La Voie de la Souplesse

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La Voie de la SouplesseNouvellement arrivé à Montréal depuis un mois travaillant comme disquaire aux 33 tours. Me cherchant une activité physique pour garder la forme décidant de revenir aux sources et de m’inscrire dans un cours de Judo. Étant de niveau ceinture bleu avancé découvrant le club Hakudokan sur le boulevard Saint-Laurent. Pratiquant assidûment tous les lundis, mercredis et vendredis. Remarquant une élève étant une personnalité connue de la télévision. Geneviève Langlois travaillant comme chroniqueuse à RDS. Une sympathique jeune femme dans la quarantaine de niveau débutante. Devenant du même coup son partenaire régulier d’entraînement me liant d’amitié avec celle ci. Une belle complicité immédiate se dévoilant entre nous deux. Étant plutôt calme et posé tandis que Geneviève était plutôt expressive et enjouée. Nos deux personnalités se complétant à merveille. La jeune dame profitant grandement de mon expérience sa progression s’améliorant constamment en ma présence.Notant que Geneviève était une jeune femme plutôt bien foutue. Pas une beauté fatale mais elle avait une belle grosse paire de seins tout à fait remarquable. La pratique du judo quand même exigeante lors des cours à niveau compétitif. Un peu moins lors des cours théoriques l’écoute mise de l’avant. Me retrouvant dans une situation embarrassante une fois lors d’un combat au sol. Geneviève dans sa maladresse vibrant son bassin avec un peu trop d’insistance sur ma tige. Déclenchant une érection immédiate de mon côté la jeune dame s’en apercevant. Mon visage rougi agenouillé l’un tout près de l’autre. Déposant sa main sur mon épaule en me disant qu’il y avait rien là. Geneviève semblait étrangement apprécier la situation souriant en me regardant. Les jours qui suivirent appréciant de plus en plus sa présence. Lui demandant pourquoi elle n’était pas en compagnie de son conjoint la sachant déjà en couple. M’affirmant qu’il n’aimait pas ce genre d’activité ajoutant qu’elle pouvait avoir l’esprit plus libre de cette façon. M’informant qu’elle pratiquait aussi le yoga et le tai-chi si celà m’intéressait. Que si je voulais apprendre ses deux méthodes de relaxation parfois exigeante dans la grâce et la souplesse. Qu’elle était ouverte à me les montrer me proposant d’en faire la pratique à l’extérieur. L’hiver par contre approchant à grand pas le froid du mois de novembre apparaissant.Décidant de l’accompagner une bonne journée me démontrant quelques positions de tai-chi à l’extérieur dans un parc. C’étais plutôt bien dans l’ensemble sans pour autant vouloir en devenir un fervent adepte. Pour le yoga me suggérant de le faire dans un local les poses pouvant être quelques fois inappropriées. Ou même de l’accompagner un samedi matin pratiquant ce type d’activité en cette même journée. Reprenant nos cours découvrant une dame encore plus lumineuse. Ajoutant que la brunette avait une odeur corporelle tout à fait délectable. Suant l’un contre l’autre dans nos judogis lors d’un vendredi particulièrement intense. güvenilir bahis Nos capacités physiques mises à dures épreuves appréciant le moment en sa compagnie. Fait à noter qu’à l’adolescence j’étais considéré comme un athlète d’élite dans cet art martiaux japonais. Avant qu’une sévère blessure à l’épaule gauche vienne ternir mes aptitudes d’exceptions. Mon jeune vingt-six ans toujours aussi perfectionniste dans la pratique. Geneviève semblait apprendre beaucoup en ma compagnie me le signifiant par son attitude positive et joviale.La période des fêtes terminées notre amitié prenant de plus en plus d’ampleur. Me demandant si je savais patiner lui répondant par l’affirmative. M’invitant à venir avec elle une patinoire extérieur situé au parc Lafontaine se dévoilant début janvier. La dame commençant à s’investir de plus en plus dans mon environnement. Me posant alors plusieurs questions à ce sujet sachant qu’elle avait un enfant. Sans pour autant songer à une femme ouverte à l’adultère. La sentant de plus en plus tactile à mon égard. Elle me parlait tout près immobile sur la surface glacée ses seins frôlant mon torse par moment. Touchant sa longue chevelure brune foncée à quelques reprises. Sa vulve effleurant ma cuisse droite une chaleur intense se dévoilant à travers son pantalon noir. Son chandail blanc lui allant à merveille elle portait un parfum subtil et délicieux. La jeune dame semblant radieuse de ma présence la séance de patinage prenant fin une heure plus tard. L’informant que son passage de ceinture devait arriver sous peu. Lui conseillant de se préparer mentalement à l’approche de ce jour fatidique. Vint le moment où elle devait changer de grade étant éventuellement son partenaire attitré. Me proposant une séance de yoga et une pratique de l’examen dans un local quelconque près de chez elle. M’y retrouvant un samedi soir seul en sa compagnie. Le judo en priorité elle maîtrisait très bien tous ses mouvements. Passant à la pratique du yoga Geneviève s’habillant de vêtements appropriés. Se déshabillant à ma grande surprise devant mes yeux se dévoilant en sous-vêtements gris foncés. Enfilant un débardeur léger blanc et un leggings gris foncé assortie d’une bordure rose pâle à la taille. Moi gardant mon pantalon de judo enfilant un t-shirt blanc du bushido. Me démontrant la posture du chien museau face au ciel, du grand angle, de la tortue et du pigeon etc etc etc. Comment ne pas la trouver sexy dans ces positions inusitées ouvertes à la souplesse. Geneviève se déplaçant souvent pour bien me positionner. Elle me touchait toujours en délicatesse une odeur de chatte mouillée semblant s’émaner de son entrejambe invitant. Discutant un peu après la séance terminée me demandant si j’avais aimé. Me proposant de venir l’assister dans un cours un samedi matin si je le voulais. Me retrouvant en sa compagnie un samedi plusieurs femmes et quelques hommes composant l’endroit lors d’une séance d’une heure. Le paysage composé de plusieurs fesses féminines d’apparences türkçe bahis fermes et rondes devant mes yeux. Geneviève me lançant quelques regards obliques elle savait que ma position en fond de classe était tout à fait approprié au voyeurisme. La séance terminée me proposant d’aller manger quelque chose. Lui proposant le restaurant Kazu un izakaya japonais nous offrant d’excellents choix gastronomiques. Me sentant presque en rencart avec celle ci. Dégustant des gyozas frits et des brochettes de type yakiniku. Geneviève s’appropriant de lanières de porcs braisés pendant 48 heures avec des nouilles de riz. Une pratique pour le passage de grade prévue en ce samedi soir Geneviève toujours aussi enthousiaste de ma présence. La sentant un peu plus tendue qu’à l’habitude elle souriait par contre un peu tout le temps. De retour au local Geneviève se dévoilant à nouveau en sous vêtements devant mes yeux. Passant du gris foncé au rose pâle. Elle me regardait du coin de l’oeil avec une certaine appréhension. L’examen prévu pour demain matin elle était visiblement prête à faire face à toutes éventualités. Me retrouvant au sol par moment elle poussait quelques gémissements involontaires anodins. Une faible humidité semblant imprégner l’entrejambe de son judogi. La pointe de ses seins durcie elle semblait complètement émoustillée par ma présence. Kami Shio Gatame rappelant un peu un 69. Respirant l’odeur de sa chatte elle semblait faire éterniser la position un peu plus longuement. Tate Shio Gatame à l’inversé s’allongeant toute chaude sur mon corps inerte. Notre proximité constamment réduite une tension sexuelle devenant de plus en plus palpable. Me disant qu’elle semblait tenter de me séduire. N’étant par contre quelqu’un de très proactif envers les femmes déjà prises. Surtout à cet âge avec un enfant à garde.Revenant au yoga Geneviève se déshabillant à nouveau. Visionnant sa petite culotte toute trempée elle mouillait visiblement beaucoup. Se retournant de dos en enlevant sa brassière pour une raison obscure. Une horde de miroirs devant visionnant inévitablement sa poitrine dénudée. Deux belles aréoles brunes exprimant de belles petites framboises bien dressées. Décidant de remettre son pantalon de judogi blanc avec un t-shirt gris foncé du bushido. Alternant de positions en positions me proposant des postures de niveau expert. La première en équilibre sur un bras avec un grand écart puis l’autre du corbeau latéral avec les jambes en équerre. Démontrant le positionnement la première particulièrement infaisable de mon côté. Réalisant la deuxième avec passablement de difficulté. S’approchant pour venir m’aider elle me touchait tout doucement les fesses. Quelques larmes coulant sur ses joues la voix enrouée. S’exprimant des termes suivant dans l’instant. Mon conjoint vient tout juste de me quitter pour une autre. Voudrais-tu bien faire l’amour avec moi s’il te plaît.Naturellement qu’avec toute la tension accumulée les choses se passèrent rapidement. Nous déshabillant güvenilir bahis siteleri en nous embrassant fougueusement. Portant la pointe de ses seins volumineux vers ma bouche. Geneviève se faisant culbuter sauvagement les deux jambes bien ouvertes dans les airs. S’exprimant d’une voix vive en s’agrippant de mon fessier. Une petite vite bien sentie la chroniqueuse jouissant avec coeur. Des sons de pénétrations mouillés résonnant dans tout le dojo. Portant mes envolées de façon brusques et vives dans son antre embrasé. Lui faisant honneur de ma jeunesse furtive elle semblait complètement soumise à l’action. Ma queue frétillant tel un saumon dans sa chute ruisselante de cyprine. Geneviève gémissant qui ne s’attendait sûrement pas à être prise aussi vivement. Venant au bout de trois minutes déclenchant un bel orgasme à ma jolie assouvie. Réalisant que de tomber amoureux avec cette femme pouvait-être possible. Notre différence d’âge cependant un facteur à problème surtout qu’elle était une personnalité connue du publique.Son examen passé au matin obtenant une note de 95 pourcent. Le dojo élu domicile pour assouvir nos ébats. Prêté avec la générosité d’une de ses amies. Frustrée par les nombreuses infidélités de son ex-conjoint elle ne demandait qu’à être saillie vivement. Découvrant qu’il baisait à gauche et à droite à chacune de ses absences. Dieu qu’elle en voulait celle là son vagin souvent pénétré à des rythmes incessants. M’affirmant que ce n’étais qu’une passade et de seulement profiter du moment. Réalisant qu’on allaient se voir régulièrement notre activité mutuelle nous le permettant. Baisant comme des lapins j’aimais bien introduire ma tige de grosseur moyenne dans sa toison velue. Étant juste un peu plus grand qu’elle mesurant 5 pieds 6. Goûtant à son antre chaud à plusieurs reprises elle mouillait toujours vraiment beaucoup. Son parfum vaginale comparable à l’odeur du café frais. Expérimentant quelques positions de yoga de niveau expert dans l’action. Pratiquant celle imposant un grand écart sexuellement très suggestive, Pénétrant ma tige entre ses belles lèvres rosées y allant tout doucement. Une belle position pour venir lui goûter l’abricot en premier lieu en lui introduisant deux doigts. Variant pour celle de la brouette découvrant cette femme frustrée ouverte à toutes les perversions. Sa récente perte de poids m’indiquant que nos baisent régulières devenaient de plus en plus entreprenantes. Son corps plus ferme elle prenait à présent les levrettes comme une véritable athlète olympique. Éjaculant tellement de fois durant la dernière semaine qu’on aurait dit qu’elle voulait se faire féconder. Faisant l’amour dans une douche publique notre relation ne faisait que s’embraser de plus en plus. Les cours terminés on se voyaient un peu moins régulièrement. Sa jeune fille et son travail prenant beaucoup de son temps. Réalisant qu’on devait peut-être arrêter de se fréquenter un moment trouvant la situation devenue malsaine. Acceptant sa décision j’étais quand même lucide à cet égard. Geneviève se dédiant alors pleinement à la pratique du yoga et du tai-chi. Délaissant le judo mais revenant pour la session d’hiver prochaine. Ma ceinture marron en poche visant à présent la ceinture noire.

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The Poker Game – Part Three

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The Poker Game – Part ThreeThe Poker Game…. Part ThreeMark motioned to John to bring Kathy up onto theslightly raised platform that was in the middle of theroom. There the leashes were removed and our mastersordered us to remove our clothes, all but our high heels.At this point we were standing on the platform, naked andthen we were positioned standing, facing each other whilethe group of men watched like wolves watching a flock ofsheep. I’ve been in this position more times then I cancount but I looked into Kathy’s eyes and I could see shewas nervous but excited too. She had no idea what allthese guys would do to her. Fear and Excitement wasa powerful set of emotions and watching her face wasturning me on like, no doubt, it was turning on these men.Then Mark told the group to grab chairs and sit down allaround the platform which is like a stage but only raisedabout two feet above the level of the floor. At this pointMark asked John if he would like to cuff the slaves wristsand pull their arms up over their heads and hook their wrists to a hook dangling on a cable hanging down fromthe ceiling.John nodded yes and in a minute we were standing, güvenilir bahis facingeach other and our arms were secured above our heads.Then mark handed John the remote control for the winchthat the cable was hanging from. John took the control and the winch started winding incable until we were hanging, with our tip toes of our highheels just touching the floor beneath us and our nakedbodies were now pressed up against each other. Both of us are about the same height, 5’2″ so now our tits werefirmly pressed together and we were up on tip toes, faces just inches away from each other.Mark looked us over while John was using both of hishands on us. Sliding his hands up and down our backs and butts and just enjoying his power over us. We were totally helpless now. Naked, bound, and vulnerable. I startedmovin just a little. Rubbing my tits against her tits. Yeah,this situation was making me horny. She looked at mewhen she realized what I was doing and smiled at me.Not only did she like it, I think it reassured her that I wasnot really worried about the situation. Then again, I knewwhat was probably going to happen and she didn’t. Mark said, türkçe bahis “This is all about submission and obedience.All you have to do is exactly what you are told to do. Nodiscussion, No hesitation only eager to please obedience.”To start with I want you both to lick the dried cum off eachothers face. DO IT NOW,”Without hesitation we both leaned closer and started tolick each others face. The men watched and were strangely quite, as we lickedthe dried cum on each others face and then around eachothers mouth and then the wet kissing started. We wereboth hungry for each other and the kisses were deep andvery wet.Mark interuppted our passion as he firmly said, “Enough!”We stopped kissing but were still making lusty eye contact.Mark spoke again saying, “Kathy, since you are new to all of this I want to explain how the rules work. All the men that are here tonight are members of our BDSM club outat Robert’s large estate. The normal rules of this societysay that we must all treat other members property withrespect and never do anything to dishonor this societyor risk being ejected. You need to know that when aMale member gives permission güvenilir bahis siteleri for access to his propertyhe says what can and can’t be done at the begining of anagreed time, or an agreed upon event such as tonight. Soalthough YOU do not know what permissions these menhave where you are concerned there is an agreement inplace and anything they do to you tonight will be withJohn’s permission. With that in mind you may be surprisedat what John has allowed for you, or then again, maybenot? We have finished the card game except to cut the cards to see who goes first now that we have come to theBDSM part of this evening. Remember, Your role here is as a slave. You must accept ‘that’ and respond accordingly towhatever situations arise. OBEDIENCE is the most singleimportant thing you must accept to be a part of this society.”Kathy turned her head and looked at her husband and they smiled at each other. I looked over at Mark and winked and licked my lips and he smiled too.John spoke up and said, “Mark and I have decided to sitout and watch. You boys can pull a card out the the deckI’m holding and the two high cards can have control overthese sluts for 30 minutes then after a 5 minute break, theother two men will have their 30 minutes.The men all pulled a card and Robert and Mike ended upwith the two high cards. John said, “Ok, gentlemen, use them as you will.”Continued in Part Four

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die entjunferung

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Amateur

die entjunferungVor einigen Wochen hatte ich ein geiles Erlebnis mit einer Fünfzehnjährigen: Ihre Eltern, die ich schon lange kenne und mit denen wir (meine Frau und ich) uns regelmäßig zu gemeinsamen Sauna-Abenden mit anschließendem Gruppensex treffen, erzählten beiläufig in der Sauna, dass in der Clique ihrer Tochter auf einigen Feten die Jungs gewettet hatten, welche Mädchen sie umlegen könnten.Sandra, so heißt die fünfzehnjährige Tochter, wollte da nicht mitmachen, sondern das erste Mal mit einem erfahrenen Mann schlafen. Sie sagte ihren Eltern, dass sie gern mit mir eine Nacht in einem Hotel verbringen würde, wo ich mit ihr schlafen und sie entjungfern sollte.Natürlich war ich etwas überrascht, so ein Angebot zu bekommen, aber Gisela, ihre Mutter und auch meine Frau redeten mir zu, dem Mädchen etwas gutes zu tun, denn sie selbst hätten beide beim ersten Mal mit einem Jungen nicht die besten Erfahrungen gemacht, daher sei es schon gut, wenn ich Sandra “knacken“ würde.Auch mein Freund Hermann war damit einverstanden, mir seine Tochter anzuvertrauen, denn er weiß, wie ich die Frauen behandele und befriedigen kann.Mir war zuerst nicht ganz wohl bei dem Gedanken, denn ich kenne sie seit ihrer Kindheit. Inzwischen hatte sie sich zu einer selbstbewußten, jungen Dame entwickelt, mit einer super Figur und herrlichen Titten, auf die ich schon öfters einen Blick geworfen hatte.Sandra kam “ganz zufällig“ auch in die Sauna, als ich ihren nackten Körper sah, hatte ich Mühe, meine Erre-gung zu unterdrücken, zumal Sandra dauernd auf meinen halbsteifen Schwanz schielte. Wir unterhielten uns über ihr Anliegen und vereinbarten, dass sie mich an-rufen sollte, wenn sie “es“ wollte.Die Frauen beglückwünschten Sandra zu ihrer mutigen Entscheidung und sagten ihr, dass sie ihre Wahl nicht bereuen würde, denn Gesa und meine Frau kannten mich ja aus vielen gemeinsamen Sex-Stunden und wußten, was Sandra erwarten konnte.An diesem Sex-Abend mit unseren Freunden fickte ich meine Frau und Gesa, hatte dabei aber immer Sandra und ihren geilen Körper vor Augen. Die Frauen merkten meine Geilheit und neckten mich deswegen.Nach zwei Wochen kam der Anruf, wir verabredeten uns für das kommende Wochenende. Ich buchte ein Doppelzimmer von Freitag bis Sonntag in einem Großstadthotel, 100 km von unserem Wohnort entfernt.Pünktlich holte ich sie bei ihren Eltern ab, wir fuhren los und unterhielten uns über dies und das. Die Spannung war deutlich zu spüren. Sandra erzählte von der Schule und ihrer Clique und den Feten. Ich erfuhr, dass sie schon ein paarmal Petting gemacht hatte, schon einen Schwanz bis zum Abspritzen gewichst hatte und auch schon Oralverkehr hatte, sowohl aktiv wie auch passiv. Ich spürte, wie mir der Schwanz in der Hose schwoll, denn wenn ich das alles in den kommenden Stunden erleben sollte, konnte ich mich auf was gefaßt machen.Sie erzählte mir auch von den Erfahrungen, die ihre Freundinnen schon gemacht hatten. Lena, die ich auchkenne, mußte die schlimmste sein, vor ihr war kein Jungenschwanz sicher auf den Feten. Keine Feier verging, auf der sie nicht von wenigstens einem Jungen umgelegt wurde. Meist waren es sogar mehrere an einem Abend, von denen sie sich besteigen ließ.Mich erstaunte doch die Unbekümmertheit der Jugend im Umgang mit Sex. Da wurden, so erzählte Sandra mir, auf den Feten richtige Wettbewerbe veranstaltet, so z. B. einmal ein Wettwichsen, wo das Paar Sieger war, bei dem sie ihm am schnellsten den Schwanz zum Abspritzen brachte. Ein anderes Mal standen fünf Jungen nebeneinander und wichsten sich die Schwänze. Sieger war der, der am weitesten spritzen konnte. Als Siegerpreis gab es natürlich Lena.Einige Mädchen strippten. Als sie nackt waren, wurden ihnen Eiswürfel an die Brustwarzen gehalten. Siegerin war die mit den längsten Brustwarzen. Wer hier nicht mitmachte, wie Sandra, war schnell zum Außenseiter abgestempelt.Mit einem Seitenblick sah ich, dass Sandras Brustwarzen auch vor Erregung hart standen und sich durch den dünnen Pulli deutlich abzeichneten. Einen BH trug sie offenbar nicht. Das würde ich aber noch prüfen. Beiläufig ließ sie mich wissen, dass sie schon seit einem Jahr die Pille nimmt.So verging die Zeit im Fluge, wir waren nach einer Stunde im Hotel. Wir hatten beschlossen, dass Sandra den Ablauf bestimmen sollte. Sie entschied, dass wir erst Essen gehen sollten, dann wollte sie mit mir kuscheln. Das alles sagte sie ohne Scheu und Hemmungen, so, als würde sie über die Schule sprechen.Wir beschlossen, zuerst zu duschen und zogen uns gegenseitig aus. Ich zog ihr den Pulli über den Kopf, ihre kleinen, festen Titten mit den harten Brustwarzen sprangen mir entgegen. In meiner Hose zuckte es verdächtig.Gemeinsam gingen wir ins Bad. Ich nahm Sandra in den Arm, gab ihr einen Kuß und staunte, wie sie antwortete. Tief bohrte sich ihre Zunge in meinen Mund. Wild knutschend schob ich sie in die Dusche, drehtedas Wasser auf.Beide Hände ließ ich über ihren nassen Körper gleiten, streichelte ihren Rücken, ging mit beiden Händen tiefer und knetete ihre prallen Hinterbacken. Sandra stöhnte und preßte ihren Körper an mich, ich spürte meinen steifen Schwanz an ihrem Bauch, ihre harten Nippel an meiner Brust. Es war supergeil, dieses kleine Mädchen so zu spüren.Schließlich ließen wir uns los, seiften uns gegenseitig ein, wobei wir keine Stelle ausließen. Sandra widmete sich mit Hingabe meinem Schwanz, kniete vor mir und wusch mir es war mehr eine Massage ausgiebig Schaft und Sack. Ich beschäftigte mich mit ihren geilen Titten, bis die Nippel hart standen, dann wusch ich ihr ausgiebig die kleine Spalte.Nachdem wir uns unter Küssen und gegenseitigem Streicheln den Schaum von den Körpern gespült hatten, verließen wir die Dusche. Sandra ließ meinen harten Prügel keinen Augenblick los. Ich schlang ein Badetuch um uns, gegenseitig trockneten wir uns ab.Ich war sprachlos, wie geil dieses Mädchen war. Nicht mehr die ruhige, zurückhaltende Sandra, die ich seitJahren kannte, sondern eine geile, junge Frau, die nur noch eines wollte: ficken.“Wollten wir nicht erstmal was essen gehen?“ fragte ich sie zwischen zwei Küssen.“Können wir unsere Planung nicht ändern und erstmal…“ flüsterte sie und streichelte weiterhin meinen fast schon überreifen Schwanz. Wortlos trug ich sie aufs Bett, kniete mich so neben sie, dass sie weiter meinen Riemen streicheln konnte und küßte ihren Körper. Ich wollte sie so aufgeilen, dass sie irgendwann darum betteln würde, endlich meinen Schwanz zu bekommen.Mir war es ganz recht, wenn sie jetzt schon ficken wollte, dann konnte ich mich beim Essen erholen, an ihrem Anblick aufgeilen und ihr danach vielleicht noch eine oder mehrere weitere Nummern verpassen.Ich hatte mir vorgenommen, nur mit der Zunge ihre Sensibilität zu testen. Schon nach kurzer Zeit merkte ich, dass Sandra extrem empfindlich war. Ihre Brustwarzen richteten sich unter meiner Zunge noch mehr auf, wurden hart und groß, nahmen ein Maß an, wie ich es bisher nur bei vollerblühten Frauen erlebt hatte. Lang und dick standen sie ab. Nie hätte ich diesem Mädchen eine solche Geilheit zugetraut.Langsam ließ ich meine Zunge weitergleiten, umkreiste ihren Bauchnabel und ging tiefer, berührte kurz ihre blonden Löckchen. Willig stöhnend spreizte sie die Beine, aber so weit waren wir noch nicht: Ich küßte die Innenseiten ihrer Schenkel, ging tiefer bis zu den Knien. Dann drehte ich sie auf den Bauch, arbeitete mich auf der Rückseite der Schenkel nach oben bis zum Nacken.Sandra zitterte vor Geilheit unter meiner Zunge. Über ihre Wirbelsäule ließ ich meine Zunge wieder abwärts gleiten, umkreiste ihre prallen Hinterbacken. Dann schob ich ihr ein Kissen unter, so dass ihr Po leicht hochgereckt war. Willig spreizte sie die Beine, als ich mit der Zunge durch die Poritze glitt. Ich umkreiste ihre Rosette, näherte mich den Schamlippen und sah, dass schon einige Tropfen dort hingen. Mit zwei, drei schnellen Zungenschlägen hatte ich die Tropfen von den Schamlippen geschleckt.Das war offenbar zuviel für sie: sie preßte die Beine zusammen, ich sah, wie sie im vielleicht ersten Leck-Orgasmus ihres Lebens verkrampfte und dabei leise schrie: “Ja, oh, ist das gut, weiter so…“Ich drehte sie auf den Rücken, nahm sie in den Arm und küßte ihren Hals und den Ansatz ihres Busens. Langsam erholte sie sich, kuschelte sich an mich und tastete nach meinem natürlich noch immer harten Schwanz. Vorsichtig schob sie die Vorhaut vor und zurück, griff dann an den Sack und ließ die Eier durch die Finger gleiten.“Ist das immer so wahnsinnig schön?“ fragte Sandra und rieb wieder den Schaft. illegal bahis “Ich glaube, es gibt noch eine Steigerung, und da freue ich mich schon drauf,“ sagte sie ungeniert und setzte sich auf. Dann beugte sie sich über mich und begann, meine Eichel zu lecken. Sanft griff ich in ihre Haare und drückte ihren Kopf tiefer, spürte, wie mein Rohr in ihrem Mund verschwand, während ich ihr mit einer Hand den Po und mit der anderen ihre geilen Titten streichelte.Ich wurde immer geiler, aber auch Sandra wetzte ihren Hintern immer unruhiger unter meiner Hand hin und her, drängte mir ihre Knospen in die Hand. Endlich warf sie sich auf den Rücken und spreizte die Beine, zog dabei die Knie an: “Komm jetzt, mach es mir jetzt richtig, du weißt schon, bitte komm,“ bettelte sie. Das ließ ich mir nicht zweimal sagen: ich kniete mich zwischen ihre Schenkel, streichelte mit der Eichel sacht über die inzwischen nasse Spalte, ließ meinen harten Riemen knapp zwischen die geschwollenen Schamlippen dringen.“Schieb ihn selbst dahin, wo er hin soll,“ flüsterte ich. Sie griff meinen harten Riemen und dirigierte ihn vor ihr Loch, während ich sanft nachschob. Ich spürte, wie er zwischen ihre nassen und heißen Schamlippen rutschte. Dann hielt ich an, bewegte mich nur zentimeterweise vor und zurück.“Komm, stoß zu, mach es mir doch endlich,“ wimmerte die kleine, geile Stute, die ich nur als liebes, wohlerzogenes und zurückhaltendes Mädchen kannte. “Stoß doch zu, ich warte drauf, dass du mich endlich zur Frau machst, bitte, bitte,“ jaulte sie und versuchte, mir entgegenzustoßen .Meine Hände stützte ich neben ihren Schultern ab, sie umklammerte meinen Hals und küßte mich. Langsam ließ ich mich vorwärtsgleiten, spürte einen Widerstand, den Sandra aber sofort mit einem kräftigen Gegenstoß überwand. Sie stieß so kräftig zu, dass mein Schwanz mehr als bis zur Hälfte in ihr verschwand.Ich hielt still, Sandra atmete einmal ganz tief durch, dann saugte sie sich an meinem Mund fest, Für michdas Zeichen, langsam zu stoßen. Ich zog mein Rohr zurück und schob es langsam wieder vor, ging von Stoß zu Stoß tiefer und hatte ihn endlich bis zum Anschlag in ihrer wahnsinnig engen Möse stecken. Sandra saugte wie irr an meiner Zunge, hielt meinen Nacken fest umschlungen und fing langsam an, sich dem Rhythmus meiner langsamen Stöße anzupassen.“Das ist toll, mach so langsam weiter, ich genieße das,“ flüsterte sie mir zwischen zwei Küssen ins Ohr. “Und es hat kaum weh getan, ich hatte mir das schlimmer vorgestellt.“Ihr Atem wurde schneller, auch ihre Bewegungen. Bald würde es ihr kommen, das spürte ich. Auch bei mir war es bald soweit, ich würde nicht mehr lange warten können.“Ja, ja, ja, mehr, ich brenne,“ jaulte sie mir ins Ohr, dann umklammerte sie meinen Nacken noch fester und ich spürte ihren Orgasmus. “Ich kann auch nicht mehr,“ stöhnte ich und schob mein Rohr so tief wie möglich in die frisch entjungferte Möse.“Ich spritze dich jetzt voll, ich komme,“ stöhnte ich und ließ meinem Saft freien Lauf. Da mir meine Frau großzügigerweise vier Tage lang den Saft nicht mehr aus dem Schwanz gelockt hatte, waren es natürlich einige kräftige Spritzer, die ich ihr tief in die Möse jagte.Endlich beruhigten wir uns, atmeten langsamer. Noch immer hatte sie meinen Schwanz in ihrer Möse, ich bewegte mich ganz leicht hin und her, beide genossen wir die Nachwehen dieses geilen Orgasmus.“Das war wunderschön, ich danke dir,“ flüsterte mir Sandra zu. “Ich glaube, ich könnte danach süchtig werden,“ lachte sie und streichelte meinen Rücken.“Ich bin aber nur für die erste Nummer engagiert,“ lachte ich. “Aber wir haben ja noch fast zwei Tage Zeit, da kann ja noch allerhand passieren…“ Ich zog meinen ab-geschlafften Schwanz aus ihr, sah zu, wie meine Sahne langsam aus der frischgevöglten Möse herausquoll.“Gib mal her,“ sagte sie und griff sich meinen vollgeschleimten Schwanz. Ehe ich es mich versah, hatte sie ihn im Mund. “Ich muß doch die Sahne meiner ersten Nummer schmecken,“ sagte sie und setzte mich wieder mal total in Erstaunen. Dann leckte sie weiter, bis auch der letzte Rest abgelutscht war.“Es gibt aber noch mehr Stellungen, die du mir noch zeigen mußt, so im knien von hinten oder ich auf dir oder so,“ sagte sie und streichelte meinen weichen Schwanz. “Ich will alles kennenlernen, wovon ich bisher nur gehört habe. Und dann möchte ich dich mal mit der Hand befriedigen, Zusehen, wie es dir kommt.““Du bist ja ein ganz wildes Früchtchen,“ lachte ich. “Woher weißt du das den alles mit deinen mal gerade 15 Jahren?“Ich lag lang ausgestreckt auf dem Rücken, sie kniete neben mir, hatte meinen Schwanz in der Hand und wichste langsam. Mit zwei Fingern zwirbelte ich sanft eine ihrer immer noch erregten Brustwarzen.“Wenn du mich nicht verrätst, sage ich dir, woher ich das weiß.““Versprochen,“ antwortete ich und war gespannt, was da noch alles kommen würde.“Ich habe mir heimlich ein paar der Videos angesehen, die ihr vier gemacht habt bei euren Gruppensex-Parties. Da habe ich mir angeschaut, wie du mit Anja und Mama Sex gemacht hast und wie es auch Papa mit den beiden gemacht hat. Das hat mich so angetörnt, dass ich beschlossen habe, es auch mal mit dir zu probieren. Ich habe dann mit Mama gesprochen, dass ich auch endlich mal möchte, sie hat mit Papa und Anja gesprochen und das alles in die Wege geleitet. Von den Videos habe ich natürlich nichts erzählt, das war mir zu heiß. Außerdem habe ich euch schon mal live zugesehen, als ihr vor ein paar Wochen, kurz nach Papas Geburtstag, eure heißen Spiele abends im Garten getrieben habt. Du weißt doch, der Abend, als ich eigentlich bei der Oma war, da hatte ich ein Buch zu Haus gelassen, bin zurückgekommen und habe euch durchs Fenster beobachtet. Da wurde mir ganz anders.““Und was hast du da gesehen,“ fragte ich gespannt. “Papa lag auf dem Rücken, Mama saß auf ihm. Anja kniete über Papa und ließ sich lecken und du hast es Mama gleichzeitig von hinten gemacht. Jetzt möchte ich nur noch wissen, wo du dringesteckt hast, das konnte ich nämlich nicht sehen,“ fragte sie, anzüglich grinsend.“Zweimal darfst du raten, mehr Möglichkeiten gibt es ja nicht,“ antwortete ich.“Habe ich mir schon gedacht, dass du im Po warst. Das habe ich dann nämlich selbst probiert, als ich endlich bei Oma war und in meinem Bett lag.““Wie hast du das probiert?“ fragte ich und sah schon in Gedanken meinen Schwanz in ihrer Rosette verschwinden. Ein angenehmer Gedanke, der auch meinen Schwanz erfreute, der in ihrer Hand schon langsam wieder anfing zu wachsen.“Ich habe mich vors Bett gekniet, Oberkörper auf den Kissen, und meine Spalte gestreichelt. Dann habe ich meinen Füller genommen, der hat so ein schönes rundes Ende, den habe ich mir hinten reingeschoben, das ging super,“ antwortete sie unbefangen. “Und das war so schön, dass ich es seitdem fast jeden Tag gemacht habe.Kannst du verstehen, dass ich darum die zwei Tage mit dir ausnutzen möchte? Dass ich alles lernen will von dir, was man so machen kann? Dass ich nicht immer den Füller nehmen muß, sondern was besseres?Seitdem ich zum ersten Mal eure Videos gesehen habe, bin ich so geil geworden, wollte einen richtigen Schwanz haben, aber keinen von den Jungs aus der Clique. Das sind doch alles Schaumschläger, die kaum Ahnung haben. Lisa hat mir erzählt, wie das abläuft: reinstecken, rammeln, abspritzen, rausziehen. Das war’s. Ich wollte es aber erstmal mit einem erfahrenen Mann machen, so wie eben jetzt mir Dir. Die Filme, die ihr vier beim Bumsen gemacht habt, waren echt geil, alle acht Kassetten habe ich mir mehrmals angesehen, wann immer Gelegenheit dazu war. Vielleicht schaffen wir beide es ja, mal gemeinsam einen Pornovideo anzusehen, was hieltest du davon?Weißt du, nein, kannst du nicht wissen, dass Lena noch nie einen Orgasmus hatte? Obwohl sie schon mit etli-chen Jungs geschlafen hat! Und bei mir hat es gleich beim ersten Mal geklappt. Das finde ich echt cool, oder? Ich wünsche mir, dass du mich so richtig zureitest, wie Papa es ausgedrückt hat, mit alle Tricks beibringst, wie ich es dir und mir schön machen kann. Das hast du ja mit Mama damals auch gemacht, oder? Hat sie mir nämlich erzählt, dass du vor etlichen Jahren ihr zweiter Mann warst“.“Eine ganze Menge kannst du ja schon, wie ich sehe.“ Ich deutete auf meinen Schwanz, der in ihrer Hand schon wieder eine beträchtliche Große angenommen hatte, denn während sie sprach, hatte sie immer weiter-gewichst. Außerdem hatte mich ihr Gerede ganz schön geil gemacht. Wenn ich ihr glauben konnte, würde ich die nächsten zwei Tage nicht aus dem Bett kommen.“Ich finde es illegal bahis siteleri toll, zuzuschauen, wie dein Schwanz wächst und in meiner Hand langsam groß wird. Wie oft kannst du denn abspritzen?“ fragte sie. “Das kommt auf die Motivation an, je besser die Frau, um so besser bin auch ich. Aber es muß nicht immer das Abspritzen sein, es gibt ja auch noch andere Möglichkeiten, dich zum Orgasmus zu bringen,“ gab ich zur Antwort und zog sie zu mir herunter.“Kleine, du bist so empfindlich, in glaube, es genügen manchmal nur ein paar Finger oder die Zunge, um dich heiß zu machen, habe ich recht?““Als du mich vorhin am ganzen Körper geküßt hast, war das irre schön. Und dann erst deine Zunge an meiner Muschi absolut perfekt, wie es mir da kam.““Ich mache es dir mal nur mit der Zunge an der Muschi, mal sehen, was du dann sagst,“ entgegnete ich.Wir küßten uns wieder, sie lag halb auf mir und massierte weiter die harte Rute, während ich an ihren tollen Titten spielte. Sandra rutschte immer weiter auf mich, ich ahnte schon, was jetzt kommen würde. Endlich lag sie lang auf mir, spreizte ihre Beine und lenkte meinen Schwanz an ihre Schamlippen.“Ich möchte jetzt auf dir reiten, darf ich?“ fragte sie. “Komm lieber mit den Beinen weiter hoch,“ schlug ich vor und zog sie zu mir. Jetzt kniete sie über mir, ich genoß den Anblick ihres hübschen Körpers mit den erigierten Brustwarzen. Toll, wie diese jungen Titten standen, groß und fest und hart.“Laß dich jetzt einfach runter, dann kannst du alles selbst steuern,“ schlug ich vor und umfaßte ihre Hüften, während sie sich mit der Schwanzspitze durch die Spalte strich.Langsam sank Sandra tiefer, ich sah zu, wie mein Schwanz ihre Schamlippen spaltete und in die feuchte Möse rutschte.“Oh, der ist ja noch dicker geworden, der geht gar nicht rein,“ stöhnte sie, als mein Riemen zur Hälfte in ihr steckte.“Der geht komplett rein, mach nur weiter, du schaffst ihn schon,“ feuerte ich sie an und stieß leicht von unten zu. Sie stütze sich auf meiner Brust ab, fing an, leicht mit dem Hintern zu wippen. Langsam ging mein Riemen tiefer und tiefer in ihre Möse.“Ah, der zerreißt mich,“ stöhnte Sandra, ließ sich aber gleichzeitig immer tiefer auf den Pfahl. Endlich saß sieauf meinen Eiern. “Den laß ich nicht mehr raus, der füllt mich ja total aus,“ stöhnte sie und bewegte ihren Unterkörper leicht hin und her, was meinen Schwanz natürlich enorm reizte.Ich ließ meine Hände über ihren Körper gleiten, umfaßte die beiden prallen Titten und schüttelte sie, so dass ihr ganzer Körper in Bewegung kam.“Komm runter, leg dich auf mich, dann stoße ich dich,“ bat ich sie und zog ihre Brust auf meine. Mit beiden Händen umfaßte ich ihre prallen Hinterbacken und begann, meinen Schwanz vor- und zurückzubewegen.“Gut, mach langsam weiter so,“ stöhnte Sandra und rieb ihre harten Brustwarzen an meinen. “Weiterma-chen, das wird gut,“ flüsterte sie an meinem Ohr und knabberte am Ohrläppchen.Langsam und vorsichtig fickte ich sie von unten, zog aber meinen Schwanz nur halb heraus und schob in vorsichtig wieder tief hinein. Ich spürte, wie sie immer nasser wurde und der Riemen immer besser rein- und rausglitt.“Laß mich nochmal hoch, ich möchte jetzt selbst schaukeln,“ bat Sandra und setzte sich auf. Mit beiden Händen stützte sie sich hinten an meinen Knien ab, bohrte sich dabei meine Lanze ganz tief rein. Zischend atmete sie tief ein, genoß das dicke Ding so tief in sich.“Das ist ein wahnsinnig geiles Gefühl, ich glaube, der geht mir bis mitten in den Bauch,“ stöhnte Sandra und ließ ihr Becken leicht kreisen, brachte meinen Schwanz damit in hellste Aufregung. Ich genoß den Anblick ihrerJungmädchenmöse, in der mein Riemen bis zur Wurzel verschwunden war.“Komm, beweg dich, massiere mir mit deiner Muschi den Schwanz,“ forderte ich sie auf und stieß leicht von unten zu.“Ah, das ist gut,“ stöhnte sie und nahm ihre Arme wieder nach vorn, stützte sichauf meiner Brust ab und begann, leicht auf und ab zu hüpfen. “Das geht gut, das geht immer besser,“ flüsterte sie und genoß das Gefühl tief in sich.Ihre Bewegungen wurden immer schneller, inzwischen hüpfte sie richtig auf mir. Ich hatte mir beide Brüste gefaßt und hielt sie fest, massierte mit Daumen und Zeigefinger die hochempfindlichen Nippel.“Ja, schneller, noch schneller, oh ist das gut,“ feuerte sich Sandra selbst an und ritt immer schneller. Sie hatte sich losgerissen, saß jetzt aufrecht auf mir und streichelte sich selbst ihre Titten. Ich hatte zwischen uns gefaßt und streichelte mit einem Finger ihren Kitzler. Mein Schwanz kochte, denn diese enge Möse war ich nicht gewohnt. Sie massierte mir die Latte höllisch gut.Dann war es wieder soweit, es kam ihr: sie blieb reglos auf mir sitzen, den Schwanz ganz tief in sich und zitterte in ihrem Orgasmus: “Ja, das ist gut, super, ja, es kommt,“ stöhnte sie und zog an ihren Brustwarzen.Ganz still saß sie auf mir, genoß ihren Abgang. “Mach weiter, bei mir ist es auch gleich so weit,“ stöhnte ich und stieß wieder von unten zu, ganz langsam, aber dafür um so tiefer.“Laß mich das machen,“ bat sie und rutschte von mir herunter, kniete sich zwischen meine Beine. “Ich mach dich jetzt mit der Hand leer, darf ich?“ fragte sie und wichste meinen Schwanz, der von ihrem Mösensaft naß glänzte.“Ja, wichs die Sahne raus,“ stöhnte ich und genoß ihre Hand an meinem harten, zum zerplatzen geilen Rohr. Mit einer Hand massierte sie den Sack, mit der anderen wichste sie die Stange rauf und runter. Mir wurde immer heißer, ich wußte, dass ich jeden Moment abspritzen würde.“Nimm ihn in den Mund, es kommt gleich,“ bat ich sie. Sofort war die Eichel zwischen ihren Lippen verschwunden, mit der Zunge leckte sie um die Eichel. Das war zuviel: ich bäumte mich auf, als der erste Schuß kam und spritzte ihr in den Mund. “Weiter, wichs schneller, hol mir alles raus,“ stöhnte ich und drückte ihren Kopf fester auf meinen Schwanz.Sandra rieb weiter den Schaft, hatte die Schwanzspitze im Mund und schluckte, soweit ich sehen konnte, alles runter. Endlich ließ das spritzen nach, sie rieb und drückte die letzten Tropfen heraus, leckte mir dann den Schwanz sauber.“Wenn ich Lena von heute erzählen würde, täte sie mir kein Wort glauben,“ sagte Sandra und legte sich neben mich, kuschelte sich in meinen Arm. “Ich bin fix und fertig, mir zittern die Knie, ich glaube, ich brauche eine kleine Pause,“ lachte sie und zog die Decke über uns.“Wir sollten duschen und dann schick essen gehen,“ schlug ich vor. “Danach können wir uns ja weiter deiner “Ausbildung“ widmen,“ schlug ich vor.“Und ich darf anziehen, was ich möchte?“ fragte sie mit einem schelmischen Blick.“Natürlich, nur zu, mach dich richtig schick, damit ich mir dir angeben kann,“ war meine Antwort. Natürlich duschten wir gemeinsam, geilten uns dabei schon wieder leicht auf, aber dann siegte vorerst die Vernunft. Sandra stellte sich vor den Spiegel, um sich zu stylen, ich zog mich derweil an und setzte mich in einen Sessel, sah ihr dann beim Anziehen zu.Eigentlich kannte ich sie immer nur in schwarzen Pullovern und Jeans, in anderen Klamotten hatte ich sie kaum gesehen. Was aber heute passierte, übertraf meine kühnsten Erwartungen. So, wie sie geschminkt war, ging sie durchaus für ein junges Mädchen von 22 Jahren durch.“Auf den BH wollte ich eigentlich verzichten, die Leute können ruhig sehen,wie spitz ich bin,“ lachte sie und streckte ihre geilen Titten vor.Dann zog sie sich einen Minislip an, der im Schritt einen Schlitz hatte. “Den hat mir meine Mama geschenkt, damit du vielleicht mal unterwegs fühlen kannst…“ sagte sie und ließ mich gleich mal anfassen. “Die Schamlippen sind ja immer noch geschwollen,“ sagte ich und rieb kurz den Kitzler.“Hör auf, sonst sind wir gleich wieder im Bett,“ lachte sie und griff nach einem weißen Seidentop mit Spaghettiträgern. Zum Schluß zog sie einen weißen, superkurzen Rock an und schlüpfte in ebenfalls weiße Pumps mit hohem Absatz. Das Top war weit ausgeschnitten, so dass mehr als nur der Ansatz ihrer herrlichen Tittenzu sehen war. Den Rest konnte man durch den dünnen Stoff ebenfalls mehr sehen als ahnen.“Wie gefalle ich dir? Ist das geil genug oder hat der Herr noch weitere Wünsche?“ frage sie und drehte sich vor mir.Wortlos zog ich sie an mich und knutschte mir ihr, bis uns die Luft wegblieb. In meiner Hose hatte sich schon wieder etwas bewegt, auch Sandras Nippel standen schon wieder hart und fest. “Laß den Slip hier, ich glaube der stört nur,“ schlug ich vor und griff ihr unter den Rock, zog ihr den Slip herunter und preßte meine Lippen auf ihre Spalte. Sandra stöhnte, aber canlı bahis siteleri dann siegte der Hunger, wir gingen ins Hotelrestaurant.Beim Essen gab es für Sandra nur ein Gesprächsthema: Sex. Völlig unbekümmert sprach sie über alles, was sie bewegte und interessierte und das war nicht wenig. Ausführlich befragte sie mich nach meinem Liebesieben, stellte mir die unmöglichsten Fragen, auch über die Beziehung zu ihren Eltern.Während der ganzen Zeit standen ihre Nippel hart und prall und zeichneten sich deutlich durch den dünnen Stoff ihres Tops ab. Unser Kellner bekam jedesmal Stielaugen, wenn er an unseren Tisch kam.Dann fing sie wieder an, ihre Wünsche darzustellen, in welchen Stellungen sie es probieren wollte und wie sie sich die nächsten Stunden vorstellte. Ich muß zugeben, dass ich bei diesem Gespräch eine Riesenlatte in der Hose hatte und mir nichts sehnlicher wünschte, als möglichst bald mir ihr wieder im Zimmer zu sein. InGedanken malte ich mir aus, wie wir die kommenden Stunden rumgeilen würden.“Wollen wir jetzt gehen? Ich glaube, ich habe schon wieder Lust, Deinen Schwanz großzublasen,“ flüsterte mir Sandra über den Tisch zu. Gesagt, getan. Hand in Hand verließen wir das Restaurant, fuhren mit dem Fahrstuhl auf unsere Etage. Kaum fuhr der Fahrstuhl an, bohrte Sandra mir ihre Zunge in den Mund, griff mit einer Hand an die Beule in meiner Hose.“Hm, der steht ja schon gut,“ murmelte sie und drückte und preßte meinen eingesperrten Riemen. “Ich möchte mal vor dir knien und dir den Schwanz blasen, bis er abspritzt mitten auf meinen Körper.“Knutschend gingen wir Arm in Arm in unser Zimmer. Kaum war die Tür hinter uns ins Schloß gefallen, kniete Sandra vor mir und öffnete mir die Hose. Aus dem Slip sprang ihr mein harter Bolzen entgegen, den sie sofort zwischen ihre gierigen Lippen nahm, wobei sie zugleich mit einer Hand die Eier im Sack knetete.Mich machte das so geil, dass ich sofort wieder hätte abspritzen können. Das sagte ich ihr auch.“Dann schieb ihn mir erst nochmal rein,“ bat sie. Ich trug sie zum Bett, gegenseitig zogen wir uns aus, mit beiden Händen umfaßte ich sie von hinten und nahm ihre prallen Brüste in die Hände, zwirbelte die ohnehin harten Brustwarzen, bis Sandra aufstöhnte.Mein harter Riemen rieb sich an ihren Pobacken. “knie dich mal hin und mach die Beine breit,“ bat ich. Sofort kniete Sandra mit gespreizten Beinen auf der Bettkante, stützte sich mit den Händen ab.“Komm jetzt, machs mir von hinten, so, wies die Hunde machen,“ stöhnte sie und ließ ihren Hintern kreisen. Doch ich hatte anderes vor: ich ließ meine Zunge durch ihre Spalte gleiten, traf voll den Kitzler, der hart und geschwollen aus den ebenfalls prallen Schamlippen hervorschaute.Nach zwei, drei schnellen Zungenschlägen war sie schon soweit, Sandra hatte einen Wahnsinnsorgasmus, es kam ihr ohne Ende. Dabei jaulte und stöhnte sie wie wild. Endlich ließ der Riesenabgang nach, völlig fertig sank sie nach vorn aufs Bett.Ich zog sie an den Hüften zurück, so dass sie mit dem Bauch auf der Bettecke lag, die Beine gespreizt links und rechts herunterhängend. Langsam schob ich ihr mein hartes Rohr zwischen ihre prallen Schamlippen, drang langsam immer tiefer ein.“Oh, ist das gut, mach weiter,“ flüsterte Sandra in die Kissen. “Stoß mich richtig durch, mach es mir nochmal,“ bettelte sie und schob mir ihren Körper entgegen.Mit langsamen Stößen fickte ich sie in kurzer Zeit zum nächsten Abgang, dann wechselten wir die Stellung: ich legte mich auf den Rücken, sie ritt auf mir, so dass ich mit ihren geilen Titten spielen konnte. Dann zog ich sie auf meine Brust, hatte ihren geilen Arsch in den Händen und spielte an ihrer Rosette.Es kam, wie es kommen mußte: ein Finger glitt in ihr hinteres Loch, wodurch Sandra noch wilder wurde.“Bitte, steck mir dein geiles Ding hinten rein, das wünsche ich mir,“ bettelte sie. “Fick meinen geilen Arsch, tu es endlich,“ stöhnte sie geil.“Kannst du haben, aber beschwer dich nicht, dass mein Riemen dir weh tut,“ antwortete ich. “Wie möchtest du es haben?“ fragte ich und drehte mich unter ihr weg. “ Erstmal lutsche ich ihn noch nasser und dann mach es mir nochmals im knien von hinten,“ antwortete sie und stülpte wieder ihre nassen Lippen über meinen Schwanz.Dann kniete sie sich breitbeinig vor mich hin. Mit etwas Speichel befeuchtete ich ihre Rosette und drang mit dem Finger leicht und tief ein. Sandra stöhnte vor Wollust. Dann setzte ich meine Schwanzspitze an und stieß zu. Ohne Probleme durchdrang mein hartes Rohr ihren Schließmuskel, bis zur Hälfte steckte mein Schwanz in ihrem Arsch. Deutlich war zu spüren, dass sie ihren Schließmuskel schon oft mit dem Füller trainiert hatte.“Nicht bewegen, ich will dich genießen,“ stöhnte Sandra. Unbeweglich steckte mein Riemen in dem heißen, engen Loch. Ich beugte mich vor, streichelte ihren Rücken und ließ meine Hände an ihre übergeilen Nippel gleiten. Sandra zuckte zusammen und stöhnte laut auf. Ein leiser Schauer überlief ihren Körper. Ich merkte, dass es ihr schon wieder kam.“Jetzt stoß zu, aber ganz tief,“ stöhnte sie plötzlich und schob ihren Körper nach hinten, spießte sich selbst auf meinen Bolzen, der bis an die Eier in ihrem geilen Arschloch versank.Ich begann, zu stoßen, fickte sie mit langen, harten Stößen kräftig durch. “Ja, weiter, mehr, oh, das ist gut,“ jaulte und jammerte die kleine geile Stute und schob ihren Arsch immer weiter gegen meinen zum Zerplatz geilen Schwanz.Plötzlich zog ich ihren Oberkörper hoch, so dass sie vor mir kniete, ihren Rücken an meiner Brust. Von hinten stieß ich weiter in sie hinein, konnte sie aber küssen und noch besser mit einer Hand an ihrem Kitzler spielen, während die andere weiter die harten Titten massierte.“Nein, hör auf, das macht mich übergeil, ich kann nicht mehr,“ jaulte sie, drückte aber gleichzeitig meine Hand noch kräftiger auf ihre Möse. “Ich kann auch nicht mehr,“ stöhnte ich. “Gleich spritze ich ab.““Aber ich will alles auf meinen Körper haben, aber mach erst weiter, gleich kommt es mir ,“ stöhnte und jaulte sie.Es dauerte wirklich nur noch ein paar Stöße, dann überlief wieder das mir mittlerweile bestens bekannte Zittern ihren Körper und sie hatte wieder einen Abgang. Ich ließ derweil mein Rohr tief in ihrem Darm stecken, denn jeder weitere Stoß hätte bei mir die Überschwemmung ausgelöst. Aber sie wollte ja meinen Schwanz leerwichsen.Nur Sekunden später war sie soweit, drehte sich auf den Rücken und zog mich so über sich, dass ich genau über ihren geilen Titten kniete. Dan wichste sie mir die harte Latte und massierte mir die Eier im Sack. Klar, dass es mir fast sofort kam. Der erste Spritzer landete in ihrem Gesicht, der Rest klatschte ihr auf den Hals und die Titten. Mir ging es ganz gewaltig ab, es war super.“Ja, los, spritz dich aus, gib mir alles, her mit der heißen Sahne,“ flüsterte sie und wichste kräftig weiter.“Du machst das super,“ stöhnte ich und genoß ihre wichsende Hand an meinem Rohr. “Mach weiter, da kommen noch ein paar Tropfen, ja wichs weiter.“ Endlich kam nichts mehr, ich ließ mich neben Sandra gleiten und nahm sie in den Arm, verrieb die Sahne auf ihren noch immer harten Nippeln.“Das war ganz toll, was du da mit mir gemacht hast. Genau so habe ich es mir vorgestellt danke. Und nachher möchte ich endlich mal sehen, wie dein schlapper Schwanz groß wird, wenn ich mich darum kümmere. Bislang kenne ich ihn ja nur, wenn er schon ein geiler Riese ist.““Wenn du nicht sofort deine Finger davonläßt, wird er vermutlich erst gar nicht klein,“ warnte ich sie lachend. “Aber versteh doch, groß ist er mir viel lieber,“ war ihre Antwort, dann aber nahm sie ihre Hand von meinem langsam erschlaffenden Riemen.Nach einer halben Stunde Erholung konnte sie es aber nicht mehr sein lassen, sie griff sich meinen schlaff daliegenden Riemen und begann ihn zu streicheln. “Schau mal, da tut sich schon was,“ sagte sie und hielt den schon wieder halbsteifen Schwanz hoch. “Jetzt mache ich weiter, bis er wieder richtig hart ist und dann vögeln wir weiter. Soll ich ihn auch blasen?“ fragte sie. “Also ehrlich, Ausdrücke hast Du! Aber nur zu, komm über mich drüber, dann kann ich deine geile Spalte lecken, was hältst du davon?“ fragte ich und zog sie zu mir.Sofort ging sie in 69-Stellung über mich, legte ihre Beine neben meinen Kopf und leckte mir den Sack und Schwanz. Ich umfaßte ihren Hintern und zog sie tiefer,so dass ihre prallen Schamlippen genau über meinem Mund waren. Langsam ließ ich meine Zunge durch die Spalte gleiten, berührte ab und zu ihren geschwollenen Kitzler. “Oh, das wird schon wieder geil und gut,“ nuschelte Sandra mit meinem Schwanz im Mund und ließ ihr Becken auf meinem Gesicht kreisen.Wenn Ihr wissen wollt, wie die Nacht weiterging und was noch alles am nächsten Tag passierte, lasst es mich wissen. Vielleicht schreibe ich bei Interesse eine Fortsetzung…

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la stagiaire de l’Hôtel des Embruns

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la stagiaire de l’Hôtel des EmbrunsChaque fin d’automne, Roger Chambriard aimait à venir se ressourcer dans ce petit hôtel de la côte Ouest du Cotentin, particulièrement désertée par ses touristes familiaux et estivaux. Cette solitude saisonnière était devenue un rituel incontournable, surtout depuis que la patronne, une veuve sans charmes, avait recruté deux gourgandines particulièrement accortes pour serveuses. Cela faisait maintenant cinq ans que Maryline la blonde rondelette les nuits impaires et Jennifer la brune élancée les paires visitaient sa chambre. Elles avaient même accepté lors de la dernière nuit de l’année précédente de partager leurs faveurs ensemble.Roger Chambriard était un acteur de cinéma à la carrière autant ratée au niveau du talent que réussie sur le plan financier. Après un début de carrière malheureux où il ne décrocha que quelques second rôles, il devait ce paradoxe au succès des séries télévisées reprises sur la chaîne Novelas qui enflammaient les ternes après-midi incultes des ménagères épuisées et des jeunes filles oisives. Son physique d’hidalgo ténébreux au regard de chien battu et à la moustache de Zorro dont les aventures amoureuses étaient inévitablement douloureuses, remuait les coeurs et pas seulement eux des téléspectatrices en réveillant les illusions perdues des plus âgées et en suscitant les espoirs les plus romantiques des plus jeunes. Entre la veuve décrépite et les deux gigolettes girondes, on rivalisait de petites coquetteries et de regards mouillés pour conquérir l’attention du célèbre pensionnaire de l’hôtel des Embruns.Lorsque ce premier jour de septembre notre don Juan des histoires à l’eau de rose se présenta à la réception, ce ne fut pas la patronne sexagénaire habituelle qui l’accueillit mais une timide stagiaire de BTS d’hôtellerie. S’en inquiétant auprès de l’insignifiante employée, il apprit qu’elle était « en cure pour ses nerfs ». Les questions de la stagiaire lui firent comprendre que la petite ne l’avait pas reconnu ou que, plus vraisemblablement, elle n’avait pas le goût de regarder les téléfilms insipides dont il était le héros. N’étant pas cabotin, au lieu d’en prendre ombrage cela lui fit s’intéresser de plus près à la jeune fille. Pendant qu’elle notait sur l’ordinateur les précieux renseignements avec beaucoup de précautions, il observa son profil immature : un visage poupon à la rondeur soulignée par des pommettes gonflées ; une bouche aux lèvres généreuses ; un nez court légèrement retroussé aux narines assez fortes ; des yeux protégés de lunettes d’écaille marron surmontées d’arcades saillantes ; des cheveux châtain clair tirés en arrière par un chignon sobre. « Vous ne me reconnaissez pas ? » ne put s’empêcher de s’enquérir Roger.Cécile tourna son visage vers lui alors que ses joues s’empourpraient :« Non monsieur je ne suis là que depuis trois semaines et je termine mon stage ce soir car ma patronne rentre demain. »« Alors, Cécile dit-il en lisant son prénom sur son badge, je vous félicite. »Celle-ci ouvrit de grands yeux étonnés derrière ses lunettes ce qui permit à la célébrité télévisuelle de remarquer un beau regard d’azur.« Soyez rassurée, cela prouve que vous ne perdez pas votre temps à regarder les stupidités faussement romantiques des séries où l’acteur que je suis se fourvoie pour gagner sa vie. »Il se passa quelques secondes avant que Cécile osât sourire avec une complicité toute timide qui charma son interlocuteur. Ce sourire permit au quinquagénaire d’admirer, encadré par des joues aussi écarlates que saillantes, un sourire large découvrant une dentition parfaite et des paupières qui, en se baissant, mirent en valeur des cils naturels très longs.Laissant la jeune fille méditer sur ces premiers échanges, il monta se reposer dans sa chambre.Il ne se trompait pas en imaginant que son comportement allait donner du grain à moudre au cerveau de la touchante ingénue. Effectivement l’apparition de ce client qui n’était visiblement pas comme les autres intrigua beaucoup la jeune fille. Cet homme sorti d’une autre époque pensait-elle avait quelque chose d’intrigant : cette belle stature élancée pour un homme qui avait dû passer la quarantaine ; ce visage au charme désuet avec la raie de côté soulignée avec soin par des cheveux d’un noir à l’origine suspecte ; ce regard moqueur et sûr de ses effets ; cette petite moustache entretenue avec un soin méticuleux soulignant une bouche fine qui découvrait des dents aussi blanches qu’il est possible et surtout ces mains de pianiste aux doigts longs et fins. En plus, il avait l’air d’avoir de l’humour ce qui le rendait éminemment sympathique. Pas de doute elle terminait son stage en beauté et elle allait pouvoir se vanter d’avoir connu un acteur de cinéma auprès de ces copines de la classe de BTS.De son côté en prenant sa douche, Roger Chambriard ne pouvait écarter de ses pensées cette jolie réceptionniste. Le fait qu’elle ne l’eût point reconnue aiguillonnait sa curiosité et peut être même beaucoup plus que cela car son gourdin de compère redressait la tête à mesure qu’il se remémorait les charmes de la belle. Il avait eu le temps de discrètement jauger les rondeurs inégalement réparties du jeune corps. Sous le sage corsage blanc au col rond bien fermé, il fait remarqué les petites bosses d‘une poitrine quasiment juvénile et de ce fait très tentante. La taille était fine mais son postérieur si fessu, tendant avec exagération la jupette noire plissée, s’appareillait par son volume disproportionné au visage joufflu à souhait. Gainées dans des collants beige sans grande finesse, les cuisses et les jambes trahissaient une rondeur certaine, perchées sur des mocassins que les petits talons ne pouvaient aider à corriger.Ces pensées libidineuses avaient gonflées le chibre de Roger. Il dut les chasser car il devait être en forme ce soir pour accueillir dans son lit Maryline ou Jennifer et peut être même les deux à la fois.Il descendit tard pour prendre son souper et la salle était presque vide. Les deux serveuses s’en donnèrent à coeur joie pour rivaliser d’oeillades et de malice dans un ballet grotesque autour de sa table. Ce ne fut que boutons de corsage volontairement rebelles pour ouvrir des perspectives sur les dentelles gonflées par leurs seins volumineux ; hanches ondulant comme des navires sur une mer démontée ; frôlements de tissus imprégnés à l’exagération de parfums aussi bon marché que tenaces ; bouches arrondies avec gourmandise autour du crayon pour prendre commande ; soupirs et pâmoisons à chaque occasion. Notre Roger ne savait plus où mettre son regard… Ou plutôt si et ce ne fut pas du goût des deux gourgandines. Car, fatigué du spectacle ridicule d’indiscrétion auquel se livraient sans vergogne Maryline et Jennifer, ce qui retint son attention c’était le visage de Cécile à la réception güvenilir bahis qu’il observait par la porte ouverte de la salle de restaurant, plongé dans un monde songeur dont il aurait bien voulu connaître la clef. En fait, Cécile pensait à son retour au Lycée qui était tout proche et à ce garçon avec qui elle avait accepter de « sortir » parce que c’était le premier qui lui avait manifesté un intérêt. Jusqu’à ce moment, sa timidité et le manque de confiance en son pouvoir de plaire avaient fait d’elle une fille repliée sur elle-même. Très vite elle avait voulu se donner entièrement à lui de peur de le voir se lasser et de l’abandonner. Il avait ce jour-là emprunté la voiture de son père et elle s’était laissée bousculer sur la banquette arrière. Il l’y avait prise sommairement et sans précautions aucunes. Elle fut très déçue de ne ressentir qu’un éclair de douleur sous les halètements du garçon s’agitant sur son corps sans qu’elle ne ressentît ce plaisir qu’elle éprouvait dans ses masturbations solitaires. Ce qui devait être dans ses espoirs une fête se transforma en cauchemar quand le petit mâle maladroit découvrit que la banquette arrière de la Mercedes de son père était maculée de sang. Depuis, elle s’était recroquevillée dans sa coquille de femme-enfant. Cette situation s’était aggravée pendant ce stage où les deux serveuses qui avaient bien perçues le danger que représentait le charme en devenir de la jeune fille s’étaient liguées pour la rabaisser constamment en l’affublant du sobriquet de « la jouvencelle ».Roger, qui avait pensé pendant son long voyage aux culs respectifs de Maryline et Jennifer, assises sur le lit à quatre pattes pendant qu’il les sodomisait tour à tour, passant des grosses fesses de la blonde au petit derrière pommé de la brune en leur arrachant à chaque fois des cris stridents de chattes en chaleur, commençait à porter son attention ailleurs, ne quittant plus l’image de jeune madone de la réceptionniste. Lorsque les deux délurées vinrent à la fin du repas lui demander en coeur s’il fallait lui apporter un vieux calvados dans sa chambre (c’était le signal habituel convenu pour le rejoindre), il leur répondit que le voyage l’avait épuisé et qu’il valait mieux qu’elles attendent le lendemain. Déçues, les deux filles laissèrent Cécile seule pour achever le travail. Roger resta alors dans la salle en relisant un futur scénario et se régala en observant la jeune fille se déplacer et s’affairer pour préparer les tables pour le petit déjeuner. La petite jupe plissée volait sagement sur ses cuisses dodues tandis qu’une main relevait sans cesse quelques mèches de cheveux qui s’échappaient du chignon fatigué. Elle croisa son regard suivi de son sourire et le fard lui monta aussitôt aux joues. Il l’interpella aussitôt tel le joueur habile qui ne veut pas perdre la main et elle vint, très gênée, devant lui en l’interrogeant d’un regard incertain.« Puis-je abuser de votre gentillesse mademoiselle ? »Aucune réponse ne put sortir de sa bouche aux lèvres ourlées qui s’ouvrit de stupéfaction.« Rassurez-vous, dit-il en souriant, c’est un tout petit abus car j’ai l’habitude que l’on me porte chaque soir dans ma chambre le vieux calvados qui fait une des réputations de cet établissement. Et, comme vos collègues ont disparu prématurément je ne vois pas qui d’autre que vous pourrait le faire. »Cécile haussa les épaules en signe de résignation, mais au fond d’elle-même, elle en fut ravie car elle avait compris en signalant aux deux serveuses l’arrivée de Roger Chambriard que leur intérêt pour lui n’était pas seulement professionnel. Elle avait là une revanche sur les railleries (la dernière étant une interdiction totale d’approcher l’acteur) qu’elle lui avait faites subir, même si elle était loin de penser qu’elle pût les remplacer dans le lit de la célébrité.Il fallut bien deux bonnes heures à Cécile pour fermer l’établissement. Elle mit sur un plateau la bouteille de vieux calvados et un verre à digestif immense. Elle ajusta tant bien que mal son chignon et monta l’escalier. Elle espérait se débarrasser très vite de cette dernière corvée pour aller faire sa valise, heureuse de quitter cet hôtel assez sinistre. Elle fut surprise en entrant dans la chambre par l’accueil de Chambriard : il avait revêtu une robe de chambre en cachemire ocre et parme et ses pieds étaient nus dans des mules assorties. Elle rougit une première fois en osant penser que son corps l’était peut être aussi sous le vêtement. Ce dernier s’amusa beaucoup de son trouble si apparent et se régala de la voir ainsi mal à l’aise avec sa tenue de petite fille trop sage.« Dîtes-moi Cécile quel âge avez-vous ? l’interrogea-t-il prudemment. »« Oh monsieur on vous l’a dit ? répondit-elle spontanément. »« Mais que devrait-on m’avoir dit ? Répliqua-t-il en fronçant les sourcils, signe d’une inquiétude toute masculine sur la possibilité qu’elle fût encore mineure. »« Que j’ai vingt ans aujourd’hui ! fit-elle en rougissant à nouveau. »« Pas du tout ! Et c’est une formidable surprise pour moi. Surprise que nous allons fêter ensemble si vous le permettez. »Et sans prêter attention à la mimique embarrassée de Cécile il versa une bonne dose de calvados dans le calice à digestif. Puis il lui tendit le verre en lui disant « à vous l’honneur pour ce grand jour ! »Dans ce qui fut plus un murmure qu’une déclaration, elle répond en rougissant à nouveau que c’est la première fois qu’elle buvait un tel alcool mais elle n’osa vraiment refuser et Roger put voir la jolie bouche s’ouvrir délicatement sur le bord du verre jusqu’à ce que la brûlure du calvados sur l’extrémité de sa langue la face frissonner. Elle retira ses lèvres laissant le rouge à lèvres rosé s’imprimer sur le bord du verre tandis qu’elle osa affronter le regard de l’homme un bref instant avant de tirer le voile de ses longs cils pour se protéger de la pointe d’ironie qu’elle crut percevoir dans l’éclat de ses yeux. Roger porta alors le verre à ses lèvres et, avant de goûter le breuvage, lèche avec délectation la trace de rouge à lèvres. Cécile ouvre ses grands yeux bleu étonnés devant le plaisir que semblait prendre l’acteur en noyant au fond de sa bouche le vernis dans l’alcool.« C’est un peu comme si j’avais bu ce calvados dans votre bouche au lieu du verre », déclara-t-il en humectant de sa langue le bord de sa fine moustache. Avant qu’elle ne profère une réponse qui ne pouvait sortir tant était grande sa confusion, il ajouta : « Et si nous le faisions en vrai ? »Cécile se raidit, ouvrit sa bouche de stupeur ce dont il profita pour déverser une petite gorgée d’alcool en lui murmurant à l’oreille : « gardez un peu de cette liqueur sur votre langue que je vienne la paratager ». Aussitôt il caressa un instant la nuque de la fille en y appuyant toutefois fermement sa main türkçe bahis et vola le baiser déguisé. Elle le reçut sans pouvoir s’y opposer. La langue canaille de l’homme obligeait la sienne à accepter ce jeu dans un flot de salives mêlées à la liqueur. Entre l’agression diffuse de l’alcool au fond de sa gorge et celle beaucoup plus précise de la langue, Cécile flottait dans un bain de volupté inattendue. De son côté, Roger savourait les hésitations de la jeune fille maintenant maîtrisées par son savoir faire de séducteur confirmé mais peu habitué aux jeunettes. La fougue presque instantanée manifestée par la belle augurait une docilité précoce à l’apprentissage .Il se décolla avec peine de sa bouche en feu et il la vit pour la première fois soutenir son regard. Son visage rayonnant avait évacué la crainte de l’homme. Son sourire radieux effaçait leurs différences d’âge. Roger lui sourit en conquérant triomphant, ce qu’elle perçut avec un réflexe qui lui fit poser sesavant-bras sur sa poitrine. Elle ne paraissait pourtant pas bien grosse sous le corsage pudibond bien fermé jusqu’au col claudine. L’homme s’en amusait et porta le verre à sa bouche en la tutoyant pour la première fois : « à toi de venir boire dans ma bouche Cécile. »Elle se surprit par le soulèvement d’enthousiasme que cette proposition lui procurait. Ce jeu lui plaisait et l’aidait à se libérer des interdits inoculés par son éducation. Elle sentait ses tétons confirmer par leur ardeur à se dresser son besoin subit de découverte de ses choses dont elle avait tout à apprendre. Alors qu’il gonflait ses joues pour contenir l’alcool dans sa bouche, elle approcha ses lèvres si bien dessinées et Roger déversa le cocktail salive calvados sur la langue de la petite. Etourdie par l’assaut plus liquoreux qu’aqueux, Cécile baissa toute garde pour se livrer définitivement au plaisir qui l’attendait. Leurs lèvres restèrent soudées bien après la dissolution du fluide. Son chignon abandonna aussi sa rigueur pour laisser ses cheveux s’étaler dans le désordre le plus complet sur ses épaules.Alors qu’elle cherchait à prendre sa respiration, sans un mot, Roger lui saisit les poignets pour lui détacher les bras qui étaient restés prostrés contre son corsage. La robe de chambre de l’homme s’était totalement ouverte exposant un torse poilu comme celui d’un ours brun. Il vit son regard surpris et porta les mains de la jeune fille sur ses pectoraux musclés. Il l’obligea à y plonger ses petits doigts pour le caresser. Elle frémit en sentant les poils soyeux glisser sous ses mains et osa s’attarder sur ses tétons. Un sourire bienveillant lui annonça la satisfaction de son partenaire. Elle baissa ses paupières car elle sentait ses joues s’empourprer. Elle se raidit alors en découvrant sous le ventre un peu gras de Roger la longue bite circoncise dont l’oeil la regardait effrontément. Alors l’homme lui prit doucement la main et la posa sur son gland tout en la gardant entre ses doigts. Il lui fit ainsi découvrir la douceur et la rigidité du gland en lui appliquant son pouce sur le méat. La respiration de Cécile devint haletante. Elle sentait vivre sous ses caresses guidées la queue fine mais si longue. Beaucoup plus longue que celle de son petit copain qui l’avait si maladroitement déflorée. Sous la direction de la main de Roger, elle apprit à laisser coulisser ses doigts sur la hampe qui palpitait sous ses allers et retours. Ne voulant pas gâcher un tel début de soirée, Roger sentait que la délicieuse maladresse de la jeune fille allait le faire jaillir, aussi il interrompit la branlette improvisée et laissa sa robe de chambre tomber au sol. Il était maintenant nu devant la petite sagement vêtue. Il eut une pensée pour le déjeuner sur l’herbe de Manet où les femmes étaient au contraire nues devant les messieurs en costumes. Belle revanche de la féminité se dit-il en souriant. Cela ne faisait pas sourire Cécile mais la gênait dans la mesure où l’inconvenance d’une telle situation la culpabilisait. Un sourire généreux de Roger détendit sa conquête qui se raidissait devant l’absurdité apparente du moment. Il porta ses mains au col du chemisier et en défit habilement les boutons de nacre. Cécile se laissait faire en baissant ses paupières aux longs cils recourbés, offrant le spectacle d’un assentiment honteux au déshabillage entrepris par le quarantenaire. C’est alors que Roger découvrit deux petits seins à peine cachés par un ersatz de soutien gorge dont les fines bretelles ne soutenaient que deux minuscules triangles de satin blanc plaqués contre une poitrine à la limite du ridiculement petit pour une fille de vingt ans. Elle n’osait ouvrir les yeux car elle redoutait un désappointement de Chambriard. Elle attendit, tendue, angoissée et sourit quand elle eut pour réponse la bouche de l’homme qui se posa sur le frêle tissu pour lécher le bout d’un téton qui se dressa avec une arrogance consolatrice. Il joua avec lui : le léchant, le mordillant, le suçant, l’avalant par-dessus le satin bien inutile. Il fit subir au second le même sort. Les gémissements de la fille l’encourageaient et il poussa son avantage jusqu’a ce qu’ils se transformassent en petits cris mal maîtrisés et qu’elle s’abattit en travers du lit abasourdie par la force du plaisir qu’il lui avait procuré.Il profita de ce moment d’apaisement pour écarter le corsage définitivement et enlever le soutien gorge à la fonction bien inutile. Il resta fasciné par la forme des deux petits seins posés sur le torse comme des chapeaux chinois surmontés de mamelons gonflés et de tétons insolents. La belle étant encore essoufflée, il la retourna à plat ventre sur le lit pour faire glisser la fermeture éclair de la jupe plissée. La rotondité des hanches et des fesses, contrairement à la verdeur de la poitrine, annonçait une maturité affirmée. En faisant descendre la jupette sur les fesses, cette opinion fut largement confirmée. Elles étaient rondes et bombées à souhait et tendaient à la perfection les collants beige sous lesquels une petite culotte blanche enveloppait le popotin avec une précaution au charme désuet. Les cuisses et les jambes confirmaient la rotondité de sa petite personne en enchantant son effeuilleur. Roger ouvrit le lit et ils glissèrent tous les deux dans le nids douillet où leur corps se trouvèrent aussitôt pour un nouveau et long baisers, insistant leurs torses, leurs hanches, leurs ventres, leurs cuisses dans une communion totale. Tout en embrassant son partenaire, Cécile roulait son petit ventre dodu contre la bite tendue. Roger fit glisser les collants sous les fesses de la jeune fille et prit par une soudaine précipitation les tira en même temps que la petite culotte. La belle consentait en poussant des petits gloussements pleins de promesses. Elle fut bientôt nue elle aussi. Prête à tout güvenilir bahis siteleri !Elle sourit aux anges quand le corps quarantenaire la couvrit. Elle sentit la caresse de son torse velu sur sa minuscule poitrine et éprouva une volonté de se soumettre à la force mature de cet homme dont elle n’aurait jamais osé espérer qu’il puisse la désirer. Elle fut presque déçue quand le corps lourd de l’homme glissa sur elle. Mais elle frémit quand le visage vint se nicher entre ses cuisses qu’elle lui ouvrit instantanément. L’art de Chambriard sut donner toute sa mesure pour porter la jeune fille au nirvana. Il la renifla, poussant même son nez jusque dans les replis les plus secrets de sa chatte ; il enflamma ses lèvres secrètes en agissant comme un soufflet de forgeron sur les braises ; il lécha chaque cavité sirupeuse de la grotte grande ouverte ; il suça les crêtes et protubérances en terminant sur le bouton irradié par les attouchements divers : il aspira, croqua, avala jusqu’à ce que Cécile sentit exploser son corps. Ils dut se retenir pour ne pas la pénétrer déjà. Agenouillé à ses côtés, il lui embrassa les mains délicatement comme s’il la vénérait. Longtemps il se fit protecteur de ce jeune corps qui venait de connaître le vrai plaisir. Lorsqu’il la sentit reprendre complètement ses esprits, il plongea sa main entre ses cuisses, lissant sa touffe fournie avant de glisser un doigt sur le clitoris qui manifesta aussitôt sa reconnaissance en la transmettant au corps entier de la belle qui s’anima de soubressauts incontrôlés. Le beau regard bleu de la belle se troubla. Il posa sa bouche sur la sienne avec une douceur infinie. Elle sentit sa fine moustache la picoter et ses lèvres s’ouvrirent dans un sourire confiant qu’il goba de sa bouche gourmande. Elle aimait la ferveur qu’il lui communiquait dans ses baisers. Sa petite langue le chercha, le trouva et il sut que le moment de la pénétrer devenait une urgence aussi bien pour elle que pour lui.Son corps musculeux et poilu l’enfonça dans le sillon moelleux du lit et elle s’étala sous lui prête à le recevoir entre la douceur de la couche et la puissance mâle de l’homme. Il prolongea avec un raffinement démoniaque l’instant final, la couvrant de son poids tout en bandant contre son ventre. Il avait écarté les cuisses pour mieux la serrer contre lui. Cecile coincée sous ce corps lourd était contrainte de coller ses cuisses l’une contre l’autre. Elle se laissait avec délice étreindre par le quarantenaire qui l’enfermant entre ses bras et ses cuisses, écrasait ses petits seins pointus et faisait rouler sa fine et longue queue sur son ventre replet. Elle crut se liquéfier contre lui : son vagin était devenu une source intarissable ; ses cuisses perdaient leur élasticité ; son ventre abandonnait toute résistance tel un comprimé effervescent noyé dans le liquide ; ses chairs intimes abdiquaient face à la menace du glaive. Elle ne s’appartenait plus, n’avait plus de bras pour le retenir ; plus de voix pour l’arrêter ; plus de raison pour pour le contenir ; plus de jambes pour le fuir… Elle n’était plus qu’un fluide prêt à absorber son dard et recueillir son venin bienfaisant.Roger sentit le moment venu de lui écarter les cuisses pour planter son chibre au plus profond du jeune con bouillonnant de désir. Soulevant ses reins il la saisit aux hanches et son gland trouva instantanément l’entrée de la corolle hospitalière. Il ralentit tant qu’il pût l’avancée de sa bite pour occuper la voie visqueuse et frémissante. Cécile recevait le pieu dans sa grotte comme s’il avait été créé pour elle seule. Aucune douleur, aucune imprécision, aucune appréhension ne vinrent rompre la béatitude dans laquelle la maîtrise de Roger l’amenait. Il lui semblait que la queue de l’homme n’en finissait plus de progresser en elle jusqu’à atteindre le fond de son puits où il resta un long moment raide et immobile après avoir poussé en elle jusqu’à l’infini. Elle geignait tandis que la douceur des gestes de Roger contribuait à lui faire ressentir encore plus la force de son sexe de mâle. Il commença alors à visiter avec avec son gourdin le con de Cécile en le retirant pour mieux l’enfoncer ensuite lui arrachant à chaque poussée des petits cris qui le réjouissaient. Il accéléra ses va-et-vient en sortant sa queue complètement pour mieux la remettre dans la chatte dégoulinante de la jeune fille dont les fesses accompagnait en cadences les mouvements canailles. Il la poussait presque au paroxysme et s’arrêtait lorsque qu’elle lui criait d’arrêter, au bord de l’évanouissement. Il recommença de lui imposer ce doux supplice un grand nombre de fois lorsque, ne pouvant plus se retenir, il devint sourd à ses suppliques pour l’éperonner une dernière fois en lui arrachant une clameur vite étouffée par une quasi perte de connaissance tandis qu’il giclait sur les poils de la toison et sur son petit ventre rondelet.Cécile ne se réveilla qu’au matin. Couchée sur le flanc, elle perçut la présence du corps de Roger collé derrière elle. Elle entendait sa respiration et la sentait contre sa nuque. Mais ce qu’elle reconnut surtout c’était la présence du sexe en forme optimale posé entre ses fesses. Elle sourit, heureuse et comblée et encore plus fière de l’intérêt que lui avait porté cet acteur de cinéma, même s’il se disait raté. En fait il était peut-être un mauvais acteur mais il l’avait faite jouir au-delà de ses espérances. En se perdant dans les souvenirs de cette nuit incroyable, elle sentit sur les poils de son pubis et sur son ventre les reliefs de l’éjaculation de Roger. Le sperme avait séché sur elle et elle trouva le contact très troublant sous ses doigts. Immanquablement sa main descendit entre ses cuisses et elle fouilla sa motte qui revint aussitôt à la vie. Elle remonta ses doigts maculés sur le sperme sec pour le diluer avec sa mouille. Cette petite toilette insolite l’excita au point qu’elle se mit à remuer son cul contre le dard dressé. La réaction de Roger qui faisait semblant de dormir jusque-là ne se fit pas attendre et cette fois, sans précaution aucune, il saisit de ses deux mains les petits seins de Cécile et lui fourra d’un coup sa bite par derrière dans la motte trempée. Cet assaut indélicat fut autant apprécié par la belle que la délicatesse de celui de la nuit. Il jouirent très vite et ensemble mais Cécile ne fut pas anéantie cette fois par la force du plaisir. Tandis que Roger se rendit sous la douche, la jeune fille attendit, radieuse sur le lit, en savourant les instants qu’elle venait de vivre. C’est alors que l’on frappa à la porte et que ses deux collègues rayonnantes entrèrent avec le petit déjeuner, découvrant Cécile nue dans le lit. Jennifer en échappa le plateau, tandis que Maryline, stupéfaite, lui cria :« Mais qu’est-ce que tu fais là la jouvencelle ? »Cécile avec la malice de l’ingénue triomphante répondit :« Vous ne vous en doutez pas ? »Lorsqu’elle se retrouva dans le train qui la ramenait chez elle, Cécile découvrit une enveloppe inconnue dans son sac à mains. Il y avait un billet de cent euros dedans…

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Natalia Vidal: On Tour mit den Rockbones (T.3)

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Adel Morel

Natalia Vidal: On Tour mit den Rockbones (T.3)Das Finale:(Dies ist der kürzeste Teil!)-nach dem Konzert-Fast 2 Stunden dauerte es, bis wir uns Backstage zurückziehen konnten. Zuerst begrüßten wir unsere Jungs Maxi und Broduey die heute schon gekommen waren und in erster Reihe standen. Lang kuschelten und plauderten wir über sämtliches. Dann gingen die Jungs noch in die Kneipe, Cami und ich gingen nach einer Dusche zu zweit zurück zum Hotel. Wir schliefen auch sofort ein.-nächster Morgen-Wir wachten gegen 10 Uhr auf. Cami und ich begrüßten uns innig mit Umarmungen und Küssen.”Denkst du an unser Versprechen, Naty?”, fragte mich Cami und hatte schon die Schalfhose unten. Ich wusste natürlich, was sie meinte, und zog meinen Schlafanzug auch aus. Auf 3 fingerten wir uns gleichzeitig, mit dem Gedanken, Maxi würde mit seinem XXL Schwanz auf mir liegen. Nun trauten wir uns canlı bahis şirketleri plötzlich es uns gegenseitig zu machen.”Wow Cami, deine Fotze ist ja noch viel besser und geiler als meine”, zwinkerte ich ihr zu. Sie nickte nur und wurde schneller. Ich stöhnte und machte es bei ihr auch schneller. Fast 20 Minuten zögerten wir es hinaus bis wir gleichzeitig kamen. Doch kurz vorm Orgasmus ging die Tür auf und die Jungs standen da.”Sieh mal einer an so wird man in Spananien (Scherzhaft für Spanien) also begrüßt”, lachten beide und kamen näher. Wir wollten schnell unter die Decke, als wir beide Lawinenartig in Richtung Maxi und Broduey spritzten. Von oben bis unten waren sie mit unserem Saft voll. Nun lachten auch wir, als die beiden schon nackt waren.”Dann lass uns rache nehmen Ladys”, sagten wieder beide zusammen. Sie stiegen zu uns aufs Bett und steckten canlı kaçak iddaa ihre Riemen in unsere Münder. Wir bliesen natürlich sofort los. Alle stöhnten wir so laut, dass es sicher jeder im Hotel hörte. Nun leckten sie unsere Titten und immer gleichzeitig.”Mädels ihr schmeckt himmlich, meine 2. liebste Speise: Naty Titten”, lachte Maxi und Broduey fügte hinzu: “Und Cami Titten”. Da lachten wir sofort los.”Für diese Frechzeit sind wir jetzt dran Jungs”, sagten diesmal Cami und ich gleichzeitig. Wir drückten sie von uns runter stellten ihre Latten auf und reiteten sie. Ihnen gefiehl es aber so gut, dass wir mehr gaben und härter wurden. Irgendwann knieten wir uns in die Hündchenstellung sodass sie freie “Lochwahl” hatten. Sie füllten beide Löcher abwechselnd. Nach fast einer Stunde spürten wir, wie sie tauschten und so wurde ich vom “Vanille- zum Schokoeis”. canlı kaçak bahis Auch Broduey war geil er bohrte mit seiner “schwarzen keule”, wie er ihn selbst nannte, in meiner Fotze rum. Auch er spielte an und in mir fast eine Stunde rum.Dann kam das geilste das ein Mädchen sich wünscht. Sie kamen mal wieder gleichzeitig. Sie knieten sich auf unsere Schultern und kamen in unseren Mäulern und in unseren Gesichtern. Wir bliesen die Schwänze sauber und dann gingen die Jungs duschen. Cami und ich machten noch etwas länger weiter leckten uns ab und danach lecken wir uns gegenseitig die Fotzen aus, ehe auch wir wieder kamen und alles schluckten. Dann wurde es auch schon Zeit. Wir waschten uns, zogen uns an und packten unsere Sachen, weil wir zum Flughafen mussten, wo alle schon warteten um zum nächsten Auftritt zu fliegen. Im Flugzeug unterhielten wir uns lange darüber und in jedem Hotel und jedem Backstage Bereich küssten, leckten und fickten wir uns egal ob Partner, Kollege, Kumpel oder lesbisch. Wie es da war könnt ihr euch ja denken.Danke das es euch gefallen hat. Bis bald, eure Fucktalia ähm Natalia. Tschau :*

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Sabines letzter Urlaub (sehr hart)

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Double Penetration

Sabines letzter Urlaub (sehr hart)[Netzfund]Verfasser ist unbekannt.!!!Warnung!!!Diese Geschichte enthällt deutliche Gewaltszenen. Wer also schwache Nerven hat einfach nicht weiter lesen.Sabines letzter Urlaub“Endlich Urlaub” dachte Sabine, als das Flugzeug die letzten Meter zur Parkposition am Flughafen von Havanna rollte. Die letzten Wochen und Monate waren einfach nur anstrengend … die Scheidung, der Umzug, der Wechsel des Arbeitsplatzes. Sabine wollte einfach nur noch abschalten und entspannen. Um in ihrem Urlaub unabhängig und frei zu sein, flog sie alleine. Niemand der stört, nörgelt und nervt. Sabine war 38 Jahre alt, 1,72 Meter groß, schlank, hatte kurz geschnittenes, dunkelblondes Haar und sah durchschnittlich aus. Das besondere an Sabine waren ihre katzenhaften, grünen Augen. Durch sie hatte Sabine etwas “raubtierhaftes”. Allerdings wirkte Sabine dadurch arrogant und überheblich, was sie letztendlich auch war. Als sie nach fast 15 Minuten das Flugzeug verließ, war sie gereizt. “Es ist immer wieder das Selbe, man sitzt immer in der Mitte und muss dann ewig warten. Und das nach fast 10 Stunden Flug!” Doch die 35 Grad und das traumhafte Wetter brachten sie schnell auf andere Gedanken: “Nur noch ins Hotel und dann ans Meer”. Zu Sabines Erstaunen dauerte die gesamte Einreise, inkl. Passkontrolle nur 10 Minuten. Nun stand sie am Förderband und wartete auf ihr Gepäck. Auch hier musste sie nicht lange warten, nach weiteren 10 Minuten zog sie ihren Koffer vom Band. Nun durchquerte sie mit zügigen Schritten die Ankunftshalle. Die zwei Polizisten, die seit ihrer Ankunft beobachtet hatten und hinter ihr gingen, bemerkte sie nicht. Kurz bevor sie den Ausgang erreicht hatte, wurde Sabine von einem der beiden (Text ins Deutsche übersetzt) angesprochen:“Personenkontrolle, zeigen Sie mir bitte Ihren Ausweis!“. Sabine drehte sich um und sah die beiden Polizisten. “Was soll jetzt das nun wieder” dachte sie. “Ich habe meinen Ausweis gerade bei der Einreise vorgezeigt”, antwortete Sabine, die sichtlich verärgert war. “Hier bitte”. Die Polizisten schauten Sabines Ausweis an und musterten sie eindringlich. “Es tut mir leid, aber sie müssen uns begleiten!”. “Stimmt irgendetwas nicht?” fragte Sabine, die nun ein unangenehmes Gefühl beschlich. “Das klären wir auf der Polizeistation, kommen Sie bitte mit.” Sabine blieb nichts anderes übrig, als mitzukommen. “Das ist sicherlich nur ein Missverständnis” dachte sie noch, als sie in das Polizeiauto einstieg. “Können Sie mir nicht sagen, worum es geht?” Doch keiner der beiden Polizisten sprach während der 15minütigen Fahrt ein Wort.In Sabine keimte die Angst auf, als der Pkw in den Hof der Polizeistation fuhr. Sie wusste, dass die Polizei in sogenannten „Bananenrepubliken“ korrupt und willkürlich war. “Aussteigen!”. Die Polizisten nahmen Sabine in die Mitte und liefen auf den Eingang der Polizeistation zu. Während der eine die Tür öffnete, passte der andere auf, dass Sabine nicht auf dumme Gedanken kam. Als sie im Flur der Polizeistation waren, flog die Tür mit einem dumpfen Knall ins Schloss und Sabine zuckte zusammen. “Mitkommen!” Täuschte Sie sich, oder war der Ton aggressiver geworden? Sabine, die keine andere Möglichkeit hatte, beschloss, keinerlei Widerstand zu leisten und die beiden weder zu verärgern, noch zu provozieren. Was hätte sie auch unternehmen können? “Das ist sicher nur ein Irrtum und es klärt sich gleich alles” dachte sie, als sie eine Treppe herunter geführt wurde. Vor einer dicken Holztür blieben die sie stehen. “Hände vorstrecken!” fuhr sie einer der beiden an. Sabine kam der Aufforderung nach und streckte die Hände aus. “KLICK!” Schneller als sie es registrieren konnte, hatte einer der Polizisten ihr Handschließen angelegt. “Was soll das?” protestierte sie. “Halt dein Maul”, brüllte einer der beiden. Sabine schrak zusammen. Der andere Polizist hatte bereits die Tür geöffnet und stieß Sabine ins Innere des dunklen Raumes.Bevor sie ihre Lage richtig realisieren konnte, wurden ihre Hände an den Handschließen gepackt, nach oben gezogen und irgendwo eingehängt. Sabines Arme spannten sich… als sie den Bodenkontakt verlor schrie sie auf: „was soll das… ich habe nichts getan…“. Als das Licht anging und den Raum hell erleuchtete, sah Sabine, wo man sie hingebracht hatte: In eine Folterkammer. Voller Entsetzen und Panik sah sie die vielen Geräte und Vorrichtungen, die nur einen Zweck hatten: ihr Schmerzen zuzufügen. „Bitte, ich habe doch nichts getan“. Statt eine Antwort zu erhalten, zerriss einer der beiden Polizisten ihr T-Shirt. Der andere öffnete ihre Jeans. Sabine schrie und fing an zu treten. Ein Faustschlag in den Magen erstickte jedoch ihren Widerstand. Röchelnd und nach Luft schnappend wurde sie ausgezogen. Nackt und hilflos hing sie vor den beiden Polizisten, die sie schamlos betrachteten. „Sie hat doch einen langen Flug hinter sich. Soll sie sich ein bisschen ausruhen“, sagte einer der beiden hämisch. Der andere war in der Zwischenzeit in eine Ecke des Raumes gegangen, die Sabine nicht einsehen konnte. Sie hörte ein schleifendes Geräusch auf dem Boden und versuchte, sich umzudrehen. „NEIN BITTE NICHT“ schrie sie, als sie sah, was man mit ihr vor hatte: Sie sollte auf einen „Holzbock“ gesetzt werden: Ein langer Holzblock, der nach oben keilförmig und wie eine Säge anspitzt war.Sabine wurde hochgezogen und der Holzbock unter ihr platziert. Sie versuchte verzweifelt, die Beine anzuziehen und zusammenzupressen. Einer der beiden griff sie von hinten um die Hüfte, während der zweite sie langsam herunterließ. „Nur nicht die Beine öffnen“ war ihr einziger Gedanke, den sie fassen konnte. Und tatsächlich schaffte sie es, die Beine geschlossen zu halten. Die beiden Polizisten grinsten nur wissend. Sabine wurde neben dem Holzbock auf den Boden gelassen; allerdings nur soweit, dass ihre Zehenspitzen den kalten Boden berührten. Durch die zusammengepressten Beine ruhte nun das gesamte Gewicht auf den Zehen, was nach kurzer Zeit sehr schmerzvoll war. Sabine blieb nichts anderes Übrig, als ihre Beine zu öffnen, um so das Gewicht gleichmäßig zu verteilen. Darauf hatten die Beiden gewartet: sie griffen Sabines Beine an den Knien, zogen sie auseinander, hoben sie hoch und platzierten sie mit gespreizten Beinen über dem Bock. So sehr sie sich auch wehrte, sie hatte nicht die geringste Chance. Zu stark waren ihre Folterer. Dann ließen sie Sabine langsam herunter. Kurz bevor ihre Scheide den Bock berührte, spannte einer der beiden das Seil. Sabine hing nun 2 cm über der scharfen Kante. „NEIN, NEIN, NEIN, BITTE NICHT“ flehte sie. Doch die beiden kannten keine Gnade. Der zweite Folterer stand hinter ihr, ergriff ihre Scheide und zog ihr die Schamlippen auseinander. „Schließlich sollst Du ja richtig sitzen“ sagte er höhnisch.„Lass sie runter, ich hab ihre Fotze genau platziert!“ Sabine spürte, wie sich casino oyna die scharfen Kanten langsam in ihre Scheide bohrten. Als sie mit ihrem gesamten Körpergewicht auf dem Holzbock saß, schrie sie, wie sie noch nie in ihrem Leben geschrien hatte: „AAAAARRRRGGGGHHHHHHHH“. Da sie jeglichen Bodenkontakt verloren hatte, versuchte sie panisch, sich an dem Seil hochzuziehen. Voller Erregung beobachteten die beiden Folterer Sabines verzweifelten Kampf, den Schmerzen durch Entlasten der Scheide zu entgehen. Doch immer wieder sackte sie nach unten und presste sich die scharfen Kanten in die Scheide und gegen die Klitoris. Dadurch war Sabines Körper ständig in Bewegung, so dass sie regelrecht auf dem Bock ritt und die Schmerzen dadurch noch mehr verstärkte.„Ich wusste gar nicht, dass du deutsche Sau so reiten kannst“ amüsierte sich einer. „BITTE….AAAAAARRGGGGHHH… NEHMT MICH RUNTER!!!“Doch ihr Flehen und Schreien heizte die Beiden noch mehr an. Mit sadistischer Freude sahen sie zu, wie sich Sabine ihre Scheide und den Kitzler wundscheuerte. Nach fast 2 stündigem grausamen Ritt erschlaffte Sabines nassgeschwitzter, von Schmerzen geschüttelter Körper und sie viel in Ohnmacht. „1 Stunde 58 Minuten! Fast so zäh wie die Russen-Fotze!“„Ja, mit der werden wir noch viel Spaß haben! Gönnen wir ihr eine kleine Pause!“ Dann verließen die beiden Sadisten die Folterkammer. Sabine ließen sie sitzen…Als die Polizisten nach 30 Minuten zur Folterkammer zurück gingen, hörten sie schon von weitem Sabines Schreie. Lachend sagte einer: „Offensichtlich reitet die Fotze schon wieder“ „Ja, die hält richtig was aus! Da können wir mit dem Stärkungsmittel noch warten“,sagte der andere, während er die Tür zur Folterkammer öffnete. Das Bild das sich den beiden bot, ließ sie vor Erregung fast explodieren: Die mittlerweile blutige Kante des Bocks hatte sich tief in Sabines Scheide gebohrt. Der ganze Körper war in Bewegung, da sie schreiend den Kopf hin – und her warf. Die nassen Brüste wippten unkontrolliert in alle Richtungen. „Schau dir die Euter der Sau an! Die hüpfen, als ob sie Sahne schlagen möchte! Doch jetzt lass uns Spaß haben!“ Die Sadisten zogen sich aus und stellten sich mit steifen Penissen vor ihrem schreienden Opfer auf. Dann begannen sie zu onanieren. Allerdings waren sie so stark erregt, dass sie schon nach wenigen Sekunden ihr Sperma auf Sabines Schenkel entluden. Durch einen Schleier aus Schmerzen, Tränen und Ekel hoffte Sabine, dass sie endlich von der grausamen Folter erlöst würde. Wie in Trance hörte sie die beiden Polizisten, die sich unterhielten: „10 oder 20?“„10, sonst zerreißt ihre Fotze!“Trotz der Schmerzen verstand Sabine die Worte, erkannte aber deren Sinn nicht. Zwischenzeitlich hatten die Folterer zwei kurze Nylon – Seile geholt, die sie um Sabines zuckende Fußknöchel banden. Dann nahmen sie zwei handelsübliche 5-Kilo- Hanteln und befestigten sie an den Enden der Seile. Voller sadistischer Freude hielten sie die Hanteln fest. Schreiend hatte Sabine realisiert, was die beiden vor hatten: Ihr Ritt auf dem Bock sollte durch die zusätzlichen Gewichte verstärkt werden. „Mal sehen, ob du wirklich so zäh bist. 23 Minuten sind der bisherige Rekord!“ Ungerührt und angetrieben von Sabines Flehen und Schreien setzten die Sadisten die Hanteln langsam ab. Als die Seile sich spannten, schrie sie ein weiteres Mal gellend auf: „WAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!!!“Unnachgiebig zogen die Gewichte an Sabines Beinen und trieben die scharfen Zähne noch tiefer in das malträtierte Geschlechtsteil. Unbeschreibliche Schmerzwellen explodierten in ihrer blutenden Scheide. Vor Schmerzen kreischend, versuchte Sabine erneut, sich an ihren Fesseln hochzuziehen. Doch immer wieder rissen sie die Gewichte brutal auf die Kante zurück. Die schrillen, unmenschlichen Schreie, die Sabine hierbei ausstieß, waren Musik in den Ohren der Folterer. Onanierend ergötzten sie sich an Sabines Qualen und beobachteten gebannt, wie lange sie die Tortur noch aushielt: „Ich wette, dass die Fotze den Rekord bricht!“Nach 27 Minuten war es dann soweit: Eine letzte, unbeschreibliche Schmerzwelle riss Sabine in den tiefen Schacht einer erlösenden Ohnmacht. „ 27 Minuten… so lange hat noch keine ausgehalten!“Nehmen wir sie runter, sonst zerreißt es ihr, wie der Russin die Fotze, und wir können sie wegwerfen!“Die beiden Sadisten entfernten die Gewichte und Seile von den Beinen, hoben Sabine vom Bock und legten sie auf den Boden.„Waschen und inspizieren wir ihre Fotze!“ Sie spreizten Sabine die Beine, wuschen das Blut von der Scheide und betrachteten die Verletzungen, die der Ritt auf dem Bock verursacht hatte: Erstaunlicherweise waren die großen Schamlippen relativ unversehrt. In der Vagina hatte der Bock jedoch seine grausamen Spuren hinterlassen: Die kleinen Schamlippen waren stark geschwollen und an mehreren Stellen eingerissen, die Klitoris blutig gescheuert und auf das 3 fache angeschwollen. „Wir sollten ihr die Fotze kühlen!“ scherzte einer. „Wir schmieren einfach Wundsalbe drauf und gut“ sagte der andere und „verarztete“ Sabines Scheide. Anschließend trugen sie den erschlafften Körper zu einem großen, auf dem Kopf stehenden „Y“. Während einer den leblosen Körper festhielt und richtig positionierte, fesselte der andere Sabines Knöchel, Knie, Bauch und Hals. Die Hände zog er um das „Y“ und band sie zusammen. Somit war es Sabine nicht möglich, die Beine zu schließen oder ihren Körper hin – und her zu werfen. Auch blieben die Brüste in ihrer natürlichen Lage, da die Hände hinter dem “Y“ fixiert waren. Zufrieden nickten sich die Beiden zu: „Warten wir, bis die Fotze zu sich kommt!“…Als Sabine aus ihrer Ohnmacht erwachte, hatte sie das Gefühl, dass ein glühendes Messer in ihrer Scheide steckte. Von Schmerzen geschüttelt, versuchte sie sich zu orientieren. Doch schon nach wenigen Augenblicken wurde sie in von der grausamen Realität eingeholt: Hilflos musste sie mit ansehen und anhören, wie ihre Peiniger nackt vor ihr standen, sie anstarrten und sich über weitere Folterungen unterhielten. Als Sabine den Tisch mit den Folterinstrumenten sah, glaubte sie, wahnsinnig zu werden: Nadeln, Zangen, Klemmen, Haken, Messer, Sägen usw. lagen in allen Ausführungen und Größen bereit. Das schlimmste jedoch war ein Kohlenbecken, indem glühende Zangen und Eisen knisterten und zischten. Sabine schrie und winselte um Gnade: „ BITTTE BITTE NICHT! ICH MACH ALLES, WAS SIE VERLANGEN…BITTEEEEEEEE!“ „Wir verlangen nichts von Dir… außer, dass Du schreist und möglichst lange aushältst“ amüsierten sich die Sadisten. „Doch jetzt lass uns weitermachen… Da Deine Fotze etwas Erholung braucht, sind jetzt Deine Titten an der Reihe!“ “Ich die linke, du die rechte” sagte einer. Dann schlugen sie mit den flachen Händen auf die Brüste ein. Schreiend warf Sabine den Kopf hin- und her als die Schläge aus allen Richtungen auf ihre slot oyna Brüste prasselten. Nicht nur die Schläge alleine verursachten wahnsinnige Schmerzen, sondern auch die Deformierungen die dadurch entstanden. Dies erkannte auch einer der beiden Sadisten:„Ich hab eine Wahnsinnsidee! Erinnerst Du Dich an unser Boxtraining? Lass uns mal ein paar Uppercuts schlagen!“ Grinsend ballte er seine rechte Hand zur Faust und schlug von unten mit aller Kraft gegen Sabines rechte Brust. Jetzt schlug der andere Folterer mit der Faust gegen die linke Brust. Durch die Schläge wurden die Brüste bis fast auf Schulterhöhe getrieben. „Jetzt reißen die Brüste ab“, dachte Sabine, die kreischend und schreiend einer erneuten Ohnmacht nahe war. Immer abwechselnd schlugen sich die Sadisten in einen regelrechten Rausch. Erst als Sabines Brüste grün und blau und derart angeschwollen waren, dass man den Eindruck hatte, sie würden jeden Augenblick platzen, hörten sie mit den Schlägen auf. Schweißgebadet und bis aufs Äußerste erregt betrachteten sie ihr, vor Schmerzen wimmerndes Opfer: „Als nächstes die Nippel?“ „Klar, schütteln wir der Sau die geschwollenen Euter kräftig durch!“Mit Daumen und Zeigefinger erfassten die Beiden Sabines Brustwarzen und kniffen sie so brutal, dass Sabines Schreie durch den Raum gellten: „AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH!“Nachdem sie genug gekniffen und gezwirbelt hatten, die zugefügten Schmerzen waren ihnen nicht stark genug, zogen sie die Brustwarzen soweit es ging in die Länge. Grotesk sah es aus, wie Sabines Brüste zu regelrechten Schläuchen deformiert waren. Dann begannen die Folterer damit, die Brüste an den Warzen mit aller Kraft zu schütteln. Je lauter Sabines Schreie durch den Raum schallten, desto stärker schüttelten und rissen die Polizisten an den Warzen. „JIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEHHHHHHHHHH? ?Auch jetzt versuchten sie wieder, sich gegenseitig zu übertreffen: Immer schneller schüttelten sie die stark malträtierten Brüste. „Der Fotze ist bestimmt schon die Milch sauer geschlagen!“„Du hast Recht, lass uns aufhören, bevor der Sau die Titten platzen!“Tatsächlich sahen Sabines Brüste nach der Schüttelfolter wie zwei überreife Melonen aus. Auch die Brustwarzen waren auf das Doppelte angeschwollen. „Schau Dir die geschwollenen Nippel an, die sind jetzt bereit für die Zangen!“Sabine glaubte wahnsinnig zu werden, als die Sadisten zwei Kombizangen vom Tisch nahmen und sie ihr grinsend zeigten. „Kannst Du Dir vorstellen, was man damit alles machen kann? „BITTE QUÄLT MICH NICHT MEHR….BITTTEEEE!!!“Doch ohne Gnade setzten sie die Zangen an den Brustwarzen an und kniffen, rissen und drehten in alle Richtungen.„AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!!!“Und wieder hatte einer einen Einfall, um Sabines Schmerzen noch mehr zu steigern: „Lass uns mal testen, wie weit wir ihre Warzen ziehen können.“ Gleichzeitig begannen sie, Sabines Brustwarzen mit den Zangen zu ziehen. Brüllend versuchte Sabine der Zugrichtung zu folgen, was jedoch durch ihre Fesseln verhindert wurde. Immer stärker zogen die Sadisten an den malträtierten Brustwarzen. Auch jetzt waren die Brüste wieder herrlich deformiert, die Brustwarzen zum Zerreißen gespannt. Kurz bevor die Warzen abreißen zu drohten, setzten die Folterer die Zangen ab. Allerdings gönnten sie Sabine keine Pause: „Ok, nun wollen wir mal sehen, wie stark wir Deine Warzen quetschen können!“ Beide setzen die Zangen erneut von vorne an Sabines Brustwarzen an, umschlossen die Griffe mit beiden Händen… und drückten mit aller Kraft zu. Mit einem gellenden Schrei fiel Sabine erneut in Ohnmacht:„JIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEEEEEEEE EEEEEEEEEEEEEEEEEEIIIII!!!“„Schade, das ging mir entschieden zu kurz“, sagte einer enttäuscht. „Aber erstaunlicherweise sind ihre Nippel nicht aufgeplatzt. So haben wir noch eine Menge Spaß!“„Ja, so eine zähe Fotze hatten wir noch nie!“ Als Sabine zu sich kam, standen die Sadisten vor ihr, betrachteten ihren geschundenen Körper und machten Fotos:„Du Sau wirst uns richtig Geld bringen! Der Film und die Fotos sind sehr begehrt unter Kennern!“Was für ein Film? Sabine hatte noch immer nicht die Kamera entdeckt, die in einer Ecke an der Wand montiert war. Schlagartig und mit aller Härte wurde ihr die ganze Situation bewusst: Hier lag keine Verwechslung vor. Auch ging es nicht um Informationen oder Erpressung. Hier ging es um Schmerzen und Tortur. Grausame und furchtbare Folterungen, die gefilmt und fotografiert wurden, um damit Geld zu verdienen. Sie hatte mal gelesen, dass es solche Bilder und Filme im Internet geben soll. Sabine hielt dies für reinen Sensationsjournalismus. Doch nun hatte sie die Realität eingeholt. Eine eisige Faust schien ihr Herz zusammenzupressen. Sie schrie, riss an ihren Fesseln, winselte um Gnade und urinierte voller Angst.„Schau Dir diese Sau an, die pisst uns alles voll!“„Lass sie doch, oder wäre es Dir lieber, wenn sie sich Dich anpisst?“„WARUM?“ schrie sie… „OH MEIN GOTT BITTE HÖRT DOCH AUF!“ „Spar Dir Deinen Atem, den brauchst Du noch“, sagte einer der Sadisten, holte einen Schlauch und spritze den Boden ab. Anschließend nahmen die beiden mehrere, ca. 5cm lange Nadeln und stießen sie etwa 1 cm tief in die geschwollenen Brüste. Sabine schrie wieder, allerdings nicht so laut wie zu Beginn ihres Martyriums. Dies änderte sich jedoch schlagartig, als einer der Polizisten ihr die erste Nadel in den Warzenhof drückte. Die zweite Nadel folgte, die dritte… irgendwann steckten in beiden Brüsten jeweils 20 Nadeln. „Schau dir die Titten an, die sehen wie Nadelkissen aus!“ „Nun ihre Nippel“ Hierfür wählten sie zwei, ca. 10 cm lange Nadeln. Vorher zogen sie fast gleichgültig die Nadeln aus den Brüsten. Dann umfassten die Folterer mit einer Hand je eine der blutenden Brüste und drückten sie nach hinten. Dadurch wurden Sabines Brustwarzen straff nach vorne gedrückt. Sabine, die ahnte was die Sadisten vor hatten, begann zu kreischen. Beide setzen die Nadel genau in der Mitte der Brustwarzen von vorne an. Dann trieben sie Sabine die Nadeln frontal, bis zum Anschlag, in den Milchkanal. „Die brauchst Du sowieso nicht mehr!“ Brüllend vor Schmerzen versuchte Sabine, die Nadeln abzuschütteln. Es sah grotesk aus, wie sie ihren Oberkörper, so gut es ging, hin – und herwarf. Dadurch verstärkte sie die Schmerzen nur noch mehr, weshalb sie nach wenigen Sekunden aufgab und zusammensackte. Mit blutenden, geschwollenen Brüsten, in deren Warzen die beiden Nadeln steckten, hing sie in ihren Fesseln. „Wir müssen ihr etwas geben, sonst wird uns die Fotze jetzt alle 10 Minuten ohnmächtig.“ Der Folterer ging zu einem Schrank und kam mit einer Spritze, die eine gelbliche Flüssigkeit enthielt zurück: „Eine kleine Stärkung für Dich mein Täubchen, damit Du auch schön viel aushältst“ Nach einigen Minuten begann das Mittel zu wirken und Sabine war für weitere Folterungen bereit. canlı casino siteleri „Ihre Fotze hatte jetzt lange genug Zeit, um sich zu erholen!“Während einer der Sadisten zwei Hocker holte und sich vor Sabine hinsetzte, nahm der andere eine Videokamera aus einem Schrank und setzte sich dann ebenfalls hin.„Von der Fotzenfolter machen wir Nahaufnahmen, da die sich besonders gut verkaufen lassen!“ Wieder flehte und bettelte Sabine um Gnade, doch die Sadisten ließen sich nicht beirren:„Hast du die Kamera eingeschaltet?“ „Aber sicher!“„Na dann los!“ lachte der andere. Vor der Folter präsentierten sie Sabines Scheide in Großaufnahme. Hierzu zog einer die rechte kleine Schamlippe ein Stück aus der Scheide heraus.Dann nahm er die Kombizange und setzte sie an der Schamlippe an.„BITTE NICHT…BITTE!“Wie an den Brustwarzen, quetschte, zog und drehte er die Schamlippe. Dann war die linke an der Reihe. Immer mehr gaben die Schamlippen nach und wurden länger. Jetzt versuchte der Folterer, die Schamlippe um die Zange zu drehen. Sabine schrie und brüllte wie am Spieß: “WAHHHHHHHHHHHHHHHHH „„Pass auf!“mahnte der andere zur Vorsicht, „nicht dass Du sie ihr jetzt schon ausreißt.“ „Jetzt zieh ihr mal beide Lappen in die Länge!“ Der Sadist gab die linke Schamlippe frei, und setzte dann die Zange an beiden kleinen Schamlippen an. Dann begann er, zu ziehen… Immer weiter zog er Sabines kleine Schamlippen aus der Scheide. Gleichzeitig musste er die Zange fester zudrücken, damit die Schamlippen nicht entglitten. Sabine schrie ununterbrochen. „10 Zentimeter sind es bestimmt schon!“Vor lauter Erregung war er kurz davor, die Schamlippen auszureißen. Brüllend spürte Sabine, wie das zarte Gewebe anfing, zu reißen. Dies bemerkte auch der „Regisseur“: „ACHTUNG, sie reißen!“ Im letzten Augenblick öffnete der Sadist die Zange und betrachtete sein „Werk“:„Schau Dir mal die Lappen an, die schnalzen gar nicht in die Fotze zurück“.Offensichtlich hatte er das Innere des Gewebes zerrissen. Zerschunden hingen die Lippen aus der Scheide. Beide Polizisten hatten ihre „Werkzeuge“ weggelegt, betrachteten die langgezogenen Schamlippen und onanierten. „Machen wir an den Titten weiter; während dessen können sich die Lappen etwas erholen.“ Die Polizisten stellten sich links und rechts vor Sabine auf. Dann griffen sie nach den Nadeln, die noch immer in Sabines Milchkanäle steckten. Langsam und genüsslich zogen sie die Nadeln zur Hälfte heraus. Einer der Beiden nahm eine kleine Lötlampe von dem Tisch, die er grinsend entzündete. Dann hielt er die zischende, blaue Flamme an eine der Nadeln. Schreiend versuchte Sabine wieder, die heiß werdende Nadel abzuschütteln. Doch so sehr sie auch ihre Brüste schüttelte, es gelang ihr nicht, dieser Folter zu entgehen. Zu tief steckte die mittlerweile glühende Nadel im Milchkanal und brannte ihn langsam aus. Dann kam die zweite Nadel an die Reihe. Kleine Rauchwolken stiegen von den Nippeln auf, es stank nach verbranntem Fleisch. Sabine schrie, brüllte, kreischte, ihr Gesicht glich einer Grimasse. Doch in Ohnmacht fiel sie nicht… Irgendwann rissen sie die Nadeln aus den verbrannten Brustwarzen. Da sich die Nadeln in die Milchdrüsen eingebrannt hatten, wurde diese regelrecht zerrissen. Sabines Brustwarzen sahen aus wie kleine verkohlte Himbeeren. Während einer der beiden Sadisten wieder filmte und Nahaufnahmen von Sabines verzerrtem Gesicht machte, fing der andere damit an, die verbrannten Brustwarzen mit einer kleinen Drahtbürste aufzuscheuern. Sabine brüllte dabei wie ein Tier, was den Sadist noch mehr anstachelte. Erst als er die Warzen blutig gerieben hatte, legte er die Drahtbürste weg: „Achtung, ich streue ihr jetzt das Salz auf die Nippel. Nimm abwechselnd die Nippel und ihr Gesicht auf. Sie wird gleich richtig brüllen!“Fortzetzung folgt…Bis aufs äußerste erregt und voller Vorfreude auf Sabines Schreie griff der Folterer in eine Schale, in der sich handelsübliches Kochsalz befand. Mit Daumen und Zeigefinger, als ob er ein Essen würzen würde, streute er das Salz auf die blutigen Brustwarzen. Die Wirkung setzte schlagartig ein und lies den Sadist erneut, ohne Hilfe der Hände, ejakulieren: Die Schreie, die Sabine ausstieß, hatten nichts menschliches mehr. Obwohl sie am Hals gefesselt war, warf Sabine ihren Oberkörper unkontrolliert wild hin- und her. Das einst so stolze Gesicht war zu einer, vor schmerzentstellten Grimasse verzogen. Der Sadist mit der Kamera war begeistert: „Die Fotze bringt uns richtig viel ein! Das wird unser absoluter Bestseller! Halt mal ihren Kopf fest, ich möchte ein paar Nahaufnahmen machen!“Der andere ging hinter das Kreuz und versuchte Sabines Kopf mit beiden Händen festzuhalten, was jedoch misslang. Zu stark warf sie ihren Kopf hin- und her. Erst als er die Stirn nach hinten und den Unterkiefer nach oben drückte, schaffte es der Sadist, Sabine „ruhig zu stellen“. Fast 2 Minuten filmte der „Kameramann“ abwechselnd die blutenden Brustwarzen und Sabines Gesicht, in dem sich die unmenschlichsten Qualen wiederspiegelten. „Ok, hab alles im Kasten, lass uns weitermachen!“„Bitte… nicht mehr… bitte nicht, bitte“flehte und winselte Sabine zwischen ihren Schreien.Unbeeindruckt hatte der Foltermeister eine kleine Nadel geholt und kniete sich nun hin. Der andere kniete sich mit der Kamera daneben und postierte sich so, dass er Sabines Scheide ungehindert filmen konnte. Während der eine Sabines Scheide erneut in Großaufnahme filmte, spreizte der andere mit zwei Fingern die gemarterten Schamlippen. Dann nahm er die Nadel und begann, die Klitoris zu reizen. Nach wenigen Stichen war die Klitoris erigiert und geschwollen. Sabine spürte zwar das Stechen in ihrer Scheide, aber die Schmerzen, die das Salz an den Brustwarzen verursachte, „überlagerten“ die Nadelstiche. Erst als der Sadist eine kleine Spitzzange an Sabines Klitoris ansetzte und langsam zudrückte, verlagerte sich der Schmerz. „Habe ich jetzt deine Aufmerksamkeit, mein Täubchen?“scherzte er.Geschickt quetschte und zog er mit der Zange Sabines empfindlichstes Körperteil, ohne es zu verletzten. Die Schmerzen waren so brutal, dass Sabine regelrechte Furzkanonaden ausstieß. „Pass auf, die scheißt und pisst gleich!“Und tatsächlich pisste und schiss Sabine vor Schmerzen. Während der Folterer dem Urin und Kot auswich, filmte der Kameramann weiter. Als sich Sabines Blase und Darm entleert hatten, hing sie leblos in den Fesseln. Erst der Wasserstrahl aus dem Schlauch riss sie in die grausame Realität zurück. Bevor die Sadisten ihr grausames Werk fortsetzten, reinigten sie den Boden von Sabines Exkrementen.„Wir hoffen du hast dich leergepisst und leergeschissen!“Vor den nächsten Folterungen filmte der Sadist mit der Kamera Sabines geschundenen, zitternden Körper: das tränenüberströmte Gesicht war schmerzentstellt; die Brüste rot und blau geschwollen; von den Brustwarzen waren nur noch die Warzenhöfe zu erkennen, die Warzenspitzen bestanden nur noch aus blutigen Fetzen; die Klitoris war auf Erbsengröße angeschwollen, die wunden, kleinen Schamlippen hingen ca. 5 cm aus der Scheide. „Fantastisch! Ok, machen wir weiter!“

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Wife Plans Our Vacation BlackenMy wife, Susan, and I had a long flight to our “all inclusive” weeklong vacation in the Caribbean that she planned. After we had checked into the hotel, had dinner, showered and changed into our jammies I jokingly told my wife, Susan, that she could choose any porn movie on our hotel Cablevision.”Oh goody,” she replied, and smiled at me with a sexy look. I was triply surprised. First, that she would even consider watching a porn movie at all, and second, by the great detail she paid attention to in making her eventual choice. She had never liked porn. In fact, she disliked porn. She would wrinkle up her nose and go “ooooh” whenever I brought up the subject. She even went so far as to comment disapprovingly of anything remotely having to DO with porn. She was a beautiful woman, becoming even more beautiful as she matured, and we had a loving and reasonably active sex life. But it was kind of boring. But here we were, on a vacation in paradise, and maybe things were about to change.My normally prudish wife reviewed every porn available for content and quality. There must have been 50 or more. As my balls swelled, she painstakingly went through lurid description after lurid description, reading each aloud, before settling on my third surprise: a movie about Interracial Wife-Swapping. By the time she made her choice, I was already hard as a rock, so I started the movie right away, before she changed her mind. The scene opened with two couples, one white and one black, sitting on an L-shaped sectional. They chatted about how nervous they were to be swapping, but it didn’t take long before the blonde-haired woman reached over and began caressing the knee of the beautiful, large-breasted black woman. 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She ran and got a warm wet washcloth from the bathroom and cleaned me up, drying me with a fluffy hand towel. Then she got up and went into the bathroom to clean herself up. By the time she returned the movie was about over, and we watched in silence as the couples kissed their new partners goodbye, then left the room with their own spouses.As the credits rolled at the end, I turned the T.V. off with the remote.”That was pretty surprising and very amazing,” I told Susan. “You usually won’t even talk about watching a porn movie. I guess now you know what you’ve been missing. It sure fired you up.””Oh my god, did it ever!” she replied. “I can’t believe how horny it made me. I was, like, on fire down there!””Why the sudden change of mind about porn?” I asked her, touching her bare knee and making gentle circles with my fingertip.”Something you said last time you brought it up, and I turned you down. You said that we never tried anything new….just the same old thing year after year.” She paused. “I thought about it, and realized you were right. So ever since, I’ve been kind of wanting to experiment. It even kind of made me horny the more I thought about it, and I even fantasized a few times about things we might do. When you indicated tonight that you wanted to watch a porno, I decided it was time for a change.””And……?” I asked.”I’m really glad we did.” I reached over and turned off the light. She slid over next to me on the bed and we began kissing. She reached down and began stroking my dick as we kissed, and it slowly came back to life. Soon I was hard again, and I moved on top of her, sliding my dick into her warm and welcoming, familiar pussy. We made love slowly and deliberately. I made sure she came first, then with my mouth locked on hers and our tongues doing the age-old dance of love, I filled her with my man-seed, as I had so many times over the years. She held me tightly as I came, moving against me for as long as I kept moving.When I stopped, I kissed her one more time and slid off her to my side of the bed. I felt her grab a hand towel and put it between her legs, catching my dripping sperm leaking out of her cunt. I moved close to her, spooning her body from behind. I felt satiated and content. It was going to be a good vacation, I could tell. A few things were nagging at my mind, though, as I neared sleep. What did she mean about having fantasized about “things we might do”? What kind of things had she been fantasizing about? And why was she so turned on by a movie about mate-swapping?My questions would be answered soon enough.

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Coquine malgré elleA.MoiMes parents m’ont élevée dans la tradition, leur tradition…D’un niveau moyen, mère enseignante, père salarié d’un cabinet comptable national, en charge d’une clientèle de professionnels à haut rendement.Son salaire était à l’avenant, nous ne manquions de rien, sauf d’un peu de tendresse….Maman nous en donnait, à mon frère et à moi, mais père était avare, plus par manque de temps que par manque d’intérêt… Les rares fois où il nous emmena tous les deux sans maman, se comptent sur le bout des doigts, visite de zoo, ou de parc d’attraction pour enfant pendant que mère vaquait à ses occupations, un mystère…Mère était jolie, blonde d’aquitaine, peau de porcelaine, je lui ressemble un peu, sauf les yeux verts pour ma pomme et bleus pour elle, elle les avait donnés à mon frère ainé…Plus âgé de 3 ans, il avait quitté le nid très tôt, et pour moi ce fut un déchirement, que je ne montrais pas, par peur de représailles…Il avait été banni, car parti pour une fille, très jeune comme lui, à l’étranger, voulant fuir notre province arriérée…Il y réussit au bout de cinq ans, marié, un enfant, ingénieur agronome, il aimait la terre, mais pas la nôtre… Il était en Australie….Moi, je vivais ma vie de cadette devenue ainée, étudiais patiemment, jusqu’au bac, puis fac de droit et école de commerce, ce qui faisait rire papa… Commerce de quoi ? De ses charmes ? Elle n’en n’a pas !On comprend pourquoi il était aride de câlins…C’était dit et redit, mais dans la plaisanterie. Maman le grondait chaque fois, mais il avait autre chose en tête, car le week-end, le football occupait ses pensées, quand ce n’était plus son travail.Quand il approcha de la soixantaine, sa passion empira.Il n’était plus souvent là, peur de la retraite ou un autre intérêt ? Maman le laissait faire, n’étant pas au courant…Je rencontrais Jacques, le fils d’un de ses anciens collègues, anti-foot de nature, il passait le dimanche chez nous, pour mon plus grand plaisir, il aimait la nature, la mienne aussi…Vers 15 ans il était déjà grand, fort, beau dans mon cœur, il était mon seul lien avec le monde extérieur. Il m’expliquait la vie, les gens, les arts, le théâtre, le cinéma, la musique dont il était friand.Je le suivis plusieurs fois avec ses copains, dans des concerts en plein air, je trichais sur mon âge, au grand dam de maman qui s’inquiétait pour ma virginité…Cela dit, c’était fait depuis longtemps, dès les premiers concerts, dans la tente Quechua 2 places…A 17 ans, je prenais la pilule, car nous étions passés à une tente huit places pour plus de liberté et surtout plus d’espace… Il y avait Solange, copine de Lycée, qui flirtait avec Bart, Meredith la plus jeune, c’était Victor, nous étions inconscients, fumions comme des pompiers, buvions de la vodka, chaque couple dormait dans un duvet deux places, c’était la panacée…Maman s’en doutait bien, que je n’étais pas sage, mais elle ne disait rien, j’étais à son image…A dix-huit ans je passais mon permis, papa récupéra la voiture d’un ami, j’allais en fac en bagnole, revenais le vendredi… Samedi, hop ! Je me levais la première, Jacques passait me chercher, jusqu’au dimanche où je rentrais tôt dans l’après-midi… J’essayais de passer quelques heures avec eux, maman, et papa quand il rentrait essoufflé, sans voix…Moi, j’étais éreintée, les oreilles pleines de watts, la chatte pleine de souvenirs…Je m’endormais souvent devant la télé, je repartais au matin, tôt, avant les embouteillages.Jacques était bon amant, et depuis quelques mois, nous baisions tous ensemble, ça simplifiait nos rapports, nous étions devenus libertins, Victor conduisait un Van sept places rose et vert, il nous pilotait partout autour de Paris, on militait pour l’écologie…La drogue ? Oui, un peu. Certains samedis soir, on restait entre nous, mais d’autres jours, on laissait nos fantasmes aller de ci, de là… On faisait la fête, en choisissant nos rois…Solange et Meredith partaient à l’aventure et revenaient au matin, des cernes sous les yeux, leurs robes froissées, déchirées quelquefois, et elles me racontaient, leurs amis de rencontre, italiens pour la drague, des allemands pour le sexe, des belges pour la langue, des anglais avec leurs copines et qui les initiaient… Elles aimaient la bite, s’en donnaient à cœur joie dans les tentes voisines, elles parlaient des lesbiennes anglaises, elles adoraient se vanter, elles me firent essayer, je sentis du plaisir, et ouvris mes fantasmes à ce genre de sexe…Jacques, me voyant m’éloigner, partit de son côté, ramenait ses conquêtes, que j’aimais partager… Alors j’ai suivi et j’ai fait comme mes amies, plongeant dans le plaisir, sans frontière, sans limite… Je ne passais plus voir mes parents, je laissais ma voiture au bahut…B.MamanUn vendredi, j’étais libre… Je rentrais chez eux, maman ne m’attendait pas…Elle était toute rouge, balbutiait de surprise en venant m’embrasser, comme une enfant prise la main dans le sac… J’entendis du bruit dans la chambre… Un homme s’habillait, elle me le présenta en lui disant aurevoir… Pas besoin de sous-titres, un ami de papa, qui passait par hasard, et puis d’une chose à l’autre…Elle se confia à moi, elle se mit à pleurer… Elle était cocue, papa et son foot sortait souvent le soir, il allait dans un bar regarder la télé privée, avec ses copains, ou jouer au poker, boire ou tirer des coups, il revenait très tard… Elle ne supportait plus, de vivre en recluse, il ne la touchait plus, elle avait besoin de quelqu’un pour se calmer…-Ne te justifie pas, tu fais bien, moi aussi, j’ai mes moments de relâche, avec mes copains, je sors souvent pour ça, en semaine, le samedi, on fait la fête…-Tu as un amant ?-Ils sont tous mes amants, c’est fini le temps de faire la cour, pour faire l’amour au fond de la voiture, les genoux dans le tableau de bord… Maintenant on baise dès le premier baiser, avec plusieurs hommes dans la même soirée et parfois avec des femmes, pour nous réveiller, vivre nos fantasmes, sans se poser de questions… Fais-le avec ton mec, baise à qui-mieux-mieux, prends ton pied, fais l’amour, sans autre pensée que vivre ta vie de femme, t’éclater avec lui s’il te fait bien jouir et avec d’autres si tu te sens en manque, c’est du plaisir, maman, vraiment, comme manger une glace… Goûte à la sodomie, aux femmes, apprends à séduire, à jouer de tes charmes, fais-toi des copains, des copines, envoyez-vous en l’air comme des messalines…-Tu exagères, je ne fais pas cela… Juste normalement, ton père et sa morale sont trop ancrés en moi… Moi je n’étais pas contre, il n’a jamais voulu essayer par l’arrière…-Maman devient vulgaire ?-Je sais être salope, m’habiller pour le faire, draguer partout en ville, et me faire lever pour aller à l’hôtel et baiser sans remord. Le faire cocu, m’en prendre plein la chatte avec son ancien collègue, le sucer à loisir, avaler son sperme, c’est mon plus grand plaisir… Mais c’est tout, le reste je n’ai jamais osé, ou dit oui, par peur de souffrir…Aujourd’hui, je lui ai donné rendez-vous, il connaissait l’adresse, ton père est à Londres toute la semaine. La première fois on était à l’hôtel, je n’étais pas tranquille, je suis partie sans rien faire. C’est la première fois qu’on se rencontre ici, c’était mieux, j’ai joui… Il est tendre, gentil, patient… C’est ma seule incartade… Les femmes je ne sais pas, c’est loin dans mon souvenir…-Les femmes c’est la douceur, la tendresse, on se lèche la chatte, on se masturbe ensemble, on se frotte, on jouit et on a encore envie, alors on recommence, on fait le tour de nos désirs secrets, puis parfois on prend un jouet pour compléter la chose et vibrer de concert… J’ai goûté à deux hommes, un devant, un derrière, c’est chaud, c’est magique, on jouit très fort, des instants idylliques… Si tu veux, tu es belle dans ta cinquantaine, tu plais j’en suis certaine, tes amants t’adoreront, je peux t’en présenter, te guider dans ce sexe, dans ces expériences, qui font peur aux novices, mais tu verras, quand tu prends ton pied, tu deviens une femme, une vraie, sûre d’elle, avec des griffes de lionne, sans jamais regretter… Papa est un menteur, tu es libre de ton corps, baise avec des loups, tu l’oublieras très vite… Pour ma part, je m’en fous, j’ai tracé mon chemin, et me suis mise en route, je travaille en septembre, je n’ai plus besoin de vous, juste de ta tendresse qui m’a beaucoup manqué…Elle pleure dans mes bras, elle regrette ses choix, mais n’est pas contre découvrir un autre monde, autre chose, une nouvelle la vie, elle aime faire l’amour, elle vient de jouir, c’était la première fois qu’elle se donnait à lui…Le week-end suivant je viens la voir, j’ai apporté mon portable, je lui montre ce que regardent les ados, les sites de rencontre, le monde d’internet, le bon, et le mauvais, elle en est horrifiée, découvre les gros plans, les sexes érigés, les positions prisées, d’autres encore plus intimes, délurées, des femmes entre elles, des couples, des orgies, des rapports en série, des cris, des râles d’un autre monde, qui ouvrent son esprit… Elle me pose des questions, elle a vu une bite énorme, impensable car de couleur noire, cela doit faire mal… J’explique patiemment, oui, j’ai connu ces plaisirs, il faut passer partout quand on découvre le sexe… La taille est un critère, mais le plus enivrant c’est comment on s’en sert. J’ai vécu des expériences où la taille n’était pas l’essentiel, l’homme doit savoir provoquer ton désir, t’amener à franchir chaque étape, t’accompagner jusqu’à cette extase, cet orgasme irréel, qui t’envahit les tripes du sexe jusqu’aux cheveux, et tu cries de plaisir, tu vibres de tout ton être, tu te vides la tête, accédant au bonheur d’un corps enfin libre…Ce soir elle est d’accord, rencontrer d’autres hommes, jeunes et moins jeunes… Avec güvenilir canlı bahis siteleri ce qu’elle vient de voir, elle a senti une certaine ambiance, que son ventre puritain demanderait connaître, un émoi différent que l’amour papa-maman, comme elle vient de le faire avec son amant, mais en plus libertin, voire plus coquin…Nous parlons chiffons, toilettes, sous-vêtements, esthétique, manucure, épilation du corps…Elle montre sa tonsure, je lui montre mon corps, rasé de pied en cap, juste une légère ombre sur un pubis de jeune femme sensuelle…-Tu es très jolie, ton corps est superbe… Le mien est distendu par mon accouchement, même avec ces années, plus quelques kilos en trop, des rides avec l’âge, qu’il faut dissimuler si je veux donner le change…-Maman, le but n’est pas que tu me ressembles, c’est rentrer dans la danse en offrant ce que tu as, ton désir de sexe, à des hommes là pour ça… Juste du sexe, pas de sentiment. Il te plait ? Tu te laisses faire, tu baises et puis basta, tu passes à la suite… Essaie au moins une fois, je ne serai pas loin, j’aurai un œil sur toi, tu ne risqueras rien, mes potes sont gentlemen, et il y a le choix, jeunes ou moins jeunes ils ne cherchent que ça…Je lui désigne sa chatte, galbée dans des dentelles, un soutif assorti, mon dieu, qu’elle est belle… Une robe courte, un peu évasée, serait un très bon choix… Un peu d’épilation ferait aussi l’affaire, nos amants aiment nos coins secrets, aiment le naturel d’un abricot sans poils… Nos aisselles rasées attirent moins les yeux, et nos cuisses lisses attirent leurs mains complices…Hélas, Papa n’aimait pas le vulgaire, le provoquant, l’imaginaire, juste le bienséant et le contractuel… Un tue-l’amour sans charme…Mais là, il faut oser, repousser les limites, montrer la marchandise pour choisir à son tour…Une heure plus tard on sort d’une boutique, avec 2 robes parfaites pour draguer, coquines et flashy, un haut un peu ouvert, des escarpins rouges, avec le maquillage rajeuni cela va les faire bander…L’esthéticienne la prend immédiatement, un coup de chance, on ne s’en prive pas, elle fait le nécessaire, une demi-heure plus tard, je ne la reconnais pas, pas une ride, pas un pli, un ventre de poupée, sa Sloggi la sublime, elle est à croquer, ce dont la jeune femme, ne se priverait pas, à voir ses yeux dans les siens…On se dirige vers le centre, à pieds, nous passons quelques bars, puis je me souviens d’un établissement discret, genre club privé, on m’en avait dit du bien il y a quelques années…Lorsqu’il nous aperçoit, la porte s’ouvre en grand…-Je ne vous connais pas, mais vous êtes les bienvenues, en vacances sans doute ?-Oui, pour quelques jours, nous aimerions nous distraire en toute sécurité, avec de la bonne musique, faire bouger nos corps, nous sentir en vacances, nous faire des amis…-Pas de soucis, désirez-vous un vestiaire, une table bien placée, de quoi commencer à vous hydrater ?-Oui, un vestiaire, et à boire, près de la piste mais pas trop en vue… Nous sommes timides, surtout au début…-Ne le soyez plus, vous êtes charmantes toutes les deux, et nos clients, sont des habitués qui aiment la musique, l’alcool millésimé, et les belles filles, ils vont vous adorer. S’il y a le moindre souci, je suis derrière le bar ou pas loin, venez vous plaindre, je veux que tout se passe bien… Ah, et aussi, nous faisons des cadeaux à nos meilleurs clientes, si elles se font offrir à boire… Vous me comprenez… De plus, je connais tout le monde, ou presque, il sera facile de trouver chaussures à vos pieds, dites ce que vous aimez, je serai à vos ordres…-Mon dieu, quelle aubaine, je me sens très flattée… Nous venons pour nous distraire et ne savons souvent pas nous arrêter… Vous nous mettez en confiance, je commence à adorer !-Suivez-moi, je vous accompagne chez vous…La lumière est avare, le temps de s’acclimater… Des couples dansent, de la house, du reggae, de la soul, un peu de tout…Le temps de nous remettre, de goûter nos cocktails, je pars sur la piste, elle me suit en riant…Elle fait sensation, elle a rajeuni de 15 ans… Elle se trémousse comme si elle n’avait jamais quitté le dancefloor…Quelques garçons viennent nous entourer, dansant avec nous, maman me sourit, elle ne pensait pas que ce soit si facile… Mais quand je la vois se trémousser, avec un beau garçon de 20 ans son ainé, faire quelques passes de rock avec l’un, puis avec un autre, mettant de l’ambiance, attirant quelques couples, des filles dénudées, sans complexe, qui tournent autour de nous, en se déhanchant devant nous, je suis emportée par l’ambiance et me mets à les imiter…Le DJ, regardant la scène sent l’ambiance monter, les hits se succèdent, les commandes pleuvent, les hommes s’excitent à nous regarder nous écheveler, la poitrine en délire, les fesses balancées, mimant rien de moins qu’un orgasme, qu’ils viennent partager…Quand la musique devient plus tendre, nous sommes prises d’assaut, des bras s’ouvrent devant nous, pas question de regagner nos places…Le mien a la trentaine, un peu plus grand que moi, un sourire enjôleur, des dents d’une blancheur qui attirent l’œil… Il se présente, Jo, animateur dans une radio locale, il aime les musiques et les jolies femmes qui mettent de l’ambiance, ici, c’est idéal… Il parle de son métier, de ce qu’il entreprend, orchestre, tournées, DVD, et TV… Plus tard si dieu le veut…Il me serre dans ses bras quand la chanson se fait douce, maman est comme moi, dans les bras d’un brun charmant qui lui parle en souriant, la draguant sans aucun doute…J’ai soif, envie de m’arrêter, besoin d’intimité et d’aller aux toilettes… Il me remercie pour ces quelques minutes, maman me poursuit, on entre dans les WC…-Alors, ça te plaît ?-C’est super, je m’amuse comme une folle, des années que je n’avais pas dansé comme ça, ton père préférait la télé. Ces musiques nous emportent dans des rythmes invitant aux voyages, au rêve, des ambiances délassantes, une envie de toujours… J’ai failli l’embrasser, tu as été plus rapide…-Tu aimerais sortir avec lui ? -Pas encore, juste flirter un peu, le temps de se connaître, pour voir si on s’entend…-Et si ça colle ?-Je me sentirai en sécurité si tu nous accompagnes avec ton soupirant… Ton danseur semblait très attiré par tes courbes, qu’il suivait de ses mains…-Cela me tente bien, mais je pense à toi… Cela te dérangerait si je rentre seule ?-Non, bien sûr… Tu penses à quoi ?-Te regarder, le surveiller…-Le partager aussi ?-Oh, on n’en est pas là, mais possible, se faire baiser toutes les deux, comme deux chiennes en chaleur… Mais je ne veux pas que ce soit tabou…-Oui, nous regardons l’autre, sans participer… On le dit que nous sommes mère et fille ?-Non, pas de scène prêtant à confusion et puis cela ne me tente pas… Te regarder danser dans des bras inconnus m’a ouvert l’appétit… Mais pas te toucher, tu es sacrée, moi aussi…-Je l’entends bien comme ça, comme frère et sœur…-Ouais, bien que mon frère, il ne se gênait pas pour entrer dans ma chambre ou dans la salle de bains et me reluquer, la bite à la main !-Non ?-Si… Ton protégé avait le sexe facile, un soir on a flirté, par jeu plus que par vice, et j’étais à deux doigts de lui ouvrir mes cuisses et le prendre en moi, tant j’en avais envie…-Oh, tu ne m’as rien dit…-C’était ma faute, je l’avais vampé, un peignoir mal fermé, juste après la douche, il n’en fallait pas plus pour le mettre en route… Je l’ai surpris plus tard, un dimanche, avec la voisine, la prenant au garage, sur l’établi, la robe ouverte, les seins pendants, la chatte en folie, il la faisait jouir, ils ne pouvaient entendre, elle gueulait son délire, jusqu’à se faire prendre… Ils se sont embrassés longuement, je me suis éclipsée… -Marielle ? L’ancienne femme de Robert ?-Oui, et ça ne m’étonne pas que le couple explose peu après… Il la faisait cocue, c’était de notoriété, alors elle se vengeait, mon frère était beau, sain, sportif, elle devait se régaler…-Je suis folle…-Pourquoi ?-J’ai envie de faire l’amour ce soir… Pour me venger moi aussi, je pensais qu’elle était la maîtresse de ton père…-Oh, ça n’empêche rien, tel père, tel fils… Cougar sans doute, elle a plaqué son mari et ses amants d’un coup…Maman se fraie un passage jusqu’à la table, nous reprenons nos boissons préférées, écoutant la musique, nos jupes relevées…Mon danseur m’invite de nouveau, je lui dis que nous avons très chaud et qu’il peut s’assoir le temps qu’on récupère et que l’on se rafraichisse d’un bon verre…Celui de maman a compris et s’invite à partager notre table, et sa bouteille de whisky. Je pense que les deux se connaissent…Je ne peux résister à un slow démoniaque, maman se laisse emporter dans les bras accueillants… Il cherche à m’embrasser, j’use de subterfuges, je lui dis franchement que je surveille ma cousine, elle n’a pas l’habitude de boire comme ça…Maman va se rassoir, et je les vois se pencher l’un vers l’autre, elle flirte avec lui, en échangeant caresses et baisers…-Vous voyez, elle a craqué, manque plus que nous…Je ne peux décemment, les déranger… Je réfléchis, allez, il est gentil… Son baiser est très tendre, ses mains entreprenantes, on est ici pour ça, mes seins sont en émoi, adorent les visites, je vais craquer si je n’y mets bon ordre…Je freine ses ardeurs, reprends un air moqueur, il me fait rire, maman me fait un signe…Je coupe son exploration méticuleuse et discrète de mon soutien-gorge, et l’entraîne à notre table…-Voici mon amie et son copain, voici mon danseur Samuel, qui me fait rire avec ses blagues coquines…-Bonsoir Samuel, moi je suis Annie, une collègue de travail de Coco, nous sommes sorties pour nous amuser ce soir, et vous aussi, je crois ?-Oui, exact, nous cherchions une âme sœur, et nous voilà réunis tous les quatre !… Moi c’est Andy, Annie güvenilir illegal bahis siteleri me plaît beaucoup et comme c’est réciproque, on va continuer à faire connaissance dans un endroit plus calme…-Ma villa n’est pas loin, au calme, nous serons bien si cela vous agrée…-Si tout le monde est d’accord, nous sommes venues avec ma voiture, je vous emmène, vous en avez une aussi ?-Oui…-Et moi aussi, on vous suit…-Il n’y a pas de soucis de stationnement, je suis dans une impasse, avec de la place…-Bof, finalement, si tu me ramènes après, je veux bien vous accompagner, je suis bien garé ici…-Alors moi aussi, au diable, je prends le risque de monter avec une blonde…Il monte derrière moi, et maman aussi, laissant la place de devant à mon amoureux…Le temps de démarrer, de prendre la route, maman, a disparu de mon rétroviseur, penchée sur son voisin, aucun doute, elle attaque bille en tête… Mon voisin me sourit, il a vite compris, je glisse une main vers lui et trouve sa braguette…Je conduis doucement, sans changer de vitesse, la route est droite, je savoure son engin, qui prend toute ma main…On entend des soupirs, j’arrive à me tourner, sa main est dans ma chatte, j’ai hâte d’arriver…Voilà, on tourne à droite, on monte jusqu’au bout, on tourne dans l’impasse, arrêt de l’auto !…Je descends la première, on suit notre guide… Annie, ma cousine, ce n’est pas banal, vient de sucer son danseur…Elle nous fait rentrer au salon directement, se charge des boissons, coca, whisky, bières, jus de fruits, vodka, eau plate…Elle nous sert et met de la musique, maman se lève pour danser, nous suivons ses désirs, la lumière s’éteint, il m’embrasse aussitôt, recréant l’ambiance de la boîte, ses mains virevoltent, cette fois c’est la bonne, il tâte aveuglément, me serre dans ses bras, je ressens son émoi, je libère ma poitrine, regarde ma voisine, qui est dans le même état, poitrine dénudée, robe échancrée… Elle retire tout ça, puis s’assied dans le canapé, désirable et offerte, invitant son ami à goûter son calice…Je sens ma chatte manifester son désir à mon tour, et nous faisons comme eux, dans l’autre coin discret, je suce son engin…J’avais vu juste, il devient énorme entre mes lèvres et dans ma gorge, il prend toute sa forme… Sa main dans ma culotte, découvre ma grotte, je lui ouvre la porte, il veut la savourer… On se met tête-bêche, on commence le jeu, nos soupirs se confondent avec ceux des voisins, de soupirs en râles, l’ambiance monte, je le suce longuement, il tourne mon bourgeon, je me retiens un peu, mais la caresse met le feu, je me donne…Il a entré un doigt, je suis en plein délire, quand un autre le rejoint, je ne réponds plus de rien, et mes cuisses s’écartent, mes râles retentissent, je lui montre que j’aime, alors il me prend en levrette, son dard droit dans ma chatte commence ses va-et-vient…J’aperçois maman, dans l’obscurité c’est dur de tout voir avec précision, on doit imaginer… Mais dans sa position, cuisses écartées, son ami qui la prend, au rythme des soupirs, les seins qui ondulent, et les râles qui arrivent… Je suis en retard…Samuel me lutine, son sexe semble se plaire, planter et replanter, je sens ses doigts venir m’exciter, entrer dans mon vagin et m’accompagner… Ensuite ce sont les seins qu’il vient masser, me rendant folle, je jouis amplement, délire mon orgasme, maman en est au sien, nos gémissements se croisent, nos amants se déchaînent emportés par l’ambiance et cette mixité qui les rend acharnés… Par de grands coups de reins, il vient de se faire jouir, je sens sa semence éclater dans mon ventre, réchauffer, exploser, il retombe sur moi, cherchant à m’embrasser…Du côté de maman, je n’ai que le silence, épuisée par l’effort, je m’endors dans ses bras…La nuit est sombre, la pièce est vide, maman et son ami sont partis dans la chambre…Quelques minutes de repos nous ont ragaillardis…J’entre dans la salle bains, maman prend une douche, j’aperçois son minou, elle ne m’a vue entrer… Elle continue sa toilette intime, à grand jet puissant, sur sa vulve écarlate, qu’elle ouvre entièrement…Elle est super gaulée, elle s’est rasée, la belle esthéticienne a fait du bon travail…Elle surprend mon regard, sursaute, puis sourit…-J’ai fait ce qu’il fallait, autant être moderne. Il a aimé ma chatte, à en perdre sa langue, mais j’aime aussi ses doigts, un pianiste émérite qui me fait du solfège et joue sur mon clavier… -Tu t’es donnée bien vite…-J’étais en manque, j’avais envie, et je ne sais pas trop freiner ma libido…-Oh, il faut que tu t’entraînes, peut-être avec des jouets, ils sont là pour calmer les désirs insondables des ventres des femmes…-Tu le fais ?-Oui, mais je me calme seule, c’est plus tactile, et efficace, certes, cela n’a pas la profondeur, ni ne remplace l’appareil génital d’un amant…-Tu es délicieuse avec tes mots choisis, j’ai aimé notre sortie, ta liberté d’expression, de comportement, tu es comme une amie de mon âge, tu me soutiens, tu me comprends, m’aides, et grâce à toi je viens de faire l’amour avec un nouvel amant… J’ai vu les étoiles, d’un rapport sexuel efficace et tendre, profond et sincère, et cette passion qui envahit mon corps qui me pousse à le refaire, jusqu’à épuisement… Orgasme sur orgasme, il m’a prise par derrière, ça l’a achevé, il dort et ronfle comme un tracteur… Et moi j’ai adoré, ressentir son membre dans mes endroits secrets, ce plaisir immoral, devient mon quotidien, j’aime tout ce qu’il m’a fait, et je veux le refaire toute la journée…-Eh bien, tu es accro, il ne va pas résister…-Je me sens en friche, j’étais abandonnée, je découvre des possibilités immenses, de la jouissance, qui vient nourrir mes rêves, refaire ma vie, avec un amant attitré, peut-être vivre avec lui, vivre enfin ma vie de femme, libérer mes pulsions, connaître enfin le sexe, le faire avec passion, sans limite, sans complexe, me faire d’autres amis…-Tu veux que l’on échange ? Sam est performant, l’échange dans ce cas, sert la libido des hommes, fantasme avoué, deux femmes dans leur lit…-Ensemble ?-Non, une entrée en matière seulement, juste je te présente, et dès qu’il est en forme, je m’éclipse et te laisse…Il est étendu sur le canapé… Il ouvre un œil conscient de sa nudité, et voit au-dessus deux nymphes dénudées…-Mais, oui… Je…-Chut, laisse-toi réveiller, on va s’en occuper…Son membre se redresse sous mes doigts, je me suis assise contre lui, maman, de l’autre côté, il n’ose la regarder…J’invite maman à partager le sexe et nos mains se chevauchent, il grandit à vue d’œil, et redevient énorme, comme quand je l’ai sucé…Quand maman se penche ses seins se penchent aussi, alors les mains de Sam viennent les honorer…La caresse la berce et allume le gaz, elle ressent déjà les effets du désir, le membre étant à point, pourquoi donc attendre ?J’invite alors maman à venir contre lui, se mettre à sa portée, en partageant ses charmes…Elle le suce doucement, tendrement, je ressens ce désir, cette complicité, je commence à couler, et elle aussi sans doute…Je l’aide à s’installer, position idéale, l’amazone affamée, prête à le croquer…Ecartelée, superbe, je l’accompagne du regard, elle se laisse descendre, en prenant son engin, elle pousse un petit cri quand le gland la franchit, elle en a tellement envie, qu’elle ne peut attendre, et se pourfend de cette queue immense, qui investit son fourreau en geignant son plaisir…La suite est évidente, une vraie cavalcade, elle se prend avec fougue, il la tient par les hanches, caresse ses mamelons, l’accompagne dans son acte, elle ondule et tremble, laissant venir l’orgasme, elle jouit devant moi, presque hystérique… J’ai deux doigts dans ma chatte et je me fais du bien, en regardant le couple atteindre des sommets… Je jouis doucement, elle me regarde, et me laisse sa place, j’en profite sans réfléchir, me transperce de son dard, pousse des cris aigus, j’ai un nouvel orgasme, je pleure de plaisir…On change de position, maman lui offre sa chatte assise sur son visage, Sam est comblé, il va se libérer, j’échange ma place avec maman, elle s’écartèle, il la prend en hussard, en jouissant en elle…Que de sexe… Que de plaisir… Libertin certes, mais avec les formes, jamais je n’ai goûté aux secrets de ma mère, juste partagé, la regarder s’ouvrir, et puis je suis partie, les laissant enlacés, pour un nouveau combat, j’ai entendu maman délirer son plaisir, débiter des paroles, vivre sa libido…Il m’a prise avec tact, doucement, me portant tendrement, je me suis laissé faire. Quand j’ai senti son sexe, je me suis activée, il m’a pénétrée, m’a fait grimper aux arbres avec tant de douceur que j’ai voulu lui donner la totalité de mes faveurs, feulant comme une chatte, quand il a pris mon cul….Il a éjaculé, me remplissant de sperme, que mon trou béant s’est mis à rejeter, il est allé quérir une lingette pour me venir à l’aide, je l’ai tant embrassé, qu’on a recommencé…Maman se reposait, dans les bras de Andy, elle nous est apparue, apportant des boissons…Puis elle est repartie, sans un mot, juste merci…Sam était rêveur, il reluquait ses formes, alors je l’ai prié de finir e beauté… Maman aime le sexe, il faut lui en donner, deux hommes avec elle serait un vrai sommet, dans cette découverte…Sam m’obéit, je le suis…Elle est belle, dans les bras de son mec, son abricot doré caressé par le mâle, négligemment ouvert, par des doigts très joueurs…Elle ressent la caresse, s’abandonne à ce bonheur, puis nous voit, joueuse, elle ajoute sa voix, lançant des vocalises, pour mieux nous exciter… Ma chatte s’en émeut, je pousse un peu le jeu, je fais signe à Andy, d’investir ma mère et de la partager avec mon ami, pour donner le coup de grâce, de cette petite orgie…Maman n’étant pas née d’hier, me sourit en passant sa langue sur ses lèvres… güvenilir bahis şirketleri Elle se laisse faire, puis sodomisée, en y mettant les formes, et savourant l’entrée, puis accueillant le sexe au fond de son derrière, en criant de plaisir, jusqu’à la garde… Sa chatte grande ouverte, n’attend que l’autre sexe… Alors Sam s’aventure et la prend par devant, avec une facilité, tant elle est mouillée, ouverte, consentante, elle appelle les hommes à la faire jouir et livre une partition que je ne peux qu’entendre, je ne veux pas paraître une dérangée du sexe….-Oh, oui, mes amants de passage, prenez-moi tous les deux et faites-moi jouir, j’ai envie de connaître cette prise de concert, deux bites ensemble, je ressens ce plaisir… Allez, c’est ma première fois, emportez-moi dans les sommets du sexe, faites de moi votre putain du roi, oui, branlez-moi en même temps, je vais jouir je crois, oh, oui je sens l’orgasme… Oui ! Encore ! Donnez-moi votre sperme, déchargez, jouissez, videz donc vos vos couilles, mon mari m’a trompé, je me venge avec un duo, deux hommes bien montés qui me font monter au ciel, en me baisant à fond…Je les vois s’activer, chacun son orifice, à grands coups de bites ils explosent de plaisir, elle est malmenée, renversée, ses seins battent la chamade, elle jouit aussi, et moi je me masturbe, trois doigts dans mon vagin, un autre dans mon cul…On se libère ensemble, rugissant nos délires, je rejoins Samuel qui arrive à me prendre, je le suce avec fougue, lèche les quelques gouttes, je me fais exploser ! Andy vient me finir et je sens me prendre, chacun d’un côté, leurs sexes entrent en moi, le plaisir est immense, je ne crois pas le faire et pourtant je jouis, ils ont rebandé et me prennent en duo, comme avec ma mère, et ce jusqu’à l’orgasme que je ne maîtrise plus…Bien plantée par les deux sexes, ivre de caresse, les deux hommes me caressent, Sam suce mes seins, Andy lèche ma chatte…Mon dieu mais quel bonheur que de se faire prendre par deux hommes qui cherchent le plaisir de la femme, sans vulgarité, juste un délice, je suis sur mon nuage, et maman me regarde, perdue dans ses pensées…Ils partent vers 07h00, maman les accompagne, elle revient une heure plus tard, décoiffée, la robe déboutonnée…-Ils m’ont caressée dans une voiture de luxe, ils sont déconcertants, au fait ils t’embrassent, voici leurs portables, je suis exténuée… Je ne l’ai plus revue d’un moment, prise par mon travail, une collection nouvelle m’accaparait, de nouveaux clients à choyer, etc…Je restais ainsi quelques semaines en jachère…Me contentant de quelques visites manuelles à ma source, et d’images à sensations sur mon site préféré…Je passais chez maman, bien qu’ayant téléphoné plusieurs fois pour prendre de ses nouvelles. Mais comme souvent pour les gens de l’âge, le téléphone n’est pas son confident…Elle a fait à dîner, nous mangeons de bon appétit et elle me raconte ces dernières semaines…Après notre envol, surtout le sien, vers les sommets érotiques du monde du plaisir, elle comprit un peu tard qu’elle avait raté beaucoup de choses avec un mari qui la délaissait, ne communiquait plus sur ses problèmes intimes, ses besoins…La société et les mœurs avaient évolué depuis leur mariage, nombre de leurs amis s’étaient mis à la page, sans les y convier… Elle comprit ainsi certaines attitudes, des demandes masquées, des allusions diffuses… Tant pis… En particulier, elle se souvenait d’un anniversaire, où une des invités, qu’elle connaissait bien, avait fait un pas vers elle, lui tendant une perche, qu’elle avait refusé…. -C’était un soir d’été… Un barbecue avec nos proches et quelques amis, nous étions une trentaine depuis midi… Jeux de boules, piscine, la journée avait été très festive et nous prenions le frais dans le jardin, en maillot de bain, nous bavardions sur les hommes avec mes amies Lola et Julie et mon neveu de Nîmes, ton père servait à boire… Les enfants jouaient dans la maison, certains étaient couchés…Parfois on entendait un plouf et quelques éclaboussures venaient nous rafraîchir…Je parlais avec Julie, une amie de longue date, nous nous sommes retrouvées dans le fond du jardin, discutant sans faire attention… Là elle s’est mise à me prendre par la main, me regarder de façon insistante, sa bouche s’avançait… J’étais tétanisée… Elle me disait que j’étais belle en maillot, que maintenant la vie offrait plus de distractions, de liberté de mœurs, que quand on était jeunes… J’évitais adroitement le contact de ses lèvres et la serrais contre moi, mes seins contre les siens… Je ressentis sa chaleur, elle caressait mon ventre…Elle m’avoua à l’oreille, qu’elle trompait son mari, qu’ils le faisaient ensemble depuis quelques temps, avec d’autres amis, et que si je voulais, avec ou sans ton père, je pourrais les rejoindre, une expérience intime… Elle me parla de ses ressentis, de sa sexualité qui avait décuplé, une façon agréable d’améliorer son couple, que je devais essayer aussi, surtout avec des femmes, c’était du pur plaisir… Sa main se faufilait, je ne voulais pas faire d’esclandre, surtout qu’au fond de moi…Je mis les choses au point car avec ton père… Elle en fut déçue, j’étais au bord des larmes… Elle me serra contre elle, me comprenant… J’étais victime consentante, comme elle, avant… Un baiser dans mon cou m’électrisa, j’en ressentais les effets partout, en regagnant la villa…J’ai regretté, j’aurais dû accepter une fois, et y aller sans lui…Surtout pour cette nuit-là, elle était très jolie et tendre à la fois, j’avais été à deux doigts, de lui rendre ce baiser délicat…Je n’en ai pas dormi, mais ne le lui ai rien dit…Maman est comme ça, entière, pleine de charme, sentimentale, fidèle, jusqu’à ce qu’il la délaisse…Un jour, elle rencontra Julie en ville…C’était il y a quelques semaines…Julie vit à sa mine que ce n’était pas la joie…Elle parla de son couple, de son mari volage, elle n’avait plus de doute…Julie avait du tact… Elle l’invita à en parler dans un bar, elle avait l’expérience, elle avait divorcé une fois, elle était très jeune, mais les choses sont très claires… -Il faut repartir, et vite… Réagir est essentiel dans ces moments de doute, sinon, tu vas te perdre… -Tu es belle, et tu verras, tu renaîtras comme un Phénix, je suis passée par là !… Seconde vie, second choix, elle était persuasive…Maman l’invita à déjeuner chez elle… Cela la semaine passée… Julie accepta avec joie…Elle repensa à cet anniversaire et ce petit coin discret, dont elle apercevait le sentier… Elle lui en parla… Maman ne pouvait plus…-Tu sais, j’ai regretté de t’avoir laissée partir sans te rendre ce baiser si tendre…-Il n’est jamais trop tard…Elles se retrouvèrent au même endroit, quelques années en arrière et ce qui aurait pu se passer il y a des années arriva…Le baiser fut brûlant et maman sentit cet émoi pour son amie, cette tendresse, ce non-dit qui venait l’interpeler, elle caressa son corps chaud, elle eut envie d’elle sans remord, sans calcul, maintenant qu’elle était libre, libertine, grâce à moi…Elles regagnèrent le salon, et ce fut l’apothéose…Julie mena la danse un long moment, déshabillant son amie, profitant de son inexpérience pour prendre le dessus, la mettre nue et gagner sa chambre…Les lèvres de Julie glissaient sur la peau tendre et blanche et maman devint folle ressentant le désir pour un corps de femme, se glissant entre ses cuisses et goûtant son sexe, ce nectar qui s’insinuait entre ses lèvres, au même titre que la langue qui commençait à la faire délirer…Cuisses ouvertes, Julie s’offrait à elle, la guidant parfois, lui montrant ses seins sensibles que le moindre contact de sa langue suffisait à animer, et Julie jouissait sans feindre, sans se retenir… Maman connut alors le partage, s’offrit aussitôt, sentit les doigts venir masturber son clito et l’emmener dans un monde lesbien, fait de touches de couleurs différentes, comme un tableau et elle se délecta dans ce premier contact, jouit pleinement comme avec son amant. Julie l’accompagna dans cette découverte, elles jouirent longuement, revenant goûter aux lèvres de miel, à la soie des cheveux, aux mains douces et tendres qui berçaient sa poitrine, massaient ses tétons, et la faisaient gémir en griffant les draps…Maman était comblée, elle pleurait presque d’avoir raté cela, elle en voulut encore, Julie resta…Toute la nuit elles firent l’amour sans complexe, maman était aux anges, elle apprécia un soixante-neuf expert, découvrit ce sexe de très près, les couleurs, les senteurs, les sucs qui en coulaient, et les expressions de jouissance qu’elle faisait naître, en exprimant les siennes…Elle aima l’échange de tendresse, ces postures indécentes, enchevêtrées, caressantes, cherchant le plaisir dans les endroits secrets, puis se déchaînant en caresses ultimes, amenant de la folie dans leurs rapports intimes…Petit à petit, maman devenait lesbienne, sans s’en apercevoir, juste en le faisant, trouvant son point G, provoquant plusieurs orgasmes, qui libéraient Julie comme dans ses soirées…Là, c’était son amie, dont elle avait rêvé, depuis tout ce temps, et maintenant elle jouissait d’elle, c’était un pur bonheur qu’elle tenait entre ses doigts…Au matin, maman comprit qu’il s’était passé quelque chose…Elle souriait bêtement, préparant le café dans ce déshabillé en dentelles acheté pour son premier amant… Julie la suivait des yeux…Quand maman me téléphona, le lendemain et qu’elle me raconta cette soirée, ses sentiments, elle était enjouée, comme sur une autre planète au point de lui demander si elle n’avait rien pris…Mais non, elle était fidèle à son image… Elle m’annonça qu’elle allait vivre avec Julie. Elles habiteraient chez maman, me prévenant ainsi de ce changement soudain de sexualité…Elle ajouta que Julie aimait le partage, ce qui devrait aboutir à pas mal d’expériences destinées à améliorer encore la sexualité de maman…Je sais maintenant que je tiens d’elle et que mes besoins de sexe ne sont pas maladifs, je suis jeune et normale, surtout sans morale depuis que Julie a croisé mon regard…Maman coquine ? Moi aussi !FINMarika842010mars 2019

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Pauline, lesbienne mais pas que !!! chap 4

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Pauline, lesbienne mais pas que !!! chap 4Cela fait maintenant 3 mois que je suis la petite pute du père de ma petite amie, nous restons toujours discrets même si il est arrivée qu’on à faillient se faire surprendre par sandra, ma petite amie ainsi que sa mère, le père de sandra continua de me baisé fréquemment, ainsi que son oncle, et d’autres personnes dont je ne connais pas l’identités car j’ai les yeux bandé lors de ses soirées. il me demandais d’aller toujours un peu plus loin, me promenée vêtue juste d’une veste et de ne rien portée en dessous et de m’exhibée a des inconnues, taillée des pipes à des mec pour de l’argent, de me faire remplir par des inconnues sans capotes ni de pilules, participée à des gang bang, chauffée des hommes ou des femmes en publique, ect …Vendredi soir, je dort chez sandra et elle m’annonce une bonne nouvelle, ses parent et elle m’invitent tout le weekend au bord de la mer, moi qui suis plutôt timide et qui à du mal a quitter son chez soit, j’était très heureuse de pouvoir allée à la plage avec ma petite amie, bien sur j’ai eue le droit a un petit clin d’œil de la part du père de sandra.une fois dans la cuisine, j’était en train de chercher quelques choses à grignotés dans le frigo pour moi et sandra, puis il s’approcha derrière moi et me susurra :”alors ma p’tite pute! t’es contente du beau cadeau que papa te fait! c’est une p’tite récompense, tu a été une bonne petite chienne, et sa va te permettre de bronzer un peu se gros cul tout blanc, tu va d’ailleurs portée une jolie petite tenu que j’ai acheté rien que pour toi! j’ai déjà hâte d’y être!” il m’embrassa dans le cou et me plota légèrement mes seins en dessous de mon t-shirts. je remontais voir sandra dans sa chambre, nous avons passées la soirée à regardées des film ainsi qu’à nous collée l’une à l’autres.Le lendemain matin je me réveille, un peu fatiguée mais très excitée, la mère de sandra m’emmena chez moi pour que je prenne quelques affaires pour passée le weekend, une fois que nous avons tout mis en place nous sommes parties, la route était longue, sa faisait déjà 4 bonnes heurs qu’on roulent, sandra était assise à cotée de moi, elle dormais depuis quelques minutes, le père de sandra n’arrêtais pas de me fixé dans le retro, il en bavais déjà d’avance.de temps en temps, je recevais un message sur mon portable, c’était les texto du père de sandra, il prétextait que c’était pour le travaille. le premier message disais:”écarte les cuisse ma p’tite salope que je puisse voir ta p’tite chatte” j’était en jupe hyper courte, je m’exécuta et ouvrit en grand mes cuisses, je pouvais voir que sa le rendais fou, je ne l’avais pas prévenue mais je me suis fait poser un piercing au clito, et vu son regard, sa la pas mal exciter. je reçois un autre message:”écarte t’a chatte sale chienne! montre mieux que sa!” j’écarta ma petite chatte, montrant le bijoux sur mon petit clito.il respirais fort, je sentais que si il le pouvais, il me prendrais directe sur place, il s’empressa de reprendre son téléphone :”j’en peu plus je suis au bord de l’explosion, pas le choix je vais devoir m’arrêter, prépare ta bouche de p’tite pute suceuse!”en effet on s’arrêta sur une aire d’autoroute, pendant que sandra et sa mère fit quelque petite collation, il empressa le pas et m’emmena dans les bois, une fois derrière les arbres, il me plaqua contre un arbre, posent ma main sur son pantalon:”mmmmh touche! tu sent comme ma bite te réclame! elle n’en peu plus, elle veux jouir! elle veux que tu prenne tout son foutre dans ta petite bouche de p’tite pute!” il posa ses mains sur mes épaules et me mis a genoux, je baissais sa braguette comme a l’habitude, je pouvais voir la bosse sur son pantalon, il devais souffrir tellement sa bite était compresser, je sortit son membre, sa bite pulsait entre mes mains, elle était brulante, j’ouvrit la bouche et approcha ma langue sur son gland, je tournais ma langue autour de son gland dans le sens des aiguilles d’une montre , je léchais ainsi tout son membre, de son gland a ses couilles, il tenais a peine debout tellement il avait envie de jouir, je refermais mes douces lèvres et aspira son gland dans ma bouche, je pris ses main et les posa sur ma tète, il avança lentement, il fit entrer doucement toute sa bite au fond de ma gorge, il y allait doucement , il prenais son temps, puis il accéléra les vas et vient, il me baisais la bouche, il me la mettais toujours au fond de la gorge, il savait que je kiffais sa autant que lui.”mmmmmh bonne petite pute tien prend tout dans la bouche mais n’avale pas ! nnnnnnnghh!!!!” il mit son gland en position dans ma bouche, sur ma langue et il déversa tout son foutre dans ma bouche, mmmmmh il y en avait tellement, j’adore sentir les pulsions de son pouls dans sa queue et les saccades de foutre me tapées le palais, je suçais les dernière gouttes de foutre coincé dans sa queue.”pffffiiiiou illegal bahis mmmmmh bonne petite pute <3 ouvre en grand pour papa <3" avec un petit sourire , j'ouvrit en grand ma bouche, elle était pleine a ras bord de bon foutre chaud, épais et bien frais."mmmmmh n'avale surtout pas! je veux que tu fasse quelque chose!" il m'explique qu'il a un fantasme depuis quelques jours, que je fasse gouttée son sperme a sa fille, d'un signe de la tète je lui fait comprendre que je suis partente, on sort de la foret, on se rapproche ainsi de la voiture, il alla chercher un milkshake et me le donna, je regardais sandra en faisant semblent de boire a la paille, je m'approcha d'elle fit semblant de prendre une grande gorgée, j'enlaçais mes bras autour de son cou et l'embrassa à pleine bouche, je lui enfourna ma langue et une grande partit du foutre dans sa bouche, je sentais qu'elle était étonnée du gout et de la texture, mais au fur et a mesure qu'on s'embrassais, elle poussait de petit gémissement, elle était parcouru de petits frissons de plaisir ,nos langue s'enlaçais mélangent le sperme épais dans nos bouche, elle en avalais en petite gorgée,à chaque fois qu'elle en avalait, je sentait le frisson du plaisir m'envahir, Jai pu à peine réussir à en avaler une gorgée, elle avait tout avalée, quand nos bouche se sépara, elle me demanda qu'elle gout c'était, je lui dit alors que c'était un milkshake au lait d'amande, je savais qu'elle n'avait jamais goutter donc elle me cru, elle me dit que je pouvait recommencer quand je le voulait et quelle avait grave kiffer. si seulement elle savait se qu'elle venais d'avaler, elle me donna un dernier baiser et nous nous préparions à manger un morceau tous ensemble, quand mon regard se tourna vers le père de Sandra, celui ci était plus que satisfait, je pouvais déjà voir qu'il était à nouveau déjà tout dur.Nous avons repris la route, et nous sommes enfin arrivées au bord de la mer, j'ai adorée sentir les vents marin me caresser la joues, sentir l'odeur de la plage et de la mer, le soleil me réchauffer, nous avons déposer nos bagage dans le mobile home que les parent de sandra on louée et nous avons directement filer au bord de la plage, il y avait des tentes pour pouvoir se changer, une fois installer dans une tente , j'entend le père de sandra m'appeler derrière la tente, il fit glisser la tenue qu'il voulait que je mette, il m'a pris un bikini qui ne cachais absolument rien , juste de quoi cacher mes téton et un bout de ma chatte mais rien de plus, que du fil. en sortent je vis le regard de sandra, elle n'était pas choquer, mais elle ne s'attendais pas à sa, elle et sa mère me fit la réflexion que sa m'allais plutôt bien même si c'était un peu osée, une fois tout le monde changées,  le père de sandra faisait exprès de chercher un emplacement pour qu'on puisse se poser, je défilais devant des centaine de yeux qui scrutais chaque millimètre de ma peau, une fois l'emplacement trouver on ses directement poser, en me penchant pour poser ma serviette , mon cul ces écarté, dévoilent le fil de tissu qui rentrait dans ma moule luisante ainsi que mon plug anal qui me rentrais encore plus profondément avec la ficelle, les gens était en extase, tout le monde s'arrêtait pour voir le spectacle, se qui n'a pas trop plus a sandra ni a sa mère.on rester a bronzer, avec le voyage nous étions très fatiguer, on faisaient tous une sieste quand je sentais une main me caresser le dos, quand j'ouvrit les yeux , le père de sandra me regardais, il me caressais le dos le sourire au lèvre, il me fait signe de le suivre sans bruit, il écrit un petit mot à sa femme au cas ou celle ci se réveille et nous cherche, sur le chemin, il m'explique qu'il n'a pas choisi cette plage au hasard, il y a une crique plus loin, il m'explique qu'il connais la crique car son collègue avais emmener sa jeune stagiaire de 18 ans dans cette crique pour la déflorée tranquille, que son collègue vient souvent ici pour baisée ou déflorée les jeunes stagiaires car il n'y a pas grand mondes qui connais l'emplacement, en rigolant il me dit que  plus d'une des stagiaire sont devenue la pute de son collègue et qu'il en foutu plusieurs en cloque dans cette crique.pendant qu'on marchais pour trouvées la fameuse crique, le père de sandra avait envie de s'amusé, on s'arrêtais régulièrement devants les gens, me placent de dos et d'une main écartais mon gros cul dévoilent ma chatte et mon plug, je n'est pas mis longtemps avant que ma chatte ne mouille comme une folle, se qui lui a facilité l'entré de ses doigts dans ma chatte devant tout le monde, il tirais aussi sur mon bikini pour que mes seins se libère devant les gens, ou que la ficelle passe sur le coté pour dévoilée ma chatte en chaleur. on se faisait souvent arrêter pour savoir si des plan a plusieurs nous intéressait, mais il n'en avait pas envie, il avait juste envie de joué illegal bahis siteleri avec les gens et surtout de joué avec moi.effectivement, une fois arriver à la crique il n’y avais personne, l’eau était assez bruyante, une belle plage de sable fin rien qu’a nous, il me pris la main et nous nous somme mis a regarder si il n’y avais personnes a l’horizon, une fois confirmer, il posa une serviette sur le sable:”aller allonge toi sur le dos, j’ai envie de te passer de l’huile de massage sur le corps.” je me fit pas priée, je m’allonge sur la serviette, il commença à déposer de l’huile sur mon ventre, sur mes seins, sur ma chatte, sur mes cuisse, il en étalais partout, il insistais bien sur mes seins, mes téton était très sensible, il retira aussi les tissu de mon bikini pour mieux masser mes seins, il pressais mes téton délicatement, puis déplaça ses mains sur mon ventre, ensuite sur ma chatte, il me massais délicatement le clito du bout des doigts, puis me massa les cuisses, le temps s’emblais suspendu.”aller retourne toi, j’attaque l’autre coté”  une fois retournée il mis beaucoup d’huile, dans le dos, ainsi que sur mon gros cul, il massais divinement bien les épaules, c’est la première fois qu’il est aussi doux et tendre, je ressentais des petit frisson de plaisir, puis il retira la ficelle de mon cul, et commença un massage fort agréable de mon cul, il les pressaient , il les caressaient, il engouffra sa main entre mes cuisse pour que son index frotte mon clito, je gémissais de plaisir, puis il fit glisser lentement son majeur dans ma chatte, bien quelle était déjà glissent, l’huile la rendais encore plus glissent et surtout plus agréable, le plaisir montait en moi, je gémissais encore plus fort, il retira mon plug de mon cul, il mis un peu d’huile sur mon anus et glissa aussitôt mon plug dans mon cul, il est rentrée aussitôt, avec son majeur il me doigtais la chatte et avec son pouce il poussait sur mon plug, j’en pouvais plus, le plaisir était trop fort, je suis au bord de l’orgasme.”mmmmmh tu est tellement belle ma p’tite pute quand tu est au bord de l’orgasme <3 j'espère que tu apprécies se petit massage, c'est ta récompense pour avoir réussi a faire boire mon sperme a ma fille. mais papa à envie de te masser en profondeur maintenant <3 aller écarte ton cul de p'tite chienne en chaleur pour ton papa<3" à ses mots, je me mis en levrette, ,j'écarte bien les jambes et avec une main j'écarte mon cul, j'halète de plaisir, je n'est qu'une envie c'est qu'il me baise violement, qu'il me démonte, qu'il me fasse hurlée."ton cul est magnifique ma p'tite pute, il est bien luisant et ta chatte mmmmmmh je peu pas me retenir faut que je goutte a ton jus!" il écarta lui même mon cul, et y engouffra sa tète, il me léchais avec insistance, il me dévorais littéralement, je sentait ma mouille couler, je me rapprochais encore un peu plus de l'orgasme a chaque coup de langue."mmmmmh trop bon <3 aller penche bien ton cul de grosse chienne<3" il posa son gland contre ma chatte, il faisait glisser sa queue contre mes lèvre, son gland bouillant frottais contre mon clito, puis il le mis a l'entrée de ma chatte, il attrapa mes hanche et me donna son plus puissant coup de rein, le mélange de l'huile et de ma mouille le fit glissé en une seul fois jusqu'au fond, je jouis à l'instant même ou sa queue a tapé au fond de ma chatte, j'ai hurlée de plaisir, ma chatte se contractais et le serrais comme un étau en moi,il resta comme sa au plus profond de moi pendant quelques secondes."aaaaaaaaaaaah juste parfait <3 mmmmmmh j'adore te la coller bien au fond comme la pute que tu est <3 quand je pense que tu disais lesbienne mmmmmmh alors que non, tu est juste une pute refouler en manque de bite bien juteuse<3 tu ne demande que sa qu'on te la mette bien profond et qu'on te remplisse de bon foutre bien chaud<3 dit le ! crie le ! dit à papa ce que tu veux sale pute en manque de bite!" bien que sa bite soit renté jusqu'au couille dans ma chatte, il continue de la poussée encore plus profond."AAAAAAH<3<3<3<3 JE SUIS LA CHIENNE EN MANQUE DE BITE DE PAPA, JE VEUX QUE PAPA ME DEMONTE SANS AUCUNE PITIE, J'AIME TROP LA BITE DE PAPA<3<3<3<3 J'AIME QUAND IL ME LA COLLE AU FOND, JE VEUX LE BON LAIT BIEN CHAUD DE PAPA BIEN AU FOND DE MOI<3<3<3<3 JE SUIS TA PUTE PAPAAAAA<3<3<3<3<3" je me sentais partir, rien qu'a dire ses mots j'était encore sur le point de jouir."aaaaaah enfin tu te lâche ma p'tite pute<3 j'adore te voir comme sa<3 et j'adore quand tu dit papa <3 pour te récompenser papa va te baiser bien fort comme tu aime <3 je vais te pilonner bien fort ta p'tit chatte de catin <3"il commença a se retiré presque a en sortir entièrement de ma chatte qui faisait un appel d'air, et il me la renfonça immédiatement, il tapais encore une fois au fond, j'était au ange, il commença a me baiser enfin comme j'aime, bien violent, mon cul claquais canlı bahis siteleri a chaque fois qu’il me bourrais la chatte et qu’il me la collais bien profond, sa queue me remplissait, chaque pénétration était avec précision, puis il commença a aller plus vite, mon cul claquais encore et encore, il aimais aussi me mettre des fesser, il me limais si bien, j’en suis presque a m’évanouir a chaque coup de rein, je hurle de plaisir, il alternais entre des coup rapide et lent, les rapide n’ailait pas jusqu’au fond, mais le gland frottais mon point g et les coup lent était puissant et me tapais toujours au plus profond de ma chatte, ses lourde couille tapais aussi violement sur mon clito qui m’envoyais des décharge de plaisir intense.il adorais la façon dont a chaque fois qu’il se retirais ma chatte le re aspirais.je sentais sa queue se raidir en moi, elle sautillais, elle commençais a pulser, je savais que sa ne voulais dire qu’une chose : il allait jouir!”aaaaargh je vais pas tenir plus longtemps ma salope<3 papa va te donner son bon lait bien chaud et bien frais<3prend tout petite puuuuuuuuute<3<3 AAAAAAAAH"il replongea sa grosse bite au plus profond de moi, je sentis sa bite déverser tout son foutre en moi, je sentais ses puissent jet me taper le fond, a chaque jet je jouissais, je le sentais me remplir, il restais coller au fond, en même temps j'avait tellement d'orgasme que ma chatte le serrais si fort, qu'il ne pouvais pas en sortir, il resta coller au fond de moi et s'allongea sur moi, il en pouvais plus, on est rester coller comme sa pendant au moins 10 minutes, puis il se releva et se retira délicatement, ma chatte ne voulais plus le laisser sortir."pffiiiiiiiiiiou mmmmmh<3 merci ma p'tite pute <3 t'es la reine des salope<3" on a pris notre temps, on est rester sur le bord de la plage pour reprendre des forces, puis on est retourné vers sandra et sa mère, elle dégustait une glace toute les deux.nous rentrons enfin au mobile home, je suis épuiser, je tombe comme une pierre dans le lit, on était tous crevée.mais je me fit encore réveiller, c'était encore le père de sandra:"salut ma p'tite pute, j'ai besoin d'un coup de main, j'ai pas pu m'empêcher de repenser que tu a fait boire mon sperme a ma fille, et rien que d'y repenser j'ai la gaule de ouf, aide moi avec ta bouche et tu aura une récompense <3"il baissa son boxe et posa sa bite déjà bien dur sur ma joue, j'enfourna son gland dans ma bouche, il allait très vite, il essayais de faire le moins de bruit possible, il me la mettais bien profond dans la gorge, j'utilisais beaucoup de bave pour que soit plus agréable et qu'il puisse se finir vite."mmmmmh c'est trop bon mais j'arrive pas a venir! attend, met toi sur le bord du lit, j'ai une idée pour me faire venir plus vite <3"je me mit au bord du lit, il tira les drap pour que sa fille se dévoile a lui, il lui retire son pantalon de pyjama et découvre la chatte de sa fille."mmmmmh elle a une belle chatte ma fille <3 j'aimerais tellement y glisser ma queue en elle <3 elle doit être si serrée<3 mais je suis son père donc c'est pas trop bien vue, mais la j'en peu plus! tien aide moi, ouvre lui la bouche pour moi! je pensais plutôt que tu me sucerais pendant que je reluque sa chatte, mais après tout elle a goutter a mon sperme, et maintenant elle va goutter a ma bite. "je m'exécute, j'ouvre délicatement la bouche de sandra et y glisse le gland encore couvert de bave de son père dans la bouche de sandra."aaaaah c'est tellement indescriptible comme sensation <3 je sent que je vais pas tarder <3"il fit de lent va et vient, sandra avait l'air de le sentir, elle couinais, par chance elle a le sommeil lourd ,elle ne suçais pas vraiment on dirais plus qu'elle tétais, de temps en temps il essayais de la lui mettre au fond de sa gorge, bien qu'il est réussi quelques fois, c'était même excitant de voir sandra avec une grosse bite dans la bouche ainsi qu'au fond de sa petite gorge,il sortait sa bite pour la bifler doucement, puis il me la remettais en bouche, un coup sandra , un coup moi, il alternais. puis il remis sa pite dans la bouche de sandra, et il accéléra, je pouvais entendre c'est coup de bite taper dans la gorge de sandra."mmmmmmmh oui sa vient mmmmmmmmh aaaaaaaaahhhhhggggh" il sortit sa bite de la bouche de sandra, plaça son gland devant la bouche entrouverte de sandra et envoya ses multiples jet de foutre dans la bouche de sa fille, je voyais les jet taper le fond de sa bouche, encore une fois c'est elle qui a le droit de tout recevoir. il me tendis alors sa bite, m'incitant a nettoyer le sperme qui restais, se que je fit avec plaisir.puis sandra, c'est mise a avaler le sperme sous nos yeux, gorgée par gorgée et elle avait l'air d'apprécier le foutre, un sourire c'est marquer sur son visage. nous en avons rit puis le père de sandra est repartit se coucher. je me suis blottis contre sandra et repris mon sommeil la ou je l'avais laisser.fin (désolé pour le retard j'ai eue plusieurs complication, dite moi en commentaire si l'histoire vous a plus, n'hésité pas a dire se que vous aimeriez voir en plus dans les histoire sa me ferait plaisir 🙂 😉 )

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The Sissy Transformation Process

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The Sissy Transformation ProcessPhase 1: Softcore, then hardcore vanilla porn is discovered. Nowadays, it begins at an extremely early age thanks to the Internet (fortunately… or unfortunately)!Phase 2: Shemale porn is discovered by happenstance. Nowadays, the popularity of Shemale porn increases one’s chance of exposure to it. Traps (posted on 4chan /d/) influence the younger generation. At this stage, the fapper imagines himself strictly as a Top or perhaps a little “heteroflexible” (for Shemales and Traps only). After much time, the fapper begins to wonder what it would be like to actually BE in the Shemale’s or Trap’s situations.Phase 3: Self-hypnosis videos, captions, fap roulettes and porn music videos are all discovered. This is the longest phase to get through and is often accompanied by intense guilt after masturbation. During this time, the “guy”… err, I mean the sissy imagines herself undergoing forced feminization; however, the fantasy of being a woman or having sex with a guy (as a woman) ends with each blown load.Phase 4: Fap content runs out. Videos are re-watched. This causes subliminal messages to be internalized even further. Occasionally, a new video will be produced, but these are few and far between as they are mostly produced by other users, in their spare time, and the content creators are also fapping during video creation which slows down the process. bahis firmaları Audio files are discovered and used in the meantime. When a new video comes out, it is a treat.Phase 5: The sissy decides to act on a few suggestions, implanted by the videos, before blowing her load. She will purchase a few beginner items such as: a buttplug and a pair of panties online. By the time she finishes stroking her sissy clit, she has already pressed the “Order” button. And it is too late to turn back now. During the next fap session it actually turns her that she has some embarrassing items coming in the mail.Phase 6: Items are received and used. This is known as the buy and purge phase. If the sissy purges, she goes back to Phase 5; however, each time a new buy cycle occurs the sissy becomes slightly more experienced and buys not only panties and stockings or a buttplug, but maybe a pair of heels or even a wig. But a purge follows predictably soon after. The hypnosis, however, continues. A sissy might be stuck in this phase for years, because there is always a large gap of time between each purge and the next buy.Phase 7: The sissy knows she is not getting any younger and there is no purge during this phase. This is the final buy. She wants to see if she can “pass” for a real Woman while she still has (some) of her youth. In other words, it is time for the sissy to “go kaçak iddaa all the way” with makeup and everything and see what she looks like. She vows not to purge. The lucky ones enter this phase around ages 18, 19, 20. Others enter this phase in their mid to late 20s, or early 30s. Many enter Phase 7 too late, like at the age of 45… Eeek! At this point, the sissy is still living IRL as a guy but also has their own private location where they can be female 24/7 after school or work.Phase 8: Trapped. The sissy now has a sizable wardrobe of sexy clothes, a basic makeup collection (from watching hours of tutorials on the web), and sex toys. The sissy has thrown away all her male underwear and socks at this point. She has not bought any male clothes in ages but her outer layers still consist of male clothing. She only pretends to be a male for as short a time as possible, then quickly comes home to throw of her disgusting male clothes and dress in proper, beautiful, clothes that a female like her should only be wearing. Even if she wanted to go back to being male at this point, she cannot because she looks and feels so much better as her true gender and in all likelihood already spent a small fortune on clothes so what would be the point of throwing it all away?Phase 9: Tipping point. The sissy will purge for good and find a new way in life, but this is extremely unlikely. kaçak bahis In reality, the sissy will reach a limit to how feminine she can become and begin to take hormones. At first, she just wants them to become more androgynous, and thus look more feminine. She tells herself that “it will only be temporary to become more feminine without makeup” and the hormones will be taken “only until the point where Androgyny is reached.”Phase 10: Hormonal changes. The changes seem slow to her, but to the passerby they are quite apparent. Fat redistribution occurs. Her ass and thighs get bigger and she’s able to make her booty “clap” when shaking it in front of the mirror. At first she has only AA breasts, a big booty, and soft skin. But the changes are slow from her perception. One day she will wake up and say “how did I become this?” as she looks down at her B cup breasts, shaved clitty, and freshly painted toenails. She will question de-transitioning, but it will be too late. She will have already gotten used to a new lifestyle, a new sexuality, and new friends. She will likely have a boyfriend or a fuckbuddy at this point who will have “made her into a woman” by cumming inside her and sealing her fate. She realizes that the most feminine thing a woman can do is have sex with a man. Because of this fact, she has sex with men OFTEN and ONLY. She knows can never be a real man again. If her boobs are too small to be a real Woman’s, yet too big to be a man’s she WILL get implants. It is the only logical conclusion. Now, she’s literally a full blown shemale. Published by keripinkpanty 10 months ago

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