All posts by sexhikayeleri

Sofia part en chasse…

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Bdsm

Sofia part en chasse…La camionnette a déposé Sofia au milieu de la forêt, à proximité d’un pavillon de chasse. Sous son tailleur de cuir, elle tremble de froid. Elle s’avance vers la petite maison, en veillant à maintenir l’équilibre sur ses escarpins noirs et vernis. Pas facile de marcher dans les bois avec des talons aiguilles de douze centimètres. Une légère brise parvient à se faufiler sous sa jupe fendue mais Sofia, en bonne pute bourgeoise, est équipée pour pouvoir se faire réchauffer par des mains viriles. La belle salope porte un fin string noir, une guêpière rouge et noire qui met en valeur ses gros seins. À chaque mouvement, ceux-ci menacent de déborder de leurs bonnets presque trop petits. Les jarretelles de la guêpière peinent à retenir des bas couture noirs. Aux genoux, des plis se sont formés. Au niveau de ses chaînes de cheville, une pour chaque jambe, il y en a aussi. Un plug chromé barre le chemin de ses fesses. Du vernis rouge pour ses longs ongles, un collier de perles qui navigue sur sa poitrine. Sofia ne porte rien d’autre.À la sortie de la ville, Sofia a fait du stop, avec l’envie de rajouter un peu de piment à ce qui l’attend. À mi-parcours, elle a demandé au conducteur de s’arrêter. Dans la cabine, elle l’a gratifié de gorges profondes multiples dont il se souviendra toute sa vie. Le routard lui a littéralement défoncé la bouche, générant de gros filets de bave sur les sièges.Devant la porte du pavillon, Sofia n’hésite pas. Elle frappe trois grands coups contre le bois. On vient lui ouvrir sans attendre. Un homme au physique massif, comme s’il était tout droit sorti des bois, se présente.- Bonjour, moi c’est Philippe. Vas-y, entre.Sofia ne se fait pas prier. Elle pénètre dans la bâtisse. Une douzaine de paires d’yeux l’observent. Uniquement des hommes. Ça sent le mâle, la testostérone prête à être dégoupillée. Douze bites rien que pour elle. La belle bourgeoise sent que sa chatte s’humidifie, que son jus commence déjà déborder et à humidifier son string.Les premiers commentaires ne tardent pas à fuser.- Ça sent la grosse salope.- Ouais, un sac à foutre. Avance, qu’on te voit mieux.Sofia n’a pas peur. C’est même ce qu’elle est venue chercher. Des queues impérieuses, prêtes à satisfaire la moindre de ses envies de pute assoiffée de foutre. Ses talons claquent sur le parquet. Passant une langue mutine sur ses lèvres pleines, elle détache un bouton de sa veste de tailleur. Puis un second. Les hommes sont suspendus à ses mouvements.La veste de Sofia est maintenant intégralement ouverte, découvrant une poitrine lourde. Sous la fine dentelle de la guêpière, les tétons dardent déjà. Entre les cuisses de la pute bourgeoise, l’excitation gagne aussi du terrain. Son jus de moule coule sur ses cuisses, son güvenilir bahis string est complètement imbibé. Sofia retire sa veste et la tend à Philippe. Elle meurt d’envie de grimper sur la table, de se caresser, de montrer sa chatte trempée à ces mâles.Dans le fond de la pièce, de l’autre côté de la table, on s’agite, on ne tient plus en place. Plus rien ne compte. La présence de Sofia magnétise l’assemblée. La belle putain s’attaque à sa jupe. Quelques instants de silence où seul le bruit du cuir se fait entendre puis le vêtement atterrit sur le parquet. Le string, devenu dérisoire, suit le même chemin. Sofia peut juger de l’effet qu’elle produit. Les hommes se palpent l’entrejambe. Quelques-uns plus gaillards se lèvent et se dirigent vers elle.Des mains palpent sa poitrine, des doigts s’insinuent dans sa chatte fiévreuse. Sofia se penche un peu pour qu’on puisse accéder à son cul. Sa corolle ne cesse de déverser sa cyprine le long de ses cuisses. Des bouches surexcitées lèchent ses seins. En chef de meute, Philippe a posé ses fesses sur la table et sorti une bite bien dure. La bouche de Sofia plonge droit devant. D’abord par petits coups sur le gland violacé, sur les couilles épaisses et gonflées, puis remontant le long de la hampe.La traînée relève la tête, prend une grande inspiration puis gobe la queue entière. Sofia reste ainsi plusieurs secondes. L’homme lui maintient la tête avec fermeté pendant qu’un comparse lui dévore le cul à grands coups de langue. La belle putain est heureuse d’être ainsi dégustée. Philippe lui relâche la tête et Sofia, gémissante, libère un énorme paquet de salive.- Tu es vraiment une très grosse pute ! Tu en veux encore ?- Oui ! Oui ! Oui !L’homme est aux anges. Avec de terribles bruits de succion, Sofia pompe violemment sa bite. Autour d’eux, on se branle avec intensité, on caresse les bas couture qui font encore plus de plis. Sofia intensifie ses va-et-vient. Derrière elle, on ne tarit pas d’éloges sur sa chatte.- Mais quelle grosse pute ! Regarde comme elle mouille !- Impressionnant ! Elle en veut de la bite !La chatte incendiaire de la putain continue de couler à gros débit. Ses bas sont imbibés de sa cyprine. Son anus est tout aussi trempé. Un des mâles parvient à y rentrer sa queue sans le moindre effort pendant qu’elle continue de sucer avec avidité. Dans sa bouche, une autre queue s’est installée. Encore une belle bite que Sofia gobe comme une acharnée. Sur le parquet, sa salive forme désormais une mare bien épaisse. Dans son dos, le mâle continue de pilonner son cul. Une sodomie dévastatrice qui la fait hurler de plaisir quand elle relâche la queue.- Oui ! Oui ! Défonce-moi ! Plus fort ! Je suis votre putain !Ainsi encouragé, l’homme s’active de plus belle. Il s’agrippe aux hanches güvenilir bahis siteleri et aux jarretelles de la bourgeoise afin d’insuffler une cadence plus élevée. Sofia se laisse ainsi défoncer pendant cinq minutes avant de demander, le menton plein de bave, à changer de position. Elle se couche sur la table, laissant juste sa tête à l’envers, dans le vide, afin de se faire limer la bouche. Un des mâles en profite pour lui écarter les cuisses et dévorer sa chatte inondée à coups de langue ravageurs pendant qu’elle reprend un autre chibre jusqu’au fond de sa gorge. La salive coule sur son visage, sur ses yeux, se mélangeant à son maquillage. Sofia, comme si elle pouvait l’aspirer au-delà de ses couilles pleines, ouvre encore plus grand la bouche. L’homme s’y enfonce avec un râle de bonheur.Elle bave de plus en plus tandis qu’un des mâles a pris possession de sa corolle enflammée. Il la besogne sans ménagement, avec une frénésie non retenue. Les cuisses écartées, les bas plissés au-delà du raisonnable, Sofia est totalement soumise au désir de ces hommes. Elle est la reine du stupre, la princesse de la débauche, l’impératrice de la luxure, la déesse de la lubricité.- Elle adore vraiment ça, cette grosse pute ! Quelle salope ! Elle aura bien mérité son foutre ! lâche Philippe, la bite à la main.Le chef de la meute se branle avec énergie. Il meurt d’envie d’enculer cette pute bourgeoise. Envie d’enfoncer sa queue bien profondément dans le cul totalement dilaté. Sofia capte son regard, devine ses intentions. Elle repousse la queue qui la pilonnait, crache la bite qui lui remplissait la bouche ainsi qu’un énorme paquet de salive. Elle se met à quatre pattes sur la table, laisse passer un des hommes sous elle et un autre juste sur son dos.Les deux mâles la pénètrent en même temps. Sans queue dans la bouche, Sofia peut donner libre cours à ses gémissements. Elle hurle de plaisir, de bonheur, invite ses tourmenteurs à lui donner encore plus.Les hommes accélèrent le rythme, n’hésitent pas à s’échanger les places. Le jus de Sofia ne cesse de couler à gros débit. Il y a désormais une large auréole sur la table. Doublement pénétrée, secouée, le cul intégralement trempé, Sofia est plus qu’heureuse. Elle crie un plaisir qui ne se tarit pas.- Plus fort ! Encore ! Encore !Les mâles s’activent. On cherche à nouveau sa bouche. Sofia veut continuer de pomper, comme elle sait si bien le faire. Une bite s’installe au fond de sa gorge et rapidement, après quelques va-et-vient intenses, Sofia, au comble du bonheur, crache une salive épaisse. Le bruit de sa succion se répercute dans tout le pavillon de chasse.Les queues raides jouent l’alternance dans sa bouche, son cul et sa chatte. Sofia est empalée de partout, secouée dans tous iddaa siteleri les sens. Pas de répit pour la salope dont les bas couture plissent de plus en plus.- Défoncez-moi plus fort, bande de salauds !Sofia repousse les bites, descend de table et vient s’accroupir au milieu de la pièce. Les douze hommes ont compris le mouvement et viennent entourer la pute bourgeoise. Un premier chibre vient forcer le passage de la gorge de Sofia puis, à un rythme effréné, une seconde lui succède, puis une troisième… Les douze mâles ravis y ont droit. La salive de la putain dégouline à grands jets sur ses gros seins aux tétons dardés. Une bave épaisse qui coule sur ses bas et jusque sur le parquet. Sofia, jouant de sa langue vorace, tient les bites longtemps dans sa bouche, les laisse bien s’enfoncer au fond de sa gorge. Puis elle pompe à un rythme effréné, ne se laissant que peu de répit entre chaque queue. C’est elle qui mène le bal.Sa bouche est remplie à foison mais elle a encore envie des queues au fond de son cul de putain. Elle se relève, toute dégoulinante de salive et donne ses instructions :- Toi, tu t’assois sur la table. Je vais te dévorer la bite. Et toi, fait-elle à un autre, tu m’encules. Et ainsi de suite.Solidement campée sur ses talons aiguilles, Sofia pompe à nouveau les chibres offerts à sa bouche insatiable. Des fellations voraces, intenses. À chaque fois, l’homme est sur le point de décharger mais elle sait s’arrêter à temps. Quant à son cul, il engloutit les queues enfiévrées avec régularité. Des sodomies profondes et rythmées. Sa chatte n’est pas en reste et libère son jus sans discontinuer.Entre deux bites, Sofia reprend un peu de souffle et ne manque pas de crier un plaisir dévastateur. Elle hurle à n’en plus finir avant de reprendre une bite en bouche. Profondément. Très profondément. Jusqu’aux couilles. Elle recrache la verge avec un énorme filet de bave. Puis elle recommence l’exercice avec une joie toujours renouvelée. Sans changer de position, l’anus toujours bien rempli, les queues défilent au fond de sa gorge. Sofia prend un même plaisir à lécher les couilles gonflées. Elle sent qu’ils ne vont pas être long à venir. Ses lèvres expertes et gonflées par le stupre ralentissent un peu le rythme. La pute bourgeoise ne veut pas de sperme au fond de sa bouche, ni au fond de son cul. Sans leur dire, elle a déjà choisi l’endroit où ils pourront gicler toute leur semence.- Du foutre ! Je veux du foutre ! Donnez-moi tout votre foutre sur mes bas !Ce n’est pas une supplique, c’est un ordre. Sofia s’allonge sur la table et les douze hommes se positionnent afin d’avoir leurs queues bien orientées vers la cible. Elle se masturbe avec vigueur, joue avec ses tétons et sa bouche. Son menton est encore imbibé de salive. Les mâles se branlent avec énergie et rapidement, les premiers jets de sperme atterrissent sur le fin nylon en paquets épais et chauds. Sofia est ravie. La voilà inondée d’un foutre qu’elle badigeonne, s’attardant sur ses seins et sa bouche..

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


Une petite visite (2)

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Brunette

Une petite visite (2)Une voiture s’est arrêtée devant chez les voisins et j’ai vu le père d’Emma ouvrir la grille pour rentrer sa voiture. Il était temps que sa fille rentre chez elle. Je lui ai demandé ce qu’elle allait leur dire.- Rien, m’a-t-elle répondu ! Je vais leur dire que j’ai dîné avec mes copines !Elle est sortie par la porte qui donne sur l’autre rue et je l’ai vue rentrer chez elle quelques minutes plus tard. Je suis retourné dans la salle de bains. Elle avait laissé la poire dans les lavabos. Je l’ai rincée et je l’ai mise à sécher. Je me souvenais maintenant d’avoir regardé ma femme se rincer avec et aussi se masturber.J’ai fait la vaisselle et je me suis endormi devant la télé. J’avais mal à la bite et aux couilles et je suis allé me coucher dans mon lit. La solitude commençait à me peser. Quelques semaines après l’enterrement, j’étais allé voir les putes quasiment tous les soirs tant j’avais besoin d’oublier puis j’avais espacé mes visites faute d’argent.Une nouvelle perspective s’ouvrait devant moi. La petite Emma semblait aimer la bite et j’étais résolu à la former mais il s’est passé une semaine sans que je puisse la voir à nouveau et je l’ai rencontrée dans la rue. Je lui ai demandé si elle a envie mais elle m’a répondu qu’en ce moment elle a ses règles.- Euh, a-t-elle ajouté, jeudi prochain, mes parents vont au théâtre !Jeudi prochain, ça m’allait. Ça me faisait dix jours à attendre et j’ai essayé de ne pas me masturber. J’avais sans cesse en tête ce qui nous était arrivés dans la cuisine et je pensais surtout à ses gros nichons. Une nuit, je me suis réveillé en sueur et j’ai essayé de me souvenir de mon rêve. Oui, c’était ça : Comme je l’avais fait à mon épouse, j’avais enroulé une corde autour des seins d’Emma et je l’avais soulevée à l’aide du crochet du lustre. Elle avait crié tout en se suspendant à la corde mais elle avait fini par la lâcher. Tout comme l’avait fait mon épouse. Nous avions fêté nos dix ans de mariage et on avait un peu trop bu et quand je lui avais suggéré de faire du BDSM. J’avais passé la corde dans l’anneau et au moment de l’attacher kaçak iddaa autour de ses seins, ma femme m’avait demandé si ça allait lui faire mal. Je n’en savais rien. J’avais vu faire ça sur une vidéo et la femme ne semblait pas en souffrir.Tout comme dans mon rêve avec la petite voisine, ma femme s’était agrippée à la corde et quand elle avait perdu pied, elle avait commencé à tourner puis elle avait lâché la core et elle était restée suspendue par les seins. Seins qui n’avaient pas tardé à violacer. Ma femme ne disait rien. Pas un cri, et pas un soupir. Elle tournait tout doucement autour de la corde, sans bouger, les jambes droites et les bras ballants mais quand j’avais vu ses seins noircir, je l’avais décrochée et sa poitrine avait mis du temps avant de retrouver sa couleur normale.Emma a sonné chez moi peu avant huit heures. J’avais préparé un dîner et j’avais mis la table dans le salon. Tout comme la première fois, nous avons commencé à dîner nus. Elle n’arrêtait pas de regarder autour d’elle puis elle a remarqué l’anneau au plafond et elle m’a demandé ce que c’est. Je lui ai expliqué qu’il y avait eu un lustre. Maintenant, elle me regardait puis elle m’a demandé si je n’ai pas une idée saugrenue dans la tête. Je lui ai demandé à quoi elle pensait. Elle m’a alors raconté qu’elle avait vu un film où la femme était suspendue par les seins. Je n’en croyais pas mes oreilles. Je lui ai demandé si ça lui dirait d’essayer. Elle a hésité un court instant puis elle m’a demandé si ça risquait de lui faire du mal. Je lui ai répondu que je n’en sais rien. J’ai ajouté que je dois bien avoir une corde dans le garage et je suis allée la chercher et quand je suis revenu, j’ai passé la corde dans l’anneau et j’ai enrouléé l’autre bout autour des seins de ma petite voisine. Elle n’a pas arrêté de me donner des conseils sur la manière de l’enrouler puis j’ai tiré sur la corde et Emma a fini par perdre pied et elle s’est mise à tourner puis elle a lâché la corde et elle a poussé un cri. J’allais tout lâcher quand elle m’a dit d’attendre puis elle a tendu la tête en arrière et elle a joint kaçak bahis ses mains dans son dos, comme si elle allait faire un salto arrière du plongeoir. J’ai encore tiré sur la corde. Emma était à mi-chemin du plafond , ses pieds à quarante centimètres du parquet. Je lui ai demandé si ça va.- Oui, comme ça, c’est parfait, m’a-t-elle répondu !- Ça fait mal ?- Non, m’a répondu Emma !Je n’avais jamais fait attention à ça chez mon épouse mais les seins de la petite voisine avaient doublé de longueur sous le poids de son corps et ses mamelons étaient plus hauts que ses épaules. Je me suis approché et j’ai fait tourner ma petite voisine sur elle-même puis j’ai appuyé sur ses hanches. Elle m’a dit de ne pas trop insister. Je lui ai dit que j’ai une idée. Je l’ai redescendue d’une vingtaine de centimètres pour qu’elle soit à la bonne hauteur. Je bandais mais je n’arrivais pas à m’enfoncer dans sa chatte et je lui ai dit que je vais l’enculer. Son anus était dilaté et je me suis enfoncé tout seul puis j’ai commencé à baiser ma voisine. J’appuyais sur ses hanches pour l’enfoncer sur ma bite et je n’avais qu’à la laisser remonter, ses seins faisant office de ressorts. Au bout d’un long moment, j’ai réussi à jouir et j’ai regardé le sperme refouler de l’anus et s’écouler le long des jambes de ma maîtresse. Elle était toujours soutenue par la corde mais elle a fini par me dire qu’il vaudrait mieux la décrocher et j’ai détaché la corde. Ses seins étaient juste un peu violacés et quand ses pieds ont touché le parquet, la fille s’est effondrée et je l’ai portée sur le fauteuil avant de l’emmener dans la salle de bains avant de la mettre dans la baignoire.- Alors, lui ai-je demandé ?Elle m’a répondu qu’il fallait bien qu’elle essaie. J’ai plongé la main dans l’eau et je me suis amusé avec sa poitrine puis je lui ai demandé si ça fait mal. – Tu sais, les seins, c’est juste un bout de viande, m’a-t-elle répondu !Je lui ai répondu que j’espère qu’ils ne sont pas abîmés et elle m’a répondu de ne pas m’en faire et elle m’a tendu les lèvres comme si elle voulait m’embrasser mais c’était juste pour me illegal bahis dire que les seins qui pendent sont plus sexys.Les courts poils de son pubis flottaient dans l’eau, comme des algues et j’ai pris ses doigts et je les ai conduits sur son clitoris pour qu’elle se masturbe.- Tu es un drôle de type, m’a-t-elle dit ensuite ! Tu me fais faire des trucs que je n’aurais jamais faits avec personne !- Ah, oui ? Et quoi, lui ai-je demandé ?- Ce que tu viens de me faire faire, m’a répondu Emma ! A quoi tu penses d’autres, m’a-t-elle encore demandé ?Je ne pensais qu’à ça depuis quelque temps.- Te regarder baiser avec ta copine !- Celle avec qui on se rase, m’a demandé Emma ?- Oui, celle-là ! Mais tu connais peut-être une vraie lesbienne ?- Oh, moins, tu n’es pas jaloux, a-t-elle ajouté ! Tu veux vraiment que je baise avec une femme ?Elle m’a demandé quelle heure il est. Il était tard et mes doigts ont pris la place de ses doigts et je l’ai masturbée jusqu’à ce qu’elle ait un orgasme puis elle s’est rhabillée et elle est rentrée chez elle. Je devais m’être endormi parce que je n’ai pas entendu rentrer ses parents. Après avoir baisé avec Emma, elle a fait venir sa copine chez moi et elles ont baisé ensemble. Je n’avais jamais imaginé que ça puisse être aussi excitant mais au bout d’un moment, elles m’ont demandé de les rejoindre et je les ai baisées toutes les deux. J’avais mal à la trique et aux bourses et j’avais besoin de jouir et de les vider. J’ai commencé avec la petite voisine qui a fini par rentrer chez elle et j’ai attendu de pouvoir recommencer avec son amie.Avant de la reprendre, elle m’a dit qu’elle est bi et qu’elle aime autant la chatte que la bite.- Et tu peux me la mettre dans le cul, parce que ça ne me dérange pas, a-t-elle ajouté ! Si on a trois trous, c’est bien pour qu’ils servent, a-t-elle ajouté !Pour lui rendre service, je m’en suis servi et j’ai joui dans a bouche. Elle m’a tiré la langue pour que je vois bien qu’elle avait gardé le sperme dans sa bouche puis elle l’a avalé.Elle ne s’est même pas rincé la bouche et nous avons discuté et elle m’a avoué que si elle en avait le courage, elle irait travailler dans un bordel puis elle a ajouté qu’elle en avait parlé avec Emma et elle a fini par me dire que si ma voisine le voulait, elles partiraient ensemble en Allemagne..

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


L’une de mes plus belles rencontre – Part 1

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ass

L’une de mes plus belles rencontre – Part 1Après cette petite baise rapide, ont repris notre ballade, main dans la main, on parler d’elle je voulais en savoir plus, elle était jeune mais pourtant épanouis sexuellement, je dis ça par rapport à nos différentes soirée en webcam et au moment qu’on venait de passer, on retourna à la voiture chercher le sac pour pouvoir manger un peu, on s’installa dans une petite crique que je connais bien, on étala une petite nappe que j’avais ramené et on posa notre repas du soir.La nuit était tombée, soirée de nouvelle lune, il commençait à faire très noir, mais vu la saison il faisait très bon, je lui proposais alors un petit bain de minuit, sans hésiter elle accepta, elle se mit rapidement nue, je fis de même, et on alla dans l’eau, on s’amusait bien elle était très joueuse, mais elle savait ce qu’elle voulait, elle arriva rapidement à se coller à moi, pour qu’on s’embrasse, prenant en main mon sexe et elle commença à me branler dans l’eau, je fus très vite tout dur, elle me grimpa dans les bras, un poids plume c’était vraiment facile, et toute seule se glissa sur ma queue, sa chatte était vraiment bahis siteleri très étroite mais c’était vraiment très agréable, de sentir sa chatte glisser sur moi, j’aimais comment elle se baisait sur moi, sentir ses vas et viens longer ma queue pendant que sa langue fouillait ma bouche, ses gémissements, ses soupires tout m’excitaient au plus au points, je la serrais fort contre moi, ses tous petits seins compressés contre mon corps, ce moment dura un certain temps avant qu’à mon oreille elle me murmure « baise moi comme tout à l’heure », alors en la gardant dans mes bras, on sortit de l’eau mon sexe toujours raide en elle, arrivé sur la plage elle se retira de moi, directement je lui dit comment se mettre sur la serviette, en levrette, cul tendu, elle avait vraiment une superbe chatte, mais pas que, son petit trou du cul donnait autant envie, alors je me mis derrière elle, je me penchais collant ma bouche à sa chatte et commençais à la lécher, elle ne mit pas longtemps à gémir de nouveau, ma langue parcourait ses lèvres et jouait avec son petit clito qui était très sensible, je lui lécher aussi par petite coup son petit trou, canlı bahis siteleri elle avait vraiment très bon gout, elle gesticulait sous mes coups de langues, sa chatte coulait dans ma bouche, je n’avais qu’une envie la prendre, alors je me relevé un peu derrière elle et colla ma queue au bord de ses lèvres et m’enfonçait d’un coup sec en elle, ce qui la fit pousser un cri puissant suivit d’un « Oui encore vas-y », alors je recommençais brutalement, une fois, deux fois et j’enchainais de plus en plus vite, elle ne se retenait pas et poussait des cris puissant ce qui m’excitait de plus en plus et voir sa petite chatte avaler ma queue, ses lèvres qui collaient mon sexe, j’ajoutais quelques petites fessés bien appuyées, après un bon moment à la baiser en levrette, je lui demandais de s’allonger sur le dos, elle s’y positionna écartant ses cuisses pour m’accueillir, une vue splendide sur cette toute petite chatte, je commençais à jouer avec ma queue sur ses lèvres, mais c’est d’un autre trou que j’avais envie, alors délicatement, je posais mon gland sur ton anus, elle me dit juste « doucement, tu es le premier », je fus canlı bahis ravis, alors doucement je commençais à pousser, et lentement mon sexe pénétra son petit trou, je voyais dans ses yeux qu’elle prenait sur elle, je ne fis que deux petits vas et viens en elle, avant de me retirer, aussitôt je l’embrassais pour la remercier de se cadeaux, avec un petite serviette j’essuyais mon sexe qui n’en était pas ressortis propre et aussitôt, je repris sa chatte en la baisant sauvagement, mais c’est soupir et sa jouissance me fit comprendre tout le plaisir qu’elle prenait, quand à mon tour le sauce monta, je retirais mon sexe et le présenta sur son visage elle ouvrit la bouche mais c’est sur son visage que je voulais me finir, alors je me branlais et lâcha la sauce sur elle. Après ça je lui essayais son petit visage et on s’allongea sur la serviette, elle blotti dans mes bras.On resta un petit moment comme ça, il commençait à faire très tard alors je lui proposais de la raccompagner si elle le souhaiter, et elle me répondit avec son petit regard coquin « je peux dormir avec toi si tu veux bien », évidement j’acceptais, on se rhabilla et on quitta la plage, en arrivant sur le parking, une autre voiture était là, étant un habitué du lieux je dis à ma petite chérie du soir « visiblement on a eu du public » elle se mit à rougir, on finit par partir et rentrer chez moi.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


La première fois 1 ère partie

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Ass

La première fois 1 ère partieEn 1976, j’avais quinze ans, j’habitais une ville nouvelle bétonnée et la canicule était très dure à supporter.Quand ma marraine, la sœur de ma mère m’a invité à passer le mois de juillet chez elle et son mari, mes parents ont accepté, car, eux travaillaient, j’étais ravi de passer ce premier mois de vacances chez ma tante, car, en plus d’être au calme à la campagne, il y avait une piscine.Nous étions arrivés un samedi, ma tante nous avait accueilli en maillot de bain, un paréo noué à la taille et des tongues, son mari, plombier finissait un chantier chez des clients. Je n’avais d’yeux que pour ma marraine, une très jolie femme de quarante ans, brune, grande, mince, une poitrine cachée dans un soutient gorge très sage, un postérieur bien pommé, des jambes musclées mais sans trop et des pieds bien entretenus aux ongles vernis de rouge, bref une déesse au corps pas déformé par une grossesse.Le lundi matin au réveille mon petit déjeuner était prêt, j’étais seul, mon oncle était parti très tôt sur un nouveau chantier et ma tante en güvenilir bahis courses. Ma tante rentra alors que je finissais mon petit déjeuner, elle était vêtue d’une robe légère, elle se retira dans sa chambre et en ressorti en paréo noué au dessus de la poitrine, l’ouverture me permis de voir le côté gauche de son anatomie, la jambe, la hanche, sans trace de bronzage, le torse et un peu du sein gauche, lui aussi sans marque, quand elle vint vers moi pour me faire la bise, j’étais très troublé.Les courses rangées, elle vida la machine à laver moi je me dirigeais vers la salle de bain pour prendre une douche.J’ouvris la fenêtre et là, à environ vingt cinq mètres, ma tante nue étendait le linge, j’était subjugué, elle était sublime, je ne pouvais cesser de la regarder, ma main droite enserrant  mon sexe dressé, je me masturbais, elle vit que je la regardais, elle me fit un signe de la main et quitta les lieux. J’était assis sur le rebord de la baignoire prêt à jouir quand elle entra dans la pièce. J’eu beau prendre ma serviette pour faire mine de me sécher güvenilir bahis siteleri le sexe, elle eut le temps de voir la scène.Elle me dit qu’elle était désolée de m’avoir interrompu, qu’elle me croyait sorti et elle m’expliqua qu’elle et mon oncle étaient naturistes, qu’ils vivaient nus, se baignaient nus, que j’allais m’habitué et que je pouvais moi aussi vivre nu.Nus, nous sortîmes de la pièce, elle nous pris des serviettes, les posa sur nos transats, près de la piscine, après quelques longueurs elle sorti de l’eau, elle était magnifique, l’eau ruisselait sur sa peau ambrée, son postérieur grâce  à sa démarche féline balançait de droite à gauche, elle se retourna et m’invita à venir bronzer et discuter auprès d’elle, sur le ton de l’humour je lui expliquais un petit problème physique mais sitôt passé je viendrai la rejoindre.Elle me dit que c’était naturel, que je ne devais pas être gêné, que les femmes aussi pouvaient être troublées voir excitées mais que cela au contraire des hommes cela ne se voyait pas. Je sorti de l’eau tentant de cacher iddaa siteleri mon sexe dressé, lève les mains me dit -elle_ Mes félicitations mon filleul, quel corps d’athlète et quel appendice viril.Etendu  sur le transat, bandant mou, elle entrepris de m’enduire de crème, d’abord le dos, le derrière des cuisses puis le devant, le cou, les bras, le torse, les cuisses, les jambes, elle remonta sur les aines, je tressailli sous la caresse, sensible me demanda t-elle, je répondis par l’affirmative puis elle me caressa les couilles lentement, aussitôt ma queue se dressa. Elle me regarda et dit _ Je t’aie empêché de prendre ton plaisir tout à l’heure, je veux me faire pardonner.Elle se mit à genoux et se pencha sur mon sexe, déposa un doux baiser, sa langue caressa, lécha le gland, descendit le long de la hampe puis elle le mit tout entier dans sa bouche, ses lèvres touchant les couilles, après quelques minutes de ses va et viens, de ses caresses, de ses léchouilles, elle sentit que je m’apprêtais à jouir, elle le pris en main, me branla et le sperme jaillit en plusieurs jets sur son visage, sa langue passa sur le gland pour récupérer les dernières gouttes._ Magnifique et délicieux ton sperme, très bon gout.Elle récupéra de ses doigts le sperme sur le visage et suça ses doigts._ J’adore le sperme.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


Énculee par un gardien un samedi après-midi

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Anal

Énculee par un gardien un samedi après-midiIl m’est de nouveau arrivée un truc de fou il n’y a pas si longtemps de ça. En même temps je pense que je l’ai bien cherché. J’étais avec une copine à moi en train de jouer la salope sur une aire d’autoroute. J’aime bien faire de l’exhibe dans des lieux publics. Ma copine était chargée de me prendre en photo en train de faire la grosse chienne. Il faisait chaud ce jour-là et je portais une petite jupe avec une chemise. Je m’amusais à écarter les cuisses pour dévoiler ma chatte, et à sortir mes nibards de temps en temps. Je faisais assez attention parce qu’il y avait pas mal de camionneurs à cette heure-ci. Je ne voulais pas me faire capter.Mais finalement, il s’est quand même passé un truc assez incroyable. Je ne pensais pas qu’une telle aventure pouvait m’arriver. D’habitude, on voit ce genre de scène dans un film de cul. Ça m’apprendra à toujours faire la salope et la petite allumeuse lorsque je fais une séance d’exhibition. Oui, j’aime être en jupe très courte sans rien en dessous, et j’adore dandiner légèrement du boule et faire des regards de chienne pour rendre fous les mecs que je croise. Ce jour-là, j’étais allé manger au restaurant avec ma meilleure amie, puis nous avons fait une séance photo un peu coquine à l’écart sur l’aire d’autoroute. Il était environ 17h lorsque je l’ai quitté pour me rendre à mon véhicule et rentrer chez moi. Ma copine était déjà parti, mais moi j’avais du mal à retrouver ma bagnole, kaçak iddaa il y en avait partout, et cette séance m’avait excitée. Quand je suis dans cet état, j’ai tendance à perdre un peu mes moyens. J’ai commencé par prendre une sorte de petit sentier pour passer sous la voie rapide, et un moment, j’ai coupé par une sorte de zone industrielle. Je me souvenais maintenant que j’étais garée dans ce coin.C’est alors que j’ai entendu “Hey, salope!”. Je me suis retournée, il n’y avait personne et j’ai commencé à avoir la frousse. J’ai entendu des pas dans les gravillons se rapprocher de moi, et dans une zone un peu plus lumineuse, une sorte de gardien est apparu. Il m’a tout de suite dit qu’une salope comme moi ne devrait pas passer par ici à une heure si avancée un samedi après-midi, et que si je criais il me ferait du mal. Je l’ai donc suivi dans sa maisonnette en tôle et en planche de bois où régnait une ambiance glauque, avec des bougies allumées et des cadavres de bière un peu partout. Ça sentait vraiment fort là-dedans, et j’ai même pu voir quelques capotes usagées qui jonchaient le sol. Le mec a bien vu que je commençais à flipper, et il n’arrêtait pas de me fixer avec son regard d’ivrogne et de déviant sexuel. J’essayais de me rassurer en me disant que je l’avais bien cherché, et qu’au fond de moi, j’ai toujours voulu me faire serrer par un gardien dans un endroit crade. C’est une sorte de fantasme que je n’ai jamais voulu réaliser, mais c’était pourtant kaçak bahis sur le point d’arriver, malgré moi… Je ressentais tout de même une excitation malfaisante dans cette petite cabane en présence de ce malade…Je pensais à ce moment que j’aurais dû fuir en courant, mais j’étais paralysée et en même-temps très curieuse de savoir ce que ce Mec allait bien pouvoir me faire. Il titubait un peu et il puait l’alcool à 10 kilomètres. Il s’est jeté sur moi et à tout de suite glissé ses mains sous ma jupe pour saisir fermement mes grosses fesses de salope. Je faisais un peu semblant de vouloir me débattre, mais au fond de moi et entre mes cuisses, l’envie de me prendre une bonne cartouche était trop forte. Sans me demander, il a tout de suite enfoncé un doigt crasseux dans mon trou du cul. Il prenait un malin plaisir à me baiser le fion avec son doigt dégueulasse. Il allait et venait à l’intérieur de ma fondation sans prendre la peine de préserver mon petit trou. Il visait parfois de travers ce qui m’infligeait une petite douleur, mais dans l’ensemble, ce doigt dans le cul avait au moins le mérite de me détendre un peu. L’idée de fuir s’éloignait de moi petit à petit.Il m’a ensuite dit qu’il allait m’enculer comme un sauvage, mais il voulait d’abord que je le pompe pour lui donner une bonne érection. Je me suis exécutée tout de suite, de peur de recevoir un coup, et j’ai engamé son sexe mou dans la bouche. Elle puait la crasse et la pisse. J’avais du illegal bahis mal à contenir mes hauts le coeur qui me submergeaient. Cette bite était certainement la plus sale, la plus dégueulasse et la plus poisseuse qu’il m’a été donné de piper. Pourtant, après quelques instants, sa crasse qui se mélangeait à ma salive de citadine donnait un goût de queue plutôt appréciable. Je lui ai bien lustré le gland avec ma petite langue agile. Je l’ai ensuite aspiré jusqu’aux couilles pendant de longues minutes. Sa queue n’était pas très épaisse, mais elle avait une longueur respectable. Je le branlais puis le suçais, le regardant avec mes yeux de biche apeurée. Je pense qu’il appréciait me dominer de la sorte. Pour lui, il me violait, alors qu’au fond de moi j’en voulais encore plus.Il bandait maintenant comme un âne et je me suis relevée pour lui offrir mon derrière. Il s’est lui-même baissé pour me bouffer un peu le fion avant de ficher sa flèche dans mon rectum. Encore un mec qui commence tout de suite par m’enculer… Personne ne veut de ma chatte ou quoi ? Il m’atomisa le trou comme un spéléologue explorant une cavité profonde. J’avais mal aux fesses mais je prenais un plaisir fou à me faire enculer de la sorte par un pauvre marginal. Je voulais encore profiter de cette baise inopinée, mais le mec ne pouvait plus se retenir, certainement à cause de son âge et de la bière, et il se lâcha complètement dans mon cul pour le remplir de sperme gluant. J’avais bien joui mais je ressentais une honte énorme, et j’ai fui la scène du crime au plus vite. La prochaine fois, je pense tout de même que je passerai de nouveau par-là pour espérer croiser la route de ce clochard assez doué.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


le petit bal

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Little Caprice

le petit baldirection le bal qui se fait dans la salle des fête municipale!une estrade sur laquelle un dg passe des cd un micro pour animer,des tables et chaises pour les consommateurs de vin blanc et de bière,et le milieu de la salle réservée aux guincheurs,qui ne sont pas encore très nombreux!-au fur et à mesure,les spectateurs du feu d’artifice rejoingnent la salle de bal qui se remplie rapidement!-nous sommes sur un coté près de l”estrade!-tu es prête ma chérie demande Marylène à sa soeur en souriant un peu méchamment?-oh Marylène, je t ‘en supplie, pas ce soir:pas maintenant, il y a trop de monde!je vais mouirir de honte!son joli visage est tendu,ses lèvres serrées tremblent un peu!on lit la peur et la honte sur son visage!être mise nue devant une si grande foule!je n’ose imaginer ce qu’on doit ressentir!-c’est jeune dame du magasin qui fait les présentations,elle monte sur l’estrade,échange quelques mots avec le DG qui lui cède le micro,elle est rejointe par Marylène qui tient fermement Thérèse par un bras!-chers amis,lance la jeune femme, je vous présente Thérèse qui, à la suite du pari perdu a reçu un gage qu’elle doit exécuter ce soir devant vous!–rumeur de la foule, le silence se fait petit à petit ,on dirait que le mot “gage” a stimulé l’attention des gens-et ce gage, si vous le permettez consiste à danser ce soir parmi vous sans sa robe!-pfuiii sifflets! applaudissements, rires!!! -alors si vous le voulez bien,et en accord total avec son gentil mari,c’est sa soeur Marylène qui va lui enlever ce soir sous vos yeux, sa jolie robe!!!-ouais sur ouiii vas y vas y cris rires!!!-Marylène pousse un peu ma femme sur le devant de la scène,elle semble tétanisée, le visage rouge , cramoisi,elle regarde fixement le sol,alors Marylène passant derrière elle d’ une main sure decend la ferùeture éclair de la petite robe, puis faisant glisser ses épaulettes elle tire un peu sur le devant de la robe qui choit immédiatemment à ses chevilles!stupéfaction de la foule!! un grand silence se fait!personne n’avait imaginer qu’elle bahis siteleri serait nue en dessous!-eh oui précise Marylène ma charmante soeur ne portait pas de sous vêtements, j’avais oublié de le préciser!-ma petite femme se trouve donc entièrement nue,touffe à l’air seins nus ,on devine son émoi!alors la foule se met à hurler!! -ouais à poils la Thérèse!!! ouais!! cris sifflets applaudissements nourris:ma femme est nue devant la foule et je frémis ,honteux pour elle avec dans mon short un belle érection!les portables sont de sorti bien sur !-j’espère ajoute Marylène que vous allez la faire danser , que sa tenue ne vous intimide pas!elle est là pour ça!! elle va maintenant vous rejoindre, nous vous la confions!prenez en soin!! rires!!! et voici mon épouse descendue presque de force sur la piste de danse!!!aussitôt prise en mains ,c’est le cas de le dire par plusieurs jeunes dont Deb et ses copains,entraînée dans une valse avec mains au cul serrée de près palpée entourée ,elle esquisse quelques gestes pour se protéger , en vain, c’est tout juste sinon ne lui tient pas les bras!elle finit par se laisser faire!on elle passe de mains en mains de mecs en mecs!on entend:à moi,c ‘est mon tour!passe la moi!! des rires des gloussements!quelques femmes font mine de s’apitoyer en ricanant!la pauvre!-oh toute nue comme ça!je serais morte de honte moi!rires!!! j’aime mieux elle que moi!!! rires!!! elle va finir par y passer!!! rires!!!-l’animateur annonce:et bien mes amis je crois qu’une petite série de slows s’impose, non-ouiii !!! et la lumière décroit!les slows commencent!cette fois ci dans la pénombre ce doit être encore pire pour elle!on voit des petits groupes s’agglutiner autour d’elle!chacun veut y goûter, le toucher la tripoter, la branler peut être!rires soupirs gloussements !!!-allez à moi!!! ils sont parfois trois où quatre autour d’elle à accomplir un simulacre de danse!je crois voir des mains se faufiler entre ses cuisses!de loin je vois ses yeux à demi clos!!!–elle mouille bien la salope!! rires!!! oh oui qu’est canlı bahis siteleri ce qu’elle mouille!!!- à mon avis elle en veut!!! -après une petite demi heure de pelotage durant lequel elle a été masturbée!les slows s’arrêtent!c’est un air de musette qui annonce le retour de la lumière!-c’est alors qu’un petit groupe de jeunes s’approche d’une table et commence à la débarrasser,ils semblent pas mal éméchés,et on les laisse faire!la table est maintenant exempte de tout objet, bien nette!c’est alors que je vois un autre petit groupe amener Thérèse vers la table, elle est saisie par quatre gaillards qui la soulèvent aux bras et aux jambes,déposée sur ladite table!on lui met un petit coussin sous la t^te!-écartez lui les cuisses clame un mec, et voici ma femme écartelée, on lui soulève aussi les jambes pour mieux dégager son sexe qui apparaît à la vue de tous!ainsi que son petit anus d”ailleurs !nue cuisses écartées le con à l’air la voici offerte aux regards de tous!les portables s’en donnent à coeur joie!filmée photographiée dans cette position, rien ne leur échappe!aucun détail du sexe de ma femme ni la touffe de petits poils bruns ni les grandes lèvres entrouvertes laissant apercevoir en haut le clito qui pointe!pointent aussi les tétons de Thérèse!qui sont pincés et sucés!-ça y est murmure Marylène , c’est le moment elle va y passer!elle glisse son visage dans mon cou et me susurre:regarde ta femme nue se faire violer en public!et sa main frotte ma braguette pour se rendre compte de mon état!-tu bandes mon salaud!tu bandes en voyant ta propre épouse se faire troncher de force en public!!! un mec à installé une chaise juste devant schatte, il s’assied et se penche en avant il commence à la lécher!! on voit juste son cou et sa tête remuer en cadence!rires!chacun deux minutes fait un autre en consultant sa montre!et voilà que les mecs de sa bande s’installent chacun leur tour entre les cuisses de ma femme pour la brouter!il y a encore des rires des quolibets!-elle va jouir si vous insistez!!! rires!!! ça y est chacun canlı bahis à sucé ma femme!le premier commence à se débraguetter et sort sa queue:on passe aux choses sérieuses annonce t il!-et sans hésiter il s’approche de Thérèse et pose son gland sur sa fente, en sourient, il s’enfonce lentement mais franchement en elle!ho il est au fond!ma femme a poussé un léger gémissement!(elle adore se faire enfiler)!-il commence alors un lent va et vient dans le sexe de ma femme ,un va et vient qui s’accélère et finit part de rudes coups de reins dans le con de Thérèse qui s’est mise à couiner comme à son habitude!-personne n’est dupe,elle prend son plaisir!!!-ouii hooo hummm ouii oinnnnn hummm ohhhh!!!-elle jouit la salope murmurent les gens!! oui elle aime ça!! elle prend son pied la truie!!! rires !!! -ils auraient eu tort de ne pas la baiser!! rires!! -la pauvre jouir en public la honte!!!(ah les femmes)-tu entends ta femme qui couine en profite Marylène!!!le mec jouit lui aussi en grondant!il sort de ma femme , et lance à son voisin:à toi!- un deuxième type se place entre les cuisses de ma femme et la pénètre à son tour!Thérèse continue de gueuler:ouiiii ohh la la ouiiii hoo hummmm!et ainsi 9 mecs de la même bande vont tringler mon épouse sous les yeux d’une bonne centaine des personnes,des jeunes, des vieux ,des couples, des enfants même accompagnés de leurs parents qui auront assisté au viol public d’une femme mariée!!!ils finissent par la laisser allongée sur la table ,nue les cuisses à demi écartées le ventre barbouillé de sperme!ses jambes pendent hors de la table!-c’est le moment que choisit Marylène pour la rejoindre, et nous la descendons de la table sous les rires et les quolibets!-elle a bien dansé ta soeur murmure une femme en rigolant!-allez on l’emmène!nous prenons Thérèse chacun par un bras,et l’aidons à sortir!elle du mal à marcher!son regard est un peu perdu,nous sortons sous les ricanements!-et bien!ça s’est bien passé commente Marylène!!pfff elle en a pris au moins une dizaine!-Seb nous rejoint!merde dit elle je n’ai pas pu lui en remettre un coup!-pour ce soir elle en a eu assez ,avant de partir nous repasserons par ton magasin , tu te ratt****ras, promis pour ce soir nous regagnons la chambre que nous avions réservé à l’hôtel!

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


Un anniversaire bien chaud

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Un anniversaire bien chaudRien qu’ à me remémorer ces événements j’en suis toute tourneboulée. Des soirées pareilles, c’est pas tous les jours que ça arrive. En surfant sur un site coquin, Christian avec lequel je tchat régulièrement me propose :« Michéle ! Ma salope préférée, j’ai envie de te rencontrer ! »« Vous savez bien que je ne rencontre jamais mes contacte du net ! »« Oui Mais c’est un événement spécial. Je fête mon anniversaire et voulais t’y inviter. »« J’y réfléchi et je vous donne la réponse dans la journée. »« Nous sommes ami non ? Arrête de m’appeler Monsieur et tutoie moi ! »« Vous savez bien que par respect je ne le ferais pas. Je veux bien vous appeler Christian. »« Ok ! Alors j’attends ta réponse ma petite cochonne adorée ! »En fait, exceptionnellement, dans l’aprés-midi je lui envoie une réponse positive.Le lendemain au soir, je me pointe, habillée en bunny-girl en espérant que cela lui fasse plaisir et qu’il trouve ça marrant.Joviale, je lui lance en sautant bahis şirketleri à son cou :«  Joyeux anniversaire ! »« Merci Michèle ! Je suis si content que tu ai accepté mon invitation et quelle tenue saillante ? Tu es magnifique ! Merci ! »l’ambiance est géniale conviviale, tous sont déjà en plein délire. C’est une sacré fête. Mais j’ai une petite angoisse quand je remarque que je suis la seule femme dans cette joyeuse cohue. L’alcool coule à flot et forcément dans la tenue où je suis, les mains sont baladeuses. Mais je m’en amuse et je suis plutôt rigolade.Un mec m’entraîne dans un slow. Dans un état second,du à l’alcool, alors que le type me colle et me pelote outrageusement, j’en fait autant de mon côté. Le type se met à me rouler des pelles et met ma main sur sa queue raide qu’il a extrait de son pantalon. Dans mon trip, je continue à danser en le masturbant doucement au rythme du slow. Christian dit à un de ses amis :« Je t’avais dis que s’était une vraie chienne ! Elle bahis firmaları me fait bander la salope ! »La soirée bas son plein et mon danseur m’attire sur un canapé et sans plus de précaution, il écarte le bas de mon body, sort mes seins et m’enfile en levrette.Au lieu de m’insurger sur ses manières, je le complimente.« Tu bandes comme un âne mon salop ! Elle est bonne ta queue !»Certainement trop excité et à cause de l’alcool, il me laisse sur ma faim et éjacule rapidement. Dans ma folie, je réagis tout de suite en percutant qu’on avait de spectateurs.. Des mecs forme un cercle autour de moi en se branlant. Christian film la scène avec son portable. Puis l’un d’entre eux me prend par les hanche et d’un coup de Rhein me pénètre en levrette. Je rigole comme une pintade quand il me pourfend. Lui aussi se vide les couilles rapidement pour retourner au bar. Me voyant accueillante et docile, l’un d’entre eux me fourre la bouche pendant que Christian me force le cul en disant :« Ha kaçak bahis siteleri la grosse chiennasse ! Ca c’est de la pouffiasse de premiére catégorie ! »« Oui c’est une putain de dévoreuse de bites ! »Tous allaient me faire ma fête les uns après les autres. Je ne compte pas mais au moins une dizaine de mecs m’ont grimpés dessus.Ils se vident en moi et une foi que tous ont les couilles vides, je reste affalée sur le canapé ivre de sperme et d’alcool.Christian vient me voir, avec un grand sourire.« Merci pour mon anniversaire Michèle. Je n’en attendais pas moins de toi ! Tu as ravi mes invité en faisant la grosse pute ! »J’éclate de rire. Il rebande comme un bourricot et met mes jambes sur ses épaules pour me fourrer la chatte devant ses amis. Les autres on la queue pendante. Je les ai tous vidé. Mais lui, c’est pas croyable, il a du prendre du viagra. Il bande comme une bête. Il me démonte pendant un temps interminable. Malgré tout le sperme que me suis prise et ma cyprine abondante, j’ai le vagin qui me chauffe. Quand il en fini avec moi je ne suis plus qu’une loque. Je suis morte de toutes ces pénétrations et de mes orgasmes.« T’es une sacré salope ! J’vais te recommandé à des amis ! » Me dit-il pour finir.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


INTERLUDE – La Gaine

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babes

INTERLUDE – La GaineLa fin des cours n’arriva pas assez vite. Charlotte et Henry, jumeaux de leur états et étudiants dans la petite fac de la petite ville étaient deux jeunes à l’esprit espiègle. Parmi leurs passe-temps préférés : l’exploration. S’introduire dans des lieux ou ils n’étaient pas sensés aller. Par un hasard de l’emploi du temps, les options de ce soir étaient limités. Pas possible d’aller à la sortie de la ville escalader la cheminée de la vieille centrale ou pousser la grille de ce mystérieux passage souterrain qui se trouvait dans le parc.Aujourd’hui, c’était menu fretin : le gymnase fermé de la fac. L’aile n’avait plus été utilisé depuis l’accident impliquant des blessures grave sur plusieurs élèves, ou ainsi allait la rumeur. Le fait est, le bâtiment n’était plus utilisé, et les spéculations allaient bon train concernant ce qui a bien pu pousser la direction de la faculté à prendre une décision aussi particulière.Les choses se déroulèrent comme d’usure. Armés de patience et d’un œil averti, ils cherchèrent une entrée pour se faufiler dans le bâtiment. Ils ne mirent pas longtemps à trouver une haute fenêtre entrouverte par laquelle ils pourraient s’introduire en faisant la courte-échelle. Plus intrépide que son frère, Charlotte passa en première. Elle s’accrocha au rebord, et se hissa quatre mètres plus haut, vers une ouverture qui ne laissa aucun doute à pourquoi elle était entrouverte : elle était aussi haute du sol de l’autre côté. Elle glissa le mot à son frère qu’il ne pouvait pas suivre, et qu’il devait faire le tour vers la porte de derrière, et qu’elle lui ouvrirait. Elle disparut ensuite par l’ouverture, réussissant à se jeter sur une vieille pile de matelas de gymnastique non loin.La poussière retomba, éventuellement ; la pièce autour de Charlotte était sombre, et remplis de vieil équipement en bois ou régnait une humide odeur de renfermé, un détail prit rapidement le dessus sur les autres. L’unique porte de sortie était verrouillée de l’extérieur.La jeune femme se retrouvait un rien emmerdée, mais elle n’en était pas à son premier rodéo. Elle poussa l’équipement, retourna les matelas bahis siteleri logés contre le mur en recherche d’une issue possible. Tout ce qu’elle eut pour sa peine était une vieille bouche d’aération, probablement assez grande pour s’y faufiler. Trois coups secs plus tard, la grille céda, les vis rouillées ne tenant plus la distance. Convaincue de son coup, elle se glissa dans le boyau de fer.Une odeur un peu douce-amère lui prit les narines. La gaine était un peu grasse, un peu poussiéreuse, mais l’odeur lui était familière. Elle ne savait pas la replacer, mais c’était le cadet de ces soucis. Rampant sur le ventre, elle avança à quatre pattes dans le noir jusqu’à ce qu’elle n’entendît plus que le son de sa propre respiration. L’odeur était devenue plus forte, jusqu’à omniprésente, et elle se surprit à l’identifier : le sexe. Ça sentait le sexe dans cette putain de gaine.Visiblement, elle était tombée sur une petite cachette à galipettes de la fac. Elle sourit, et n’entendant personne baiser, s’avança encore et toujours.Quelques mètres passèrent, et elle rampait en automatique. L’odeur qui lui prenait le nez lui rappelait sa dernière escapade sexuelle avec un de ses camarades de classe, et elle la ressassait dans sa tête. Il était allongé, et elle, lovée contre ses jambes, nue, avec sa queue dans sa gorge. Elle se rappelait la texture de son membre contre sa langue, la chaleur dans sa bouche – elle se surprit à s’arrêter de ramper pour se masturber. Ses mains trouvaient naturellement son jean, qui s’ouvrit facilement, et sa main tombait sur son sous-vêtement, qu’elle frotta sensuellement. Une chaleur l’envahit, comme une extase oubliée ou mal à propos dans la ventilation de sa fac – mais le souvenir était tellement vivace, elle avait le sentiment de le revivre. Elle se revoyait couchée, le bel homme agenouillé par-dessus son visage, lui offrant sa queue et ses bourses. Charlotte eut un sursaut lorsque quelque chose lui frôla les lèvres. Quelque-chose d’humide, de glissant et de chaud. Une forme familière qu’elle avait vu dans son imagination il n’y a pas quelques instants de cela. Elle s’immobilisa, et tenta canlı bahis siteleri de percer le noir l’entourant. Un rien anxieuse, elle tâtonna autour d’elle, mais ne trouva rien. Ce qui la surpris le plus, c’est qu’elle n’avait pas arrêté de se masturber. Sa culotte était mouillée au travers, et elle se sentait de plus en plus proche de jouir. Sans doute le fruit de son imagination. Il fallait qu’elle jouisse. Cette odeur de cul, de baise acharnée, de queue qui sortait de sa chatte et qu’elle suçait – les gouts combinés contre sa langue, le sentiment d’être perverse et déchaînée et libre lui montait à la tête. En reposant la main dans le conduit, elle sentit sous ses doigts une gaine caoutchouteuse, irrégulière mais avec un relief particulièrement alléchant. Il était légèrement glissant, lui instaurant plein d’idées plus sales les unes que les autres. Miraculeusement, le tuyau était biseauté, et lourd, lui permettant de l’enfoncer facilement entre son jean ouvert et sa culotte, frottant sa chatte au travers. Elle se pressa contre, à tel point qu’elle pensait sentir une pulsation dans le tuyau. Elle jouit puissamment.Elle serra les jambes contre l’orgasme, se roulant sur le côté en implorant quelque divinité en vain, se retrouvant le nez contre la gaine en question. L’odeur lui fit perdre la raison. C’était ça qui sentait tellement fort le cul. Par simple réflexe, elle le lécha, se lova contre. Elle ne réfléchissait plus, et c’était bien dommage. La gaine n’était pas un objet inerte, mais quelque chose qui épousa son entrejambe. Dans un état de transe, Charlotte passa sa main sur ses sous-vêtements et les écarta se sa chatte trempée. Le tentacule ne mis pas longtemps à trouver l’ouverture et à écarter les lèvres en demande de la jeune femme en pénétrant lentement, mais fermement. Charlotte s’apercevait de ce qu’il se passait, mais était incapable de l’arrêter, tellement la sensation était agréable. Le relief du tentacule la faisait vibrer, et chaque battement de son cœur était synchrone avec un léger spasme de la chose, comme si elle éjaculait constamment.Elle attrapa le membre, et l’encourageait, tirant canlı bahis toujours plus de longueur en elle. Visiblement disposée, la créature, quelle qu’elle soit, obligea et rapidement, toucha le fond. C’est alors que Charlotte sentit sa chatte déborder. Effectivement, c’est comme si le tentacule avait éjaculé depuis sa pénétration, un liquide doux et tiède coula de sa chatte avec chaque coup de rein qu’elle donnait. Surexcitée d’être remplie de la sorte, elle jouit encore. Elle en voulait plus. Tellement plus. Le tentacule semblait comprendre, et grossissait. Elle atteint une largeur telle que les lèvres de Charlotte de tendirent au point de couper l’évacuation du jus de la bête. Dans une extase sans nom, elle sentait son bas-ventre gonfler avec la pression qui était devenue sensiblement présente.Cette sensation inconnue jusque-là causait un sursaut de plus chez la jeune femme. Le tentacule, lui, giclait toujours en elle, mais la douleur n’en était pas insupportable. Elle avait même quelque chose de subtilement délicieux.Lors de son sursaut, sa main trouva une autre extrémité, qu’elle attrapa par réflexe, son esprit drogué au plaisir la guidant à la perversion. D’un geste timide mais déterminé, elle prit sur elle d’assouvir un fantasme : une double pénétration. Son bas-ventre visiblement gonflé, elle se tortilla sur le côté, et pressa le deuxième tentacule contre son cul devenu gourmand – et la chose ne se fit pas prier. Elle serpenta vers le passage serré, et l’exploita. Charlotte lança sa tête en arrière, se tordant de plaisir alors que son cul devenait le théâtre d’une pénétration humide et baveuse.Elle se cambra, elle se tortilla, désormais droguée par cette substance que suintait la créature. Elle se saisit tant bien que mal du tentacule qui poussait son cul à s’ouvrir plus, elle tirait de toutes ses forces, voulant toujours plus. Quelque part, son esprit encore conscient s’étonna de voir le câble vivant lui donner gain de cause. Une sensation inouïe, moitié douleur moitié plaisir l’inonda lorsqu’elle poussa plus loin que son cul, s’infiltrant plus profondément. A en deviner le relief qui se dessinait sur son abdomen, le tentacule l’envahissait. Un orgasme puissant l’étreint, alors que ses yeux se révulsèrent de plaisir. Alors que la jeune femme jouissait, hurlant au plaisir, elle s’évanouit.Le gymnase resterait encore fermé longtemps.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


Trixie chap 14 – Un anniversaire sex…traordinair

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

Trixie chap 14 – Un anniversaire sex…traordinairC’était l’anniversaire de Maxime, je ne savais pas quoi lui offrir, une montre, une gourmette non… il n’était pas bijou. Alors quoi ? Je ne voyais pas… Tout d’un coup il me vint une idée.Au début de notre relation, il m’avait dit, qu’il aurait aimé me voir baiser par un noir, et nous l’avions fait et pas seulement avec Gérald, mais aussi avec deux de ses potes noirs de l’équipe de basket. Il avait aussi apprécié de me voir me faire prendre par Guy et le gros patron du bistrot, lors d’une mémorable partie de pétanque. Il avait aussi raffolé de voir la vidéo tournée avec le pharmacien noir qui m’enfilait son énorme sexe…N’aurait-il pas un penchant vers le candaulisme ? Mais si, c’était évident… il me disait qu’il n’était absolument pas jaloux, lorsque d’autres hommes me prenaient devant lui… Une idée plus que perverse germait dans ma tête.Le jour de son anniversaire, je l’invitais à déjeuner à la maison.« Le repas était bon ? Maintenant tu vas avoir droit à une surprise…- Si elle est aussi bonne que le repas, je suis partant- Tu devrais apprécier ! »Je le laissais seul et parti dans ma chambre. J’avais préparé tous les accessoires, je me mis nue. J’enfilais des bas blanc, un porte-jarretelles très fin en dentelle. Je revêtis un string blanc transparent, une large ouverture, laissait apparaître ma chatte et mon petit triangle de poils bien épilés. La fente se prolongeait jusqu’à mon anus qu’elle laissait découvert lui aussi. Un soutien gorge ou sur chaque seins deux minces bandes de tissu en dentelle blanche encadraient mes aréoles aux mamelons dressés et se rejoignaient ensuite derrière mon cou. Je chaussais des talons aiguilles blancs. J’étais extrêmement bronzée, cette lingerie mettait mon corps en valeur.« C’est pour moi… ??- Çà te plaît ? Tu te demandes pour quelle raison je me suis habillée ainsi, c’est une surprise pour ton anniversaire… Nous attendons de la visite… Je sais que tu aimes bien me voir faire l’amour avec d’autres mecs… Alors pour ton anniversaire, je veux satisfaire un de tes fantasmes… J’espère ne pas m’être trompée… »J’avais à peine fini ma phrase qu’un coup de sonnette retenti. Je passais un peignoir, attachais assez lâchement la ceinture pour le laisser bailler légèrement et j’ouvris la porte, c’était bien les deux fermiers, le père et le fils, chez qui j’allais chercher mes légumes qui se tenaient derrière celle-ci. Je leur avais téléphoné et donné rendez-vous chez moi, sans trop de précision… Je savais qu’ils n’avaient qu’une envie… me baiser à nouveau ! Je les regardais, ils étaient vraiment laids. On aurait dit Don Quichotte et Sancho Panza. Le père avait environ soixante quinze ans si ce n’est plus, il était maigre et sec, le visage ridé, en lame de couteau barré par une moustache, le crâne dégarni, des sourcils broussailleux. Son fils, un homme d’environ quarante cinq ans, était déjà venu ici. Il était corpulent, avec un embonpoint conséquent, les cheveux courts, pas rasé, des bajoues, un double menton, un nez assez épaté. Il était légèrement plus petit que moi. La fermeture éclair de sa salopette descendue jusqu’à ses poils pubiens laissait apparaître une touffe noire, l’ouverture dévoilait un torse velu. Maculé de poussière, son vêtement sentait la transpiration. On pouvait les qualifier de répugnants. Mais ils avaient quelque chose qui supplantait leur laideur, mes yeux se portèrent sur « cette chose ». Ils regardaient mes jambes, l’entrebâillement du peignoir laissait voir les attaches de mon porte-jarretelles et baillait sur mes seins. Deux énormes bosses commençaient à prendre forme le long de leurs cuisses. Ils devaient être nus dessous. La pensée de leurs sexes en érection me chauffa le bas ventre, je commençais à mouiller en pensant à ce qui allait sûrement suivre. « En… entrez bredouillais-je… – Bonjour, on peut s’embrasser non ?»A me voir habillée ainsi, ils avaient du deviner la raison pour laquelle je les avait fait venir. Le petit gros s’approcha de moi, il m’enlaça et sa bouche se posa sur la mienne, sa langue força mes lèvres, une de ses mains se glissa sous le peignoir et se plaqua sur un sein, l’autre dénoua la ceinture de mon peignoir qui s’ouvrit largement. « Oh, putain… !! » Son père rapide comme l’éclair passa dans mon dos, et me quitta le vêtement. « Putain elle est super cette culotte ! La fente c’est pour faire ça ? »S’exclama le gros, son majeur s’enfonça entre les lèvres humides de ma chatte, son baiser s’éternisait. Mentalement je me traitais de salope mais, je lui rendis son baiser. C’est le cadeau d’anniversaire de Maxime… pensais-je pour me donner bonne conscience ! Leur laideur m’excitait… surtout la grosse bite qui se frottait contre ma cuisse. Une de mes boucles d’oreille se détacha, je la rattrapais… « Papa, la petite Salope mouille déjà !- Eh, mais tu pourrais dire bonjour à tout le monde… Il y a un Monsieur !- Entrez, suivez moi au salon. Nous avons préparé des collations ! »Je me dégageais doucement et passais devant devant eux pour les conduire vers Maxime. « Putain, dit le vieux fermier, l’envers du string vaut l’endroit… !! »Je laissais tomber devant moi, ma boucle d’oreille. Les jambes légèrement écartées, je pliais mon tronc pour la ramasser. Mon anus entrouvert se dévoila à leurs regards. Je sentis la main du vieux se poser sur ma fesse, un doigt glisser le long de ma raie et entrer entièrement dans mon trou intime, je gloussais…« Je vous présente Maxime, un bon ami à moi, c’est son anniversaire aujourd’hui et nous allons le lui fêter ! »Maxime leur serra la main. Les deux hommes restaient plantés face à lui, au milieu de la pièce comme tétanisés par le spectacle que je leur offrais. Une splendide blonde presque nue, aux cheveux blonds tombant sur les épaules, un nez aquilin, des yeux bleu-verts, une bouche gourmande, un corps parfait mis en valeur par une lingerie plus que sexy. Un désir fou se lisait dans leurs yeux, surtout que ce n’était pas la première fois qu’ils me baisaient… Le son de la voix de Maxime sembla les tirer de leur léthargie.«Alors, vous connaissez Trixie ? J’ai ouï dire que chez vous tout était démesuré. Elle m’a fait l’éloge autant de vos légumes que de votre anatomie… A table j’ai pu apprécier vos grosses courgettes, mais je suis curieux de voir le reste… qui d’après ce que je vois, ne doit rien leur envier tant en longueur qu’en grosseur… Trixie veux-tu bien me donner un aperçu des ustensiles qui vont te servir à satisfaire mon cadeau ! C’est une très, très bonne idée que tu as eu là ! Je vais me semble-t-il me régaler ! » Je passais derrière le vieux et très doucement j’abaissais la fermeture éclair de sa salopette, comme je le pensais, il était nu dessous. Ma main, se faufila à l’intérieur, descendis lentement le long de son torse. Je sorti son sexe monumental et turgescent, il bandait énormément, je le calottais et décalottais deux ou trois fois, il trembla et cela lui tira un gémissement de plaisir. Je lui mordillais le lobe de l’oreille en lui murmurant.« Tu n’ as qu’une énorme envie c’est de mettre ta bite dans ma chatte… vieux sadique !- Et toi petite Salope, tu adores que je te l’enfile entièrement… Je vais te faire hurler de plaisir devant ton jeune copain…  » Je fis glisser sa salopette sur ses épaules dévoilant son torse osseux couvert de poils blancs, elle tomba à ses pieds. Son sexe monstrueux de plus de six centimètres de diamètre dépassait largement son nombril. Ses deux gros testicules s’étalaient sur ses cuisses. « Ooooohhhh putain le bel engin, s’exclama Maxime… ! Il ne doit rien à celui de Gérald.»Son fils dont la combinaison était déjà bien ouverte, commença à se déshabiller rapidement, Maxime put ainsi « admirer » ses pectoraux poilus qui ressemblaient à une petite poitrine féminine, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis, qui partant de son sexe s’étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Même ses épaules étaient recouvertes de pilosité. Mais c’est son pénis qui fascinait. Il était presque noir, en érection, il devait mesurer une vingtaine de centimètres, son gland décalotté mauve foncé était assez pointu, puis s’évasait en une large corolle d’au moins cinq centimètres de long jusqu’à la couronne bien marquée et très saillante, ça procurerait des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors du coït. Son prépuce étiré était d’un brun clair, le corps du membre très brun était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d’un homme normal. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridé pendait assez bas et contenait deux testicules presque aussi gros que des œufs de poule.Je regardais Maxime, une sorte de rictus de dédain, sûrement du à la laideur des deux hommes, déformait sa bouche, mais ses yeux brillaient de convoitise en attendant la suite du spectacle… sa magnifique blonde baisée par ces deux monstres !! Rien que d’y penser, il bandait comme un âne !Ludo, car c’était son nom dégageait une odeur aigre de transpiration. Son allure générale, son faciès, son hirsutisme, me faisaient penser à un primate. Mais, malgré une répulsion certaine, la bestialité qui émanait de lui exacerbait mes sens, une sensation glauque me chauffait le bas-ventre, ma chatte était trempée. Je cédais encore une fois à ce désir malsain, en me donnant comme mauvaise excuse que je devais satisfaire la libido de Maxime, alors que je savais que je me mentais, j’allais tirer du plaisir en me faisant baiser par ses deux êtres abjects… et de plus devant Maxime ce qui mettait encore plus de piment à ce jeu pervers, car j’étais consciente que cela en était un !Il s’était extirpé de sa salopette et se tenait gauchement. Je m’approchais cette bahis şirketleri fois ce futmoi qui l’enlaçait, je frottais mes mamelons durcis contre la toison noire et étonnamment douce de sa poitrine, une décharge électrique me traversa le corps. Je luis saisis la bite et le masturbais doucement, je l’embrassais goulûment, puis ma langue descendit sur ses pectoraux velus et je lui mordillait et suçait les tétons. Je sentis que l’on prenait ma main… Maxime voulait-il faire cesser ce jeu dévoyé ? Non, il m’entraîna sur une sorte de pouf sur pied, il s’ accroupit à côté. Il ôta mon string et me fit asseoir les jambes largement écartées en face des deux hommes.Tout en titillant d’une main mes mamelons durcis par le désir, il écarta les grandes lèvres de mon sexe faisant saillir mon clitoris, de la cyprine coulait à flot de ma chatte.« Regardez comme sa chatte et humide et baveuse… Voyez mon doigt, il est luisant de son foutre, vous allez vous régaler… Et toi petite coquine, ta chatte palpite toute seule…! Il est l’heure de donner un acompte à ces messieurs, je suis certain qu’ils vont te faire jouir… Qui va être le premier ? »Ludo, le petit gros s’approcha. J’étais assise et ma bouche était à hauteur de son sexe. Malgré son odeur aigrelette, j’enserrai sa taille de mes bras. Ma bouche se posa à hauteur de son nombril, je sortis ma langue et elle se faufila lentement à travers sa toison pubienne vers la base du sexe que je tenais de ma main droite.Je le calottais et décalottais plusieurs fois, m’extasiant chaque fois mentalement devant son gland à la forme si particulière… Il est vrai que j’avais vraiment apprécié ses pénétrations lors de sa première visite chez moi. Je fis pénétrer le bout pointu entre mes lèvres, salivais énormément et aspirais, je le sentis avoir un spasme. Lentement j’enfournais ce gland mauve dans ma bouche et le suçais doucement. Je sentis alors couler du liquide pré-éjaculatoire sur ma langue, il en produisit une assez grande quantité, je tirais la langue en direction de Maxime puis déglutissait le liquide visqueux et incolore en le regardant en souriant. Je recommençais à enfourner le gland dans ma cavité buccale, et en l’ouvrant démesurément avalais lentement demi centimètre par demi centimètre le membre aussi gros que mon poignet. Je réussi à en faire entrer la presque la totalité. Je recommençais trois fois l’opération, lui tirant chaque fois des grognements de plaisir, puis je le masturbais vigoureusement, ne faisant pénétrer dans ma bouche que son gland un peu plus loin que sa couronne, ma fellation dut durer une dizaine de minutes, puis je sentis des grands jets de sperme gicler dans ma gorge, je les avalais au fur et à mesure. Avant que sa bite ne redevienne flasque, j’aspirais le sperme qui restait dans son méat… Un tremblement l’agita, il hurla de satisfaction. Je regardais Maxime, il souriait.« Bien, bien… Passons dans la chambre, dit celui-ci, ce sera mieux pour la suite… Je vois que tu te régales petite Salope…»Je m’étais couchée sur le lit, étendue sur le dos, les jambes grandes ouvertes pour que Maxime qui se trouvait debout au pied de celui-ci, ne puisse rien perdre de ce qui allait suivre. Il avait sorti son sexe et se masturbait doucement. Le vieux Louis s’allongea à côté de moi, son énorme queue à moitié rigide reposait sur le haut de ma cuisse, juste après la limite du bas. Sa main gauche calleuse aux ongles sales, se posa sur ma cuisse droite, il la passa sous la lanière du porte-jarretelles, puis lentement il la fit remonter et me caressa le ventre sous la mince bande de tissu de dentelle blanche. Elle redescendit sur ma chatte, son index et son majeur entrèrent dans ma vulve. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, sa langue fouilla ma bouche, nos salives se mélangèrent… Maxime me demanda d’écarter un peu plus les jambes, j’obéis. Le paysan en profita pour entrer les quatre doigts de sa main, tandis que son pouce frottais mon clitoris en petits cercles concentriques. Je gémissais de plaisir… Ma chatte écartelée ruisselait, son pouce quitta mon clito et vint s’adjoindre aux autres doigts, il poussa doucement la moitié de sa main dans mon vagin… Il recommença plusieurs fois l’opération me tirant des gémissements d’extase.« Putain ce que tu es bonne, petite salope… Tu aimes les caresses du vieux… Tiens lèche ton foutre sur ma main… »Ma langue essuya sa main… Il se mit à genoux face à Maxime. Sa bite avait maintenant une proportion phénoménale, le bout de son méat atteignait presque son sternum. Il me demanda de le sucer, pour me dit-il la faire durcir encore un peu. Je lui léchais le pourtour du gland lentement en l’humectant avec ma salive.« Met la dans ta bouche… »Ce que je fis, et je commençais à avaler cette immense hampe. Il posa main derrière ma tête et appuya doucement pour faire glisser son pénis dans ma gorge.« Woouuuaaahhhhhh, c’est merveilleux, tu vas arriver à tout avaler… Doucement, doucement ne me fais pas éjaculer… pas encore ! »Malgré ma bonne volonté et les encouragements de Maxime, je ne parvins pas à avaler entièrement cet énorme boa. Louis, me positionna sur le côté, me fit poser le pied droit sur son genou, comme cela Maxime était vraiment un spectateur privilégié pour la pénétration qui allait suivre. Il écarta au maximum les lanières de ce qui me servait de soutien gorge, elles compressèrent mes deux globes et les fit durcir. Ses deux énormes couilles reposaient sur sa cuisse, il attrapa de sa main droite la monstrueuse bite et présenta le gland à l’entrée de mon orifice vaginal, je frémissais de plaisir attendant avec impatience cette longue et démesurée pénétration, il dut le sentir mon excitation.« Alors petite Salope, on est impatiente de recevoir l’énorme bite du vieux Louis, tiens voilà… tu la sens entrer dans ta chatte ? Elle est grosse, hein ? Elle te plaît… putain ce que tu mouilles… elle entre toute seule… Mais tu commences à la connaître… et à l’apprécier ! Làààààà… tu aimes… la sentir glisser»Tout en parlant il enfonça lentement, les vingt-neuf centimètres et je senti bientôt ses couilles frotter mon entrejambe. Sa main gauche me triturait le sein droit, griffant mon aréole et pinçant mon mamelon.« Tu aimes, ma grosse queue… dis le que tu aimes… Tu aimes que je t’enfile mes 29 cm… Tu les veux entièrement…- Aaaahhhhh, Aaaaaahhhhhh oui….. ouuuuiiiiiiiJe regardais Maxime, il avait l’air de se régaler de voir ce gros piston coulisser en moi. Le vieux accéléra sa cadence pénétration, me tirant des cris de plaisir, mon regard n’avait pas quitté Maxime, essayant de deviner s’il appréciait de me voir prendre du plaisir avec cet épouvantail. Il semblait aux anges, il était nu maintenant et se masturbait doucement.Louis me fit basculer sur dos, sa bouche se plaqua sur mon sein droit, il aspira mon aréole, suça mon mamelon puis lorsque mon petit cône brun fut en pleine érection, il le mordit assez cruellement, je poussais un cri de douleur mêlé à de la jouissance…« Oh oui, oh oui… à…. l’au… tre, c’est bon… »Je me cambrais pour le lui offrir, et essayer de faire pénétrer encore plus profondément la bite qui me pourfendait.Il avait ralentit sa cadence de pénétration, et s’appliquait à me tirer des cris et des grognements de plaisir, parfois il cessait complètement, puis d’un seul coup entrait la totalité de son membre.Je devenais folle de plaisir… je sentais monter mon orgasme, cela devait faire plus de vingt minutes qu’il enfonçait son pieu dans mes entrailles… Je sentais qu’il était lui aussi au bord de l’explosion ! « Ouiiiiiiii, je veux ton sperme… éjacule, éjacule dans ma chatte…. ouiiii, c’est bon….- Eh Papa… dépêche toi… tu n’es pas tout seul… j’ai moi aussi droit à ma part du gâteau…- Laisse moi tranquille, fiston… cela fait cinquante ans que je suis marié à ta mère, je n’ai jamais réussi à lui enfiler complètement ma bite… Ici c’est le pi…. piiiiiieeeeeeeddddddd …. Ahhhhhhh tiens salope, tiens… Je jouis… Tiens mon sperme… putain c’est bon d’éjaculer au fond de ta chatte…»Un grand coup de rein enfonça la totalité, de membre colossal et il vida en moi sa semence avec de grands spasmes accompagnés de cris gutturaux, vantant mes mérites… Son éjaculation précipita mon orgasme, à mon tour je me cambrais hurlant de plaisir, lui entourant la taille avec mes jambes.Il se retira, me laissant pantelante sur le dos, je sentais son sperme couler de ma chatte.« Parfait, parfait dit Maxime… Mais je crois que je n’ai vu que la moitié de mon cadeau… »Je le regardais, il avait fait attention de ne pas éjaculer en se masturbant… Il attendait la suite pour conclure…Le petit gros, bandant comme un âne s’approcha du lit…. Je jouissais encore lorsque doucement, Ludo écarta mes cuisses et se pencha sur ma chatte ruisselante.« Putain, Papa ce que tu as pu décharger comme sperme !!- Oui répondit Maxime, cela s’appelle de l’hyperspermie due en général à la prostate ou à une longue période d’abstinence !!- Quoiqu’il en soit, c’est dommage de laisser perdre ce nectar !! Il n’y aurait pas un petit verre à liqueur ? »Maxime se précipita et revint avec un petit verre ciselé sur pied ressemblant à un verre à cognac . Le gros Ludo le plaça à la sortie de mon orifice vaginal et écarta mes lèvres, l’enfonça légèrement, le remonta doucement pour récupérer le sperme mêlé à mon foutre qui s’écoulait.« Contracte bien ta chatte, elle est encore pleine de sperme, voilà comme ça… regardez, comme ça coule, il doit y avoir plus de 12 ml… Tout à l’heure, elle va se régaler la petite salope… Écarte bien tes cuisses que tout le monde en profite bien… »Il se coucha à côté de moi, sa bouche se posa sur la mienne, sa langue s’insinua, je ne desserrai pas les dents… il grogna, il me saisit le mamelon droit et le pinça fortement, bahis firmaları un petit cri de douleur mêlé à du plaisir me fit ouvrir la bouche, sa langue envahie, ma cavité buccale. Sa salive au goût suret coula dans ma bouche. Il avait du sentir que j’aimais son pincement, car il se saisit de mon autre téton et lui fit subir le même sort.Ma poitrine se tendit vers l’avant comme pour en redemander, et vaincue par le plaisir et la légère douleur qui irradiait de mes seins les faisant durcir, je lui rendis son baiser avec fougue.Il écarta les bandes de tissu qui encadraient mes aréoles, faisant bien jaillir les globes qui se trouvaient légèrement compressés par les lanières de dentelles.Sa bouche entourée de poils rêches et piquants descendit le long de mon cou, son menton aux poils rêches se frotta sur le haut de ma poitrine et ses dents encerclèrent mes bouts en totale érection. Il se mit à me les mordiller assez vigoureusement.« Ouuuuiiiii, ouuuuuiiiii…. vas-y mords moi bien les tétons, ouuiiiii comme ça !!! Ça m’excite… mord les bouts, les bouts… ouiiiiiii comme ça…»Je sentais son gland triangulaire dur comme un roc se frotter au-dessus de mes bas, il le glissa sous la lanière du porte-jarretelles et le frotta doucement sur ma peau nue. Son majeur s’était insinué dans ma chatte et ma vulve commençait à me chatouiller et a devenir à nouveau moite. Ses lèvres commencèrent une lente descente vers mon ventre, sa salive laissait une traînée visqueuse sur ma peau. Il avait passé ses deux mains sous mes fesses et malaxait mes deux globes fermes. Les étirant pour ouvrir mon anus qui subissait la pression de ses majeurs.Ses yeux sombres ne quittaient pas le spectacle obscène de mon sexe à la fente rose et humide largement ouverte qui palpitait sous son regard lubrique.Je lui saisis la tête et plaquais sa bouche sur ma chatte en feu, qui n’attendait que la pénétration de son gland décalotté mauve foncé. Il me plaisait beaucoup, il était assez pointu, puis s’évasait en une large corolle d’au moins cinq centimètres de long jusqu’à la couronne bien marquée et très saillante, cela m’avait procuré des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors de notre précédent coït.Ses lèvres se posèrent sur la peau de ma jambe droite, là où s’arrête le bas. Sa langue remonta le long de l’attache jusqu’à mon mont de venus , redescendit dans l’aine, puis il pressa son visage contre ma vulve ruisselante humant le foutre qui coulait, et sa langue lécha le bord de mes lèvres. Des mouvements lascifs firent tressauter mes hanches. Au fur et à mesure que sa langue, écartant mes grandes lèvres s’enfonçait dans mes entrailles, mes cuisses s’ouvraient, son pouce titilla mon clitoris, un cri d’extase jaillit de ma gorge.Maxime aimait regarder mes ébats… mais moi aussi, j’étais friande des sensations que ceux-ci pouvaient provoquer chez lui, je n’avais pas besoin de tricher, je prenais du plaisir avec ces deux épouvantails. Il ne voulait pas l’avouer, mais j’étais sûre que ce brave Maxime était un peu jaloux de voir que ces deux montres me faisaient grimper au septième ciel… et cela augmentait mon plaisir…Ludo me fit asseoir sur ses cuisses jambes largement ouvertes, face aux deux autres hommes, puis il se mit à caresser mon corps, malaxant ma poitrine ferme et douce, ce qui me tira un gloussement de plaisir.Sa queue commença à se frotter le long des lèvres de ma chatte, son érection géante les écartait et son membre glissait entre elles, du bout de son gland, jusqu’à la base garnie de poils rêches.Il posa une main sur ma chatte et commença me masturber le clitoris, tandis que l’autre me malaxait un sein et me tirait le mamelon. Doucement, sa langue baveuse me léchait le cou.Je poussais un gémissement de plaisir et pris une profonde inspiration.Le gros fermier frottait mon clitoris et fourrait sa queue de haut en bas dans ma fente, la faisant glisser lentement contre ma chatte humide et tremblante, puis sur mon mont de venus jusqu’à la faire passer sous la dentelle de mon porte-jarretelles.Je sentais des sensations sauvages envahir mon corps, il me semblait que je n’avais jamais ressenti cela et je laissais un long gémissement agréable sortir de ma gorge.Ludo essaya de glisser trois doigts dans ma chatte humide, mais il ne put les intégrer que jusqu’à sa deuxième phalange ils étaient trop boudinés.Sa queue engorgée de sang, bandait énormément, il avait ressorti ses doigts trempés de mon foutre les avait léchés avec délice et il me chuchota à l’oreille :« Petite salope, je vais te mettre ma queue… ! »A ces mots, je commençais à frotter doucement son énorme bite. Je l ‘attrapais avec la main pour la masturber lentement. Mes yeux s’écarquillèrent de stupéfaction, le monstrueux phallus s’était encore élargi. Je continuais à le branler lentement, et je me penchais en avant pour prendre sa queue dans ma bouche.Il enfonça sa bite dure et tendue dans ma cavité buccale douce et pulpeuse, je l’avalais et ma langue s’agita autour de ce qui ressemblait à un champignon géant, puis je commençais à sucer toute la longueur.J’étais obsédée par ce sexe monstrueux et je ne pouvais pas arrêter ma fellation, je n’entendais pas les commentaires des deux autres hommes.J’avais un désir profond de vouloir le faire éjaculer dans ma bouche, mais cette fois, je voulais que ce soit différent de ce que je lui avais fait par le passé. Je caressais les couilles géantes de Ludo, les soulevant, les soupesant en soupirant de convoitise, elles étaient comme des outres géantes remplies de sperme bouillonnant, destiné à moi toute seule« Je ne peux pas croire à quel point ta bite a atteint ce diamètre phénoménal et elle devient encore plus grande… ! »J’ouvris la bouche aussi large que possible. Je devais insister pour avaler l’énorme mandrin dans ma gorge. J’arrivais à la base lorsque je pu déguster le bouillonnement du liquide pré-éjaculatoire qui commençait à s’écouler régulièrement de la pointe de son gland évasé. Je sortais son membre et posant mes lèvres sur son méat aspirais le liquide séminal, il trembla de satisfaction.Il poussa vers le bas ma tête, en appuyant derrière. Il sentit que je le suçais comme jamais je ne l’avais fait auparavant. Il haletait à perdre l’esprit… Il avait une énorme envie d’éjaculer… mais il se retenait.« Trixie, c’est ce qui arrive à une grosse queue quand elle est prête à aller s’enfoncer à l’intérieur d’une jolie chatte comme le tienne… »Ludo m’attrapa, autour de la taille et me hissa sans effort sur le lit. Je posais le dos sur le matelas et regardais son énorme et gigantesque bite lancinante comme si j’étais en transe. Il m’embrassa, sa langue s’insinua dans ma bouche, son corps nu et velu se frottait sur mes seins, il m’embrassa avec passion me clouant sur le dos.Nerveusement, j’ai accepté son baiser submergée par le désir. Il épousait mon corps, frottant son énorme bâton contre mon ventre et mes seins.Je me dégageais et m’assis, je repliais mes jambes ensembles, comme pour me protéger, je le poussais en arrière, pour l’énerver un peu, son pieu était monstrueux« Non ! Tu ne peux pas me baiser ainsi !! Je ne veux pas tomber enceinte… Je viens de me rappeler que je n’ai pas pris ma pilule… et tu vas éjaculer dans ma chatte.»Cela réussit, il grimaça de mécontentement il me recoucha et essaya de pousser sa monstrueuse bite entre les plis de ma chatte, je m’assis à nouveau et je renforçais ma position de départ, comme pour le faire entrer dans un  état second.Il me fusilla du regard, se rapprocha de mon visage et en me regardant dans les yeux, il me poussa sur le dos, je m’étalais sur le lit.Il posa ses mains calleuses à hauteur des attaches de mon porte-jarretelles et écarta fermement mes jambes, je cédais.«Pour l’instant, je ne vais mettre que mon gland, juste le bout, nous allons voir ce que nous pouvons te faire ressentir avec mon gros bout dans ta douce chatte, je suis sûr que tu vas adorer, tu vas en redemander…. »Je retins un soupir de désir et regardais à nouveau avec envie son énorme queue gorgée de sang et palpitante comme douée d’une vie propre, s’approcher de ma chatte trempée qui ne demandait qu’a l’accueillir.Une partie de moi désirait cette pénétration, mon corps me faisait savoir qu’il en avait envie, mais dans mon cerveau une autre partie de moi refusait cet accouplement avec cet être bestial, et primaire, à la propreté toute relative, tout le contraire d’un apollon, il était vraiment repoussant… Mais c’est mon corps qui prit le dessus… Je ne pensais plus à Maxime.Ludo se jeta sur moi et enfila rudement sa très grosse queue entre les lèvres de ma chatte, il continua à forcer son chemin dans mon jeune vagin humide, je contractais mes muscles vaginaux pour profiter de cette pénétration ardente.Il attrapa ma taille au-dessus de mon porte-jarretelles et tira mon corps vers le sien, son gland épanoui en corolle força le passage, je me mordis les lèvres pour ne pas crier de volupté.Ensuite, je criai de plaisir lorsque je sentis la délicieuse brûlure se propager le long de mon vagin.Il écarta mes jambes encore plus et son gland monstrueux glissa à l’intérieur de ma chatte humide et trempée. Maladroitement, j’essayais avec mon bassin de suivre ses pénétrations, mais ensuite pressées et écartées par la dure corolle mes parois vaginales se contractaient et se relâchaient comme pour aspirer le piston, voulant qu’il aille plus profond. Je poussais un énorme gémissement de plaisir. J’avais oublié sa laideur… il n’était plus qu’un sexe merveilleux.Ludo laissa échapper un grognement puissant et plongea son phallus géant et encore plus profond en moi, ne s’arrêtant que lorsqu’il eut rentré 15 centimètres dans ma chatte écartelée et palpitante.Je recommençais à crier mon plaisir, lorsqu’il commença de rapides va et vient, la dureté kaçak bahis siteleri et la largeur de sa queue la faisait entrer avec puissance dans ma chatte. Il sentait maintenant mon acceptation totale et le resserrement étroit de mon vagin autour de sa longue bite géante, semblait satisfaire son arbre veiné palpitant comme jamais…Il me regarda et sourit comme un démon, il glissa ses bras sous mon dos et saisit mes épaules, me positionna de sorte qu’il puisse tirer mon corps vers lui et enfoncer la totalité de son membre démesuré au plus profond de moi.Maintenant, je hoquetais de plaisir, mon sexe était en feu. Il me chevauchait, enfonçant en moi, sa bite démesurée avec une rage lubrique.D’un coup, il me pénétra plus violemment, plus je criais et plus il aimait poignarder la fente de ma chatte ruisselante et chaude avec sa perche géante.Il me fouillait de plus en plus fort, il plongeait sans discontinuer sa bite démesurée en moi, mes cris finissaient en gémissements et gloussements de plaisir et je rejetais ma tête en arrière retenant des larmes de joie.Ludo me baisait sur un rythme soutenu, mais régulier et mes cris de ravissement, intenses et profonds se transformèrent en gémissements de plaisir mélangés à une douleur lancinante et sourde procurée par la grosseur de sa queue qui écartelait mes parois vaginales.Je sentais la bite monstrueuse de grosseur racler au plus profond de mon vagin et je me suis mis à crier de plaisir à nouveau.Il commença à me baiser sauvagement, comme un a****l, mes seins rebondissaient, mes mamelons en érection totale, frottaient contre les pectoraux graisseux et velus de Ludo. Je m’accrochais à lui et j’ entourais mes bras et mes jambes autour de lui.Ses coups de boutoir étaient un peu douloureux, mais je me sentais si bien, ma tête tournait alors qu’une lancinante vague de plaisir commençait à sourdre à l’intérieur de mes entrailles.Il avait entré la presque totalité de sa queue géante en moi. Il forçait pour enfoncer en entier les derniers centimètres de sa queue, ma chatte était ouverte au maximum.Mon corps commença à trembler, mes seins se durcirent, je sentais qu’un puissant orgasme était en train de naître au tréfonds de moi, il déferla :« ohh, ohh, s’il te plaît vas plus lentement, oui plus profond … oh chéri … Je jouiiiiii … oui plus profond… Pénètre-moi doucement…. Ouuuiiiiiii !!!!! Ta bite est une pure merveille… ooouuuiii !!!! Ejacule, éjacule… éjacule au fond de ma chatte ! »Pendant de longues minutes Ludo me tint enlacé étroitement, sa bite bien enfoncée pour bien laisser mon foutre couler sur ses grosses couilles velues, il m’ embrassa passionnément.Alors je sentis dans ma chatte une éjaculation conséquente et profonde qui coula à travers moi, la bite de Ludo se déversait avec de grands spasmes.Son sperme chaud coulait à l’intérieur de ma féminité béante, il haletait et gémissait à chaque fois que ses couilles frappaient mon cul.Sa queue était encore dure à l’intérieur de ma chatte, et il commença à frotter ses couilles contre mes fesses dures et poussa sa bite aussi profondément qu’il le put en moi. Puis il bascula sur le dos me mettant à califourchon sur ses cuisses. Il ne bougeait plus semblant récupérer. J’essayais de récupérer en respirant lentement, je réalisais qu’il ne fallait pas qu’il me prenne pour sa putain de service !! Je me secouais, Ludo était couché sur le lit caressant ma poitrine et je sentais sa grosse bite encore à moitié et dure, poussant fort entre mes jambes et frôlant à nouveau mon ventre au-dessus de mon porte-jarretelles. Je me suis senti confuse et un sentiment de honte m’envahit. Je n’arrivais pas à comprendre pourquoi et comment je pouvais laisser ce gros porc, laid comme un pou, profiter de moi devant Maxime! Mais je reconnaissais qu’il m’avait donné énormément de plaisir les deux fois qu’il m’avait baisé… Je pensais que j’étais une vraie petite salope, accroc aux énormes bites… Tandis que ces pensées traversaient mon esprit, je regardais la bite de Ludo à nouveau dure comme du bois, venir flageller mes seins.« Putain, Trixie, tu es vraiment faite pour ma grosse queue… »Il remit ça en me l’enfilant à nouveau dans la chatte.Maxime complètement nu s’approcha du lit, il se masturbait, il calottait et décalottait sa queue qui avait atteint une érection maximale. Je le regardais d’un petit air contrit, comme pour me faire pardonner d’avoir tant joui avec le gros Ludo.« Suce mon gland petite Salope, je vais te sodomiser… Je ne croyais pas que ce porc allait te faire autant jouir…»Je m’appliquais à lui obéir, Ludo lui avait repris le malaxage de mes seins, mes mamelons commençaient à me faire mal à force d’être triturés, mais je ne détestais pas cette légère douleur qui les tenait en érection permanente.Maxime passa derrière moi et se mit à genoux sur le lit, il me fit pencher en avant, Ludo en profita pour sucer mes tétons, comme s’il voulait en tirer du lait.La queue de Maxime se positionna a l’entrée de mon anus et il poussa lentement, mon ampoule rectale ne résista pas et son gland entra dans mon petit trou. Il me connaissait, il savait que j’appréciais les pénétrations lentes, avec beaucoup de va et vient. Il savait aussi que j’acceptais dans mes entrailles la totalité de sa queue, alors il prenait son temps pour me faire savourer chaque centimètre qui entrait en moi.Avec ces deux énormes bites en moi, Ludo bougeait lui aussi doucement dans mon vagin, je m’envolais vers le paradis de la luxure. Les deux hommes me besognèrent pendant six ou sept minutes.« Dis, Maxime , je ne pourrais pas la sodomiser… Elle a l’air d’aimer ça !!- Bien sûr Monsieur, c’est vous l’invité… répondit Max avec un air dédaigneux.»Maxime lui avait répondu poliment, mais d’un air contrit avec un peu d’agacement, il lui laissa la place. Le gros fermier, mit sa bite au ras de mon cul, la pointe de son gland y pénétrant légèrement.« Allez assieds toi dessus, et tu ne t’arrêteras que lorsque tu sentiras mes poils te chatouiller les fesses, puis tu me chevaucheras toute seule, tu m’as épuisé tout à l’heure ! »Je lui obéis à la lettre, j’entendais Maxime soupirer de déception.« Maxime , dit le père de Ludo, vous devriez, en profiter aussi, Trixie doit pouvoir accueillir deux bites, essayez, j’adorerai voir cela !! »Maxime remonta sur le lit se mit à genoux faisant passer mes jambes sur ses cuisses, Ludo les mains sur mes hanches à hauteur de mon porte-jarretelles bloquait mon bassin, puis une fois qu’il sentit le gland de Maxime se positionner sur sa bite à l’entrée de mon trou intime, il m’attrapa sous les cuisses et écarta le plus possible mes jambes. Maxime s’aidant d’une main poussa lentement. Je sentais petit à petit son gland glisser au dessus de la bite de Ludo. J’étais excitée, mes sphincters étaient détendus juste pour permettre cette énorme intrusion. Il cracha sur son gland, passa deux doigts dans ma chatte pour récupérer du sperme gluant, qu’il badigeonna sur la tête de sa bite pour bien la lubrifier. Maxime procédait lentement, attentif aux expressions de mon visage, il ne voulait pas me faire mal, sitôt que j’ouvrais la bouche, retenant ma respiration, il stoppait sa progression. Il était arrivé à entrer les deux tiers de sa queue, il se retira de 10 cm, puis d’un petit coup de rein sec, il les remit en place, profitant de gagner un peu plus de profondeur, je hoquetais de plaisir. Il recommença l’opération plusieurs fois, Ludo lui pour l’instant ne bougeait pas.Maxime voyant que j’acceptais doucement les deux énormes membres, accéléra sa cadence de pénétration, sa bite était presque entièrement entrée.Ludo l’avait compris et lui aussi commença a faire des va et vient dans mon conduit anal, démesurément distendu.Ma bouche était grande ouverte, et je cherchais frénétiquement de l’air, submergée par les puissantes sensations de plaisir, d’avoir deux bites monstrueuses enfoncées profondément dans mon cul.J’enfouis mon visage dans les poils de la poitrine de Ludo, après quelques minutes de baise anale profonde, je commençais à gémir comme une petite chienne.Je hurlais avec force, quand Ludo accéléra ses pénétrations. Il me sodomisait plus férocement, je pouvais sentir tous les cm de sa bite qui entraient en moi, mes parois anales devenaient plus sensibles.Maxime, attrapa mes fesses et les écarta, il appela le vieux :« Venez voir Monsieur, vous aurez un point de vue magnifique, sur son cul !! Je crois que ne vais pas tarder à éjaculer. Dois je le faire à l’intérieur, ou voulez vous voir gicler mon sperme dans sa raie ?- Moi aussi je vais jouir, Papa fait moi passer le petit verre… »Maxime attrapa le verre à liqueur et le tendit à Ludo, celui-ci avec dextérité y déversa sa semence, tandis que Maxime avec de sourds grognements, commença à éjaculer son sperme tiède dans la raie de mes fesses. « Non, non dit le gros Ludo, dans le verre, dans le verre »Il réussi a récupérer la presque totalité du sperme dans le petit récipient. Le vieux fermier lui se masturbait vigoureusement, le spectacle l’avait entièrement comblé et assouvi ses fantasmes, il était au bord de l’éjaculation.« Attend Papa, mélange ton sperme au notre dans le petit verre…- Oui, mais pourquoi ? »Dit le vieux en s’exécutant. Le verre était plein du sperme de son fils et de celui de Maxime .« Trixie, approche. Ouvre la bouche, penche la tête en arrière, tire la langue… »Le gros Ludo versa avec dévotion par petites rasades, le mélange de spermes translucides sur ma langue…« Allez avale…. Tu aimes… Allez montre nous que tu adores… »J’obtempérais, et déglutis le cocktail de sperme… Une fois que le fermier et son fils furent partis, Maxime m’enlaça tendrement.« Je te remercie vraiment, c’est une super idée que tu as eu là, J’ai adoré te voir baiser avec ces deux monstres hirsutes ! Et tu es une super comédiennes, tu leur as fait croire qu’ils te faisait jouir…c’était très convaincant…- Euhhhh, ce n’était pas du cinéma… ils m’ont vraiment fait jouir… je sais je suis un vrai Salope…lui répondis-je en rougissant jusqu’à la racine de mes cheveux…A suivre…

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


VILLA PARADIS

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Anal

VILLA PARADIS« Bonjour monsieur Durand. Vous avez demandé à me voir ? »« Ha ! Oui, entrez Gabriel. »Monsieur Durand est mon patron depuis près de vingt ans. Directif mais bon patron.Nous échangeons sur certain point de travail, puis à mon grand étonnement me fait part de mes prochaines vacances.« Justement, c’est de vos vacances dont je veux aussi vous entretenir. Dites-moi…où allez-vous les passer ? »« Chez moi, je pense. Je vais refaire les peintures, changer la déco… »« Mouai ! J’ai peut-être mieux à vous proposer. J’ai une villa dans le Sud. La personne qui me la garde à des soucis et doit s’absenter et pour ma part j’emmène ma femme et ma fille à Las Vegas. Un jardinier vient deux fois par semaine s’occuper du jardin. Il n’y a rien à faire et je sais que vous êtes seul. Votre seule préoccupation sera de vous détendre au bord de la piscine. Si vous êtes intéressé, vous partez ce soir. Et bien sûr, vous toucherez une prime personnelle en plus d’une semaine de vacances supplémentaire. Qu’en dites-vous ? »8h30.J’ai dormi pendant tout le voyage.Gilbert, le gardien de la villa, est là. Il m’attend pour m’y conduire et me donner quelques instructions avant de partir.C’est un véritable petit paradis.Pourquoi partir à l’autre bout du monde quand on a un palais tel que celui là ?Le frigo est plein, l’eau de la piscine est bonne. Je pense avoir fais le bon choix.Je suis rouillé et un peu courbaturé par mon voyage nocturne, alors seul cet après-midi, je farniente.Je m’enduis de crème et je m’allonge au soleil, dans un transat, avec des boissons fraiches à porté de main. Enfin, un bon farniente réparateur. Je m’endors.« Encore une demi-heure et vous serez à point ! »Une voix de femme me réveille en sursaut. Je saute du transat, surpris.« Hein !? Mais qu’est ce… ! Qui êtes vous ? »« Christina, l’épouse de monsieur Durand. Rejoignez moi au salon. »Elle me fait un sourire malicieux et disparait dans la maison.Je saute dans mon short, passe un tee-shirt et je me rends au salon.Elle est assise dans un grand canapé blanc et dépouille son courrier. Elle est couverte d’une sorte de grande robe de soie, très ample, imprimée de grosses fleurs. Elle est si légère que je devine, sans difficulté, une lourde poitrine libre de tout carcan.« Asseyez-vous. »Je lui rends un sourire penaud et je me pose dans un fauteuil.« Je pose ma valise, ici ! Elle est lourde ! Je la monterais tout à l’heure. Ho ! Pardon ! Je ne savais pas qu’il y avait du monde ? »C’est une magnifique jeune fille à qui je ne donnerais pas vingt ans qui vient de rentrer dans le salon.« C’est Gabriel. Ton père l’a prit comme gardien pour l’été. C’est bien ça ? »« Oui, madame, c’est bien ça. »« Je vous en prie. Appelez-moi Christina. Je vous présente Vanessa, notre fille. »Elle me sourit poliment. Elle porte une robe de tennis blanche, ultra courte et très moulante qui met en valeur ses courbes et ses magnifiques jambes galbées.Je me calme doucement et, après avoir monté les valises de ces dames et servi un verre de jus frais, nous nous installons pour faire plus ample connaissance et avoir des explications sur leurs présences ici.« Comprenez mon étonnement, je vous croyais à l’autre bout de la planète. »« C’est ce qui devait être, en effet. Mais quand j’ai appris que mon mari s’y rendait pour voir d’autres patrons et non se reposer, j’ai annulé notre voyage et il est parti seul. Nous serons aussi bien ici. »« Je comprend. Votre villa est splendide. Il est tard, je partirais en fin de matinée si ça ne vous dérange pas. »« Partir ? Quel drôle d’idée ! Pas question ! Vous restez ici ! Je ne vais pas gâcher vos vacances pour la stupidité de votre patron. Gabriel, vous êtes ici chez vous ! »Le lendemain matin, je me sens obligé de leurs préparer un bon petit déjeuner, au bord de la piscine. J’aurais bien aimé leurs apporter au lit, mais…Christina descend la première. Je l’imagine nue, sous son peignoir de satin. C’est vraiment une belle femme.« Humm ! Merci Gabriel. C’est vraiment très gentil, mais ne vous sentez pas obligé, surtout. »« Ce n’est rien. Ca me fais plaisir et c’est la moindre des choses. Vous êtes si gentille. »Tandis que je sers le thé à Christina, j’entends un plongeon dans la piscine.Je me retourne.C’est Vanessa qui fait une longueur. Mais lorsqu’elle sort de l’eau…« Vanessa ! C’est indécent ! Monte immédiatement te changer.»La petite est seins nus et vient s’installer à table, après s’être sommairement essuyée.« Maman ! Vis avec ton temps ! Nous sommes à la mer et toutes les filles sont seins nus ! Pas vrai Gabriel ? »Bien que gêné d’être pris à parti, je prends tout de même le temps de les regarder discrètement. Ils sont superbes. Plutôt petits, surement très fermes et le droit est joliment décoré d’un beau grain de beauté.« Ben ! Ne m’en voulez pas, mais votre mère à un peu raison. Nous ne sommes pas à la plage et je ne sais ce que votre père dirait si il était parmi nous. »Elle jette sa serviette sur la table et monte dans sa chambre en courant.« Oups ! Je n’ai pas dû me faire une amie, là ! »« Ho ! Ne vous en faite pas. A son âge, on est encore un peu rebelle. A midi se sera oublié. J’en suis sûre. »La matinée se passe puis…« Christina ? Vous pouvez passer à table si vous voulez. J’ai préparé une bonne salade Niçoise. Voulez-vous que j’aille chercher votre fille ? Elle n’est pas redescendue depuis ce matin. »« Pas question ! Laissez la bouder. »Après la sieste, toujours pas de Vanessa.« Gabriel ? Je descends en ville une heure ou deux. Il vous faut quelque chose ? »« Non, merci. Je n’ai besoin de rien. »Je l’accompagne jusqu’à güvenilir bahis la porte d’entrée. Je suis fasciné par sa beauté et je ne peux pas détacher mon regard. Rêveur, je la regarde traverser l’allée pour rejoindre sa voiture. Sa démarche est légère et gracieuse. Elle entre avec raffinement dans sa voiture et elle…Je suis sorti de ma rêverie par la voix de Vanessa qui est apparue derrière moi.« Avouez ! Elle vous plait ! Hein ? »« Quoi ? Comment osez-vous parler de votre mère comme… »Je me retourne, très en colère.Elle est appuyée contre le mur, les mains dans le dos. Non contente d’être toujours seins nus, elle a également ôté le bas de son maillot de bain. Elle est devant moi dans le plus simple appareil et n’en semble nullement gênée.« À quoi jouez-vous !? »« Certes, nous ne sommes pas à la plage. Ne soyez pas outré, hihihi. »Je ne peux m’empêcher de la regarder et de la détailler. Elle est superbement bien faite. Ca ne fait aucun doute. Ventre plat, légers abdominaux, jambes musclées que j’avais déjà remarqué à son arrivée.Son sexe est bien fermé, comme un petit abricot et tout aussi lisse. Seul un petit trait soigneusement taillé, agrémente le haut de sa fente.« Et puis à en juger par la bosse dans votre short, je ne vous laisse pas indifférente, non ? Je me trompe ? »Elle s’approche de moi, très près. Elle s’arrête à quelques millimètres. Je peux sentir sa respiration sur mon visage. Elle plaque ses deux mains sur le devant de mes cuisses, presque à toucher mon sexe. Celui-ci gonfle encore, à m’en faire mal.« Croyez-vous ? Comment appelez-vous une mère qui se tape le petit ami de sa fille ? Une garce ! Non ? »Je ne sais ni quoi faire, ni quoi dire. Putain ! Cette môme arrive à me tétaniser.Elle monte ses mains jusqu’à mon ventre et les redescend doucement dans mon short.Je ne porte pas de slip, ni de caleçon. Ses doigts frôlent mon sexe.Elle approche sa bouche de la mienne. Nos lèvres se frôlent.Excité, mais très perturbé, je n’ose toujours pas bouger.Elle mordille ma lèvre inférieure, puis descend me donner un baiser dans le cou.Elle laisse doucement son corps s’affaisser vers le sol et ses mains entrainent mon short, libérant mon membre déjà prêt à exploser devant tant de beauté et de douceur.Elle tombe à genoux.Sa langue glisse lentement de mon nombril à mes testicules, contournant soigneusement le sexe dressé. Elle les lèche, les gobe avec délicatesse, faisant monter la pression et la sève. Je caresse ses cheveux d’une douceur incomparable. Je suis aux anges.Mais soudain elle se lève et part en courant dans les escaliers en riant et en criant.« Alors ? C’est qui la garce ? La mère ou la fille ? Hihihi ! »Si la mère est une garce, la fille est une belle petite salope de me planter là, la bite tendu, short aux pieds, au milieu de l’entrée.Je me jure de lui faire payer cette humiliation.Le soir, le diner se fait dans le calme, outre bien sur une ultime provocation de Vanessa à sa mère. Elle n’a rien trouvé de mieux que de descendre manger en col roulé. Nous en avons bien ri car finalement, c’est elle qui a chaud.Ma nuit fut agitée. Impossible de trouver le sommeil. Toutes mes pensées étaient dirigées sur le petit jeu sadique de Vanessa.Je voyais encore ce petit corps fantastique, je sentais encore les effluves de son parfum, je ressentais encore l’immense émoi qui m’habita durant cet instant. Elle avait fait monter la pression, monter la sève. J’ai du me masturber pour me détendre et pouvoir enfin, dormir un peu.Une belle journée s’annonce.Je me suis promené en ville toute la matinée. Cet après midi, je ne bouge pas et j’ai promis à Christina de laver sa voiture.Une fois fait, je fais un peu de zèle et contrôle les niveaux du véhicule. Il manque du liquide de refroidissement. Par cette chaleur, ça peut vite devenir une catastrophe. Je fouille le garage à la recherche du précieux liquide, en vain.J’ai remarqué un petit cabanon un peu plus loin. Peut-être y trouverais-je mon bonheur.J’en suis à quelques mètres seulement quand me parviennent de petits bruits. Des petits cris pour être plus précis.Je m’approche doucement et jette un œil discret par une petite fenêtre.Vanessa est assise sur un établi, les jambes enroulées autour de la taille d’un vieux bonhomme sans âge, qui la bourre de toutes ses forces. Elle se tient un peu en arrière et je vois ses petits seins sautiller à chaque coup de butoir.L’occasion d’une vengeance est trop belle. Je prends mon portable et commence à filmer la scène.Le vieux s’écroule sur elle en grognant et jouit tout en elle. Elle le repousse saute ensuite de l’établi et s’agenouille pour nettoyer le vieillard.Je ne m’éternise pas et file avant qu’ils ne sortent.« Voilà, Christina ! Votre voiture est propre. Passez au garage pour prendre du liquide de refroidissement. Il en manque. »« Merci Gabriel, vous êtes un ange. »« Ben oui ! Tout le monde sait ça ! Haha ! »Elle éclate de rire. Et soudain, Vanessa surgit de derrière la maison en compagnie du vieil homme.« Maman ! J’ai montré à monsieur Simon le gros massif à tailler. »« C’est bien ma chérie. Gabriel, vous ne connaissez pas encore notre jardinier, je crois ? Monsieur Simon. »Je lui serre la main et le détaille. Il est vraiment très laid et très vieux. Comment une belle jeune fille peut-elle se laisser baiser par une telle horreur.« Bonjour monsieur, enchanté. Il me semble bien vous avoir aperçu dans le coin. »Vanessa ricane bêtement.« Ca, ça m’étonnerait. Monsieur Simon est très discret. N’est-ce pas, monsieur Simon ? »Elle s’accroche à son bras comme si c’était son grand père. Elle güvenilir bahis siteleri le serre fort et je vois son sein se presser contre le bras du vieillard. Puis, elle l’entraine à la cuisine pour lui offrir une boisson fraiche.« Vanessa adore cet homme. Faut dire qu’il est d’une telle gentillesse avec elle. »« Oui, ça se sent. Je suis sur qu’il est très obligeant avec elle. »Ca, j’en suis sûr et certain. Pauvre Christina. Si elle savait.La journée s’achève par une nouvelle effronterie de Vanessa.La nuit vient de tomber.Elle descend de sa chambre fringuée comme …une pute. C’est un véritable appel au viol.« J’me tire ! J’vais en boite avec des potes ! »« Tu ne vas pas y aller habillée comme ça ? »« J’vais me gêner ! »« Bon mais ne rentre pas trop tard ! »« Pffff ! Tu verras bien ! Saluttt ! »Je collerais bien une baffe à cette petite saloperie. Christina semble très affligée par le comportement de sa fille. Elle en a complètement perdu le contrôle et sa môme en profite pleinement.Il y a un endroit que j’adore dans le jardin de la villa. Un peu à l’écart de la piscine, il y a une petite terrasse, et une table ronde en marbre rose. Au fond, il y a une sorte de balustrade, de balcon en fer forgé. La villa étant en hauteur, il y a là un point de vue magnifique donnant directement sur la mer.A la nuit tombée, on peut y voir les étoiles s’y refléter. C’est comme un décor de film romantique.Appuyé à la balustrade, je repense à cette journée, aux dires de Vanessa sur sa mère, à son comportement envers moi, à mon manque de réaction, à mon trouble incontrôlable.« Vous aimez aussi ? J’adore cet endroit. J’y passe des heures. »« Ho ! Christina ? Je ne vous ai pas entendu arriver. Oui, c’est très agréable. »« J’ai eu une discussion avec ma fille. Elle m’a dit s’être empoignée avec vous hier après-midi, lorsque j’étais en ville. »Putain ! Quelle conne ! Qu’est ce qu’elle a bien pu encore inventé ?« Empoigné ? C’est un bien grand mot, vraiment. Disons, un simple échange d’idées. Rien de plus. »« Quel en était le sujet ?… Moi ? »Je ne sais plus où me mettre. Embarrassé, je tente de minimiser.« Heuu ! Un sujet qui ne me regarde pas. C’est tout. »Mais elle semble avoir besoin de parler et elle continue.« Elle n’est pas facile. A la naissance de Vanessa, mon mari c’est senti investi d’une mission divine. Faire en sorte qu’elle ne manque de rien. Il s’est donné à fond dans son travail pour amasser une fortune. Mais moi il m’a oubliée et délaissée. Pensez-vous qu’une femme puisse rester tant d’années sans amour, sans sexe ? Ce gamin, je ne l’ai pas cherché. C’est lui qui est venu à moi. J’ai été faible, j’ai cru que… »Elle est submergée par l’émotion.« …Il m’a fait redevenir belle, jeune, désirable. J’y ai cru, pauvre idiote que je suis. Puis, il m’a dit que je ferais bien dans son tableau de chasse. Qu’une vieille… cela compte double.»Sa peine est immense et me touche. Dans un geste de compassion, je la prends dans mes bras. Elle cache son chagrin en plongeant son visage dans mon cou.« Je ne voulais pas qu’elle souffre. Ce n’était pas un garçon pour elle. Je ne voulais pas qu’elle aussi fasse partie du tableau de chasse, d’un gamin macho et pourri. Alors, je lui ai tout dis. »Je la serre contre moi. Je voudrais être juste réconfortant, mais c’est plus fort que moi… je sens sa poitrine s’écraser contre mon torse. Ses cheveux sentent bon et j’y frotte ma joue. Mes mains caresse son dos doucement et je ne sens aucune bretelles de soutien gorge.J’ai honte de penser plaisir, alors qu’elle souffre. Il faut que je lui parle.« Vous avez fait ce qu’il fallait. Vous n’avez rien à vous reprocher. Quand à ce petit con, il ne vous a pas fais redevenir belle, jeune et désirable, car vous l’avez toujours été et vous l’êtes encore. Tant pis pour votre mari s’il est assez aveugle pour ne plus vous voir et ne plus vous désirer… »Je perds le contrôle. Je passe ma main sous son tee-shirt et je caresse son dos à même la peau, tandis que mon autre main glisse dans ses cheveux, sur sa nuque et sur son crane. Je me colle fort à elle, avançant mon bassin pour coller mon membre contre et entre ses cuisses.« …Moi, je vous vois ! Moi, je vous désire ! Moi, je vous veux ! Hoo ! Christinaaa ! »Je tire un peu ses cheveux pour qu’elle lève la tête et sans attendre une réaction de sa part, je l’embrasse avec fougue.Je la sens tout d’abord tendue, voir même rébarbative à mon baiser, mais très vite son corps se détend et ses mains glissent sur ma nuque.Tout en m’embrassant, sans s’écarter une seconde de mes lèvres, elle me parle.« Non, Gabriel ! Humm ! Nous allons faire une folie ! Mmmmmm ! Il ne faut pas ! Haa ! Embrassez-moi encore ! Mouiiii ! »Je la fait reculer jusqu’à la petite table de marbre sans lâcher mon baiser. Lorsque ses fesses touchent la pierre, je libère sa lourde poitrine en soulevant son tee-shirt. D’instinct, elle se cambre et se penche en arrière en se maintenant de ses mains.Ses seins appellent ma bouche. Je les prends à pleine mains et les malaxe avec amour. Les tétons dressés, roulent entre mes lèvres et sont agacés par la pointe de ma langue.Lorsque je fais glisser mes baisers jusqu’à son ventre, je dénoue son paréo qui tombe au sol et je caresse ses cuisses. Elles sont fermes, chaudes.Mon visage est enfin face à son entre-jambe. D’un doigt, j’écarte son string. Une touffe brune, lisse et soyeuse cache sa grotte. Les grandes lèvres, un peu détendues, ont bien du mal à cacher un beau clito volumineux ainsi que la cyprine qui l’inonde déjà.Je fais glisser deux doigts dans la fente.Je la pénètre iddaa siteleri sans problème. Sa mouille est grasse et abondante. Son clito appel mes lèvres. Je m’avance et aspire le bouton rose. Je suis surpris par l’odeur plus forte, par le goût plus agressif que ceux des jeunes femmes que j’ai aimé jusqu’ici, mais je me sens enivré de la même façon.Ma langue remplace mes doigts et je m’applique à faire jouir cette femme mûre du mieux que je le peux.« Ho ! Gabriel ! Vous me rendez folle ! Ouiiii ! Prenez-moi ! Je vous en supplie, prenez-moi ! Hummm ! »Je me redresse et fait tomber mon short pour libérer mon dard qui vient se placer directement entre les cuisses de la belle dame.Elle se couche sur la table et monte haut ses jambes. J’att**** ses chevilles et je la pénètre lentement. Elle pousse une longue plainte de plaisir.Ses yeux sont fermés et ses mains crispées cramponnent le bord de la table.« Ouii ! Baisez-moi plus fort ! Plus fort ! Ouiii ! »Mes couilles frappent son anus avec force. Mon membre la pilonne, provoquant des bruits de sucions ou d’aspirations.Elle jouit fort, très fort, inondant mes testicules en hurlant mon prénom. De mémoire, je n’ai jamais provoqué un tel orgasme chez une de mes partenaires.« Ho oui, Christina ! Je viens aussi ! Harggg ! Je vais jouir ! Hummm ! »A ces mots, elle me pousse en arrière, saute de la table et s’agenouille pour prendre mon sexe en bouche. Elle n’aura pas longtemps à attendre et je me vide en longues saccades dans sa gorge.Nous restons encore un moment sur la terrasse, puis dans un dernier baiser, elle prend congé et monte dans sa chambre.Je fais de même.Allongé sur mon lit, je ne trouve pas le sommeil. Je suis bien trop excité.Trois heure trente du matin.J’entends du bruit. Je me lève et scrute le couloir dans l’entrebâillement de la porte de ma chambre.C’est Vanessa qui daigne enfin rentrer. Elle se glisse dans sa chambre, ses chaussures à la main.C’est l’heure de ma vengeance.J’attends un peu et je pénètre dans sa chambre, sans un bruit. Elle est allongée sur son lit, encore toute habillée. J’espérais la surprendre sous sa douche. Tant pis, je ne peux plus reculer.Je m’assois sur le bord du lit, tout près d’elle. Elle sent ma présence et se redresse d’un bond.« Hé ! Qu’est-ce que vous faite là ? »Sans me démonter, je pose une main sur sa cuisse.« Chuttt ! Vous allez réveiller maman ! Je viens voir si vous avez passé une bonne soirée ! »Très vite, je glisse ma main sous sa jupe et la pose sur son sexe. La petite pute ne porte rien et elle est tellement graissée que mes doigts disparaissent dans sa fente sans que je pousse.« Mais tu es pleine à ras bord, petite salope ! »Elle essaie de dégager ma main, mais ma force joue en ma faveur et je reste en elle.« Ils étaient combien pour te remplir autant ? »Vexée de ne pas avoir réussi à se dégager, elle cache son désarroi derrière une nouvelle provocation.Elle s’allonge sur le dos en prenant soin d’étaler ses longs cheveux sur l’oreiller. Puis, elle remonte son tee-shirt et malaxe ses petits seins en pinçant ses pointes roses, puis elle passe sa langue sur ses lèvres pour les mouiller et les faire briller.Son petit corps ondule et elle pousse son bassin sur mes doigts afin de les engloutir plus profond.« Six ! Pourquoi ? Vous voulez jouer les prolongations et être le septième ? Ca vous plairait de baigner dans leurs jus ? Hein ? Avouez ! Ca vous plairait ! »Croyant l’humilier, je retire mes doigts dégoulinant de foutre refroidi et je les passe sur ses lèvres.Mais la petite a du mental en réserve. J’aurais du m’en douter.Elle tire la langue, les lèches puis elle les fait glisser dans sa bouche. Ca semble même l’exciter énormément.« Hummm ! Prenez-moi ! Prenez-moi, maintenant ! Faite moi jouir ! »Inutile de me le dire deux fois et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je suis sur elle… en elle.Sentir ma queue patauger dans ce réservoir de liqueurs gluantes, me procure une étrange sensation et je m’étonne d’en retirer autant de plaisir et d’en être si excité.Sa bouche, ses lèvres qui ont gouté mes doigts, me troublent tout d’abord par leurs gouts salés, puis vient un étrange sentiment de partage et je me délecte de cette nouvelle saveur.Nous roulons sur nous même et c’est elle maintenant qui me chevauche. Ses cheveux fouettent mon visage. Ses yeux dans les miens me parlent et me disent « Encore ! Encore ! Encore ! ».Sa vulve se vide de l’excès de semences qui dégouline jusqu’à mes couilles et poursuit son chemin dans la raie de mes fesses.« Hooo ! Jouiiii ! Je viens ! Je viens ! Jouiii en moi, avec moiii ! Viteee ! »Ses ongles s’enfoncent dans mes épaules.Nous nous libérons ensemble, sans retenu, dans des râles de plaisir.Son corps s’affaisse sur le mien. De sa tête dans mon cou, j’entends sa respiration rapide se calmer lentement.Dans un petit bruit étrange, mon sexe redevenu sage, s’extirpe seul du fourreau à plaisirs et ma semence s’échappe de cet antre pour rejoindre les autres, entre mes fesses.Son visage, toujours dans mon cou…« Gabriel ? »« Oui ? »« Vous avez pris des risques, non ? Et si je n’avais pas voulu ? »Je fouille ma poche et glisse mon portable sous ses yeux.« Quoi ? Je ne comprends pas. »Je me dégage en la roulant gentiment sur le coté. Quelques manipulations plus tard, je lui fais découvrir mon petit film.Pour la première fois, je la sens déstabilisée. Elle rougie. Mais c’est plus fort qu’elle et elle essaye de se reprendre.« Ho, vous savez, les yeux fermés, une queue, c’est une queue ! Ca m’aide avec des mecs comme lui… comme vous. »Un an est passé.Christina a divorcé de monsieur Durant.Désormais, je vis avec elle, j’ai pris ma retraite dans la villa et nous profitons de la vie grâce à sa fortune personnelle. Vanessa ?C’est devenu un amour avec sa mère depuis qu’elle est enceinte. De qui? Ca, difficile à dire !

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


sex hikayeleri seks hikayeleri tuzla escort gaziantep escort muğla escort muş escort nevşehir escort niğde escort ordu escort osmaniye escort rize escort sakarya escort samsun escort siirt escort kocaeli escort kocaeli escort izmir escort izmir escort izmir escort kuşadası escort bayan çapa escort şişli escort sex hikaye bakırköy escort şişli escort sincan escort rus escort bursa escort bayan görükle escort bursa escort bursa merkez escort bayan etlik escort eryaman escort Bahis sitesi antalya rus escort taksim escort mersin escort mecidiyeköy escort çankaya escort etiler escort bahçeşehir escort şirinevler escort escort Escort ankara Ankara escort bayan Ankara rus escort Eryaman escort bayan Etlik escort bayan Ankara escort bayan Escort sincan Escort çankaya görükle escort bayan Escort bayan Escort bayan bahisu.com girisbahis.com Antalya escort ankara escort kızılay escort esat escort porno porno film izle hurilerim.com bursa otele gelen escort görükle escort bayan beylikdüzü escort escort escort escort travestileri travestileri porno izle gaziantep escort Escort sex izle brazzers rokettube şişli escort bursa escort bursa escort bursa escort bursa escort istanbul travesti istanbul travesti istanbul travesti ankara travesti Moda Melanj Anadolu Yakası Escort Kartal escort Kurtköy escort Maltepe escort Pendik escort Kartal escort bornova escort balçova escort mersin escort