz zum Sex,wurden sie langsam immer mehr. Wir lebten unsere Fantasien aus. AlsFolge entstand auch der gesicherte Raum. Nun kann man in diversenOutfits nicht immer Schlüssel mit sich tragen. Deshalb installierten wireine optische Zugangskontrolle. Aber dann programmierten wir sie miteinem falschen Bild. Mein Mann hat es mit Technik nicht so.Jedenfalls mussten wir eine Lösung finden, dort wieder hineinzukommen.Es waren nicht nur die Outfits, wir lagerten auch andere wertvolle Dingedort. Es war eben ein gut gesicherter Raum.Aber woher jemanden nehmen, der wie ein Fetisch Dienstmädchen aussah?Mit einer unnatürlich schmalen Taille. Ich sagte, dass es schwierigwerden würde, ein Mädchen zu finden, dass so ein enges Korsett tragenwollte. Er meinte, wieso Mädchen? Ein Mann könne das doch auch.”In diesem Moment fühlte ich mich hintergangen und betrogen. Wut keimtein mir auf. Ich hatte meine Taille und Brüste zum Spaß der Beiden!Aber sie fuhr fort, “Ich wollte das nicht glauben Und das führte dann zuunserer Wette. Ganz wichtig dabei war, dass niemand zu etwas gezwungenwerden durfte. Alles musste rein freiwillig sein. Ich könnte nie damitleben, jemand anderes Körper zwangsweise zu verändern.”Mir fiel nun ein, dass ich tatsächlich alle Entscheidungen völligfreiwillig getroffen hatte. Meine Wut legte sich etwas.”Dann entwickelten wir die Geschichte mit dem verschwundenen Vater.Tatsächlich geht es meinem Vater sehr gut, er lebt in Florida. Ichsuchte einen Detektiv, der nicht zu breit gebaut war. Den Rest kennenSie.”Nach einer Pause fuhr sie fort. “Allerdings entwickelte sich einigesnicht so, wie wir das geplant hatten. Ich gebe zu, dass die hohe Stimmemeine Idee war. Ich wollte nicht, dass unser neues Dienstmädchen zu sehrauffällt. Heute habe ich ein schlechtes Gewissen, Sie dazu überredet zuhaben. Aber von der Brustentwicklung wurden wir völlig überrascht, wirwussten nichts von den Hormonen. Sie sollten auch dringend zu einemEndokrinologen gehen, um das überprüfen zu lassen.Erst recht hatte niemand vermutet, dass Sie in den Klub landen können.Sie können sich nicht vorstellen, wie leid uns das tut, was Sie erduldenmussten. Von vornherein war eine größere Entschädigung für Sie gedachtgewesen, die sie auch bekommen haben.””Entschädigung? Ich weiß von nichts.””Fassen Sie ich an Ihre Ohren. Genau, die Ohrstecker. Echte Diamanten,und nicht klein. Ihr Kopf ist mehr Wert als mancher Luxus-Sportwagen.Leider sind die Ohrringe und Halskette weg. Sie sind auch sehr wertvollgewesen. Der Name in Diamanten sollte zeigen, wie viel Sie uns Wertsind.”Ich sah, dass sie wirklich enttäuscht war. Nicht so sehr wegen desfinanziellen Verlustes, sondern wegen der Geste, die dahinter stand. Indem Moment beschloss ich, die Sachen wieder zu beschaffen. Schließlichwar so etwas mein Beruf.”Wie gesagt, wir wollten nie, dass es so enden würde, mit körperlichenFolgen für Sie, die nicht mehr änderbar sind. Der Arzt erzählte uns, Siehaben keinen Hoden mehr?”Ich nickte.”Der Arzt hat das Arztgeheimnis nicht verletzt. Sie sind offiziellMinderjährig, und er wandte sich an uns als Ersatz für einen Vormund. Estut mir leid, dass es dazu kam. Die Namensänderung war meine Idee. Siewäre problemlos wieder rückgängig zu machen gewesen. Ich fürchte, nunliegen die Dinge komplizierter. Zuerst war ich amüsiert über den Fehler,da er so gut passte. Aber nun habe ich die Folgen erkannt.”Ich nickte wieder.”Auch wenn wir für einige der Dinge, die geschehen sind, nichts können,haben wir sie in Gang gesetzt und sind damit für die Folgenverantwortlich. Sie werden kaum mehr in ihrem Beruf arbeiten können. Wirhaben deshalb diese Apanage für Sie gewährt. Hier ist die notarielleBeglaubigung.”Ich las kurz über das Dokument. Die Summe, die ich bis zu meinem Toderhalten würde, machte mich schwindlig. Ich würde es nie wieder nötighaben zu arbeiten.”Darüber hinaus möchten wir Ihnen ein normales Leben ermöglichen. WennSie eine Operation zur Geschlechtsangleichung wünschen, dann übernehmenwir die Kosten. Es steht ihnen frei.”Tatsächlich den letzten Schritt gehen? Es hatte seinen Schreckenverloren. Ich würde es wohl machen. Ich konnte nicht ewig einenKeuschheitsgürtel tragen.”Nun bleibt nur noch eines. Wir haben tatsächlich noch einen gültigenArbeitsvertrag. Wenn Sie möchten, heben wir ihn fristlos auf.”Ich überlegte. “Und andernfalls?””Sie können gerne hier als Dienstmädchen bleiben, wenn Sie das Wünschen.Ein passendes Arrangement kann gefunden werden.””Ich brauche Zeit zum Überlegen. Wie wäre es, wenn ich erst einmal biszum Monatsende bleibe? Ich möchte in einer gewohnten Umgebung sein, nachallem, was passiert ist.””Sicher kein Problem. Allerdings zu den Bedingungen des Vertrages. Ichwill und muss alle Angestellten gleich behandeln. Das heißtUniformpflicht und auch disziplinarische Maßnahmen, falls nötig. Und ichfürchte, mein Mann fährt völlig auf Züchtigungen ab und wird nichtdarauf verzichten.”Sie rieb sich unbewusst den Po. Eine interessante Ehe, dachte ich. Wiesie wohl in einem durchsichtigen PVC Rock aussah?”Ich akzeptiere das gerne. Ich müsste nur öfters tagsüber weg, um meineAngelegenheiten zu regeln.””Kein Problem. Sie können gehen, so oft Sie wollen. Nur sagen Sie bitteden anderen Angestellten, sie wären in meinem Auftrag unterwegs undmüssten Besorgungen für mich machen. Deshalb würde ich es begrüßen, wennSie in Uniform gehen und sich anderswo umziehen. Wir haben einAppartement in der Stadt, das sie nutzen können.””Kein Problem.””Gut. Der Butler wird sich darum kümmern.”Sie sah meinen Blick zu ihrem Mann. “Nein, der richtige Butler. Er wardamals in Urlaub. Sie haben ihn wohl nicht gesehen, weil Sie auf demZimmer gefrühstückt haben.”Ich nickte verstehend.”So, das wäre dann wohl alles,” schloss sie das Gespräch auf diegewohnte Weise ab.”Nein, noch nicht ganz”, sagte ihr Mann. “Sollte sie nicht besserPsychiatrisch betreut werden? Eine Zeit in einer guten Klinik, um allesverarbeiten zu können.””Ich fühle mich wohl”, antwortete ich. “Ich denke, ich kann das ohneHilfe verarbeiten.””Sie mögen eine starke Persönlichkeit haben. Aber was ist mit derKonditionierung?””Die Drogen sind bereits völlig verschwunden. Ich könnteEntziehungssymptome bekommen, habe ich aber nicht. Er Arzt meint, ichbin gesund.””Die Drogen waren nur Hilfsmittel. Das ändert nichts daran, was in ihremKopf ist.””Woher wissen Sie das eigentlich? Ich habe niemanden etwas erzählt.””O doch, haben Sie. Die erste Zeit, als Sie hier eingetroffen waren. Siekönnen sich nicht mehr erinnern?”Ich schüttelte den Kopf.”Da waren Sie noch unter dem Einfluss der Drogen. Ich denke, ich habeein gutes Bild davon, was vorgefallen ist. Und ich teile ihrenEntschluss, nicht damit zur Polizei zu gehen. Aber Sie sollten eineTherapie machen.”Aha, der Arzt hatte gepetzt. Aber das war eigentlich klar. Es wurdedringend Zeit, dass ich nicht mehr minderjährig war.Ich schaute ihn skeptisch an. “Ich denke, dass ich nicht nötig.””So? Ich glaube, doch.” Sein Ton veränderte sich. “Auf die Knie,Schlampe, und blas mir einen.”Blitzartig war ich auf den Knien, hatte seine Hose auf und begannintensiv zu saugen und mit der Zunge zu spielen. Sofort bekam er eineErektion.”Nein, nein, hör sofort auf!”Beinahe widerwillig hörte ich auf.Peinlich berührt, und mit einem vorwurfsvollen Blick seiner Frau,brachte er sich wieder in Ordnung.”Entschuldigung. Ich wusste nicht, dass du so schnell sein würdest. Aberes zeigt gut das Problem.”Ich war erstaunt über mich selbst. Ich hatte reagiert wie ein Roboter.Nach einem Moment nachdenken sagte ich, “Ich bin selber erstaunt, mussich sagen. Aber ich möchte vorläufig keine Therapie. Ich denke, es gibtnicht allzu viele Leute hier, die mir befehlen, ihnen einen zu blasen.”Ich lächelte, um ihn zu zeigen, dass ich keinen Groll hegte.”Gut, wie Sie wollen. Aber denken Sie darüber nach. Vor allem, wenn Sieungewöhnliches Verhalten an sich feststellen. Beziehungsweise andereIhnen das sagen.””Wie- wie lange war ich hier, bevor ich zu mir gekommen bin?””Zwei Tage”, antwortete sie. “Mein Mann hat die ganze Zeit an Ihrem Bettgesessen, ist Ihnen nicht von der Seite gewichen.””Oh!””Auch wenn er dir ein paar Klapse auf den Po gegeben hat, denke nicht,das er so ist. Er ist ein herzensguter Mensch, sonst hätte ich ihn nichtgeheiratet. Nur manchmal ein bisschen wild.”##Damit könnte die Geschichte zu Ende sein – wenn nicht mein Stolz wäre.Ich hatte mir in den Kopf gesetzt, den verlorenen Schmuck wieder zubeschaffen.Ich dachte lange darüber nach, wie das gehen könnte. Klar, man könntedie Inhaber anzeigen. Aber das würde sicher zu nichts führen. Würde ertatsächlich gefunden werden – wenn überhaupt – bekäme ich ihn erst nacheinem Gerichtsverfahren. Und wie das ausgehen würde, war nach derBeweislage sehr zweifelhaft.Nein, ich musste ihn mir holen. Mit Gewalt? Ich konnte das sicherlichnicht. Und andere einzuweihen erschien mir fraglich. Nein, ich musste daalleine hinein. Aber das nutzte nichts. Ich wusste, wo die Wertsachenlagen. In einem Stahlschrank. Dort, wo ich mir selber die Handschuhe undStümpfe angeklebt hatte.Aber dort kamen neben dem Chef nur die herein, die wie ich dort bestraftwurden. Ein Plan begann sich in meinem Kopf zu formen…Die nächsten Tage bereitete ich alles genauestens vor. MaßgeblicherPunkt war Tinas Freund, der dort arbeitete. Als Aushilfe hinter der Bar.Aber egal, er war Angestellter.Ich traf ihn mit Tina zusammen im Stadtappartement. Ich zupfte dabeinervös an meinem Sommerkleid, das Tina ausgesucht hatte, und das ichgerade angezogen hatte. So leichte und luftige Sachen war ich nichtgewohnt. Es machte mich nervös.Ich wollte von ihm nicht in meiner Uniform begegnen, mit der ich dieVilla verlassen hatte und dann von dem Taxifahrer angestarrt wurde. Ichnatürlich mehr als Tina, die in Schwarz deutlich normaler aussah. Diepaar Meter über den Bürgersteig ließen auch etliche Passanten aufmerksamwerden. Nein, diese Uniform war nichts für außerhalb der Villa.Es war kein großes Problem, ihn zu überzeugen. Er hatte bereits selberVerdacht geschöpft, das etwas nicht stimmen konnte. Wir vereinbarten einweiteres Treffen, zu dem er Informationen besorgen würde.Zwei Tage später war ich wieder mit ihm zusammen, diesmal alleine. Ergab mir einen kleinen Schlüssel.”War es schwierig?”Er schüttelte den Kopf. “Hing an der Wand bei den anderen Schlüsseln.Sie glauben wohl nicht, dass jemand in den Raum mit dem Schrank kommt.Ich habe einen Nachschlüssel gemacht und das Original zurück getan.Niemand hat etwas bemerkt.”Nach einer Pause fuhr er fort, “Willst du das wirklich machen? Es istsaugefährlich.””Ja. Ich denke, es ist kontrollierbar. Ich werde ein paar Sachenanziehen müssen, aber nichts, was ich nicht schon anhatte. Hinein kommeich einfach, als gefasster Flüchtiger. Aber hinaus nur als Sklave.””Und wenn mehr Leute da sind, als du glaubst?””Am Vatertag? Nie und nimmer. Alle Männer machen etwas anderes, der Klubist geschlossen. Es gibt meine beiden Zimmerkollegen und eine derChefinnen. Niemand sonst. Es darf nur niemand Alarm geben.””Aber genau das ist der Punkt. Wie leicht kann das geschehen.””Warum sollten sie? Sie fesseln mich als Sklaven, das ist alles. KeinGrund für einen Alarm.””Ich hoffe, das stimmt.””Du kannst immer noch die Polizei rufen.””Und wenn ich auch Ärger bekomme?””Dann ist Tina noch da. Und als letzte Sicherheit hinterlege ich hiereine Nachricht, die man finden wird, kommen wir nicht zurück.””Ich hoffe nur, sie tun dir nichts an.””Ich weiß, was sie mit ‘Sklaven’ machen. Ich habe es gesehen.” Abernicht alles davon hatte ich ihm erzählt. Es war ziemlich demütigend. Undich würde wieder Latex auf meine Haut geklebt bekommen. Aber ganz tiefin mir auch eine Reizvolle. Ich war dem Bondage verfallen. Sonst hätteich mich nie auf diesen Plan eingelassen.##Ich stand mit Tinas Freund vor dem Lieferanteneingang. Um meineHandgelenke und vor meinem Mund war Klebeband. Die Chefin öffnete.”Die sucht ihr doch, oder? Ich denke, ich habe mir damit eine Belohnungverdient.”Ein Lächeln legte sich auf ihr Gesicht. “Oh ja, wir haben sie schonsehnlich vermisst.” Sie zerrte mich hinein.Kurz darauf war ich in dem Bad, in dem alles begonnen hatte. Siebefreite mich von den Klebebändern, nicht gerade sanft. “Ziehe dich ausund entferne die Haare. Wenn du nicht spurst, dann wird es dir schlechtgehen.” Damit ließ sie mich allein, um die weiteren Dinge vorzubereiten.Das würde sie sich kaum entgehen lassen. Mein Plan basierte darauf.Dann kam sie zurück und legte mir einen Keuschheitsgürtel an. Es war nunein richtiger Keuschheitsgürtel, wie ich ihn schon öfters in der Villagetragen hatte. Allerdings unterschied er sich in Details. Mein Peniskam nicht zwischen die Beine, sondern in ein vorne abstehendes Behältnisaus drei Millimeter dicken Eisenstäben. Zwischen den Stäben konnte manihn sehen. Eine Erektion würde darin ziemlich schmerzhaft werden. Aberich bekam keine Erektionen mehr, dank der Hormone.Ein weiterer Unterschied war, dass hinten kein Band zwischen denPobacken verlief, sondern zwei Ketten schräg darüber. Und insgesamt warer nicht so leicht und elegant, sondern ziemlich Mittelalterlich.So führte sie mich in den Raum, in dem der Stahlschrank war. Ich hattedamit gerechnet, denn nur hier gab es Schutzfolie und alles für dasflüssige Latex. Wie beim letzten Mal lag dort alles bereit, inklusivedem Topf. “Du weisst, was du zu machen hast!”Ich nickte demutsvoll. Demutsvolle Gesten konnte ich mittlerweile sehrgut und sehr überzeugend. Sie ließ mich nicht gerne allein, aber für dasFolgende brauchte sie Hilfe.Nun musste es schnell gehen. Ich zog den großen dicken Dildo aus meinemPo. Er war hohl und konnte geöffnet werden. Darin lag ziemlich verlorender Schlüssel. Schnell ging ich zu dem Stahlschrank und schloss ihn auf.Bingo. Jede Menge Gold und Edelsteine. Ich fand meine Ohrringe und dasHalsband. Alles andere tastete ich nicht an. Es gehörte mir nicht, undich hätte es nicht transportieren können. Ich schloss den Schrank wiederab und legte Schmuck und Schlüssel in den Dildo. Es fand gerade soPlatz, obwohl das Teil so dick war. Ich stöhnte gequält, als ich ihnwieder in meinem Po schob. Viel zu schnell, aber ich hatte keine Zeit.Schnell verteilte ich die schwarze Pampe auf meinen Beinen und zog dieStrümpfe an. Mit sehr gemischten Gefühlen. Wie schnell würde ich daswieder loswerden? Wieder erst in zwei Monaten? Mit einem entsprechendenGefühl im Bauch klebte ich Haube und Handschuhe an mich. Ich war geradefertig damit, da hörte ich die Tür.Sie kam mit meinem stillen Zimmerkollegen wieder. Darauf hatte ichgehofft. Er würde es mir so leicht wie möglich machen. Aber sie hattekeine Wahl, niemand sonst war da. Und sie wollte nicht warten. Es gingihr wie Tina, als sie mich im PVC einschloss, oder dem Pseudobutler. Siewollte das jetzt machen und keinesfalls mit anderen teilen. Ich sah dasFeuer in ihren Augen.Während ich fühlte, wie der Kleber sich mit meiner Haut verband, sagtesie, “Gut, du scheinst es ja begriffen zu haben. Nun kommt deine Strafe.Für die nächste Zeit lebst du als Sklave ohne Rechte.”Als ob das anders wäre als sonst, dachte ich. Ich war hier die ganzeZeit ein Sklave gewesen, nur jetzt würde man es deutlicher sehen.Es ging in einen der Spielräume. Als Erstes bekam ich eine Haubeaufgezogen. Ich hatte oft hier Hauben getragen, es war nichtsBesonderes.Diese umhüllte meinen ganzen Kopf, es gab nur kleine Löcher für Nase undAugen. Es war nicht einfach, sie darüber zu ziehen, das Latex war dick.Ein Penis aus Gummi schob sich tief in meinen Mund. An der Außenseitewar auch einer, der nun weit von meinem Gesicht abstand. Innen war einekleine Röhre, die an der Spitze mündete. Ich konnte nicht verhindern,dass aus dem Ende immer wieder Speichel tropfte. Natürlich würde einBeobachter an eine ganz andere Flüssigkeit denken.Was ich nicht wusste, war, dass die Haube innen beschichtet war. Sievulkanisierte gerade mit meiner anderen Kopfhaube. Sie würde nicht mehrzu entfernen sein.Dann wurde mir ein sehr breites Halsband aus Latex umgelegt. Es hülltemeinen gesamten Hals ein. Oben und unten war ein gepolsterter Wulst. Sienahm ein langes Metallband, zog eine Schutzfolie ein Stück ab, und legtees mithilfe meines Zimmergenossens um den Hals. Das Metall war geradebiegsam genug dafür und passte genau zwischen beide Wulste. Langsamwurde es in mehreren Windungen um meinen Hals gewickelt, dabei immerwieder ein Stück der Schutzfolie abgezogen.Sie erklärte mir dabei, “Unsere Autos werden nicht mehr geschweißt,sondern geklebt, weil das besser hält. Auch für dich nur das Beste. Duwirst gleich ein sehr stabiles Stück Stahl um deinen Hals haben.” Siewollte mir Angst machen, das war klar. Aber ich war im Banne meinesFetisches und war durch die Aktion erregt. Wie auch immer das wiederabgehen sollte, ich machte mir momentan keine Gedanken darum.Auf der letzten Lage stand groß “Sklave”. Außerdem waren rund um denHals mehrere Metallringe befestigt. Der Stahl war ziemlich schwer. Ichschätzte, dass ich an die zwei Kilo am Hals trug. Es war garantiert sehrstabil. Und ohne jede Öffnungsmöglichkeit. Ich bekam nun Bedenken. Hatteich doch zu viel gewagt? Würde man das wieder abmachen können, ohnegleich meinen Hals mit zu entfernen?”So, das muss ein paar Minuten abbinden. Dann geht es nie wieder ab. Dubist für immer ein Sklave.” Die Frau war verrückt, das war deutlich.Ich fühlte mich wie in einem Krimi, wo der verrückte Mörder in den Raumkommt.Nun wurden mir zwei Metallrohre über die Unterarme gestülpt. Sie hattenetwa einen Millimeter Wandstärke und passten gerade so über meine Hände.Am Ende war eine Art Sack aus Latex, in dem nun meine Hände waren. DieMetallhülse lag locker um meine Unterarme.Sie nahm eine Silikonpistole, mit der man sonst im Bad arbeitete. Durchein Loch in der Hülse begann sie den Inhalt hineinzupumpen. “Mache eineFaust.” Ich folgte dem Befehl.Das zähe Zeug verteilte sich um meine Hand und in der Hülse. Diese warbald völlig gefüllt. Nun blähte sich das Säckchen mit meiner Faust darinauf. Sie machte weiter, bis sich eine Kugel geformt hatte. Dann folgteder andere Arm. Nicht lange nachdem sie fertig war, fühlte ich, wie diedicke Pampe fest wurde. Bald konnte ich weder Finger noch Handgelenkbewegen. Noch ein paar Minuten später hatte ich zwei Hartgummibälle anmeinen Armen.”Lass locker”, befahl sie mir. Sie ließ den Arm los und er prallte aufdie harte Bank, nur um wieder sofort zurückzufedern. Wie einHartgummiball eben. “Sehr gut”, meinte sie, “keine Luft drin.”Ich betrachtete die großen Kugeln an meinen Armen. Um meine Fäustemussten mindestens zwei Zentimeter Gummi sein, an manchen Stellen auchdrei.Eine Kette wurde an meinem Halsband befestigt und ich wurde perFlaschenzug hochgezogen. Ich hing nur an meinem Halsbad in der Luft.Nun wurde mit ein Metall BH angelegt. Meine Brüste kamen in einähnliches Gefängnis wie mein Penis, ebenfalls aus 3mm Metallstäben. Ummeine Brust kamen zwei Metallbänder, wie um meinen Hals mehrmalsgewunden, nur das es nicht so dick wurde. Eines war oberhalb und einesunterhalb der Brüste und sicherten damit die Metallkäfige. Nun wurdeeine klare Plastikform auf meine Brust gestellt und wieder das zäheLatex hinein gepumpt. Dies durfte jetzt mein Zimmergenosse machen. Indie Formen passte einiges hinein. Als sie fertig waren, hatte ich zweiriesige Gummibrüste, mit einem Metallskelett innen. Um meine Brüste warnoch mehr Material als um meine Fäuste.Dann ging es eine Etage tiefer weiter. Ich bekam auf dieselbe Weiseeinen Gummipo samt runder Hüfte. Nur das hier das Gummi nicht so dickaufgetragen wurde, er bedeckte gerade die Kette vom Keuschheitsgürtel.Ich hoffte nur, mein Dildo würde nicht entdeckt.Vorne sah man nun die Metallplatte des Keuschheitsgürtels mit seinemPenisgefängnis, der Rest war in dickes Gummi gepackt.Dann bekam ich eine Art Kniestümpfe aus groben Gumminetz angezogen. Anden Knotenpunkten waren Noppen, so das meine Beine aussahen wie einIgel. Wieder kam eine Form darum, und mir wurden Schuhe gegossen. Alsdie Masse fest war und die Formen abkamen, war von dem Netz nichts mehrzu sehen. Auf den ersten Blick hatte ich kniehohe Ballettstiefel an, miteiner ziemlichen Materialdicke.Ich wurde heruntergelassen. Das Gummi reichte bestimmt vier bis fünfZentimeter über meine Zehenspitzen hinaus und lief recht spitz aus. DerAbsatz war natürlich nicht stabil und bog sich sofort weg, wenn erbelastet wurde. Ich konnte aber auch auf den Spitzen nicht richtigstehen, da sich das auch das Gummi vor meinen Zehen etwas bog. Genug, ummich instabil zu machen, ohne mich gleich stürzen zu lassen. Ich waraber praktisch ausschließlich mit meinem Gleichgewicht beschäftigt, undes war anstrengend. Lange würde ich das nicht aushalten.Als letzes nahm sie meine Arme hinter den Rücken und verband die Hülsenum meine Unterarme mit mehreren Schlössern. Als ob eines nicht gereichthätte. Aber es ging wohl um die dramatische Optik.”So, meine liebe Sklavin, du wirst bei meinen Kunden garantiert gutankommen. Sie lieben viel Gummi. Und in der Dicke ist es nicht soempfindlich.” Ein satanisches Grinsen war in ihrem Gesicht.”Dann können wir ja gehen.” Sie machte eine lange Kette an mein Halsbandund zog mich hinter ihr her. An der Tür gab sie meinen Zimmerkollegendie Kette, um aufzuschließen. Alle diese Räume hatten keine Klinken.Kaum war sie draußen, stürzte sie zu Boden. Ich sah Tinas Freundgrinsend dastehen, mit einer Holzlatte in der Hand. Als er mich sah,veränderte sich sein Gesichtsausdruck, das Grinsen fror ein. “Oh meinGott”, flüsterte er.Er war in der Zwischenzeit nicht untätig gewesen. In der Küche brodeltein einen riesigen Topf alles Öl, was er finden konnte. Daneben war eineleere Pfanne auf größter Flamme und schon beinahe rot glühend. Er hattenicht in den anderen Bereich des Klubs vordringen können, alles warverschlossen. Erst als die Tür geöffnet wurde, hatte er seine Chance.Und er hatte sie gut genutzt.Mein Zimmerkollege stand mit großen Augen da. “Hilf mir”, wurde erangeherrscht. Gemeinsam schleppten sie mich zum Lieferanteneingang. Siesetzten mich ab und holten die bewusstlose Frau, die sie etwa hundertMeter wegschleppten.Er nahm ihr den Schlüsselbund ab und sagte zu meinem Kollegen, währender ihm ihn in die Hand drückte, “Befreie deinen Freund. Ist sonst nochjemand da?”Er schüttelte den Kopf.”Beeil dich, wenn dir dein Leben lieb ist. Hier brennt gleich alles.”Er wandte sich Richtung Küche, aber drehte sich dann auf dem Absatzherum. “Besser, wir nehmen das Zeugs mit, das sie bei Michelle verwendethaben.” Er nahm einen der großen Kartons und tat die Sachen hinein, dieer für wichtig befand. “Das letzte Mal hatte sie das Zeugs für Monate ander Haut.”Nachdem der Karton im Hof war, ging er in Küche und schüttete einebereitgestellte Tasse Öl aus sicherer Entfernung in die heiße Pfanne.Sofort entzündete es sich. Er rannte aus der Küche, ehe der große TopfFeuer fangen konnte.Als er zu mir kam, waren gerade meine beiden Kollegen geflüchtet. Siewürden wohl nicht weit kommen in ihren Latex Dienstmädchenuniformen.Nun hieß es für uns nichts wie weg. Schwarzer Qualm kam aus der Küche.Schnell gehen ging verblüffend gut, das Gummi hatte keine Zeit, sich zuverformen. Und ich hatte so einen elastischen Gang. Ha.Wenige Meter weiter war das Auto geparkt, wo uns Tina erwartete. Siesagte nichts zu meinem Aufzug. Ich hatte sie auf ein extremes Aussehenvorbereitet. Mit großer Geschwindigkeit fuhren wir davon, während Tinadie Feuerwehr rief. Dann flog das alte Handy aus dem Fenster. Es warnicht einmal eine SIM-Karte drin.Soweit war alles nach Plan gelaufen. Ich hatte den Schmuck und meineRache, und niemand konnte mehr in die Falle laufen.Aber im Plan stand nicht, dass ich in Gummi eingegossen würde. Ichbrauchte einen neuen Plan..###Es war erst später Nachmittag, als Tinas Freund uns sehr schwunghaft aufdie Einfahrt brachte. Er war von den Geschehnissen etwas mitgenommen,hatte wohl noch nie ein Gebäude angezündet. Es war ja auch wie im Krimizugegangen, nur Gottseidank ohne Leichen.Niemanden war etwas passiert, sogar zwei Menschen befreit worden.Trotzdem war niemand glücklich. Ich denke, es war nicht einmal meineetwas prekäre Situation. Irgendetwas anders war nicht in Ordnung. Tinawar so komisch.Aber jetzt stiegen wir erst einmal aus. Ich nur mit Hilfe, mit denHänden auf dem Rücken ist das Aussteigen nicht ganz so einfach. Und dannlehnte ich mich auf Tinas Freund, was wieder einen merkwürdigen Blickauslöste. Was war los? Ich konnte in den Gummistiefeln nun einmal nichtgut laufen.Wir landeten in der Küche und ich saß mich hin. Auf dem hartenKüchenstuhl fühlte sich mein Gummihintern sehr merkwürdig an. Ich saßauch einige Zentimeter höher als sonst.Dann redete jeder durcheinander. Zuerst mit der Köchin, dann geselltesich der Butler dazu. Und dann kamen auch Madame und ihr Mann. Sie warwie immer die einzig Besonnene. Schnell sorgte sie für Ruhe.”Habt ihr den Schmuck?”Alle schauten erstaunt. Kein Wort über mein bizarres Aussehen. KeineFrage, was passiert war. Nur, was mit dem Schmuck ist.Mir war klar, wieso. Sie hatte den Brief gelesen, den ich zur Sicherheithinterlassen hatte. Dadurch wusste sie von unserem Vorhaben. Ich standauf und drückte eine der Gummikugel, die ich statt Händen hatte, anmeinen Po.Tinas Freund schaute ratlos, wie auch die meisten Anderen. Aber Madamebewies ihren messerscharfen Verstand. “Tina, hole den Dildo ausMichelle.”Ich hätte es bevorzugt, wenn das nicht vor allen Anwesenden passiertwäre. Aber Tina fand anscheinend nichts dabei, an meinem Poherumzufingern. Es dauerte etwas, bis sie das dicke Ding herausgebrachthatte. Ich seufzte erleichtert. Ich war Dildos mittlerweile gewohnt,aber ein so großer war doch sehr unangenehm. Tina spülte ihn mit vielWasser ab, was ihr einen vorwurfsvollen Blick der Köchin einbrachte.Dann holte sie Halskette und Ohrringe heraus. Madame und ihr Mannschauten sehr zufrieden, während die Anderen nicht so recht wussten, umwas es ging.”Gut. Alle wieder an die Arbeit, die Show ist vorbei. Sie”, sie deuteteauf Tinas Freund, “bringen Michelle bitte in die Bibliothek.”Dort waren wir kurz drauf. Nun untersuchten sie genau die mit meinemKörper verbundenen Gummiteile. Die Untersuchung zog sich hin.Sie brachte aber ein positives Ergebnis. Mit einem Bolzenschneiderwurden die kleinen Schlösschen and meinen Unterarmen gesprengt. Ichkonnte die Arme nach vorne nehmen. Mehr konnte momentan nicht gemachtwerden.Ich schaute die Kugeln an meinen Armen an. Es sah nicht so aus, alswürde das einfach abgehen. Die Metallhülsen um meine Unterarmeuntermauerten diesen Eindruck. Ich konnte fühlen, wie schwer sie waren.Um zu zeigen, dass massiver Gummi meine Fäuste umhüllte, ließ ich einenArm auf den Tisch fallen. Er prallte wieder hoch. Ich spürte an meinerHand nichts davon. Das musste ich noch mehrmals machen.Dann deutete ich mit einer Kugel über meinen Körper und dann zur Tür.”Muss sie mal?” fragte Tinas Freund.Madame wusste wie immer sofort Bescheid. “Nein, sie will sich im Spiegelsehen.”Ich wurde vor einen großen gebracht. Sofort fiel der Penis in meinemGesicht auf. In das Gesicht schaut man immer als Erstes. Es war absolutbizarr, so etwas aus meinem Mund ragen zu sehen. Immer wieder einmaltropfte etwas Speichel heraus. Der Teil in meinem Mund regte dieSpeichelproduktion an und ich konnte nicht verhindern, dass es tropfte.Der Penis war schon schlimm genug, aber diese Tropfen machten ihnunglaublich erniedrigend.Direkt danach ging mein Blick in den Schritt. Größtenteils war ich inschwarzem Gummi, und so stach die chromglänzende Platte umso mehrhervor. Und präsentierte damit meinen Penis in seinem extrem stabilenGefängnis. Jetzt wurde mir klar, warum Tina so komisch war. Ich wollte,dass sie niemals meinen Penis sah, und nun wurde er so präsentiert. Ichwar entsetzt. Ob sie noch meine Freundin war?Nun ging mein Blick wieder nach oben zu meinen gewaltigen Gummibrüsten.Weit standen sie nach vorne. Vorne waren zwei große Metallringebefestigt, an jeder Brust einer. Ich drückte mit einem Arm dagegen.Höchst stabil. Vermutlich konnte man mich daran hochziehen. Ich hattegar nicht mitbekommen, wann die dran kamen. Aber ich hing ja auch zu demZeitpunkt an meinem Halsband. Ich wollte mir lieber nicht vorstellen, zuwelchen Spielen sie dienen sollten.Damit richtete sich mein Blick auf den Hals. Neben den Unterarmen dasletzte silbern metallisch Glänzende an mir. Der breite Ring um meinenHals sah so stabil aus, so schwer er sich anfühlte. Ich begann mich zusorgen, ob das jemals wieder abgehen würde, oder ob ich den Rest meinesLebens mit dem großen Wort Sklave darauf leben müsste. Und demGeklimpere der dicken Metallringe, das sich zu dem an den Armengesellte.Mein Po sah fast normal aus. Ich war trotz des Wachstums dort keinerichtige Frau. Die zusätzlichen Zentimeter ergaben eine Rundung, dienicht ungewöhnlich aussah.Auch die Stiefel sahen für Ballettstiefel normal aus. Es fiel nicht insAuge, das es gar keine Stiefel waren. Höchstens die Materialstärke, dieman am oberen Rand sah, war ungewöhnlich. Ich ließ eine Handkugel daraufprallen. Weder an den Händen noch am Bein spürte ich etwas. Ich bekamAngst. Das war nicht nur unglaublich stabil, es war mit meiner Hautverklebt. Ich konnte mir nicht vorstellen, wie das jemals abgehensollte.Aber genau darum ging das Gespräch, als wir in die Bibliothekzurückkehrten. Tinas Freund erzählte, was er wusste. Ein Fernseher wurdeeingeschaltet und lief leise im Hintergrund, um die lokalen Nachrichtennicht zu verpassen.Er konnte natürlich nichts darüber berichten, was die Frau mit mirgemacht hatte. Aber er erzählte alles andere.Dann sagte Madame zu mir, “Ich begrüße es natürlich, dass du den Schmuckretten konntest. Und das der Klub nicht mehr existiert. Aber ich fragemich, ob der Preis nicht zu hoch ist. Es sieht so aus, als müsstest dueinige Tage so bleiben, vielleicht auch länger.”Der Arzt wurde angerufen. Mehr Leute wollte man erst einmal nichtinvolvieren. Obwohl ich den Gummi loswerden sollte, sollten das sowenige wie möglich wissen. Wenn ich gar mit dem abgebrannten Klub inVerbindung gebracht würde…Der Arzt konnte erst morgen kommen. Damit ging es für mich zurück in dieKüche, wo sich Tinas Freund verabschiedete.Tina bekam den Auftrag, sich um mich zu kümmern. Ihr wurde gesagt, dassich erst einmal so bleiben müsse, da die Sachen nicht entfernbar waren.Nun wurde sie richtig besorgt. Ihr eigentümliches Verhalten warvergessen.Als Erstes sagte sie zu mir, “Du musst trinken. Du weißt, dass du sonstProbleme bekommst.”Sie stellte eine kleine Schüssel verdünnten Fruchtsaft vor mich. Ichtauchte meinen Gummipenis hinein und saugte wie durch einen Strohhalm.Es ging erstaunlich gut. Verdursten würde ich nicht.Später erhielt ich so eine Suppe. Beinahe hätte ich mir den Mundverbrannt, sie war viel zu heiß.Tina umsorgte mich wie die sprichwörtliche Henne. Es war fast zu viel.Denn mir ging es nicht schlecht, eigentlich fühlte ich mich gut. DieBrüste und der Hintern waren nicht störend, von der Optik einmalabgesehen. In Ballettstiefeln war ich schon öfters gewesen. Ich konntemeine Hände zwar nicht benutzen, aber nichts tat weh. Ich vermutete, daswürde sich mit der Zeit ändern.Ich war froh, als ich endlich zu meinem Zimmer getragen wurde und Ruhehatte.##Der nächste Morgen brachte sofort die erste Erniedrigung. Ich konntemich zwar selber auf die Toilette setzen, mich aber danach nichtabputzen. Tina erledige es ohne Murren. Danach stellte sie mich unterdie Dusche und reinigte die wenige nackte Haut, die zu sehen war.Zum Frühstück gab es Kakao. Lecker, wenn auch wieder zu heiß. Durch dassaugen schien man die Wärme viel deutlicher zu fühlen.Und dann kam schon der Arzt. Er untersuchte die Gummiteile und war dannwirklich erstaunt. “Gut, als Erstes sorgen wir dafür, dass du wiedersprechen kannst.” Dann hieß es für mich völlig stillhalten, während ermit einem Skalpell rund um meinen Mund schnitt. Sehr vorsichtigdurchtrennte er die Latexhaube, ohne meine Haut zu verletzen, dieunmittelbar darunter lag. Nach längerer Zeit konnte der Penis aus meinemMund gezogen werden. Ich war wirklich froh, dass er nur in Saft undSuppe gewesen war, und nicht an wesentlich unappetitlicheren Stellen.”Oh, das tut gut”, waren meine ersten Worte, als ich mir denschmerzenden Kiefer rieb.”Gut, dann erzähle, wie es dazu gekommen ist und wie es befestigtwurde.””Sollte nicht besser Madame dabei sein? Dann brauche ich nicht alleszweimal erzählen.”Sie wurde gerufen und kam mit ihrem Mann. Ich erzählte die nächste Zeitin aller Ausführlichkeit, was geschehen war.Ich erfuhr dann, dass der Klub tatsächlich völlig abgebrannt war.Niemand war verletzt, außer einer Frau mit einer Beule am Kopf. Und eswaren zwei Männer in Latex-Dienstmädchenkostümen aufgegriffen worden,die damit in Verbindung stehen könnten.Nun, meine Rache war nicht perfekt. Ob die Frau belangt würde, warfraglich. Aber die Besitzer mussten mit dem finanziellen Verlustkämpfen. Ob der Klub wieder aufgebaut würde, war fraglich. Nach dem, wasman alles dort in den Ruinen finden würde, dürfte eine Genehmigungschwierig sein.Aber mehr konnte ich nicht machen. Ich wollte nicht damit in Verbindunggebracht werden und in die Öffentlichkeit kommen, als Mann mitweiblicher Figur und Brüsten. Ich wäre gebrandmarkt für mein restlichesLeben.”Meinen Sie, es geht wieder ab?” fragte ich besorgt.”Zuerst muss ich sagen, dass ich keinesfalls damit einverstanden bin,welches Risiko du eingegangen bist”, sagte Madame mit strenger Stimme.Ich zuckte die Schultern. “Ich bin Detektiv. Da gerät man schon einmalin brenzlige Situationen.””Trotzdem, das war zu viel. Es hat schlimme Folgen, und es hätte nochschlimmer kommen können.”Ich sagte nichts mehr, es hätte sie nur gereizt.Die Pause nutzte der Arzt. “Es sieht folgendermaßen aus: Die Haube istmit der Kopfhaut verklebt, aber anscheinend nicht im Gesicht. Die obereHaube können wir ausschneiden in der Form der Unteren. Dann istwenigstens dein Gesicht frei und man sieht deine Mimik. Ich gestehe, esist reichlich verstörend, mit einer schwarzen Kugel zu sprechen.Ich würde die Hände gerne röntgen, um die Lage der Hand zu sehen und obtatsächlich keine Hohlräume vorahnden sind. Dann können wir das Gummivorsichtig Schicht für Schicht wegschneiden. Es wird ziemlich aufwendigwerden. Für das Metall werden wir wohl einen Fachmann brauchen. DieArmhülsen sind weniger problematisch, weil viel Gummi darunter ist, aberdas Halsband dürfte ein echtes Problem sein.”Es wurde noch etwas diskutiert, ohne weitere Ergebnisse. Dann wurde meinGesicht freigeschnitten, was wegen der nötigen Vorsicht sehr langedauerte. Nun wollte mich der Arzt mitnehmen zum Röntgen, aber ich wollteso nicht gesehen werden. Wenigstens meinen gefangenen Penis sollte mannicht sehen können.Aber das war gar nicht so einfach. Mit meiner Oberweite passte mirnichts. Und mit meinem dicken Po und den Stiefeln kam eine Hose nicht inFrage.Schließlich endete ich in einem Latex Dienstmädchenkostüm. Es dehntesich gut genug, dass es über die Gummibrüste passte, und der Po war auchkein Problem. Tina konnte es nicht lassen und befestigte mit einemKlebestreifen ein Spitzenhäubchen auf meinem schwarzen Kopf.##Das ist nun ein Vierteljahr her.Es dauerte lange, bis ich alles los war. Der Doktor warnte mich, soschnell nichts wieder auf meine Haut zu kleben, dieRegenerationsfähigkeit war erst einmal erschöpft. Ich versicherte ihm,dass ich das nicht vorhatte.Dann war da das Halsband. Es war unglaublich stabil.Jeden Tag wurde mit einer kleinen Elektrosäge daran gearbeitet, aber dasMetall wurde schnell zu heiß. Die Kerbe wuchs nur langsam.Doch endlich kam es ab und mein Dasein als ‘Sklave’ war beendet. Ich warwirklich froh, dass ich mich wieder sehen lassten konnte. Das WortSklave auf dem Halsband war ja nur ein Teil der Demütigung, die damitverbunden war. Da es meinen kompletten Hals bedeckte, war es kaum zuverbergen. Und so ein martialisches Teil, mit den daran hängendenRingen, sah schon ohne Aufschrift schlimm aus. Dadurch, dass ich jedemaus dem Weg gehen musste, kam ich mir wirklich wie ein Sklave vor. Derspaßigste Teil war noch Tinas Faible für Schlösser, die sich so einfachan den Ringen befestigen ließen… Aber ich konnte ihr nicht böse sein.Dann stellte sich die Frage, was nun passieren sollte. Ich hatte michmit Tina immer mehr angefreundet. Sie hatte ihren ersten Schock übermeinen Penis überwunden und betrachtete mich nun als ihren Freund undFreundin in einer Person. Langsam schien auch etwas wie Liebe ins Spielzu kommen.Ich beschloss, erst einmal bei ihr zu bleiben. Mal sehen, was sichdaraus entwickeln würde. Aber sie wollte eine Ausbildung machen, und ichwollte aus diesem Zimmer, in dem ich keine Privatsphäre hatte.Beides wurde gelöst. Ich bekam von Madame die Einliegerwohnungangeboten. Nicht groß, aber für mich allein fast zu groß. Und Tina bekameine Lehrstelle im Haus. Die Frau, die ich so selten gesehen hatte, warHauswirtschafterin und durfte ausbilden. Sie hatte sich von einerKrankheit erholt und war nun wieder gesund.Tina und ich zogen gemeinsam in die Wohnung. Es war die von MadamesVater, die ich ganz zu Anfang untersucht hatte, und der nun im sonnigenFlorida lebte.Vor einer Woche ging ich ins Krankenhaus. Nun erinnerte nur noch eindünner Verband daran, dass zwischen den Beinen einmal ein Penis gewesenwar.Ich betrachtete den Vertrag in meinen Händen, der nur noch meineUnterschrift benötigte. Ein ganz normales Lehrlingsgehalt stand darin,aber um Geld ging es nicht – ich war sehr gut verorgt mit der Apanage.Ich nahm einen Stift und unterschrieb. Nächste Woche würde damit meinerstes Lehrjahr beginnen, zusammen mit Tina.—Das Ende? Beinahe. Einige Wochen früher:”Was ist denn das wieder für ein Mist?” schimpfte der Gärtner, als ereinen großen Karton in einem Gartenhäuschen fand. Hatte etwa jemand seinDepot an Alkoholika entdeckt? “Hmm, das sieht aus wie eineSilikonspritze, aber ohne Beschriftung? Und was ist all das schwarzeZeugs?” Staunend zog er einen langen schwarzen Latex-Handschuh hervor.”Und das ist aufgerolltes Blech?”Er hatte ja schon einiges gesehen, zum Beispiel gefesslte Dienstmädchenin durchsichtigen Röcken. Die Leute in diesem Haus waren schräg. Obwohler damit nichts zu tun haben wollte, fand er den Anblick überauserotisch.Aber er bekam ja kaum etwas mit. War einmal etwas interesantes zu sehen,wurde er sofort weggescheucht. Das stank ihm schon lange.Plötzlich fiel ihm etwas ein. “Das Mädchen, Michelle. Sie hat dochtagelang laut geredet. Das war garantiert kein Theaterstück, wie man mirerzählen wollte.”Er strengte seien Kopf an. “Das Zeugs hier passt zu dem, was sie erzählthat.” Da war doch dieser abgebrannte Klub? Mal sehen, was da inErfahrung zu bringen war…–Breitschaft. Hmm, ich hätte mich doch nicht auf diese Lehre einlassensollen. Alle waren weg. Tina war bei ihren Eltern, Madame machte mitihrem Mann einen Wochenendurlaub, und deswegen hatten alle frei. Außermir. Da ich keine anderen sozialen Kontakte hatte – oder wollte, meinealten Freunde würden mein Aussehen kaum verstehen – blieb mir nichtanderes, als hier zu bleiben. Und das bedeutete, dass ich das Haus hütenmusste. Was sich Bereitschaft nannte. Also Uniformpflicht. So langsamkonnte ich rosa nicht mehr sehen.Es war ein halbwegs schöner Vormittag, also beschloss ich, ein Buch imGarten zu lesen. Ich bemerkte so kaum, dass auf einmal der Gärtner vormir stand.”Auf die Knie, Schlampe!”In Bruchteilen einer Sekunde war ich auf den Knien, das Buch flog dabeifort.”Klasse, es funktioniert!”, sagte er leise zu sich selbst. “Die Herrinhat die Wahrheit gesagt.” Dann gab er mir ein Paar Handschellen. “Duweisst, was du zu tun hast!”Sofort legte ich sie mir um die Handgelenke. Erst führte ich den Befehlaus, dann sagte mir mein Verstand, dass das nicht richtig war. Aber dieautomatische Reaktion war schneller.”Prima. Jetzt gehe voraus in das Gartenhäuschen.”Dort angekommen, zeigte er auf einige Sachen auf dem Tisch. “Du weisst,was das ist?””Ja, Latexhandschuhe- und Strümpfe, und eine Haube. Das sieht aus wieein Latexbody und das dort der Kleber, mit dem es auf der Haut befestigtwird.””Richtig. Ziehe dich aus.”Ich zögerte.”Du magst doch Bondage?”Ich nickte.”Schau mal, was ich hier habe.” Es war der Keuschheitsgürtel mit demPeniskäfig vorne. “Und so etwas landet im Müll.” Er schüttelte den Kopf.”Du hast doch eine viel bessere Verwendung dafür?”Ich zögerte nur einen winzigen Moment, dann griff ich danach. Er zog esweg. “Erst ausziehen.”So schnell es ging, zog ich mich aus. Zuletzt öffnete er das Korsett undentferne es. Auch meine Perücke kam ab, meine in der kurzen Zeit nochnicht sehr lange gewachsenen Haare zeigend.”Soso, du bist also wirklich ein Mädchen. Dann habe ich wohl falschgehört, dass du ein Mann bist. Sag mit die Wahrheit!” fuhr er mich an.”Ich war ein Mann. Jetzt bin ich operiert und offiziell eine Frau.””Also wirklich ein Perverser. Dann sorgen wir dafür, dass du wieder alsMann zu erkennen bist. Steck das in deine Muschi!”Es war ein fleischfarbener Doppeldildo aus weichem, biegsamenKunststoff. Ich hatte ja schon einige in meinem Po geahbt, aber meineVagina war noch ganz neu. Langsam führte ich ihn gehorsam ein. Dann sahes so aus, als ob ich einen Penis ohne Hoden hätte. Für mich keinbefremdlicher Anblick, denn ich sah ja wirklich einige Zeit so aus.Er hielt mir den Keuschheitsgürtel hin, und ich legte ihn kommentarlosan. Klick! Eine wohlige sexuelle Erregung erfasste mich, denn das Teilwar ja überaus massiv. Es ließ ich damals nur wegen des sehr einfachenSchlosses schnell entfernen. Ich stöhnte leise.”Du magst das, was? Ich habe gesehen, warum das Teil in den Müllwanderte. Das Schloss taugt nichts. Dann ist es ja kaum ein richtigerKeuschheutsgürtel, nicht wahr?”Ich schüttelte verwirrt den Kopf. Ich konnte nicht klar denken. Ichmerkte, dass etwas nicht stimmte, aber das mit dem Keuschheitsgürtel warja OK – ich hatte die meiste Zeit einen getragen.”Gut, dann werden wir das verbessern. Lege dich auf den Tisch auf denBauch.”Ich legte mich auf die Latex-Sachen. Er nahm ein Teil in die Hand, daswie zwei aneinander geklebte Spritzen aussah. Die Enden gingen Y-förmigzusammen und endeten in einer Düse.”Zweikomponentenkleber. Wird hart wie Stahl. Ist aber vor dem Aushärtendünnflüssig, so dass es überall hinfließen kann.”Ich spürte, wie er die Spitze in das Schloss drückte. Dann roch icheinen scharfen Geruch.”So, das Teil geht wohl nie wieder ab. Genau das Richtige für einenPerversen wie dich. Denn nun sieht jeder, dass du ein Perverser bist.”Ich wusste, dass das nicht gut war. Trotzdenm spürte ich eine starkeErregung. In meinem Kopf drehte sich alles. Nun spürte ich, wie sich derMetalldildo in meinen Po schob und einrastete. Noch ein Erregungsschub.Ein schon fast überwunden geglaubter Zustand machte sich in mir breit:Ich fühlte, wie ich in einen Zustand andauernder Unterwürfigkeit geriet.Plötzlich ging die Tür auf. Ein mir sehr bekannte Stimme sagte, “Ah, daist ja meine Sklavin! Und auch schon passend gekleidet!” Es durchzucktemich eiskalt. Die Frau aus dem Klub! Ungefragt ließ ich mich auf dieKnie fallen, um sie friedlich zu stimmen. Ich hatte gegen Befehleverstossen und würde nun bestraft werden.”Herrin! Endlich!””Ist niemand da?””Nein, wie erwartet.””Gut, dass ich noch rechtzeitig komme. Das Zeuges brauchen wir nicht.”Sie deutete auf die Latexsachen. “Normalerweise lasse ich ja meinenSklaven etwas freie Haut, weil das angeblich nötig ist. Michelle mag esaber lieber, wenn sie völlig eingschlossen ist. Nicht war, Michelle?”Unwillkürlich nickte ich.”Un was passiert mit den Sachen?”, fragte der Gärtner, auf dieLatexsaxhen deutend.”Keine Sorge, dafür habe ich gute Verwendung. Wie hat dir mein Schnapsgeschmeckt?”, fragte sie den Gärtner.”Sehr gut.””Das freut mich. Dann hast du auch meinen Befehl befolgt, und hast deineHaare entfernt?””Jawohl, Herrin. Alles unter den Augen. Auch wenn ich nicht weiß,warum.””Du wirst es erfahren. Aber zuerst müssen auch die Kopfhaare weg.”Er erschrak. “Herrin, warum?””Schweig! Auf die Knie!”Er folgte zögerlich.Plötzlich war sie ganz sanft. “Sehr schön, meine Lieben. Zur Belohunungbekommt ihr ein Leckerli.” Sie holte einen Flachmann hervor und gab unsjeweils ein Gläschen. Das Zeugs schmeckte zwar süß, aber hinterließ einbitteres Gefühl im Mund.Dann grinste sie uns an. “Das Zeugs ist wirklich klasse. Macht einbefreundter Arzt für mich.” Ihr Grinsen verstärkte sich. “Er wäre sonstberuflich erledigt gewesen. Ist natürlich absolut i*****l, aber wenstört das schon?”Plötzlich wurde mir heiß. Ich spürte, wie mir das Blut ins Gesichtschoß.”Ah, ich sehe, die Wirkung setzt ein. Wäre ja vielleicht gar nicht nötiggewesen, aber so geht es viel einfacher.” Sie zeigte auf den Gärtner.”Warum bist du noch angezogen?”Blitzschnell zog er sich aus, mit einem leeren Gesichtsausdruck.”Gut. Alle Nicht-Frauen müssen einen Keuschheitsgürtel anhaben, das weißMichelle schon. Großzügig wie ich bin, habe ich einen mitgebracht.Michell weiß, wie das geht. Lege ihm ihn an!”Ich war nicht so weggetreten wie der Gärter, vielleicht, weil ich an diePsychomittelchen schon gewöhnt war. Kurz darauf sah er genauso aus wieich, außer das in dem Metallkäfig ein echter Penis war.”Soll ich es auch versiegeln wie bei mir?”, fragte ich.”Versiegeln? Was meinst du damit?”Ich erzählte ihr, dass der Gärter das Schloss als Schwachstelleausgemacht hatte und es mit Zweikomponentenkleber versiegelt hatte. Ichzeigte ihr die Doppelspritze, nur darum besorgt, alles für meine Herrinzu tun.”Das ist ja eine hervorragende Idee! Versiegele das Schloss!”Wieder machte sich ein stechender Geruch breit.”Sehr gut. Und jetzte rasiere seine Kopfhaare, dann deine eigenen. Erist noch nicht soweit, etwas selbst machen zu können.”Etwas später hatten wir beide eine Glatze und waren auch sonst praktischhaarlos.Wieder legte sich ein breiten Grinsen in ihr Gesicht. “Sehr schön. Essind übrigens gleich zwei Probleme gelöst, nicht nur das Schloß. Dennich bin mit der Haltbarkeit des Hautklebers nicht sehr zufrieden. Ichhabe eine deutlich verbesserte Version. Wir leben ja in dem Zeitalterder Nanoteilchen. Habe ich doch gehört, dass Cremes damitgesundheitsschädlich sein sollen, weil die Partikel zu tief eindringen.Aber das ist ja genau das, was wir alle wollen, nicht wahr?”Der Gärtner sah nur stumpf vor sich hin, während ich ein “Ja, Herrin”hervorbrachte.”Prima, dass wir einer Meinung sind. Michelle, du bist ja kein Mannmehr, das ist sehr gut. Wenn du auch etwas zickig bist, und mir meinenKlub kaputt gemacht hast. Aber du weisst ja noch, wie Männer gekleidetsein müssen.”Wortlos nahm ich die Latexstrümpfe und ging zu dem Gärter.”Pass auf, dass du den neuen Kleber nimmst!”Ich schmierte das schwarze Zeugs auf seine Beine und zog ihm die langenLatexstrümpfe an. Dann die Handschuhe und die gesichtsoffene Haube. Nunsah er genauso aus wie ich einmal zwei Monate lang.”Sehr schön. Nun sieht er schon deutlich angemesener aus. Und diesmalbleibt das auch so. Aber du fröstelst ja, Michelle”, sagte sie mitgespieltem Mitgefühl.Tatsächlich hatte ich eine Gänsehaut. Nach der Hitzewelle wurde mir nunkalt. Auch bei dem Gärtner tat sich etwas, er schaute nicht mehr ganz soteilnahmslos und strich sich mit den Handschuhen ungläubig über dieBeine. “Aber ich mag das doch garnicht”, murmelte er leise.”Keine Sorge, das wird sich ändern. Und wenn nicht, auch egal. Du wirstnie wieder anders aussehen. Michelle, möchtest du etwas zum Anziehen?””Ja bitte, Herrin.””Und was ist die richtige Kleidung?””Latex?””Brav, meine Kleine. Ich habe hier einen wunderschönen Catsuit. Aber wasmusst du vorher machen?””Den Kleber auf die Haut machen?””Sehr schön. Du hast die Hände sowieso noch voll damit.”Ich schmierte mich von Kopf bis Fuß mit dem schwarzen Zeugs ein, nur dasGesicht frei lassend. Lediglich auf dem Rücken kam ich nicht überallhin, das erledigte widerspruchslos der Gärtner.Dann gab sie mir den Latex-Catsuit. “Du weißt, was passiert, wenn du ihnjetzt anziehst?””Ja, Herrin. Er geht nie wieder ab.””Gut. Dann ziehe ihn in vollem Bewusstsein dieser Tatsache an.”Ich nahm den Catsuit in die Hand. Wieder einmal hatte ich dieseselektrisierende Gefühl. Hätte ich noch einen Penis, hätte ich eineErektion.Als ich die Füße in den Catsuit steckte, kam mir das wie ein speziellesBondage vor. Ich zog das Teil hoch und die Erregung stieg. Der Catsuitwar schrittoffen, so dass man die Metallplatte des Keuschheitsgürtelsah, zusammen mit dem falschen Penis in seinem Stahlgefängnis. Dannsteckte ich die Arme in die Ärmel und zog schließlich die Haube über denKopf. Dann zog ich alles sorgfältig glatt.”Der Rücken ist noch offen, Herrin.””Ja, es gibt keinen Reißverschluss. Und warum?””Weil ich ihn sowieso nie wieder ausziehen kann?””Richtig, mein Latexpüppchen. Warum ich dich Püppchen nenne? Du hasteine so kleine Taille wie eine Barbie-Puppe.” Sie wandte sich an denGärtner. “Klebe den Einstieg zu. Hier ist Vulkanisiermittel. Und machees ja sorgfältig, es is für immer und soll deshalb gut aussehen.”Ich fühlte, wie er in meinem Rücken arbeitete. Stück für Stück arbeiteteer sich vor und strich alles immer wieder sorgfältig glatt. Schließlichwar er fertig.Sie inspizierte das Werk. “Sehr gut! Man sieht die Naht praktisch nichtmehr. Michelle, du kannst wirklich zufrieden sein mit deiner neuen Haut,mein Gummipüppchen. Und warum bist du nun ein Gummipüppchen?”Ich schaute sie fragend an und sagte nichts.”Weil du meine Sklavin bist. Das habe ich die ja bereits bei unseremletzten Treffen gesagt. Aber was fehlt dir, damit man deinen Statussofort sieht?””Ein Sklavenhalsband?””Richtig. Natürlich braucht ihr beide eines. Und ich habe mich gutvorbereitet. Es ist ja unglaublich, was es heutzutage an neuartigenMaterialen gibt. Das letzte Halsband von Michelle war noch aus einfachemEdelstahl, aber ich habe keine Mühen gescheut um die beste Legierungaufzutreiben. Die ist mindestens so hart wie jede Metallsäge.”Sie wies den Gärtner genau an, was er machen musste. Und er tat es miteiner geweiisen Befriedigung in seinem Gesicht. Er musste doch wissen,dass er gleich selbst an die Reihe kam?Jedenfalls wurde mir der Hals des Catsuits mit Kleber eingeschmiert unddann das Teil mit den zwei Wülsten übergeszogen. Es war nicht einfach,es über meinen Kops zu bekommen. Dieses schien noch breiter zu sein alsdas letzte.Und dann wurde wieder ein Metallband darumn gewickelt. Es war dünner,aber doch viel sperriger. Deshalb gab es mehr Lagen. Nach längerer Zeithatte ich wieder ein Sklavenhalsband, das noch mehr Ringe als das anderehatte. Und das Wort Sklave war knallrot. Zusätzlich stand vorne inkleiner Schrift: “Immer anketten!”Die Ringe klimperten nun bei jeder Bewegung.Nun war der Gärtner an der Reihe. Erst jetzt wurde ihm klar, was da aufihn zukam. “Aber Herrin…”, stotterte er.”Wer hat dir erlaubt zu reden? Ich sehe, dass man Sklaven nicht ohneKnebel lassen kann. Michelle, lege ihm einen Knebel an.”Er wollte protestieren, aber ich hatte reichlich Erfahrung mit Knebeln.In kürzester Zeit hatte er den roten Gummiball im Mund und ich hatte dieRiemen um seinen Kopf befestigt. Dann sicherte die Herrin das Ganze miteinem Schloss.Ungläubig fasste sich der Gärtner an seinen Mund.”Viel besser. Michelle, was habe ich eben über meine Sklaven gesagt?””Dass alle einen Knebel tragen müssen?””Richtig, mein Gummimädchen. Aber ich habe für dich etwas besseres.Damit deine Schönheit nicht durch so einen Ball gestört wird, sondernalles einheitlicher wird. Mache diese Dose auf.”Ich tat es und fand dort eine Art Zahnprothese, aber in schwarz. Ichnahm sie heraus und stellte fest, dass sie aus Gummi war. Es gab einoberes und ein unteres Teil. Das obere sah aus wie eine gewöhnlicheProthese, mit einem Halbrund aus Gummizähnen und einer Gaumenplatte.Darauf war eine kleine Erhebung, die wie eine winzige Pfeife aussah. Dasuntere Teil hatte zusätzlich einen genoppten Gummisack, der wohl für dieZunge war.”Hier ist permanenter Zahnkitt. Hält bei meiner Krone seit zwanzigJahren. Du weisst, was du zu tun hast.”Wieder ergriff mich diese seltsame Erregung, der ich schon einiges anUngemach zu verdanken hatte. Aber ich konnte mich nicht dagegen wehren.Erst recht nicht nach der neuen Dosis Drogen.Die Herrin beobachtete genau, wie ich die zwei Komponenten des Kittsmischte und beide Prothesen damit sorgfältig einstrich. Dann nahm icherst das obere Teil und drückte es auf meine Zähne, dann folgte dasuntere Teil, bei dem ich meine Zunge in den Gummisack tat.”Sehr gut. Jetzt sehr feste zubeißen!”Ich tat es. Es fühlte sich merkwürdig an, dass meine Zähne nun von etwaselastischen umschlossen waren. Und ich konnte meinen Mund nicht mehrganz so weit schließen, aber es waren nur wenige Millimeter.”Mach den Mund wieder auf.”Ich tat es, und sie sah hinein. “Sehr schön, alles schwarzer Gummi, wiees sich für ein Gummipüppchen gehört. Sage etwas.”Ich folgte dem Befehl, aber es kam ohne eine bewegliche Zunge nurunverständliches Lallen heraus.”Prima. Wo wir gerade bei deinem Kopf sind, können wir auch gleich nochdie Haube aufsetzen.”Haube – Ich hatte doch schon eime auf dem Kopf? Aber das Gesicht war janoch frei, und ich war mir nun sicher, dass sie mich wirklichvollständig in Gummi einschließen wollte. Ich war jetzt so erregt, dassich es kaum erwarten konnte. Ganz in Latex, welch tolle Idee!Dieses Mal musste ich mir erst das Gesicht mit dem Kleber einschmieren.Der Gärtner hatte ihr genau erzählt, was er gehört hatte. Noch einmalsollte es nicht möglich sein, das Gesicht mit einem Skalpellfreizuschneiden. Dann zog sie aus einer Latex Haube innen eineSchutzfolie und zog sie mir über de Kopf. Mir war klar, was dasbedeutete. Gleich würde sie mit den Catsuit vulkanisieren und unlösbarmit meinem Kopf verbunden sein, und zusätzlich mit meinem Gesichtverklebt. Es verpasste mir eine neue Dosis Erregung.Die Haube hatte Öffnungen für Augen, Nase und Mund. Am Mund ging sie umdie Lippen herum bis in die Mundhöhle. Nachdem alles saß, öffnete ichprobeweise den Mund. Es ging relativ problemlos. Nur die Lippen warenetwas gefühllos. Mein Kopf war außer den Augen völlig schwarz, und auchwenn ich den Mund öffnete, änderte sich das nicht. Nun spürte ich, wieder Kleber anzog. Ich hatte kein Gesicht mehr, nur noch eine schwarzeKugel.Die Herrin war sehr zufrieden, als sie mich genau betrachtet hatte. “Dasist perfekt für eine Sklavin. Für eine Sexsklavin, sollte ich sagen.Niemand sieht ein meschliches Wesen, und dein Mund taugt mit den Noppenauf der Zunge nur noch für eine Sache, denn Sprechen kannst du niewieder. Das ist ja auch völlig überflüssig für jemanden wie dich.”Der Gärtner hatte sich etwas zurückgeszogen, wohl in der Hoffnung, dassihm weiteres erpart blieb. Aber keine Chance. Nun musste ich ihm einHalsband anlegen. Das war richtig Arbeit, und mir wurde in meinerLatexhaut ziemlich warm. Aber einige Zeit später sah sein Hals genausoaus wie meiner. Er hatte es sich zwar gefallen lassen, sah aber nichtgerade glücklich aus. Ohne die Drogen wäre er wohl ausgerastet.Die Herrin entdeckte eine Gänsehaut, da sein Torso ja unbedeckt war.”Oh, du frierst ja. Aber ich sorge gut für meine Sklaven und habe diepassende Kleidung.”Er hatte wohl mit etwas üblen gerechnet, schnaubte beim Anblich derLatex-Dienstmädchenuniform doch durch den Knebel. Aber es half nichts.Wenig später hatte er sie an, zusammen mit Latex-Stiefelchen mit hohenAbsätzen und natürlich einem Spitzenhäubchen, auf seinen schwarzen Kopfgeklebt. Mit krummen Beinen stand er nun da und schaute auf seinen weitausgestellten Rock, sichtlich keine hohen Absätze gewohnt.Mit seinem kräftigen Körperbau und ohne Brüste sah er aus wie eineKarikatur. Das war ziemlich erniedrigend, zumal man ja sein Gesichterkennen konnte. Und das alles, wo er diese Dinge überhaupt nichtmochte. Aber warum hatte er sich auch mit dieser Frau eingelassen?Selber schuld. Ich hatte kein Mitleid, da er mich auch noch verratenhatte.So war es mir fast eine Genugtuung, als ich ihm sine Beinkette anlegenmusste. Nun war seine Schrittlänge auf 30cm reduziert, was ihn wegen derungewohnten Absätze fast völlig bewegungsunfähig machte.Aber damit war es noch nicht vorbei, das war mir klar. Meine Hände undFüsse waren ja noch unbedeckt. Sie nahm eine lange Kette, legte siezweimal um einen dicken Balken, und machte je ein Ende an unserenHalsbändern mit einem Schloss fest.”Ich muss nur noch ein paar Sachen holen. Wartet auf mich”, sagte siespöttisch.Als sie zurück kam sah ich, was sie für mich im Sinn hatte. Ich mussteein Paar Latex Hufstiefel anziehen, die natürlich auch festgeklebtwurden. Sie waren wie Stiefel mit sehr hohen Absätzen, nur ohne Absätze,statt dessen mit einem echten Hufeisen unter der Sohle. Mein Fuß ähneltenun verblüffend einem Pferdefuß.Als ich dann aufstand, konnte ich erstaunlich gut laufen. Die Hufeisengaben mit ihren großen Flächen guten Halt, auch wenn es keinen Absatzgab. Da war ich ganz anderes gewohnt.Und dann kamen meine Hände an die Reihe. Bald hatte ich auch dort Hufe.Das Ganze war wie seinerzeit die Kugeln gemacht, meine Hände waren indickes Gummi gegossen. Nur die Form war jetzt anders, eben wie ein Huf,und auch mit einem Hufeisen daran. Und die Innenkonstruktion war diesmalaus Metall. So konnte man es nicht mehr abschneiden.”So, mein süßes Gummipony, gleich sind wir fertig. Dann bist du das, wasjeder Mann ist: Ein dummes Tier. Denn nur Menschen können sprechen oderschreiben. Und dumme Ponys muss man am Weglaufen hindern. Die Cowboysmachten das mit einem Strick um die Vorderbeine, aber ich habe natürlichbesseres.”Nun bekam ich auf die selbe Weise wie das Halsband je ein Band umHandgelenke und Füße. Dann wurden die beiden Fußschellen mit einerkurzen Kette durch Schlösser verbunden.”Als letzter Schritt das Zaumzeug.”Um den Oberkörper bekam ich ein stabiles Harness aus dickem, steifenLatex, das meine Brüste betonte. Und dann Zaumzeug um den Kopf, wobeiich eine Trense zwischen meine Gummizähne nehmen musste. Jetzt wunderteich mich auch nicht mehr über die vielen Ringe an meinem Halsband, durchdie nun das Zaumzeug lief, inklusive der Zügel zu meiner Trense. Zuletztkam der Dildo aus meinem Po, ersetzt durch einen, an dem ein langerPferdeschwanz befestigt war. Wieder ging mir das Klick durch Mark undBein.Nun war ich aufgezäumt wie ein Pony, mit Scheuklappen und einemFederbusch auf dem Kopf. Mit Hufen statt Händen und Füßen. Vollständigin Latex gehüllt, selbst im Mund. Und alles außer dem Zaumzeug wardauerhaft an mir befestigt. Es schein undenktbar, dass das wiederabging. In meinem Zustand fand ich es klasse, es elektrisierte mich.”Und du, mein süßes Gummipony, bekommst eine Aufgabe. Reden kannst du janicht mehr, das wäre ja auch völlig unangebracht für ein Pony. Aberwiehern. Oben in deinem Mund ist eine kleine Pfeife. Wenn du Luftdadurch drückst, ertönt ein Ton. Probiere es.”Mit der kaum beweglichen Zunge war es nicht einfach, aber ich hörte dannein Pfeifen.”Gut, du übst jetzt laufend, bis sich das wie ein Wiehern anhört. Dannwirst du nie wieder ein anderes Geräusch von dir gegen als wiehern,klar?”Ich nickte. War ja ganz klar, dass ich nur noch wiehern konnte. Undbegann zu üben.Sie wandte sich an den Gärtenr, der noch immer an dem Balkenfestgekettet war. “Da ist ein Karabiner, mache das Pony an der Kettefest. Ein Schloss brauchen wir da nicht, denn Ponys haben ja keineHände, um sich loszumachen.”Er beilte sich, dem Befehl folge zu leisten. Deutlich war die Angst inseinem Gesicht zu lesen, noch mehr erdulden zu müssen. Noch war seineUniform entfernbar, das wollte er nicht aufs Spiel setzen. Nicht,nachdem er gesehen hatte, was sie mit mir gemacht hatte. Und natürlichwar er unter dem Einfluss der Drogen, wenn er auch nicht mehr soapathisch wirkte.”So, und nun verklebe sorgfältig das Zaumzeug. Alles außer den Zügeln.Gib dir viel Mühe, sonst wirst du am eigen Leib erleben, wie das gemachtwerden muss. Ich werde es genau kontrollieren, wenn ich zurück bin.”Damit ging sie.Er zitterte tatsächlich, als er das Vulkanisiermittel nahm. Sehrsorgfältig begann er Harnes und Zaumzeug auf meinen Catsuit zu kleben.Ich war noch hoffnungsloser eingeschlossen, und würde mich wohl an denFederbusch auf meinem Kopf gewöhnen müssen.Obwohl ich meinte, alles normal zu erleben, war das natürlich nicht derFall. Die Aussicht, auf unabsehbare Zeit ein Latex Ponygirl zu sein,schockte mich überhaupt nicht, eher im Gegenteil. Ich empfand eine immermehr gesteigerte Erregung. Nur zu schade, dass es keinen Spiegel gab,ich hätte mich gerne gesehen. Was mir nicht klar war, dass nach jedemHype der Kater garantiert folgen würde. Durch die Drogen war ich wie imRausch, eine tolle Fantasie erlebend.Und eigentlich wollte ich immer mehr, wollte nicht, dass der Rauschendete. Momentan war das dadurch sichergestellt, indem Riemen nachRiemen verklebt wurde. Und das mein Wiehern immer realistischer klang.—Es dauerte einige Zeit, bis sie zurück kam. “Ich habe doch noch etwasholen müssen. Ich wollte ja eigentlich, dass dein Gesicht zu sehen ist,damit jeder sieht, was dieser Gärtner tatsächlich ist. Aber eigentlichist es viel besser, wenn man dich nicht erkennen kann. Das ist dochrichtig, mein Pony?”Ich wieherte zustimmend. Alles, was die Herrin sagte, war richtig.”Oh, das hört sich ja schon sehr gut an”, lobte sie mich. Dannstreichelte sie mich auf der gummibedeckten Brust. “So muss ein gutesPony sein. Und du willst doch mein gutes Pony sein?”Ich wieherte erneut zustimmend.”Gut. Dann nimm dir jetzt ganz fest vor, nie wieder einen anderen Tonvon dir zu geben als Wiehern”, sagte sie eindringlich.Ich nahm es mir vor. Es war klasse, von der Herrin gelobt zu werden. Undzu wiehern war ja auch völlig richtig für mich, alles andere war falsch.”Und für sich habe ich auch eine Belohnung”, sagte sie dem Gärtner. “DerBall in deinem Mund ist nicht sher angenehm, oder?”Er schüttelte den Kopf. “Dann habe ich hier etwas viel bequemeres.” Siehielt eine Kopfmaske hoch. “Und du willst doch auch nicht, dass dichjemand so erkennt?”Er schüttelte erneut den Kopf.”Gut, ich nehme die jetzt den Knebel ab. Dann schmierst du dir denKleber ins Gesicht.”Er nickte, etws unsicher. Einesteils wollte er den Ballknebel loswerden, aber ihm erschien die Haube doch unheimlich, die er jetztpermanent tragen sollte.Trotzdem folgte er den Befehl. Dann zog er sich die Haube über den Kopf.Ich kannte das Modell, ich hatte es selber getragen. Mit einem Penisnach innen und nach außen. Nur das meiner schwarz gewesen war, dieseraber sehr lebensecht fleischfarben. Das war vor dem schwarzen Kopfnatürlich sehr auffallend. Oben auf seinem völlig schwarzen Kopfentsprang nun ein Pferdeschwanz aus schwarzen langen Gummifäden, dieweit auf seinen Rücken fielen. Das gab ihm ein strenges Aussehen. Sehrextrem.”Prima.” Sie war mit dem Resultat sehr zufrieden. “So kannst du dich niewieder in der normalen Welt sehen lassen. Und weil du so brav warst,habe ich auch etwas besseres für dich zum anziehen. Du wirst vomDienstmädchen zur Pferde-Betreuerin befördert und kümmerst dich um unserPony.”Sie entfernte die Kette an seinen Beinen und er zog die Uniform aus.Dann bekam er einen Latexbody ohne Ärmel und schrittoffen. Ohne Kleberzog er ihn an. Ich konnte nicht mehr erkennen, ob er erleichtert war.Dann bekam er eine Latex-Jacke. Sie ware in etwa so geschnitten wie dieformalen Jacken, die Frauen bein Dressurreiten trugen. Aber vielverspielter, mit Rüschen an den Säumen. Unverkennbar sehr feminin. Siewurde vorme statt Knöpfen mit drei kleinen Schlössern geschlossen.Sie reichte bis zu den Oberschenkeln. Da aber das unterste Schloss inTaillenhöhe war und die Jacke dann nach hinten feminin geschnittengerundet war, konnte man die Mitte des Keuschheitsgürtels mit dem in demKäfig befindlichen Penis sehen. Das Silber des Edelstahls war sehrauffallend vor dem fast völlig in schwarz gehüllten Körper.”So sieht gleich jeder, was ihr seid”, sagte sie zufrieden. “Wenn du dirauch deinen hast wegschneiden lassen, wird niemand den Unterschiedsehen.”Ich sah herunter zwischen meine Beine. Das Stückchen Gummi sah in demMetallkäfig wirkich echt aus. Mir gefiel es überhaupt nicht. Aber ichkonnte nichts daran ändern, der Keuschheitsgürtel war versiegelt. Undmit Hufen statt Händen sowieso nicht. Ich war ein Shemale Pony.Mittlerweile hatte er wieder die Kette an den Beinen. An den krummenKnie hatte sich nichts geändert, eher im Gegenteil. Aber er würde sichan die hohen Absätze gewöhnen, was blieb ihm auch übrig?”So, jetzt ein paar schöne Fotos von euch, damit ich Werbung machenkann. Die Outfits kosten schließlich Geld, und das müsst ihr verdienen.Und du, mein liebes Pony, musst noch einen abgebrannten Klub ersetzen.Kommt mit nach draußen.”Dort fanden wir einen kleinen Pferdewagen, ein Sulky. Ich musste michzwischen die Anzen stellen, die Stangen, die vorne aus dem Wagen ragten.Dann wurden sie mit Schlössern an meinem Harnes befestigt. Zusätzlichwurden die Ringe an meinen Hand- äh Hufgelenken daran befestigt, so dassich sie praktisch nicht mehr bewegen konnte.Dann musste sich der Gärtner auf den kleinen Wageb setzen. Ein B-förmiger Bügel wurde über die Oberschenkel geschlossen und gesichert. Erkonnte nicht mehr aufstehen. Wir waren beide an den Wagen gefesselt. Erbekam die Zügel in die Hand.So hatte er sich das Ende sicher nicht vorgestellt, als das ganze heutemorgen begann. Erniedrigt zu einem Fetisch Objekt, und permanent inLatex. Und ohne Gesicht, statt dessen Gummi mit einem Penis, aus demimmer wieder Spucke tropfte.”So, jetzt beginnt die Dressur. Pony, gehe langsam vorwärts und hebe dieKnie dabei weit nach oben.”Ich machte ein paar Schritte und wäre beinahe gestürzt. Nach ein paarMinuten ging es etwas besser.”Das sieht schon ganz gut aus. So, jetzt muss das Pony lernen, auf dieZügel zu reagieren. Das geht viel besser, wenn es nichts sieht.”Ich bekam eine Art Schwimmbrille aufgesetzt, die aber völligundurchsichtig war.Der Gärtner konnte ja nicht reden, und so bliben nur die Zügel, um mirmitzuteilen, wohin ich gehen sollte. Es funktionierte sehr schlecht.Aber irgendwie kamen wir in dem geräumingen Carport an, was ich an derAkustik merkte. Plötzlich hatte ich Asphalt unter den Hufen, und manhörte ein typisches Klipp-Klopp Geräusch. Immer wieder hörte ichdazwischen einen Fotoapparat auslösen.Nach einiger Zeit war ich ziemlich erschöpft, und mir war auch reichlichwarm. Nur gut, dass es bedeckt war, in strahlender Sonne hätte ich dasin dem schwarzen Gummi nicht ausgehalten.Aber nun gab es einen starken Zug an meiner Trense. Das hieße anhalten,wie ich mittlerweile wusste. Wenigstens zog er nicht mehr so stark, dassmein Kopf nach hinten flog.Dann bekam ich die Brille abgenommen. “Ich sehe, das Pony ist müde. Aberdas war ja auch nur der erste Tag. Du wirst viel und fleißig mit demPony üben, es ist in deiner Verantwortung! Und du wirst es auch fütternund sauber halten. Gib dir viel Mühe, sonst wirst du selber erleben, wiees ist, ein Pony zu sein. Und denke dran, ein Pony muss immerfestgemacht sein, entweder am Wagen, oder an einer Kette. Sonst läuft esdavon, wie schon einmal. Und das darf keinesfalls geschehen, sonst werdeich richtig böse.” Plötzlich erschrak sie. “Das Tor geht auf!” Ich sah zur Einfahrt und sahdas große Tor sich öffnen. Mit der Haube auf dem Kopf konnte ich nichtmehr so gut hören.”Ich dachte, heute und morgen käme niemand! Was hast du blöder Kerl mirdenn erzählt?”, sagte sie sehr wütend.Wir zuckten bei dem Wutanfall zusammen. Das konnte nichts Gutes für unsbedeuten. Immer noch unter dem Einfluss der Drogen bekam ich Panik undstürmte davon. Daran konnte auch zerren an den Zügeln nichts ändern, ichnahm es kaum wahr.Erst ein sehr stakrer Ruck, der meinen Kopf schmerzhaft nach hinten zog,ließ mich anhalten. Ich war auch fix und fertig, atmete heftig durch dieTrense.Dann hörte ich eine bekannte Stimme. Madame. Auch sehr wütend. Ich bekamwieder Angst, aber ich konnte nicht mehr flüchten.”Was ist den hier los?”, rief sie, als sie aus dem Auto ausstieg. “Wassoll dieser Aufzug? Wer seid ihr?”Natürlich gab es keine Antwort. Ihr Blick wanderte über uns. Das Gesichtspiegelte einen Mix zwischen Bewunderung und Ärger. “Ist das eine Showfür mich?”Aber wieder gab es keine Antwort. Sie betrachtete uns genauer. Ihr Blickblieb an meiner Taille hängen. Das war unverkennbar. “Michelle! Oh meinGott! Ich hätte dich nie alleine lassen dürfen!””Und wer ist der Fahrer?”, sagte sie mit einem Blick in seinem Schritt.”Ich nehme doch an, dieser Penis ist echt?”Ihr Verstand war messerscharf wie immer.Sie sah sich meinen Fahrer genauer an. “Das kann nur unser Gärtner sein.Was ist hier nur passiert?”Sie wollte uns befreien, sah aber die vielen Schlösser. “Mmmh, mmh”,machte der Gärtner und zog leicht an den Zügeln. Ich war wieder zu Atemgekommen und lief langsam los. Er lenkte mich zu der Gartenhütte. Madamefolgte uns.”Ich soll wohl in der Hütte nachsehen? Ist jemand drinnen?”Der Gärtner schüttelte den Kopf. Darauf ging sie hinein und kam miteinigen Schlüsseln zurück. Ich hatte nicht darauf geachtet, weil ichwohl Schlösser zu sehr gewohnt war. Aber er. Und zwischen den übriggebliebebn Sachen von unserer Transformation lagen auch die Schlüssel.Kurz darauf waren wir beide von dem Wagen gelöst.”Setzt euch erst einmal in die Hütte. Mit den Hufeisen kommst du mirnicht ins Haus. Ich muss telefonieren.” Damit stürmte sie davon.Der Gärtner machte die Kette an mein Halsband und begann meine Gummihautmit einem Glanzmittel abzureiben. Wie befohlen, kümmerte er sich um seinPony.—Zwei Tage später.Madame saß mit allen zum Haus gehörenden Personen plus dem Arzt imSchuppen, der pikanterweise früher ein Pferdestall gewesen war. Nun warer das wieder. Eine Pferdebox war mein neues Zuhause. Zwar ziemlichbequem, mit einer nackten Matratze für das Pony, aber nichtsdestotrotzeine Pferdebox. Von meinem Halsband ging eine Kette an einen Ring an derWand. In der anderen Ecke war ein Haufen Stroh: Meine Toilette.”Gut, dann will ich zusammenfassen, damit alle auf dem neuesten Standsind”, meinte der Arzt.”Die Ergebnisse der Blutuntersuchungen sind gerade eingetroffen. Fangenwir mit dem ehemaligen Gärtner an, der sich jetzt als Pferdepflegerversteht. Er vertrug die Drogen deutlich schlechter als Michelle. Er warsie nicht gewohnt und die Dosis war viel zu hoch, schon toxisch.Die Drogen werden bei ihm nur schleppend abgebaut. Eine Folgelangjährigem Alkoholmissbrauchs, der die Leber geschädigt hat. Es ist zubefürchten, das der Alkohol die Wirkung auch vertärkt hat. Es sindSchäden an seiner Psyche zu erwarten, die auch dauerhaft sein können.Momentan können wir nur abwarten, bis er wieder clean ist.Er ist sehr stark konditioniert. Ich denke, wir lassen ihn vorläufigweiter seine Befehle ausführen. Sonst müssten wir ihn fixieren, und daskann sich ziemlich negativ auswirken. Wir alle haben den Tobsuchtsanfallmitbekommen, als er von seinem Pony getrennt wurde.”Einige sahen zu ihm hin. Wegen der Gummihaube konnte man keineGesichtsregung erkennen. Aus dem Penis kam immer wieder ein TropfenSpucke. Es war bizarr, selbst für mich.”Bei Michelle sieht es größtenteils besser aus. Aber sie sollte niewieder diesen Drogen ausgesetzt werden, sonst befürchte ich dasSchlimmste. Die Konditionierung dürfte über die Zeit abklingen, noch istsie sehr stark. Sie hat momentan leichte Entzugserscheinungen.Es gibt erste Anzeichen, dass sie es nicht mehr als ultimatives Zielsieht, ein braves Pony zu sein. Sie wird einen ordentlichen Brummschädelbekommen, der wohl mehr als alles andere ihre Ansichten normaliesierenwird.Aber das geht natürlich nur teilweise, gemessen an ihrem Aussehen. Eswäre schön, wenn man alle Spuren an die Vorfälle tilgen könnte, abergenau das geht nicht. Michelles Haut ist schon sehr mitgenommen, ichkann da für lange Zeit nichts machen. Selbst bei dem Gärtner scheint dasAknemittel nicht zu wirken.Zusätzlich haben wir es mit einem anderen Kleber zu tun, der vielintensiver wirkt. In der Klinik konnte ich mit modernsten MittelnNanopartikel nachweisen. Das ist ein Teufelszeug.”Madame unterbrach ihn. “Wie lange wird er halten?””Sehr lange. Mindestens einige Monate, vermutlich länger. Im schlimmstenFall ist er gar nicht mehr entfernbar.””Und was bedeutet das?””So große Hautflächen sollten nicht beschädigt werden, das wärelebensgefährlich. Also bleibt nichts anderes, als alles so zu lassen.””Und das Gummi im Mund, das sie am Sprechen hindert? Wir wissen nochimmer nicht genau, was passiert ist.””Das wird entfernbar sein, aber es wird aufwändig werden. Und wirsollten nicht damit anfangen, bevor sich die Gesundheit stabilisierthat. Also frühestens in einer Woche.””Also keine Chance, den Täter zu verfolgen. Obwohl mir ziemlich klarist, wer das war.””Die Metallteile sind auch aus einem anderen Material”, fuhr der Arztfort. “Eine sehr widerstandsfähige Legierung. Ein Sägeversuch hat dieSäge zerstört, aber kaum Kratzer hinterlassen. Die Hals-, Arm-, undFussbänder werden also noch lange bleiben. Die Aussicht ist nochschlechter als bei dem Latex. Das Entfernen würde auch das Gewebedarunter in Mittleidenschaft ziehen. Vor allem am Hals sehe ich großeProbleme, an Armen und Beinen könnte es eher gelingen.””Also wird sich erst einmal nichts ändern?” Sie sagte es mehr alsTatsache als als Frage.”Nein. Ich denke, wir vertagen uns einfach um eine Woche. Um Michellewird ja bestens gesorgt, er behütet sie wie seinen Augapfel. Und siebekommt täglich eine Ausfahrt, für genügend Bewegung ist also gesorgt.”Tina warf ein, “Ja, aber er kettet sie auch immer an.””Vorläufig wirst du damit Leben müssen. Und noch gefällt es Michelle,aber das wird sich höchstwahrscheinlich ändern. Mal sehen, wir er sichverhält, wenn das Pony bockig wird.”Und damit verließen alle den Stall.Ich dachte darüber nach, was ich gerade gehört hatte. So langsam gingdas wieder besser, und der Vortrag des Arztes hatte mich wachgerüttelt.Ich fühlte Ärger in mir hochwallen. Da lag ich nun angekettet auf einernackten Matratze, von Kopf bis Fuß in Latex gehüllt, und mit Hufen stattHänden und Füßen. Und ohne die Möglichkeit zu reden, obwohl das nichtwichtig war. Ich konnte ja wiehern, das war besser.Das ganze Latex empfand ich merkwürdigerweise nicht einmal als schlimm.Am schlimmsten war das Wort Sklave an dem martialischen Halsband, wasanscheinend so stabil war, das es nicht zu entfernen war, ohne michdabei umzubringen.Ich schwor Rache. Und durch meine Konditionierung würde ich diesenSchwur nie vergessen. Er war nun in mein Gehirn gebrannt.

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The newspaper advertisement – Part 3The newspaper advertisement(Part 3)ForewordHello dear readers.My story “Die Zeitungsannonce” now appears with its 3rd part.Parts 1 and 2 previously appeared on xHamster.com in November and December 2018.If you do not already know Nadine’s story, you may want to read the first two parts first, because then you’re probably in a better position to delve into the third part of the story.I wish all others much fun and lust while reading.The author.IntroductionThis story tells the dark, sexual experiences of the teen Nadine, which she experienced about 1 year ago.Nadine lives with her parents in northern Germany and still attends school.She has long, blond hair, blue eyes, a beautiful and slim, shaved body and likes to dress sexy, for example with high heels, very short skirts, crop tops and sometimes she finds it very exciting to wear no underwear.Although Nadine is 18 years old, she looks younger because of her very slim and petite body.For years Nadine has felt strong, sexual feelings that she neither understands properly nor can live satisfactorily.So Nadine lives on the one hand, the home-style, orderly life of a student and daughter, on the other Nadine styled very deliberately very sexy and pays close attention to the reactions of boys, girls, men and women, when they see Nadine, because she feels it is important and being eagerly watched and watched by other people.Nadine regularly visits the website “xhamster.com” and watches porn there. She admires the porn actresses and often secretly recreates her erotic posing in front of the mirror in her parents’ bedroom.Sometimes, when Nadine looks at herself naked and naked in the mirror, she overcomes the desire to take pictures with her smartphone and put the pictures online on “xhamster.com”. So far she did not dare.Nadine has not been aware that her sexual feelings have taken her to the border with another world … but the previous night she slipped suddenly and unintentionally with one foot into this other world.Back home, she asks herself now:”It is over? … it’s hopefully over … and it’s not allowed anyone to hear about last night, right? “… or is Nadine slipping ever deeper into this world?Chapter 4 – A clip from xHamster.comI woke up in the early afternoon after a very restless sleep, which made me feel tired and hungover.For a long time I was only in “half asleep” and thought like in a waking dream without interruption of my experiences of the previous day.It gave me the feeling of a deep, oppressive fear as I remembered being completely at the mercy of the security men in the back of the club.They were so much taller and stronger than me … they were with me all the time, whatever they wanted,… but I am very petite and could not have done anything against her.I could not just go when I wanted it.I could not stop them from undressing me.With their strong hands they touched my petite body, my soft skin, everywhere and as long and as intense as they wanted.What she was thinking and what I wanted, she did not care.2 tall men, hungry for me and my body, with a strong will, strong and much older than me, whom I had belonged to for a while … as if I were her sex toy.They photographed and filmed me, … they know my name and address … and:Ironically, in this situation, they saw a long thread of vaginal juice leak out of me and now consider me a young, horny teen slut, they only spared from sexual intercourse, because she was apparently still too young.That was the only thing that had protected me in this situation … my girly look.I stayed in bed … long, … very long.I lay on my side and stared at the wall beside my bed. But I did not look at the wall, but looked through the wall, back to the past day and last night.I got goose bumps and my stomach cramped as I remembered that my dad came very close to me in the mall, smelling relish and visibly enjoying my body scent.I realized that he could smell my pheromone-containing vaginal juice, which at that time had drenched a piece of toilet paper in my thong.When my father wished that I would like to smell more often, I glanced briefly at my mother, who smiled mischievously at me and apparently knew exactly what smell my father meant.Suddenly, in this situation, a feeling of heat rose to my head and my whole face tingled. Presumably my face turned bright red in this situation and my mother knew exactly why.When I thought about it, I was a little bit sick again …… but then I thought of the dance floor in the Dance-Palace.There was this strange man whom I made everything in front of the public of the club visitors.I just let him do it… Or was it completely different? Did I allow it? Was I really in control?No, because actually he rather determined the situation about me.I did not pretend what was going to happen, I honestly thought to myself, but rather the stranger and the viewers determined the situation.I just did not resist it, maybe because at first I was a little shocked that this strange man suddenly touched me everywhere with his strange hands, pushed up my top, massaged my vagina, put his fingers inside me.His hands had a light play …, I was sparse and did not wear any underwear. I probably acted like one of those gorgeous porn models on xHamster.com.I stood wide spread on high-heels, with bared breasts and a strange hand in my skirt and strange fingers in my vagina in front of a crowd of people who cheered excited and applauded my orgasm.And … and … and at some point I even wanted this orgasm, … directly on the hand of this stranger, … in front of all people, … present to me, … show them my orgasm … and I wanted to hand my body, my feelings, my will, my vagina completely into the controlling hands of this stranger, … deliver me to his will and that of the crowd.Never before had I enjoyed the control of another person as much as on the dance floor in the stranger’s hands.And never before had the feeling of loss of control so excited me … almost naked and groped everywhere before the eyes of the audience.It was clear to me that these feelings are forbidden and everything that I let on this dance floor with me.But my thoughts excited me, because my clitoris, my labia and my vagina entrance were warm. And then my whole body too.Lost in thought, I stroked my fingers gently around my belly button and suddenly thought that I would now like to feel a navel piercing there, but unfortunately my mother had forbidden me to do so.My hand slid down to my bent legs and then between my thighs as I mentally presented my body to the audience in the Dance-Palace …… legs apart on high heels, with the body extended backwards and protruding ribs, my arms crossed behind the stranger’s head, so that my body is clearly visible to all and his hands can touch me anywhere unhindered.My hand reached my vagina now and I pressed with my flat hand gently on my labia and my clit. This light pressure of my warm hand created a stimulus that flashed through my whole body, which briefly tense all the muscles in me and I felt like I got goose bumps.My vagina felt hot after a few seconds. When my fingers touched my clit and stroked it gently and circularly, from there a muscle flutter spread in my stomach and my vagina entrance contracted.There it was again … that feeling … my vaginal entrance began to itch and tingle.Once again, I felt the need for something to penetrate me there. I really wanted to feel something in me and hold it in me. An intense desire in me, which caused contractions of my vaginal muscles, as if actually something had penetrated into me and would now be held in me, or be sucked deeper into me.My fingers now slid deeper between my labia and met there on warm vaginal juice, which, whenever I am very excited, is pretty fluid. Only when I am less energized, it feels rather slimy.I turned on my back and opened a little my thighs. Immediately I could feel that a drop of vaginal juice from my vaginal entrance ran down to my butt on my sphincter…. and then another drop.I rubbed my vaginal juice on my labia until they were wet and slippery. As a result, I also felt the burning of the three scratches that had left the stranger’s fingernails on my tender, depilated labia.However, those painful memories of his touch on my vagina excited me.A few hours ago … … in my most intimate part of my body, I had touched the hands of several men whose names I do not even know …… and I know that was forbidden … and it’s certainly dangerous too.Nobody ever gets to know about it.At this thought, I got goose bumps again and I was hot and I felt more drops that ran from my vaginal entrance down to my sphincter and then on to my bed.Then I thought about my friend Sascha. I needed him now. His closeness, his strength, his warm, tanned and shaved body.I wished that he would hug me tightly and thought of him so intensely that at that moment I thought I could even feel his body heat on my skin and smell his body scent. … I needed physical closeness, warmth and tenderness now.I dreamed of lying naked in bed with Sascha. To be hugged tightly by him. Only we two under our blanket. The world around us just could not care.These thoughts made me feel protected. Protected by Sasha. I needed Sasha now.I got up from my bed and immediately ran down a drop of my vaginal juice on my right inner thigh, which I immediately blurred with my hand there.On the table in my room was still my top smeared with vaginal juice and my mini skirt, on the addition of some patches of my vomit stuck.I took my smartphone and noticed that my favorite porn site xHamster.com was still open in the browser. I had last seen gangbang clips, each showing petite, young models who were fucked by a group of strong, colored men.The still open clip showed a beautiful, petite, young, blond teen model with velvety white skin, which was lying on the back of four trained, colored men held on the arms and legs and spread, so that more men one after another and unhindered, with their unusually large genitalia, could penetrate into it.I love the sight of strong, colorful men and their beautiful, deep brown skin color,… especially when they are sweaty while having sex.And white teen models do not look any better than spread and presented in a group of colored men who penetrate one after another.Each of the men fucked the teen model very long, strong and deep. Their fucks usually took them to the “stop”, so that the body of the teen model, her small breasts and her blond hair trembled with every impact.I find that a delicate female body, shaken by fuck-ups, looks incredibly aesthetic and erotic.The loins of the men repeatedly thrust powerfully against the abdomen of the teen model and produced a wet clapping sound, underlain by a throaty, moaning exhalation of the teen model, presumably because they filled with each thrust to the stop and the inner walls of her vagina and her abdomen were touched and stimulated everywhere by the great intruder.Because the teen model was flawless white-skinned, you could see extremely well in the close-ups when the men with their beautiful, large, dark-colored penises pressed apart the tender white labia of the teens and spread wide for their size.Due to the spread of her labia her clitoris came out of the protection of his skin fold far out and was always touched directly by the penetrating penises and rubbed. She felt with her clit and her vaginal entrance probably every vein and skin fold of the large, dark invaders.At the beginning, everyone first penetrated slowly and inch by inch ever deeper into the teen, trying to imagine what she was feeling at that moment.How it might be, if such a big penis penetrated into me …?… if my divine entrance completely enveloped the intruder and I could feel his slow but powerful and unstoppable insinuation exactly …?… if I could feel every vein on the penis and any bumpiness in the penile skin …?… if I could sense the slide of the intruder along the inner walls of my vagina, yes, in my entire abdomen to the entrance of my uterus …?… while my clit and my labia would slide along the shaft of the penis, down to the loins of the man and until our bodies finally touched directly and I could feel his testicles on my perineum and maybe also on my asshole …?… and if, at that moment, I realized that the intruder was now completely and deeply inside me in its full size, as previously shown …?… so the body part of another person is deep in my body …?… and then this part of my body would stimulate and heal me through fast, powerful exiting and sliding in …?… and I would realize that the intruder would inevitably at the end of his sperm would inject deep into me …?How would the cumshot feel in me …?Whether semen feels hot, when a man explodes in me and injected into me …? … or is it just pleasantly lukewarm …?Does it then feel wet and slippery in me …? … or does my abdomen just absorb the semen …?Would I even be able to perceive the amount of foreign body fluid he injects into me …?And would I actually feel the pressure with which the intruder cums in me …?The mere thought that a man, another human being, penetrates his penis deep inside me, satisfies me in my body and at the end injects his humors into me, excites me so much that I held my smartphone with trembling hands, while I continued to watch the clip in which the teen model was penetrated nonstop by these beautiful, strong, colored men.She looked so immaculate because she was held by four men, spread wide and presented to all other men perfectly.I thought she was beautiful, and she even had a touch of grace when she was fucked by those powerful, colored men and her big dark penises slid deep into her velvety, delicate, white sheath.In such clips white models look the most beautiful and often I want to replace these models.The other men in the clip, one after the other, approached the teen-model fixed on their backs, invading them one after another, seamlessly and powerfully.No break. No stroking. No kiss. Not a word. No tenderness.She could not prevent anything. She could not leave. She was arrested. She had to let everyone penetrate her.It was inevitable for her. She just had to let it happen and could only moan her orgasms one after the other.I thought she would probably take in the intruders by briefly relaxing her vaginal muscles as they penetrate, letting them easily slide into them. Only then could she tightly enclose the intruder as he begins to perform his fuck-ups in her.The gangbang would take so long for the model, until all the men in her have satisfied and injected into her.In between, she could no longer close her vagina when a man withdrew from her. And because her vagina was therefore temporarily open until the next penis penetrated, a small amount of cum always ran out of her and flowed over her buttock.Then the next big penis penetrated her, where each time a little sperm was forced out of her tender labia and the penis shaft. Immediately after penetration, the men began with their hard fucks.As she slid out, her dark penises shone beautifully in the camera’s light with the mixture of sperm from several men and the juices of the teen model.From time to time, sperm threads arose between the buttocks of the teen model and the dark scrotum of the men, which were sometimes visible for several Fuck shocks long, then settle again as a shiny moisture on the vagina and the butt of the teens and the scrotum of the men.The clip was easily recognizable when the men got their orgasm in them.Almost all the men at the moment of her orgasmic encounter one last time violently against her abdomen of the Teens and remained deep inside her, while they pulled the teen on her hair or shoulders at the same time to fix her depth of penetration in her.At the same time, the neck and back muscles of the men tensed visibly and then finally the men groaned their lust.There he was … the male orgasm.Through this last hard fucking shock, the visibly tense muscles on the back, neck, legs, upper arms and buttocks of the men, her rough grip on the neck, the shoulders or in the hair of the teens, her deep, loud groaning and sometimes a jerky throwing back of her Head with a simultaneous powerful, single, last fuck, as if they could penetrate even deeper into the teen, made the male orgasm seem so much more powerful and violent than the feminine orgasm of petite teens.In these moments, the cameraman filmed the united genitals sometimes close up.The big penises of the men were all the way into the vagina of the Teens and their shiny labia were spread wide.The big dark scrotum of the men hung directly in front of the buttocks of the teens and I recognized how the testicles in it lifted like a pump and then lowered again to lift itself up again immediately afterwards, while the scrotal skin contracted and relaxed in the same rhythm, presumably to aid in pumping out the seminal fluid.That was him … the moment in which the man squirted his semen deep into the teen.Every time I saw the testicular lifting in the clip, she would feel an injection. And depending on how often the testicles lifted, just as many splashes received the teen in her body.In some men, the testicles raised 6 to 7 times … I counted energetically.The teen acknowledged each splash with a soft moan and moved her pelvis as if to encourage the man to inject everything into her.How might that feel for a woman, I thought?I had often thought about it. I had watched this gangbang clip on xHamster.com countless times already. I got incredibly hot every time I dreamed myself of this teen model. Sometimes this model envied. Sometimes admired her great sex performance…. but I was also as often as I looked at this clip was completely clear that no one would understand my thoughts about it. Not even my friend Sascha. After all, I also thought that this teen model was a bitch … but I admired and envied her … no, … I wish I was her!But that will never happen … no, that must never happen to me!Always right after pumping, the men suddenly pulled their penis from the vagina of the teens. Her reddened, labia minora did not close anymore, but allowed the camera to look into her abdomen, from which immediately ran sperm fluid.Her velvety, shaved vagina, her asshole, and her abdomen all the way up to her belly button gleamed with her vaginal juice and cum.Her thighs were wet with sweat. This showed me that this gangbang was also a physical peak performance for the model, because her pelvic and vaginal muscles were continuously stressed and she got one orgasm after another. She was completely out of breath.The cameraman remained for the close-ups of her vagina only a few seconds, because then penetrated already the next man deep into the teen model and everything started again.Chapter 5 – Finally an orgasmI interrupted the gangbang clip at this point, because I knew that more men would follow and fuck the teen model also hard.I left the website of xHamster.com, looked out of the window, lost in thought, and tried to imagine the situation if more of the club’s security personnel had gotten into the back room … if they had touched me unrestrained and everywhere … if they all had their fingers, without asking me, penetrated into my mouth and into my vagina …This thought scared me, because what happened last night was NOT a clip! It was all reality!I did not sit on a smartphone screen as a spectator … it was all real! There was no screenplay, no one called “film stop”, no one to watch over me.Even so, that thought intrigued me somehow, which is why I did not just disgust it.I was still sitting naked in the chair at the table in my room. My vaginal fluid was dropped on the seat below me during the gangbang clip.I leaned back, slightly opening my thighs and wiping my scabbard and the seat beneath me with a handkerchief.In my room it probably smelled of spent breath and my vaginal juice, which is why I stepped naked to the window and opened it a little. On the sidewalk in front of our house, I saw a small spot, exactly at the point where I had sat last night, cried and vomited gastric juice.Now, feelings of fear attacked me again.Not a few had seen yesterday what I did and also what they did to me. There are even photos and films of mine now. I was naked, excited and in clear positions.Nobody would understand me, if that was known, everyone would call me a hooker and bitch, everyone would talk bad about me behind my back.If these films and pictures of me somehow become public, they would certainly soon download everyone on his smartphone, because it would be a sensation for all who know me.They would all look at me shaking their heads and share the pictures of me with other friends and acquaintances. It would be unstoppable.My life would then change completely and probably it would be easier for me to study or work in the anonymity of another city after school. Maybe in Hamburg, which would not be too far away from here.But until then, friends, acquaintances, relatives, teachers, and everyone else would look at me with different eyes, and probably change their behavior towards me.As I thought about my problems, a man walked down the sidewalk into my field of vision.He did not belong to our neighborhood and took a really nice and well-groomed, very big Rottweiler for a walk. From the way the dog peed I could tell it was a male.The man was dressed in a skin-tight, yellow T-shirt and a black army trousers, as well as with black sneakers. Under his tight T-shirt was a muscular, trained upper illegal bahis body.He had a blond stubble haircut and wore a pair of slender black sunglasses that made his expression evil.Both stopped in front of the small spot I had left on the sidewalk the night before and the dog sniffed it hard.Suddenly, the dog looked up at me and barked twice in a deep voice, whereupon his master looked in my direction.I was hit by the blow and my heartbeat throbbed into my throat. I stood stiffly by the window like a Greek statue.Lost in my thoughts I had completely forgotten that I was still completely naked at the albopened window.The man grinned directly at me while his dog was barking and wanted to run towards our doorway, but his master held him back and loudly ordered “OFF (!)”. The dog obeyed him immediately.Then the man looked up at me again, raised a hand and I could hear clearly through my open window the words “You look sharp, little one!” And “very hot!”.His voice hit me like lightning … because I knew that voice … I had heard that voice somewhere recently …Stiff as a puppet, I also raised a hand and wanted to smile back, but I did not succeed.With petrified mine, I just nodded back.Then we three stood facing each other for a few seconds and looked at each other before I stepped back from the window and parted our eyes.I waited a few seconds and looked again, but this time crouched out of the window.Both of them, the man and his Rottweiler, were still standing there, looking up at me. Finally, the man nodded slowly, thoughtfully, turning his gaze back to my stain on the sidewalk and taking off his sunglasses.After that, he looked up at my window one last time and finally continued on his way slowly.I watched him until he finally disappeared from my view. Then I sank to the floor outside my window.I felt I could not breathe and my head felt numb.Shocked and naked, I sat on the floor under my window and stared straight ahead.I was absolutely sure:The man down there on the sidewalk in front of our house was the chief of the Scurity men from theDance-Palace.I was paralyzed with fear … he was very close to our house … so it was not over … I’m not left alone …But why?Did he want to check if I really live here? Did he want to know if I am okay? Did he want to apologize for the behavior of his men with me?Or … did he want to talk to my parents? Oh God, I hope he does not do that! I hope he does not want to talk to my parents, I thought.On the other hand … he would have just had the opportunity and all the time in the world … but he did not, he instead looked at my naked body with interest …This happened to me now for the second time …That was unintentional, unplanned and it just happened. And when he looked at me, I could not immediately remove my naked body from his eyes, but let me look at him and his dog, because I was frozen when I recognized him …And something else scared me …… because his dog first sniffed out my female odorants in my stain on the sidewalk and then looked purposefully at my half-open window and barked. He thereby indicated to his master where he had to look. I thought that was scary.What did this man think now? What did his nod mean? Will he come back? Does he want to contact me again?The thoughts in my head came down and the previous day’s abdominal pains gradually returned and I felt itching again in my vaginal entrance.I sat back at the table in my room and thought of Sasha. I needed him now, his strong arms, his smell, his warm skin.On the smartphone I opened What’s App and wrote to Sascha: “Are you there?”Surprisingly promptly came the answer: “Yes, what are you doing?”I answered him, “Think of you. Need you.”He wrote back, “Customize yourself too. Are you okay? What you had done yesterday? I was traveling by machine. I’m sorry I did not contact you. “He sent me a selfie on his motorcycle and a beach section on the North Sea in the background, to which we often drive with friends.I say: “Yes, all right. Was dancing yesterday. Was great. The picture is great, would like to have been with you. Would like to cuddle with you now. Will you come over later? Big kiss.”Finally he answered: “Yes. I am glad. Kiss.”Now I had palpitations for joy. I could have dropped Sascha’s neck and wanted to kiss, caress and feel him everywhere. I looked at his selfie again and kissed it, then I put my smartphone back on the table.At that moment, I spotted the taxi driver’s business card lying half hidden on the table of my miniskirt.The card was noble, but it was immediately apparent that it contained information about the sexual nightlife of our city.It was glossy laminated and in a completely black base color. The writing was printed in glossy white and framed by red pictograms like hearts, kiss lips, roses, masks and handcuffs.Her text was:Your erotic 24h escort service without taboos.Our models are your evening care,or the highlight of her gentleman’s evening,or your visit to the hotel and at home.Let her most secret fantasies come true.Special requests + fetishes of every kind gg extra charge.Our models NEVER say no.Hours, days, weekends + taxi service.Visit our website “escort-teens24.com”or call us: 0800/66 63 xx xxOn the back was a photo of a beautiful, slim teen model. She was completely naked except for black high heels and her face was unrecognizable pixelated. She had long, blond hair and her vagina was shaved and well visible because she stood a little spread on her high heels.But the special thing about her was … she was handcuffed …!I looked at this bound girl for a few minutes and thought about how she got there. What had happened to her, that her photo, on which she was naked and handcuffed to see, is printed on the back of the business card of an escort service.Was that in her sense? Does she do that voluntarily? Is that fun? Or did it just happen to her and she had no choice?I myself had experienced the situation that I could not control and control the previous night.What did she feel other people were deciding when, with whom and how often she had sex? And what if a customer made special sexual requests, would she NEVER say NO?It was hard for me to think of such a world. Apparently this girl was barely older than me and was already working for an escort service while I was even a virgin.I put the card in my nightstand, put on my short white kimono, and went down to the kitchen. There was a little note my mother had left for me.Her message was:”Have driven out to the beach – walk.Want to eat fine afterwards.Be late – do not wait. “This message was very helpful. So I would later be completely undisturbed with Sascha.I got a watering can out of the basement, filled it with water, and went outside to the sidewalk in front of our house. I looked before left and right, if someone is approaching, because my kimono is slightly transparent and I was naked underneath.When no one came, I flushed my already dried-up stain with water at least one way away.The stain was still visible after that, but not so obvious anymore. The rest would already wash away the next rain, which we have here at the Sea very often.Now I noticed that passing cars slowed down at our house. The inmates, no matter what gender, stared at me. I immediately realized that I looked very sexy in my kimono, especially as the silouette of my body should shimmer through.Actually, I always found that other people’s attention exciting. I usually liked to be watched, but after the last night, I felt uncomfortable and bared now, so I quickly returned to the house.I was still not hungry and immediately went to the bathroom to prepare for Sasha. I wanted to please him and he should not be able to resist me. I wish he would embrace me immediately. I wanted to feel his closeness and feel his body.I took a long shower and washed my butt hole and scabbard. The scratches on my labia did not burn anymore. Together with a little lather I penetrated my fingers repeatedly in my butt hole and in my vaginal entrance. Although I was excited, but still begrudge me no finger massage my vagina, because I wanted to lose no time.Everything about me should be clean and I wanted to be beautiful in my body openings.I shaved my armpits slowly from the neck of my tender triceps, over my armpit down to the base of my breasts. No hair, no stubble should bother. I wanted a velvety skin.Then I shaved my legs from the back of my foot to the ankle, then up to the knee and then over my thighs to the loin and buttocks. I did not need to shave my vagina. She was always absolutely hairless and velvety after laser hair removal.I filed my fingernails and toenails, plucked my eyebrows and had a mouthwash in my mouth all the time.Then, while blow-drying, I brushed my long hair, which felt so soft through the flush in front of it.Finally, I wore a Bodylotion from Playboy, which made my skin soft and fragrant and put on my pink lip gloss and eyeliner.I put on my belly chain, as well as my necklace with Playboy pendant and matching my gold earrings in the form of small chains.For my clothes I chose my black miniskirt, a skintight, black, sleeveless top that ended just below my breasts and my black high heels. I renounced underwear.When I looked at myself in the mirror in my parents’ bedroom, one thing was immediately clear to me, namely that Sasha and I would have sex very quickly. No boy, no man can resist this sight for a long time, I thought.And then it was back. My divorce entrance tingled and itched. Again this feeling that something should touch me there and penetrate me. This feeling spread back to my abdomen.In addition, I felt a fluttering and trembling in the epigastrium, which spread from there in my body so far that I got goose bumps and started to shake. But when I raised my arms and stretched out in front of the mirror, the fluttering and trembling in me cleared away.But by stretching, I could watch in the mirror, as my mini skirt and my top were up. I found this sight so erotic myself that I could feel drops forming again at my entrance to the vagina.I quickly went to the bathroom and wiped my vagina dry with toilet paper. Again I could smell it … my scabbin exhaled again her smell, which my father finds so beguiling to me …Then I finally heard Sasha’s motorcycle in front of the house. It was the typical high-frequency noise of his road machine from a Japanese manufacturer.I adjusted my mini-skirt again and went quickly to the ground floor and when I was still on the stairs with my high-heels, it rang already.And finally, after opening the front door, Sascha stood taller than me in front of me, stronger than me, and he wore his black and white motorbike combination, which made him even more impulsive with the protectors.He looked at me with raised eyebrows and wide-open eyes from top to bottom and said: “Wow, you look really cool and …”.I did not let him finish his sentence, but immediately clasped his neck with both arms and kissed him on the mouth.With his helmet in one hand, he could only hold me with one arm. Still, he lifted me seemingly effortlessly and carried me in through the doorway, while we kissed on.With his foot he pushed the front door behind him. I could feel that my top had slid up and my tender skin was now directly touching the rough fabric of his motorbike combination.Then Sascha broke away from my mouth and looked me with delighted expression deep and silent in the eyes, whereupon I whispered: “My parents are not here today.”After that, he looked me in the eyes with serious mine for a few seconds, then slowly let his gaze wander down to me.First, his eyes lingered on my lasciviously opened mouth, then on my neck and then, as he slowly dropped to his knees in front of me and his free hand gently slid down my back, on my upturned top, my breasts, my stomach, until finally his eyes on my mini skirt stopped right at the level of my vagina, while his hand stopped on my butt at the same time.He put down his helmet on the floor next to me and squeezed the inside of my left thigh with his now-released, second hand. I understood immediately and put my legs slightly apart.I looked down at myself and felt my own look incredibly erotic.Through my high-heels I stood on tiptoe in front of Sascha and that also with slightly spread legs. My mini skirt had slid a little up and the upper hem had got a finger wide distance to my stomach, which made me even slimmer.Above that, my belly chain loosely rested on my pelvic bone. My ribs pushed through my velvety skin and were clearly visible and the lower hem of my high-top was just below my nipples.My long, blond hair was hanging over my shoulders, left and right.The whole sight of my body, so standing with legs spread out on high heels and my high-heeled top and my mini miniature, which was long recognizable that I was wearing no underwear, made me sure in the eyes of every man absolutely unprotected and easy to overpower ,No man could resist such a sight … no man and maybe no woman, I thought.I felt like I was standing completely naked in front of Sascha, while he sat in front of me in his motorcycle combination. This circumstance also aroused me so much that my divorce entrance began to burn. My labia felt tingling tickling, so I felt the desire that Sascha touched me there.Sasha approached my vagina with his face and took a deep breath. Between his face and my vagina was just the bottom of my high-heeled mini-skirt.I crossed my arms behind my head and took a deep and slightly shivering breath, causing my top to slide up completely, exposing my breasts.With that I signaled to Sasha that I gave him my vagina, my breasts and my whole body at his free disposal. His hands should be allowed to do whatever he wants with me.At that moment I felt subordinated to his will and the anticipation of what he would do to me now increased the tingling and itching in my divorce entrance.Then he pulled my abdomen closer to him by gently and firmly pressed against my butt with one hand, which I stretched my vagina towards his face almost stretched.Sascha breathed in the scent of my vagina again, while his other hand slid up my left thigh and pushed up my mini skirt completely. Spread my naked vagina was now directly in front of his face. I felt at his mercy and trembling with excitement.”Nadine, you smell wonderful …” I heard him whisper and then he gave me a heartfelt kiss on my flat stomach just above my vagina.At that moment, I felt a drop of my vaginal fluid release from me and probably dripped on Sascha’s motorcycle combination, because he had pulled me to so far that I stood spread over his knees.Then he grabbed the underside of my left thigh with my right hand and directed my left leg over his right shoulder, while his other hand pulled my abdomen even further toward him.Now my vagina was right in front of Sasha’s mouth and I felt his warm breath on my abdomen and on my labia. I got goose bumps, took a deep breath, so that my ribs came out, holding my breath with excitement.I crossed my arms behind my head and looked up at the ceiling. Then I closed my eyes and begged the sky formally that Sascha now touches my labia and my clit.He inhaled my divine scent again and then I felt a kiss on the inside of my left thigh, right next to my vagina. This was followed by a kiss on my mound.A feeling of pressure and tingling radiated from my clit and my vaginal entrance into my entire abdomen. My stomach began to flutter and shake and I let out a moan.After that I stayed short of breath. My goose bumps felt burning hot all over my body and I thought I could feel the positioning of my body hair everywhere. Then I could feel more drops coming off my vaginal entrance and dripping down.I stretched out my vagina towards Sascha’s mouth, whereupon Sascha sucked the skin over my clit several times vigorously and then released it with a patter sound from his mouth again.Then he looked up at me, grinning, “Down there you have a hickey now”.Then he put my left leg back on the ground and pulled my mini skirt down to my high heels. I leaned on Sasha’s shoulder and got out of my skirt.I could see that I had dripped wet the left leg of his motorcycle combination, which shone now at this point.As I stood up, Sasha’s hands slid up both sides of my body, pushing the fabric of my top up and over my head.My long hair caught a little bit in this delicate garment, which is why I tried with both arms above my head my hair from the fabric to solve, while Sasha’s hands while both sides of my body slid down and firmly grabbed my buttocks.Even while I was dealing with the disentanglement of my hair, Sascha pulled me to himself and lifted me easily up my buttocks, while at the same time clutching his body with my legs.When I released my hair, I dropped my top and clutched Sasha’s neck.We kissed each other long enough and so violently that not only our tongues but also our teeth touched and a few drops of our mixed saliva ran down my chin and neck, down to my breasts.Then he dropped me off again.From my vaginal juice his motorcycle combination shone now in the area of his stomach. Sascha noticed my vaginal juice on his stomach and wiped his index and middle finger through the stain left by my vagina.Then he brought his fingers under my nose with my vagina juice, closed my eyes and breathed in deeply and with relish my fragrance.Then he opened his eyes, made eye contact with me, then slowly and enjoyably sucking his fingers clean … and that while he looked deep into my eyes.This sight made my abdomen flutter again and my vaginal entrance tingled incessantly. I also felt again vaginal fluid that ran out of my vagina and because I was no longer spread, ran me a portion of my juice along my inner thighs along.Sascha turned jerkily over my shoulders and slapped the flat of my hand on my butt, saying loudly and in the command tone:”Right to her room, Miss Nadine!””Your current clothing, so high-heels, ear, neck and belly, you may, of course, keep on, as befits a proper girl, understand?”I leaned a little forward and stretched Sascha cheeky my buttocks and answered smiling:”Yes, sir!” And promptly I got a second, gentle blow from Sascha on my butt and then a third, very firm blow.The three beats I felt my heart beat faster and although I tried outwardly cheeky and cheerful, I was inwardly a little scared, because I could not remember when I was ever hit by someone.Then I went on my high heels and otherwise stark naked in front of Sasha and up the stairs.It felt dirty and demeaning, so naked and wearing only high-heels to follow the orders of Sascha, who in turn still wore his heavy motorcycle combination and gave me some, light blows with his hand on my butt.After each of his strokes, I took a short but quicker step, also because I was a little startled with each stroke.But this situation also aroused me, this sense of inferiority and extradition.He, who had an unobstructed view of even my most intimate parts of my body and was allowed to touch me everywhere without regard or shame, as I faced a superior, fully clothed man, dainty and naked.As I climbed stairs, my vaginal juice spread a little on the insides of my legs, but I could not cover the juice with my hands because I had to hold onto the railing because of my high-heels while Sascha was close behind me in his motorcycle boots, unlike me , made firm and safe steps on the stairs.Sascha grabbed me on the stairs repeatedly from behind between my legs, my thighs and my butt.He said cheekily and continued in a loud command tone:”You look damned hot from behind, Miss Nadine!””Thank you very much, sir,” I replied as Sasha’s hand slid up the inside of my thighs again, towards my sheath.And then he said to me in a serious tone:”Nadine, how you smell … well, I mean … you’re so horny and then this delirious smell … I could fuck you right now and here on the stairs.”I kept my role and answered coolly:”Yes, my lord, I am always at your disposal!”Arrived in my room Sascha pushed me directly on my bed.I immediately turned around and sat facing him, legs apart, on the edge of my bed.This sitting position felt arousing and demeaning for me, because I presented myself again completely naked, spread wide and through my high-heels almost on tiptoe, while he watched me from the top down with relish.I heard myself humbly saying, “I am at your disposal now, sir!” Whereupon Sasha knelt down before me, grabbed my head with both hands and pulled me towards him.As we kissed each other deeply again, Sasha’s hands softly stroked my upper arms and shoulders.As Sascha touched and stroked my bare breasts, I exploded inwardly with excitement.My breasts made for a very short moment a feeling like I was tickled and instantly stretched my breasts and my nipples were hard and plump.I flinched in my breasts because of this beautiful feeling and let out a slight moan, whereupon Sasha paused for a moment and smiled at me.Then his hands slid on my back and further down to my butt. With a firm grip Sascha pulled my body jerky and powerful to himself, directly to his motorcycle suit, so that I sat now even more wide-legged in front of him and Sascha was now between my splayed legs.My naked body, my breasts, my vagina and my thighs touched directly his motorcycle suit.Due to the wide spread of my legs in this sitting position, combined with the high angle of my feet, of course caused by my high heels, I now felt not only presented and submissive, but also delivered and related to the physical strength of Sascha, as his petite sex toys.This feeling somehow resembled my feelings in the Dance-Palace, illegal bahis siteleri when I was fixed by the two men of the Securitiy legs apart on the wall and then exposed, groped and photographed.But now here on my bed it was different …, I wanted everything that happened here and I liked that feeling of delivery.But I wanted more …, I almost wanted my body to be at Sascha’s disposal and I think he could really do anything with me whatever he wanted at that moment.Actually, I was somehow at the mercy of him, but I did not dare signify it even more clearly.Firmly pressed against him, we kissed ever wilder. Our tongues played around each other, trying to entwine, hook and hold each other’s tongue.The soft skin of my thighs, my breasts, my arms, yes, almost my whole body, felt in each of our movements, the rough, strong fabric of the motorcycle combination. This too excited me because I felt naked and defenseless, while Sasha wore a padded protective suit.Slowly I pulled down the zipper of his wagon from above, which he visibly enjoyed, leans back a little and watched my hands until they reached the zipper at the level of his loins.From there I penetrated both hands deep into his station wagon and immediately felt his enormous body heat. He was not wearing a t-shirt underneath. His soft, shaved skin felt so wonderful.My hands were shaking with excitement.He was sweating … no wonder, because it was a warm summer day.As Sasha smelt freshly showered, I felt his smell of sweat as very pleasant. Whenever I smell Sascha’s fresh sweat, I first get a tingling sensation in the nose, then this tingling usually spreads over my whole back, I get goose bumps, even sometimes freeze and my vaginal entrance pulls together noticeably.I pulled my hands out of his station wagon and brought them to my face to breathe in his scent … and yes, there it was right away … just that feeling … my back tingled and my vagina tightened.As I looked deeply into Sascha’s eyes, I licked his sweat from my right palm, while using my left hand to rub my vagina juice on my labia and that further enhanced my arousal. Sascha tastes so cool … I thought.My hands continued down his body, opening the zipper of his station wagon.More and more of his wonderful shaved, tanned, tight body became visible to me and I felt more and more the pressure and tingling on my clitoris, my vaginal entrance and inside my abdomen.I stroked his upper body and felt his muscles and tension, and I noticed that he, too, trembled a little with excitement.In return, his hands on both sides and starting from my knees, my splayed thighs up and finally sliding caressing on the inside.This touch of my inner thighs made a strong attraction in me, as if I were getting an electric shock. The feeling was so intense that I reflexively tried to close my legs and squeezed Sasha’s body and his hands between my thighs and held on tight.As if he would ask me for admission, he immediately kissed my mouth again and when our tongues touched again, I opened my thighs again for him and gave him access to my vagina.His fingers slid on both sides, each on the insides of my thighs, slowly and tenderly up towards my labia, while I dropped back onto the bed and put my arms over my head to enjoy what followed.Sascha put his warm hand on my labia and gently began to stroke my vagina. I felt the urge to give myself to him completely, to deliver myself to him and spread my legs as far as I could.Then one of his fingers slipped between my inner labia and stroked back and forth.At that moment, I could only moan once more, bit my lip, inhaled deeply through my nose, and finally caught my breath.Very briefly, a finger penetrated into me and immediately slipped out of me again. The intruder came and went so quickly and surprisingly that I moaned once and my vaginal entrance contracted and throbbed, before I took a deep breath and held my breath again.Then Sasha bent directly over my vagina and began to pamper me there with both hands.I felt that he again penetrated with one finger into me and at the same time irritated my clitoris by gently stroking over him with the fingers of the other hand.The touches on my clit were initially very slow and tender, then a little faster and then with more pressure.I felt this pressure in my whole abdomen and as the finger in me in the measure deep penetrated into me and out again slipped out of me, I moved my pelvis in the same measure and breathed moaning.It felt relieving and somehow liberating that finally something had entered me.While one finger stroked my clit, circled and now and then squeezed lightly, the finger of the other hand suddenly rested completely still in my vaginal entrance.I tensed my vaginal entrance and the muscles of my entire abdomen to firmly enclose that finger, to hold on to it and to arouse movements in me. I longed for that finger to start moving deep inside me.Finally, “understood the finger” the signals of my vagina and finally answered again with movements.First, the finger curled down and touched my lower vaginal wall, at the level of my dam. Curved, the finger turned upwards and rubbed my upper vaginal wall, just behind my clit.From there, a heat wave spread in my whole body in a flash, while simultaneously tightening my vaginal, pelvic and abdominal muscles convulsively. I could not open my eyes anymore and my whole torso raised itself.Groaning, I exhaled deeply and slowly until my lungs were completely empty and I could not breathe again.Sasha’s finger movements on my clit and in my vagina became faster and I felt the burning tingling transform into beautiful, muscular pressure in my vagina and in my abdomen.I still had not injected and finally had to straighten up completely. Only then could I take a deep breath to exhale with a loud groan.Now I was ready … my whole body shook … I got a beautiful orgasm.In another, deep and long breath, I took another breath to hold my breath again and with a full chest while my upper body fell back onto the bed.My leg muscles hardened, causing my legs to lift themselves out of the ground and into the air. At the same time my feet stretched in a equinus position.My arms, which I had previously lasciviously deposited over my head on the bed to signal Sascha that my body is freely available to him, now also tensed and clenched with fists clenched in front of my breasts.My muscles in the abdomen and lower abdomen contracted violently and exactly in the rhythm of these contractions my head also rose, whereby I thrust my chin rhythmically against my chest.Probably, at that moment, I looked like I was going to cramp up completely.In fact, an indescribable sense of wellbeing spread in me, so that I did not notice the tension of my muscles at all, but felt only a lightness and felt happy.Sascha had of course noticed my orgasm and rubbed it motivated my clitoris firmer and faster while he massaged with two fingers of his other hand deep inside of my upper vaginal wall. This did not stop my orgasm for many seconds, but remained at a high level.I kept my eyes closed. On the black background of my eyelids, I saw red, purple, and yellow dots and surfaces flowing smoothly into each other.In addition, I felt the musculature of my vaginal entrance, as Sascha’s fingers firmly enclosed in me, so I could feel his fingernails, skin wrinkles and finger joints quite clearly in me.When my orgasm subsided, my muscles relaxed pretty quickly.At the same time, Sasha’s touch became slower and more tender again.Only now, many seconds later, my breathing began to deep and powerful again, my head sank back onto the bed, I put my arms over my head again, put my legs back on the ground, but remained wide spread and with closed eyes in front of Sasha lie.Sascha stroked my vagina now very gently and kissed and tenderly licked my labia while I recovered and slowly came to breath.I felt a deep contentment and felt incredibly comfortable and safe in the hands of Sascha. The intrusive tingling and itching in my vaginal entrance had suddenly disappeared.Thoughtfully and with my eyes closed, I now followed the tender touch of Sascha’s tongue, which suddenly touched my vagina and felt warm and moist there and almost performed the work of a gentle relaxation massage.He licked my tongue with the tip of my tongue and then with the entire surface of his tongue top along my left labia along to my clit.Then his mouth reached the transition between my left labia and my left inner thigh and sucked there, then letting go again with a smack. Then he sucked my left labia firmly and pulled her to let go again smacking.His tongue slid up to my mound, which he licked intensely with his entire tongue surface.Then his tongue formed again pointed and felt his way to my open-shaped clitoris, which, I could even feel, something protruded by the spread of my legs.First pressed his tongue tip directly on my clit and because I was there still sensitive by my orgasm, I had to moan once loud and my stomach muscles tensed immediately.Immediately the tip of the tongue interrupted her touch at this point, then to penetrate something below my clitoris between my labia and from there to the top, back in the direction of my clitoris to slide.My breath stopped. My abdominal muscles tense again. I felt this almost painful pressure, which radiated from my sensitive clit zone in my labia, my stomach and even into my legs.Then reached the tip of the tongue carefully and a little trembling again my clit and pressed again directly on this my most sensitive point.With clenched fists, I suddenly clasped my arms in front of my chest, raised my head like a remote control, had to moan loudly and pressed my legs together.Since I had previously received some air in my abdomen from the wanking of my vaginal entrance through the two fingers of Sascha, accidentally escaped me at this moment a small Pussy fart and I felt that was also pressed a little of my vaginal juice outside and me on my vaginal dam ran on my butt hole.Terrified, I opened my eyes and looked straight at Sasha, who in turn immediately straightened up and returned my gaze directly and cheekily smiling.I heard myself stammer:”Oh … oh no, I’m sorry … oh … oh man, I really did not want that!”This situation was incredibly embarrassing for me, but Sascha replied cheekily grinning:”You’re a real pig, Miss Nadine. But that’s what I like about you! “”And I love your cunt and I like your pussy juice, little miss. Now spread your legs again! “No sooner had I opened my legs wide again, Sasha leaned with cheeky expression down again between legs and bit with gentle pressure on my vagina, so that I could feel a little painful, as his lower jaw slid over my labia and the teeth of his upper jaw They came to meet them over my mound.The 3 scratches that left the stranger’s fingernails in the club on my labia, suddenly produced a pulling, burning pain and as his teeth approached my clitoris, the pain and pressure became so intense that I just had to laugh, my legs Angled and Saschas head with both hands from my vagina wanted to push away.Immediately, Sasha raised herself with a blunt look, while I laughingly pulled my legs together in front of him to protect my vagina from him.While I was still laughing, Sasha responded with a command tone and said aloud:”Discipline, Miss Nadine! Immediately legs apart and arms over her head, miss! But immediately!”I obeyed him, but still laughing and presented my scabbard again.Immediately he continued his work and bit tenderly in my left labia, then in my right. Then a gentle bite followed in my clit, followed by a strong sucking my clit.Troublesome, with clenched teeth, eyes closed and still laughing, tried to keep his bites out and stay spread.Again his teeth slid and scratched rhythmically over my labia and my clit. My breathing became heavier and adapted to his biting rhythm. I felt heat in my labia and my vagina entrance.In my breasts and in my abdomen came again that feeling of pressure that felt like before my previous orgasm very pleasant and generated a desire for satisfaction in me.I consciously felt again my divorce entrance and the desire for something to penetrate me there.I could not breathe when I felt Sasha’s tongue on my ass, licking my vagina juice there. Then his tongue slid over my vaginal dam to my divorce, first wiped a couple of times flat over my two labia and then penetrated sharply shaped a few inches deep in me.The tongue moved smoothly in my vaginal entrance back and forth and then penetrated a bit more deeply into me.Then the tongue went up directly on my clit and began to massage this.At that moment I could clearly feel my breasts, my nipples, my abdomen, the inner walls of my vagina and my stomach. Everything in me felt tense but somehow light and floating, as if I were flying.I saw the colors again in front of my closed eyes and then I heard myself groan loud and deep…. my second orgasm …This “second time” I groaned and breathed my feelings just free and unrestrained.I no longer crossed my arms protectively in front of my body, my muscles no longer tightened spasmodically, I no longer showed any reflexes to bend my legs and tried to close to protect my vagina, but I groaned Sascha unrestrained and loud, presented him further spread vagina and let him do everything to me … massage, lick, suck, bite, penetrate … and I groaned loudly.Sascha apparently noticed it when my orgasm finally subsided again, because his tongue licked gradually softer and flat, rather than forcefully with the tip of the tongue.Repeatedly he kissed in between my labia gently, my mound and very gently and tenderly my clit, then right after gently licking between my labia.So Sascha gently massaged my irritated vagina for some time while recovering from both my orgasms. How long this lasted, I can not understand, because I had lost in the meantime any sense of time.Chapter 6 – My first blowjobAt some point I felt like doing something that I had always dreamed of as a young teenager.I’ve seen it many times in porn movies on xHamster.com and check out these sex practices regularly, then dream about it and imagine what it would be like to do that in place of the model.Very often I look at porn with a pretty teen model, for example. B. be used by a gang or much older men downright and perform almost in each of these clips several Blowsjobs to finally get injected semen in the face or in the mouth.I have these scenes in my head all the time, and often because of my thoughts, I am very excited about them.I have never had a real penis in my mouth and constantly wondering how a stiff penis feels in my mouth.How does he taste?How does it feel to me if a man gets an orgasm in my mouth through my blowjob?Now … right now … I wanted to experience something real.I straightened up and looked straight into Sasha’s eyes.Then, without us exchanging any words, I leaned in the direction of Sasha’s lap.He understood immediately and leaned back in sync to my movements, spreading his legs for me to make room so I could kneel in front of him.I kissed his belly gently and licked his navel. He smelled beautifully of his sweetish shower gel.His skin felt warm and soft. His motorcycle suit, which he still wore, had a slightly sweaty skin surface, but his smell of sweat was not disgusting, but excited me.I noticed the excitement of Sasha, because out of the corner of my eye, despite his motorcycle suit, I could clearly see that he had a stiff penis.Also, his breath sounded trembling and erratic, and always just when I licked my tongue along his stomach down to his nipples, then to enclose with my lips and suck on them.Several times I pinched his nipples by pinching them with my incisors and pulling them gently, each time shaking Sasha’s abdominal wall, putting his head back and exhaling deeply.Then I stroked Sasha gently from the belly over his ribs up to the chest and let my hands slide under both sides of his shoulder pads, while I looked deep into his eyes and suggested that he should take off his motorcycle suit.Without breaking our direct eye contact, Sasha got up in front of me while my hands slid from his shoulders over his chest and stomach and finally out of his motorcycle suitcase.Then he pulled off his boots, his motorcycle suit and his men’s panties in front of me while I knelt in front of him and my face was right in front of his crotch.Sasha was completely naked now. He looked beautiful. I love the sight of naked men when they are athletically shaped, shaved and tanned.It had to have been very warm in the motorcycle suit, because his skin surface shone a little sweaty, but Sascha exuded a wonderful, male body odor. His smell and shiny body made me want to rub him, snuggle up and lick his skin.I knelt slightly splayed before Sascha, whereupon he placed himself very close to me, between my legs.I cupped his legs and gently stroked his calves, backs and back of his thighs, feeling a slight vibration in his legs. Sasha was very excited and his body trembled a little in anticipation of my touch.But his most beautiful body part was right in front of my face … his beautiful penis…. and because I was watching this beautiful part of my body uninterrupted and mesmerized and was unable to avert my gaze for even a second, I took everything else around me as peripheral.His penis was already too stiff and was at the level of my eyes. Since Sasha had apparently tanned completely naked, his penis showed a tan without interruption to the rest of his body tan. Even his scrotum was browned.Looking back, today I would estimate that his member was about 15 – 16 cm long and 4 – 4.5 cm thick … so not too big, but not too small. And since his member had grown absolutely straight and his scrotum was tightly formed, I found Sascha’s genitals beautiful.By stiffening his foreskin was already half retracted.Sascha’s penis was beautifully presented in front of my eyes and, unlike the rest of his body, shined strangely not sweaty, but showed a seemingly soft, velvety skin surface.I leaned forward only a few inches and was already with my face to Sascha Lende and looked at his sex now very close to the side.Then I touched his Penis shaft with my nose, directly at the beginning above his scrotum and breathed his smell deep into me. This fragrance was a wonderful blend of sweetish shower gel, a little sweat and the scent of his penis, and as I inhaled a few more breaths of that fragrance, I noticed that the tingling and itching in my vaginal entrance was returning.I followed the course of the penis shaft up to the glans with my nose and continued to inhale its smell while my long, pleasurable breaths were clearly audible for Sascha.When I reached the glans I looked up briefly and noticed that Sasha had closed his eyes and held his breath.At the same time his penis was now fully stiffened and stood upright in full size. His foreskin had now retreated to the glansroom and in front of his peehole a drop of clear juice spilled, which after a few seconds, although a thread down, as if it dripped now, but still stuck to the peehole of the glans and not on my body or dripped to the ground.Such a moment the male sex looks simply the most beautiful. I love the sight of penises and scrotums anyway and often watch clips on xHamster.com showing male ejaculation and think that there is no more beautiful or perfect body part to humans.But if, moreover, a penis is stiff, with retracted foreskin and inflated glans out of the synonymous still hung a suture thread with lust and if the penis smells so wonderful as now Sascha excited that certainly every woman and every woman then wishes the penis whole sure deep inside.I had that feeling right now. But I wanted to feel this penis with my whole body, touching, stroking, rubbing against him, licking and his taste.I leaned forward and kissed Sasha gently on his loin, whereupon he exhaled deeply. Then I turned my face to his penis and softly cuddled my face and hair on him.The soft skin of the stiff penile shaft and scrotum felt beautiful on my face.Now I stroked Sascha’s sex with my whole face, rubbing my face first, then my left cheek, my nose, and finally my mouth along it, then back to my forehead again to finally repeat the same stroking motion.Sasha breathed heavily.I took that moment as a dream. Never before was I so close to a male penis that I could touch it so intensely, smell it, rub against it, feel its softness.As I became aware of this, I became more violent in my head. I literally rolled on Sascha’s penis and scrotum until I finally started to bite Sasha’s genitals with my head, after which he had to go half a step back to interrupt the situation.Startled, I looked up at him.Sasha smiled cheekily at me, stepped right back in front of my face, gripped my long, blond hair with one hand and twisted his hand into my hair so that he got a firm grip and control over my head.Finally, he pressed his genitals against my face and with circular hip movements he stroked my face with his penis and scrotum. Sascha breathed deeply and loud again.The thread from his penis liquid and other drops that efter putade from his peehole, he smeared now by his movements on my forehead and in my hair.Sascha suddenly interrupted his hip movements and separated my face from his penis.By still turning my hair tight, he turned my face upwards, so I looked Sasha inevitably directly into the face. I could feel the fresh fluid from his penis on my forehead and on my nose.He did not smile anymore, but looked at me with petrified mine for a second.Without releasing my canlı bahis siteleri hair from his grip, he kicked me around, making me kneel tossing and pulling me like a toy, to my bed, behind him.He sat down on the bed and pulled me by my hair between his spread legs.Then he said softly, but in a tone of command:”You will now suck my cock and lick my balls, Miss Nadine!”Then he pulled my head to him and pressed my face against his scrotum, which felt wonderfully soft.Sascha released my hair from his grip and added:”Let’s start, Hot Lady!” And finally fell back on the bed, while I answered him: “Yes sir, very much!”Sasha was a beautiful sight. He was lying there just as I had been a few minutes earlier.He was lying in front of me with his eyes closed and legs apart, and his stiff penis and scrotum, which I could now see from below, were again directly and very close to my face.I could see exactly the contours of his testicles, which were under the skin of his scrotum. I looked at the veins on his penis and his shiny, inflated penis from the piss hole again a clear juice welled and ran down the penis shaft.On Sasha’s inner thighs I recognized a slight trembling, he was so excited. I wanted to feel it and touched his inner thighs with my lips and my face. Sascha jumped suddenly. As if to kiss, I kissed his inner thighs and gently rubbed my face against him again, but without touching his penis.At that moment, the desire for Sasha to feel his body scent, to feel his body heat, came back to me. In everything I did, I never let go of Sasha’s penis. This sight made me moisten myself again and again I felt a flutter and tingling in my vagina and in my stomach.During my caresses, I could see clearly how Sascha’s penis pumped up pulsating.When watching porn clips, this is always just that sight in which I feel this incredible lust in me and wish that the penis shown penetrates into me and I feel it inside me.It was the same now.I would have liked Sascha to penetrate deep into me, on the other hand, I really wanted to live out my fantasy of a blowjob….now!… here in my room!Sasha’s penis showed his most beautiful position a penis can have. Stiff, focused, plump.His foreskin was now completely withdrawn and released the full view of this beautiful plump, gleaming glans on whose peehole a thick drop trembled. The veins of his foreskin were also bulging and appeared clearly visible.This beautiful sight had something magical for me.First, I touched Sasha’s trembling penis with my nose tip on the scrotum and slid gently and tenderly on the shaft up to the glans. Again, I took his penis fragrance in deep breaths in me.Through my breath, I breathed Sascha’s penis inevitably lukewarm, whereupon I heard that Sasha now breathed much deeper and more excited and his abdomen raised and lowered violently.He shuddered with pleasure.Then I gently rubbed my cheek again on Sasha’s penis. Here I felt how his penis tense for a short time and thus for a short time felt thicker. Immediately thereafter, more juice leaked from his peehole.The juice ran down my nose and cheek. The thought that I had smeared even more of Sascha’s penis juice on my face made me feel like vaginal fluid.Finally, I gently kissed Sascha’s penis and nudged him with my tongue, which allowed me to re-cock and inflate his glans, and more juice ran down him.I licked a little flowing juice on the penis shaft with my tongue. Saschas juice tasted like slightly salted water and was not quite as liquid, but still very pleasant on the tongue.Not only with my cheek, but also with my tongue, I took this indescribable contrast was:Sasha’s penis was pumped up, but his penile skin felt silky on my tongue and on my cheek.I continued the tender exploration with the tip of my tongue and reached his scrotum, whose slightly wrinkled, soft and warm skin I gently licked with the tip of my tongue.Starting from his glans, now again liquid ran down the penis, which I licked cheeky and with the full width of my tongue, licking upwards.Then I sucked some sackcloth and Sasha groaned immediately.As I licked his Pungen a little harder, I felt both my testicles with my tongue and my lips.For the first time in my life, I felt the testicles of a man who were slightly smaller than chicken eggs.I carefully sucked one of the testicles through the sock and released it again, as I had often observed in porno clips. I could not help it and had to feel his sackcloth with my teeth. I felt an inexplicable urge to bite Sasha a little.So I sucked in some more Pungen hud and bit easily, without hurting the skin, and then proceeding with gentle chewing motions. I took my time and explored his entire scrotum in this way.And then I dared to suck one of his testicles in my mouth and gently enclose with my teeth. Now one of Sascha’s testicles was trapped in my mouth. This felt incredible and I thought that in this testicle is just a part of the sperm, which he would later inject me in my mouth.Sasha immediately stopped breathing as I closed my teeth a little tighter around his testicles. Then I sucked on the testicles in my mouth and Sasha groaned suddenly loud.I suspect that his sucking on his testicles hurt him a little. From this situation, I was totally horny, because I had the testicles of a man firmly and completely enclosed with my teeth. He was in pain and he could do nothing but keep quiet.Sasha even spread his legs a little further, as if he wanted to surrender to me. He breathed flat and strained further.Then I released the testicle from my mouth and sucked in the other to gently enclose it with my teeth. After a few seconds, I slightly increased my biting pressure. This must have felt Sascha clearly and painfully, because he stopped his breathing again and opened his legs even further.As a result, we seemed to be interacting with each other, as I drove Sasha’s body slightly into my teeth at that moment.I could look wonderfully out of my position at Sasha’s naked body and watch his abdominal wall. By her I saw when Sasha felt great excitement and tension.In the meantime he had put his arms over his head and left his body to me.After I had squeezed Sascha’s testicles a few times with my teeth and also my tongue tenderly and watched his pain reactions, I released his testicles again from my mouth and licked my own saliva, mixed with Sascha’s penis juice, from his scrotum.Then I bit again tenderly into the skin of his scrotum and then further up in his penis shaft. With biting and chewing movements, I worked on his penis up to the glans, from the peehole more juice flowed.Sascha cocked his penis and stopped his breathing again as I gnawed on his glans with my teeth.Then I licked the juice with his tongue out of his peehole and bit several times behind the hem of his glans and then pulled with light biting my teeth on the glans back to the peehole.It was always pouring new juice from his peehole, which I sucked off immediately.I liked playing with Sascha’s penis playful and thereby aufzililen him to bursting. Also to lick the juice from Saschas Peehole, felt to me as if I was just a model in a pornographic film.Finally, I grabbed Sasha’s penis with my right hand and took him in a tight grip.Sasha did not have a monster penis, but the fingers of my hand could not completely enclose his penis. He was somehow like my new toy in my life and felt beautiful in my hand.Finally, and for the first time in my life, I held a stiff penis in my hands.A penis that stood in its most royal position in front of me and was left to me completely by his owner for exploration and use, … excited, … pulsating, … trembling … and permanently hot juice came out of his peehole.This sight was so overwhelming. I will never forget this moment.I took the glans from above completely in my mouth and sucked it now firmly. Immediately Sascha groaned and more juice came out of the peehole and flowed into my mouth. I sucked as hard as I could and rhythmically began to move my head back and forth, whereupon Sasha’s breathing became deep and heavy.Then I gently licked his penis, then immediately suck it up and take his juice again, while I at the same time with his right hand, his two testicles covered and gently kneaded.While I sucked his glans I scratched my nails with his fingernails all the way down to finally press my fingernails into the scrotum skin, whereupon Sascha stopped the air and his belly protrude.I tried everything for a few minutes on Sascha’s penis, which occurred to me and somehow also learned to deal with the male gender.It became clear to me that I do not have to be so careful with a penis, but actually can do anything with it. … it’s actually the same as with my vagina.Then I continued and licked Sascha’s glans again and began to jerk his penis slowly and with a gentle handle up and down.Now and then I sucked his glans briefly and then licked on.Sasha groaned deeply and cocked his penis again. I could clearly feel that in my hand.During the wanking he kept completely the tension in his penis upright and his glans looked thereby the whole time beautifully shiny and fully inflated.Instinctively, I jerked faster and licked with his tongue pointed repeatedly in his peehole.I was totally excited, because I really wanted to know what it’s like when Sascha has his orgasm and squirts sperm out of his peehole. I had seen this hot moment so far only in porn on xHamster.com and looked spiked banned on the peehole.Then I positioned my mouth directly over the Peehole and jerked Sasha’s penis now much faster. And I jerked his penis now completely through, so down to the scrotum and up over his penis addition, by his foreskin with a reasonably firm grip on his glans pushed out, then forceful immediately immediately in the opposite direction to wank down etc ..Through the tension that held Sasha upright in his penis and through my tight grip, I now felt in my palms the veins of the penile skin and the structure of the cavernous bodies below.This is a wonderful feeling to feel a penis so completely.Then Sasha moaned a little louder, took a deep breath and finally stopped his breath.His abdominal muscles stiffened and he pushed his pelvis against me, as if he wanted to push his penis into my mouth. No doubt, Sasha instinctively performed fuckings in pleasure. This behavior I often observed in porno clips when men get their orgasms.Taut, I jerked even faster and could see how the testicles were pulled upwards and slightly inwards. I understood that Sasha just got his orgasm.As in the porn film, I initially enclosed with my lips his glans, but then took my face but back because I really wanted to watch as the sperm squirts out of his penis.A little nervous and confused, I then quickly led my open mouth over the piss hole, while I vigorously further jerked.Everything suddenly went way too fast. I could not think straight, but when he did not spray immediately, I took my face straight back to have a look at this shiny, inflated glans when Sascha groaned deeply and I shot the first splash of cum from his peehole.He hit me on the chin and under my nose and was obviously just something like a “projection” and therefore not so much. But I took the smell of semen for the first time in my life … I never forgot that smell again … hard to describe … maybe a bit musty … but not disgusting. Cum has just its own incomparable smell.Because this first splash but actually shot out of the peehole and met me even in the face, I was frightened and initially jerked violently back with my head, and then as quickly as possible to close Sascha’s glans with my lips closed eyes.Then Sasha again held her breath, pushed me back against his pelvis and with it also his penis deeper into my mouth and squirted again. But this time right in my mouth.I felt exactly how this splash hit my palate and into my throat. And this second splash was much more sperm. The sperm ran immediately from the throat over the tongue forward to my front teeth and felt comfortably warm.Then the third, just as violent splash, with just as much sperm. This splash hit me in the back of my throat and on the suppository, almost triggering a sip in my throat. Immediately I felt again the heat of the sperm in my mouth and throat.The fourth splash hit my left molars because I tilted my head slightly to the right to see Sasha’s face and maybe make eye contact with him as he squirts in my mouth.But his eyes were closed and he had his lips pressed together. The sperm of the fourth spatter ran down immediately to my incisors, while I continued to close Sascha’s glans with my lips.With my tongue tip, I sought contact with the Peehole and felt two more, smaller splashes that hit my tongue tip.Then Sasha’s pelvis sank back onto the bed and he took a deep breath. His body went limp and he moaned relaxed.I looked up at Sascha’s face, who now returned my gaze and smiled straight into my eyes, while still holding his penis with my lips and my mouth filled with his sperm.He probably smiled, too, because his sperm stuck to my chin and under my nose. Probably I saw in this moment very cool and used.Then I let Sasha’s still stiff penis glide gently out of my mouth, tightly wrapped around my lips so that his sperm did not go wrong.And only now did I realize that I just had warm, male sperm in my mouth.It was not as viscous and slimy as it always looks in porn movies. It even felt fluid in my mouth.With my mouth closed, I stirred Sascha’s sperm with my tongue and absorbed his taste. Somehow Sascha’s sperm tasted surprisingly neutral, but still good and maybe a bit salty.Taste and consistency of sperm I liked, I had previously thought it a little disgusting, but still I always kept my curiosity and my secret blowjob dreams.I thought that it would cost me overcoming to be injected by a man in my mouth, but now this experience made me really horny. I felt heat again in labia and my abdomen began to flutter with excitement.My mouth was about half filled with warm, male sperm and I tilted my head back and forth so that the sperm moves in my mouth. It felt wonderfully dirty and Sascha watched me while grinning.Then looked at Sasha’s still stiff penis, from the peehole still flee single drops of sperm and ran over the fingers of my right hand, with which I still held his penis.I thought that was a beautiful sight. This stiff, sprayed off penis in my grip with small sperm flows on the back of my delicate hand. … what a beautiful sight, … what a nice moment.And I also felt a little slutty, which excited me, however.Sascha looked at me still happy, who lay relaxed in front of me and whose sperm was in my mouth. My hand was covered by his sperm and the air in my room also smelled of semen. A beautiful fragrance that I will never forget and that makes me wet right away if I notice it anywhere.Sascha finally sat up and sat in front of me on the edge of the bed, in front of which I knelt.He gently touched my cheeks with both hands and gently raised my head so that I looked up into his face.Then he said softly, “Show me. Open your mouth. “I pushed my lower jaw a little forward and slowly opened my mouth. Despite my caution when opening my lips, ran me a few drops of sperm left and right from the corners of my mouth down to my chin and dripped on my breasts and my thighs.Sascha smiled again lovingly and looked down at me briefly.Then he looked back at my face and said, “Put your hands on your back.”And I obeyed him immediately.Now I knelt naked before Sasha. It felt like my hands were tied to my back. I looked Sascha directly in the face, whose sperm I had in the mouth, which I presented him with open mouth.In the porno clips, only the female slaves actually show such behavior. …strange feeling….Sascha smiled the whole time and looked enthusiastic. Then he said:”Move your tongue … give it to me.”Carefully, I stretched out my tongue at him. Here again some sperm flowed out of my mouth and dripped onto my body. But part of it also ran down my chin along my neck and finally through my breasts to my navel and into my lap.Sascha tapped a couple of times on the tip of my sperm-covered tongue with his index finger and pulled out of her playful sperm threads, which “ripped” a few cm and again fell in.”Stir my sauce with your tongue,” he ordered.Under his supervision I slowly moved his sperm with my tongue as he ordered me to continue:”And now spread my sperm with your tongue on your incisors and upper lip.”I did that too, as I drove slowly along my upper lip with my sperm-covered tongue. Sascha’s gaze followed the movements of my tongue as if spellbound, while a few more drops flowed out of the corners of my mouth.Then he ordered with a serious mine: “Stop it and shut up.”I withdrew my tongue and looked at Sasha with open mouth, who now traded his index finger in the sperm in my mouth. Then he drew a sperm stroke along the bridge of my nose with his index finger. He dipped his index finger again in my mouth and then drew me two vertical sperm strokes on my forehead.In the same way I also received three horizontal sperm strokes left and right on my cheeks.Finally, he showed an index finger and middle finger in my mouth at the same time and each drew a broad line of sperm across my shoulders up on my upper arms.Now I was completely smeared with sperm and Sasha looked at me with wide eyes lost in thought.Then he whispered softly:”This is the war paint of a great woman. You look beautiful, Nadine. That’s better than any make up. This war paint says something to you. It’s like receiving awards. “I would often think about this sentence of Sascha later.Finally, Sasha’s expression became clear again and he ordered me:”So, shut up and swallow everything, Miss Nadine!”I swallowed Sasha’s sperm as ordered, but I had to swallow twice, as the amount of fluid in my mouth had increased significantly due to my own salivation.After that I had an aftertaste of Sascha’s sperm in my mouth and apparently the air smelled even more intense sperm. No doubt, my open mouth, through which I breathed again, Sascha’s sperm smell in the room.With my hands behind my back, Sasha’s penis was drawing close to my lips and smelling it. He too smelled strongly of sperm.Sascha wiped his glans over my lips and smeared cum on my mouth and over my face. I liked everything and wanted to completely absorb and experience Sasha’s sperm and its smell.Sounds weird, but at that time I fell in love with Sascha’s penis. He was the first one who injected me in my mouth.I licked Sascha’s fingers and his hand clean, working my way down to Sasha’s testicles. I licked the sperm drops gently from his Scrotum skin, as I have seen in porn movies. Sascha watched me closely and sometimes breathed a little more excited, because of this sight.Then I took another testicle completely in my mouth and grinned cheekily to want to bite, whereupon Sasha held his breath.But right after that I licked gently upwards in the direction of the glans, from which now some, remaining drops of thicker sperm swelled out and my tongue counterflowed. I licked everything and was always horny, also because of the sperm stomach, the Saschas penis exuded.The smell of sperm triggered subconscious sexual excitement in me, that was clear to me.Again and again I tenderly Saschas penis tip and licked his peehole, from which again and again sperm flows, which was received directly from my tongue.Since I had often heard that you can suck a penis, I enclosed Sascha’s penis again with my lips and sucked once vigorously. Immediately a thicker drop of remainder sperm spilled out of the peehole in my mouth.At the same time Sascha moaned loudly, threw his upper body back on the bed and squeezed my head between his thighs.”Oaah, do not suck so hard!” he moaned out loud.Then he opened his legs again and I sucked and licked much more gently. His penis had become somewhat sensitive to the jerking and my blowjob and probably hurt him a little, as he later told me.By the way, I also know that from my vagina when I have masturbated violently.That afternoon, I licked Sascha’s penis and testicles for a while.He enjoyed it very much and I got to know the male gender in detail, namely, how it feels exactly, its smell, its taste, its stiffness and its sensitivity.I kneaded and squeezed Sascha’s testicles in the meantime and he told me in the meantime, at which pressure it causes him pain, or at what pressure strength he could not stand it anymore.Sascha let me do everything with his gender and I was allowed to try everything.At some point Sasha said to me:”By the way, you did your job well today, Miss Nadine! Maybe you should think about whether you want to make the tails blow in the future professional? I know there various newspaper advertisements in the advertising section of our Newspaper, where so horny teens like you offer their services. For your services too, Miss Nadine, perhaps a newspaper ad should be on the ad section, do not you think? “I also returned to my little role and answered him:”Thank you for your praise, sir. And thank you, that I was able to blow your beautiful penis and drink your juice. However, I’m not sure if it would be very attractive if strangers could just book me through a newspaper advertisement and I would then have to be fully available to them. I’ve always dreamed of it, but in reality I would never do that, sir, for your affection is quite enough for me. “… now she suddenly returned, my fear. This short, playful conversation with Sascha reminded me of the last night.Is it really over? … is the last night in the dance palace forgotten? … does the head of security leave me alone? After all, he was personally in front of our house before …And what happens to all the pictures and films of me that are now stored on so many smartphones?I feel nausea rising in me …To be continued…© by Katze3 on xHamster.com, 2019

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The Doctor is In – Part 3

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College

The Doctor is In – Part 3I apologise to my readers. I incorrectly referred to a cervix as a hymen in my last missive. My mind doesn’t work so good these days that’s why I’m writing this down. When I have an erection I have even more trouble…. So please forgive me. Anyway I hope no one is reading this as prep for their medical exams !Talking about hymens reminds me of this story… I had been at the Sanatorium a few weeks when I was summoned to appear before the Headmistress at Miss Belfree’s School for Young Ladies which was the other side of town. I was quickly ushered into her office .”Doctor,” She said. ” I trust I can rely on your discretion, I should hate for this to leak out. It would ruin our reputation.””Madam.” I replied. “I can assure you as medical professional my lips are sealed. How can I help ?””Well,” She whispered, “last night some boys were discovered, after lights out, in one of the dorms. I need you to check that all the girls are still ‘intact’. So to speak.””You mean virgins ?” I queried.”Exactly.” She explained, ” These young ladies are all from wealthy homes. Their parents sent us young virgins. They are expected to be virgins when güvenilir bahis they return.””So you have them all inspected before graduation ?” I asked with incredulity.”Of course not.” She said with indignation. “We have never had need to doubt our young ladies before….. It’s just that after this incident we need to be sure. You do understand ?””Of course.” I lied, “How many girls do I need to check ?””Twenty-five.” She replied, “All between the ages of sixteen to eighteen.””How will we do this?” I asked.”You can use this office I will send the girls in one at a time.” She said, handing me a piece of paper with the numbers 1 – 25 written down the page. “You will put a check if they are a virgin or put an ‘x’ next to their number if they are not.” “You will not be in here with me as I examine the girls ?” I asked.”Certainly not !” she exclaimed.”OK. Send in the first girl.” I was keen to start.All the young ladies at “Miss Belfree’s” were required to wear a very attractive black and white school uniform. It started at the bottom with lace up shoe/boot that was calf high with a 2 inch heel. Then they wore black stockings of which only a couple of türkçe bahis inches could be seen before obstructed by the hem of a white lace petticoat over which they wore a black smock with a white shirt and black tie. The variety of under garments they wore was an eye opener as I was about to find out.Number 1 walked in. She was a pretty girl of no more than sixteen.”Come in and close the door.” I said. “Do you know why I am here ?”She nodded yes.”Don’t be afraid, I will not touch you but I do need to see your …err … what do you call it?” I uttered.”My koochie?” she replied.What a wonderful word for it, I will keep it in my arsenal for future use. “Yes…koochie.”I had her lay on the headmistresses desk. She pulled her skirt up and revealed her white silk pantiloons. The crotch was split so the wearer could use the bathroom without having to remove them.”Show me .” I instructed.She opened her legs wide and spread open her knickers revealing her little near hairless cunt… err Koochie.”Open it wider please.” I asked.She pulled open her pussy lips revealing that sweet, sweet pink flesh. There was no sign a hymen, not that I could recognize one if she güvenilir bahis siteleri had one. I was looking at a normal, pretty, delicate, totally fuck-able tight twat.”How did you loose you virginity ? Was it riding horses?” I asked.She looked up at me with fear in her eye’s.”Don’t worry.” I said smiling, ” I won’t tell… but you should warn all the girls about riding….. horses I mean.”She smiled at me and relaxed.”Since I have you here I may as well test you for vaginal infections. Is that ok ?” I asked.She nodded ok.I had her put her finger into her koochie and get it wet. Then when she pulled it out I had her put it in my mouth. Ohh the taste… it was so delicate, no saltiness, no fishy tang, just sweetness.I had to be sure so I asked her to put her finger back in and let me taste some more. Ohh… It was true nectar, someone should bottle this stuff and sell it ! I also had her taste it (I don’t know why I do this there, is no medical reason for it that I know of. I do get a kick out of watching women taste themselves though).”You are in fine condition young lady.” I said with a big smile. “Send in number 2.”What a day that was! Twenty-five sweet young ladies showed me their koochies and let me taste them all. Not a virgin in the bunch! I think there was more going on in that dorm than just sleeping at night.I handed in my report with 25 check marks to a very relieved Headmistress!

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Photo ShootIt was just another day. It started with a nice hot shower and I just let the water run down my body and I stood under the water until the it started to cool down. I went out onto the deck with my morning coffee and I was looking out over the back yard pool. I had a great view of the valley from where my houses situated at the top of the hill. I loved my house and my life. I was early retired due to some great tips and some well thought out stock purchases and sales. I was not the ultra wealthy but I and my k**s never had to think about to much. All my k**s were in the world already and I was just living the single life since my wife left me for someone else. I get it I worked all the time and I was not home much and I was not a great family guy. But in the end it all worked out I was comfortable and retired and just doing what I wanted to do. I vacationed several times a year and I rode my bike (Harley that is ) I had my 60’s muscle car in the garage and my day to day driver was also a pretty sweet next years model vette. So I was pretty good. I maintained my year to perfections and there was never a long blade of grass or a stray leaf on the ground. The flowers along the trim were always perfect no this was not due to me I had a great gardener. So life was pretty good. So like I say this morning was typical and I was sitting enjoying my coffee on the deck. I heard one of the neighbours sliding door open and out stepped Debbie onto their deck. Now Debbie was what you would call a hot milf. She was early thirties had one c***d that must have been born when she was in her teens as the k** finished high school let year and was already out of the house in Uni somewhere. Debbie was fucking hot she had red hair and a great body her eyes were the deepest blue and she had a great set of pouty lips that always seemed to scream “I suck cock.” She was well endowed in the great department and due to many hours at a gym and in her back yard pool she had a great ass and perfect legs. Now Debbie and Frank I would not consider friends but I had ran into them on different occasions and we were always polite to one another. Debbie lifter her arms above her head and gave a great stretch lifting her short little nightie just above her ass. I was not able to see any panty bands along her hips but I was not sure if she had them on or not. She was a great picture to look at in the morning and today was a great day. She moved back inside her house with not even a glance in my direction so I am not sure if she knew I was there or not. I finished my coffee and went to get my day started. I pulled the Vette out of the garage and parked it in the drive way and was giving it. Good wash and wax. I loved doing it may self I always felt I did a better job than a detail shop. I was almost finished when Debbie and Franks garage door opened and Frank backed his SUV out and pulled onto the street he gave me a wave and drove done the street heading off to work. I was just putting the finishing touches on the car when Debbie came out of their house and came over to me. She was wearing the shortest pair of pink denim shorts that were split up the sides and two very thin pieces of elastic was holding the sides together. This time I new for a fact she did not have on any panties. She was wearing a crop top that barley covered the bottom of her tits and as she bounced across the drive way I also noticed no bra. Her nipples were hard and erect rubbing against the thin material of her top. We said good morning to each other and made some small talk. Debbie asked if I knew someone who took pictures but just for a hobby not a professional studio she did not want to open that kind of money. I mentioned that I actually did amateur photography and asked what she was looking for. She kind of turned red in the face and was shy to tell me but finally she said.“Hey I am not going to have this body for ever I know that and I want to get some sexy pictures taken so I will have them for ever.”I grinned and said “I can do that what are you thinking about.”She really did not have any set ideas and was open for some suggestions. I said well lets go into the house and have a coffee and talk about it. Debbie lead the way into my garage and through the door into the kitchen and I walked behind her ogling her tight ass and well tanned firm legs. We sat at the table and we talked about what she was looking for and she was saying“you know she sexy bikini shots maybe some work out gear shots nothing to risqué but still very sexy.”My mind was already reeling with ideas. My cock even stirred a bit as I was thinking of some of the poses and outfits I fantasied about her in. I asked “When do you want to do this and where.”She said “well I would love a beach setting but I am too shy to expose myself in the public like that.”I said “Well let me think about it and I will see what I can come up with how about this Friday.”That would be great Frank is going on a hunting fishing trip for the week starting on Friday.”My mind was again thinking of all the great shot and that we actually had some time to do it also. For the rest of the week I drove around looking for some spots on a beach but never really came up with anything. I was in the bar with a buddy and I mentioned I was looking for a private beach to do some model shots but it had to be really private and if he knew of any. To my surprise he said he had a cabin on a lake with a great sandy beach just out of town and he was the only cabin in that bay so privacy was guaranteed. He gave me the directions and the next day I drove out to the cabin to check it out. It was perfect he even told me where the hidden key was and that I could use the cabin also. fThis was a great situation and I had some great ideas to even take some nice shots of my car also. Friday rolled around and I was again just wiping down my car when Frank left for his week long trip. It was not long after that that Debbie came bouncing over to my drive. She was very excited looking and was caring a large gym bag that I assumed had her wardrobe in that she was going to want to take the pictures with. Again she had on a pair of blue denim shorts this time but they were the same design and I again knew immediately that canlı bahis she was not wearing any panties or bra. Her nipples were erect and she had her hair pulled back in a bun to travel. I told her of what I had found and that the location was perfect for what she was looking for. She gave me a sly little grin and I took her bag tossed it behind the front seats and we both slid down into the car. I had removed the tops of the car and we were flying down the highway in no time. Debbie was definitely a free spirit as she raised her hands above her head and let the wind blow through her arms. Then she slipped the safety belt off and lifted her ass up against the back of the seat and the whole top half of her body was now outside the car. The wind blew her crop top up and on several chances I caught great flashes of her bare tits and erect nipples. Soon we were on the little side road that lead down to the lake and was pulling into my buddies cabin. I pulled the car down around to the front of the cabin just off the beach on a grassy area where I though I could get some good shots. Debbie and I got out and both of us walked down to the beach and she was very happy with the location. She was jumping with giddiness and I was again watching her great tits bounce around under her top. We went up to the cabin and I opened the door and explained to her that she could get ready in here . I in the mean time told some lawn lounge chairs down to the beach and I took some test shots to find good locations. It took Debbie some time to get ready but I knew she wanted to be perfect for the shots so I was in not hurry. Finally I heard the cabin door open. Debbie was amazing looking her hair was all curled and perfecter makeup was perfect and she had on her first outfit which was a very small pink bikini. I whistled as she approached and told her she looked stunning. She smiled and thanked me and right away we started taking shots. She was a natural. She struck pose after pose and she how to look away from the camera and into the camera and I just gave a few pointers here and there and the pictures where turning out great. Debbie make a few wardrobe changes until she came out with what was the absolute hottest out fit yet. She was wearing a pair of thong panties the were open crotch with a small jewel hanging infant of her shaved perfect pussy. Her bra was also very tiny and completely see through. Her pink nipples were in full display and they were erect. . As she approached she said I hope this is not too much”I laughed and said “Babe it was just perfect” My cock started to move as I felt the blood rush from my brain to my cock. She was striking pose after pose careful not to completely expose her bare pussy to me. Then she asked if she could pose with my car, of course I agreed immediately and she was striking some very sexy poses on and in the car. I had her sit on the hood with the Corvette insignia between her legs and she lowered her pussy down until it was just above the badge. I took some great close ups of her pussy and the insignia. Wow these were some hot shots. Debbie was moving around like a cat but always just the front of her towards the camera. I moved her to the back of the car and asked her to bend over the rear spoiler and spread her legs a bit. She smiled and when she did that pose that is when I saw that she had inserted a jewelled headed butt plug into her ass. The very tiny little strips of cloth split the plug exactly in half and it was a perfect shot. I was taking some great shots and I even got down on my knees and got some super close ups of her ass and the butt plug. When I stood up Debbie had removed what little bra she was wearing and she jumped up onto the back of the car lifted her legs wide up into the air and she started to slide her fingers in and out of her very wet pussy. My cock was now rock hard in my shorts and I was taking some very explicit pictures . Some full body and some very close ups of her fingers in her pussy. Debbie then slid her fingers out still keeping her legs spread wide open exposing her blood engorged pussy flaps to me. She looked right at me and then she dropped head back bending her neck to an almost breaking point. I took the hint and dropped my camera and I lowered my head down between her thighs and I licked her pussy. I heard her groan and I continued to lick and suck her pussy from the bottom to the top and flicked my tongue tip over her clit. I looked up and Debbie was now looking down at me with a huge grin on her face as she was still using her wash board abs to hold her legs up in the air she cupped the back of my head and pulled my face right down into her pussy as I started to devour her. fHer juices were now running freely from her pussy as I sucked and licked her. Neither one of us heard the car noise and for sure we never seen it. I lifted my head and then I heard the stereo from another vehicle an I looked around. There parked off to the side was my buddies son and a few of his friends. They were all just coming to the cabin guess for a bit of a runaway. I could see that they were shocked and staring at Debbie and I well mostly at the near naked Debbie. The young twenty something guys all came towards us on my car and to my surprise Debbie said “ I guess you should get your camera” I laughed and I stood up and picked up my camera. Debbie lowered her legs slipped off the back of the car and singled for the young men to come over. Well I barely had time to take any pictures of the guys with their clothes on as they started to strip off their shirts and jeans. All of these young men had very hard chiseled bodies and they were already sporting raging hard on’s as they reached Debbie. Debbie giggles and I started to click away. I wanted to make sure I had some great memories of what I knew was about to happen. Debbie reached for the first guy’s cock and gripped it and pulled him close. He reached up to her bare tits and grabbed them roughly in his hand. The second guy reached Debbie and was behind her and he reached around and also was man handling her tits. The third and final guy was at her side and his hand was already on her pussy and from the look on her face he had his fingers inter already. Soon Debbie was being bahis siteleri lifted up off the ground by these guys and carried to the beach one guy ran to the car and grabbed a blanket and he ran back to catch up to his buddies before they laid her down. He spread the blanket a and they laid Debbie right in the middle of it. The three of them stood around her with raging hard on’s and I have to admit these guys had some Alpha male cocks on them. Debbie spread her legs and the guys ripped what little bikini she had left on and tossed it to the side. The first guy kneeled down by her head and she gripped his hard cock and started to lick and kiss the shaft and head, the second guy knelt down between her legs and he bowed his head down to her pussy. Now I now what this pussy tastes like and he was devouring her pussy with the inexperience of a young horny guy who was about to fuck this hot milf. The third guy was bent over Debbies chest and sucking and biting her nipples and massaging her other tit with his hand. I was moving around the group on the blanket taking click after click and never missing a beat. My hard cock was just going to have to wait but I was for sure going to fuck Frank’s wife today also. Debbie was now deep throating the cock in her face and I was impressed at her skill of taking the young guy to the root. The guy eating her out had now moved to position between her legs he lifted her ass onto his thighs and n one motion slid his rock hard cock into her. Debbie took the whole length in one motion and he grabbed her thighs and started to fuck her good. Debbie pulled the guys cock out oh her mouth and let out a moan as she looked at the fucking stud between her legs and grinned. I kept snapping pictures and rubbing my cock every so often to keep myself comfortable. I was getting some great shots of her face with a cock buried to the base in her mouth and throat and of her face turned to the side as the guy was fucking slamming his cock into her pussy. I new I was getting some great blackmail shots and I was going to be fucking Frank’s wife for a long to come after today. fThe young stud in her mouth gripped her by the hair and pushed his cock into her throat and I watched as his balls started to spasm and he unloaded his cum deep into her throat. He spurted shot after shot down her throat and the other guy was fucking her pussy hard. #1 guy pulled out of her mouth just as #2 guy gripped her thighs and slammed his cock into her and he shot off deep in her pussy. He held her tight as he squirted pump after pump of his man juice into her. When he finished he pulled out and the #3 guy just smiled. He placed himself at Debbies legs and he rolled her over onto her stomach. He and his friend laughed when then say the butt plug and I was taking all this action in on the camera. #3 grabbed the plug and with out too much style he literally ripped the plug from her ass. Debbie howled with the shock of it and in a beat he spit on his cock and rubbed the head against her pulsing ass hole. He grippe her hips and pushed his head easily past the ring of muscle and slid his entire length into her ass. Debbie cribbed the blanket in her fists and she bowed her head and bit the blanket in her mouth to keep from yelling. This guy with our mercy started to anally assault her. He was slamming his cock in and out of Debbie as she was gripping and releasing the blanket in her fists. The other two guys were cheering on #3 and he was enjoying his ride. It was not to long and he grabbed her held her steady and he slammed his cock deep into her ass and he pumped his jism into her bowls. When he finished he slid his cock out of her and she was lying on the blanket almost whimpering. Debbie had just taken on three hard cocks and all of her holes had been used. The guys looked at me and I gave them all the thumbs up and smiled. They helped Debbie to her feet and half walked half carried her to the lake. They took her into the water where was was able to clean her self up. I watched as I could tell she was cleaning all of her holes. And she was splashing the water on the guys also as she was started to get revived. After about a half hour of playing in the water and all the guys and Debbie were rubbing one another parts again it was obvious that the guys were ready for another round. Debbie was rubbing cocks and kissing the guys on the mouths and I could see she was wrenching the guys also getting them all riled up again. Two of the guys were in from and back of her and she was in a sandwich between the guys rippling muscles and hard cocks. The third guy came out of the water went to his clothes grabbed something and went to the cabin and un locked the front door. He called to everyone to come on in one of the guys picked Debbie up over his shoulder and with her bare ass exposed he walked her out of the water and up to the cabin and inside. Soon all of us were in the cabin and Debbie was tossed onto the couch. She barely stopped bouncing and one of the young studs had her mouth on his hard cock. These guys were quick to recover and she was going to get a royal fucking again. This time it was a little more civil. The guys took her into the bedroom and two came back out. The three of us popped some beer and the other guy stayed in the room and we all could hear Debbie moaning as she was getting well and truly fucked again. After some time she came out with a huge smile on his face and the next stud went in. Soon Debbie was moaning again and it was obvious he was fucking her hard with the squeaking of the bed swings and moans and groans coming from Debbie. Finally the third guys turn came and he entered the room of all the cock on display he was the largest but I kept my monster under wraps as I was by far larger than any of these guys. The guys were dressed and we all were talking and it turned out one of the young guys was my buddies son and my buddy told him he should drop by the cabin today. So my buddy had set me and Debbie up. The third guy came out of the bedroom and soon after Debbie emerged looking a little worse for wear she headed to the shower and while she was showering the three studs shook my hand and said their farewells and left. When Debbie came out of the shower she bahis şirketleri was looking quite a bit better and I had already retrieved her bag so that she could get dressed. Debbie disappeared into the washroom again and it took some time but Shen she came back out I was surprised at how fucking hot she had fixed herself up. We did a final look around the cabin to make sure all was in order and I locked it up and we went to the car. When we pulled out onto the highway to head back to town Debbie was not talking to much and I had a mile wide grin on my face and she knew I was enjoying her uncomfortableness. It was not long and I noticed Debbie unfasten her belt. She got up on her knees on the seat and faced towards me and she reached over and rubbed my cock. I could hardly belief it she was still horny as all hell and she unzipped my shorts and pulled my placid but hardening master out. Debbie looked at my cock and looked up at me and she grinned as she started to suck on my head and shaft barely able to get it into her mouth. I drove at the speed limit or even a little below it also I was sure that I was not going to get pulled over because for sure my driving was not a straight as it should have been. On more than one occasion while Debbie was sucking me off a big truck or even some pick up trucks and cars that were driving beside me were able to see her head bobbing up and down on my hard cock. Some tooted their horns some took quick pictures and I just smiled a and leaned back in my seat and took it all in. In no time I was pulling into my drive way I had opened the garage door and pulled the Vette into the building the door closed behind and I lifted Debbie up off my cock. She looked around smiled and we both got out f the car she grabbed me by the cock and lead me into my house and into my bedroom. I had pulled off my shirt on the way and had unfastened my shorts and dropped them also as we walked. By the time we were in the room I was nude and she was gripping my massive hard on. Debbie pushed my back onto the bed and she bent over and sucked my cock as far as she could into her mouth. She was quite the pro and giving head and she worked me over until I was very very hard. With a flick oh her hair she was kneeling up on the bed and she took off her top and shorts and there was that beautiful naked body that I had watched get ravished by those young men just a few hours before. Sh straddled my hips and reached behind her as she rubbed the head of my cock up and down her pussy to get the head wet and slipper to be able to take me in. She was started to slid the head of my cock into her and finally I felt the head slip past her opening I was surprised at how tight she felt even after the fucking she had endured earlier. But as I mentioned I was by far the biggest cock she had in her today. Debbie worked back and forth slowly until finally she had worked my whole mammoth unit into her pussy and she was rocking back and forth on me. I was rubbing her tits and playing with her nipples as she fucked herself on my cock. Debbie was a machine as she started to moan and groan. She wiggled around until she was squatting over my dick and now she was bouncing herself up and down slamming my cock deep into her pussy. I placed my hands on her hips and was helping pull her down hard onto my unit as she was moaning and groaning. Soon I felt her pussy start to grip and spasm on my cook as her juices squirted out around my shaft as she experienced a strong orgasm. I hugged her tight and in one motion I flipped her over with me now on top and I started to slam my cock in and out fucking her pussy through the orgasm. She reached up above her head and placed her hands flat against the head board of the bed as I was jack hammering her pussy. I placed my hands on each side of her head and I slammed my cock hard and Depp into her as I started to pump my load into her womb. I could feel her spasm as I felt shot after shot of cum ejaculate from my cock. Debbie arched her back and accepted the full length of my cock as she writhed through her orgasm again. Finally I was empty and I slid out from her twitching pussy and collapses on the bed beside her. I could hear Debbie breathing heavily beside me and I lay on my back catching my breath. In the morning when I woke Debbie was already out of the bed and I found her in the kitchen on the phone with the coffee already on. I kissed her on the cheek and I could not help but hear her explaining to who ever was on the other end about her fucking awesome day yesterday getting fucked stupid by everyone. Then she invited who ever over to literally suck on her pussy because it was to sore to fuck today but that I would be there and who ever that was should fuck me. After she hung up she looked at me and she told me that I was in for a great day. My cock was already stirring and she noticed the bulge in my shorts. She would not tell me who was coming over but as she bounced around the house making herself at home I did not mind as I was getting some great views of her side boobs and even some pussy flashes. At about 11:00 the door bell rang and she flew to the door to open. I could her that she was whispering to some one and then Debbie came back into the living she was nude and she was leading a just as naked little red head . This chick had an amazing body and her long red hair was beautiful the way it framed her perfect made up face. Her pussy had a little tuff of red hair just above her slit and her ass was perfect. Debbie paraded her right over to me and she then introduced the red head as Angel and that she was here for fun. I went to stand but Debbie pushed me back down on the couch and she dropped to her knees in front of me and unzipped my shorts. She pulled my already hard cock out of my shorts and started to worship me as Angel was down behind her suck on Debbies pussy and ass from behind. As soon as Debbie had me at my fully erect she switched placed with angle and I was equally amazed at her skill. Debbie made sure that I was truly engrossed with the BJ I was getting when she dropped the bomb and told me that Angel was her lover ever since she had married her brother Frank. I rolled my head back in laughter as I thought about my new best friend Frank and how I was going to be fucking his wife and sister for a very long time to come. Angel looked up from my cock and said welcome to the family. As I was still laughing and gently pushing her mouth back onto my cock.

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The Shoe StoreIt was finally time. I left work with my feet aching, victims of too old, too worn shoes. After years in retail, and a mature woman, it was time for new ones.But I was leaving late. Everything was almost ready to close when I got to the mall. I hobbled as fast as I could to the small shoe store way back in an out-of-the way part of the mall where I usually did my rare shoe shopping. An aged, white bearded man was almost ready to pull the grate down over the entrance, but he saw me limping towards her and paused.”Please,” I gasped. “Can you take care of me?”He looked at me for a moment, then grinned slightly. “Sure. Come on in.”I ducked under the grate and he closed it the rest of the way.”You look like your feet need some help,” he commented as I sagged into a chair and tore off my old shoes. I wiggled my toes, grateful I still had feeling in them.”That’s for sure,” I said. He just stood there looking at me, and made no move to show me any shoes.”I have to turn the lights down,” he said.I nodded my head and leaned back a bit. Ah, new shoes. A treat for my feet. The lights dimmed. He came back out and stood there again.”I know just what you need,” he said. “Be right back.” And he disappeared again.He came back out a few minutes later carrying a large basin. It looked rather heavy, and as he carefully set it down in front of me, I saw it was full of soapy water. Rising steam told me it was hot water.I looked at him curiously. He knelt, with the basin between us, and picked up my left foot. My eyes widened as he carefully lowered it into the steaming water. Oh, that felt so good.I watched in amazement as he meticulously washed my foot, even between güvenilir bahis my toes. Then he lowered it into the water again and did the same for my right foot. Soon both my feet had been scrubbed clean and were luxuriating in the hot, soapy water.”Um, you really didn’t have to do that,” I said, a bit nervously. He just smiled at me.”I’m not done yet.He disappeared again, leaving me there with my feet soaking comfortably. He came back with a small bottle and a towel.He removed my feet from the water and dried them off, sliding the basin to the side. I felt wonderful, almost as if I had just taken a nice hot bath. Then he sat, cross-legged, right in front of me, with my feet literally in his lap. The towel was on his lap, and this was getting a bit weird.He picked up the bottle and poured something on his hands. He then proceeded to massage both my feet. I couldn’t believe what this old salesman was doing. I also couldn’t believe how good it felt. I had never had a foot massage, or any kind of massage, but as his hands skillfully worked over my once-aching feet, I felt my whole body beginning to relax.This was great.There was just one problem.For some reason I couldn’t comprehend, I was feeling a bit aroused. He was at least as old as my grandfather.I shifted nervously in my chair. He grinned at me again, but didn’t say a word.My feet had turned to putty by now, totally limp. The ache was gone, as if it had never been. He continued kneading, caressing, but somehow never actually tickling, which surprised me. After a while, he wiped the oil off my feet and dried them thoroughly. I stared to thank him, but he still wasn’t done.He stared straight türkçe bahis into my wide eyes and slowly slid his tongue up the sole of my right foot. I shivered, staring back at him in shock. As he reached the top of my foot, I watched in amazement as my big toe disappeared into his mouth, a mouth surrounded by white whiskers. Still staring at me, he sucked on my big toe.I didn’t know what to do. I didn’t know what to think. And I didn’t know why I suddenly felt so damp between my legs.Grinning slightly, he turned her attention to my left foot and gave it the same treatment. His eyes never left mine.I was trembling. I had no idea how I should react. Should I say thank you? Should I ask him to stop? Should I tell him how uncomfortable I felt?Did I really even feel uncomfortable?As he began kissing my feet and sucking my toes at random, a soft moan came from somewhere. I shuddered as I realized it had come from me.I was undeniably wet now, and was u*********sly squeezing my cunt muscles. My eyes widened as I noticed a scent that I knew to be my own.The look on his face told me that he also knew that scent.I watched, unable to move, as his tongue slowly traveled past my ankle, up my calf, over my knee, up my thigh. His hands went to my thighs too, gently pushing them apart. Helpless, I did not resist. I couldn’t.Staring into my eyes, he took the lower edge of my skirt in his hands and pushed it upwards. Shaking like a leaf, I moved my bottom towards him a bit, towards the edge of the chair. I looked down to see my panties visible, stained from my arousal. He grinned at me again.A long finger with nicely trimmed fingernail slid between my skin and my panties. güvenilir bahis siteleri My panties were pushed to the side, exposing my throbbing clit. I could only stare in awe as I watched his tongue gently touch it. His whiskers deliciously tickled my thighs. I briefly imagined Santa licking meMy head fell back, my arms dangled limp beside the chair, and another, stronger moan echoed through the empty shoe store.The shoe man made me cum. Several times.Then, still without a word, he put my panties back into place, and did the same for my skirt. His tongue journeyed back down my thigh, my calf, to my foot again. I watched, dazed, as he sucked my toes once more.Then, pulling the basin back, he lowered my feet into the still-warm water, washed them again, and dried them. He stood up, smoothed out the wrinkles in his trousers, and he leaned towards me as I almost lay in the chair, and kissed me softly. My whole body tingled as this bearded man softly, tenderly kissed me. No tongue, just a pleasant kiss, his lips pressed against mine.He picked up the basin and towel, and disappeared.He came back a minute later, and I had recovered somewhat. Still not saying anything, he selected a very well-made, very expensive pair of shoes from the rack and carefully put them on me. They fit perfectly.He took my hand and helped me to my feet. Leading me to the entrance he pushed the button that raised the grate, and kissed me again, quickly. He gently pushed me away as the grate opened.Outside the store, I turned back to him. He smiled and pushed the button again, and the grate slowly rolled back down.Fittingly, the last thing I saw of him was his feet. Well shined, expensive shoes.I walked back to my car in a daze. It wasn’t until I got home that I realized he hadn’t charged me for the pair of $150 shoes.And it’s funny. For some reason my pussy always gets damp when I have them on. And I wear them a lot.

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