La Descente aux Enfers de Jessie 04

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Ebony

Je remercie Sadkins116 et Rebeccasm les auteurs de ce récit dont le titre original est « Jesse’s Journey Down a Rabbit Hole » sur ce site.

Dans sa version originale, cette histoire est illustrée, donc je ne peux que vous inciter à aller jeter un coup d’œil sur les pages des auteurs ci-dessus pour visualiser les dessins.

Enfin, je remercie tous les lecteurs qui me suivent et plus particulièrement ceux qui me laissent un petit commentaire.

Bien sûr, l’avertissement est de rigueur : Ce texte comprend de la soumission féminine et masculine, de la contrainte, de l’esclavage. Si votre esprit est en contradiction avec ces thèmes, ne perdez pas votre temps à le lire.

************

Il faut deux jours à Marcus pour installer tout ce qu’a demandé Maître X. Il a détesté chaque moment. Tout ce à quoi il peut penser, c’est le danger qu’ils se mettent au-dessus de leur tête? Cependant, il n’a jamais vu sa femme si heureuse. Le soir du deuxième jour, il a installé toutes les caméras et les a connectées au réseau. C’est un réseau privé où il a configuré Maître X comme administrateur. Il vérifie les images pour s’assurer que chaque pièce est visible. Chaque caméra peut être bougée et possède un zoom. Marcus n’aime pas la télé-réalité, mais maintenant il vit ça avec un inconnu.

Il faut presque une demi-heure à Marcus pour écrire le courrier électronique et donner toutes les informations demandées à Maître X. Mais il ne parle pas de la porte électronique cachée qu’il a programmé au cas où Maître X déciderait de les enfermer totalement en esclavage.

Jessie entre au moment où Marcus envoie le message. Il la regarde, mais ne sourit pas. Il sait que c’est dangereux, mais il sait aussi qu’il ne pourra pas changer les idées de sa femme.

****

Maître X est assis devant son ordinateur lorsque le message arrive. Il sourit quand il voit qui vient de l’envoyer.

– Ils ont mordu à l’hameçon. Il ne me reste plus qu’à les ramener. Dit-il à haute voix.

Il ouvre le message pour le lire. Il ne lui faut que quelques minutes pour aller sur le réseau privé et en changer le mot de passe. Ensuite il passe d’une caméra à l’autre pour les essayer. Ensuite il parcourt leur ordinateur et leurs autres appareils pour dénicher tous leurs fichiers qu’il recopie sur un disque dur. Lorsque qu’il trouve le répertoire des photos de famille, il passe lentement celles-ci une à une. Et quelque chose attire son attention. C’est leur fille. Elle est une version fabuleuse de sa mère en plus jeune. Il sourit et pense déjà à ce qu’il pourrait obtenir d’un duo d’esclaves mère-fille. Ça va être une mine d’or.

Durant les prochaines heures, Maître X fouille les données du couple et glane un tas d’informations personnelles dont il pourra se servir plus tard éventuellement. Ensuite, il commence un courrier dans lequel il donne des instructions à Jessie pour son premier jour d’école. Le maître esclavagiste veut exercer son autorité sur elle tout de suite. Il a besoin qu’elle sache qu’il a le contrôle sur elle à l’université comme à la maison.

****

Jessie était très nerveuse en regardant Marcus poser les caméras. Elle avait eu peur qu’il ne le fasse à temps. Elle n’arrêtait pas d’être derrière le dos de son mari, sin bien celui-ci dut la chasser pour travailler tranquillement.

Mais lorsque Marcus envoie le courrier, elle peut enfin se détendre. Le lendemain, dès qu’elle se réveille, elle court à l’ordinateur. Elle pense que Maître X aura répondu. Elle ouvre sa messagerie et n’y trouve rien. Déçue, elle se dirige vers la cuisine et fait du café. Bien sûr, elle est nue et la maison est fraîche. Ses mamelons durcissent, mais pas à cause du froid. Son corps tremble d’excitation.

« J’espère qu’il va me contacter aujourd’hui. Je ne peux pas attendre, j’ai besoin qu’il me contrôle » Jessie est plongée dans ses pensées quand son mari entre dans la cuisine.

– Mon café est prêt salope?

– Presque Marcus, je viens de le lancer. Répond-elle.

La réaction de son mari est instantanée. Il attrape ses cheveux et l’attire brutalement contre lui. Son visage à quelques centimètres du sien, il dit :

– Maintenant que nous savons ce que tu es, tu t’adresseras à moi en disant Monsieur ou Maître. Ton prénom est désormais « salope ». Si tu es obéissante je t’autoriserai à m’appeler par mon prénom en public. Et si tu es très obéissante, j’utiliserai peut-être ton vrai prénom.

Jessie est surprise et choquée par la réaction de son mari. Une larme coule sur sa joue et elle dit :

– Oui Monsieur.

Le reste de la journée est calme. Et comme Marcus ne veut pas parler à sa femme, il part jouer au golf. Jessie nettoie la maison et consulte souvent sa messagerie. Cette nuit-là, il fait encore très frais dans la maison. Marcus se couche tôt, Mais Jessie ne peut pas dormir. Alors elle surfe sur internet, en espérant que Maître X la contacte.

Deux jours plus tard, le message attendu de Maître X arrive enfin. Jesse retient son souffle et l’ouvre rapidement.

« bursa escort LèvresChaudes,

c’est la dernière fois que je t’appelle ainsi. Dorénavant ton nouveau nom est Salope.

Voici mes instructions :

Aujourd’hui tu vas aller acheter une tenue pour courir. Elle devra être composée d’un short en lycra et d’un petit haut court. Ce haut devra être de trois tailles plus petites que ce que tu portes habituellement. Tu porteras cette tenue tous les jours quand tu iras courir.

Tu vas acheter des jupes, des robes et des chemisiers transparents qui répondent à certaines spécifications. Les jupes et les robes peuvent avoir des longueurs variables, mais elles doivent arriver au maximum à cinq centimètres au-dessus des genoux. Les chemisiers doivent avoir des boutons, être coupés court, et être de deux tailles trop petits.

Chaque soir, en sortant du travail, tu retireras ta jupe ou ta robe et tu joueras avec ta chatte tout le trajet jusqu’à la maison. Et tu marcheras de ta voiture à ta maison sans jupe ou sans robe.

Tu vas t’acheter un bon téléphone portable, avec un accès internet et un bon appareil photo. Tu m’enverras le numéro dès que tu l’auras.

Tu m’enverras un selfie de tes seins dans ta classe.

Le premier jour à l’université, tu porteras une jupe et un chemisier boutonné à part les trois premiers boutons du haut.

À l’heure du déjeuner tu te masturberas pendant quinze minutes, mais tu n’as pas le droit de jouir.

À la fin de la journée, tu me feras un rapport détaillé avec tous les détails.

Tu ne peux baiser qu’avec ma permission.

Ne me déçois pas salope!

Maître X. »

Jessie est tellement excitée qu’elle enfile une jupe et un petit haut de sport avant de se précipiter vers la porte. Elle veut faire les achats préconisés.

Marcus regarde sa femme sortir rapidement. La petite jupe de tennis blanc couvre à peine son cul nu. Le petit haut a les trois boutons du haut ouverts, laissant une vue parfaite sur sa poitrine. Il sait que Maître X vient de la contacter. Incapable de s’en empêcher, il se dirige vers le bureau et ouvre la messagerie de sa femme. Quand il lit les nouvelles règles et ce qu’elle doit faire à l’école, il sait que cette salope va avoir l’esprit retourné et que son corps va être excité. Sa queue est raide et, malgré sa colère, il a envie de la baiser violemment.

Maître X regarde les images filmées par les caméras. Il veut voir la réaction de Marcus lorsque sa femme quitte la maison. Il est heureux de voir que la curiosité l’a emporté et qu’il lit le courrier de sa femme. Le maître rusé attend de voir son érection avant d’envoyer un message.

« Marcus,

Je vois que tu as envie de ta femme. Tu sais que je contrôle maintenant quand elle peut coucher avec toi. Je suis prêt à retirer cette restriction nous nous mettons d’accord sur certains points. Comment veux-tu utiliser l’esclave sans restrictions? »

Marcus lit le message. Sa queue est assez dure pour casser des pierres. La pensée de passer un mois sans sexe est intolérable. Il tape rapidement une réponse.

« Que voulez-vous de moi? »

« Je veux d’abord que tu m’appelles Maître X quand tu t’adresses à moi.

Ensuite je choisirai tes vêtements lorsque tu seras à la maison.

Tu me demanderas la permission d’aller aux toilettes.

Ce sont les seules petites règles à respecter pour avoir la possibilité de baiser ta salope quand tu le voudras.

Maître X »

Marcus réfléchit à ce message. Appeler ce bâtard Maître X le dérange vraiment. C’est la pire règle. Peu importe ce qu’il porte à la maison et il peut se retenir de demander de pisser. Mais l’appeler Maître X c’est difficile. Après quelques secondes de réflexion, il répond :

« Maître X,

je suis d’accord avec vos règles, à condition que je puisse utiliser la salope à tout moment et n’importe où.

Marcus »

Le maître de la manipulation a presque éclaté de rire. Ce couple est trop facile à manipuler. Pour s’assurer que le mari qui va bientôt être émasculé sache qui est le Maître, il lui envoie un premier ordre :

« Très bien. Vous allez dans la commode de votre salope de femme et vous en sortez une petite culotte sexy et une paire de bas noirs. Et vous les enfilez. À partir de maintenant c’est tout ce que vous porterez à la maison. Si je vous surprends à porter autre chose, vous perdrez le droit de baiser votre femme.

Votre Maître. »

Marcus fixe l’écran, ne croyant pas vraiment ce qu’il lit. Cependant son cerveau est embrouillé et a perdu tout sens commun. Il traverse le couloir et se dirige vers la commode de sa femme. Il choisit une petite culotte en dentelle et l’enfile. Elle trop petite si bien que sa queue et ses couilles sont pressées contre son corps. Même s’il est gêné de la porter, il trouve que le tissu est doux sur sa peau. La façon dont la culotte serre son sexe lui donne l’impression que c’est quelqu’un qui tient sa bite. Une fois de plus il bande et sa queue sort de la culotte à la ceinture.

Marcus görükle escort ouvre un autre tiroir et cherche dedans jusqu’à ce qu’il trouve ce qu’il veut. Il s’agit d’une paire de bas en soie noir qu’il a acheté pour Jessie, pour qu’elle soit sexy. Il aimait quand elle les portait et il veut voir ce que ça donne sur lui. Il s’assoit sur le bord du lit et glisse les bas sur ses jambes velues. Plus il tire, plus il comprend pourquoi les femmes se rasent les jambes.

Cela lui prend quelques minutes, mais finalement Marcus se retrouve vêtu d’une culotte en dentelle et de bas. Vicieux, Maître X prend le numéro d’un ami de Marcus n’habitant pas loin et lui envoie un texto!

– Hé John! Jessie est partie faire des courses, passe prendre une bière.

Marcus n’a pas idée de ce qui se trame. Il se dirige vers le salon. Il se dit qu’il ne faut pas qu’on le voie alors il s’assure que les rideaux soient fermés. Il s’assoit et regarde une vidéo de sa femme en train de devenir une salope lorsque la porte d’entrée s’ouvre et son ami John entre.

– Salut Marcus… Bon sang, que portes-tu? Pourquoi m’as-tu invité habillé comme ça?

Marcus a le souffle coupé lorsque son ami et voisin d’en face franchit la porte. Il est pris au piège et ne trouve aucune excuse valable pour sa tenue.

– Je… Je… je ne peux pas te le dire. Bégaie-t-il.

John regarde la télé et voit Jessie se filmer toute nue dans des toilettes publiques. Il regarde Marcus et sourit :

– Hé bien, je n’aurais jamais pensé que vous étiez si pervers. Attendez que je le dise aux amis.

– John, s’il te plaît, ne fais pas ça. C’est juste un jeu entre ma femme et moi. Pourquoi es-tu ici?

Marcus est rouge de honte. Il est humilié, mais savoir que Maître X l’observe excite son corps. Sa queue pointe encore au-dessus de la petite culotte en dentelle.

– Tu m’as envoyé un texto me disant de venir prendre une bière. Mais en te regardant, j’ai l’impression que tu veux autre chose.

– Un texto? Je ne t’ai jamais envoyé de texto…

« Peut-être est-ce Jessie qui l’a fait? » Pense Marcus.

Il lève les yeux vers John et crie :

– NON JOHN! PAS DE PHOTOS!

Il voit son ami prendre des photos avec son téléphone. Il veut se lever, mais John l’arrête avec un ton méchant :

– Assieds-toi lopette! Je veux voir le film que tu as choisi pour moi. J’ai déjà envoyé les photos sur mon ordinateur à la maison. Donc si tu ne veux pas que quelqu’un les voie, tu vas être un bon garçon. Alors assieds-toi et ne bouge pas jusqu’à ce que je dise le contraire.

John s’assit sur le canapé. Puis après quelques secondes il commande :

– Va me chercher une bière pendant que je profite du spectacle que ta femme donne.

Marcus, qui sait qu’il n’a plus d’autres choix qu’obéir, se lève et va à la cuisine. Il revient quelques instants plus tard avec deux bières.

– Deux? Je ne bois pas si vite!

– J’en ai apporté une pour moi. Répond Marcus.

– je n’ai pas dit que tu pouvais en avoir une. Va la ranger! Si tu veux une bière tu me demandes.

Marcus fait demi-tour et retourne à la cuisine. Il est comme fou, mais il ne peut rien y faire. Il sait que c’est ce que veut Maître X. Maintenant son voisin le fait chanter et il ne sait pas où ça va le mener. Il revient dans le salon et fait mine de s’asseoir sur le canapé quand John dit :

– Oh! Tu ne t ‘assois pas à côté de moi. Pas habillé comme ça! Assis toi sur le sol lopette!

Marcus rougit encore plus, mais obéis et se laisse tomber sur le sol. Il reste comme ça quelques minutes avant que John parle à nouveau :

– Dis donc, je ne savais pas que ta femme était une telle salope. Je viens d’avoir une idée. Organisons une soirée de poker où ta femme sexy sera le pot.

– Qu’est-ce que tu veux dire par là? Le pot? Demande Marcus.

– tout le monde va parier et toi tu parieras un vêtement de ta femme. Le gagnant remporte les paris et le vêtement. Ta femme devra aussi s’asseoir sur les genoux du gagnant jusqu’à la fin de la main suivante. Et toi, tu vas perdre jusqu’à ce qu’elle soit nue.

– Mais John, c’est impossible que je perde à chaque main.

– Mais si, surtout si tu ne veux pas que je dévoile ton secret de lopette. Ensuite, une fois complètement nue, c’est elle que tu parieras et elle devras faire un acte sexuel sur le prochain gagnant. S’il a déjà gagné, elle lui donnera un bon qu’il pourra utiliser à tout moment. Quand elle sera nue, je me débrouillerai pour que tu gagnes une ou deux mains pour remporter les mises et gagner un peu d’argent. Mais je ne peux pas te garantir que Jessie ne se fera pas baiser à plusieurs reprises. Pas seulement cette nuit de poker, mais tant qu’il y aura encore des bons.

Maître X est émerveillé devant les résultats de son plan. Il avait cru que Marcus paniquerait et enfilerait à la vite des vêtements. Mais John entrant et le traitant de lopette est encore mieux. Il regarde l’ami de Marcus faire des plans pour baiser Jessie. C’est bursa escort bayan une bonne idée et il va s’assurer qu’elle se concrétise.

John finit de regarder la vidéo et baisse les yeux sur Marcus assis par terre. Il bande comme jamais et il sait bien que lorsqu’il rentrera chez lui sa femme ne sera sûrement pas d’humeur à le soulager. Il déteste avoir les couilles pleines. Il réfléchit une minute et décide de pousser le jeu plus loin.

– Marcus, rampe jusque ici et sors ma bite. Je ne peux pas rentrer à la maison la bite raide et les couilles pleines. Ta salope n’est pas là, alors tu dois prendre sa place. Occupe-toi de ma queue avec ta bouche et fais-moi jouir.

– Je… John, je ne peux pas faire ça. As-tu perdu la tête?

– Absolument pas. Et je suis sûr que tu n’as pas le choix. Si tu ne m’obéis pas, toutes les personnes que tu connais apprendront tes nouvelles habitudes coquines. Maintenant, suce ma bite!

Marcus est en colère. Il est dans une situation désagréable. Tour ce qu’il voulait c’est pouvoir baiser sa femme. Maintenant il n’a plus le contrôle sur rien. Il se rend compte que s’il n’obéit pas à son ancien ami, sa vie est foutue. Quelle saloperie ce que Maître X a mis en place. Il est maintenant aussi soumis que sa femme.

Marcus rampe entre les jambes de John. Il lève les yeux vers son ancien ami qui ne bouge pas, un sourire vicieux sur le visage.

– Vas-y lopette Marcus. Tu sais que faire. Sors ma bite et mets-la dans ta gorge. Si tu ne me fais pas jouir d’ici dix minutes, j’envoie les photos de tout le monde ainsi que de la vidéo que je suis en train de faire.

Marcus n’a pas le choix. Il ouvre le pantalon de John et sort sa queue. Elle est à moitié raide et elle rebondit au-dessus de son visage.

Il se rapproche de la grosse bite et tire lentement la langue. Il lèche la pointe. Il goûte le liquide pré éjaculatoire et est surpris que ce ne soit pas trop mauvais. Ensuite il descend et lèche les couilles de John. Il les prend une par une dans sa bouche et fait tourner sa langue autour.

La bite de son voisin devient dur comme de la pierre. John l’humilie encore plus en filmant ce qu’il fait. Marcus remonter lentement le long de la queue jusqu’à l’extrémité. Puis il ouvre grand la bouche et enfourne le membre jusqu’à ce que celui-ci touche le fond de sa gorge. Il est étonné, car il reste encore bine dix centimètres de bite au-dehors de sa bouche. Alors il lève la main et commence à caresser le bas de la queue pendant qu’il monte et descend sa bouche dessus.

– Plus que trois minutes salope! Tu ferais mieux de t’appliquer si tu ne veux pas que tout le monde voit que tu es un pervers. Dit John pour se moquer de son ami soumis.

Marcus panique et s’applique de mieux en mieux sur sa fellation. Il doit faire jouir John à tout prix. Il accélère ses mouvements de tête jusqu’à ce qu’il sente la queue se contracter dans sa gorge et exploser.

John grogne alors qu’il éjacule dans la gorge de Marcus. Il tient la tête sur sa bite jusqu’à ce qu’il finisse.

– Bien salope, tu as vingt secondes d’avance. Maintenant tu gardes mon foutre dans ta bouche jusqu’à ce que je sois rentré et chez moi et que je t’appelle. Souviens-toi que ton cul est à moi maintenant donc quand j’appelle, j’espère que tu répondras rapidement. Et prépare la soirée de poker de samedi. La prochaine fois, je veux ta femme.

Marcus ne peut qu’acquiescer de la tête. Il ne peut pas parler avec la bouche pleine de sperme. Il reste à genoux et regarde John sortir de sa maison et traverser la rue.

Deux heures plus tard, Jessie rentre du shopping. Quand elle entre dans la maison, elle a le souffle coupé. Elle voit son mari dans la cuisine vêtu d’une de ses petites culottes et de ses bas.

– Marcus, qu’est-ce que tu fais? Pourquoi portes-tu mes affaires? Demande-t-elle.

Son mari la regarde et crache de colère :

– C’est de ta faute. Tu n’es qu’une salope. Je t’aide pour tes besoins pervers et maintenant je suis soumis comme toi.

– Oh mon Dieu Marcus, que s’est-il passé? Je ne suis parti que quelques heures.

– Hé bien, tu sais que je n’ai pas le droit de coucher avec toi sans la permission de Maître X. Je sais que je n’aurais pas pu tenir le coup. Alors Maître X et moi sommes parvenus à un accord. En respectant certaines règles, je peux t’avoir de la manière que je veux et quand je veux. Mais je dois l’appeler Maître X et je ne peux porter à la maison que ce qu’il permet. Et il vient de me faire porter ça.

– Mais tu es mignon Marcus. Ricane Jessie.

Marcus répond sur un ton de colère :

– C’est pas drôle. Maître X a envoyé un texto à John de l’autre côté de la rue pour qu’il vienne prendre une bière ici. Il m’a surpris dans le salon en train de regarder un film que tu as fait. Il est entré et avant que je comprenne, il a pris des photos puis il m’a filmé pendant que je le suçais. Et maintenant je dois préparer une soirée de poker où tu seras le pot. Avant la fin de la nuit, tu te seras faite baiser par tout le quartier.

– Oh mon Dieu Marcus, je ne savais pas. Et je ne m’imaginais pas que tu allais être entraîné dans mes fantasmes. Je suis vraiment désolé mon chéri.

Mais avant que Marcus puisse répondre, le téléphone sonne. Sans réfléchir, il prend le combiné.

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La Reine de Glace Pt. 03

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Pt. 3. La Cérémonie

1.

Extérieurement, Marie Castillo avait l’air calme, mais intérieurement, elle luttait contre la panique. La journée avait été longue et éprouvante. Par moment, elle se sentait confuse et sur le bord de l’évanouissement. Elle combattait les larmes et une incontrôlable envie de se rouler en boule comme une petite fille en voyant la voiture qui ramenait sa mère à la maison. Sa sœur était partie il y a plus d’une heure et maintenant, elle restait seule.

Raphaël lui avait appris un peu plus tôt que son nouveau statut faisait en sorte qu’elle pourrait désormais vivre dans l’immense domaine des Da Silvas. Situé en Campagne, dans un coin isolé, la résidence du Parrain était impressionnante. L’immense terrain de la propriété était constitué de trois pavillons indépendants. Un pour Da Silva, un pour les invités et un pour le personnel. Le tout s’organisait autour d’une cour centrale munie d’une piscine, d’un tennis, d’une fontaine et d’un jardin aux fleurs exotiques et scintillantes. À l’extrémité du quadrilatère, on retrouvait une écurie dont le luxe aurait fait rougir bien des bourgeois. Au-delà de l’écurie, trente acres de prairies et de forêts défendus comme une forteresse.

Marie fut installée avec tout les honneurs et les attentions dans la maison des invités. Il aurait apparemment été indécent qu’elle vive sous le même toi que son futur mari. Elle pleura une partie de la nuit et tomba d’épuisement alors que le soleil se levait.

Tôt le lendemain matin, on lui apporta un petit déjeuner fort copieux et on lui annonça que ses affaires personnelles seraient là sous peu. Raphaël se présenta à sa porte un peu après midi. Il était accompagné de son oncle Alfonso. Celui-ci lui expliqua le fonctionnement et les règlements du domaine. Elle avait le loisir d’aller et de faire ce qui lui plaisait, mais elle ne pouvait avoir accès à la maison principale sans y avoir été invité. De plus, elle ne pouvait sortir du domaine seul. On l’amènerait visiter sa mère régulièrement. Marie appris avec consternation que ce serait désormais l’oncle Da Silva qui s’occuperait personnellement du bien être de Jeanne. Finalement, il annonça que le mariage aurait lieu le 26 mai prochain, dans plus de huit mois.

Rétrospectivement, cette période aura été plutôt agréable pour Marie. L’adaptation à ce nouvel environnement n’aura certes pas été facile, mais cette nouvelle vie avait des avantages. De un, sa chambre était superbe et donnait sur une grande pièce, mi-bibliothèque, mi-atelier parfaitement équipée. De deux, Marie a développé à cette époque une véritable passion pour l’équitation. Elle avait sa propre jument. Elle pouvait passer des heures à brosser, cajoler et monter l’animal. Et de trois, Raphaël Da Silva était toujours agréable avec elle. Son attitude n’avait rien à voir avec celle de l’homme qui avait violé sa mère et qui l’avait humilié elle et sa sœur. Mais surtout, Marie n’était plus seule.

Toute sa vie, elle avait été solitaire. Elle avait peu d’amis et préférait de loin les livres aux humains. Une fois installée chez Da Silva, elle se lia d’amitié avec plusieurs membres du personnelle du Parrain. Il y avait bien sur Léo, le responsable des écuries qui était un ancien fermier de la région, mais surtout sa fille Anne dont la principale responsabilité était de répondre aux besoins de la future madame Da Silva. Il y avait aussi Line et Mireille, deux jeunes femmes de ménage qui étaient d’une grande culture et d’une gentillesse sans failles. Ces gens étaient beaucoup plus abordables que les serviteurs un peu snobs qui avaient peuplé son enfance. Pour la première fois de sa vie, Marie avait de vraies amies.

Elle aurait bien pu s’abandonner à cette vie de princesse, mais quelques nuages lui cachaient le soleil. Tout d’abord, il y avait sa mère. Chaque samedi, elle quittait le domaine pour visiter la villa Castillo. La maison était pratiquement déserte et ressemblait à un musée. Semaines après semaines, Jeanne semblait plus faible et amaigrie. Son attitude était toujours aussi rigide, mais son regard était de plus en plus triste. Leurs conversations se résumaient à peu de chose. Elles échangeaient des banalités et Jeanne lui rappelait de garder courage, de rester elle-même et de ne pas renier son nom et son héritage. Jamais elle ne se plaignait de sa condition et jamais elle ne parlait de sa sœur. Pour l’essentielle, elles passaient l’après midi en silence, se tenant parfois par la main, jusqu’à ce que le chauffeur signale le moment du départ.

La seconde épine dans le cœur de Marie était sa sœur Sylvie. Au départ, elle restait compréhensive envers son aînée, mais avec le temps, son attitude devenait de plus en plus désagréable et inquiétante. Le repas du dimanche amenait pratiquement toujours des invités au domaine. Bien qu’elle n’aimait pas vraiment ces rencontres, Marie gardait toujours une attitude diplomatique et polie face aux invités. Sylvie était presque toujours du nombre. Après la cérémonie des fiançailles, elle avait bursa escort rapidement emménagé avec son amant, Maxime. Elle était en amour par-dessus la tête avec cet homme et l’exprimait sans ménagement.

Marie détestait cet individu trop beau, trop poli, trop élégant, trop parfait. Elle détestait la manière avec laquelle il traitait sa sœur, son attitude condescendante et paternaliste envers Sylvie. Elle détestait son regard et surtout son sourire charmeur qui émouvaient toutes les femmes qui l’approchaient. Elle se méfiait de lui plus que de la peste. Mais plus le temps passait, plus Sylvie l’irritait.

Sa sœur se comportait comme une véritable catin lorsqu’elle était avec son amant. En fait, Marie ne se souvenait pas vraiment d’avoir été seule avec sa sœur. À cette époque, elle le suivait partout comme un petit chien, toujours accrochée à lui. Elle l’embrassait à pleine bouche partout et devant tout le monde. Elle se frottait littéralement sur lui. Cherchant à peine à se cacher, ils se pelotaient d’une manière tout à fait indécente à la moindre occasion. Souvent, le couple s’éclipsait en douce pour aller faire l’amour en vitesse. Leur réputation n’était plus à faire parmi le personnelle du domaine. Les récits coquins mettant en vedette la belle Sylvie chevauchant son amant dans les écuries ou hurlant son plaisir dans les buissons faisaient fureur. Rarement, quittait-elle l’endroit avec ses vêtements proprement ajustés. Au contraire, il y avait souvent de l’herbe ou du foin dans ses sous vêtements.

Une chose inquiétait Marie par-dessus tout : le regard de Sylvie. Il n’était jamais franc. Elle faisait beaucoup de bruit, mais il y avait une absence dans ses yeux. Jamais elle ne la regardait directement. Elle évitait d’être seul avec sa sœur. Au début, c’est elle qui entraînait son amant dans les buissons. Avec le temps, son regard est devenu de plus en plus éteint, ses yeux de plus en plus vitreux. Mais surtout, ce n’était plus elle qui avait le leadership dans le couple. Tranquillement, elle prenait le second rôle. De plus en plus, elle avait l’aire d’une petite fille soumise à son amant. Il lui disait quoi faire et elle le faisait avec le sourire. Leur sexualité était toujours aussi exubérante, mais c’était maintenant Maxime qui décidait du où et du quand. Un soir, Marie le vit clairement traverser la pièce après avoir fini son verre, attraper Sylvie par le bras, interrompant sa conversation, pour l’attirer vers les toilettes. Dix minutes plus tard, elle était de retour décoiffée et son soutien gorge avait disparu.

Finalement, il y avait Bruce. C’était le chien de Da Silva. Un gigantesque rottweiler, costaud et agressif. Selon ce qu’on en disait, c’était une bête merveilleuse. Pour Marie, ce chien semblait tout droit sorti d’un film d’horreur. Sa puissante mâchoire pouvait briser une jambe sans efforts. Quand il était au domaine, Raphaël était toujours accompagné de son chien, même à table où on le nourrissait de filets mignons. C’était stupide, même intimidant, ce n’était qu’un chien. Mais l’animal lui rappelait constamment qu’elle vivait sous l’emprise d’un homme cruel.

2.

De son côté, Sylvie était sur un nuage. Le lendemain de leur nuit d’amour, Maxime se présenta à la porte de sa chambre. Étendue, nue dans son lit, elle se caressait doucement en repensant à la nuit qu’elle venait de passer avec Maxime. Jamais, elle n’aurait crue qu’une femme puisse jouir aussi souvent et avec autant de force. Elle était profondément troublée par les émotions que cet homme créait en elle. Elle sursauta et se couvrit rapidement lorsqu’il cogna à la porte.

-Oui. Qui est là?

-C’est moi, Maxime

-Oh! Entre mon amour.

Il entra en vitesse

-Tu es toujours couché?

-Euh, en fait, je pensais à toi.

Il s’approcha d’elle, retira les couvertures et, constatant sa nudité, il sourit à pleines dents. Il se pencha et l’embrassa passionnément. Il posa la main sur sa chatte et constata qu’elle était trempée. Il taquina son clitoris.

-Tu te branlais?

-Hi! Hi! Je pensais à toi.

-Et c’est ce qui te fait mouiller comme ça?

-Hi! Hi! En fait, j’ai déjà dû me changer 2 fois de culottes ce matin. Je mouille constamment.

-Continue. Montre-moi comment tu fais.

Timidement, ses doigts retournèrent à sa chatte. Il écarta ses jambes pour mieux voir. Sylvie ferma les yeux et s’offrit en spectacle. Moins de cinq minutes plus tard, Maxime était profondément enfoncé dans son vagin et elle criait de nouveau sa jouissance. Une fois le calme revenu, il lui dit.

-Je suis venue te dire que tout est organisé. Si tu le veux, dès demain, tu pourras venir habiter chez moi.

-Tu es sérieux?

-Absolument.

-Ohhh! Maxime!

Elle lui sauta littéralement dessus. Elle l’embrassa longuement. Sa bouche explorant chaque partie de son corps pour finalement s’arrêter sur sa queue. Bientôt, Sylvie se retrouva à quatre pattes, le pénis de son amant poussant délicatement sur son anus. Au görükle escort moment où il s’enfonçait dans son cul, elle dit :

-Mon trou du cul t’appartient mon amour!

3.

Sylvie emménagea donc chez Maxime. Les premiers jours, ils ne quittèrent le lit que pour manger et encore les repas se passaient souvent sous le signe de l’érotisme. Maxime dû retourner rapidement à ses occupations. Officiellement, son travail était de faire la gérance des différents bars contrôlés par Da Silva. Sylvie était loin de se douter que sa principale fonction était d’être le souteneur numéro un de la ville. Il s’assurait de fournir des filles de qualités aux riches clients de ses réseaux et surtout il s’assurait que leurs performances étaient à la hauteur des attentes du client. Il patrouillait les bordels et les bars de danseuses pour maintenir la discipline et s’occuper des intérêts de l’organisation. Professionnel, il ne touchait jamais aux filles, mais ses activités étant nocturne, il passait peu de temps à la maison.

Sylvie s’installa donc rapidement dans une routine caractérisée par de longues périodes d’ennuie et de brèves moments de passion brûlante. Une journée type dans sa vie commençait vers midi, au moment où Maxime se réveillait. Elle attendait impatiemment ce moment pour lui faire l’amour tendrement. Il quittait en début d’après midi. Le reste de la journée était insupportablement long. Bien entendu, elle courait les magasins, allait au cinéma, flânait à la piscine etc. Le soir, elle se préparait, se mettait belle et sexy pour son homme et attendait impatiemment son retour. Il rentrait généralement vers trois heures du matin. Il était alors invariablement excité et lui faisait l’amour sur le champ. Il va s’en dire que la communication n’était pas le point fort du couple

Elle vivait maintenant dans un immense penthouse, en plein centre ville. Elle était libre de ses allez et venus, mais elle était toujours accompagnée d’un chauffeur. Sylvie aurait très bien pu renouer des liens avec d’anciens amis, mais sa priorité était Maxime, son sauveur, et elle n’avait pas le cœur à grand-chose quand il était absent. Ses journées se vivaient en montagne russe; très intense avec Maxime et très ennuyante sans lui. L’angoisse et le mal de vivre reprenaient le dessus sur elle. L’appartement possédait cependant une pharmacie bien remplie de produits aidant à calmer les esprits troublés.

Les jours passèrent. Leurs relations sexuelles pouvaient se résumer ainsi : caresses, amour oral et pénétrations dans différentes positions. Régulièrement, la relation se terminait avec le pénis de Maxime profondément enfouit dans les fesses de Sylvie. Un matin, alors qu’il se lançait dans une nouvelle série de caresses. il fit glisser sa main vers son bas ventre, elle l’arrêta.

-Attention, j’ai commencé mes règles cette nuit.

-Ce n’est pas grave, je peux toujours te caresser un peu et ensuite… tu t’occuperas de moi. Tu veux?

C’est ainsi que Sylvie se livra à une pipe matinale des plus enflammée. Au moment où Maxime allait jouir, elle lui demanda gentiment :

-Ne viens pas dans ma bouche SVP. Je n’aime pas ça.

L’attitude de Maxime changea instantanément. Il poussa un soupir de frustration. Il se leva, se plaça derrière Sylvie et l’encula sans aucune préparation.

-Aie! Non, Max! je ne suis pas prête. NON!

Mais rien n’y fit. Au bord de l’orgasme, il la pistonna avec vigueur jusqu’à la délivrance. Le couple resta un moment en silence.

-Je m’excuse dit Maxime

-Ce n’est pas grave mon amour.

-C’est que ta bouche était si douce, si chaude. C’est très frustrant pour un homme de se voir refuser sa semence.

-Je m’excuse. Je n’ai jamais été à l’aise avec ça.

-Je t’ai fait mal?

-Pas vraiment. J’ai plutôt été surprise. Il faut croire que mon corps est fait pour ton sexe hi hi hi!

Un peu après deux heures la nuit suivante, la porte de l’appartement s’ouvrit. Sylvie, poitrine nue, s’avança sensuellement vers Maxime et s’agenouilla devant lui. Dix minutes plus tard, elle goûtait pour la première fois de sa vie à la semence d’un homme. Pris d’un haut le cœur, elle recracha le tout. Le couple éclata de rire.

À partir de ce moment, Sylvie dû performer une fellation à tous les matins sur le membre de son amant. Une autre petite crise survint peu de temps après tant et si bien que trois semaines plus tard, Sylvie avalait sa ration de sperme à chaque matin.

4.

Pour briser la routine, Maxime amenait occasionnellement sa conjointe au travail. Ils se rendaient dans des discothèques de luxe où Maxime réglait ses différentes affaires dans ses bureaux pendant que Sylvie s’éclatait sur la piste de danse. Elle attirait les regards et de nombreux hommes flirtaient avec elle n’hésitant pas à prendre ses fesses et parfois ses seins. Sylvie prenait un malin plaisir à cette attention et elle était d’autant plus excitée qu’elle savait que Maxime allait la satisfaire dès la soirée terminée. Inutile bursa escort bayan de dire que ces virées étaient riches en alcool et autres substances.

Une nuit, Maxime l’amena dans un établissement qu’elle ne connaissait pas. L’endroit était encore plus chic qu’à l’habitude et beaucoup plus tranquille. Le couple resta ensemble toute la soirée, partageant danse, boisson et rires. Un peu après minuit, Maxime entraîna sa belle vers le fond de l’établissement. Ils entrèrent dans une zone isolée gardée par deux géants noirs. La pièce était sombre, simplement éclairée par de petites lampes rouges accrochées aux murs.

Sylvie se figea sur place. Ses yeux s’ajustant à l’absence de lumière, elle remarqua une femme assise sur un banc. Ses jambes étaient largement écartées, ses seins pendaient à l’air libre. Un homme était agenouillé entre ses jambes. Partout où elle regardait, des couples s’activaient. Ici une femme montait un homme assis sur une banquette. Là, une autre dansait seulement vêtu de ses bas de nylon pour deux gars qui la caressait. Ailleurs, une femme était étendue sur une table, la queue de son amant profondément fourrée dans la chatte. La musique était très forte, l’ambiance irréelle et très érotique. Maxime l’entraîna vers un coin tranquille et ils firent l’amour merveilleusement parmi tous ces autres couples.

5.

La sexualité des deux amants était de plus en plus intense. Pour Sylvie, chaque relation, chaque nouvelle expérience était meilleurs que la précédente. Par un après midi ensoleillé, elle enfila une robe légère. À la demande de Maxime, elle ne portait aucun sous vêtements. Alors que la voiture roulait vers Blackpoint, Il banda les yeux de son amoureuse et il la caressa doucement pour l’aguicher. Sylvie mouillait abondamment. Une fois la voiture immobilisée, il fit descendre sa partenaire toujours aveugle et ils entrèrent dans un endroit climatisé. L’odeur de l’établissement était bizarre, troublant. Des voix amplifiées parlaient en anglais. Maxime retira le bandeau.

Ils étaient dans un cinéma. Debout dans l’allée centrale, Sylvie fut aveuglée momentanément par l’écran. Une minuscule asiatique aux allures connues se penchait sur un énorme pénis noir, l’avalant entièrement. Ils descendirent l’allée et Maxime la fit asseoir en plein centre de la salle sur un vieux siège à la propreté douteuse. Il la prit par les épaules et porta son attention sur le film.

Rapidement, Sylvie constata du mouvement autour d’elle. Un vieil homme aux cheveux jaunis venait de prendre place à deux sièges d’elle. Un gros barbu s’installa derrière, un vieux noir était debout tout près. D’autres s’approchaient. Maxime lui glissa à l’oreille.

– Relaxe.

Il défit les boutons de sa robe, libérant ses seins. Les hommes s’approchaient. Une main toucha son épaule et ouvrit sa robe plus largement. Sylvie, tendue comme une barre, se retourna pour voir le gros barbu, debout, qui se masturbait tranquillement. Elle regarda à sa gauche, puis à sa droite. Partout, les hommes avaient leur queue en main. Maxime retroussa sa robe et se mit à jouer avec son clitoris. Malgré son malaise, sa chatte inondait le siège. Le vieillard à sa gauche avança une main et elle sursauta au contact des doigts froids et ridés du grand père sur son sein.

Maxime se glissa à genoux devant elle et se mit à lui manger la chatte. Voyant que la femme était réceptive, le petit groupe d’homme se resserra. D’autres mains touchèrent son corps. Le gros barbu présenta son pénis à sa bouche. Elle fit signe que non et il se retira quelque peu en lui caressant les cheveux. Les efforts de Maxime commençaient à sérieusement exciter la jeune femme. Le vieillard sembla éjaculer et se retira en vitesse. Un homme dans la cinquantaine pris immédiatement sa place. Plus hardi, il se pencha sur les seins de Sylvie pour lui sucer un mamelon. Sur l’écran, l’asiatique se lamentait de plus belle pendant que la monstrueuse queue noire lui défonçait le cul sans ménagement et ce, en gros plan. Deux hommes maintenaient Sylvie par les chevilles et caressaient ses jambes. L’un d’eux retira sa chaussure et frotta son pénis sur la plante de son pied. Le gros barbu, n’y tenant plus, éjacula abondamment sur ses cheveux. Les doigts de Maxime caressaient son anus, pénétraient son vagin. Son clitoris était enflé.

Prise de spasmes et de tremblements, Sylvie orgasma bruyamment pendant près d’une minute. Un autre homme s’approcha et éjacula dans son cou. Son pied gauche s’englua de sperme. Maxime se releva et chassa le groupe d’homme encore restant, Il prit Sylvie par la main et l’entraîna vers une porte dérobée qui donnait sur l’extérieur. La voiture les attendait là et démarra rapidement. Les jeunes amants riaient à gorge déployée. Maxime dégrafa son pantalon et retroussa la robe de Sylvie. Il la pénétra en poussant un grognement et il se soulagea en elle sous les yeux d’un camionneur fort intéressé. Une fois le calme revenu, Sylvie éclata de rire. Elle n’avait plus qu’une seule chaussure.

6.

Quelques jours plus tard, le couple était attablé avec deux amies. Un petit homme à la calvitie précoce et au ventre mou et une superbe blonde platine aux jambes sensuelles. La conversation tourna rapidement au sexe et la femme offrit à brûle pour point :

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Educatrices Ch. 01

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Celebrity

EDUCATRICES .

Coulybaca (Texte personnel)

Chapitre 1 : Françoise

Ce jeudi vers 18 heures, Françoise, suivie de son groupe de jeunes filles pénétrait dans le hall de la piscine de la ville voisine, la chaleur torride qui avait régné toute la journée l’avait amenée à bousculer l’emploi du temps prévu .

Depuis midi, les filles l’avaient pressée de s’y rendre afin de profiter pleinement d’une si belle journée.

Affalés sur le ventre, autour du bassin découvert, les aînés, les garçons du groupe 6 semblaient les y attendre, tout bien réfléchi, peut-être les attendaient-ils vraiment, instruits de leur sortie par les grandes.

En débouchant dans la piscine, son maillot une pièce noir la moulant, révélant sa lourde poitrine et ses fesses opulentes, à leurs yeux intéressés, Françoise s’était sentie dévorée des yeux .

Sous les regards de tous ces adolescent braqués sur elle, insistant avec impudence sur ses seins, ses fesses, son sexe, une douce chaleur l’avait alors envahie .

Pour cacher son trouble, elle s’était d’abord allongée sur une natte au bord de l’eau, quelques filles à ses cotés, ça et là, allongées sur le dos .

Faisant fi des spectateurs attentifs, elle avait entrepris de reprendre son calme, intriguée de cette réaction inhabituelle ….. la chaleur …… l’énervement peut-être .

Les filles n’avaient pas tardées à l’abandonner, se précipitant à l’eau pour y chahuter avec leurs habituels soupirants .

Rapidement Françoise, qui surveillait distraitement leurs évolutions, s’alarma de la tournure des événements : aux jeux innocents avaient succédé des attitudes plus suspectes, les jeunes gars, profitant des circonstances, caressaient les seins juvéniles, les fesses plus ou moins dodues de ses jeunes demoiselles qui ne s’en plaignaient pas, bien au contraire, ne protestant pour la forme que par des petits cris effarouchés, mais revenant se mêler de suite au chahut, aguichant par le geste les adolescents lorsque ceux ci leur prêtaient moins d’attention.

Cet atmosphère trouble, pesant, lourd de désirs exacerbés, n’était pas sans résonner sur Françoise elle même, elle sentait son coquillage se dilater doucement, une chaleur étrange lui embrasait le bas-ventre, ses sens chaviraient peu à peu, elle se secoua, et, pour échapper à ce trouble naissant piqua une tête dans l’eau fraîche et se mit à nager à longues brassées, accumulant les longueurs de bassin.

Bientôt Miloud et Stephan, deux adolescents parmi les plus âgés, la rejoignirent et nagèrent à sa hauteur.

Ils entreprirent de la chahuter, sous l’eau ils passaient sous elle, lui agrippant les jambes pour lui faire boire une tasse, elle se défendait de son mieux et, prise par le jeu leur rendait la pareille.

Brusquement, elle se sentit saisie par la jambe.

Un des jeunes avait agrippé sa cheville puis suivant le galbe de son mollet, l’arrondi de sa cuisse posait la main sur sa taille .

La peau de ses hanches se granulait sous la caresse insistante, à la limite du maillot.

Une poussée violente la plongea sous l’eau, elle ferma vivement yeux et bouche tandis que le jeune profiteur engouffrait brutalement son autre main dans le soutien-gorge lâche, ses seins furent rapidement malaxés.

Les tétons raidis pincés, ruant, se débattant, elle parvint à remonter à la surface mais, encore toussant et crachotant elle ne put identifier son agresseur.

Tandis qu’elle revenait péniblement au bord de la piscine elle s’étonnait de ne pas ressentir que de la colère .

Ces caresses brutales l’avaient émue plus que de raison, troublée, elle regagna les vestiaires pour se rhabiller .

Seule dans la petite cabine, elle se surprit en enlevant son maillot à caresser longuement sa poitrine, en faisant rouler lentement les pointes exaspérées, dardées, et elle, si peu portée sur l’onanisme elle passa lentement ses doigts dans sa fente qui ruisselait d’eau et de désirs frustrés,

constatant dans sa chair qu’elle regrettait la brièveté de l’étreinte qui l’avait tant émue.

Etonnée de se voir si réceptive aux attentions de ces jeunots, qui jusqu’ici ne l’émouvaient nullement, pour se calmer, elle eut recours à des caresses qu’elle croyait oubliées depuis longtemps .

La main nichée au creux de sa blessure elle débusqua son clitoris qui se dressait, impatient, hors de son capuchon protecteur .

D’un doigt, elle agaça ses petites lèvres, en apprécia le contours, puis enfilant son majeur dans sa vulve, la tête vide, elle accorda à ses sens la satisfaction de leurs désirs .

Après quelques longues caresses la brusque introduction de son majeur dans son anus l’amena enfin à cet orgasme auquel elle aspirait maintenant de toutes les fibres de son corps.

Rêveuse, légèrement nauséeuse, elle quitta l’édicule et gagna le parking ou l’attendaient la majorité de ses filles .

Aux regards ironiques des garçons qui leur tenaient compagnie, elle comprit que l’auteur du geste, peut-être même les deux garçons s’étaient déjà vantés de leur bonne fortune, elle se sentit rougir et se précipita à sa place sous l’œil insolent de ses suborneurs bursa escort .

Depuis ce jour, elle avait accordé un regard plus attentif aux activités de ces jeunes gens et avait remarqué que depuis quelque temps, on les voyait souvent, l’appareil photo au poing, roder dans tout l’établissement

Et même, un jour qu’elle descendait de voiture, assis sur le terre plein ils l’avaient lorgnée de façon très indiscrète .

Sa jupe étroite, fendue sur le coté la gênait énormément pour sortir de voiture .

Elle se doutait du spectacle qu’elle leur avait offert en se tortillant pour s’en extraire, Miloud n’avait pas raté l’occasion de photographier cet instant révélateur.

Ils devaient bien s’amuser, le soir en contemplant les photos qu’ils avaient prises ; elle s’imaginait le spectacle, à demi sortie du véhicule, sa jupe troussée sur ses cuisses dodues et dorées à souhait, le fond de sa petite culotte pointant son triangle blanc à la jointure de ses fesses, peut-être même pouvaient ils apercevoir quelques poils follets dépassant de la lisiÈre de son slip .

De les imaginer étendus sur leurs lits, commentant le spectacle en se secouant la queue à pleine mains, son ventre s’échauffait encore ; malgré elle, elle dessinait dans sa tête le contour de leurs queues, quelques regards furtifs l’avait convaincue de l’importance du paquet de Miloud, qu’il exhibait d’ailleurs volontiers dans ses jeans moulés, elle se représentait une longue queue brune, épaisse, émergeant d’un buisson frisé et noir.

Comme tous les algériens, du moins d’après la rumeur, il semblait membré au delà de la norme, certainement beaucoup plus que son mari!

Sa tête s’il savait le pauvre à quelles comparaisons elle se livrait!

Les pantalons de son copain étaient beaucoup moins révélateurs et elle se perdait en suppositions quand à l’aspect du membre de Stephan.

L’orage couvait depuis la fin de l’après-midi, Françoise se sentait excitée au plus haut point, les pointes de ses seins s’irritaient sur la dentelle du demi-balconnet qu’elle avait enfilé le matin .

Elle était responsable du groupe des grandes, jeunes de 14 à 20 ans, toutes admises soit en raison de leur débilité, soit en raison de problèmes familiaux graves, parfois même pour les deux raisons .

Les jeunes filles, échauffées par l’orage et par la proximité du groupe des aînés lui avaient mené la vie dure toute la journée, les querelles, les discordes, souvent motivées par des jalousies éclataient à tout propos : l’une trouvait que son petit ami lorgnait trop les autres filles, celle-là pensait que sa voisine aguichait son jules …

Enfin tout l’après-midi avait été de cette veine, elle se sentait épuisée à force d’intervenir pour séparer les jeunes femelles en rut .

Maintenant, elle pouvait se détendre un peu,le repas s’était déroulé tant bien que mal, et à ce moment toutes les filles profitaient de leurs derniers temps libres avant le coucher, certaines devisaient dans la salle de vie, d’autres s’étaient retirées dans leur chambre pour y écouter des disques ou discuter de garçons entre copines, deux ou trois étaient parties retrouver leurs amoureux et devaient flirter, sinon plus dans quelque recoin de la propriété .

Avec violence, la pluie se mit à tomber, bientôt de longs éclairs embrasèrent le ciel, les lumières vacillèrent à plusieurs reprises puis s’éteignirent totalement.

La chaleur étouffante, les cris de panique des gamines apeurées, tout continuait à renforcer sa fébrilité.

Brusquement elle s’aperçut que deux de ses donzelles n’étaient pas rentrées elles pouvaient se trouver n’importe où, certainement en train de flirter ou même plus.

Françoise les imaginait la culotte descendue sur les genoux, leurs petits sexes exhibés devant les yeux de quelques garçons aux regards salaces.

Cela lui rappelait ses premiers émois sexuels .

Agée de 18 ans au cours d’une randonnée en montagne, un violent orage avait éclaté, contraignant chacun à se réfugier à toute allure dans un abri provisoire.

Elle s’était retrouvée avec son petit ami d’alors, Marc sous une roche en surplomb qui les protégeait de l’averse.

Marc profitant de leur isolement s’était enhardi, comme, apeurée, elle se blottissait contre lui, sa main avait lentement dérivé sur son épaule pour venir épouser la forme d’un sein, puis sa bouche s’était posée sur la sienne.

Lèvres soudées, ils s’étaient longuement embrassés de façon qui lui paraissait maintenant, l’expérience aidant, bien chaste.

Lentement, avec douceur, il avait caressé ses cuisses, les escaladant à pas menus, s’imprégnant de leur tendre chaleur, comme dotée de leur propre volonté, ses jambes s’étaient ouvertes, livrant le chemin de sa culotte de coton blanc au gentil envahisseur .

Puis fébrilement, s’énervant soudain, Marc avait empoigné sa motte, d’abord au travers de sa culotte.

Mais bien vite, il s’était infiltré sous l’élastique empaumant son pubis soyeux qui s’en trouva tout réjoui.

Les doigts fiévreux continuèrent leurs investigations, séparant les lÈvres virginales, dégageant le bourgeon görükle escort déjà dressé qui aspirait à la caresse.

Puis il avait habilement parcouru le long corridor clos par les petites lèvres avant de s’aventurer dans la vulve serrée pointant un doigt indiscret, il s’était introduit, éprouvant l’élasticité du jeune vagin, une petite douleur cuisante avait marqué la perforation digitale de l’hymen avant qu’il ne lui impose un compagnon et se mit à tester la douce moelleur du con juvénile.

Les caresses duraient depuis quelque temps, ses cuisses s’ouvraient maintenant largement, elle appelait de tout son corps celui de Marc, elle allait vraiment succomber, lorsque l’averse ayant cessé des appels pressants les avaient obligés à reprendre une tenue plus décente pour rejoindre leurs compagnons .

En souvenir de ces instants délicieux, elle avait d’ailleurs prénommé son fils Marc .

L’idée la traversa subitement que ses adolescentes se trouvaient peut -être actuellement dans la même situation …

Elle devait intervenir rapidement …. Avant qu’il ne soit trop tard!

Il ne manquait pas dans l’IME de garçons susceptibles de profiter d’un court instant d’abandon!

Avec quels garçons pouvaient elles donc bien se trouver?

Avec Miloud, ce jeune présomptueux, au regard audacieux qui toisait toutes les femmes de l’établissement?

Avec son compère Stephan qui lui aussi passait le plus clair de son temps à déshabiller les filles du regard?

Avec Daniel le petit boutonneux qui respirait le vice par tous les pores de sa peau?

Ou encore avec Charles le grand dégingande à l’air blasé?

Avec Frédéric qui passait le plus clair de son temps à exposer ses organes génitaux aux yeux des plus jeunes?…..

Plus elle y réfléchissait, plus elle penchait plutôt pour Miloud et Stephan, si vicieux que même les éducatrices se méfiaient d’eux là et veillaient à ne pas se trouver seules en leur compagnie .

Un nouvel éclair déchira le ciel, se secouant de la douce torpeur, dans laquelle ces évocations l’avaient plongée, Françoise décida de partir à la recherche de ses brebis égarées.

La démarche lourde de désirs inassouvis elle entreprit de visiter les locaux.

Elles ne se trouvaient pas dans les 3 pavillons éducatifs, ni dans la salle de gym, elles ne pouvaient donc se trouver qu’aux clubs ou dans les salles sous les ateliers ; elle les contourna et arriva dans les pièces obscures accueillant les activités de club.

Une lumière blafarde émanait d’une des salles, elle dirigea donc ses pas vers cette dernière, entrouvrant la porte, elle ne vit d’abord personne mais perçut des bruits de conversation provenant d’un divan qui lui tournait le dos.

Certaine de trouver ses filles vautrées sur le divan, peut-être même vautrées sur des garçons, la colère lui monta à la tête et brutalement elle surgit devant les yeux étonnés de trois jeunes, effarés de cette brusque apparition.

Décontenancée de ne pas trouver ses filles, Françoise ne sut que balbutier :

– N’auriez vous pas vu Isabelle et Marie-Claude?…..

Devant la réponse négative des garçons, ne mesurant pas le péril, elle s’emporta alors :

– Mais que faites-vous donc là? ….

Le premier instant de saisissement passé, Miloud vit là l’opportunité qu’il guettait depuis de longs jours.

Discrètement il adressa un signe à Charles qui s’éclipsa rapidement, puis répondit :

– Nous parlions de toi?

Au lieu de briser là la controverse, et de partir, Françoise commit alors l’ultime imprudence en poursuivant le dialogue, ironique.

– Et sans indiscrétion… Que racontiez-vous, pour être obligé de vous cacher pour discuter?

Miloud répondit alors avec brutalité :

– On parlait de toi… De ton cul… De ta chatte… Depuis que nous t’avons bien pelotée à la piscine, on s’imagine tes formes… Les photos nous ont bien renseigné, on sait que t’es une fausse blonde… Les poils bruns dépassant de ta culotte t’ont trahi… Mais on aimerait en savoir plus… Pour l’instant on imagine…

– Je ne supporterai pas ce ton plus longtemps! Le coupa alors Françoise,

– Ou tu t’excuses immédiatement devant tes copains ou je fais un rapport et c’est avec le directeur que tu t’expliqueras! Le menaça-t-elle.

– Tant qu’a être puni… Autant l’être pour quelque chose! S’enflamma Miloud l’agrippant par le bas de sa robe.

Françoise se sentit chuter elle tendit les mains en avant, par réflexe et se retrouva étendue de tout son long en travers des cuisses des deux complices .

Avant qu’elle n’ait pu se redresser Stephan lui attrapa les seins à pleine mains la forçant à se blottir sur leurs genoux.

Tout en criant elle serra les genoux à les rompre, déjà elle sentait les mains de Miloud s’insinuer sous sa jupe tandis qu’il commentait :

– Alors garce… T’as gagné c’est la pine qu’il te faut… Vas-y, hurle à plein poumon… Ca m’étonnerait que quelqu’un se balade dans le coin, et… Même si on t’entendait t’aurais bonne mine si on te trouvait troussée comme un poulet sur nos genoux!

Effectivement, bursa escort bayan Françoise se rendit compte du spectacle qu’elle devait donner, dès ce moment elle se tut, peu encline à ameuter des adultes, ou des enfants qui commenteraient à leur façon le troublant spectacle.

Cependant elle se débattait, cherchant à se délivrer, mais chacun de ses soubresauts livrait encore plus son intimité aux doigts inquisiteurs.

Miloud promenait maintenant sa main dans sa culotte, il lui caressait les fesses, suivant d’un doigt curieux la fente ombrée, débusquait l’anus frémissant blotti au plus profond de la raie .

Pour l’instant il inventoriait sa croupe, tandis que Stephan, qui avait retroussé son chemisier sortait à demi ses seins de leur écrin.

Ils débordaient maintenant du soutien-gorge roulé sous sa poitrine, il pinçait les aréoles, les tirait, pétrissait toute la mamelle… Sûr la trace de ses doigts resterait un moment marquée sur sa poitrine!

Françoise sentait grossir leur envie sous elle, leurs queues l’une à hauteur de ses cuisses, l’autre sous son torse prenaient une consistance de bon aloi.

Elles raidissaient, s’irritaient contre les jeans et Françoise était à même de constater qu’elle ne s’était pas trompée quant à la taille de la bite de Miloud, celle de Stephan qu’elle n’avait pu évaluer, lui semblait toute aussi grosse, elle sentait son con s’humidifier et ruait de plus belle pour se dégager.

Retombant d’une de ses ruades, elle fit crier de douleur Miloud, involontairement elle lui avait écrasé un testicule sur la cuisse.

Le visage de Miloud s’empourpra de colÈre, il s’écria furieux :

– Ca tu vas le payer ma garce!

A ce moment Charles, qui s’était éclipsé au tout début des débats, réintégra la salle, son éternel appareil photo sous le bras, il informa ses potes :

– Pour éviter toute surprise, j’ai mis quelques poubelles en travers du chemin, dans l’ombre du virage, si quelqu’un se pointe on entendra parfaitement le bruit!

– Alors on y va dit alors Stephan, impatient à ses acolytes…

– Qu’est ce que vous voulez me faire …… pleurnicha Françoise apeurée .

– Qu’est ce que tu fais à tes enfants, quand ils désobéissent ou te font mal? L’interrogea Miloud.

Et Françoise s’entendit répondre, la voix mal assurée, tremblante :

– Je leur donne la fessée! Et vivement elle ajouta Mais c’est pas pareil… Ce sont des enfants, vous n’oseriez tout de même pas…

La suite lui prouva que si.

– Stephan bloque lui les bras, Charles tu prendras des photos!

Ceci dit Miloud la coinça de nouveau sur ses genoux, elle n’eut pas le temps de rouspéter, que déjà Stephan lui retournait les bras dans le dos et les lui bloquait d’une main, réservant son autre main pour un autre usage.

Malgré ses gigotements Miloud releva sa jupe bien au delà de la croupe .

Elle avait conscience, ainsi troussée de leur exposer ses deux globes ronds encore prisonniers de leur écrin de nylon.

Son mini slip vert devait encore renforcer l’attrait du spectacle, ils restÈrent quelques instants silencieux, immobiles, à contempler le joufflu livré à leur convoitise .

Puis d’une main, Miloud attrapa l’élastique du slip, et ainsi qu’on dépouille un lapin, il lui arracha son dernier voile.

L’élastique céda d’un claquement sec immédiatement suivi du grincement du nylon qu’on déchire.

Un premier éclair ponctua la première photo.

Miloud fourra les lambeaux de la culotte dans sa poche et attira l’attention de ses copains sur le postérieur ainsi dénudé .

Les trois se livrÈrent à nouveau à une longue contemplation, Françoise cherchait à serrer les fesses, afin de révéler le moins possible des secrets de son académie, mais Miloud lui avait écarté brutalement les jambes et sur, son injonction, Charles glissa une chaise entre ses chevilles.

Françoise avait pleine conscience d’être exhibée comme du bétail à l’étal, elle sentait les yeux de ses agresseurs courir le long de la vallée ombrée de sa raie, lisant comme dans un livre ouvert à la bonne page, découvrant d’abord l’anneau ridelé à la texture plus sombre de son anus puis tout de suite après le périnée, l’ouverture de son sexe, qui vu sa position devait bailler insolemment.

Elle en soupirait de honte, elle savait maintenant que rien ne les arrêterait plus, il était inutile de les supplier…

Malgré elle une louche langueur gagnait ses reins… Et l’autre qui continuait à prendre des photos!

La main s’abattit une premiÈre fois sur le majestueux pétard une vive douleur irradia alors sa croupe, la deuxième claque se faisait attendre, et c’est alors qu’elle décrispait ses fesses qu’elle arriva provoquant immédiatement un surcroît de douleur .

La technique de fesseur de Miloud était bien au point, les coups étaient violents, variés, donnés sur un rythme lent, il attendait toujours l’instant ou les fesses se détendaient pour frapper.

Les soubresauts de la victime obligeaient l’anus à s’entrouvrir révélant la chair sombre du tunnel, la langueur de Françoise avait évoluée, aux brûlures des premières claques avaient succédé des lames de feu qui lui traversaient les reins, irradiant dans son sexe qui était maintenant trempé, elle prenait son pied, peu à peu ses sanglots se transformèrent en soupirs et bientôt un long spasme la secoua sur les genoux de son agresseur.

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Julia, La Prof Ch. 02

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No Panties

– Chapitre 2 —

Le lendemain matin je me levais, je me touchai rapidement le cou pour sentir mon collier auquel on pouvait lire Lacy’s property. Ce n’était donc pas un rêve mais bien la réalité. Je regardais sur l’autre côté du lit en constatant que cette nuit-là mon chum n’y étais pas. Évidemment, je l’avais mis dehors à la demande de Lacy. Quel seras la réaction de Rebecca ma fille adoré quand elle apprendra que j’avais laissé mon mari et son père. Elle avait passé la nuit chez une amie heureusement pour moi car j’aurais eu énormément de misère à Dealer avec cette situation. Je me brossai les dents… je pris ma douche et je restai plus longtemps qu’à l’habitude essayant de m’acheter du temps de confort prévoyant une journée horrible avec Lacy qui avais maintenant tout le pouvoir sur moi.

Rendu en classe, je voyais les élèves qui ne fixaient pas mon collier. Il semblait en avoir rien à foutre et ce jasais entre eux comme à l’habitude. Je me tourna pour écrire au tableaux quelque équations mathématique..

CLAQUE!

Je venais de recevoir une forte claque à la fesse. Je me retournai pour constater que c’était Lacy qui me souriait. Les élèves me regardaient prévoyant une horrible réaction de ma part qui remettrait Lacy à sa place. Je baissais les yeux de honte en pointant timidement le bureau à Lacy puis continua d’écrire les équations. Les murmures commencèrent. Je n’osais même pas croiser le regard de ma fille qui devait trouver tout cela étrange également. Durant tout le cours, Lacy dérangeais les autres… elle cracha même au visage d’une fille qui est venu se plaindre mais je répondis que je n’avais rien vu et de ce calmer. Je savais bien que Lacy lui avais craché bursa escort au visage mais… je n’y pouvais rien… le passée étais revenue me hanter.

Après la classe, je rangeais mes choses et je me préparais à rentrer à la maison quand Lacy s’approcha de moi toujours avec ce même sourire arrogant.

Lacy : « Regarde ton accoutrement, de long pantalon… une chemise… jette moi sa à la poubelle. Demain et à l’avenir tu porteras ce que je t’enverrais plus tard à la maison. »

Je hochai de la tête, Lacy quitta en s’esclaffant comme une dingue sans retenue. Je retournai à la maison et en rentrant je dû m’expliquer avec Rebecca en lui disant que j’avais besoin de plus d’espace… que je me sentais excessivement mal et que je devais prendre du temps pour me reposer. Après le souper, on cogna à la porte. C’était ma tortionnaire qui avait un sac probablement remplie de linge que je devrais porter dorénavant. Rebecca aperçu Lacy, elle prit la direction de la porte d’entrée habillé en sport elle qui allais ce pratiquer au Basket-ball avec ses amies.

Lacy : « Tu joues au Basketball comme sa Reb’? »

Rebecca : « Ouais… je suis dans l’équipe de l’école »

Rebecca me regardais bizarrement ce demandant ce que Lacy fessais la, mon collier disais tout mais personne fessais de liens heureusement. Comme si « Lacy’s property » serais une marque commerciale. Je voyais bien que Lacy dévorais du regard ma fille Rebecca qui avais tout pour plaire mais je ne voulais pas qu’elle tombe dans les pattes de la famille à Lacy. C’était mon problème et mon sacrifice, impliquer ma fille là-dedans briserais tout… tout… quoi qu’il en soit, Rebecca partie. Je fermai la görükle escort porte derrière elle ce qui empêcha Lacy de lui regarder le derrière plus longuement, elle m’attrapa par les cheveux, baissa ses petite culotes d’armée et me mis la face dans sa chatte. Je lichais durant qu’elle regardait par la fenêtre de la porte ma fille. Après quelque coups de langue elle ce mis à avoir un orgasme. Elle était clairement très excitée. J’Avalai tout le liquide qui sorti de son corps comme à sa demande et également par expérience. On ne pouvait pas faire de faux pas avec eux.

Lacy : « Ouff… c’est donc ta fille Rebecca. Toute une chix. J’aimerais bien me la faire. »

Julia : « … Non lacy. »

Elle m’envoya une solide droite au visage, ce n’était même pas une baffe. Je tombai sur le dos mais repris aussitôt ma place pour qu’elle me crache dessus plusieurs fois.

Lacy : « Qu’est-ce que tu as dit salope? Tu as oublié ta place! »

Julia : « Tout… mais pas ma fille… jamais je ne permettrais que ma fille soit impliqué »

Lacy : « Oooohn… pourquoi donc elle est trop bien pour moi? »

Julia : « Non maitresse…mais… »

Lacy m’attrapa par les cheveux et tira de toutes ses forces ce qui fit extrêmement mal. Elle m’envoyant de solides coups de pied au ventre. Elle inséra ses deux doigts dans son anus et me les mis dans la bouche pour les remettre dans son anus en les faisans tourbillonnée dans celui-ci en profondeur pour me le réinsérée dans ma bouche. Un goût très fort… elle m’humiliait… mais j’étais encore là… agenouillée devant elle. Elle m’arracha violement le linge sur le dos et le jetais dehors… Elle monta dans ma chambre et bursa escort bayan pris tout ce qu’elle trouva dans mon garde-robe et le jeta devant l’entrée. Elle prit un sac de vidange et mis tout ce que j’avais dedans…

Lacy : « Tu es ma salope. Mon jouet. Je fais ce que je veux de toi, je t’ai donnée ton linge pour faire l’épicerie… allé à l’école… à l’église… n’importe où! Dorénavant ce seras ton linge! Je vais casser ton attitude! Tu ne vis que pour ME faire plaisir. DON’T FORGET IT BITCH! »

Julia : « Oui maitresse…mais… pas ma fille… »

Lacy : « What NERVES! Kidding me? Ouvre ta bouche et ne gaspille pas une goutte. »

Lacy mis son vagin sur ma bouche et commença à me pisser dans la bouche, je fermai les yeux ne croyant pas trop ce qui ce passais puis avala la pisse de ma maitresse. La langue me piquait. L’acidité y était présente. L’arrière-goût étais probablement ce qui étais le pire… elle riait en ce fouillant dans le vagin pour me remplir les cheveux de pisses en y passant sa main.

Lacy : « HAHAHAHAHA Deal… je ne toucherais pas à ta fille… mais tu es mieux de tout faire ce que je t’ordonne! »

Lacy quitta avec un sac poubelle remplie de mon ancien linge. J’étais remplie de pisse agenouillée devant la porte d’entrée nue avec un arrière-goût de pisse, de vagin et d’anus en bouche. Je me relevai tranquillement… ouvris le sac de lacy…

Que des jupes très courtes. Des tops bedaine exposant mon ventre. Comment allais-je faire pour rentrer dans tout cela? Comment les gens allaient me regarder habiller en quasi-prostitué. Je n’avais pas le choix… je devais protéger ma fille Rebecca et je ne sais pas pourquoi mais cette beauté sauvage qu’étais Lacy m’obsédais de plus en plus… Je la désirais… Lui avoir liché le vagin m’avais donné espoir. Sucré… Addictif… j’avais la chair de poule pendant que je lui lichais sa magnifique chatte. Si seulement elle pourrait ce calmer… si seulement…

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Le Voisin 02

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Blonde

ATTENTION: CETTE HISTOIRE EST UN FANTASME ET UNE PURE FICTION. JE NE CAUTIONNE AUCUNEMENT LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES. CE RÉCIT EST HARD, SI VOUS N’ÊTES PAS AMATEUR, PASSEZ VOTRE CHEMIN

*

Plusieurs jours s’écoulèrent sans avoir de nouvelles de notre maître chanteur. J’espérais peut-être qu’il allait nous laisser tranquille. De manière étonnante, j’en éprouvais aussi un peu de regret. Je devais me rendre à l’évidence, voir ma femme ainsi humiliée m’avait profondément excité et réveillé mes instincts les plus vils. Je regrettais de ne pas avoir de photos de cette scène surréaliste où mon voisin obèse et vulgaire abusait de ma belle épouse si distinguée. Seul le souvenir de cette soirée hantait mes rêves impurs.

Quant un samedi après midi, alors que mon épouse était partie faire les courses et que je jardinais, je vis le voisin s’approcher de moi. C’est le cœur battant que j’attendais de voir ce qu’il allait me dire.

– Alors toujours disposé à récupérer la dernière photo?

– Oui, bien sur.

– Alors tu donneras ça à ta salope de femme au petit déjeuner.

En me disant ça il me donna un nouveau flacon du liquide utilisé la dernière fois.

– Il y en a plus, parce que cette fois je vais avoir besoin d’elle plus longtemps. Dès qu’elle est dans les vapes, tu m’appelles.

A ces paroles, je sentais honteusement une prémisse d’érection.

Toute la soirée j’étais partagé entre la culpabilité de ce que j’allais faire le lendemain et l’excitation que cela me procurait.

J’étais réveillé très tôt. Ne pouvant plus rester au lit, je me levais et allais préparer le petit déjeuner. Je versais le précieux liquide dans le café au lait de mon épouse et montais le déjeuner au lit. J’observais très attentivement ma femme boire son café à grandes gorgées.

Un quart d’heure plus tard, elle était à nouveau dans un état second, ne répondant plus à mes questions, affalée sur le lit. J’enlevais avec précaution le plateau et l’observais dans sa chemise de nuit. Je ne pu m’empêcher de défaire les boutons et de faire sortir ses gros seins, aux aréoles larges et sombres. Je les attrapais à pleine main et les malaxais assez fortement. Mon épouse ne réagissait toujours pas. Je sortis alors mon sexe et, enjambant le corps de ma femme, le frottais contre ses seins, son menton, sa bouche. Lui ouvrant cette dernière, je me masturbais dedans et éjaculais en quelques secondes, excité de pouvoir prendre ce qu’elle m’avait refusé jusqu’à présent. Mon sperme disparu entièrement au fond de sa gorge et elle déglutit par réflexe.

C’est un peu honteux et pris de remords que je rattachais les boutons de sa chemise de nuit.

Je me dirigeais alors vers la porte d’entrée et dès que je l’ouvris, je vis celle du voisin s’ouvrir. Il devait guetter ma sortie. Je lui fis signe de venir et il se dirigea vers moi.

Il était habillé en vêtements kaki, un pantalon de camouflage et une veste avec de nombreuses poches sur le devant. Sa grosse bedaine tendait vers l’avant une chemise vert sombre. Il passa devant moi et en rentrant dans la maison demanda ou était ma petite épouse bandante. Je lui expliquais qu’elle se trouvait à l’étage, dans notre chambre. Sans se faire prier il monta les escaliers et se rendit dans la pièce en question. Mon épouse n’avait pas changé de position, les yeux toujours mi clos.

– Alors petite pute, tu attendais ma grosse bite pas vrai? Tu meurs d’envie de te faire baiser? Il va te falloir être patiente, mais tu vas avoir ta dose de sperme pour plusieurs mois, ne t’inquiètes pas… Pour le moment on va t’enlever cette chemise de nuit.

Comme j’avais pu le faire bursa escort quelques minutes auparavant, il défit les boutons les uns après les autres, enlevant complètement son vêtement. La tête de mon épouse tomba légèrement sur le côté et un filet de sperme s’échappa de sa bouche.

– Regarde moi ça, cette chienne à déjà goûté à du foutre aujourd’hui…C’était avant ou après le produit?

– …

– J’ai pas bien entendu?

– Après.

– Ah on dirait que tu commences à prendre goût à notre histoire. Bon je vais lui choisir des vêtements pour notre petite virée.

Ravalant ma honte, je le regardais ouvrir notre placard pour sortir une robe de soirée noire, très décolletée et fendue sur la jambe droite. Il sortit également les escarpins avec les talons les plus hauts que mon épouse possédait, au moins 10 cm.

– Aides moi à l’habiller, elle n’aura pas besoin de culotte et de soutien gorge, pour ce qui l’attend!

En l’habillant, il en profita pour lui peloter la poitrine violemment et la pénétrer avec un des ses gros doigts. Il me demanda de lui mettre ses chaussures pendant qu’il lui préparait une surprise. Je le vis alors sortir un plug de taille respectable, y cracher dessus, et l’introduire d’un coup dans l’anus de mon épouse, qui résista un peu avant de se détendre et d’accepter l’intrusion. Seul le bout aplatit dépassait. Ma femme ne broncha pas, restant dans son état léthargique. Il ajusta la robe, et mis mon épouse debout. Avec ses hauts talons et le plug, elle avait une silhouette très cambrée, ce qui avec cette robe la rendait très sexy. Mon sexe commençait à me faire mal dans mon pantalon. En la supportant chacun d’un côté, nous amenâmes ma femme jusqu’à ma voiture, où il l’installa à l’arrière à ses côtés, pendant que je prenais le volant. Il me guidait dans ma conduite. Tout en étant attentif à la route et à ses indications, je regardais par le rétroviseur et voyais notre maître chanteur qui avait posé une des jambes de mon épouse sur ses genoux et qui lui enfonçait deux doigts dans le vagin, puis trois. La vue était imprenable et je n’osais imaginer que quelqu’un de nos connaissances ne nous voit. Heureusement en ce dimanche matin, peu de gens étaient sur la route. Le sexe de ma femme était distendu par les gros doigts, mais elle restait toujours aussi impassible. Il ressortit ses doigts pleins de sécrétions intimes et il les lui enfonça dans la bouche pour les nettoyer. Mon excitation était à son paroxysme.

Sur ses indications, nous nous engageâmes sur un chemin de terre et après un kilomètre un peu chaotique, le chemin déboucha sur une clairière dans laquelle une cabane était érigée.

De nombreuses voitures et fourgonnettes étaient garées là et je reconnaissais un repère de chasseurs.

Le voisin ouvrit sa portière, rajusta la tenue de ma femme et la fit se lever. En la tenant par le bras, il l’amena vers la cabane. Je suivais derrière en contemplant mon épouse marcher difficilement sur un chemin caillouteux avec des hauts talons, une robe de soirée, un plug dans l’anus et en étant droguée. Je pensais avec honte et délectation aux humiliations qu’elle allait très certainement subir dans un avenir proche.

Lorsqu’il ouvrit la porte, je pus distinguer nettement une douzaine de chasseurs attablés qui tournèrent la tête vers nous. Ils finissaient apparemment de manger un casse croûte fortement arrosé de bière et de vin rouge.

– Salut les gars, comme promis, je vous amène une belle petite pute pour en faire ce qu’on veut toute la matinée.

Les commentaires allèrent bon train, tous plus grossiers les uns que les autres.

– Regardez görükle escort comme elle est sapée cette salope.

– On va la défoncer.

– Quand on sera passé sur ton cul tu pourras plus t’asseoir.

Parmi les hommes présents, je reconnu Roger, le cantonnier, une personne très frustre, à la limite de la débilité. La mairie l’employait pour faire preuve de charité.

Il ne disait rien mais regardait ma femme intensément se touchant en même temps l’entrejambe.

Ma femme fût emmenée au milieu de la pièce, des mains la frôlant mais n’osant pas encore aller plus loin. Le voisin attrapa ses deux seins et les fit jaillir de la robe, tout en tordant les tétons érigés. Cela donna le signal pour tous les autres qui se regroupèrent et tripotèrent mon épouse de partout. La robe fut vite troussée autour de la taille, présentant à tous les fesses et la toison auburn. Le plug, visible, déclencha une salve d’insanités. Des doigts s’insinuèrent dans le vagin, fouillant le plus profond possible. Un des chasseurs retira le plug et le remplaça par deux de ses doigts. Tous voulaient avoir leur part de cette femelle qui leur était offerte.

Ma femme fût allongée sur la table et le premier chasseur présenta son sexe, de taille respectable, à l’entrée de ses lèvres intimes. Il frotta doucement, presque délicatement son gland sur le clitoris, avant de s’enfoncer d’un coup de toute sa longueur en jetant un « ah, qu’elle est bonne cette salope », en positionnant ses jambes sur ses épaules. Les autres s’étaient arrêtés pour le regarder quelques secondes, et puis ils reprirent leurs attouchements. Un présenta sa verge érigée à la bouche de ma femme, lui boucha le nez pour qu’elle l’ouvre et l’enfourna immédiatement. Les autres malaxaient ses seins, se caressaient ou prenaient des photos avec leurs portables. Celui qui la besognait lui mettait maintenant de gros coup de boutoir, faisant tressauter ses pieds toujours chaussés d’escarpins à chaque va et vient. Celui qui s’occupait de sa bouche se contracta et lui enfonçant encore un peu plus son membre au fond de la gorge déchargea sa semence. En voyant ça, celui qui la besognait poussa un râle de jouissance et se rependit dans son vagin.

De mon côté, j’avais déjà joui en regardant le spectacle.

Les deux furent vite remplacés par deux autres et ainsi de suite. Au bout d’une heure de ce traitement, seul le voisin et le cantonnier n’avaient pas pris leur tour. Le voisin avait sorti son sexe avec son gland énorme et le masturbait sur toute sa longueur, attendant son tour. Quand le dernier chasseur eut prit sa part de plaisir, il plaça mon épouse sur le ventre, récupéra sur ses doigts du sperme qui s’écoulait de manière continue de son vagin et les enfonça lentement dans son anus. Son œillet résista un peu, puis s’ouvrit lentement, laissant pénétrer deux doigts, puis trois. Ma femme poussait de petits gémissements, qui auraient pût ressembler à du plaisir Après plusieurs aller retours, il présenta son gland disproportionné et appuya de tout son poids. L’anus s’ouvrit et à mon étonnement absorba l’énorme insertion assez facilement. Une fois le gland passé, l’ensemble du sexe disparût. A la vue de la scène, plusieurs chasseurs se masturbèrent, surtout à l’écoute des mots crus qui suivirent:

– Alors sale petite pute, tu ne pensais pas que j’allais t’enculer comme une chienne quand tu me regardais de haut. Ca te fait quoi d’avoir un gros chibre dans le fion, espèce de salope? T’en redemandes hein?

Et effectivement, pour la première fois, ma femme semblait avoir une réaction, poussant des petits cris qui ne pouvaient être que de plaisir bursa escort bayan pour finir par un gros râle de jouissance quand le voisin se déversa en elle en proférant des insanités. Les chasseurs qui se masturbaient jouirent sur sa tête, son visage, s’essuyant avec ses longs cheveux. Quand le voisin sortit son sexe du fondement de mon épouse, un bruit se fit entendre et un flot de sperme jaillit.

C’est alors que le cantonnier défit son pantalon et dévoila une anatomie inhumaine. Son sexe arrivait à ses genoux, il devait mesure au moins 35cm, si ce n’est 40…Très gros, il n’était pas dressé, car cela semblait physiquement impossible. Le voisin éclata de rire en voyant ma surprise et me dit:

– On te présente l’Anaconda. La nature lui a mis dans le caleçon ce qu’elle ne lui a pas mis dans la tête!

Etant donné l’engin, j’en concluais qu’il était encore plus attardé que je ne le pensais.

Il s’approcha de ma femme, et sans dire un mot, tenant son membre à deux main, frotta son gland sur les lèvres déjà lubrifiées par les éjaculations précédentes et le fit pénétrer, lentement. Il poussa au maximum, mais seulement la moitié de sa verge avait pénétrée le sexe distendu. Il commença alors des va et vient, poussant chaque fois un peu plus fort, un peu plus loin.

Pendant ce temps le voisin prend des photos et des films avec son appareil.

Au bout de 10 minutes de ce traitement, les trois quarts de son engin étaient acceptés par la matrice de ma femme. Il saisit alors une canette de bière vide et l’enfonça dans l’anus, déjà bien distendu par l’enculage du voisin. Il alternait ensuite les coups de butoir et l’utilisation de la bouteille comme godemiché. Ma femme poussait des cris de jouissance de plus en plus fort, emplissant la cabane du son de sa voix. Ce traitement dura une vingtaine de minutes et alors que mon épouse poussait alors des râles ininterrompus, un liquide transparent jaillit de son sexe, se répandant sur ses cuisses et par terre. Le voisin me déclara alors:

– Je suis sur que tu ne savais pas que ta salope était une femme fontaine. Rien de tel que de la laisser aux mains de l’Anaconda pour la dévoiler. Son corps est plus réceptif que son cerveau de bourge.

Le cantonnier déchargea peu de temps après, sortant son sexe juste avant et éclaboussant le dos de ma femme de longues traînées blanchâtres.

Ma femme s’écroule par terre, terrassée par la jouissance. Je cherche de quoi essuyer les sécrétions masculines et féminines qui la souillent, mais le voisin intervient:

– Laisse on a un moyen infaillible.

Il ouvre alors la porte et fait rentrer la meute de chiens qui se pressent autour et nettoient de leur langue avide tout le corps de mon épouse, s’insérant dans tous ses orifices. Après quelques minutes de ce traitement, elle est luisante de salive canine mais propre.

Mon voisin m’aide à la remettre dans la voiture enveloppée d’une couverture. Il me tend la dernière photo de mon forfait en me disant que je l’ai bien mérité:

– La prochaine fois que tu essaies d’arnaquer une assurance, fais bien attention de pas te faire choper

– …

– Mais j’ai pas l’impression que cette aventure ne t’ai trop déplu, alors si t’as envie qu’on essaie de rendre ta femme plus salope, d’un point de vue volontaire cette fois, n’hésite pas à m’appeler, je pense avoir un moyen pour cela!

J’ai ramené mon épouse à la maison, lui ai donné un bain et remise au lit. Quand elle s’est réveillée elle me demanda pourquoi elle était encore au lit en plein après midi. Je lui dis qu’elle avait eu un accès de fièvre et qu’elle avait un peu déliré, puis que je lui avais donné un calmant pour la laisser se reposer. Elle me dit qu’elle avait mal partout et qu’elle allait rester couché, que c’était sûrement une grippe.

Je me dis que la grippe avait bon dos et pensais rêveusement à la dernière proposition de notre voisin…

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Claudine, Professeur de Français 11

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Alpha Male

Cette histoire tirée de mes archives a été écrite il y a une dizaine d’année par un certain Geronimo. Aujourd’hui vous pouvez trouver sur ce site certaines de ses histoires sous le pseudo Elko. Mes remerciements à cet auteur.

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Un silence pesant règne dans la Mercedes qui nous ramène chez moi. Jessica nous a de nouveau humilié Sylviane et moi en nous exhibant dans le centre-ville, nous faisant rougir de honte en croisant des personnalités qui nous ont dévisagées, choqués de voir ces deux femmes respectables habillées comme des putes.

Nous entrons dans mon pavillon et nous devons nous déshabiller. La séance d’« exorcisme », que ce prêtre pervers a infligé à Sylviane, a beaucoup amusé Jessica et elle raconte la scène à Rachid et Bruce. Sylviane a enlevé ses vêtements et elle déambule dans le salon uniquement vêtue de ses talons rouges et ses bas blancs.

Pour ma part, Rachid a soulevé ma jupe dévoilant mes bas gris et il a ouvert mon chemisier, baissant mon soutien-gorge. Mes seins sont à la vue de tous et Bruce ou Rachid ne se prive pas de me les triturer à chaque occasion.

Il est midi et nous devons préparer le repas et faire le service accompagnées par Charles et Paul, qui n’est plus habillé en soubrette. Ils sont nus tous les deux, l’érection de leurs sexes entretenue régulièrement par Jessica ou Leila qui toutefois leur interdit d’éjaculer. Nous mangeons ensemble dans une ambiance glauque, Paul et Charles étant masturbés par Leila qui est assise entre eux deux pendant que Sylviane coincée entre Rachid et Jessica se fait peloter ses gros seins. Bruce lui plonge régulièrement deux doigts dans ma fente. J’ai l’impression que le repas dure des heures.

Rachid prend son portable et appelle plusieurs personnes leur donnant rendez-vous dans le nouveau parking souterrain que la Municipalité a fait construire. Jessica et Leila nous entrainent Sylviane et moi dans ma chambre en nous annonçant une promenade dominicale. Nous devons nous déshabiller totalement et mettre les vêtements que nous tendent nos « maitresses ». Je dois enfiler un élégant tailleur blanc sur des bas blancs avec les inévitables talons aiguilles également blancs. Sylviane, elle, porte une jupe droite serrée avec des bas nylons et une veste avec un col en fourrure sans rien en dessous bien sûr. Habillée, pour une fois, très bourgeoise, Jessica m’explique qu’en fait nous allons retrouver des internautes qui par le biais du site internet ont souhaités rencontrer ces deux bourgeoises salopes. Elle précise avec un sourire pervers que nos maris nous accompagnent cette fois.

Nous prenons la Mercedes et nous nous dirigeons, de nouveau, vers le centre-ville. Nous arrivons très vite devant le parking et descendons la rampe d’accès. Le responsable de la caisse, qui pour une fois n’est pas automatisée, nous annonce le prix pour 2 heures et bien entendu, je suis contrainte de payer. Nous nous garons dans le troisième sous-sol du parking. Comme dans tous les parkings souterrains, l’atmosphère y est oppressante, glauque. Le peu de luminosité et nos talons aiguilles qui résonnent me font frissonner.

Nous nous dirigeons vers le fond du parking ou j’aperçois cinq personnes qui attendent. Ils sont d’âge et de physique différents. Il y a un jeune, d’à peine vingt ans, je pense et un autre beaucoup plus âgé certainement un retraité, un gros, presque obèse, un autre a un physique vraiment ingrat et doit rêver de se taper deux belles bourgeoises, le dernier est tout petit. Rachid s’approche d’eux et horrifiée je l’entends leur parler du tarif. Une fois de plus, nous sommes prostituées par ces pervers et devant nos maris. La transaction financière se termine très vite, ils payent tous sans rechigner, impatients qu’ils sont de pouvoir se taper ces deux bourges qui les font fantasmer sur internet. Rachid se tourne vers Jessica et lance :

– C’est bon, tu peux déballer la marchandise!

Je suis outrée d’être traitée de marchandise mais je ne proteste pas quand Jessica s’approche de moi et soulève la jupe de mon tailleur découvrant mes longues jambes gainées de bas blancs. Elle ouvre également la veste de mon tailleur exhibant mes seins. Les cinq hommes nous dévisagent le regard fou en ricanant, commençant à nous traiter de salopes. Sylviane a été forcée de se mettre à quatre pattes sur le sol du parking, la jupe tirebouchonnée autour de la taille, dévoilant son cul. Leila lui donne des claques faisant bursa escort rougir ses grosses fesses et la contraint à avancer vers le groupe d’hommes. Certains ont commencé à sortir leurs bites fièrement dressées. Elle n’a pas le temps de protester. Une queue épaisse s’engouffre dans sa bouche manquant l’étouffer. C’est le « papy » qui lui fait coulisser sa verge dans sa bouche en soufflant et en l’insultant.

Le plus jeune faufile une main dans l’échancrure de la veste et lui pince la pointe d’un mamelon la faisant couiner de douleur. Un des hommes, accroupi derrière elle, enfonce ses doigts dans sa fente et la branle.

Jessica me force à m’agenouiller également et je dois me diriger vers une voiture ou s’est adossé un des hommes, le sexe tendu. Je me positionne entre ses cuisses et j’avale sa queue, ma tête monte et descend sur le membre dressé. Je m’active, la mâchoire distendue par le calibre impressionnant du type. Il appuie sur ma tête m’obligeant à engloutir encore plus loin son sexe. J’entends Sylviane gémir et je l’aperçois toujours en train de sucer le papy tout en alternant avec le gros. Leila lui tanne le cul et ses claques résonnent dans le silence du parking. Le papy fait soudain le tour et pénètre Sylviane en poussant un soupir, il lui agrippe les hanches et commence à la pistonner à grand coups de reins, faisant claquer son ventre contre ses fesses.

Celui que je suis en train de sucer s’active soudain faisant coulisser sa queue de plus en plus vite entres mes lèvres pulpeuses et me lâche un torrent de sperme dans ma bouche me contraignant à tout avaler en me tenant solidement la nuque. Je me relève et aperçoit Paul, mon époux, en train de baiser Leila sur le capot d’une voiture. Je réalise que mon mari s’entend très bien avec ma tortionnaire et je trouve cela offusquant et choquant.

Sylviane pousse un hurlement étouffé par la bite qu’elle en train de sucer et je tourne la tête vers elle. Le vieux pervers lui a enfoncé sa bite dans le cul et il la sodomise violemment.

Rachid s’approche de moi et m’allonge sur le sol crasseux du parking, mon élégant tailleur n’est plus si blanc. Bruce, Rachid et Charles, les yeux luisants s’approchent de moi et se mettent à genoux. Ils me caressent les seins, les jambes, ma chatte. Je m’offre sans aucune pudeur aux mains qui me fouillent.

Le papy pervers éjacule sa semence sur le dos de Sylviane en poussant un râle pendant que celui qu’elle suce lui déverse tout son foutre sur son beau visage de bourgeoise distinguée. Elle est trainée à côté de moi et on nous force à nous mettre à quatre pattes. Sylviane, le sperme coulant sur son visage, doit sucer le membre qu’on lui présente et elle fait une grimace de dégout. Derrière elle, le gros lui enfonce sa bite dans son anus et se met à aller et venir lentement prenant son temps.

Je subis le même sort et je gémis de douleur quand la queue d’un de nos « clients » me pénètre sans précaution. On me pince le nez, me forçant à avaler une bite qui appartiens à je ne sais qui. Je lui tête le gland en salivant dessus.

Le plus jeune se faufile sous Sylviane et s’amuse à lui téter les seins. L’obèse qui encule Sylviane éjacule le premier avec un cri rauque. Il lâche son foutre au fond de son cul. Celui que je suce m’arrose le visage de sa semence épaisse. Le type que suce Sylviane jouit a son tour, lâchant des trainées de sperme sur ses lèvres, son nez, son menton. Des filaments coulent sur ses seins.

Nous restons toutes les deux, haletantes, fiévreuses, à quatre pattes dans une posture de soumission qui excite encore plus nos bourreaux. On m’oblige, à petits coups de langues, à lécher le sperme qui souille le visage de Sylviane. Tous les hommes font cercle autour de nous, nous regardant avec lubricité. Les commentaires vont bon train :

– Quelles deux belles salopes, jamais vu ça.

– Ces bourgeoises! Toutes des chiennes en chaleur.

– Des vraies putains!

Le papy s’avance et me caresse les fesses avant de m’enfoncer un doigt dans l’anus.

– Ça m’excite de défoncer le cul de deux bourgeoises, ça te plait aussi hein salope? Me lance-t-il.

La tête baissée, je ne réponds pas mais je pousse un gémissement quand il tourne son doigt dans mon cul et le fait coulisser. Puis il m’enfonce deux doigts, puis bientôt trois. Et c’est toute sa main qu’il réussit à introduire dans mon rectum. Deux des cinq hommes sont obligés de me bâillonner de leurs mains pour görükle escort étouffer mes hurlements.

– Allez! ricana le vieux pervers, un petit Fist Fucking n’a jamais tué personne! Et ton cul en a vu d’autre ma salope!

Il fait coulisser son poing dans mon cul quelques minutes puis le retire, me laissant haletante. Un des hommes se positionne derrière Sylviane et appuie son gland contre l’anus. Il pousse et introduit sa bite dans l’orifice. La saisissant aux hanches, il fait coulisser sa queue dans son anus et lui donne de grands coups de reins. Sylviane a poussé un cri strident. Il continue de la limer sans se soucier de ses plaintes. Il se retire soudain et se plaçant devant elle, il se vide par saccades sur le visage de Sylviane.

Toujours positionnées à quatre pattes dans ce parking désert, Sylviane et moi sommes maintenant léchées par tous ces pervers qui introduisent leurs langues dans notre chatte, nos trous du cul. Tous nos orifices sont explorés, fouillés. Nos seins sont malmenés par des mains avides qui les tirent, les malaxent sans aucuns ménagements. On nous oblige à sucer des doigts couverts de sperme puis à nous embrasser langue contre langue.

Nous devons sucer sous la contrainte nos propres maris qui n’ont pas l’air gêné du tout. On allonge Sylviane et l’Obèse la pénètre et la lime furieusement. Il jute dans son ventre la remplissant de sperme. Puis elle doit le sucer pour le nettoyer.

Le plus jeune et le vieux pervers décident de s’occuper de moi, ils me prennent en sandwich, un dans ma chatte, l’autre dans mon cul alternant leurs coups de bites, faisant balloter mes seins. Un autre enfonce sa queue dans ma bouche. Celui qui m’encule bouge de plus en plus vite dans mon cul et finit par éjaculer. Celui que je suce décharge dans ma bouche m’envoyant son sperme au fond de ma gorge. Le dernier se dégage et m’éjacule sur le visage.

Nous avons été baisées Sylviane et moi pendant des heures enculées un nombre incalculable de fois, soumises à toutes les dépravations de ces pervers. On a éjaculé sur nos cheveux, nos chattes, nos culs, nos bouches, souillant nos visages. Nous sommes remplies de sperme. Nous en avons sur tout le corps. Nous avons été prises de toutes les façons, dans toutes les positions. Leila et Jessica nous prennent alors à part et nous demandent de leur sucer la moule. Nous protestons, n’en pouvant plus.

– Tais-toi, la bourge! tu n’es qu’un sac a foutres, une trainée!

Je suis saisie et plaquée au sol, jambes écartées. Leila s’est assise sur mon visage et frotte sa moule sur mon nez et mes lèvres. Elle me barbouille le visage de sa mouille. Je suis forcée d’ouvrir la bouche pour lui lécher la chatte et lui pomper le clitoris. Sylviane subit le même sort avec Jessica pendant qu’un des hommes la baise furieusement. Puis nous devons sucer Leila et Jessica en donnant de grands coups de langue sur leurs chattes dégoulinantes, les faisant jouir.

C’est à ce moment que surgit le gardien du parking, celui qui était à la caisse. Il est accompagné d’un pitbull menaçant, les babines retroussées. Il nous menace d’appeler les flics si on ne dégage pas rapidement les lieux. Rachid, Bruce et Jessica s’approchent de lui et commencent à lui parler. Nous sommes relevées Sylviane et moi et on nous débarbouille la figure, enlevant le sperme avec un mouchoir. Le gardien change d’attitude, nous regardant avec une lueur perverse dans le regard. Ce n’est pas compliqué de comprendre ce qu’on est en train de lui dire. Il s’approche de moi, le chien a ses coté.

– Alors, la bourgeoise? On fantasme dans les parkings souterrains? On veut se faire prendre à la chaine, comme une vulgaire pute?

Je reste sans voix. Voilà donc ce qu’ont imaginé Rachid et Bruce. Il me pousse vers le capot d’une voiture et ordonne à Sylviane de faire la même chose. Nous devons nous allonger, les escarpins posés sur le pare-chocs de la voiture. Je pense qu’il va nous prendre mais le gardien est bien plus pervers. Il tire sur la laisse de son chien, le faisant avancer vers la fente de Sylviane qui instinctivement serre les cuisses. On la frappe sur les seins et elle se repositionne correctement, dévoilant sa fente.

Le chien s’approche en grognant et il se relève, posant ses pattes sur le capot. De cette manière, il est à la hauteur de la vulve de Sylviane. Il approche le museau et commence à lui lécher la fente. Sylviane pousse un « Ho » de surprise et de dégout mêlé. bursa escort bayan Sa truffe s’enfonce de plus en plus loin. Perdant toute dignité, Sylviane halete en secouant la tête dans tous les sens, ouvrant largement les cuisses. Le chien ouvre la gueule, pointant sa langue, l’enfonçant dans le vagin de Sylviane. Il lape les gouttes de mouille qui s’en échappe. Sylviane ouvre la bouche mais aucun son n’en sort comme si elle étouffe. Elle pousse tout à coup un petit cri et jouit dans un spasme. Elle ferme les yeux, tentant de reprendre son souffle. Le gardien s’approche de moi sortant sa bite gonflée à bloc.

– J’en peux plus salope, tu vas me sucer la bite.

Trop heureuse d’échapper au chien, je me relève, me mets à genoux et prends sa bite dans ma main, le masturbant un peu avant de l’enfoncer dans ma bouche. Elle est dure comme l’acier et je commence mon mouvement de va et vient, lui pompant le gland. Il me demande de m’appliquer, me menaçant de me faire baiser par le chien. Frémissante a cette idée, je fais du mieux que je peux, lui suçant le gland, lui léchant la hampe, lui malaxant les couilles. Il me relève brusquement, me fait pivoter contre le capot. Courbée en avant, les seins écrasés contre la tôle, je pousse un cri quand je sens soudain la langue du pitbull me lécher la fente. Ce gardien est diabolique, il m’a fait croire que j’échapperais au chien alors qu’il en est rien. J’entends les autres éclater de rire. Le chien enfonce sa langue dans mon vagin puis il lèche mon anus. Il revient au vagin, il enfonce sa langue de plus en plus loin. J’halète, c’est une sensation extraordinaire, à la fois écœurante et terriblement excitante. Je suis sur le point d’avoir un orgasme quand je sens que le gardien repousse le chien. Je pousse un cri de frustration mais il enfonce sa bite dans ma chatte me tenant solidement aux hanches et commence à me donner des coups de reins puissants.

A côté de moi, Paul, mon mari, baise Sylviane comme une brute sous le regard pervers de son mari, Charles. Le gardien accélère ses coups de reins et éjacule sur mon dos. Sylviane gémit a côté de moi, poussant des petits cris, se tordant sous les coups de boutoirs de mon mari. Celui-ci se retire soudain et lâche son sperme sur le ventre de Sylviane. Nous nous relevons, exténuées, vidées. Les cinq internautes et le gardien prennent congés de nous et nous nous dirigeons vers la Mercedes pour rentrer. Jessica se penche vers moi :

– Pour demain, après les cours, nous irons dans le chantier qui est coté du pavillon. T’as remarqué comme les ouvriers te reluquent chaque fois que tu passes devant? Je suis sûre qu’ils seraient ravis que je t’y emmène toi et l’autre salope!

Je n’ai pas le temps de répondre. Une voiture surgit soudain faisant crisser ses pneus, trois hommes en surgissent, pistolet au poing, en criant :

– Police!

Tout le monde reste immobile. J’aperçois soudain Pierre, mon gendre, sortir d’une autre voiture avec un homme. Pierre s’approche de moi et me prend dans ses bras.

– Le cauchemar est fini belle maman.

Il me présente l’homme a côté de lui, un commissaire de police à qui il a tout raconté. On passe les menottes à Jessica, Leila, Rachid et Bruce. Pierre m’explique qu’une « souricière » a été montée dès le matin et qu’ils nous ont suivis pour les prendre en flagrant délit. Une pensée sournoise me traverse l’esprit ils auraient pu intervenir plus tôt. Les policiers ont bien du se rincer l’œil.

Leila, Rachid, Bruce et Jessica sont emmené au SRPJ pour être mis en garde à vue. Plus tard je raconterai mon histoire à un officier de Police Judiciaire qui m’auditionnera pendant des heures. Pendant que je lui explique comment je suis devenue l’esclave de ses jeunes, comment ils m’ont contrainte à me prostituer dans un bar, une cave et même un sex-shop, je me demande si il bande.

Leila, Jessica, Bruce et Rachid ont été condamnés à quinze ans de prison ferme pour agressions sexuelles. Je sais qu’aujourd’hui Bruce et Rachid sont devenus les « vides-couilles » des Caïds de la prison. Y a une justice quand même. Le Maire a gagné les élections municipales et Sylviane est devenue 1er Maire Adjointe. Il parait qu’elle est la maitresse du Maire. Anne-Sophie et Pierre se sont mariés et ont ouvert un cabinet d’avocat qui marche très bien. Quand a moi, J’ai changé de lycée et de région pour oublier cette terrifiante histoire. Mais ma vie je dois bien le reconnaitre à complètement été bouleversée. J’ai divorcé et je vis avec un homme plus jeune que moi. Il est adorable mais il a des fantasmes. Nous allons tous les week-ends dans une boite échangiste. Il adore me voir me faire baiser par d’autres hommes que lui. Que les hommes peuvent être cochons!

FIN

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Le Club – Partie 25

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MARINE

Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe d’hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d’écraser toute la région sous leurs bottes et de soumettre de jeunes femmes innocentes à leur bon plaisir.

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d’affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l’élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l’homme politique le plus influent de toute la région. C’est surtout le produit d’une éducation chrétienne stricte qui l’a frustrée pendant toute sa vie et dont il s’est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c’est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services. Il a décidé de diversifier ses affaires en achetant un bar plus que particulier où il fait travailler ses victimes.

Guillaume Uron, 29 ans, c’est un riche héritier aux tendances psychopathes. Il a participé à la ruine de Sabato Orso, l’un des hommes les plus puissants de la ville et s’est notamment emparé d’Excelsior, son hôtel de luxe. Il est aussi le propriétaire d’un bar à pute.

Jean Laroquette, 58 ans, directeur de l’école Oscar Bono, c’est le responsable de l’académie où sont scolarisés tous les enfants de la haute société de Lilleland mais aussi un pervers de la pire espèce.

Antonin Marius, 41 ans, commissaire de police, c’est le chef de la police de Lilleland qui cache un pourri de la pire espèce sous des allures d’homme intègre.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c’est la femme d’un notable reconnu qui s’est compromis dans de sales affaires d’escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d’Angel qui s’est emparé de tous ses biens et s’est installé chez elle, la transformant en esclave entraînant sa fille Laura, 18 ans, avec elle.

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d’hébergement pour sans abri, victime d’un chantage de la part d’Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Jennifer Guillot, 19 ans, jeune marginale du centre. Angel provoque sa chute et la transforme en esclave afin de piéger Anne-Marie Leo, 25 ans, assistante sociale dans ce même centre.

Sandrine Forci, 40 ans, bourgeoise, voisine d’Angel, elle a eu le malheur de défier ce dernier qui s’est vengé en la contraignant de devenir son esclave pour éviter la ruine de sa famille.

Madeleine et Sarah Bonnet, 19 ans et 18 ans, lycéennes, manipulées toutes les deux par le juge avec l’aide d’un voyou nommé Jérôme (par la suite assassiné par le juge), elles sont désormais les esclaves sexuelles du vieillard lubrique.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Muriel et Sandra Guri, 20 ans, serveuses. Filles d’un homme d’affaire, elles doivent désormais se plier à la volonté de Diaz pour rembourser les dettes de son père.

Delphine Rugol, 27 ans, fonctionnaire. Elle a perdu une énorme somme d’argent en jouant avec Diaz qui désormais l’oblige à travailler dans son bar en extra et en profite pour abuser d’elle quand il le désire.

Caroline Georges, 32 ans, ingénieure et responsable de projet au conseil régional. Diaz a découvert qu’elle est en réalité un imposteur et il se sert de ce secret pour la faire chanter.

Harmony Vega, 22 ans, ancienne responsable d’accueil d’hôtel, Uron l’a jetée à la rue et contrainte à finir par travailler comme prostituée dans son bar pour survivre.

Angelica Rubicosa, 23 ans, superviseuse à l’hôtel Excelsior. Pour sauver sa situation, cette jeune femme a d’abord dû se vendre à Diaz avant de devenir l’esclave d’Uron.

Bella Cathy, 32 ans, Lieutenant — colonel de l’armée. Uron a découvert un secret dans son passé et réussit à soumettre cette femme forte.

Sonia Ordoz, 20 ans, étudiante, fille d’un riche notable prise en train de tricher à un examen important, elle est devenue l’esclave de Laroquette pour ne pas être déshéritée par son père.

Anita Fuentes, 26 ans, professeure, réfugiée politique, Laroquette a réussi à compromettre ses chances d’obtenir un permis de séjour et désormais elle est obligée de se plier à sa volonté sous peine d’être expulsée dans son pays d’origine où elle est condamnée à mort par la dictature.

Morgane Bastier, 18 ans, lycéenne, Laroquette lui fait subir un lavage de cerveau pour en faire sa parfaite petite esclave.

Amanda-Jean Carpenter, 30 ans, policière interrégionale, victime d’un chantage de la part de Marius qui tient sa sœur Olivia, 22 ans, en otage qui l’oblige à se plier aux désirs de Diaz.

Anna Belknap, 28 ans, experte scientifique de la police de Lilleland, et Serena Southerlyn, 34 ans, procureure, Marius a découvert qu’elles avaient envoyés un innocent à la mort et se sert de ce secret pour abuser d’elles à chaque fois qu’il bursa escort le désire.

Gwendoline Blouse, 18 ans, sans profession, une jeune fille qui a subi les foudres du « Club » en tentant de faire chanter Christine Veron.

LES ENNEMIS DU CLUBS :

Thierry Diomandé, 41 ans, détective privé, père d’Opale Opaline, victime décédée d’Angel, c’est aussi un ancien policier qui a connu une guerre larvée vieille de 10 ans.

Thomas Serfati, 40 ans, appelé aussi le « frère », considéré comme un anti-héros à Lilleland, il a naguère combattu son frère, l’ancien chef de la pègre de la région dans une lutte qui s’est terminé dans le sang. Aujourd’hui, il revient à Lilleland pour aider son ami Thierry à venger sa fille.

L’unité de traque des criminels dangereux, c’est l’équipe d’Amanda-Jean Carpenter composée notamment de William Fossett, Jason Pantkin, Emily Proctor, Shemar Morgan et Spencer Gubler. Ils ont décidé de sauver leur amie en se lançant dans une enquête illégale sur les exactions du « Club ».

CHAPITRE 1

Accoudé à sa table, Vincent Gouffran s’abimait dans l’admiration de son verre de pastis. Il fallait dire que l’ambiance de la « taverne », le bar où il avait retrouvé Patrice, son camarade de virée habituel, n’incitait pas à l’euphorie. Ce petit troquet sous-terrain était quasiment désert en ce mercredi soir et les deux hommes ne pouvaient compter que sur l’alcool pour leur remonter un peu le moral.

-On recommande une tournée? Proposa Patrice en terminant sa bière.

Vincent haussa les épaules ; de toute manière, il ne travaillait pas le lendemain matin et personne ne l’attendait à la maison. Alors qu’il s’apprêtait à héler la serveuse -qui devait être la seule femme à peu prés potable présente ce soir- Patrice lui tira alors vivement sur la manche. Vincent se retourna alors vers la porte d’entrée et vit les deux superbes femmes qui venaient de rentrer. Elles furent comme une apparition dans cette ambiance déprimante. La plus petite était châtain aux cheveux mi-longs avec des yeux noisette et un teint assez mat alors que l’autre, plus grande de 10 centimètres, avait de longs cheveux roux et une peau très claire qui faisait ressortir ses yeux bleus. Bien que la fille châtain fut très belle, Vincent n’arrivait pas à détacher son regard de la rousse qui aimantait l’attention des quelques hommes présents dans la « taverne ». Cependant, il ne se faisait aucune illusion : il n’avait aucune chance avec une telle femme.

Les deux nouvelles venues s’assirent au comptoir et commandèrent. Patrice et Vincent restèrent silencieux à les dévisager sans vergogne tant ils étaient fascinés par leur beauté. La fille châtain se tourna légèrement pour embrasser toute la pièce du regard avant de revenir échanger quelques mots avec sa camarade. Vincent eut alors l’étrange impression que la rousse le fixait mais il se dit qu’il se faisait des idées puis la châtain se leva et se dirigea vers eux.

-Bonsoir messieurs, salua-t-elle en se penchant afin de leur permettre d’admirer son décolleté plus qu’avantageux. Mon amie et moi sommes seules pour la soirée, accepteriez-vous que nous nous joignons à vous?

Vincent ouvrit la bouche mais fut incapable de prononcer le moindre et même Patrice, pourtant plus dégourdi, fut pris au dépourvu par cette proposition totalement inattendue. Il se reprit cependant très rapidement.

-Nous serions enchanté de vous payer un verre, invita-t-il les yeux brillants d’excitation.

La fille se tourna alors vers la rousse qui se leva à son tour pour s’approcher d’eux et Vincent eut l’impression que le monde cessait d’exister autour d’elle.

La soirée changea alors du tout au tout pour les deux hommes avec l’intrusion de ces deux créatures de rêve dans leur monde. La châtain s’appelait Mathilde et elle leur dit être étudiante alors que l’autre, visiblement un peu plus âgée, se nommait Martina et parlait avec un étrange accent que Vincent ne put identifier. Elle affirmait être russe mais pourtant il était sûr de dénoter des pointes anglo-saxonnes dans sa voix. Il était tellement hypnotisé par son regard azur qu’il n’osa pas lui préciser ce paradoxe. Ainsi, toute la soirée s’étendit en banalités de toutes sortes sans qu’aucun de ces deux hommes banals ne réalisent la chance incroyables qu’ils avaient de se retrouver à la même table de ces femmes superbes et visiblement de 10 ans leurs cadettes. Puis comme si les choses n’allaient pas assez vite à son goût, Martina glissa sa main sous la table et caressa l’entrecuisse de Vincent au travers du tissu de son pantalon en jean. Ce dernier se tendit de surprise en fixant un point au lointain. Quand il retrouva ses esprits, il se rendit compte que Patrice faisait lui aussi une tête ravie indiquant que Mathilde se montrait tout aussi entreprenante que sa camarade.

-Cet endroit est d’un ennui, glissa Mathilde. Si nous allions quelque part où nous pourrions nous amuser beaucoup plus?

-Nous amuser plus? Répéta bêtement Patrice.

-Vous savez, je ne porte pas de culotte, görükle escort précisa Martina.

Le message était clair et cette fois Vincent réagit au quart de tour. Il sortit son porte-monnaie pour payer les consommations et se leva pour aider Martina à remettre sa veste. Il avait l’occasion unique de coucher avec cette femme fabuleuse et il comptait bien en profiter.

Ils remontèrent les escaliers qui permettaient de quitter la « taverne » pour se retrouver dans la chaleur agréable de la nuit de l’été de Fortlud. Les filles proposèrent alors de les conduire vers chez elles et ils acceptèrent bien volontiers. Le petit groupe descendit donc les rues étroites de la ville pour finalement arriver dans un parc désert. Les filles leur firent traverser un pont suspendu pour se retrouver dans un jardin isolé aux pieds d’une petite élévation de granite. A ce moment-là, elles se retournèrent vers les deux hommes et, sans leur laisser le temps de réagir, se plaquèrent contre eux pour les embrasser fougueusement. Vincent crut défaillir quand la langue de Martina s’emmêla avec la sienne et que les mains de la jeune femme commencèrent à le caresser. Rapidement cependant, elle s’agenouilla et ouvrit son pantalon pour sortir à l’air libre son pénis déjà en érection. Il sentit alors cette langue qui avait joué dans sa bouche, se balader sur son sexe avec une agilité de professionnelle. Il ferma les yeux sous l’effet du plaisir que lui apportait cette fellation si efficace. Martina se releva alors et retroussa sa jupe de cuir noir jusqu’au niveau de ses hanches. Ainsi, Vincent put constater qu’effectivement, elle ne portait pas de culotte mais des porte-jarretelles en soie noire qui faisaient encore plus ressortir le grain clair de sa peau. Elle écarta les jambes puis glissa la main droite entre ses cuisses afin de se masturber. Vincent l’observa se livrer ainsi à des plaisirs solitaires, le pénis à la main pendant quelques instants, puis il osa enfin s’approcher. Elle s’agenouilla alors à nouveau, sortit une capote qu’elle enfila sur le membre en érection. Le contact froid du latex calma un tout petit peu les ardeurs de Vincent mais il sentit immédiatement la chaleur de la bouche de Martina qui s’évertuait à conserver sa vigueur à son maximum. Quand elle fut certaine qu’elle y était parvenue, elle se redressa et se retourna avant de se cambrer afin de s’offrir au mieux. Sa cavité intime surmontée d’un petit duvet roux n’en fut que plus visible et Vincent n’en put plus, il la pénétra en levrette d’un coup sec. Elle s’appuya alors contre la paroi du raidillon de granite et se mit à haleter sous l’effet de ses coups de boutoir. Envahi par l’excitation d’un tel moment, Vincent perdit toute mesure, il fit sauter les boutons de sa veste et déchira son petit chemisier de soie blanche, faisant apparaître une superbe poitrine blanchâtre qui se mit à peloter. Vincent ne faisait même plus attention à l’autre couple qui se trouvait à moins d’un mètre d’eux. Patrice avait plaqué Mathilde contre la paroi et lui avait relevé la jambe droite pour la pénétrer avec force. La jeune fille poussait des cris de plaisirs au rythme des aller et retour de son partenaire à l’intérieur de son antre d’amour.

Ainsi les deux hommes prenaient un immense plaisir avec ces deux femmes semblant tombées du ciel. A aucun moment, ils ne soupçonnaient qu’une autre personne profitait de leurs ébats pour tirer une extase bien plus perverse.

CHAPITRE 2

Installé dans une position dominante, parfaitement dissimulé dans un épais bosquet de petits arbustes, l’homme au masque profitait du spectacle de ses deux esclaves se faisant prendre par ces deux minables qu’elles avaient racolés dans un bar sordide. Il tirait un immense plaisir à les voir ainsi s’humilier avec des hommes auxquels elles n’auraient même pas accordés un regard auparavant. Il soupira légèrement et abandonna son observation pour reporter son attention vers la dernière de ses petites chiennes dociles qui était en train de lui prodiguer une fellation. Sophie leva la tête vers lui, attendant ses consignes. Il la fit se relever et la retourna pour la prendre en levrette en faisant bien attention de ne produire aucun bruit qui pourrait attirer l’attention des deux hommes qui se continuaient à baiser allègrement en dessous.

Justement, celui qui prenait le substitut de Martina en levrette semblait au bord d’exploser. L’homme au masque considéra cette jeune femme rousse au corps si idéal qui avait un temps comblé à la perfection ses fantasmes. Désormais, il devait reconnaître qu’il lui manquait toujours quelque chose. Certes elle était superbe et tous les hommes qu’elle rencontrait la désiraient mais elle ne possédait pas ce petit plus si particulier à celle à laquelle elle s’identifiait. D’ailleurs déjà, le cafard qui la prenait commençait à jeter des coups d’œil à la dérobée en direction de Mathilde indiquant que, maintenant qu’il l’avait possédée, son attirance pour elle s’était fortement atténuée. Pourtant il jouit quand même dans son corps ou du moins bursa escort bayan en apparence puisqu’il portait un préservatif. Martina se cambra, imitant son orgasme. Dans le même temps, celui qui prenait Mathilde vint lui-aussi dans le ventre de l’ancienne étudiante. Immédiatement les deux jeunes femmes s’agenouillèrent pour prendre en bouche les sexes de leurs partenaires. Les consignes de leur maître étaient claires : pas question de se contenter d’une seule relation. Tant que ces gaillards seraient capables de les malmener, elles devaient les relancer pour continuer les festivités et cela dans un seul but : augmenter le plaisir de celui qui, en haut, les observait. Les deux hommes parurent surpris de les voir aussi entreprenantes mais heureusement, sitôt les capotes enlevés, leurs pénis se montrèrent extrêmement réactifs aux caresses des deux jeunes femmes qui alors échangèrent leurs positions. Quelques coups de langues plus tard, elles se retrouvèrent de nouveaux empalées en levrette face à face, leurs visages se trouvant à quelques centimètres l’un de l’autre. L’homme au masque apprécia tout particulièrement cette scène qu’il avait lui-même chorégraphié quand il avait préparé cette petite soirée des heures auparavant. Il accéléra le rythme du pilonnage du vagin de Sophie puis, sans crier gare, se retira pour sodomiser la jeune fille. Cette dernière avait déjà subi de multiples pénétrations anales de la part de son maître comme d’inconnus au cours de partouzes ou de soirées comme celles qu’étaient en train de vivre Mathilde et Martina ; son anus était donc très élastique mais il n’en restait pas moins qu’une telle relation conservait toujours un caractère douloureux qu’elle ne pouvait nier. L’homme au masque pouvait la voir serrer les dents afin de rester totalement silencieuse comme il le lui avait ordonné. La voir ainsi privilégier son désir à lui à son propre bien-être procurait toujours une immense satisfaction à l’homme au masque qui commença alors à lui pistonner le rectum.

En bas, les festivités continuaient et les deux hommes profitaient pleinement de leur vigueur retrouvée. La poitrine de Martina, totalement libre, ondulait au rythme de la saillie qu’elle subissait pendant que Mathilde gémissait de plus belle. Soudain, les deux jeunes femmes qui se faisaient toujours face, lièrent leurs mains et s’embrassèrent dans un baiser lesbien qui fut le coup de grâce pour leurs partenaires qui éjaculèrent presque dans l’instant. Ils remplirent donc une capote de sperme pour la seconde fois de la soirée.

En haut, l’homme au masque lui remplit les entrailles de Sophie de sa semence. La jeune fille se plia en deux en sentant le liquide chaud couler en elle mais elle ne prononça pas la moindre parole.

Soudain, une nouvelle sensation envahit le ventre de l’homme au masque ; il s’agissait de la vibration de son téléphone. Surpris d’être dérangé à une telle heure, il décrocha et écouta en silence ce que son interlocuteur avait à lui dire. Quand la conversation se termina, il se pencha vers Sophie qui avait tourné vers lui un regard inquiet.

-J’ai une bonne nouvelle pour toi ma chérie, lui murmura-t-il. Un parent vient d’arriver et cela faisait longtemps que nous l’attendions.

CHAPITRE 3

Cela faisait presque une heure que Thomas demeurait silencieux et, dans la voiture, Emily pouvait presque toucher la tension qui s’était installée.

-Nous arriverons bientôt à Fortlud, annonça-t-elle tout en sachant qu’il en était parfaitement conscient.

Il se contenta de hocher sombrement la tête. Décidément Fortlud avait sur lui une influence qui ne lui plaisait pas. Elle décida de ne pas renoncer.

-Pourquoi l’appelle-t-on la ville la forteresse? demanda-t-elle alors que les premières maisons apparaissaient.

-Lilleland est une ville jeune est réalité, répondit Thomas. Pas plus de 300 ans. Avant, la capitale de la région était Fortlud. Je sais qu’on a du mal à réaliser quand on sait que c’est une petite ville de moins de 100 000 habitants sans compter les étudiants. Mais à l’époque du moyen-âge, elle rayonnait sur le comté et c’était elle qui devait faire face aux différents envahisseurs. Alors on l’a construite comme une forteresse imprenable. Construite à flanc de montagne, c’est un labyrinthe de petites ruelles étroites qui empêche à une armée quelle qu’elle soit de rester grouper dès qu’elle entre dans ses faubourgs et permet à ses défenseurs de la harceler. Et puis à son sommet on trouve le bastion.

Il tendit le doigt vers le ciel pour lui indiquer une destination et elle comprit alors ce qu’il voulait dire. Ils venaient de passer le panneau indiquant l’entrée de Forlud et le cœur de la ville était visible. Il s’enroulait autour d’une montagne à pente raide et toutes les rues visibles semblaient se diriger vers le sommet et une grande forteresse antique aux murs gris et épais située parfaitement au sommet.

-La forteresse, c’est ainsi qu’on l’appelle. Naguère c’est là-bas que les habitants de Fortlud se réfugiaient quand des envahisseurs débarquaient. Officiellement, c’est devenu une sorte de musée privé mais en réalité c’est le repaire de la pègre locale, le lieu de réunion de tout ce qui se fait de pire dans le coin en matière d’assassins, de voleurs et de violeurs. Et c’est là-bas que nous devons nous rendre.

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A Phone Call From London

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For Women

There is a pause, and then the dialling tone begins, distant and tinny. Your voice answers, cautious.

“Who is this?”

“I think you know,” I reply.

You chuckle. I love the way you laugh, that rich deep womanly voice of yours.

I ask if you are alone.

“Yes,” you reply. “He is out in the garden, doing some jobs. I have a little time.”

I ask if you are wearing the clothes I asked you to put on for me.

“Yes. Black stockings, suspenders, frilly black knickers, and the lacy bra. Nothing else.”

“The clothes from yesterday’s photographs?”

“That’s right. I hope you liked them?”

“God yes, I was stiff within seconds, looking at those pictures. You make me so darned horny.”

I can hear your breathing down the phone, tense with excitement. There is a slight catch in your voice, nerves perhaps.

You ask where I am.

“In the office in London . Everyone else has left. I’m on my own, more or less. If anyone walks past they will think I’m doing some paperwork, some late-night research on an upcoming legal case. What time is it there?”

You tell me that it is early afternoon in Pennsylvania . The time gap is about six hours.

I am trying to picture you, in your upstairs bedroom of your large family house, alone, husband outside, mowing the lawn or cutting back some shrubs. It’s dark and cold here in England. It must still be bright and sunny where you are.

I ask you to look in the mirror and tell me what you can see.

There is a pause; and then your now familiar American drawl.

“I see a woman, dressed up in black underwear. Her long dark hair tied up. Fresh red lipstick on. She looks like a real slut.” You laugh. “She looks like someone who is about to get a good, thorough fucking. She’s good-looking, maybe a bit on the large side, maybe a bit old.”

No, no, I say. 43 is not old. Older than me, for sure; but not old. And no, no, my slut is not too large. You are curvy, for sure, with delicious curves in all the right places. You are just right.

“Ha! Such an English charmer…you know how to say all the right things,” you murmur down the phone. “What are you wearing?”

A sharp-cut black suit, I say. Crisp white shirt, black tie, black shoes. And beneath it, black Calvin Kleins.

“I wish you were here.”

“I would slam you against the wall and kiss you.”

“Yes.”

“My fingers in your hair, my mouth against yours, our tongues inter-twined. My chest pressed against your cleavage. One hand on your arse.”

“Oh God yes.”

“I wouldn’t care that your husband was outside in the garden. In fact, it would be quite the turn-on. I like the fact that you are a slut wife.”

“Oh fuck. David. I love it”

I like the way you pronounce that word, you slur it.

“On your knees. That’s what I would say.”

“Yes.”

“I unzip myself for you, reach inside.”

“Yes”.

“And pull it out, seven inches of hard English cock, hold it just inches from your face, and I would offer it to you to suck.”

“I would beg.”

“You escort şişli would, that’s right Mrs Bowers. You would tell me how much you wanted my hard dick in your mouth. Please, you would say.”

“Please. I need your cock.”

“You would call me Master, though, wouldn’t you?”

“Yes, I would. Please, Master, can I suck your hard cock?”

I can picture you in that room, getting so excited, I know from your breathing that you are already quite worked up.

“How about right now? How are you feeling? Are you wet for me?”

Yes, you say, you tell me you are all slippery between your legs.

I tell you that you can touch yourself while you lick the hard purple mushroom-head of my cock. On your knees in front of your Master

“I loved the photos you took of your wet pussy, of your dildo right up yourself,” I say, trying to sound calm, not betraying my own excitement. “In particular, I loved the ones of you fingering yourself with your wedding-ring finger.”

“Oh God, I’m so bad,” you reply.

“No. You’re good. You’re fucking good. Such a naughty, good slut. I loved it. Where is Pretend Master right now?”

You tell me you can see him mowing the lawn outside, there’s not much chance of him coming back into the house.

“You might want to lock the door of the bedroom though?”

“There is no lock.”

“Ha! So you might get caught. I bet you love that though, don’t you? The danger? The risk of getting caught. Such a naughty slut.”

“Yes, that’ probably true,” you say.

You tell me that you are sat at your dressing table with a view past the mirror to the garden, sat in your underwear, with one hand between your legs.

“I hope you haven’t touched your cunt yet?” I ask, slightly sharply.

“No, of course not. Not without Master’s permission,” you reply. “But I have rubbed myself, ever so slightly, through my knickers.”

“And no doubt you are….slightly damp.”

“David, darling. Per-lease. I am fucking soaking already.”

“Peel the knickers to one side….you can stroke your cunt lips if you want.”

“Thank you Master,” you reply.

“But you can’t put your fingers up there, or anything else. Not until I say yes.”

You groan, with frustration. I know how turned on you are. I feel the same way. But I am at an office desk, at work, there is no way I can relieve myself, all I can do is listen to you giving yourself relief. I wish you knew how desperately I wished I was there, pleasing you myself, not just with words, but with my fingers, tongue and cock.

I continue down the phone. “So where were we? You, on your knees like a dog. My poor horny fuckslut, opening her mouth to take Master’s dick deep inside.”

“Yes,” you whisper. “Sucking Master off like a good girl, licking all over, stroking your balls, working you with my tongue. You taste so good.”

I love your American pronunciation, it drives me wild every time.

“And where do you want my come?” I ask.

“In my mouth. I want you to drain your istanbul eskort balls in my mouth….give it to me,” you beg. “Please, Master?”

“Are you rubbing your cunt lips now?” I ask.

“Yes”.

I tell you to hold the phone between your legs while you masturbate.

It sounds so slippery and wet, even down the long-distance phone line. A squelching noise.

“God you sound horny,” I say. “Someone is feeling quite excited today. I can’t wait to hear you come later.”

“I could come quite soon. I’m so aroused.”

I tell you to get on all fours, submissive, and to spread your legs for Master. There is a minute’s silence while you comply. I know you’ve put on your hands-free headset, just as I wanted. I picture those big ti*ts, that I have seen so many times in photographs, in videos that you have sent me as little treats. I imagine them swinging, bulging out of your bra, as you crouch there waiting for my instructions.

You’re back on the line, so I carry on. “I want you to imagine that I’m behind you, licking your thighs, just teasing you, your hands on the rug in the bedroom. The bedroom you share with your husband of 10 years. You’re letting your English lover pleasure you from behind. Licking up towards your wet cunt. I love the scent of your pussy.”

You are moaning, but otherwise silent.

“You gasp as I nudge your cunt lips with my tongue, and slide it between them. I pleasure you for ages, tonguing you, enjoying your pink slippery flesh against my mouth. Peeling you open with my fingers while giving you head. And then, sliding up to your arsehole, teasing it just with the tip of my tongue.”

“Oh God, David, that’s so good…I love that. I’m touching my pussy right now.”

“You need permission”

“Please. Please Master, let me finger myself.”

“Beg, bitch.”

“Oh please, God, I need to be filled, please Sir.”

“Okay, you asked nicely, so you can do it. Go on, Mrs Bowers.” I put a heavy emphasis on the word ‘Mrs’. “Two fingers, right up your own needy cu*nt. Imagine it’s my tongue and fingers.”

I can hear you making a slight adjustment. And then just sighs and groans.

I know you have got your rabbit vibrator near you.

“I’m licking your arsehole and sticking two fingers up your wet pussy,” I say. “You seem to like it.”

“Oh yes, I like it.” Pause. “Oh fuck, yes, David, more. Tongue me.”

“I want to hear you say it.”

“Stick your tongue up there….up my…up my arse. God I love that. You are such a dirty bastard.”

“Thank you for shaving your pussy the other day,” I say.

“Oh that…that was nothing.”

“What did he say? Your husband I mean.”

“He was kind of surprised, but I think he likes it.”

“I loved it. And I loved the fact that you did it for me, to please me.”

You ask where I am. Still at my desk, I say, feet on the table, phone against one ear. I am looking out across the city of London but my mind is in that bedroom in Pennsylvania .

“I have to have you,” I say. “I can’t wait any longer.”

I escort mecidiyeköy tell you that I’m about to mount you like a dog. That I need to be inside you. “Spread wide,” I say.

“Oh fuck yes please,” you reply. You say you’re still on all fours on the bedroom carpet, waiting to take my hardness.

“Your arse is up in the air, so need. I rub my length against your wet cunt” I say. “Just teasing you, making sure you’re wet enough for me. That you are ready to receive Master.”

“I’m ready, of course I’m ready, please, just please fucking fuck me,” you say. I love it when you sound like this. When the need takes over, and all you can think of is your own satisfaction.

“Get the rabbit,” I say. “Turn it on. And hold the end against your pussy hole for me.”

I hear you switch it on. The vibrations are very loud. I hope you’ve got the window closed, otherwise hubbie is going to hear everything.

“It’s there,” you whisper. “I can’t bear this any longer. I’ve got to have you inside me.”

“I’m thrusting into you, so slowly…..really slowly.”

“Yes, fuck me baby, do it.”

“Have you got the vibrator inside you yet baby?”

“Yes.”

“Good slut. Now take it real deep, and move it in and out. I’m inside you, riding you, my mouth against your neck and shoulders, kissing you, biting you. I appreciate you in a way that he doesn’t. I want you so badly, carnally, I’m swollen with lust and I’m fucking you like a man possessed. Faster now, much faster.”

“Oh…fuck… oh yes…”

“Beg for it, slut.”

“Do me, yes, do me, fuck me Master. Harder.”

“I’m licking a finger, and I’m pressing it against your arse while I plough your cunt.”

“Yes.”

“You’re opening up….your arse…to receive me. Darling, I want you to do that now, with your other hand. Lick your finger and push it up your arse”

“I’m doing that. I’ve still got the rabbit right up my pussy, and I’m now fingering my bottom. Oh. Oh God. That’s good.”

“Do you want my cum?”

“Yes, I want it, I want you to empty your balls in me. I want it, David. Fuck me harder. Oh yes.”

“Say please, Mrs Bowers”.

“Oh please, yes, fuck me please!”

I tell you that I’m right up you, all seven inches, my balls banging against your clit, one hand against your mouth, with my fingers between your teeth. And I’ve got my other hand against your big arse, fingering you’re anus.

“What was that noise in the background?”

“The front door. I think he’s come inside. What should I do?”

“Baby I’m inside you, we can’t stop now, I’m going to cum inside you, going to flood your wet pussy with thick white spunk. Do it….come for me.”

You start to groan, harder, moaning, and then I hear you tense up .

“Fuck….oh fuck….yesssss.” you hiss. “That’s it, oh, oh God. Got to keep quiet, got to….nnnnnnn.”

I’m still sat at my desk, in my suit, phone in one hand. The only clue to my arousal, the tenting in my trousers. And maybe I’m flushed in the cheeks.

“Good girl,” I say. “That’s it. Good girl. God I adore playing with you.”

You groan, quieter now. And then a new urgency in your voice.

“I have to go, love,” you say, whispering. “Soon, again.”

“Yes,” I say. “Good girl. You did well, for Master. Return again, soon.”

The phone clicks, off.

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Asian

This entry was hard (no pun intended) to categorize. But since I only mention pussy once and it’s almost the gayest thing I could imagine, I selected Gay Males. Let me know what you think. Thanks.

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I’ve been a gymnast and cheerleader for years. My training has resulted in a lithe, muscular body. And while not every male cheerleader fits the stereotypical mold of being gay, I lean towards it and loving sucking a cock. I’ve been doing so for as long as I can remember. I also love pussy. But, cocks.

I like long dicks, short dicks, skinny dicks, fat dicks. No dick is a bad dick as long as it delivers a tasty shot or shots of gooey semen.

My own dick is above average, based on my experiences. It is 6 inches long when flaccid. When hard, it grows to over 8 slender inches. When I am dressed out for a gymnastics meet or a pep rally or cheering during a football game, I tuck it back between my legs or else, it is very visible through my tights.

I am an obsessive masturbator. I stroke myself to orgasm at least twice a day. And I don’t let my cum go to waste. I love the taste of my own juices.

Because I am so limber, I frequently practice the art of autofellatio. As much as I love sucking somebody else’s cock, I love sucking mine even more.

That being said, it’s always a delight to unzip a pair of jeans, pull down a pair of boxers, and see a new one for the first time. It’s like opening a present, a very special gift. It’s something the giver wants me to have. It’s something he knows I want.

I like the feel of a stiffening member in my mouth, having it go from flaccid to rock hard because of me. Even “straight” guys can’t resist a good blowjob from an experienced fellatist. I like the reward of the initial drops of precum, knowing that the excitement the guy on the receiving end is feeling is all because of me. I like the feeling of control as I stroke one, watching, feeling it’s response. I know how to excite one, grabbing it at the bottom of the shaft, running my hand up to the tip, milking it, stretching it to its full length and girth.

I taksim escort like to be in charge of the pace. Licking one, slowly, wrapping my lips around the tip. Gradually taking its length in, an inch, no a centimeter, at a time. Taking my time, savoring the soft steeliness. That dichotomy. Something that can be so hard, and yet so soft, at the same time. Warm flesh, blood pumping, pressure building. I build up a rhythm of long slow licks with my toungue from bottom to top, long slow pulls from the base to the tip with my lips. I like teasing, tantalizing, titillating, making him wait, sucking, licking for a long time. until he can’t hold back any longer and pumps a load that takes four or five swallows to finish. Although sometimes I like it when he cums so quickly, it unexpectedly fills my mouth, coating the roof of my mouth, my teeth and my tongue, drizzling out the corners of my mouth, dripping down my chin.

On the other hand, I like it when he takes charge. Grabbing me by my long hair, pushing my head down, fucking my mouth. I like it when he grunts, shoves his dick in as far as he can and calls me his cocksucking, sissy bitch. He knows I’m a boy, but can’t resist using my mouth for his pleasure. Stroke by stroke, he gets closer to his goal.

I am quite experienced and have conquered my gag reflex. I am able to deepthroat the biggest of penises with ease, essentially transforming my throat into a bottomless mouth pussy. When I have every inch of a piece of meat in my mouth and I tighten the grip of my throat muscles on it, no man can resist blowing his load of cum straight into my belly. The throbbing, pulsing thing in my mouth, gradually softening after delivering its pièce de résistance.

Tonight, however, I am on my own. I lie on my back, naked. My hands make their way down to my crotch, pinching my nipples on the way. Anticipation builds. Before I even touch myself, my erection begins. I massage my balls and run a finger up the bottom of the shaft, all the way to the head, thick shiny precum oozing out. I scoop it up and bring istanbul eskort the finger to my face and smear the juice on my lips, then lick it off.

I grab the back of my thighs, lift my legs up over my head and pull my crotch down to my face. Staring at my meat, I moisten my lips with my tongue and kiss the tip. I apply more “lip gloss” with my special tube, rubbing more precum around my lips. I stick the tip of my pointed tongue out and lick the slit. I take the tip between my lips and run my tongue around the head, tickling my frenulum.

As I loosen up, with my knees practically behind my head, I take 1 inch, then 2 inches, then 4 inches into my mouth, until it hits the back of my throat. My saliva lubricates the shaft. I thrust my hips pumping it in and out. I grab the lower part of my shaft and jack it, savoring my own precum.

When my back muscles are relaxed, I lift my head off the bed and swallow the remaining 4 inches until my balls hit my nose. I bob my head and suck myself. This is how I know what to do with another guy’s meat popsicle. I’ve had so much practice on myself.

With long strokes, I go from a mouthful to having just the head remaining. My saliva lubricates my cock as I pleasure myself. I don’t have to imagine what a guy feels like when I blow him, I know exactly how my mouth feels to him.

In this position, I am staring at my own ass. It’s lubed up from some earlier anal foreplay. I’m close to finishing, so I stick my finger in my ass and find my prostrate. I tickle it and start the eruption. I shove my dick all the way down my throat as the first shots fire straight into my belly. I pull it out part of the way so I can fill my mouth with the rest. I suck it out as I milk my balls and shaft. When the contractions cease and I have emptied every drop, I swirl my tongue through the sticky nectar and swallow.

As I recover, I pull my finger out of my anus with a pop. A thought forms. I’ve had my ass fucked many times. I love the feeling of a schlong ejaculating deep inside me. I wonder if … How would it feel if I was the beşiktaş escort one giving and receiving.

I unfold and lie back. I take my softening stick and tuck it between my legs, a place it’s been many times. I grab the tip and tug it. I can easily slide it around and between my slickened butt cheeks. The blood starts filling it again and it stiffens. My starfish tingles in anticipation. My erection is not rigid, just hard, yet flexible. I push the head of my cock against the opening of my boipussy. I can’t get it in, though.

I need to stretch my sphincter out some more. I grab the nearby tube of lubricant. I add more to my anus and the fingers of my left hand. My right hand holds my penis in place. I punch my left index finger in, easily. I pump it in and out and add my middle finger. This stretches me out a little more. Adding my ring finger, then pinky gets me ready, I think.

I pull my fingers out and with my right hand quickly push the waiting head in. OH MY!

I pinch the shaft a little lower and push. I have two inches of my own dick in my own ass. The sensation is indescribable. The nerve endings in my penis are firing against the nerve endings in my mancunt. I push some more. I can get three, almost four, inches in. I pull it out and push it back in. I’m doing it, I’m screwing myself. Why haven’t I tried this before. This is incredible. “Fuck,” it feels so good.

I squeeze my ass muscles and eject my penis. “Damn.” I quickly shove it back in. I clamp down again, this time holding it in tightly. My cock is gripped in a vice. I relax and start pumping my cock in and out of my fairy ring. I am pitching AND catching in this game of ball.

I push in as deeply as I can and clamp down. I hit my prostrate. That’s it! I throb, I spasm, I shake uncontrollably. Ah ah ah aaaaaaah! I fill my rectum with my own cum. I can’t believe the feelings. The pleasure is incredible.

As I come down from the most staggering orgasmic high I’ve ever felt, my cock softens and slips out. My cum oozes between my cheeks. I’m exhausted, but never wanting to let a load go to waste, I catch it with my right hand. I force as much of it out as I can by squeezing with my tired ass muscles. I raise it to my lips and drizzle it into my waiting mouth.

I’ve done it. I can’t wait to do it again. Next time someone says, “Go fuck yourself.” I think I will.

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1 Alliance Square

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Bdsm

*Author’s Note: Any and all persons engaging in any sexual activity are at least eighteen years of age.

Disclaimers: This story has been edited by myself, utilizing Microsoft Spell-check. You have been forewarned.

Also, there is male bisexuality described in this story. If male bisexuality is abhorrent to you, please exit this story now.

*.*.*

Elegantre, an exclusive cosmetics boutique occupied the ground floor north east corner of 1 Alliance Square. The front door faced Michner Boulevard. The side plate glass tinted window faced Johnson Avenue.

Across Michner Boulevard was 2 Alliance Square. 2 Alliance Square was also a black steel and heavily tinted glass building.

Across Johnson Avenue was 3 Alliance Square, also a six story structure. Just like 1 Alliance Square and 2 Alliance Square, 3 Alliance Square was made to look like a shiny black monolith.

Across Johnson Avenue from 2 Alliance Square, across Michner Boulevard from 3 Alliance Square was an empty lot. The developer had contracted to purchase the ten acres to construct 4 Alliance Square. Before Alvin Crenshaw and the developer could come to a final price, the developer had run out of available funds. The land had not even been cleared off. It just sat, empty, undeveloped. The Oakleaf County cut down the weeds once a quarter and charged the two owners, the son and daughter of the original purchaser of the land.

Tommy Cruz owned Elegantre. He had opened the store with the idea of using and selling nothing but organic, natural cosmetics. They would also offer natural, organic skin care and hair products.

His staff was comprised solely of stunning young women. Each new hire had to attend Capital Cosmetology College, paid for by the hire themselves. Each girl had to have a certificate of completion from Capital before they were allowed on to the floor of Elegantre.

The cost of the training would be paid back to the girl, added on to each paycheck, until the cost of training was paid off. Should the girl quit, or be terminated before the cost of training was fully remanded, that was simply too bad. Elegantre would not be responsible for the remainder of their cost.

Tommy offered a base of seven fifty an hour, plus four and a half percent commission. His stock answer to any girl that asked for a raise was that they needed to sell more.

Tommy Cruz was a short, pudgy faced man with no spine. Which was why none of his employees knew him as Tommy, Thomas Michael Cruz. None of his employees had ever met Tommy Cruz.

His employees were interviewed, hired and managed by Tonya Cruz, a Latin beauty with long black hair, flawless skin, smoldering dark eyes and poise and confidence. She was a ball-busting bitch in five inch heels that routinely informed her employees that she was not their friend, she was not their sister, she was not their mother.

“I am your boss,” she snapped. “Behind my back? Call me a miserable cunt if it helps you sleep at night. But to my face? It is ‘Yes ma’am, Miss Tonya.’ Is that clear?”

Each employee used nothing but the products of the shop; they were given a forty percent employee discount. Each employee dressed in blouses and skirts, or dresses, never slacks, shorts or jeans. They wore four to five inch heels. Over their work attire, they wore a long unbuttoned lab coat.

Late one Saturday morning, Chilandra Childress sat on the low stool and worked on the teenaged girl that sat at her station. While she worked, Chilandra also kept an eye on the girl’s friend. The other girl had an oversized bag that was unzipped, perfect for dropping a few boxes of eye shadow, foundation, moisturizing lip gloss.

“Sweetheart?” Chilandra finally told the young girl. “You might want to tell your friend she either pays for the three lip gloss tubes she just dropped into her bag, or the police will be here in five minutes.”

“Julie, she seen you,” the girl called out.

“Seen me what?” Julie tried to brave.

“Oh, and the mascara. That’s made with real kohl; it’s two hundred dollars a tube,” Chilandra said to Julie’s friend.

“Julie, I’m telling you, she seen you,” the girl stated.

Chilandra felt no joy in watching the shame-faced girl empty her purse. She too had been young and dumb once. But she also wasn’t going to have Tonya Cruz make Chilandra pay for the various items. And Tonya would not give the forty percent discount on the stolen items.

“Yeah, I’ll take the foundation, um, in the liquid, and the eye shadow; Julie what you think about this blush?” the girl decided, looking at her reflection.

“Whatever,” Julie grumbled, unhappy.

“Oh, and the lip gloss,” the girl decided.

Chilandra also talked the girl into the Ph. balanced makeup remover and a tube of sun block, rated 60 SBF.

“Bitch,” was Julie’s parting shot as the two girls left the store.

“What the fuck ever, stuck up snot,” Chilandra smirked.

Chilandra again checked her watch; there were no clocks on the floor of the showroom. Tonya did not want their customers maslak escort to ever feel rushed when perusing their wares.

“Come on, Vicky, huh?” Chilandra muttered under her breath.

Normally, on Saturdays, there would be three salespersons, but as usual, Yvette was ‘sick’ this Saturday morning. Vickie had not wanted to alert Ms. Tonya; she and Yvette were friends. Chilandra, however, felt no remorse in alerting Ms. Tonya, via text message, that Yvette was a no-show.

Chilandra was getting hungry; Vicky had left to go to lunch at eleven thirty. Because they were short-staffed, Vickie was supposed to only take forty five minutes for her lunch break. Knowing Vicky, though, it would be closer to one o’clock before the attractive brunette would saunter in, smile on her pretty face, poor excuses spilling from her lips.

Chilandra took a moment to check her makeup. Flawless.

Without the makeup, Chilandra Rachael Childress was a cute twenty one year old woman. She wore her straw colored blonde hair to just above her shoulders, parted on the right. Her big brown eyes had been underneath a bushy eyebrow that went over both eyes, until Capital Cosmetology College showed Chilandra how to tweeze and style her eyebrow to two light brown slashes. Her nose was a button nose, just a hair too wide, but Capital had shown her how to shape it with pencil and foundation.

Her face was slightly rounded, slightly chubby looking, but Elegantre rouge shaped and defined her cheeks, making her face appear slim. Two colors of lip gloss made her lips appear fuller, moist, kissable.

Without the five inch heels, Chilandra stood at five feet, five inches. She weighed one hundred and twenty eight pounds, much of that in her buttocks and legs. In her younger years, she’d been very much into ballet, until her 34C breasts and 35 hips began to sprout. Now, she continued to practice her dancing in an effort to slim down, keep her body tone. If she didn’t have such a weakness for chocolate, Chilandra was sure she could easily lose at least eight pounds.

The light green colored blouse contrasted nicely with her pleated cream colored skirt. Standing up, the skirt reached to just above her knees. Seated, Chilandra had to be careful to keep her legs together, or risk flashing her plain white panties to her clients.

“Brianna, don’t, aw, don’t drag me in here, huh?” a man’s deep voice grumbled good-naturedly.

“Shush, Andrew. No one saw you coming in here,” a woman’s voice laughed.

Chilandra smiled as an attractive blonde woman dragged an extremely handsome blond man into the store. The woman was dressed in skin tight jeans that emphasized her legs and shapely rear. Her belly was bare as she wore a sports bra and a man’s long sleeve shirt tied just underneath the bra, sleeves rolled up. Her feet were jammed into high heeled cowboy boots, making her and Chilandra the same height.

The woman’s face was slightly round, her blue eyes were large, expressive. Her calf length blonde hair was done up in a simple ponytail.

The man wore penny loafers, stood at least six feet, three inches. His slacks were a soft gray color and his shirt was a red and white striped long sleeve button up.

“I keep telling him sun block is so important,” Brianna told Chilandra.

“And I keep telling her, I run from car to office; my skin has never even seen sunlight,” Andrew smiled as Brianna pushed him into a chair.

His blonde hair was cut close to scalp on sides and back and was only slightly longer on top. Chilandra could see that if allowed to grow, Andrew would have blonde curls. His blue eyes were crinkled underneath a heavy light brown eyebrow, his nose was strong, his chin and jaw were square.

“Hmm, looking at your skin, I’d say that’s probably not true,” Chilandra said. “That didn’t come from spray, or a tanning salon.”

“Ha!” Brianna crowed.

“Let’s see what we have to work with,” Chilandra said, already unscrewing the top off of an alcohol free skin cleanser.

“Ow, ow, ow,” Andrew said as Chilandra reached out with the cotton pad.

“Big baby, she hasn’t even touched you yet,” Brianna laughed.

“Ow, ow, ow,” Andrew said when Chilandra reached out again.

“Here,” Brianna said and kissed Andrew passionately. And I’ll give you another when she finishes cleaning you up, okay?”

“Okay,” Andrew smiled.

Chilandra made quick work of cleaning his handsome face. Out of habit, she checked the pad before dropping it into the wastebasket underneath the counter. There was minimal dirt and oil residue on the pad; obviously Andrew took care of his skin.

As promised, Brianna gave Andrew a kiss for ‘being a brave boy and letting Chilandra clean his face. Chilandra smiled when Brianna then playfully tousled Andrew’s short hair.

“I just love the lotion here,” Brianna prattled as Chilandra gently patted Andrew’s face with a second sterile pad.

“Scented or…?” Chilandra asked, now testing Andrew’s Ph. levels.

“Unscented; istanbul escort there’s a rule in our office,” Brianna said, picking up a bottle of the lotion and bringing it to the counter.

“Doesn’t stop Debbie though, huh? Can smell she’s already been in the elevator every morning,” Andrew said.

“Sir, you’d probably want to go with this sunblock; it filters out most of the sun’s harmful UV rays,” Chilandra said, grabbing a tube of the ointment.

She gently, quickly applied a dab to the man’s face, ears and throat.

“Looks like I got makeup on,” Andrew said.

“Andrew Jerome Walker! It does not! You can’t even see it!” Brianna exclaimed.

Brianna made Andrew get out of the seat and walk closer to the mirror. With a smile, he agreed; the lotion was invisible to the naked eye.

“He’ll take it, and I’ve been wanting see what your powder foundation looks like, Brianna said, flopping into the chair just abandoned by Andrew.

With Brianna’s permission, Chilandra cleaned her face free of the minimal makeup. Chilandra very nearly hated the beautiful young woman; Brianna had almost flawless skin, perfect nose and cheekbones and lips.

“I love your lips; you show me how do that?” Brianna said after Chilandra applied a light base.

“Hmm,” Chilandra mused, studying the woman’s face.

“This shampoo? For blond hair?” Andrew asked, standing by a display.

“Get it,” Brianna ordered. “And see if they got the leave-in conditioner.”

“The shampoo’s very good,” Chilandra agreed, now outlining Brianna’s lips with pencil. “Has egg protein in it.”

“So I could make an omelet with it?” Andrew teased, putting four more bottles onto the counter.

Outside, there was a flash of yellow. Chilandra turned and saw the ‘School Lunch’ school bus drive past the building, on its way to the St. Joseph’s Homeless shelter.

“Damn it!” Chilandra muttered.

“Problem?” Brianna asked, losing her easy smile.

“No, no, just saw the School Lunch bus go past; wanted a plate of their beef stew for lunch,” Chilandra said.

“They do it on Saturdays now?” Andrew asked, looking toward the street.

“Yeah, about a month now,” Chilandra said.

“Aw, I’m sorry we made you miss your lunch,” Brianna said, rubbing Chilandra’s arm.

The young woman then brightened. She patted Chilandra’s leg, just above her knee.

“Tell you what. We’ll take you to that Bombay Café right across the street. You ever eat there?” Brianna said.

“I, oh no, that’s not necessary,” Chilandra said. “Y’all didn’t make me miss lunch; my co-worker did.”

“No, no, you have to come with us,” Brianna insisted, now firmly resting her hand on Chilandra’s leg. “Please? Pretty please?”

“Brianna, maybe she thinks Bombay’s sucks,” Andrew suggested.

“You ever had it?” Brianna asked Chilandra.

“I, no, I haven’t,” Chilandra said.

Chilandra was completing ringing up the numerous bottles, tubes and jars Andrew and Brianna had amassed when Vickie strolled in. Because there were clients in the store, Vickie didn’t say anything to Chilandra, just strolled to the rear of the store and clocked back in. Then she shrugged on her lab coat and came back to the storefront.

“We’ll wait out front for you,” Brianna said after Andrew signed for their purchases.

“Y’all, really, it’s not necessary,” Chilandra argued.

“Please?” Brianna asked, peering into Chilandra’s eyes. “I’d, we’d really like take you to lunch.”

“Fine, yeah, okay,” Chilandra agreed.

Chilandra did not say anything to Vickie. Chilandra knew that Vickie was looking for a reason, any reason to snipe at Chilandra; since Chilandra’s first day, Vickie had been extremely hostile toward Chilandra. Tonya’s opinion was that a little hostility spurred competition. Competition spurred employees to try to make more sales. As a result, Tonya scheduled the two women together quite often.

She wasn’t completely devoid of compassion; from time to time, Tonya did schedule Chilandra with Stephanie Cimo. Stephanie and Chilandra had formed a fast, easy friendship shortly after Stephanie started working for Elegantre.

“Bye,” Vickie sang out just as Chilandra opened the heavy glass door of the store.

Chilandra bit back her response and stepped out into the humidity. Brianna was there and put an affectionate arm around Chilandra’s waist.

“Andrew’s putting the stuff into the car; he’ll be right back,” Brianna cheerfully informed Chilandra.

Then she squeezed Chilandra happily. Chilandra couldn’t help but smile at Brianna’s happy, bubbly mood.

“I am so glad you’re coming with us,” she enthused.

She lowered her voice and put her face closer to Chilandra. Chilandra could smell the other woman’s breath; a soft hint of cloves.

“Think he likes you; seen how much stuff he bought for himself?” Brianna confided.

“He, I uh, I thought y’all were together?” Chilandra asked, surprised.

“Oh, we are,” Brianna said and smiled over Chilandra’s shoulder.

“All sarıyer escort right. We ready?” Andrew asked, wrapping his arm around Brianna’s waist.

“No, get on the other side,” Brianna ordered. “We need keep Chilandra safe.”

“Safe? Safe from what?” Andrew asked as he did step to Chilandra’s left.

“Somebody might try steal her away from us,” Brianna smiled as they stepped out from underneath the small overhang, into the bright Texas sunlight.

Brianna kept her arm around Chilandra’s waist as they crossed the street. Andrew walked on the other side of Chilandra, but she did not try to put his arm around Chilandra’s waist.

The menu was confusing; Chilandra had never heard of any of the dishes mentioned. She’d never had lamb or goat before and many of the dishes were made with those meats.

“Okay, Brianna’s getting the lamb boona; very spicy,” Andrew explained. “And I’m getting the goat sarni; it’s got a savory yogurt sauce.”

“Yogurt?” Chilandra asked, pretty face wrinkled.

“No, no, not like the yogurt you get at the grocery,” Brianna laughed, putting her hand on Chilandra’s upper thigh.

With Andrew’s help, Chilandra finally decided on an order of dolmas, meat and rice wrapped in grape leaves and steamed.

“Your eyes are beautiful,” Brianna suddenly said as the waiter brought out the appetizers Andrew had ordered.

“Oh, I uh, thank you,” Chilandra stammered, embarrassed.

“Dig in, Chilandra; I ordered this for all of us,” Andrew said.

“Have you ever, you ever been with a woman?” Brianna asked as they finished up the appetizer platter.

“Uh y’all? Iiii REALLY don’t want to talk about that,” Chilandra said, blushing hotly.

“You’re blushing!” Andrew smiled. “Brianna, that’s enough, leave her alone.”

It embarrassed Chilandra, angered her that Andrew would point out her heavy blush. She felt very off-center, very much a fish out of water sitting between these two beautiful confident people.

She felt like a fraud, a pretender sitting at this table. Andrew and Brianna were beautiful, poised, elegant, knowledgeable. Their clothing screamed money. The American Express that Andrew had used to purchase the cosmetics told Chilandra that he had money. When he’d signed the slip, the cuff of his shirt had slid down slightly and Chilandra had seen that he wore a Rolex. His ring finger on his right hand had a heavy diamond and gold ring.

Brianna also wore a Rolex. Chilandra recognized the boots, as well as the jeans. She herself had admired both at Brichelle’s Boutique, an exclusive clothing store in Great Oak, Texas. The boots had been marked down to $859 when Chilandra had seen them. The jeans were hand rolled denim and retailed for $179. As Chilandra’s mother had joked, nearly ninety dollars a leg.

The only reason mother and daughter had gone into the trendy store was because they were advertising a summer clearance sale, to make room for the autumn fashions. Clearance sale or not, Chilandra could not afford any of the clothing in Brichelle’s Boutique.

Chilandra’s blouse and skirt had come from ‘Yesterday, Today & Tomorrow,’ a store that sold clothing on consignment. Her shoes, she had splurged a little on but if she had to wear heels, Chilandra was going to be comfortable.

Her beauty, Chilandra felt, was largely due to her expertise with a makeup brush. With her expertly applied makeup, Chilandra still did not feel as pretty, as sexy as Brianna had looked completely devoid of any cosmetics.

Chilandra had been the chubby, plain looking girl in school. She’d had boyfriends, mainly because she sucked cock. She had let two boys have her pussy. The first one had laughed; her bush was light brown, not blonde like the hair on her head. The second boy had been very sweet, but very inexperienced.

But, no, she had never been with another woman. There had been Debbi Ann, quite possibly the most beautiful red head Chilandra had ever seen. Chilandra had often masturbated to thoughts of kissing Debbi Ann’s full pouting lips.

And there was Patricia don’t call me Patty O’Brien. Chilandra had copied Patricia’s hairstyle and had even tried to fit into Patricia’s entourage. Until Millie embarrassed Chilandra by demanding to know what Chilandra thought she was doing, following them.

“Well, have you?” Chilandra asked angrily.

“Why, yes I have,” Andrew smiled.

“No, I mean, with another guy?” Chilandra spat.

. . .

<<< . . . Andrew Jerome Walker was the son of Andrea Gaye Loomis and Jerome Alan Walker. Andrea had been a true beauty with cornflower blue eyes and long blonde hair and a dusting of freckles, she was picture perfect. By ate ten, Andrea had been in dozens of print ads, and even on a few local television shows, as well as television advertisements. Jerome met Andrea when his recycling plant decided to put out television advertisements, extolling the virtues of recycling. At the time of filming the first commercial, Andrea had just turned eighteen, but her mother still hovered over her meal ticket like a mother eagle protecting her brood. One look at Andrea, dressed in simple tee shirt and snug blue jeans and Jerome knew he had to have her. Thus began a two month long courtship, expensive gifts of jewelry, flowers, trips for her and her mother.

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