Archives Eylül 2020

un chien qui s’ignore– FIN

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Babes

un chien qui s’ignore– FIN‘Bon allé, maintenant que tu connais toute l’histoire, mon Rex, il va falloir te préparer pour ton dernier voyage’Je reprenais contact avec la réalité et ma situation. Maitresse Ophélie m’attrapa par le collier et me traina vers un coin de la pièce. Elle me plaça rapidement des sangles sur les poignets et les chevilles. Horace sortir de la pièce.Je paniquais et me débattais. Un coup de bottes dans les couilles me ramena au calme. Je me retrouvais immobilisé : la sangle de mon poignet droit rejoignait ma cheville gauche en passant sur mon dos, croisant la sangle qui reliait mon poignet gauche à ma cheville droite. Ma tête reposait au sol. Un nouveau collier métallique remplaça l’autre, celui là était équipé d’une longue tige filetée. La position était inconfortable. Horace revint en poussant un porte palette sur lequel reposait une grosse caisse en bois, renforcée de métal aux angles, ouverte sur un côté. Des indications indiquaient le sens du haut et du bas. Plusieurs bandeaux rouges inscrits ‘fragile’ recouvraient les différents cotés.Je fus pris de panique à nouveau et en vint presque à regretter ma cage de plexiglas qui trônait de l’autre cote de la pièce. Horace et maitresse Ophélie durent me porter pour m’approcher de cette caisse. Je fus poussé sans ménagement à coup de pieds pour y pénétrer. Heureusement une couche de paille recouvrait le sol en bois et mon visage plaqué au sol glissa plus facilement. Je sentis que maitresse Ophélie m’enfonçait bursa escort un plug dans mon cul explosé et douloureux. Je gémissais de douleur.‘ Ça c’est un plug tunnel. Il est creux, ça te permettra de faire tes besoins dans ta caisse et en même temps son bon gros diamètre de 10 cm te gardera bien en forme pour accueillir tes copains les ânes’Une grosse claque sur les fesses me fit sursauter.Une trappe sur le haut de la caisse lui permit d’att****r la tige filetée reliée à mon collier. Elle tira dessus et mon corps bascula. Ma tête se releva jusqu’à toucher le ‘plafond’ de la caisse. Elle boulonna la tige à la caisse et je fis ainsi arrimé et immobilisé pour de bon, les bras coincés dans le dos et le cul rempli. Elle m’attrapa les chevilles pour les écarter et les placer contre les côtés de la caisse. J’entendis une visseuse fixer les sangles sur le bois. Mes couilles lestées se balançaient, le plug avait pris possession de mon cul. J’entendais maitresse Ophélie ricaner derrière moi et bientôt prendre mes couilles exposées dans son poing.‘Voilà Rex, j’ai été contente de te revoir. Ta transformation est finie. Les marocains vont adorer ce que tu es devenu. Regarde-moi ce cul qui dégouline encore de lubrifiant, prêt à servir. Hum tu vas tous les faire craquer ces ânes en rut ! Bon voyage ! Finalement ma sœur et toi vous finissez pareil : des réservoir à sperme.’Sur un éclat de rire, la visseuse se remit en marche pour sceller le côté de la caisse derrière moi, ainsi que la trappe bursa escort bayan du dessus. Je me retrouvais dans le noir, apeuré.La caisse se mit à bouger à tourner. Je fus chargé dans un véhicule. Les portières claquaient et le véhicule démarra.Mes bras immobilisés dans le dos me faisaient déjà mal. Avec les chocs de la route, mon collier rentrait dans mon cou. Je sentais un liquide couler de mon cul ouvert, dégouliner sur mes couilles et mes cuisses pour finir sur la paille. Je pissais également sans pouvoir me retenir, vu le traitement des sphincters que j’avais subi.Le véhicule s’arrêta enfin et manœuvra. Des discussions avaient lieues. Ma caisse fut finalement déchargée et placée dans un entrepôt. Par un défaut du bois, je voyais plusieurs personnes s’activer autour de la caisse. Quelqu’un ouvrit la caisse côté visage. Deux blacks me regardèrent avec le plus grand sérieux. Ils m’inspectèrent les dents, les yeux, la langue. L’un enfonça ses doigts dans la bouche le plus loin possible et fit des allers retours. Un grand sourire apparut sur ses lèvres. ‘Ok ma belle, je te prends ta putain pour 1500€, comme conclut’Une enveloppe circula, les billets furent comptés. Le deuxième black sorti un bâillon boule gonflable de sa poche.‘Le bateau arrivera que demain matin, on doit être discret pour cette nuit‘‘La pute ne fera aucun bruit, ses cordes vocales sont mortes’‘OK, bien joué ! Mais je vais lui mettre quand même, une bonne pute doit toujours avoir la bouche pleine’J’ouvrais görükle escort la bouche docilement, un peu déçu qu’ils ne testent pas mes dons de pompeuses de bites et accueilli le bâillon.Le black se fit un plaisir de la gonfler au maximum, les joues dilatées et vérifia ma bonne respiration par le nez. La porte se referma, maitresse Ophélie me fait un clin d’œil et remit les vis.Je ne la revis plus jamais.Le lendemain matin, la caisse fut hissée dans un bateau, j’entendais parler arabe. Je relevais plusieurs fois le nom de Nouakchott, capitale de Mauritanie. Maitresse Ophélie avait dit la vérité !Je n’entendis plus jamais parlé de ma femme, pute de chantier désormais.Je fus charrié par bateaux, puis par 4 x 4 à travers le désert. Mes guides me permirent de respirer librement en ouvrant la caisse et je fus autorisé à boire leur urine et avaler leur sperme pour m’hydrater. Par contre aucune saillie ne me fut offerte.Je fus finalement descendu de la caisse à coup de triques. Des discussions eurent lieu. Des salutations. Je fus à nouveau confié à d’autres personnes. Ils m’entrainèrent dans une sorte d’écurie miteuse. Un collier avec une lourde chaine fut fixé à un râtelier. Je n’étais pas seul. Plusieurs mâles étaient rangés en épi le long du râtelier. Je ne pus desceller aucun signe d’humanité dans leur regard ou leur attitude. Ils attendaient, enchainés eux aussi, à 4 pattes dans la paille dans une odeur infecte.J’entendais dans la parcelle voisine, les ânes braire longuement.Peut être avaient ils senti un nouveau vide couille arriver…Je ne revis plus jamais la France, j’en oublierai même la langue.FINMerci pour les accros de cette histoire et leurs commentaires (110 pages !), merci aux autres pour leur ‘like’

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Samia – 25 Samia chez les Berbères.

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Samia – 25 Samia chez les Berbères.Les deux jours suivants, on prend le petit déjeuner dans la salle à manger… Pas trop envie de me faire niquer au réveil. Bon, Julien a quand même eu le droit de me faire le bisou du matin?! Il faut que ça bouge : je veux des sensations, du fun, du rock’n roll. J’ai de l’argent, enfin, suffisamment. J’ai aussi un ou une esclave, au choix. Et, enfin, je suis belle, j’ai les seins et les fesses de Marilyn à 22 ans… J’ai pas l’intention de passer des vacances de retraités. Je veux du sexe, mais du sauvage, pas le garçon d’étage qui vient apporter le petit déjeuner le matin, avec un plateau dans une main et sa bite dans l’autre. Je veux des étreintes viriles avec des guerriers berbères. Je veux être une proie, prise dans une razzia. Faut que je me calme, moi?! Enfin, faut surtout que ça bouge?! D’abord, Julien redevient mon mari, je veux le tromper… sous son nez, je veux le voir soumis au Maître qui m’aura enlevée ou que j’aurai choisi. Après le petit déjeuner, on part en ville. D’habitude, je traîne le matin, par conséquent, je sens que Julien a très envie de me demander pourquoi on se met en route si tôt, mais il n’ose pas et il fait bien?! Si je dois me justifier de mes actes, où ça va, ça?? Sur place, j’ai repéré une agence de voyages, c’est là que je veux aller. La fille de l’agence est jolie, elle n’est pas voilée et elle a un tatouage sur le poignet : c’est une Berbère. D’accord, je simplifie un peu. Je lui annonce : — Je voudrais de l’aventure… et voir des choses extraordinaires. — Un trek dans le Sahara, ça vous plairait?? — Je n’ai pas envie de passer des heures en voitures, peut-être plus tard. — J’ai ce qu’il vous faut : à 3 h de voiture de Marrakech, les spectaculaires cascades des chutes d’Ouzoud, la rivière Al Abib, les villages berbères de l’Atlas, les singes sauvages et d’autres animaux. Wahou?! Ça me plaît. Je lui demande : — On peut loger sur place?? — Oui certainement… Logement dans le village berbère de Tanaghmeilt. Mon frère peut vous loger, il habite là. Nous sommes Berbères.Aah?! Je le savais. Je lui demande : — Et il est aussi séduisant en homme que vous êtes séduisante en femme?? Elle ouvre de grands yeux et rougit, ce qui n’est pas facile pour une fille colorée. Puis elle rit – j’adore son rire – et répond : — Il est très beau, mais méfiez-vous, c’est un séducteur. — Toutes les qualités. Elle rit à nouveau et je lui demande : — Il est peut-être fiancé?? — Non, non. Je ne veux pas être indiscrète, mais je pensais que vous étiez en voyage de noces avec votre mari. — Oui, c’est le cas… — Et Monsieur n’est pas jaloux?? — J’en sais rien, mais ce connard m’a trompée lors de son enterrement de vie de garçon, je l’ai appris et je lui ai dit quelle serait sa punition : je ferai la même chose lors de notre voyage de noces et le plus souvent possible. Pour une Berbère, la façon dont je traite mon mari, c’est de la science-fiction. Elle est stupéfaite… et escort balıkesir admirative?! Elle me dit : — J’aime votre façon de traiter un homme infidèle. Vous êtes mon héroïne?! Je suis une héroïne de la cause féminine et pas une salope sans cœur et sans slip, dure avec les mous et rampant aux pieds des forts?! Elle ajoute : — On dirait que les femmes occidentales se libèrent de plus en plus de la domination masculine. Hier, il y avait une jeune femme avec son mari, nettement plus âgé, et elle le traitait exactement comme vous faites. Ils partent demain à 14 h voir la région de la cascade et ils logeront sur place, chez mon frère. — J’aimerais beaucoup les accompagner. Est-ce que ce serait possible?? Je pourrais parler avec elle du dressage de maris… Elle rit à nouveau et vous savez ce qu’on dit “Berbère qui rit, avec vous sera gentille”?! Elle consulte son agenda puis dit : — Ils sont déjà six. Je peux vous ajouter pour demain, mais vous serez tous les deux à l’arrière, avec mon frère. Ce n’est pas très confortable. — Ce n’est pas un problème. Je m’imagine déjà dans le village berbère, je me ferai baiser par son frère tandis que Julien agitera une palme pour nous rafraîchir. Et puis, je discuterai avec ma nouvelle amie et compagne de voyage, des humiliations et punitions qu’on va infliger à nos maris. On est des héroïnes?! La fille me dit : — Je passerai peut-être par la maison, ce week-end. — Ce serait super. Dis, on va se tutoyer. Je m’appelle Samia, et toi?? — Malha. — Ça a une signification?? — Oui, mais c’est un peu gênant — Allez, vas-y. — Ça veut dire “charmante”. — Ça te va trop bien?! Elle rit… et comme vous savez, j’adore le rire de Malha. Je paye l’excursion. En ce qui concerne le logement, je devrai voir ça avec son frère. On s’embrasse… elle sent bon. En rentrant à l’hôtel, je vais à la réception et je raconte un bobard au réceptionniste, genre “Nous devons rentrer d’urgence car la mère de mon mari a fait un AVC”. L’employé est désolé pour ma belle-mère, mais pour la chambre, pas de soucis, il y a des gens sur liste d’attente. Cool ! À moi le désert, les cascades, les Berbères mâles et femelles. Seule ombre au tableau, une petite voix dans ma tête, me souffle “N’oublie pas Kristos, ne va pas ramper aux pieds du premier ou de la première Berbère venue…” Elle est conne, cette voix?! *** Le lendemain on quitte l’hôtel, vers 13 h 30, pour aller au rendez-vous. Après avoir réduit nos bagages au minimum, j’ai donné une partie des vêtements que je ne compte pas mettre à une femme de chambre. J’ai fait la même chose avec les vêtements de Julien. Il devrait être content, puisque c’est lui qui porte tout. On va à l’endroit du rendez-vous. J’aperçois un garçon qui ne ressemble pas du tout à Malha. Il est appuyé contre l’avant d’une Toyota Land Cruiser 7. Voiture idéale pour le désert, mais très inconfortable. Je lui dis : — Je suis Samia. Vous êtes le frère de Malha de l’agence?? — Bonjour. balıkesir escort Non, je suis le chauffeur. Djibril va arriver. Ah, voici vos compagnons de route… Je vois arriver quatre personnes. Une jolie femme d’environ 25 ans se dirige vers nous. Je lui dis : — Bonjour, je crois qu’on va voyager ensemble. Elle m’embrasse et répond : — Bonjour. Je m’appelle Josiane et voici mon mari et ses enfants. Elle a un accent du Midi. Son mari est un gros homme chauve, qui a bien 30 ans de plus qu’elle. Inutile de se demander pourquoi elle l’a épousé?! Les deux fils du mari sont des jumeaux, enfin, je pense. Ils doivent avoir 18 ans, mais ils ressemblent à des ados, avec les écouteurs de leurs walkmans vissés dans les oreilles. Ils ont cependant tout à coup l’air intéressés par mon décolleté et ils viennent m’embrasser aussi. Ils ne sont pas mal, mais… bizarres. Un peu blonds à mon goût. Le mari vient me donner la main, tandis que Julien attend bêtement derrière la voiture. Je lui dis : — Viens dire bonjour. Il serre la main de tout le monde en bredouillant. Quelle andouille?! La jeune femme m’explique qu’ils viennent de Toulouse. Elle est exubérante et très peuple… mais, moi aussi, je suis peuple, toute Comtesse que je sois devenue. Mais d’abord, il faut la mettre au courant : — Malha, la fille de l’agence, m’a dit qu’on se ressemblait. — Ah?? À quel point de vue?? — La façon de traiter les maris… — On va en parler entre nous. Robert, va faire un tour mais que je ne te perde pas de vue. Ouah ! J’adore ça?! Je dis à Julien : — Va avec lui. Les jumeaux se sont rapprochés… Ils peuvent écouter?? Josiane suit mon regard et dit : — Ces jeunes gens savent que leur père est une nouille et ils n’ont aucun respect pour lui. N’est-ce pas les gars?? Jumeau A répond : — C’est pas notre père?! Jumeau B : — C’est un porc et on n’est pas des porcelets. Ils sont farces, les petits ! Josiane me dit : — Explique-moi ta relation avec ton mari. Je lui raconte le bobard, qu’il m’a trompé à son enterrement de vie de garçon, etc. Eh?! Mais, j’y pense, c’est pas un bobard, il m’a vraiment trompée ce soir-là?! Josiane me raconte aussi comment elle a rencontré sa grosse andouille de mari qui est devenu fou amoureux d’elle. Les jumeaux sont toutes oreilles. Surtout quand leur belle-mère me demande : — Tu aimes les filles?? — J’ai été élevé chez les religieuses, alors… On rit toutes les deux, les jumeaux, aussi. Le A ou le B nous dit gravement : — Vous voir ensemble, toutes les deux, ce serait le plus beau spectacle du monde. Oh?!? Josiane répond : — Peut-être… Elle caresse mon pubis du dos de la main. Je suis surprise et… émue. Mais, retour sur terre, car un beau mec arrive. Lui, c’est sûrement le frère de la Princesse du désert. Il doit avoir 25 ans, costaud avec une barbe courte, un short et un tee-shirt kaki. Il salue les Toulousains, puis m’embrasse en disant : — Ma sœur m’a beaucoup parlé de toi. — En bien?? — Non, balıkesirescort bayan heureusement. On rit. Déjà complices?? Ne voulant pas que cela indispose ma nouvelle amie, je lui murmure : — S’il te tente, on partage. Elle me sourit. Cool… On monte dans la Land Cruiser. Le père à côté du chauffeur – la mère et les jumeaux sur la banquette arrière – Djibril, Julien et moi à l’arrière. Il y a deux sièges assez bas qui se font face. Comme Julien n’ose pas s’asseoir, le chauffeur lui dit : — Vous pourriez prendre votre femme sur vos genoux. Djibril répond : — Il n’a pas le gabarit pour ça, viens plutôt sur les miens. Il m’att**** par les hanches et m’assied sur ses genoux. Enfin, sur ses cuisses nues…. Le Toulousain – il s’appelle Robert – se croit permis d’intervenir : — Ils sont mariés, ce serait peut-être plus normal que… Sa femme l’interrompt aussitôt : — De quoi tu te mêles ? Entre les genoux de ce jeune homme et les tiens, je n’hésiterais pas une seconde. Ça fait glousser les jumeaux. Elle ajoute pour moi : — Amuse-toi, ma belle. Un voyage de noces, c’est fait pour ça et puis une paire de cornes, c’est ce qui pend au nez des maris. Hein Robert?? — … Euh… oui ma chérie. Nouveaux rires des jumeaux. Je sens qu’on va s’amuser. Le chauffeur nous dit : — Bouclez vos ceintures, on y va. La route qu’on prend devient vite une piste. Heureusement que Djibril me tient collée contre lui, ça amortit les chocs. On parle un peu mais ce n’est pas facile, tellement il y a du bruit. Je somnole, la tête sur son épaule, mes pieds sur les jambes de Julien qui me caresse doucement les pieds. Il sait que j’aime ça. Je dis à Djibril : — Je ne suis pas trop lourde?? Il tourne la tête pour me répondre et… nos bouches se rencontrent, sans même me demander la permission. Mes lèvres s’écartent… humide et offertes. On s’embrasse sous les yeux de Julien. Quoi, c’est pas bien?? Vous avez entendu la dame : une paire de cornes n’a jamais fait de mal à un mari et question cornes, Julien et Robert, le mari de Josiane, ils doivent ressembler à des cerfs 10 corps?! On parle un peu entre nos baisers. Je sens son sexe dressé contre moi… Je mouille doucement…. Les jumeaux nous regardent du coin de l’œil, manifestement très intéressés. Après 150 km, la voiture s’arrête : pause boisson et pipi. Josiane me dit : — Viens, on va faire pipi ensemble. On s’éloigne, mais pas trop quand même, à cause des vipères à cornes et des scorpions, elle me dit?; — On est bien assez loin et puis pipi, c’est la nature Elle est farce : on n’est pas à plus de 10 mètres. Elle se tourne le dos, relève sa jupe et baisse sa culotte en s’accroupissant. Je fais la même chose. Bah?! tout ce qu’ils peuvent voir, c’est nos deux paires de fesses et nos chattes offrant un peu d’humidité au désert. Quand c’est fait, on se redresse et on se secoue, comme font les filles pour envoyer des gouttes de pipi sur leurs jambes. On retourne à la voiture, l’entrejambe humide… On boit et on repart. Je reprends ma place sur les genoux de Djibril. On roule encore une bonne heure et on arrive enfin dans le village. La Toyota nous dépose et repart. À suivre. Vous voulez me dire un mot gentil ? Je suis ici : [email protected]

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von einen fremden Mann verführtEs ist ein sonniger warmer Tag, und ich liege gerade fast Nackt nur mit einen Tanga bekleidet auf meiner Terrasse, damit meinen kleinen Brüste auch etwas Sonne abbekommen. Auf einmal bemerke ich wie zwei fremde Hände mich massieren, seine Finger gleiten über meinen Oberkörper, streicheln meine Brüste und gleiten immer wieder in mein Tanga zu meiner Muschi. Ich merke wie seine Lippen und seine Zunge meinen Oberkörper herunter gehen. Seine Hände gleiten über mein Tanga und er streifst es mir dabei herunter. Ich schließe die Augen und lasse mich so von ihn gerne verwöhnen. Ich spüre wie seine Lippen sich auf meine Nippel setzen, wie sie sachte daran Saugen und seine Zungenspitze darüber reibt. Seine Hände gleiten zwischen meine Beine. Sachte streichelst er mir zwischen meine Schamlippen.  Ich werde dabei immer erregter und meine Muschi immer feuchter. Mit seinem Zeigefinger reibt er über meine Klitoris und sein Daumen reibt mein immer geiler werdendes Fötzchen welches immer feuchter wird. Langsam gleiten seine Lippen an mir herunter. Er gibst mir einen Kuss auf meinen Kitzler und ziehst meine Schamlippen dabei zur Seite. Meine Muschi liegt frei vor ihn so das er sehen kann wie in meinem Fötzchen muğla escort sich mein Lustsaft sammelt. Langsam gleitet seine Zungenspitze vom Kitzler hindurch durch meine Spalte, dringt dabei tief in mein geiles Fickloch ein.  Davon werde ich so geil das ich jetzt seinen Schwanz nur noch in mir spüren möchte, spreize bereitwillig meine Beine, und flüster ihn zu, fick mich, ich brauch es, mit einen festen Griff an meinen Füssen spreizt er meine Beine wodurch meine Schamlippen noch weiter auseinandergehen und ich merke wie sich sein Schwanz in mir rein bohrt, seine Stöße werden dabei immer fester und tiefer, mit festem Griff hältst du dich an mein Becken fest um noch tiefer in mir stoßen zu können.Dann legt er meine Beine auf seine Schultern. So kann er gut zusehen wie sein Schwanz tief in meine enge nasse Muschi eintaucht. Er nimmt einen Finger, befeuchtest ihn mit meinem Mösensaft und reibt ihn mir im Takt seiner Bewegungen über meinen Kitzler. Ich stöhne dabei lauter auf und bewege mich in seinem Rhythmus hin und her. Dann zieht er seinen dicken Schwanz fast aus mir heraus. Lässt nur die pralle Eichel zwischen meinen Schamlippen stecken und bewegst sie nur ein wenig hin und her, dann mit einem festen Stoß escort muğla dringt sein Prügel tief in mich hinein, ich dabei schreie vor Lust auf. Mit schnellen Bewegungen und seiner ganze Manneskraft stößt er immer fester zu und bringt mich zum Wahnsinn.Dabei reibt er immer wieder über meinen Kitzler der schon hart hervor steht. Kurz bevor ich komme lässt er ab und dreht mich so das der mich von hinten nehmen kann. Dann nimmt er seinen Schwanz und ich spüre wie er zwischen meine Schamlippen gleitet und dann in meinem Fötzchen ganz verschwindet. Ganz langsam und dann immer schneller gleitet seine Eichel an meinen Schamlippen vorbei, Stück für Stück lasst er ihn in meiner Muschi verschwinden, bis nur noch seine Eier raus gucken, mit immer heftigeren Stößen bringt er mich um den verstand und man hören wie seine Eier gegen meinen Arsch knallen, dabei kralle mich ins Kopfkissen und genieße jeden Stoß von ihn in mir. Dann dreht er mich wieder auf den Rücken und stößt mit jedem Stöhnen von mir tiefer in mein Fickloch rein, mein Körper bäumt sich auf als wenn ich explodiere, mein Körper ist nur noch am zittern als du dein Schwanz aus meinem Fickloch ziehst. Noch einmal dringt er mit schnellen und festen stößen in meine muğla escort bayan Fotze rein. Immer wieder und wieder. Ich kralle mich dabei an ihn fest und umschlinge mit meine Beine seinen Körper so fest das mein Fickloch noch enger wird. Er ziehst seinen Schwanz noch einmal heraus und hält ihn mir vor meinen Mund den ich bereitwillig öffne, meine Zunge schnallst an seiner Eichel diese zuckt und er stöhne laut auf. Mit einem dicken Strahl schießt seine Sahne dann heraus in meinen Mund. Ich nehme seinen Schwanz tief in mein Fickmund auf und sauge ihn bis zum letzten Tropfen leer.Plötzlich werde ich wach, der fremde Mann ist fort, oh nein, es war doch nur ein Traum, ich bin von den Traum so erregt, dass ich anfange mich überall zu streicheln, meine Finger gleiten über meine Brüste langsam zu meiner Muschi, und ich massiere mir den Kitzler, dabei verschwinden meine Finger immer wieder zwischen meine Schamlippen, dabei stöhne ich immer lauter, und bemerke wie mich der Nachbar dabei beobachtet, und sich dabei an sein Teil streichelt, das Gefühl dabei beobachtet zu werden macht mich nur noch geiler, ich greife neben mir in die Schublade und hole einen Dildo raus, den ich mir erst sacht und dann immer schneller in meine Muschi schiebe, dabei stöhne ich laut auf, und fange an zu zittern als ich komme. Ich schaue zum Nachbarn der bei den Anblick ein Riesen Rohr bekommen hat, und wohl auch abgespritzt hat, irritiert und sichtbar Peinlich geht er dann wieder in sein Haus.

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Ma soeur

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Ma soeurMon histoire commence quand j’avais tout juste 18 ans.Ma soeur de 23 ans était un petit bout de femme, un peu gringalette mais avec des gros seins (95 c) et des fesses bien faites. Nous habitions encore chez nos parents, ma chambre était accolé à la salle de douches, une porte vitrée, où étaient apposés un tissu d’un côté et un film autocollant de l’autre, faisait la séparation entre les deux. La chambre de ma soeur, était quant à elle avec un accès extérieur.Un matin de janvier, nos parents commençaient tôt leur commençaient, ils ont donc quitté la maison vers 7 h. Ma soeur qui était en recherche d’emploi se leva vers 7h30, tandis que pour moi les cours ne commençant qu’à 10 h, j’émergeais de mon sommeil vers 8 h. En me levant de mon lit, une affreuse envie de sexe m’avait envahi. Une érection dantesque se faisait voir au niveau de mon caleçon. Je me rendis dans la cuisine pour me faire chauffer mon café quand je suis tombé nez à nez avec ma soeur. -Salut petit frère, ça va ce matin? Tu’as dû encore faire des rêves cochons vus ton pantalon! me dit-elle sans même que je puisse dire un mot. -Eh… Non, j’ai juste envie d’aller aux toilettes c’est tout! dis-je sur un ton énervé. En réalité, afyon escort le fait qu’elle l’est remarquée m’a encore plus excité que je ne l’étais déjà. -Bah, dépêche-toi d’y aller parce que je vais préparer mes affaires et après je vais me doucher. Sur ces mots, elle sort de la pièce en direction de sa chambre à coucher.D’un coup je me précipite vers la salle de douches, arrivé devant, je regarde la vitre obstruée par ce tissu que mon père avait fixé il y a des années de ça. Je me baisse dans l’angle droit de la porte, tire sur le tissu et le soulève sur une hauteur de 4 cm. Mon coeur palpite à cent à l’heure, va-t-elle le remarque? Je rentre à l’intérieur de la pièce, me dirige vers le coin inférieur gauche et d’un geste relève le film qui bouche la vue sur 2 cm à peine. Je ressorts vite de la salle de douches en entendant ma soeur re-rentrée dans la maison, en oubliant pas de tirer la chasse d’eau. -Je peux aller me laver? Tu’as fini avec la salle de bain (oui quoiqu’il y soit une douche, ma soeur a toujours dit salle de bain) . Toujours aux gardes à vous à ce que je vois!Ne pouvant pas répondre au vu de l’accélération de mon rythme cardiaque, je lui fisse un signe de tête pour escort afyon lui signifier que c’était bon. Elle entra dans la pièce, ferma la porte à clef, et j’entendis quelques secondes plus tard son jet d’urine ricochet sur l’eau de la cuvette. Photos http://cuon.io/Urey4DLTÀ ce moment-là, je revins dans ma chambre et, malgré mon coeur qui tambouriner dans la poitrine, je me baissai vers le trou que j’avais créé quelques instants plus tôt. À ce moment-là, je vis que j’avais une vue directe sur la douche. J’entendais toujours ma soeur uriner mais je ne l’ai voyer pas. Elle s’interrompit et tira la chasse d’eau. Je me suis reculé instinctivement, j’ai attendu 2-3 secondes et j’ai de nouveau regardé.Là, devant moi, se déshabiller doucement et sensuellement ma soeur sur qui j’ai si souvent fantasmé. Elle enleva d’abord son t-shirt, je découvris un soutien gorge noir à paillettes, elle continua en retirant son pantalon de pyjama. Dessous elle porte une petite culotte, presque trop petite pour ses fesses, où il y avait dessiné dessus des petits coeurs, comme les culottes des petites filles. Comme si elle savait que je la regardait et qu’elle le voulait, elle se retourna et enleva très vite son afyon escort bayan soutien gorges. Je découvris deux très beaux seins, un peu tombant mais harmonieux et rond avec de grosses auréoles et des tétons qui pointe. Je sentis d’un seul coup une chaleur m’envahir le bas-ventre, ma verge pointait vers le haut, elle n’avait jamais été aussi dure, aussi longue, aussi grosse, aussi sensible. Au moindre frôlement une chaleur et une douceur m’envahissent.Ma soeur finit son déshabillage en enlevant le peu de tissus qui lui rester, sa culotte. Une fois cette petite pièce de tissu au sol, je découvris une petite toison entre ses cuisses, assez peu épaisse ce qui me permit de voir tout de même la forme de ses lèvres. Elle rentra dans la douche et alluma l’eau. Elle se frotta le corps, comme des caresses partout.J’avais une vue parfaite sur ses belles fesses rebondies. Ma main commença des vas et viens le long de mon pénis. Je prenais tellement mon pied que j’ai joui très rapidement. Voulant admirer ma soeur jusqu’au bout, je suis resté là, assis, à la regarder se doucher et s’essuyer. Une fois qu’elle fût sèche, je redescendis le tissu qui couvrait le carreau de la porte et alla m’essuyer le pénis et la main gauche qui était remplie de sperme. Elle sortit peu de temps après et ne remarqua rien de mon manège. C’était la première fois que je voyais, en vrai, une femme nue. C’était la première fois que je voyais ma soeur nue.

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Babysitten bei geiler Milf (Teil 2)

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Ava Addams

Babysitten bei geiler Milf (Teil 2)Fortsetzung zu: https://de.xhamster.com/stories/babysitten-bei-geiler-milf-579135Als ich am nächsten Morgen aufwachte, musste ich mir ersteinmal bewusst machen, ob das ganze nun wirklich passiert ist oder ob ich dies nur geträumt habe. Allerdings wurde mir mit einem Blick auf mein Handy klar, dass das ganze wirklich passiert sein muss, denn dort wurde mir schon folgende Nachricht von Claudia angezeigt: “Morgen mein Süßer, ich hoffe dir hat es gestern genau so gut gefallen wie mir. Nachdem du weg warst, musste ich mich mit Hilfe meines kleinen Freundes und mit Blick auf dein mit Sperma beflecktes Shirt erstmal beruhigen und jetzt ist mein Höschen im Gedanken an gestern schon wieder ganz nass. Ich hoffe, dass das unser kleines Geheimnis bleibt und freu mich schon auf eine Fortsetzung morgen. Deine geile Claudia” Diese Nachricht sorgte dafür, dass ich von 0 auf 100 hellwach wurde und vor allem auch wieder dafür, dass mein kleiner Freund nahezu sämtliches Blut in meinem Körper für sich beanspruchte. Ich war völlig aufgewühlt und konnte keinen klaren Gedanken mehr fassen, doch dies war in diesem Moment auch irrelevant. Das einzige was für mich zählte, war die erneute Befriedigung und die Vorfreude auf morgen. Eine Mischung aus Vorfreude und Weitsicht sorgte dann dafür, dass ich mich entschied, ein Kondom drüber zu ziehen, denn einerseits ahnte ich, dass ich wieder gewaltig spritzen werde und wollte einem “Unfall” wie gestern vorbeugen, andererseits wollte ich vor morgen nocheinmal “proben”, falls ich morgen mit Claudia wirklich ein Gummi benötigten sollte. Nur wenige Momente nachdem ich mir das Gummi übergezogen hatte, war es schon wieder um mich geschehen und ein gewaltiger Orgasmus durchfuhr mich. In gewaltigen Schüben spritze der Saft aus mir raus und sammelte sich im Kondom. Als ich langsam wieder bei Sinnen war, lies ich das ganze nocheinmal Revue passieren… Gestern um diese Zeit, beschränkten sich meine weiblichen Kontakte noch auf rumgeknutsche auf irgendwelchen Partys, was zur Folge hatte, dass mein Schwanz noch nie von einer Frau gesehen, geschweige denn berührt wurde und im Laufe der letzten 24 Stunden habe ich einen unglaublichen Blowjob genießen dürfen und eine heiße Affäre in Aussicht. Und das ausgerechnet mit Claudia, einer alten Freundin von meiner Mutter… Aber vor allem einer extrem geile Milf, die schon seit Jahren ein Teil meines Kopfkinos ist. Bevor ich nun unter die Dusche sprang und mich für die Schule fertig machte, entschied ich mich dazu Claudia kurz zu antworten. Ich hielt mich kurz und schrieb lediglich “Ein Bild sagen mehr als 1000 Worte” und schoss ein Foto von meinem Schwanz im spermagetränktem Gummi. In der Schule drehten sich meine Gedanken nur um den morgigen Abend und mehrmals wurde ich von meinen Kumpels drauf angesprochen, was der Grund für meine gedankliche Abwesenheit sei. Natürlich wollte ich meinen Kumpels von der Sache erzählen, aber andrerseits konnte ich die Sache mit Claudia nicht an die große Glocke hängen. Ich entschied mich dazu, aus der Nachricht zu zitieren, ohne aber einen Namen zu nennen. Natürlich werden sich meine Kumpels damit nicht ewig begnügen, aber fürs erste waren sie ruhig gestellt. Als ich dann nach der fünften Stunde zuhause war und es mir auf dem Bett bequem machte, kam erneut eine Nachricht von Claudia. “Oh, hatte erst gerade die Gelegenheit auf mein Handy zu gucken, aber so lässt man sich gern die Mittagspause versüßen. Wie gern hätte ich deinen geilen Schwanz sauber geleckt und den geilen Geschmack deines Spermas wieder genossen. Ich glaube bis morgen Abend halte ich es nicht mehr aus, ich brauch deinen Schwanz schon heute.Also spar dir deinen Saft für später auf, mein geiler Hengst. Ich freu mich auf dich und melde mich nach dem Feierabend” Diese Nachricht sorgte hatay escort dafür, dass mein Schwanz in den Bruchteilen einer Sekunde meine Hose wieder aufspannen lies, aber ich wollte natürlich Claudia den Gefallen tun und bis heut Abend nicht mehr selbst Hand anlegen. Auch wenn es schwierig war, hielt ich bis zum Nachmittag durch und freute mich, als ich wieder eine Nachricht von Claudia erhielt. “Ich hoffe, dass du die Finger wirklich von deinem Schwanz gelassen hast, ich erwarte dich heut Abend bei vollen Kräften zur gewohnten Uhrzeit. Sag deiner Mutter, dass es heute spät werden kann und du ggf. hier schläfst, da ich länger unterwegs wäre. ;)Bis heute Abend…” Dazu sendete Claudia mir auch erstmals ein Foto von sich. Es war ein unglaublicher Anblick, sie lag in der Badewanne und aus dem Schaum ragten nur ihre langen Beine und ihre schönen Brüste hervor. Außerdem sah man deutlich, dass sie in der Hand einen Rasierer hielt.Ich stellte mir vor, dass sie sich extra für mich rasiert und als mir klar wurde was das bedeuten könnte, wurde mir heiß und kalt zugleich und ich begann vor Erregung und Nervosität zu zittern. Sollte ich heute wirklich zum ersten Mal eine Pussy berühren und vielleicht sogar DAS erste Mal erleben? Und dann mit dieser Traumfrau. Meine Aufregung steigerte sich ins unermessliche und mein Blick wanderte alle 10 Sekunden zur Uhr, wann war es endlich soweit, wann kann ich mich auf den Weg machen. Als es endlich 19:30 Uhr waren, vergas ich vor lauter Aufregung fast meiner Mutter zu sagen, dass es möglich sei, dass ich heute bei Claudia schlafe, doch als ich schon halb aus Tür war, fiel es mir glücklicherweise doch noch ein.Meine Mutter war zwar leicht überrascht, da ich ansonsten meistens nur bei außergewöhnlichen Veranstaltungen am Wochenende bei Claudia schlafe, allerdings war es auch keine extrem ungewöhnliche Situation. Sie sagte nur, dass ich aufpassen solle, dass ich von der blöden Schlafcouch nicht wieder so Rückenschmerzen bekäme und dass Claudia bestimmt ein Date hätte und es ihr auf jeden Fall zu gönnen wäre. Wenn sie wüsste… Auf dem Weg zu Claudia spielten sich dann in meinem Kopf die wildesten Geschichten ab, die dafür sorgten, dass es für meinen Schwanz in meiner Hose schon wieder ganz schön eng wurde… Natürlich war ich auch extrem aufgeregt, aber die Erregung überwog letztendlich deutlich. Als ich dann bei Claudia angekommen war, wandelte sich das Blatt und ich spürte wie mein Herz immer schneller pulsierte. Vor lauter Aufregung traute ich mich zunächst nicht zu läuten, nachdem ich dann jedoch einige Male tief durchatmete überwand ich mich schließlich und betätigte die Klingel. Es dauerte nur einen Augenblick und Claudia öffnete mir die Tür und was ich da sah verschlug mir die Sprache… Sie stand in einem trägerlosen schwarzen Minikleid in der Tür, welches ihre Rundungen perfekt betonte. Außerdem hat sie ihre blonden Naturlocken noch besonders hübsch zurecht gemacht und dazu den heißen Lippenstift aufgetragen, der mich schon am Vortag verrückt gemacht hat. Sie zog mich sofort in’s Haus, schloss die Tür, schob mich dann gegen selbige und begann mich stürmisch zu küssen. Schon nach einem Augenblick schob sie mir fordernd ihre Zunge entgegen, was ich selbstverständlich erwiderte. Nach wenigen Momenten wurde ich mutiger und lies meine Hände über Claudias Körper wandern. Als ich dann zum ersten Mal ihren geilen Hintern massierte, konnte ich die Situation kaum realisieren, denn vor zwei Tagen wär dies noch völlig unrealistisch gewesen und nun stand ich hier und hielt diesen Prachtarsch in meinen Händen. Nachdem unsere Lippen kurz voneinander lassen konnten, flüsterte mir Claudia verführerisch ins Ohr, dass Lukas heute bei seiner Oma schläft und sie die ganze Nacht nur für mich da wäre.Dies führte dazu, dass der nächste Kuss noch wilder und escort hatay ich noch mutiger wurde. Ich lies meine Hände zum ersten Mal unter ihr Kleid rutschen, doch Claudia schob sie sofort weg. “Dafür haben wir später noch genug Zeit, aber jetzt kümmer ich mich erst nochmal um dich, damit der Spaß später nicht zu schnell vorbei ist. Außerdem hat mich der Geschmack deiner Sahne gestern ganz verrückt gemacht, daher will ich sie unbedingt wieder schmecken. Mir war das ganze sehr recht, denn ich merkte schon, dass ich allein durch unsere Zungenspiele extrem geil geworden bin und sicher nur wenige Momente für einen Orgasmus brauchen würde. Außerdem wusste ich aufgrund meiner Unerfahrenheit gar nicht genau, wie ich in der Situation hätte weitermachen sollen, sodass ich froh war, dass Claudia nun die Zügel in die Hand nimmt und das Tempo vorgibt. Sie führte mich ins Schlafzimmer, dimmte das Licht und machte mir dann deutlich, dass ich mich aufs Bett legen und die Augen schließen solle. Ich kam ihrer Aufforderung natürlich nach und war gespannt, was jetzt passieren würde. Kaum lag ich auf dem Bett, begann sie auch schon mein Shirt auszuziehen und als ich für einen kurzen Augenblick schauen wollte, ob sie sich auch schon entkleidet hat, erntete ich eine strenge Ermahnung. “Wenn du noch einmal deine Augen öffnest, verbinde ich sie dir.” Daraufhin versuchte ich mich zusammenzureißen, doch als sie meinen Oberkörper mit Küssen verwöhnte und langsam meiner Hose näher kam, konnte ich nicht anders und musste sie dabei einfach beobachten. Es war ein himmlischer Anblick, wie sie voller Hingabe in ihrem schwarzen Kleid meinen Oberkörper küsst und anscheinend genau wusste was sie als nächstes macht und will. Doch als sie bemerkte, dass meine Augen an ihr hafteten, hörte sie abrupt auf und rügte mich erneut. Diesmal beließ sie es jedoch nicht bei einer Ermahnung und verband mir mit einem Schal tatsächlich meine Augen. “Marco, ich habe es dir gesagt, aber du wolltest nicht hören. Jetzt wo du weißt, dass ich meine Ankündigungen wahr mache, befolgst du in Zukunft besser meine Anweisungen.”Doch sobald meine Augen verbunden waren, war die “Strenge” wieder verschwunden und sie machte da weiter wo sie aufgehört hat. Als sie dann meine Hose aufknöpfte und meine Boxershorts abstreifte, merkte ich schon langsam wie der Saft in meinem Schwanz hochstieg. Ich warnte sie vor, dass ich schon fast soweit wäre, doch scheinbar wollte sie genau das. “Marco, diese Runde ist nur dafür da, dass du den gesammelten Druck abbauen kannst, ich kann mir vorstellen, dass du heute dauergeil warst und sich bei dir sicher einiges angestaut hat. Ich möchte nicht, dass du gleich schon nach wenigen Stößen kommst, daher ist das wohl die bessere Alternative. Außerdem liebe ich es, wenn der Saft in meinen Mund schießt, also halt dich nicht zurück” Sie hatte es kaum ausgesprochen, da umschloss sie mit ihren Lippen meinen Schwanz und nach wenigen auf und Abbewegungen war es dann soweit und ich schoss mein Sperma tief in ihren Rachen.Es muss eine unglaubliche Menge gewesen sein, denn mein Schwanz hörte gar nicht mehr auf zu pulsieren. Nach einigen Momenten der Stille und des Durchatmens spürte ich Ihre warmen Lippen auf meinen und sofort begann ich sie zu küssen. Doch als sie Anfing ihre Zunge mit in unseren Kuss einzubeziehen merkte ich, dass sich mein Mund langsam mit einer warmen dickflüssigen Substanz füllte. Anders als gestern hat Claudia diesmal nicht meine ganze Ladung geschluckt, sondern schob mir mein Sperma in meinen Mund. Im ersten Moment erlebte ich dadurch einen riesigen Schock, da das ganze einfach völlig unerwartet war und ich mir niemals hätte vorstellen können, meinen eigenen Saft im Mund zu haben. Doch dann wich dieser Schock der puren Erregung und es begann ein heißer und feuchter Zungenkuss, bei dem meine hatay escort bayan Sahne vom einen Mund in den anderen wanderten. Nachdem mein warmes Sperma zahlreiche Male über unsere Zungen lief,, zog sich Claudia etwas zurück und flüsterte mir dann ins Ohr “Und jetzt schluckst du deinen Saft, ansonsten war es für heute dein letzter Orgasmus. Und du weist, dass ich meine Ankündigungen wahr mache.” Kaum ausgesprochen, lösten diese Worte in mir einen unglaublichen Ekel aus. Im Mund haben ist die eine Sache, aber schlucken noch eine ganz andere.Claudia erkannte anscheinend meine Gedanken und erwiderte”Los mach schon, sonst wars das für heute. Schmeckt auch gar nicht so übel, versprochen” Schließlich überwindete ich mich doch und schluckte mein eigenes Sperma, denn ich wollte heute Nacht ungebendigt zum ersten Mal eine Pussy spüren,, sodass ich auf keinen Fall Schuld sein wollte, dass das ganze jetzt schon endet. Und ehrlich gesagt, merkte ich, dass meine Erregung dadurch nur noch weiter stieg. Nachdem ich alles geschluckt hatte, löste Claudia den Schal von meinen Augen und gab mir erneut einen Kuss. Doch diesmal weniger leidenschaftlich, dafür umso zärtlicher. Dann schaute sie mich vertraut an, lächelte und sagte “Marco, ich hab einiges mit dir vor, aber ich glaube erst einmal ist es wichtig einige Dinge zu besprechen, denn ich möchte keinesfalls was gegen deinen Willen tun. Geh ich richtig in der Annahme, dass ich die erste Frau bin, mit der so richtig was lief?”Natürlich war es mir peinlich zuzugeben, daher nickte ich nur schüchtern. Ich merkte sofort, dass ich dabei rot anlief, doch Claudia beruhigte mich augenblicklich. “Umso besser, dann kann ich alles beibringen, was du wissen musst. Hast du Lust mit mir deine ersten Erfahrungen zu machen?” Natürlich wollte ich das, ich war erregt wie nie zuvor, trotzdem überwog in diesem Moment der Scham, da es für mich eine extrem außergewöhnliche Situation war, sodass ich wieder nur peinlich berührt nickte. In Claudias Gesicht machte sich jetzt ein deutliches Lächeln breit, dann beugte sie sich zu meinem Ohr und flüsterte leidenschaftlich “dann werden wir zwei noch einige geile Dinge miteinander erleben.”Kaum ausgesprochen, suchte sie wieder meine Lippen und schien das eben besprochene mit einem intensiven Kuss besiegeln zu wollen. Es wurde immer leidenschaftlicher und wieder glitt meine Hand unter Ihr Kleid. Diesmal lies sie es zu, dass ich ihren Oberschenkel streichelte, doch als ich mich langsam ihrer Körpermitte näherte, wandte sie sich noch einmal kurz von mir ab. “Marco eins noch, die Aktion eben war nicht böse gemeint, aber ich liebe es einfach ab und zu etwas dominant zu sein. Wenn du soweit bist, mag ich es aber genauso sehr, wenn der Mann auch mal die Führung übernimmt. Ich hoffe, dass dir das gefällt und später gelingt” Sofort antwortete ich, dass mir das nichts ausmachen würde und ich die Situation eben sehr genossen hab, da unterbrach sie mich erneut. “Wie hat dir denn der Spermakuss gefallen? Für mich gehört das als Ende von gutem Sex einfach dazu und ich mag es, wenn ich diese Leidenschaft mit einem Mann teilen kann, daher bin ich extrem froh, dass du dafür bereit zu sein scheinst.” Diesmal antwortete ich etwas zurückhaltender, weil ich es mir selbst nicht eingestehen wollte doch auf erneute Nachfrage gab ich dann zu, dass es zwar für mich völlig unerwartet kam und ich mich zuerst darüber geekelt hab, aber dann dadurch umso erregter wurde. Claudia schien dadurch sehr glücklich, lächelte mich an und flüsterte nur “perfekt, wir zwei werden noch viel Spaß zusammen haben, aber jetzt gönne ich dir erstmal 5 Minuten zum durchatmen, denn diese Nacht wird noch lang. Tut mir leid, wenn das Ende etwas holprig ist, denn eigentlich wollte ich dieses Kapitel nach dem Klingen an der Tür bei “doch was ich dann sah, verschlug mir fast die Sprache” beenden, doch das empfand ich dann als etwas zu gemein. :pDas hat jetzt allerdings zur Folge, dass das Ende etwas konstruiert und gezwungen erscheint, ich hoffe ihr könnt darüber hinwegsehen.

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Ma tante suite et finCette histoire se passe pendant les fêtes de fin d annéeRéveillon oblige, je mettais acheter un costumes pour le 31.Pour les retouches du pantalon, ma mère me suggéra ma tante qui savait bien coudre et qui avait tout le nécessaire.Je contactais ma tante et pris rdv un soir de semaine pour cela.Le jour venu, je me rendais chez elle, et elle venait juste de rentrer du travail.Après les formules de politesse, nous nous sommes retrouvés devant un verre à parler de tout et de rien.Quand elle me dit-” Va dans la chambre t habiller, pour que je prennes les mesures. “-Une fois de retour dans le salon, elle me regarda avec des grands yeux et me dit-” Whaou t es superbe mon chéri, un costume ça change un homme “– Merci tata, mais je ne suis pas à l aise. C est bizarre –” Oui, mais tu es superbe, tu portes tres bien le costume. Met toi droit et ne bouge plus, je vais prendre les mesures “-Elle s approcha de moi. Je sentais ses mains passer à coté de mon sexe et glisser sur mes jambes pour arranger le pantalon. Je me concentrais pour rester de marbre, ne pas avoir d érection.Elle se mis à 4 pattes pour prendre les mesures de mes ourlets, et je ne pus m empecher de mater son cul.Il était divinement dessiné dans son tailleur. Sa forme bien ronde ressortait de plus belle.L’érection commençait à arriver. Elle se releva doucement pour regarder le tombé de mon pantalon, tout en passant ses mains sur mes aydın escort jambes de haut en bas. Elle n avait pas encore vu que je bandais.Une fois terminé, elle se relava et là elle vit ma bosse.-” Dis donc  !! Que se passe t il ? Qu est ce qui t a mis dans cet état ? “– C est quand tu passais tes mains à coté de mon sexe et la vue de ton cul. Je n ai pas pu me retenir -Elle s approcha, m embrassa sur la joue, et me dit en me caressant le sexe.-” Enlève ton pantalon alors que je vois mieux et fais attention aux aiguilles “- Je mis en calecon délicatement pendant qu elle dégraffait 3 boutons de son chemisier.-” Effectivement la vue t a fait beaucoup d effet. Montre moi à quel point “– D accord, remet toi à 4 pattes comme tout à l heure alors -Elle se mit à 4 pattes, le cul encore plus en arrière, elle se cambrait pour me montrer le meilleur de son cul.Je me mis derrière elle et je commençais à caresser son cul par dessus son tailleur.Mes mains allaient et venaient sur toute la surface de son cul.Je relevais son tailleur sur ses hanches pour encore mieux voirElle portait une culotte noire et des porte jaretelles noires. Mmmmmm ça m excitait d avantage.Mes mains continuaient d aller et venir sur son cul. Caressant, malaxant son cul superbe.Elle adorait ça, aux gémissement qu elle soupirait.Je m approchais d elle pour lui parler à l oreille et colla mon sexe contre son cul. Qu elle puisse sentir mon excitation.- escort aydın Caresse toi en même temps -Elle glissa sa main dans sa culotte et commençait à se caresser.Mes mains allaient et venaient toujours sur son cul et je voyais sa main bouger sur sa chatte dans la culotte.Mon excitation était à son comble.Je fis glisser sa culotte, et pendant qu elle se caressait, je mis un doigt dans sa chatte.Elle eut un petit sursaut, suivi d un gemissement. J enfonçais mon doigt délicatement, pendant que mon autre main caressait son cul. Elle continuait à se caresser, quand elle me dit tout doucement.-” Met 2 doigts “-Je ne me fis pas prier.Je glissais un 2eme doigt dans sa chatte et elle se caressait de plus en plus vite. Je l entendais soupirer et gémir.Je glissais donc un 3eme doigt dans sa chatte qui était plus que trempée. 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NotnagelnSie hatte sich gestern wieder maßlos über ihren Mann geärgert. Immer die gleichen Diskussionen, warum kann er dem Privatleben keinen Vorrang geben? Durch die stetigen Nachtschichten ist kein normaler Alltag möglich, Zuwendung und Aufmerksamkeit weichen der permanenten Müdigkeit, vom Sex ganz zu schweigen.Sie, Ende 50, eher klein lebt sehr gesund, sieht daher wesentlich jünger aus. Sie ist ein schüchterner Typ, der eine Weile braucht sich anderen Menschen zu öffnen. Nicht dürr, mit den Rundungen an den richtigen Stellen ist sie eine attraktive Frau. Nur leider weiß sie das nicht einzusetzen und geht jedem Konflikt mit gesenktem Haupt aus dem Weg.Seit einiger Zeit pflegt sie ausgiebigen Kontakt zu einem Mann. Die Bekanntschaft liegt schon mehr als 30 Jahre zurück. Sie hatten sich aber vor einiger Zeit wieder gefunden. Da er 400 km entfernt wohnt, bleibt es bei einem ausführlichen Mailkontakt.Er hatte ihr immer Mut gemacht auch mal laut zu sein, auf Leute zu zugehen und nicht immer darüber nachzudenken ob es peinlich ist. Sich gegen den stets übel gelaunten Chef zu wehren, zickende Kolleginnen ignorieren, sich nicht alles auf sich beziehen.So ging das einige Zeit hin und her, sie wurde mutiger, machte sexy Bilder von sich, er schickte Bilder von sich zurück und bald tauschten sie die tiefsten Fantasien miteinander aus. Nie hätte sie gedacht, dass sie jemals einem anderen Menschen darüber berichten würde. Sie gestand, dass sie sich abends im Bett die Mails noch einmal durch Kopf gehen lassen würde und sich dabei befriedigte. Ja sie wurde mutiger, sie zeigte ihre tadellose Figur, trug auch mal ein quietsch orangenes enges Kleid im Büro, kokettierte mit Kollegen und wies den Chef in seine Schranken. Innerlich jubelte sie über sich selbst und schrieb gleich ihrem Brieffreund eine SMS von der Wandlung und wie stolz sie auf sich sei.Er wollte natürlich gleich ein Bild von dem Kleid sehen. Sie fotografierte an sich herunter und schickte es los. Ich möchte jetzt unter deinem Schreibtisch hocken, kam es zurück.Sie: aber nur wenn du artig bist.Er: Kann ich nicht garantieren, hab einen SteifenSie: Ich klemm ihn zwischen meine Füße, dann passiert nichtsEr: Au ja, ich klammer mich an deine WadenSie: wenn jetzt jemand rein kommt!?Er: schiebe ich meinen Kopf unter deinen RockSie: Der ist viel zu eng (im Anhang ein Bild vom maximalen Radius der geöffneten Beine)Er: Schieb den Rock höher und rücke näher an den Schreibtisch (ein Bild von seinem Schwanz in der Faust)Sie: Meine Füße spielen Ping Pong mit deinem Hoden, wenn du nicht aufhörst!Er: Du bist so verdorben, kannst ruhig Eier sagen.Sie: Ich werd dich ignorieren, wenn du so frech bistEr: Ich rieche was, ist dein Slip feucht? Hast du überhaupt einen an?Sie: Koste doch malEr: Köstlich, du läufst aus. Deine heißen Waden streicheln meine Eichel schön.Sie: Du bist verrückt, ich finde keinen klaren Gedanken mehr.Er: Schieb mal den Slip beiseite. Täusch ich mich oder ist die kleine Maus ziemlich geschwollen? Hast du heute schon dran rumgespielt?Keine AntwortEr: Ich kann nur mit einer Hand tippen, bin so geil!Nichts Er: Ich habe die Vorhaut ganz weit zurück geschoben, es tropft schonSie: Ich war kurz auf der Toilette Er: Sag bloß du hast…Sie: Ich wollte nur nachschauen wie feucht ich bin :-)Er: Hast du einen Finger reingesteckt?Sie: Nein, doch nicht hier!Er: Du bist aber auch ein geiles BüroluderSie: Du hast angefangen, ich wollte einfach nur arbeitenEr: Wer schickt denn hier Bilder von sexy Kleidchen und Beinen? Ich komm jetztSie: Rutsch etwas höher und spritz auf meine Muschi!Er: Schieb schnell den Slip beiseite (Im Anhang ein Bild seiner Eichel, an der rechts und links weiße, dickflüssige Ströme herunter laufen, um sich an seiner Faust zu sammeln bis diese überläuft)Sie: Wie machst du das nur, es juckt immer schlimmerEr: Verreib es schön auf deiner Möse, reibeSie: Mist, Chef kommt gleich – ist Feierabend. Muss heute noch in die AutowerkstattEr: Die riechen aber deinen getrockneten Mösensaft. Etwas kaputt?Sie: Dann husche ich noch mal aufs Klo. Batterie wahrscheinlichEr: Darf ich sie waschen? Na hoffentlich nur die BatterieSie: Komm doch her 🙂 Ja, hoffe auch. Hab überhaupt kein Geld im MomentSie: Muss jetzt Schluss machen, war sehr schön!Er: viel Erfolg in der Werkstatt, hab es auch sehr genossenSie lehnt sich zurück und atmete tief aus, schaut an sich herunter. Sie staunte immer wieder wozu er sie treiben konnte. Keinen anderen Menschen würde sie so etwas schreiben. Schnell schob sie ihr Kleidchen züchtig nach unten, jeden Moment konnte die Tür aufspringen und der Chef zur Feierabendrunde rein schauen. Sie presste die Beine zusammen als wäre sein Schwanz noch dazwischen – das war schön. Sie hatte noch nie einen Orgasmus im Sitzen bekommen, bisher immer im Liegen.Sie schlug die Beine übereinander und beugte sich leicht vor, drehte die Hüften auf der Sitzfläche. Die Sitzfläche drehte sich in die entgegen gesetzter Richtung und massierte so ihre wieder geschwollenen Lippen. Dabei scrollte sie die SMS noch einmal durch.Die Stimme ihres Chefs erklang im Flur, schnell ließ sie das Handy in die Tasche plumpsen und blätterte interessiert im Ordner. Da flog auch schon die Tür auf und er trat ein. “Na Frau Schmidt, sind sie vorangekommen?“ Er, ein rundlicher Typ, stets unmodisch gekleidet und mies gelaunt. Man weiß nie woran man bei ihm ist. Er nutzt gerne seine Position aus um Mitarbeiter zu schikanieren. Aber seit sie ihm klar gemacht hat, dass er mit ihr nicht alles machen könne, war er wesentlich freundlicher zu ihr.Sie lief puderrot an, als hätte man ein kleines Mädchen beim Klauen erwischt. “Alles in Ordnung”, erwiderte sie ohne ihn anzuschauen. Warum werde ich jetzt rot? verflucht sie sich selber. Der kann doch nichts ahnen?! Oder riecht man wirklich etwas?”Sie sind doch nicht noch sauer wegen meines Anranzers heute Morgen?” Er erwartete eine Antwort die nicht kam. “Ich wollte ihnen auch mal sagen, dass sie heute wirklich sehr hübsch aussehen. Das kleidet sie wirklich sehr, dies frische Sommerfarbe.” unternahm er einen neuen Versuch. Jetzt wurde sie dunkelrot und schaute erschrocken hoch. Das hatte er in den 18 Jahren die sie hier arbeitete noch nie gesagt. Der wird doch wohl nicht baggern wollen… alleine die Vorstellung mit diesem Mann… Wie hatte ihr Brieffreund gesagt, wenn er dich ärgert oder auf die Nerven geht, stelle ihn dir nackt vor. Nun musste sie grinsen und bedankte sich für das Kompliment. “Mir ist das schon in den letzten Wochen aufgefallen”, fuhr er weiter fort “sie haben sich verändert”. Vor ihrem geistigen Auge sah sie seinen nackten Körper, unter dem Bauch ragt ein kurzer Pimmel hervor, den er wahrscheinlich nur im Spiegel sah. Sie schüttelte sich, antwortete aber, dass die Zeiten vor dem Spiegel äquivalent zum Alter steigen.Er lachte und wünschte einen schönen Feierabend und verließ mit einem “Bis morgen” das Zimmer. “Buah!” entfuhr es ihr. Sie hatte den nackten Chef immer noch vor Augen, zum Dank versiegte ihr Mösensaft.Schnell packte sie zusammen, fuhr den PC runter und wollte das Büro verlassen. Vorsichtshalber roch sie noch einmal an ihrer Hand. Hat er Recht? Kann man das noch riechen? Sie eilte auf die Toilette, feuchtete Tücher an, raffte das Kleid, schob den Slip beiseite und wischte mit den Tüchern durch den Schritt. Da war es wieder das Kribbeln. Das kalte Wasser beruhigte nur kurz die Wallungen, die Hitze aus ihrem Schoß erwärmte es sofort.Sie schaute in den Spiegel, sah ihren verklärten Blick. In Gedanken stand ihr Brieffreund hinter ihr, packte ihre Hüften und schob seinen harten Schwanz in ihren Schritt. Ihr nasses Tuch simulierte seine Eichel. Ihre Finger fuhren durch die Lippen, öffneten sie dabei ein wenig und berührten die inneren Lippen. Wieder nach vorne, fast bis auf den Unterbauch. Das Tuch begann sich aufzulösen. Schnell nahm sie ein neues, das kalte Wasser dämpfte wieder nur kurz ihre quälende Lust.‚Oh, er hat den Winkel geändert‘, spielte sie in Gedanken. Ihre Finger drückten das Tuch in die Möse. Immer wieder. ‚Er ist so unbändig und will mich auf der Toilette nehmen‘. Was mache ich hier nur, denkt sie plötzlich, ich befriedige mich hier auf dem Firmenklo!Aber die Gier nach der Lust siegte. Ihre Hand schob das nasse Tuch über den Damm, ‚der holt aber weit aus‘, spielte sie die Rolle weiter. Rein zufällig berührte sie ihre Rosette. Etwas erschrocken edirne escort stellte sie aber fest, dass es gar nicht unangenehm war. Wie hatte er letztens geschrieben: wenn man richtig geil ist, ist man zu allem fähig um sich Befriedigung zu verschaffen. Er ist so herrlich direkt. Ihr Unterarm drückt auf die Möse, zwei Finger auf der Rosette. ‚Ob ich mal drücke?‘ Für sie war das bisher ein Tabu, hatte sie doch noch nie einen Gedanken darüber verschwendet, etwas anderes als im liegen und der Mann oben zu probieren. Nur durch die Brieffreundschaft hatte sie andere Eindrücke bekommen, konnte sich aber nicht rein steigern, weil sie am PC nicht Hand an sich legte. Das hat sie heute das erste Mal gemacht.Zaghaft drückte sie zweimal kurz. Eine Welle wälzte sich durch ihren Körper. Sie spürte deutlich wie ihre Möse am Handgelenk bebte und ein Kribbeln rauf zum Nacken bis unter die Schädeldecke schoss. Gott, was war das? Sie schaute sich entgeistert im Spiegel an. Es galt immer als unhygienisch und verpönt und nun löst es solche Gefühle in ihr aus. ‚Oh ja, drück deinen Pfahl gegen meinen Hintern‘, forderte sie von ihrem unsichtbaren Lover.Ihr Handgelenk spreizte die Lippen und sie drückte wieder und wieder ihren Finger auf ihr Loch. Welle um Welle schoss durch ihren Körper. Sie wurde süchtig nach dem Gefühl. Ihr Finger durchbrach das aufgeweichte Tuch und sie fühlte die Falten der Rosetten am ihren Anus. Jede Falte ertastete ihr Finger, umkreiste den Schließmuskel. ‚Ja, hämmer deinen Stab gegen meinen Anus‘, schrie ihr Kopf. Trotzdem sie vor Geilheit fast in einen Trance fiel, war ihre Wortwahl immer noch gesittet.Mit aller Gewalt presste sich ihr Handgelenk in die Möse. Ihr Finger rotierte auf dem Schließmuskel und versuchte zaghaft in die Öffnung zu gelangen. ‚Wie soll da ein ganzer Penis rein kommen‘, ging es ihr durch den Kopf. ‚Komm mach es, Kinder bekommt man schließlich auch!‘. Zaghaft versuchte sie eine Fingerkuppe zu versenken. Sie spürte, wie sie den Schließmuskel dehnte. Der Feierabendtumult war auf dem Flur zu hören und plötzlich verharrten Schritte vor der Tür. Aus dem Trance gerissen, holte sie ihre Hand hervor, zerrte ihr Kleid runter und in dem Moment ging die Tür auf.„Hallo Sabine“, begrüßte sie ihre Kollegin. Sie waren ungefähr gleich alt, etwas größer, immer adrett gekleidet und nahm nie ein Blatt vor dem Mund. Sie war die einzige, mit der sie über ihre Brieffreundschaft und erotischen Fantasien sprechen konnte. Sie hatte auch die sexy Bilder von ihr gemacht und bei der Auswahl der Sachen geholfen. „Na? Ein Date heute?“ fragte sie grinsend und gab ihr einen Klaps auf den Hintern. Ihr war nicht entgangen, dass sie sich gerade unten herum gesäubert hatte. Das Kleidchen hing noch auf halb acht über der Pobacke, die feuchten Tücher auf dem Waschbecken…. „Nein“, schoss es aus ihr heraus, „ich habe noch einen Arzttermin!“. Sie wunderte sich selbst über ihre Schlagfertigkeit.„Aber ich“, sagte sie, „ein heißer Junge. Oben im Steinbruch, ich hatte dir doch mal davon erzählt“. Ja hatte sie, dieser hoch gelegenen Steinbruch, ein Treffpunkt für Pärchen und Singles. Mit Blick ins Land konnte man da herrlichen Sex haben oder einfach nur zu schauen. Völlig ungeniert schob sie ihren Rock hoch, öffnete ihre Handtasche, holte Lappen und Seife heraus und stellte ein Bein auf das Waschbecken. Sie ließ das Wasser warm laufen und wusch ausgiebig ihre Möse. Sabine zupfte ihr Kleid zurecht und bewunderte ihre Freundin über ihre Offenheit und Ungeniertheit. Sie wusste nicht so recht wo sie hin schauen sollte.„Ich wünsch dir viel Spaß heute und erzähl mir dann morgen alles.“ „Wünsch ich dir auch Sabine und lass die Finger vom Doktor!“ rief sie ihr blinzelnd hinterher. Draußen musste sie erst mal durch atmen. Nicht auszudenken wenn die Personaltante rein gekommen wäre? Diese verhärmte Kuh! Sofort machte sich wieder schlechtes Gewissen breit.Aber es war schön, dachte sie sich. Wenn Manfred heute Abend arbeiten geht, probiere ich das gleich noch einmal. Ich werde mir ein schönes Bad einlassen und dann… Ob ich meinem Brieffreund davon erzähle? Damit könnte ich ihn sicher ganz heiß machen. Er hat so eine blühende Fantasie in der Hinsicht.Sie setzte sich in ihr Auto, nach dem vierten Versuch startete es auch endlich. “Halte durch mein liebes”, murmelt sie und tätschelte liebevoll das Armaturenbrett. Sie reihte sich in die endlosen Schlangen des Berufsverkehrs ein. Jetzt hatte sie viel Zeit über den Tag nachzudenken. Am liebsten hätte sie die SMS noch einmal gelesen. Jeder Satz ging ihr durch den Kopf. Sie ertappte sich dabei, jeden Mann zu beobachten, die Ausbuchtung im Schritt einzuschätzen. Würde der unter meinen Schreibtisch passen? Sie rutschte unruhig auf ihrem Sitz hin und her. Oder der Kleine da, der könnte sich hier in mein Auto kauern und mir die Zeit verkürzen… Sie grinste in sich hinein und erschrak zugleich über ihre Gedanken.Jetzt wurde ihr auch bewusst was ihr fehlte, etwas Zuneigung, Zärtlichkeit, schöner und auch verruchter Sex. Es darf auch mal ganz schmutzig sein. Ja wild, die Lust heraus schreien, versinken in der Ergüssen der Lust! Sie presste die Schenkel zusammen, beugte sich etwas nach vorne um das Gefühl auf dem Bürostuhl wieder zu erlangen. Unsicher schaute sie nach rechts und links in die Autos, hoffentlich merkt niemand was in ihr vorging. Irgendwie machte es ihr heute nichts aus in dem Stau zu stehen.Nachdem sie zweimal gedankenverloren eine Abbiegung verpasst hatte, stand sie endlich vor der Autowerkstatt. Eine dieser kleinen Hinterhofwerkstätten, in denen der Chef noch selber arbeitete (weil sonst auch niemand angestellt war). Sie harrte noch kurz aus um sich eine Strategie zu erarbeiten, wie sie die eventuell hohe Rechnung drücken könnte.Sie beschloss auf die Tränendrüse zu drücken, das erforderte aber ihren ganzen Mut. Dazu musste sie die Initiative übernehmen, was ihr überhaupt nicht lag.Sie betrat die Werkstatt und versuchte zwischen den Autos den Chef und einzigen Mechaniker zu erblicken. „Hallo?“ rief sie. Zwischen ihren Beinen schob sich Kopf unter dem Auto hervor: „Ja bitte?“ Sie erschrak, schloss die Knie hastig und xte zwei Schritte zurück. „Wie kann ich ihnen helfen?“ fragte er und wischte sich im Liegen die schwarzen Hände an einem ebenso schwarzen Lappen ab.„Ich glaube ich habe ein Problem mit meiner Batterie“, sagte sie zaghaft. Er erhob sich ächzend von seinem Rollbrett. Er musste über 1,90 Meter sein, schlank und die Arbeitskombi schlackerte an ihm herum. „Schauen wir uns das mal an.“ Er griff aus dem Werkzeugwagen ein Messgerät und beide gingen zum Auto auf dem Hof. „Machen sie doch mal die Motorhaube auf.“ Sie setzte sich ins Auto und suchte den Griff für die Entriegelung während er vorne stand und darauf wartete diese zu öffnen. Es dauerte. Frauen dachte er, wie gestern: meine Tür quietscht bei öffnen, was könnte das sein? „Links unterm Armaturenbrett!“ rief er unwirsch. Sie suchte immer hastiger. „Nein das andere links!“ rief er. Gott bin ich dämlich, dachte sie und suchte auf der anderen Seite. Ungeduldig kam er zur Wagentür, beugte sich in den Innenraum und tastete nach dem Hebel. Sie presste sich tief in ihren Sitz um ihm so viel Platz wie nur möglich zu machen. Aber es war eben nur ein Kleinwagen. „Was die aber auch heutzutage bauen“, schimpft er. Dabei lag er fast mit seiner Brust auf ihren Schoß und sein Kopf zwischen ihren Knien. Sie wusste gar nicht wohin mit ihren Händen und hob diese hilflos hoch. Ich hab ihn – Klack – und die Haube sprang auf. Er räkelte sich mit einem „Na geht doch“ aus dem Auto und bemerkte, dass sie etwas hilflos mit den erhobenen Hände da saß. Mit Blick auf ihre Oberschenkel bemerkte er: „Oh, das tut mir Leid!“ Nun sah auch sie, dass sein Overall einen dunklen Abdruck auf ihren Oberschenkel hinterlassen hat. Oh Mann dachte er bei sich, du hast auf ihren Schenkeln gelegen und ich dachte es wäre der Sitz gewesen. Sie versuchte derweil den größten Schmutz zu entfernen, drehte die Innenseite nach außen um sich zu vergewissern, dass der Dreck nicht durch gesuppt ist. Dabei entblößte sie ihre Schenkel. Mein lieber Scholli, ging es ihm durch den Kopf, was für Beine. Sie bemerkte seine Blicke, errötete und bedeckte sich sofort wieder. Er schälte sein Messgerät aus der Hose, “starten sie mal!“ rief er. Sie ließ den Motor an, der kam beim dritten Mal. Er maß hier und da, “Ist escort edirne gut, machen sie aus“. Er kratzte sich am Kopf.Sie stieg mit Bedacht aus dem Wagen, sich nicht wieder mit ihrem Kleidchen zu entblößen. “Und? Was ist es?”, fragte sie auf das Schlimmste vorbereitet? “Es ist beides”, resümiert er, “Lichtmaschine und Batterie!”. Oh nein, ratterte es in ihr. Was immer das erstere ist, es klingt teuer. “Was schätzen sie was das kostet?”, fragte sie zaghaft und biss sich dabei auf die Unterlippe und warf ihm einen gequälten Blick zu. Er schaute sie nachdenklich an, als müsse er über Leben und Tod entscheiden.”So um die 350″ sagte er. Sie vergaß auszuatmen, die Luft staute sich in ihrem Mund und blähte die Backen auf. Mit einem “Boah” entlud sich die aufgestaute Luft. Sie konnte nicht feilschen, es war ihr einfach peinlich. Sie startet einen Versuch: “Und da kann man nichts machen?” “Na jaaaaa…”. Er zog es gedankenverloren in die Länge. “Es können auch 400 sein”. Ihr wurde schwindlig, sie suchte Halt an der offenen Tür. Er sprang auf sie zu und wollte sie auffangen. “Das war ein Scherz, versuchte er zu beruhigen, es kann auch etwas weniger werden, aber nicht viel!”, betonte er mit Nachdruck.”Ach bitte”, sie faltet die Hände vor ihrer Brust und warf ihm einen Dackelblick zu. “Also 300, weniger geht nicht”, bot er genervt an. Sie überlegte krampfhaft wie sie vorgehen könnte. “Bestehe auch die Möglichkeit…” sie sucht nach Worten, trat von einen Fuß auf den anderen, “…dass sie mir das auf Rechnung machen und ich bezahle am nächsten Gehaltstag?” Ihre Stimme wurde immer leiser, bei den letzten Worten piepste sie nur noch.”Ach ja natürlich”, sagte er mit einer Inbrunst an Selbstverständlichkeit. “Und welchen Gehaltstag? Februar 2029? Nein meine Dame, das kommt nicht in Frage!” “Nein, diesen Monat, ich verspreche es ihnen”, flehte sie. “Schauen sie meine Dame”, sein Arm machte eine ausladende Bewegung zu seiner Werkstatt. “Alle diese Wände waren mal lila”. Sie schaute ungläubig, lila? Wieso lila?. “Nun sind sie grau, tapeziert mit endlosen Versprechen meiner Kunden!”. Pffff, so ein Spinner, dachte sie „ Ich bin nicht so eine, ich brauche das Auto täglich!”, flehte sie. Er winkte ab.Die gute Laune die sie aus dem Büro mitgebracht hatte war so gut wie verflogen. Sie schaute betreten nach unten. “Darf ich wenigstens mein Kleid etwas säubern?”, fragte sie. “Dahinten ist ein Waschraum”, er deutet in die hinterste Ecke der Werkstatt. Sie ging voran. Neuerdings bekomme ich doch so viele Komplimente, geht es ihr durch den Kopf. Er ist zwar jünger, aber probieren kann man es mal. Sie ließ ihre Hüften schwingen, ihre Schuhe klackerten auf dem Beton. Seine Augen folgten er Bewegung ihres Beckens. Verdammt sexy der Hintern.Sie verschwand in dem Waschraum und schloss die Tür absichtlich nicht ganz. Sie vergewisserte sich, dass er ihr jetzt nicht nachschaute, öffnete ihr Kleid, entledigte sich des BH’s und ließ diesen in ihrer Tasche verschwinden. Sie drehte das kalte Wasser auf und befeuchtete ihre Nippel. Der Kälteschock ließ sie sofort stehen. Sie schloss das Kleid wieder und prüfte im Spiegel, ob die harten Nippel auch gut sichtbar sind. Ich bin eine ganz Schlimme, kicherte sie in sich rein. Sie schielt noch einmal zu der halb offenen Tür, er kommt gerade vorbei.”Alles in Ordnung bei ihnen?” er schaut um die Ecke. Auf diesen Moment hatte sie gewartet, das Kleid angehoben und über das Becken gezogen. “Ja geht schon”, rief sie zurück ohne den Blick vom Wasserhahn abzuwenden.Was für ein Hintern. Er sah den Spitzen besetzten Slip, der nur die obere Pohälfte bedeckte und dann zwischen den Backen verschwand. Sie war nicht dünn, eher wohl proportioniert. Er konnte trotz der Entfernung schemenhaft ihre Nippel unter dem Kleid erkennen. Er griff sich in den Schritt und umklammerte seinen Schwanz, als wolle er prüfen ob er wach ist. “Brauchen sie noch etwas?”, fragte er scheinheilig und versteckte sich hinter der Tür.”Nein!”, kam es zurück. Wieder schaute er vorsichtig um die Ecke. Sie hatte das Kleidchen hoch gehoben um zu prüfen, ob sich noch Flecken auf ihren Beinen befinden. Sie drehte sich dabei in dem Raum, als suche sie für die Begutachtung das beste Licht. Ihre ganze Aufmerksamkeit galt ganz ihren Beinen. Sie wusste dass er sie beobachtete, strich ab und zu über ihre Oberschenkel. Als sie zur Tür stand, zupfte sie ihren Slip etwas nach oben. Deutlich zeichneten sich nun ihre Schamlippen ab. Er schluckte und drückte geistesabwesend seinen Schwanz. Inzwischen war dieser schon mehr als hart. Fasziniert begann er zu reiben ohne seinen Blick von ihr abzuwenden. Plötzlich drehte sie den Wasserhahn ab und ordnete ihr Kleid. Er schreckte zurück hinter die Tür. Mist, er schaute an sich herunter, die Beule war nicht zu übersehen. “Das sollte reichen”. Sie blickte in Richtung Tür um sich zu vergewissern, dass er nicht schaute, zog sich noch schnell an ihren Nippeln und schritt auf die Tür zu. Komm mein Junge, zeig mir wie sexy ich bin, sagte sie in Gedanken. “Huch!”, täuschte sie Überraschung vor als sie zur Tür heraus kam. Sie stand dicht vor ihm, er überragte sie um mindestens eineinhalb Köpfe. Ihr Herz raste als sie langsam ihren Blick senkte. Da war sie, eine Riesenbeule in der Hose. Was bin ich für eine Schlimme, jubelte sie innerlich. Hoffentlich sieht mich hier keiner, kamen aber auch gleich wieder ihre Bedenken.Er drehte sich etwas weg von ihr in der Hoffnung, sie bemerke seine Beule nicht. Die Profilansicht machte es aber nur noch schlimmer. Diese Nippel, dachte er, die Bilder von ihrer Möse gingen ihm nicht aus dem Kopf und sein Schwanz ließ sich nicht bändigen.Sie ging voran durch die Werkstatt, als hätte sie nichts bemerkt. “Ich habe mir da was überlegt“, sagte er. Sie blieb abrupt stehen und drehte sich um, fast wäre er gegen sie gelaufen. Sie standen sich bis auf wenige Zentimeter gegenüber. „Ja?“ fragte sie provokativ, drückte ihre Schultern zurück um ihren Busen zur Schau zu stellen. Vor ihrem geistigen Auge sah sie den jungen Mann seinen Schwanz bearbeiten, wenn sie die Werkstatt verlassen hatte. Ein merkwürdiges Gefühl stieg in ihr auf, Hunger nach mehr, diese Situation nie enden zu lassen. Plötzlich fühlte sie sich mächtig.„Sie sind eine sehr charmante und attraktive Frau. Aber das hören sie sicher ständig“, fuhr er fort. Sie badete in dem Kompliment. Und geil macht sie dich auch, diese Dame. Aber das dachte sie nur. „Ich habe da noch ein Teil zu liegen, dass nicht abgeholt wurde, brandneu!“ versicherte er. „Ich könnte es ihnen so geben“. Aha dachte sie, geht doch. Ein breites Lachen erhellte ihr Gesicht. „Sie müssen mir nur einen Gefallen tun“, fuhr er fort. Jeden, du kleiner geiler Bock! schoss es ihr durch den Kopf. Ihre Lenden begannen zu pochen, als ihr Blick auf den immer noch wachsenden Schwanz fiel.„Kommen sie doch mit ins Büro.“ Sie folgte ihm. „Nehmen sie Platz“, er deutete auf einen Drehstuhl. Übertrieben beugte sie sich nach vorne beim hin setzen, dass auch ja ihr Röckchen hoch rutschte. Er setzte sich ihr gegenüber in seinen Chefsessel. Seine Beule war nun nicht mehr so sichtbar, man konnte es für eine Falte der Hose halten oder aber die Konturen seines Gliedes, welches auf seinen Schenkel ruhte. Er stieß sich mit den Beinen ab und rollerte auf sie zu. Fast verzweifelt schaute er sie an. „Sie sind so sexy, wenn ich das so sagen darf“, er rang nach Worten. Ihr ging das runter wie Öl. „Mir ist da ein Malheur passiert“. Sie schaute verständnislos, nicht ganz sicher was er ihr jetzt beichten wollte. Er schaute in seinen Schoß. Ah du kleiner Mistkerl ging es ihr durch den Kopf. Entsetzt nahm sie die Hände vor den Mund, riss ihre Augen weit auf und schlug keusch ihre Beine übereinander. „Was erlauben sie sich!“ schrie sie gespielt entrüstet. Er sprang auf, wedelte mit den Händen. „Nein, so war das nicht gemeint“, versuchte er sie zu beruhigen. Im selben Moment wurde ihm bewusst, dass sein steifer Schwanz nun sehr deutlich zu sehen war. Sofort legte er beide Hände über die Beule und ließ sich in seinen Sessel plumpsen. „Glauben sie mir, dass war sau blöd von mir!“ versuchte er die Situation mit puderrotem Kopf zu entschärfen.„Was denken sie von mir?“ ereiferte sie sich weiter gespielt. „Ich bin keine Nutte!“ Innerlich war sie sich nicht ganz sicher in was sie sich hinein manövriert hatte.„Verstehen sie mich bitte nicht falsch, ich will edirne escort bayan nichts von ihnen!“ flehte er um ihr Verständnis. „Ich will nur… „ stotterte er und suchte nach Worten… „Ich will es nur mit ihnen treiben“ äffte sie ihn mit weinerlicher Stimme nach. „Spinnen sie?!“ Der Gedanke, dass ein junger Mann wegen ihr einen Steifen hatte, ließ ihr Kopfkino anspringen. Sie musste an Bilder ihres Brieffreundes heute Nachmittag denken. Sie stellte ihre Beine wieder nebeneinander und presste die Schenkel zusammen. Sie hob ihre Handtasche auf und deutete an, gehen zu wollen.„Warten sie!“ begann er seinen Satz erneuet, „ich will nur ihre Brüste sehen“, sagte er kleinlaut in Erwartung eine schallende Ohrfeige zu kassieren. Ihr Schritt pochte, er will ihren Körper sehen! In Gedanken sah sie ihn onanieren während er sie gierig anblickte. Wie lange ist es her, dass ein Mann sein Verlangen ihr gegenüber gezeigt hatte? Ihrer jedenfalls nicht. Sie versuchte die Erregung nicht nach außen zu tragen. „Und das Auto?“ fragte sie siegesgewiss. „Mach ich ihnen, also das Auto“ stellte er schnell klar. In seinen Augen keimte Hoffnung auf. „Aber nur zeigen“ wollte sie sich vergewissern. „Ja ja, ich fasse sie nicht an“, versicherte er. Seine Hände lagen immer noch im Schoß und drückten kaum merklich den Schwanz. Inzwischen war sie so erregt von der Situation, sie hätte auch das Schreibtischspiel mit ihm gemacht. Nur das sie im Chefsessel sitzt und er hockt vor ihr, den Kopf in ihrem Schoß. Sie saß kerzengerade und drehte wieder den Stuhl mit ihrem Becken.Ihm war nicht entgangen, dass ihre Nippel weiter wuchsen. Sie macht es, jubelte er in sich hinein. Sie nestelte schüchtern an ihrem breiten Träger und schob ihn über die Schulter. Er spannte sehr, Zentimeter um Zentimeter wurde die Brust frei gelegt.Mit gierigen Blicken verfolgte er dem freilegen des Fleisches. Seine Hand rieb seinen Schwanz in der Hose, wobei ihr auffiel wie lang der Weg war. Es musste ein Riesending sein und der von ihrem Brieffreund war schon wohl gewachsen. Der halbe Brusthof war schon zu sehen, als der Saum an dem steifen Nippel hängen blieb. Seine Augen wurden größer, sein Mund stand offen. Gleich würden sie zu sehen sein. Er drückte einmal paarmal den Schwanz kräftig, als presse er den letzten Rest aus einer Fettkartusche.Sie spürte, wie der Saum ihren Nippel nach unten zog. Ein herrliches Gefühl, wie er sich mit zunehmender Härte gegen das abwärts drücken wehrte. Sie schaute dem Spiel zu, zog immer wieder leicht am Träger damit der Saum weiter den Nippel massierte. Sie wünschte sich tausend Hände, die ihre Brüste packten und kneteten. Sie warf einen Blick zu ihm herüber, sein entgeisterter Blick heizte ihr zusätzlich ein. Völlig abwesend starrte er auf ihren Busen und massierte seinen Schwanz.Mit einem Ruck sprang der Nippel unter dem Stoff hervor. “Sind die lang”, entfuhr es ihm. “Da kann man ja ein Handtuch aufhängen”. Sie lächelte ” Ja?” Um ihn zu provozieren, zwirbelte sie diese zwischen Daumen und Zeigefinger. Er beugte sich nach vorne um jede Bewegung genau verfolgen zu können. Sein Atem ging schneller, dass reiben im Schoß wurde heftiger. Komm ruhig näher, ging es ihr durch den Kopf. Sie strich mit der flachen Hand über ihren Busen und ließ jedes Mal den langen Nippel hervor springen. “Die andere auch?” hauchte er. Sie wollte es hören: “Gefällt es dir was du siehst?” “Unglaublich, nicht zu groß und nicht zu klein und so schön straff. Ich würde sehr gerne ihre Nippel saugen.” “Auf keinen Fall” stellt sie sofort klar. Ihr Schoß sagte etwas anderes. Das Spiel mit den Warzen hat sie so geil gemacht, langsam wusste sie sich nicht mehr zu helfen.Sie schälte den anderen Träger von der Schulter. Das gleiche Spiel begann mit dem anderen Nippel. Immer und immer wieder drückte der Saum den Nippel nach unten. Endlich befreit, sprang er unter dem Kleid hervor. Er hechelte nun, seine Finger krallten sich um den Schwanz. Man konnte nun die Ausmaße erahnen, die sich in der Hose abzeichneten.Ihre Brust hob und senkte sich, so tief atmete sie. So ein Ständer nur wegen ihr. Sie presste die Brüste zusammen und versuchte die Nippel aneinander reiben zu können. Mit dem Zeigefinger dirigierte sie die beiden aufeinander zu. “Aaaaah” atmete sie aus. Ihr Becken machte kreisrunde Bewegungen auf dem Stuhl. “Würde es sie stören, wenn ich meine Hose öffne?” fragte er. Sie schaute ihn mit einem glasigen Blick an. Dieser persönliche Abstand durch das “Siezen” machte das Ganze noch aufregender. Hol ihn raus massier ihn, wollte sie am liebsten sagen, schüttelte aber nur den Kopf. Er zog an dem obersten Druckknopf des Overalls und die restlichen sprangen bis zum letzten auf. Weiße Boxershorts wurden sichtbar. Er schaute an sich herunter, “Ich seh aus wie eine Sau…” und seine Hände betrachtend “… und dreckig bin ich auch noch. Könnten sie…?” Seine Arme stützten sich auf der Lehne und die öligen Hände hielt er hoch in der Luft. “Wir… wir hatten doch etwas ausgemacht” sagte sie nicht ohne stöhnen. “Nur die Hose runter ziehen, ich sau alles ein!” Gerne würde ich den mal anfassen, denkt sie sich. Und sie holt ihn ja nur raus, beruhigte sie ihr Gewissen. Sie rollert mit ihrem Stuhl zwischen seine Beine, ließ von ihren Brüste ab und zog an dem Bund der Shorts. Er lehnte sich zurück und beobachtete schwer atmend ihr Vorgehen. Sie erblickte einen schmalen Streifen seines Schamhaars, welche weiter tiefer sich zu einem Pfeil in Richtung seines Schwanzes formte. “Das ist aber lustig” und strich durch die drahtigen Stoppeln. Er versteifte sich in seinem Stuhl und atmete hörbar durch die Zähne ein. Sofort wurde ihr bewusst was sie da anrichten könnte und zog den Bund weiter nach unten. Da war er, die Wurzel des Schaftes der aus seinen Lenden wuchs. Sie schälte den Slip weiter in die Richtung in der sie die Schwanzspitze vermutete, dabei lüftete er kurz seinen Hintern, damit die Hose nachrutschen konnte. Beide blickten gebannt auf den um Zentimeter für Zentimeter frei gelegten Schwanz. Sie hoffte, der Ständer würde von alleine aus der Hose springen, wenn sie die Shorts nur tief genug herunter ziehe.”Ich glaub der steckt im Hosenbein fest” stellte er fest. Um Himmels Willen, wie lang soll der denn sein, marterte es in ihrem Kopf. Er zerrte an seinem Overall und tatsächlich: die Schwanzspitze schaute aus der Beinöffnung der Shorts. Unter dem glänzend weißen Stoff lugte seine Eichel hervor, die Spitze leicht von der Vorhaut frei gegeben. Er umfasste äußerst vorsichtig die Wurzel seines Schaftes, immer darauf bedacht seinen weißen Slip nicht zu beschmutzen. Sein steifer Schwanz ließ sich aber nicht aus der Hose zerren. Da begann sie vom Hosenbein gegen die Eichel zu drücken. Gemeinsam dirigierten sie ihn so aus der Hose. “Soll ich?” fragte sie und deutete auf die vom Gummi abgeklemmten Eier. “Oh ja, das wäre nett” freute er sich. Sie nimmt die Hoden in ihre Hand und bettet sie auf den gespannten Shorts. “Das ist alles ziemlich groß an ihnen” Ihre Hand tastet an dem Schwanz, als wolle sie sich vergewissern, dass es wirklich Fleisch und Blut ist. “Vorsichtig” warnt er schwer atmend und deutet auf die Schwanzspitze, erste weiße Tröpfchen bildeten an seiner Harnöffnung und perlten über seine Eichel. “Jetzt noch nicht” warnte er.Sie saßen noch immer dicht gedrängt Stuhl an Stuhl. Schwer atmend lehnte er sich zurück, der Pfahl ruhte auf seinem Bauch. Sie konnte jede Ader an seinem geschwollenen Schwanz sehen. Völlig fasziniert ruhte ihr Blick auf dem Gemächt, geistesabwesend massierte sie wieder ihre Brüste. “Können sie eigentlich an ihren Nippeln lecken?” fragte er neugierig. “Das habe ich noch nie probiert” gestand sie, fand den Gedanken aber sehr reizvoll. Sie legte den Kopf auf die Brust, öffnete den Mund und streckte die Zunge raus bis es schmerzte. Gleichzeit drückte sie die Brüste in die Höhe und versuchte die Nippel zu erhaschen. Sie krümmte sich, dabei tropfte Speichel auf ihre Brust, den sie mit den Fingerspitzen verteilte.”Scheiße” ruft er plötzlich und springt auf. Dabei schubst er sie mit dem Stuhl etwas zurück. Verzweifelt versuchte er seinen harten Schwanz in die Hose zu buckzieren. Sie folgte seinem Blick zum Bürofenster und sah einen Schatten. Im selben Moment flog die Bürotür auf und eine Blondine stürmte herein. “Was ist denn hier los” schrie sie außer sich. Sie hätte ohne Probleme an einem Barbie Contest teilnehmen können. Sie war noch etwas jünger als er, auftuppierte Haare die sich selbst bei ihren furienartigen Bewegungen nicht einen Millimeter bewegten, Schminke, aufgetragen für zwei, einem Tüllrock und Stöckelschuhe.

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Vingt ans après (chapitre 1)

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Babes

Vingt ans après (chapitre 1)Elle est arrivée dans le petit square parisien du 5° arrondissement par un beau samedi ensoleillé. Elle est excitée à l’idée de retrouver son amant. Elle ne sait pas si elle va lui plaire, si elle va retrouver ses sentiments d’antan avec la même fraîcheur, le même enthousiasme. Il est dans la même situation qu’elle. Il est plein de doute mêlé à une grande excitation. Il a son sexe tout chaud dans son slip. Plein d’envie pour elle. Il arrive dans le square et la reconnait. Il a le corps irradié d’une puissante chaleur en la voyant. Il a envie d’elle. Elle est émue. Ils s’embrassent sur les joues en guise de début. Et ils se regardent avec délice et échangent les premiers mots. 20 ans disparaissent subitement. Et les sentiments intacts sont là. Ils discutent et échangent en se regardant dans les yeux avec ce sourire de ceux qui s’étonnent de se revoir, comme si le temps s’arrêtait subitement. Ils se lèvent et vont prendre un café dans le bar qui se trouve en face du square. Et le désir monte. Ils se prennent la main, se caressent sous la table. Les visages se rapprochent. Ils s’embrassent. Et il lui propose de prendre la chambre qu’il a réservée dans le quartier. Il paye les cafés et se lèvent. Ils se dirigent vers l’hôtel la main dans la main. Elle est très excitée et ses seins se gonflent de désir, sa petite culotte lui semble trop serrée. Elle aimerait vite s’en défaire. Après un passage rapide par l’accueil ils montent dans cette charmante chambre un peu sombre où ils vont passer des heures prometteuses. tekirdağ escort bayan Ils s’embrassent après avoir fermé la porte. Ils se caressent. Elle s’interrompt et part dans la salle de bain. Une bouteille de champagne, avec des coupes, se trouve dans un seau contenant de la glace. Des petits macarons l’entourent. Il s’empresse d’ouvrir la bouteille. Il remplit les 2 coupes. Il entend des bruits dans la salle de bain. La porte s’ouvre. Elle apparait, magnifique dans son bustier satin blanc. Sa culotte blanche est un mélange de satin et dentelle. Elle est bien maquillée sans excès et sent une fragrance rare et suave. Son sexe se met à gonfler. Il est tout excité. Elle sourit de le voir ému, mesurant l’effet de son charme qui irradie. Elle s’approche. Il lui tend une coupe de champagne. Ils trinquent. Les verres de cristal sonnent le son de l’appel à la sensualité. Elle porte sa coupe à ses lèvres pourpres. Elle avale le nectar moelleux frais. Cela l’excite. Elle sent son sexe la chatouiller. Elle se sent bien avec son amant retrouvé. Il s’approche d’elle. Elle repose la coupe sur un guéridon. Ils s’embrassent tendrement. Ils ont chaud. Le désir monte. Elle le veut au fond d’elle. Il veut la posséder avec son dard magnifique. L’après-midi va être prometteur, sensuel, sexuel. Ils se serrent dans les bras. Elle lui ôte sa chemise. Il enlève ses chaussures et le reste. 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Leur aventure amoureuse cet après-midi va être endiablée. Ils s’approchent ensuite du lit qui les attend. Enlacés il la fait asseoir. Il lui enlève délicatement la culotte et lui écarte doucement les jambes laissant apparaître une vulve sublime. Il s’assied à ses pieds pour entamer un cunnilingus ardemment souhaité, désiré, fantasmé. Il caresse les lèvres de la vulve avec sa langue. Doucement. Tendrement. Elle se cabre. Il la reprend en main. Et il enfonce sa langue dans l’entrebâillement de son sexe qui s’ouvre. Il salive de plaisir. Elle ne bouge plus. Il entend son souffle qui s’accélère. Elle en veut plus. Avec ses mains il lui caresse tekirdağ escort le ventre, les fesses, les cuisses. Et il s’enfonce toujours plus en elle. Il voudrait entrer complément mais le vagin de sa compagne de plaisir est trop étroit pour son corps d’homme mûr. Sa bouche prend son sexe tout entier. Il la dévore, boit à la source. Le nectar remplit son ventre d’amant enfiévré. 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Leurs langues s’entremêlent, se retournent, se plient, leurs fluides s’échangent et les remplissent mutuellement. Ils se nourrissent de leurs sèves. Son sexe entre doucement dans le vagin de sa femme. Elle en vibre de jouissance, d’excitation. Ils ne font plus qu’un. Le puzzle est reconstitué. Il va et vient toujours plus vite. Elle le serre fortement. Ils s’embrassent toujours. Tout fusionne entre les 2 amants. Les corps se fondent l’un dans l’autre. Un nouveau corps se construit, se forme, s’épanouit.

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Im Keller eingesperrt (Teil 1)

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Im Keller eingesperrt (Teil 1)Schon seit einiger Zeit habe ich nun die Angewohnheit mich beim Wichsen als Sissy zu verkleiden. Erst fing es an dass ich ab und zu mal einen Tanga trug, oder ein süßes Höschen, welches ich der Nachbarin heimlich entwendete, als sie ihre Wäsche zum trocknen aufgehangen hat.Doch das reichte mir schnell nicht mehr, auch die Pornos die ich dabei schaute gingen mehr und mehr in eine bestimmte Richtung. Waren es am Anfang noch Shemales, wurden daraus schnell Crossdresser und Sissies und erst fantasierte ich darüber es mit den Shemales und Crossdressern zu treiben doch mehr und mehr ging meine Vorstellung dazu hin, selbst die Sissy zu sein und einen fetten, saftigen Daddy Schwanz zu lutschen.Es muss wohl mit 19 gewesen sein, als ich das erste mal auf einen Shemale Porno gekommen bin und kaum ein Jahr später war ich nur noch heiß darauf in geiler Damenreinzwäsche, Strapsen, mit Perrücke und voller Sissy Montur einen dicken Schwanz im Mund zu haben.Doch das reichte natürlich auch nicht lange und ich begab mich im Internet auf die Suche nach Seiten, auf denen ich Daddies finden konnte, die auf Cybersex mit Sissies aus waren. Schnell wurde ich fündig und es war, wie erhofft, sehr geil.Nächte lang räkelte ich meinen blanken, glatt rasierten Arsch vor der Kamera für ältere Männer, die ihre geilen Schwänze in der Hand hatten und auf mich abspritzen, nachdem ich meine feuchte Sissy Pussy zeigte, oder einen erotischen Tanz hinlegte.Es war als hätte ich nun endlich das gefunden, was mein einen Fetisch nennen konnte und ich wurde immer geiler und geiler darauf diesen immer öfter auszuleben. Vor allem liebte ich es dominiert zu werden und fand es besonders geil für einen Master Daddy abzuspritzen und ihn dannach zusehen zu lassen wie ich meinen eigenen Saft ableckte.Ich entwickelte sogar eine Technik, bei der ich kurz vor dem absoluten Höhepunkt aufhörte zu wichsen und dann mein warmes, geiles Sperma herausfloss, aber meine Geilheit im vollen Umfang erhalten blieb. Das machte mich dann so unwahrscheinlich geil, dass ich in manchen Nächten mehrmals mein schlampig geschminktes Gesicht mit meinem eigenen Sperma vollsaute und dannach alles verteilte oder schluckte.Nach einem jahr hatten sich so also schon einige Skype Kontakte angehäuft, von denen einige schon nur darauf warteten, meinen geilen Fickarsch zu benutzen um abzuspritzen. Aber natürlich freute ich mich genau so sehr benutzt zu werden. Wie eine richtige Sissy Slut halt. Einer dieser Männer fragte nun schon nach ein paar Wochen nach einem realen Treffen, da wir rausgefunden hatten, dass wir nicht allzu weit von einander weg wohnten. Da ich allerdings sehr vorsichtig und auch noch etwas schüchtern war, da ich ja im Grunde immernoch eine Jungfrau in dieser Hinsicht war und natürlich nicht wusste, was genau auf mich zukommen würde.Eines Abends fing ich also wieder an Pornos im Internet zu schauen, als der besagte Daddy mich bei Skype anschrieb.”Na du kleines geiles Fickstück”, fing er die Unterhaltung an. Schnell antwortete ich, da ich natürlich geil war und mich schon umgezogen hatte, bereit und willig halt. “Hallo Daddy. Na wieder mal geil?””Ja klar!”, antwortete nevşehir escort bayan er und schickte mir ein Bild von seinem harten Schwanz. Ein dicker, behaarter, männlicher Kolben, wie ich ihn geiler nicht erträumen könnte. Natürlich wurde ich direkt schwach und schickte ihm ein Bild von mir, doggystyle, meinen steifen Schwanz nach hinten zwischen die Beine geklemmt.”MMMMmmmh”, antwortete er. “Also so würde ich dich jetzt gerne hier auf meinem bett vor mir haben.” “Weißt du was”, fuhr er fort, “Ich habe die ganze Woche frei und meine Frau ist bei Ihrer Schwester. Ich würde sagen, wenn es eine Zeit gibt, in der wir uns treffen könnten, dann jetzt!”Eigentlich war ich schon im Begriff offline zu gehen aber bevor ich das tun konnte schickte er noch ein geiles Schwanzbild, auf dem man sehen konnte, wie dick seine Eier waren. Ich war ganz hin und her gezogen und ohne groß darüber nachzudenken antwortete ich:”Aber….wenn wir das wirklich machen dann komme ich erst ohne die Sissy verkleidung zu dir und ziehe mich dann bei dir um. So wäre es vielleicht okay aber nicht anders.”Er antwortete ohne zu zögern. “Aber natürlich doch! Du hast alle Zeit der Welt. Wenn du willst bereite ich schon mal alles vor und suche eine paar nette Filmchen heraus, damit wir direkt in Stimmung kommen.Ich war noch nicht ganz überzeugt und mir fehlte noch ein wenig der Mut, aber ich war so geil und willig, dass ich ihn fragte, was er denn so mit mir vorhabe.”Ich werde dich ganz und gar verwöhnen, oder natürlich hart durchficken. Ganz wie du willst!”Ich antwortete nicht, er schrieb wieder etwas. “Natürlich werden wir es ruhig angehen lassen, und wenn du dich bei etwas nicht wohl fühlen solltest, dann werden wir das auch nicht machen!”Ich musste kurz überlegen, aber in Wahrheit war ich schon dabei mich vorerst wieder abzuschminken und mich fertig zu machen. Nach ein paar Minuten antwortete ich: “Das war doch die Haltestelle An der Alten Brücke, oder?” Ich spürte geradezu wie er sich freute über diese Frage. “Ja genau die ist es! Sag mir bescheid wann du dort bist und ich hole dich dann ab, okay meine Kleine?”Als wenn das noch nicht genug gewesen wäre, dass er mich so nannte, schickte er noch ein weiteres Schwanzbild, auf dem man auch seinen behaarten Bauch sah und er wusste genau, dass ich auf solche etwas kräftiger gebaute Daddies wie ihn stand. Damit hatte er mich endgültig und ich machte eine Zeig mit ihm aus und machte mich auf den Weg zur Bushaltestelle.Ich war natürlich ganz schön aufgeregt, als ich an der Haltestelle ankam, an der er mich abholen wollte. Allerdings war ich gleichzeitig auch ziemlich geil, da ich unter meinen klamotten quasi schon fast komplett im Sissy outfit war. Ich trug einen schwarzen Bodystocking und einen schwarzen, sehr knappen Tange, in den meine inzwischen randvoll angestauten Eier garnicht mehr hineinpassten.Ich sah am Ende der straße einen Silbernen Mercedes anfahren und schnell wurde mir bewusst, dass er es war. Mein Daddy.Er fuhr an die Haltestelle heran, machte mir die Tür von Innen auf und sagte ich solle hereinhüpfen.Ich tat dies und begrüßte ihn, zu schüchtern allerdings noch um ihm einen Wangenkuss oder dergleichen escort nevşehir zu verabreichen.Während der Fahrt schwieg ich weitestgehend und bemerkte, dass er mich immer wieder aufmerksam musterte und dabei lächelte.Er war sogar noch kräftiger als ich ihn mir von den Fotos her vorgestellt hatte und meiner zarten Gestallt somit ganz und gar überlegen.Aber das wollte ich ja, dachte ich mir. “So, da wären wir.” Sagte er mit einer heiteren Stimme. “Ich denke mal du wirst dich wohler fühlen wenn du in voller Montur bist und dann so ganz und gar in deiner Rolle erblühen kannst, oder?” Ich nickte schüchtern.In seinem Haus angekommen, führte er mich ins sein Schlafzimmer, ging zur Tür in den Flur heraus und sagte dabei: “Lass dir Zeit, Kleine, und klopf an der Tür, wenn du soweit fertig bist, dann komme ich wieder rein, ja?” “Alles klar Daddy.” sagte ich und wunderte mich dass ich den Mut aufbrachte dabei zu lächeln. Er lächelte zurück und schloss die Tür hinter sich.Ich zog mich also aus, bis ich nur noch im Bodystocking und Tanga dort stand, setzte meine mitgebrachte Perücke auf und schminkte mich schnell. Ich betrachtete mich kurz in seinem Spiegel, der am Schrank befestigt war, welcher direkt längs des Bettes stand und war gleichermaßen aufgeregt wie geil, da mich so zu sehen immer etwas in mir auslößte.Ich atmete durch, ging zur Tür und klopfte zwei mal. Ich ging zwei Schritte zurück und stand dort in erwartende Haltung und zitterte etwas vor Aufregung. Als mein Daddy zür Tür reinkam bemerkte ich direkt, dass er sich bis auf die Unterhose ausgezogen hatte und man dadurch auch schon seinen halb steifen Schwanz sehen konnte. Er war behaart und kräftig, genau wie auf den Bildern, jedoch hatte ich direkt das gefühl sein Schwanz wär größer und Dicker als ich den Fotos entnehmen konnte:Er lachte mich an und fing an zu sprechen. “Na lass dich mal ansehen! Toll siehst du aus. Wow der Tanga macht was her und so hübsch geschminkt. Du könntest glatt meine Tochter sein!.” Er lachte.Während er näher kam drehte ich mich um und zeigte ihm eine Rundumansicht, was ihm sichtlich gefiel, denn sein Schwanz gewann an Größe und Breite in seiner Unterhose.Ich stand mit dem Rücken zu Ihm als er seine Arme von hinten um meine Hüften legte. Ich schloss kurz die Augen und atmete aus.Er bemerkte meine aufsteigende Geilheit und presste seinen Harten Schwanz von hinten zwischen Meine Pobacken. Dabei fing er an meine Beule zu streicheln bis mein Schwanz einfach aus dem Tanga platze und ich vor Geilheit einen leichtes Stöhen herausstieß.Ich war im Himmel. So hatte ich mich noch nie gefühlt. Ich war so geil ich hätte auf der Stelle alles vollspritzen können. Zumindest glaubte ich das in jenem Moment.Er packte mich wieder bei den Hüften, drehte mich zu ihm, sah mir tief uns Gesicht und sagte: “Naaa, ist doch geil oder? Hat sich doch jetzt schon gelohnt du geile Sissyhure.” Ich wollte gerade antworten doch da presste er schon seine Líppen auf meine und wir hatten einen langen und intensiven Zungenaustausch, während mein steinharter Sissy Ständer an seinem Rieb. Dabei ließ er seine Unterhose fallen und rieb seinen harten, dicken Daddy Schwanz an meinem. nevşehir escort bayan Er hörte auf mich zu küssen und Schaute runter auf unsere Schwänze. “Oh wie geil, du kleine Hure bist ja schon fast am tropfen!” Er strich mit seinem Zeigefinger zwischen meiner Eichel entlang und ließ mich meine Liebestropfen ablecken. “Jaaaa das macht dich geil oder? Du bist mir eine richtig kleine, versaute Schwanznutte!”Er packte mich an den Schultern und drückte mich herunter zu seinem Schwanz. Ich ging auf die Knie und sah nun seinen harten Prengel vor mir und war wie hypnotisiert.”Und jetzt zeig mal was du so kannst, du kleine Schwanzfee.” Ich hatte nicht groß Zeit den Moment zu realisieren und fing direkt an an seiner Eichel zu lecken und nahm seinen harten Schwanz darauf in den Mund und fing an ihn zu blasen. Er roch nach Schweiß und Urin, also genau das was mich anmachte, auch wenn ich das bisher nur bei meinem eigenen wahrgenommen hatte, den ich mir sogar ein wenig selber blasen konnte, wenn ich mich anstrengte. Aber das hier war anders. Das war Daddies Schwanz und ihn zu blasen war bis dahin wohl das geilste was ich je in meinem Leben gemacht hatte. Ich wollte ihn gerade mit einer Hand nehmen, damit ich die Eier lecken konnte aber er nahm sofort meine Hand weg und sagte: “Nanana, die Hände will ich da garnicht sehen, du hast eine Maulfotze und die wird auch benutzt, haben wir uns verstanden?!” Ich nickte. Er gab mir eine leichte Ohrfeige. Ich war ganz per plex aber irgendwie auch so angegeilt, dass ich mich nicht dagegen wehrte. “Ja, Daddy. Entschuldigen Sie bitte.” Sagte ich unterwürfig. “So ist es brav.” Antwortete er. “Und jetzt streng dich mal ein wenig an oder ich werd deinen Kopf führen müssen.”Ich nahm seinen Schwanz tiefer und tiefer in den Mund und versuchte mit dem Mund mehr Drück auszuüben. Eine Weile schien Ihm das auch zu gefallen aber nach ein oder zwei Minuten packte er mich schließlich am Hinterkopf und drückte mir seinen Schwanz immer tiefer in den Mund und Rachen hinein. Mehrmals musste ich dabei würgen und mich fast übergeben. Er ließ mich kurz atmen und rammte mir direkt wieder seinen Schwanz in den Mund. Inzwischen war mein Mund und sein Schwanz voll mit meiner Spucke und als er seinen Schwanz so aus meinem weit geöffneten Mund herausholte, bildeten sich regelrechte Fäden dadurch. Er fasste mich und die Gelegenheit beim Schopf und schlug mit seinem Harten, nassen Schwanz in mein Gesicht und verteilte meine Spucke überall, während ich Zeit hatte durchzuatmen. “Was sagt man?” Frage er. Ich hechelte. “D….Danke Daddy.” Er gab mir wieder eine Ohrfeige. Dieses mal etwas stärker, so dass der Schmerz ein paar Sekunden anhielt. “Also nochmal, du undankbares Stück. Was sagt man zu seinem Daddy, wenn der einem was gutes tut?!” “D…da…Ich liebe dich Daddy.” Stammelte ich heraus. Er lächelte und zur Belohnung spuckte er auf seinen Schwanz und verteile sie damit in meinem Gesicht.”Ich habe jetzt genug vom Blümchensex, ich hab da eine Überraschung für dich. Los steh auf du nutzlose Sissyhure, wirds bald?!”Ich stand sofort auf, er nahm mich an meinem Arm und Zerrte mich aus dem Raum, wir gingen durch den Flur und er öffnete die Tür zum Keller. Er machte das Licht an und befahl mir hinunter zu gehen. Ich tat was er mir befahl, da ich Angst hatte er würde mich wieder Ohrfeigen und vielleicht auch weil ich unterbewusst wissen wollte, was er nun mit mir vor hatte.Fortsetzung Folgt……

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Mama und Tante Sonja

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Mama und Tante SonjaSamstag Vormittag, ich bin gerade aufgestanden und will ins Badezimmer. Da klingelt es an der Haustür. Ich überlege kurz, ob ich ran gehen soll. Na ja, was soll`s, ich gehe zur Haustür. In Shorts und T-Shirt öffne ich.”Hallo, guten Morgen” begrüßt mich Tante Sonja. Sie will zu meiner Mutter, irgend was mit ihr besprechen.Doch Mutter ist nicht zu Hause.”Darf ich reinkommen und auf Deine Mama warten” fragt Tante Sonja freundlich.”Aber ja, klar doch. setz Dich einfach in die Küche. Ich muß nur kurz ins Bad, dann bin ich bei Dir.”Ich beeile mich und bin in wenigen Minuten in der Küche bei Tante Sonja.”Trinkst Du einen Kaffee mit” frage ich höflich. Sie nimmt dankend an.Ein paar Minuten später sitzen wir uns am Küchentisch gegenüber und trinken unseren Kaffee.Irgendwie kann ich meine Augen dabei nicht von Tante Sonja`s Dekolletè lassen. Sie hat eine tief ausgeschnittene und leicht durchsichtige Bluse an.”Gefällt meinem kleinen Neffen was er sieht” fragt sie unvermittelt.Ich bin völlig aus meinen Gedanken gerissen und weiß gar nicht was ich antworten soll.”Möchtest diyarbakır escort Du sie mal richtig sehen?”Die Situation wird immer peinlicher für mich. Natürlich möchte ich! Und wie gerne sogar.Ohne meine Antwort abzuwarten, knöpft Tante Sonja ihre Bluse auf und hebt ihre großen Brüste aus dem BH.”Na los, fass sie mal an” ermuntert sie mich. “Sei nicht schüchtern!”Tantchen nimmt meine Hand und führt sie an ihre rechte Brust.Oh nein, denke ich. In meinen Shorts rührt sich was. Ich bekomme einen Steifen. Hoffentlich bemerkt meine Tante es nicht. Was soll ich ihr sonst sagen.”Meine Titten gefallen Dir wohl” fragt Tante Sonja in unvermittelt frivolem Ton und grinst dabei.Sie hat ihn bemerkt, meinen Steifen, denke ich.Und schon fühle ich eine Hand meiner Tante in meinen Shorts. “Lass uns nach oben in Dein Zimmer gehen. Ich möchte mir das Prachtstück mal ansehen.”Warum extra in mein Zimmer gehen, frage ich mich.”Na los doch, komm” fordert Tante Sonja mich auf. Und schon ist sie hoch von ihrem Stuhl und geht Richtung Treppe.Tante weiß, wo mein Zimmer ist und steuert es direkt escort diyarbakır an. Darin angekommen, weiß ich gar nicht wie mir geschieht. Tante Sonja schubst mich auf mein Bett und zieht mir, ohne noch etwas zu sagen, die Klamotten vom Leib.Da liege ich nun nackt und mit einem Steifen vor ihr.”Aber Tante…” setze ich mit überraschtem Ton an. “Sag nichts” unterbricht sie mich. “Ich weiß doch, das Du insgeheim scharf auf mich bist. Und ich, ich will Deinen Schwanz!”Noch während sie redet, zieht sie ihren Rock von den Hüften und lässt ihn zu Boden gleiten. Gleich hinterher folgt ihr Slip.Mein Herz pocht wie verrückt, mein ohnehin schon steifer Schwanz verhärtet sich noch mehr und zuckt vor Lust.Was für ein Anblick,denke ich. Da steht meine Tante fast nackt vor mir und gewährt mir freien Blick auf ihre blank rasierte Möse.”Ich will Dich ficken, will das Prachtstück da in mir spüren” sagt Tante Sonja. “Ich weiß, das Du davon träumst und bestimmt hast Du Dir bei dem Gedanken schon oft einen runtergeholt.”Ich bin unfähig, etwas zu sagen.Meine Tante kommt zu mir aufs Bett diyarbakır escort bayan und stellt sich mit gespreizten Beinen über mich.Sie zieht ihre Schamlippen auseinander und fingert ihren Kitzler. Dann geht sie langsam in die Hocke, genau über meiner empor stehenden Latte.Und dann stößt meine Eichel gegen ihre rosaroten feuchten Schamlippen. Ich bekomme einen sehr sinnlichen Kuß von Tante Sonja und dann gleitet mein Schwanz tief in Tante`s feucht heisse Liebeshöhle.Ohne Umschweife lässt sie ihr Becken kreisen, hebt es an und senkt es ab.Das ist einfach Wahnsinn. Ich werde von meiner Tante, die immer mehr in Ekstase gerät, geritten.Gerade als ich kurz davor bin abzuspritzen, geht meine Zimmertür auf.Meine Mutter sieht unser Treiben mit entsetzten Augen an.Wir haben sie nicht kommen gehört und beide verharren wir in peinlicher Stille. Jetzt wird ganz sicher ein Donnerwetter über uns hereinbrechen, denken wir uns beide. Aber im Gegenteil!”Sag mal Sonja, was machst Du da mit meinem Sohn” fragt Mutter in leicht ironischem Ton. “Der gehört mir!”Ohne weitere Worte zu sagen, steht meine Mutter in wenigen Augenblicken nackt an meinem Bett.Sie kommt zu uns, setzt sich sofort auf mein Gesicht. “So, Du ungezogener Bengel. zur Strafe wirst Du mich lecken. Und zwar so lange, bis ich komme. Und wehe Dir, Du bringst mich nicht zum Orgasmus.”

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