J’ai donné ma femme à des hommes

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babes

J’ai donné ma femme à des hommesTout à leur affaire, obnubilés par les gestes sans équivoque de Mado et le désir qui montait doucement vers la pointe de leurs queues tendues, les trois hommes n’ont pas entendu le léger bruit du petit moteur électrique qui actionnait l’ouverture du toit. Une bouffée d’air moite emplit presque instantanément la voiture, peinant à régénérer l’atmosphère un peu lourde qui régnait dans l’habitacle. Mado, elle, a bien vu que quelque chose se tramait. Je l’ai senti à la manière dont elle a serré ses doigts sur ma queue, sous le short. Elle a débuté quelques mouvements plus rapides sur mon manche, n’hésitant pas à monter jusqu’au bout de ma bite. Je ne voulais pas en rester là, préférant jouir dans son ventre que dans sa main. J’ai pourtant apprécié ses gestes et je l’ai laissée me masturber quelques instants, pendant qu’elle continuait à se doigter sans pudeur la chatte et le cul, sous le regard ébahi des trois voyeurs.– Oh Mado, tu te donnes à fond ! Matez ça les gars, ma femme se branle pour vous. Deux doigts dans la chatte, un dans le derrière, rien que pour vous. Vous entendez comme ça chuinte quand elle bouge ses phalanges dans son vieux trou de salope ? Ecoutez bien, c’est le bruit de sa mouille qui clapote. Ca coule jusqu’à son trou du cul, c’est pour ça que son doigt entre si bien dans sa rondelle. Elle se l’enfile jusqu’à la garde la chienne ! D’habitude, c’est ma bite qui passe par-là ! Pendant ce temps, elle me touche la queue, là, sous mon froc. C’est une bonne branleuse, elle me pelote bien le nœud. Ca vous fait triquer raide, hein ? Vous n’en pouvez plus les gars ! Il va falloir vous vider les couilles bientôt. Toi, hé toi, le gros là, j’ai une surprise pour toi ! Oui, toi, l’obsédé, c’est à toi que je parle ! Grimpe sur le capot maintenant et viens voir ! Voilà, tu y es ? Tu vois ma main qui sort ? J’ai ouvert le toit. Penche-toi un peu et tends le bras dans la caisse, touche-lui les nichons, elle aime ça !Le gars ne se sent plus. Je lis la satisfaction sur son visage. Du coup, il a lâché sa queue et a obéi à mes ordres, trop content de pouvoir enfin toucher cette grosse cochonne de güvenilir canlı bahis siteleri Mado, de tâter son gras, d’enfin sentir le grain de sa peau et la rondeur de ses seins. Ses doigts s’avancent, s’approchent du nibard qu’ils visent. Plus que quelques centimètres, voilà, ils effleurent le téton, s’emparent du globe laiteux, le malaxe. Le mec se courbe un peu plus sur l’ouverture du toit, il plonge presque dans la voiture, avide de caresser les mamelles épanouies de Mado. La salope lui att**** l’index avec la bouche, elle le suce un peu, pour l’humidifier. Elle le relâche et le doigt file immédiatement sur la tétine qu’il fait rouler, qu’il pince avec la complicité de son voisin.Dehors, les deux autres voyeurs s’excitent, ils veulent eux aussi leur part du gâteau. Ils s’impatientent, leurs mains s’agitent sur leurs mandrins. Leurs glands, tendus à exploser cognent toujours plus contre la vitre, comme s’ils voulaient forcer le passage. L’un d’entre eux, n’y tenant plus, grimpe à son tour sur le capot. Il se fraye tant bien que mal une place à côté de son compagnon. Bientôt, son visage apparaît dans la lucarne, faiblement éclairé par la lumière du soleil couchant. Il tend un bras à l’intérieur. Lui aussi veut tâter les miches de Mado. Comme son voisin, il veut lui branler les bouts, faire rouler les grosses boules sous la paume de sa main. C’est celui que j’ai traité de chien pervers tout à l’heure. Je recommence à l’allumer :– Oh Mado, tu verrais cet obsédé ! Un vrai pervers ma parole. C’est déjà celui qui lapait la vitre quand tu lui mettais ta chatte sous le nez. Il n’a pas une très grosse bite, mais sa tige est assez longue. Il s’astique la queue d’une main pendant qu’il tire sur ton nichon de l’autre. Ca te fait mouiller ma chérie, tu coules comme une glace qui fond au soleil ! Oh, oui, tâte-moi les boules un peu, oh…Ca devenait très chaud. Il fallait que j’intervienne si je ne voulais pas finir par juter entre les doigts de ma femme. J’étais toujours bien résolu à l’enfiler et à vider mes burnes dans ses entrailles. Je voyais aussi qu’elle commençait à ne plus pouvoir correctement contrôler ses güvenilir illegal bahis siteleri gestes. Son bassin se soulevait de plus en plus rapidement pour venir à la rencontre des doigts qui lui fouillaient la vulve et le cul. Les effets des caresses des deux gars sur sa poitrine se faisaient aussi sentir. Elle poussait des gémissements et des soupirs toujours plus forts et moins sages. Il était vraiment temps de la modérer dans ses ardeurs si je ne voulais pas qu’elle jouisse en se masturbant.– Calme-toi Mado, calme-toi ! Tu vas trop vite. Si ça continue, tu vas jouir toute seule et ce serait dommage. Tu vas te lever lentement et sortir tes doigts de tes trous ! Ne t’inquiète pas, je vais vite te combler ! Voilà, redresse-toi comme ça ! Mets-toi carrément debout et passe la tête par le toit ouvrant maintenant ! Je recule le siège à fond pour que tu puisses poser les pieds au sol. C’est bon, tu es en place. Tu vois les deux belles pines qui t’attendent ? Sors les mains et branle-les un peu ! Ces messieurs ont bien mérité que tu les touches. Ils ont été patients, récompense-les, branle-les gentiment !Les voyeurs devenaient toujours plus acteurs du spectacle à mesure que les évènements s’enchaînaient. Seul le troisième, peut-être un peu plus timide ou moins expérimenté que les autres, se tenait encore à l’écart, la verge à la main. Je lui fis signe d’approcher et de monter à son tour sur le capot de la voiture. Les amortisseurs encaissèrent le coup tant bien que mal. Mado avait lâché ma queue pour s’emparer de celles, dressées comme des pieux, des deux types les plus volontaires. Elle les a masturbées durant quelques secondes puis, sans que je ne lui en donne l’ordre, elle a tiré la langue pour lécher les bouts dégoulinants et rouges, l’un après l’autre. Cette fois-ci, même le troisième mec a eu droit à sa petite gâterie. Bien vite, Mado ne s’est plus contentée de petits coups de langue, elle a ouvert la bouche et enfourné une première bite sur laquelle ses lèvres se sont immédiatement mises à coulisser. Elle passait alternativement de l’un à l’autre sexe, sans le moindre moment de répit.C’est à cet instant güvenilir bahis şirketleri que je me suis décidé à passer derrière elle. Je me suis agenouillé sur le siège de cuir. Des deux mains, j’ai écarté d’autorité les cuisses de mon épouse. Elle a vite compris où je voulais en venir et s’est pliée de bonne grâce à tout ce qui a suivi. Elle a ouvert ses jambes en grand. Quand j’ai posé mes mains sur ses hanches, elle a cambré son cul en arrière et creusé ses reins spontanément, dans l’attente de la pénétration. J’ai passé le bout de mon phallus entre ses fesses. J’ai buté un peu sur son petit trou, celui qu’elle avait déjà bien ouvert avec ses doigts auparavant. Ce n’était pas la porte que je voulais forcer mais je n’ai pas pu m’empêcher de frotter mon gland sensible sur le pourtour de l’anus. C’était très doux et un peu humide d’excitation. Je suis reparti plus bas, cherchant à me frayer un passage entre les cuisses de Mado, pour trouver l’orifice qui avait ma préférence ce soir-là.Devant ma femme, qui me tournait le dos, je pouvais voir les trois hommes qui se pressaient pour se faire pomper le dard. Je déportai un peu ma tête vers la droite pour admirer le spectacle libidineux offert par la bouche de Mado. Celle-ci avait pris deux têtes de pine dans la bouche en même temps et les suçait du mieux qu’elle pouvait, les joues distendues par les gros glands serrés. Avec ses mains, elle branlait les sexes qui, temporairement, ne lui remplissaient pas la gueule, massant les nœuds tuméfiés, empaumant les couilles contractées.Tout en savourant la scène terriblement excitante de ma femme soumise aux caprices des trois hommes, je m’enfilai enfin dans la gaine chaude de son trou du devant. C’était toujours un réel délice, tant Mado savait se faire coulante et serrée quand elle le voulait. Ses fesses vinrent instantanément se coller contre mon bas-ventre. Dès le début, elle adopta avec ses hanches le même rythme que j’imprimais aux miennes. Je l’ai labourée un bon moment durant lequel elle est parvenue à faire jouir successivement dans sa bouche et sur son visage de femme mûre les trois hommes grimpés sur la voiture. Quand, à mon tour, j’ai fini par lâcher la sauce dans son ventre, elle a poussé un cri déchirant qui a empli tout l’espace de la clairière. Juste après, les applaudissements ont fusé. Quand j’ai ouvert les yeux, il y avait au moins une dizaine de personnes, femmes et hommes réunis, attroupées autour de notre petit groupe.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


The New Sales Girl – Part Nine

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Cumshots

The New Sales Girl – Part NineThe New Sales Girl – Part 9by Sherry DeAnn & Mark Patrick (May 2019)Keith turned the sybian back on and then offered his hard cock to my eager mouth. I wanted so bad to make this the best blow job he had ever had.I felt like I was in serious heat. I was crazy with passion and was swaying my tits side to side as I rode the sybian and sucked Keith’s hard cock. I bent down and licked his balls and then licked up his shaft and then took him deep into my throat. Up and down over and over. My hands were still cuffed behind my back but I was hungry for his cock and just going for it like the horny slut I was. I pulled off his cock and then leaned in and moved my face all over it. Keith took it in his hand and slapped it on my face then grabbed me by the hair and rubbed his balls all over my face too.Then he said, “Stick out your tongue slut.” I did and he rubbed his cock all over my tongue and then rubbed his balls over my face and down on my tongue saying, “Now suck my balls bitch.”I took them into my mouth and sucked them and gave them some tongue action. I could sense he was gettting ready to cum so I ran my tongue up from his balls to the head of his rock hard cock and took his cock back into my mouth and slid it as far down my throat as I could. His 9 inch dick was in up to his balls and I just ran it in and out, in and out. Sucking and worshipping bahis firmaları that big dick and then I felt him shudder. I sucked even harder and faster. Just as he swelled I went deep down again and he shot a large load of hot cum into my throat. I heard him say, “Fuck yeah bitch, YOU are one hot slut DeAnn. Mmmmm oh yeah.”I gagged a little but kept that big cock in my mouth until all his hot sperm had stopped gushing and then I just stayed on it, my eyes looking up at him waiting until he decided to pull his cock out which he didn’t seem to be in a hurry to do so I continued to suck him up and down and sure as shit he started to swell up and got rock hard again. I don’t think he expected me to be able to get him hard again and it made me proud because I knew this was not something that was normal for him.He said, “Fuck baby. You are something else. I’m not normally attracted to older women but you are one hot bitch.”I really enjoyed the praise and continued to suck his cock with total enthusiasm to show him just how hot this old gal can be.He grabbed me by the hair and by the throat and started to seriously face fuck me. I was no longer setting the pace. He was now. Fast and deep and he was enjoying the control he had on me. It got a little rough but I like, a little rough, so I was hot and getting hotter as he pushed his cock in and out of my hungry mouth. It kaçak iddaa took some domination and rough mouth fucking for him to climax again but as he shoved his hard prick in and out of my mouth I felt him swell and then another impressive gush of sperm filled my mouth and he pulled his cock out and told me to open my mouth and not swallow until I had his permission. I nodded, Yes.He picked up his cell phone and took some photos of me with my hands cuffed behind my back and with an open mouth full of his sperm. Finally he said, “Do you want to swallow my cum slut?” I shook my head yes and said, “Uhh-Huhh” with a mouth full of cum.He said, “Alright you can now swallow before thanking me for giving you so much of my sperm which is a reward for being such a good slave slut.”I swallowed it down and then I kissed his cock and told him, “Thank you Sir for allowing me the honor of sucking your cock and swallowing your cum. It was soooo good Sir.”Keith lifted me off the dildo machine and as I got to my feet I noticed someone else was standing by the doorway, just watching.I realized it was my husband Mark and I rushed over to him and knelt with my head on his leg & my hands still cuffed behind my back. I said, “I’m so happy you’re back baby. So, so happy. I love you so much.”Mark said, “I’m happy to see you too babe. It looks like Keith has been keeping you busy? I enjoyed watching kaçak bahis you perform.””Thank you Sir. I’ve been a good girl, just like you told me to be.”Keith shook hands with Mark and said, “She’s special Mark. Thanks for allowing me to spend some time with her. She is definitely a Good Girl. So anytime you want to drop her off with me again I’d look forward to it. I’ve already told Angel that she would be yours to use after she gets off work today and far as I’m concerned, she’s yours for tonight or a couple nights if you want to keep her? She has to work but other than that, she’s yours to use my friend. Let me know when to expect her home.”Mark thanked Keith. Then he said to me, “hang out with Keith until Angel gets off work then bring her home with you. She has her car here. This was kind of already planned.”Keith said, “I think I’ll take her next door to the lingerie shop and have her model a few things for me. She’s so photogenic I love taking pics of her. Still have about an hour and a half until Angel closes the shop up. They’ll be showing up at your place about 5:30 bro.”Mark had his hand on the side of my head, holding me against his leg in an affectunate way. He said, “Sounds good Keith.” Then he kissed the top of my head and said, “I’m going to go work out on the iron pile and I’ll see you at home in a while baby.” I said, “Yes Sir, my Love.”Then he walked out leaving me kneeling there still under Keith’s control which was ok by me… I would have all night to please my man and another hour or so to see what Keith has in mind for us next door. Continued in – Part Ten –

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


Halloween (Neu) Fortsetzung

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Asian

Halloween (Neu) FortsetzungDie vier perversen Männer, zerrten Gabi und Klaus durch einen Hinterausgang aus der Kneipe, da wo Heinz einen alten Transporter stehen hatte. Heinz setzte sich mit Max vorne rein und Herbert und Willi stiegen mit ihren Opfern im Laderaum ein. Da wo leere Bierkisten, alte Karton und Müllsäcke waren, wurden Gabi und Karl nun von den beiden alten Säcken weiter begrapscht und mussten ihre Schwänze verwöhnen.Die Fahrt dauerte nicht all zu lange, da kam auch schon das kleine Einfamilienhaus in Sicht. „Na wie geil ist das denn?“ freute Heinz. „Das Haus steht ja schön einsam, keine Nachbarn, da können wir uns richtig ausstoben.“ „Mach das Licht und den Motor aus, der Wagen rollt genau drauf zu!“ forderte Max. „Wir wollen doch nicht die Überraschung kaputt machen.“ Heinz lies den Transporte wie einen lautlosen Schatten durch die Nacht direkt vor das kleine Haus rollen. Max stieg aus und öffnete die Tür zum Laderaum, wo Herbert und Willi grade ihre Hosen zu machten. „Wir haben uns noch ein wenig mit unseren geilen Sklaven gekümmert.“ flüsterte Willi. Selbst bei wenig Mondlicht konnte man in zwei verschmierte und verängstige Gesichter schauen und wusste das man ihnen die Wichse ins Gesicht gespritzt hatte. Max grinste die beiden Geschwister an. „Keine Sorgen, eure Mutter wird das bestimmt gerne Sauber lecken.“ Klaus wollte gerade laut protestieren, da bekam er einen Schlag auf die Brust und taumelte nach hinten, in Willis Arme. „Besser ihr seit jetzt ganz ruhig, sonst lernt ihr uns richtig kennen!“ sagte Max, leise aber mit einem bedrohlichen Unterton. „So und jetzt halten alle ihre Klappe!“ befahl Max und betrat das Grundstück, alle folgten. Kurz vor der Eingangstür, schaltete sich ein kleiner Scheinwerfer ein, blendete alle und leuchtete den Weg bis zur Straße aus. Von dem kurzen Schock hatte sich Max ganz schnell erholt. „Scheiß Bewegungsmelder.“ fluchte er leise, ging weiter auf die Tür zu und schloss sie illegal bahis mit Gabis Schlüssel auf. Alle betraten tastend den Flur und kamen ins große Wohnzimmer, wo man nur die Umrisse der Möbel erkennen konnte. „Wo finden wir deine Mutter?“ flüsterte Max, Gabi zu.„Hier.“ hörten alle, aus der anderen Seite des Raum und das Licht ging an. Das grelle Licht blendete erst alle und dann erblickten sie mit einen mal, eine Frau im Morgenmantel, an der Wand stehen. Die Männer wurden Leichenblass, als sie sahen was die 40igjährige Frau in der Hand hatte. Es war ein alter Trommelrevolver, den die böse ausschauende Frau in der Hand hatte. Herbert wollte gerade einen Schritt zurück gehen, da knallte ein Schuss aus der Waffe, ohrenbetäubend durch die Nacht und die Kugel schlug über den Köpfen im Türrahmen ein. „Stopp, keinen Schritt weiter!“ schrie die Frau. „Oder ich knalle euch ab wie Hasen und glaubt mir ich kann das.“ Diese Verwirrung ihrer Peiniger nutzen Gabi und Klaus aus, um zu ihrer Mütter zu gehen. Willi versucht nun langsam einen Schritt nach hinten zu gehen, da schoss die Frau ein zweites mal. Die Kugel schlug direkt vor Willis Füssen, in den Dielenfußboden ein und kleine Holzsplitter flogen herum. „Stopp, habe ich gesagt! Der nächste Schuss ist tödlich.“ sagte die Frau mit den kurzen, schwarzen Haaren. Max, fand als erstes seine Sprache wieder. „Gute Frau, sie wollen uns nicht wirklich erschießen, das ist alles ein Missverständnis.“ sagte er beruhigend. Die Frau sah besser als auf den Bildern aus, dachte Max. Eine toll Figur und eine schöne Oberweite. Aber ihr Gesichtsausdruck war ernst und entschlossen, „Um meine Kinder, mein Haus und mich schützen erschieße ich jeden und jeder erkennt das es sich hier um Notwehr handelt.“ Max, versuchte weiter die Frau zu beruhigen. „Es ist wirklich alles ein Missverständnis.“ Jetzt lachte die Frau höhnisch, „Ein Missverständnis, das meine Kinder von euch vergewaltigt wurden und ihr illegal bahis siteleri hier auch nichts gutes vorhattet. Nehmt die Hände hoch!“ Alle nahmen die Hände hoch, denn keiner zweifelte mehr an der Entschlossenheit dieser Frau. „Vergewaltigt, ein böses Wort!“ versuchte Max weiter die Situation zu entschärfen. „Es war nur eine kleine Feier bei meinem Freud hier.“ und deutete mit dem Kopf auf Heinz. „Und ihr habt meine Kinder nicht voll gewichst, sondern das ist nur eine Eis-Creme von der Torte?“ Jetzt sagte Gabi wütend, „Mutti, knall die Schweine ab!“ Die Frau blieb ganz ruhig. „Gabi, gehe ins Bad und hole die Wäscheleine und eine Schere und ihr kniet euch hin!“ Selbst Max sah ein das man diese Frau nicht verärgern sollte, war sie doch genauso Dominat wie er. Während Willi, Herbert und Heinz nur ängstlich auf den Revolver starrten, versuchte Max immer noch mit ruhiger Stimme auf die Frau ein zureden. „Junge Frau, was haben sie nun mit uns vor?“ „Euch erst mal nicht so einfach gehen lassen.“ sagte sie. „Aber junge Frau, lassen sie uns gehen und wir versprechen nicht wieder zu kommen.“ Jetzt lachte die Frau laut auf. „Wenn ich mich umdrehe, fallt ihr perversen Schweine doch sofort über uns her.“ Max sagte mit einer gespielten Unschuldsmiene, „Nein, junge Frau, das verspreche ich hoch und heilig, wir werden nichts der gleichen tun. Nicht war Jungs?“ Alle schüttelten den Kopf. „Na das Risiko gehe ich nicht ein.“ Sagte die Frau und rief laut, „Gabi, wo bleibst du?“ „Ich bin schon da Mutti.“ sagte Gabi und hatte ein langes Seil und eine Schere in der Hand. „Dann fange an jedem die Hände auf den Rücken zu Fesseln und Kläuschen, hilf deiner Schwester!“ „Ja, Mama.“ sagte Klaus und begann mit Gabi, Willi die Hände zusammen zu binden. Der wollte gerade protestieren, da sagte die Frau scharf, „Das oder eine Kugel, ihr habt die Wahl!“ Max, ganz ruhig, „Macht was die gute Frau verlangt!“ Da sich nun keiner mehr traute irgendwas canlı bahis siteleri zu machen, waren alle vier Männer schnell hilflos kniend an den Händen gefesselt. Erst jetzt nahm die Frau die Waffe runter.und ging langsam auf Max zu. „So ist es besser.“ jetzt lächelte sie das erste mal, nahm Gabi die restliche Leine aus der Hand und machte eine Schlinge. Diese band sie Max um den Hals. „Du da komm her zu deinem Kumpel!“ forderte sie Heinz auf und er der rutsche auf Knien heran, die Frau drückte Heinz seinen Kopf, an den von Max und band ihm auch die Leine um den Hals, so das sie beide verbunden waren. Dann sollte Willi folgen. „Das geht jetzt aber wirklich zu weit.“ sagte der und bekam einen kräftigen Tritt in seine Weichteile, das der vor Schmerzen aufschrie. „Ihr macht was ich sage!“ Alle erschraken und erkannten ihre ausweglose Situation. So knieten sie bald alle nebeneinander und an den Köpfen zusammen. „Jetzt gefallt ihr mir schon viel besser und jetzt werde ich euch mal zeigen mit wem ihr euch angelegt habt.“ Die Frau öffnete den Morgenmantel, warf ihn hinter sich und ergötzte sich an den erstaunten Blicken. Sie trug eine Kniehohe Stiefel, vorne verschnürt, ein Lederkorsett mit vielen Schnallen, wo unten und an den Armen ein weißes Rüschenhemd hervor guckte. „Ich bin Lady Sonja und ihr habt mich bei meiner Arbeit gestört, die im Keller immer noch auf mich wartet.“ Alle waren verblüfft, selbst Gabi und Klaus, denn so kannten sie ihre Mutter nicht. „Und ich denke ihr versteht, das ihr mir jetzt hier auf Gedeih und Verderb ausgeliefert seit! Das heißt, meine Kinder bekommen ihre Rache und ich meinen Spaß.“ https://de.xhamster.com/stories/halloween-591798 Diese zu liebe Geschichte mochten 7 Leute und 13 nichthttps://de.xhamster.com/stories/halloween-neu-592987 Diese sehr böse Geschichte mochten dann schon 20 Leute und 23 fanden sie Abartig, wie Ganz-Dicke-Berta im Kommentar, mehrmals betonte. So bin ich nun gespannt, wie euch die Wendung gefallen hat.Es mag ja sei – “so eine kranke Scheiße” – aber ist trotzdem nur eine nicht reale, kleine Geschichte und wenn man auch schreibt, – “könnte ich noch eine Fortsetzung schreiben” bitte NICHT !!!!!!! – Denke ich doch!!!

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


chatting with a xhamster friend makes me hot

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

chatting with a xhamster friend makes me hot? Video call ?Load more Today and i’m not in a position to take a picture of my cock at the moment either 14:43 ?but i will 14:43 ok 14:44 later 14:44 thank you 14:44 do you have time to write your wildest fantasy in detail? 14:44 take some time and write me back tonight 14:44 yes ma’am 14:46 I think my wildest fantasy would be to have a wife who is in charge of both of our sexual lives – she is free to have sex with whoever or whatever she wants, whenever she wants it – i am there at her whim. she fucks others with or without my presence, but she still fucks me whenever she desires. my duty would be to ensure her pleasure and that of anyone else she wanted me to please, including other men. i would primarily be orally subservient to her and those she instructs me to please. perhaps she would get a sissy girlfriend for me – who would also be my superior, but her inferior – to entertain her and put on shows for her, her lovers, and her friends. this would be both for my pleasure and for my humiliation. i would suck cocks for her, lick assholes for her, and worship her entire body, or that of güvenilir canlı bahis siteleri anyone she instructs me to, with my lips and tongue. i would help prepare her and her lovers for sex and clean them afterward. we would go to gloryholes and adult theaters to enjoy random cocks together. she would take vacations and business trips without me, feeding me the details and sending pictures and videos of her encounters for me to sit at home and stroke to, knowing that she is getting pleasure and the full enjoyment of her life and her sexuality, while pushing me to further explore my own. she would occasionally set rules such as “you can only cum if a cock is in your mouth” or “you can watch us, only if you have sucked 5 cocks in the last two days.” she would force me to become bi and humiliate me with her friends and lovers as the cocksucking faggot of both of our dreams, while also knowing that we share a fulfilling life together, both in the bedroom and out 18:25 or something along those lines 18:26 great details 18:28 thanks for sharing 18:28 let me see your cock 18:28 i’m still not in a position to be able güvenilir illegal bahis siteleri to do that 18:28 i’m at work lol 18:28 what is the naughtiest sex you ever had 18:29 i think there are two instances that rank at the top 18:30 the first was that my cousin and i sucked each others cocks when we were teens 18:30 the other was in high school – my gf decided to go to homecoming with another guy to fuck with me – they had sex after the dance and she called me when he left and told me to come over because she wanted to make it up to me – i could still taste him on her lips and her pussy as we fucked 18:32 great stories 22:13 so how old were you in each story 22:13 I started sucking cock when I was 9 years old. also my cousin who was 15 22:14 thanks for sharing 22:14 stories make me hot 22:14 you were cuckolded at an early age 22:15 do you have pictures of her 22:15 any 22:15 clothed 22:15 whatever 22:15 do you have your homecoming pic. 22:16 how old are you? 22:17 been married 22:17 I turned my husband into a sissy on our honeymoon\ 22:18 it was both of ours 2nd marriage 22:18 we were staying at a nudist resort güvenilir bahis şirketleri in florida 22:19 I am aggressive sexually 22:19 since being influenced at an early age 22:19 I have always acted out sexually 22:19 I flipped my husbands feet over his head until his tiny cock was 1 inch from his mouth. I proceeded to masturbate him until he shot a load into his mouth. this brought out his true nature of submissiveness 22:21 his tiny cock is only 10 cm 22:22 that’s less than 4 inches when hard 22:22 also while we were at the resort we watched all the black men with bigger cocks flaccid than my husbands erect 22:23 I made friends with several and had sex with them all before we left after a week. 22:24 to say the least it was quite a honeymoon 22:24 my husband did not have sex with me and only watched 22:25 his reward was to shoot his cum into his mouth everytime 22:25 he became addicted to this behavior and so did I 22:26 WE FOUND OUT THAT WE WERE A PERFECT MATCH. 22:26 he is my chastised sissy cum slut husband now 22:26 and is very happy in his role 22:26 I fuck and suck many cocks a week. 22:27 he watches sometimes 22:27 and sometimes not 22:27 he is now a submissive sissy hole for my bulls 22:27 and also loves to be strapped 22:27 well 22:28 what do you think? 22:28 you need me? 22:28 right?\ 22:28 you could be my 2nd sissy husband 22:28 ok 22:28 I will make your dreams a reality 22:28 love, licks and hugs 22:29 roberta 22:29

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


Ma Babysitter Vanessa

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Female Ejaculation

Ma Babysitter VanessaMa situation:J’avais à l’époque 33 ans et divorcé. Mes enfants venaient à la maison chaque deux fin de semaine.Habituellement je sortais pour faire des rencontres quand j’étais sans les enfants. Mais quelques fois, j’ai due prendre une Babysitter pour le samedi soir quand les enfants sont avec moi.Je partais toujours vers 21 heures et revenais souvent vers 3 ou 4 am. Alors la Babysitter dormait habituellement dans le salon pour ensuite repartir chez-elle quand j’arrivais.La babysitter: Vanessa, tout juste dix-huit ans depuis quelques semaines. Aux études et en profites à ma maison pour travailler dans ses livres. Vraiment pas jolie mais avec un corps de rêve. Il se sont trompé de moule à la conception. Elle ressemble à la chanteuse Susan Boyle, cheveux frisotté, yeux ressorti, acné de fin d’adolescence. Face ronde et un sourire à fuir. Mais très gentille avec les enfants. Les enfants l’adore aussi.Son corps: Un corps de Katy Perry. Vous voyez le genre…. Des seins galbés qui forcent l’étroitesse des chemises qu’elle portait, et de belles petites fesses bombées. Alors que sa face contrastait.Elle était toujours disponible, c’était facile de la commander pour Babysitter.La soirée:Elle arrive, 20:45. Les enfants pas ne dorment pas. Elle me salue et me dit qu’elle ira lire une histoire aux enfants. Elle passe devant moi, ce qui m’expose son fessier dans un legging moulant qui me fait un effet ouf….J’avais déjà vue, mais jamais de cette façon. Elle se retourne et me demande si ça va. Sa figure m’a retourné à la réalité… quel contraste.Je pars pour ma soirée, de retour seul à la maison, il est 3:30 du matin. J’entre doucement sans faire de bruit. illegal bahis Je suis quand même triste de ne pas avoir trouvé une femme pour un bon coup.Je vais au salon pour réveillé Vanessa comme à l’habitude. Elle est couché sur le sofa. Étendu sur le dos avec le visage enfoui dans l’oreiller. J’allume une petite lumière tamisé, j’avance pour lui touché l’épaule…. et là, je vois son legging qui moule, mais qui moule beaucoup trop son sexe. Tout ce que je vois, c’est un CAMELTOE. Sa vulve se dessine parfaitement et même une petite bosse forme l’endroit de son clitoris. Elle dort trop bien. Je prends quelques secondes pour admirer. Je commence déjà à bander. Je regarde ses seins qui sont assez gros, mais son chemisier s’ouvre quelque peu sur le coté. J’avance pour voir, et oui, je vois le coté de son sein et son soutif en dentelle blanche. Je bande encore plus. Je reprends mes esprits, je me lève et vais à ma chambre pour me changer en pyjama. Ouf… je débande. OK… je vais prendre un verre d’eau et je vais la réveiller pour qu’elle s’en aille. Je retourne au salon, elle n’a pas bougé, encore la même position un peu trop démonstrative sexuellement. Je sens mon pénis se raidir plus vite que tantôt. Mes phéromones sont activé à fond.Je vais à coté d’elle. J’observe sa vulve dessiné, elle ne porte pas de sous-vêtement, c’est certain…. ouf.. je ne contiens plus, je replace ma queue qui ne veut que sortir, je sens déjà que je coule de liquide séminal. Instinctivement, j’avance mon visage vers elle, je regarde encore son sein, ou disons ce que je peux apercevoir. Je regarde vers son visage, je le vois pas et elle ne bouge pas. J’ose descendre vers sa moule illegal bahis siteleri pour observé de plus près. Je suis à quelques centimètres seulement. Je hume cet odeur féminine, mélangé de parfum et d’effluve. Quel odeur de jeunesse. J’avance ma langue pour juste effleuré le tissus, sans vouloir la réveillé. Elle ne bouge pas du tout, ce qui me rassure. Je fais quelques allez-retours.Par l’ouverture, je sors mon pénis qui veut exploser sa joie du moment. Je ne suis plus moi-même. Mes tabous ne me retiennent plus. Je vais encore vers ses seins, regarde si elle dort. J’entends une respiration assez continuelle pour savoir qu’elle n’a pas conscience de ma présence. Je vais humer maintenant l’ouverture de la blouse. Hum… sa peux sent bon. J’ose tirer la langue et touche à peine la peu de son sein. J’ai toujours mon pénis en main. Le jus translucide coule de mon méat. Je l’étend et me masturbe très lentement car je me sens près à exploser facilement.Encore quelques coup de langue effleurés sur sa peau du sein dur. Je retourne voir le CamelToe…. que j’adore chez les femmes. Il fait assez sombre, mais assez clair pour remarqué qu’il y a un petit rond mouillé au niveau de ses lèvres vaginales. Je me dis que je dois faire attention avec ma salive pour ne pas la mouillé. Je vois encore cette petite bosse formé par son clitoris, j’y effleure ma langue. Je suis drogué par le moment. J’ose pressé quelque peu, comme si j’avais le goût d’y goûter. Je sursaute quand elle bouge son bras qui tombe sur le coté du sofa, mais semble continué de dormir. Son bras m’a touché le coté en tombant. Ouf, je suis fou de rester là. Mais je suis trop excité. J’ai due pressé canlı bahis siteleri trop sur son clito. Je ne bouge plus pendant plus d’une minute, ma queue à la main qui dégouline.Rassuré, je retourne vers sa vulve et je sens encore ce sexe moulé par le tissu. L’odeur à changé, ça sent l’excitation, le rond mouillé s’est agrandit un peu. J’y repose ma langue et insiste un peu plus ma pression. Je reprends ma masturbation lente. Ma langue veut goûter profondément ce sexe qui semble mouillé. La barrière de tissus empêche l’exploration, mais pas l’excitation. Ma langue se promène maintenant d’un peu plus bas et remonte à la petite bosse clitoridienne. J’appuie toujours un peu pour le stimuler, puis je redescend à la mouille qui traverse le legging. Un peu de son jus perle aussi au travers. Je goûte, le lèche, j’appuie doucement. Je suis en transe. J’aimerais lui sauter dessus.Puis je l’entends soupirer fortement. Son bras se relève… je suis tout près de me faire prendre. J’ai tout juste le temps d’esquiver en bougeant sur le coté. Sa main va directement sur son sexe. Le visage toujours enfoui, elle presse sa vulve en feu et se mis à vibrer de tout son corps. En un grognement étouffé, je la vois convulsé dans cette jouissance que j’ai fait naître. J’ai juste le temps de replacer ma queue dans mon pyjamas que j’éjacule à grand coup sans même y retoucher. Je me lève rapidement sur la pointe des pieds. Je n’ai même pas fini de jouir pas saccade, mes jambes me soutiennent à peine pour me sauver en douceur vers ma chambre.Je me suis couché dans le lit, essuyé toute cette jouissance qui à coulé le long de ma cuisse. Me demandant qu’est-ce que j’ai fait là. Je m’endors….A mon réveil, je retourne dans le salon, elle était déjà parti. Un petit mot sur la table qui disait. Les enfants sont adorables, je viens quand vous voulez!Erreur de français, je viens ou je reviens….. est-ce un sous-entendue !Curieux pour La suite ?

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


SAMANTHA’S NEW LIFE 10

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Amateur

SAMANTHA’S NEW LIFE 10SAMANTHA’S NEW LIFE: CHAPTER TEN: THE GOLF COURSE Abby Jorgenson had given me a wonderful gift with her advice in handling Harley. And, she saved Nick and I from real potential embarrassment with her recommendation to train him to somehow to not approach other women. That seemed almost impossible after I started thinking about how I would go about doing that training. Calling and emailing became almost a daily way for us to communicate and we sprinkled in a lunch or coffee if she was in Tucson or I wanted to get away for a few hours. She admitted that she had never done that training with her dog and there were a few times when it became awkward when the dog stuffed his nose into the crotch of a woman. It was generally put off as the crudity of a****ls and no lasting curiosity came of it from any of the women.In our case, though, Harley was already such a popular dog in the neighborhood, that a change in his attitude and how he approached other women would be seen differently. Also, I had to consider the impact it might have on the Mather’s p*****n across the cul-de-sac. She might feel like dying of embarrassment.Nick and I were talking one night on the patio. We had been swimming in the pool and were lounging in the still warm air of the coming night when Harley came up to me and licked the water from my thigh and move to the inside until I u*********sly opened my legs for him to continue. Nick pointed out what had just happened. It was an u*********s reaction for me because Nick had essentially suggested that I should be available to Harley like I naturally had been to him. I was transitioning very well, obviously. Harley and I generally mated at least once during the day when Nick was working, so I was getting fucked once or twice a day easy. And, I was loving it!Nick’s point, though, in pointing out what had just happened wasn’t just that I had made my pussy available to Harley, but that I was in the position to be able to. After I moved in, the pool became a ‘no swimsuit zone’ when it was just us. I spent more time naked, anyway, but in the pool it became a rule. I had the sense that there might be more of those ‘rules’ as time went on. Currently, I met Nick at night in a sheer nightgown, stockings, and heels occasionally, but he found that he really enjoyed coming home to me like that. Back to his point, though, was that nudity seemed to be a trigger to Harley, already. He suggested the training should just be built around that. When I was naked, Harley could expect to approach me without recrimination. He might not get what he wants every time, but I would consider it okay to approach. If I, or any other woman, were dressed it would be a signal that he could not approach. It was further discussed and agreed that the clothing training should be any clothing, panties, thong, dress, t-shirt, anything. That way, if we had a pool party and some women ended up removing their tops and only having on skimpy bikini bottoms, they would still be safe. If we ever had a nude pool part … maybe Harley would have to be in the garage.It all progressed very well. In fact, it progressed exceptionally well. Harley was a very smart and trainable dog. Nick always talked about Harley that way, but I was anticipating more complexity in dealing with this particular training than it ended up being. In short order, I could be getting licked by Harley after a swim, go into the house and come back out in only a thong and Harley would sit and watch me move around the back yard. There were times that he actually had a look of dejection or frustration, but he did was the training required. We felt safe with Harley having casual and frequent access to me for mating or licking and other women guest would be safe. Thank god for Abby Jorgenson!Nick told me he would challenge me and push me to take new steps and experience new things. I didn’t quite think of it happening so fast, though. It seemed I was just getting into a routine of with Harley and Nick, training Harley and developing my skills in satisfying my two males and Nick added a new twist.We had frequently enjoyed a walk around the neighborhood and community, following the sidewalks as the evening sank into darkness. One night, he appeared with Harley’s leash and one of his large tank tops. I looked at him questioningly, but he simply held the top out to me. Not knowing what he had in mind, but trusting him regardless, I stripped off my shorts, panties, and top and put on the top he handed me. It was typical of the ones he likes me to wear when teasing me with exhibitionism. It fell just below my butt and the arm holes are so large that from the sides my breasts can be seen if I raise my arms. It was already dark and he was taking us out into the golf course, following the cart tails. He propped the back gate so it looked like it was closed, but it didn’t latch. I was amazed at how dark it was. On the golf course, the only light was stray light from people’s homes and backyard lights. It was just sufficient for walking on the concrete cart path. Going off the path and you could just as easily walk into a bush or maybe fall into a sand trap.That night he held the leash to Harley and held my hand as we walk for quite a while on the cart path. Returning he led me across the fairways, around some greens and tee boxes toward our home. In the dark, we did get turned around a couple times, but he seemed to have a basic bearing of direction from the many times he has played the course, the houses, the shape of the greens and sand traps, and the shape of the fairways. That was how he knew he did something wrong when thinking we were walking down a fairway that was straight, but it made a dogleg to the left.We were out for well over an hour and never saw another person or seemed to attract much attention from any of the houses, despite a few dogs barking as we passed. I asked him and he assured me that it was perfectly acceptable for residents to use the cart paths for walking when it didn’t interfere with golfers. The fact that we walked down some fairways might be a minor transgression, but being barefoot couldn’t possibly damage the grass as much as carts, cleats, and bad golf swings.A couple nights later the same thing happened. I had just mated with Harley. When I looked up after being released from the knot, Nick was missing from the couch from canlı bahis where he had been watching. I had hoped to enjoy him and him enjoy me, but he instead appeared holding the leash and top. It was a peculiar sight to see Nick attach the leash to Harley and for him to jump up, all excited about the walk, and his cock still somewhat engorged, swaying back and forth as he moved about the room until I was ready.When I say I had just mated with Harley, I had JUST mated with Harley. Nick appeared as the knot came out of my pussy. As I walked beside Nick, I could feel Harley’s seed oozing from my pussy and dribbling down my thighs. The darkness would probably still keep that fact unknown if anyone might also be out walking, but I really hoped if we encountered anyone that they didn’t also have a male dog with them. I felt sure, however, that another dog wasn’t getting too close to me, especially in the dark. I have noticed how differently Harley reacts to encounters depending on if he is with me or with Nick. When I am present, he is much warier and protective about being approached by another dog or situation he senses as dangerous. With Nick, he seems to defer to his abilities to handle the situation. So, I wasn’t expecting to be surprised with Harley with us.Nick led us down the fairway away from the club house, our usual route. The part that varied was how far and when we got off the cart path. We didn’t go nearly as far, though, when he led us onto the fairway. I sensed something different as he peered intently all around us as we walked. There were houses on either side of this fairway and his eyes were scanning the line of houses on each side. The cart path was only on one side, but he watched the other side just as carefully.He was walking down the middle of the fairway and closer and closer to the green. He normally avoided the greens by a wide margin because the greens surfaces were more delicate and they were often surrounded by irregular ground formations and sand traps. This time was different. I was still expecting him to move to the side, when he walked onto the green, stopped, and looked around us a full 360. Apparently satisfied, he took the flag stick out of the hole, inserted it through the hand loop in Harley leash, returned the stick into the hole, and had Harley ‘sit’. He then turned to me and I knew this night was another change in what could be expected in our routine. He was smiling as he stepped directly in front of me. It was only the moonlight and stray lights from the backs of houses to give the faint indication of his smile, but with his nearness, it was plain to me. His hands went to the sides of my face and we kissed. It started gentle, almost teasing, then it became more passionate without stopping in between. As we kissed, my body and mind reacting his attention, I felt his hands moving to my shoulders from my face and I put mine on this to hold us together. His hands didn’t stop at my shoulders or arms, though, they continued to move, over the swell of my breast, and to my sides, which were fully exposed to his touch with my arms now around his neck. As his hands moved to my hips, they gathered the t-shirt into them, pulling it up with his fingers until the bottom was in his hands, and I groaned into his mouth as I anticipated what was coming tonight.I pulled my head back from his mouth just enough to look into his eyes as the shirt was being pulled up my body. I didn’t move away or move my arms to hinder him, I just looked at him and gasped, “Are you sure? Here? Out in the open?”He didn’t even answer. Not a verbal response or a nod of his head. He just pulled the shirt up, now over my breasts, and my arms went straight up into the air, allowing him to remove it completely from me. He tossed the shirt toward Harley and took me back into his arms. I was naked. I was naked on the 7th green. As he held me, I shivered slightly in his arms. It wasn’t cold, not even a bit chilly. This was so exciting. He said he wanted to challenge me and lead me to new and different sexual experiences and he was. He was upping the ante, steadily upping it, and there was never a doubt in my mind that I wouldn’t follow what he wanted me to do.Standing in front of him, I pulled his rock band t-shirt up his body and over his head. I unsnapped his shorts, unzipped them, and pushed them over his hips. He was commando. I smiled and moved my hand directly to his semi-erect penis, sliding it down to cup his balls. Holding his cock in my hand, I kissed him, then moved my kisses to his chest, sinking to his stomach, and knelt in front of him. On the 7th green, I kissed the head of his cock before taking it into my mouth. It didn’t take long for him to be rigid and hard, partially due to the same stimulus I was feeling, this activity in an open environment that is normally occupied by others playing a public game.I knew my body was ready. The last few minutes would have been sufficient, much less that I had just been mated by Harley. My pussy would have returned to normal after the loss of the knot and my pussy would be more than lubricated for his easy penetration. I gave his cock one last long suck and kiss, then holding his hand I moved down onto the surface of the green, bring him down with me.I lay on my back, opening my legs, and pulling him down between them. I figured good, ole missionary was as good as any position to start in. He didn’t hesitate much beyond kissing and nipping each of my breasts as he leaned over me, his cock placed at the entrance to my pussy, and he eased in smoothly until he was deep inside me on the first slow stroke in. I sighed as he achieved full depth on the that first stroke and he just looked down at me smiling as he began pulling back, then pushing back in.My mouth opened as a moan escaped, I managed to ask him, “What, my crazy lover?”“Your pussy … after Harley has cum inside you …”, he thrust a few more times, “… I slide into your ravenous pussy so easy and smooth, my cock surrounded by fluids … yours … his … and soon, mine, too.”With that, he hooked his arms under my knees and lifted them over his shoulders and pressed forward until I was nearly doubled over, my pussy pointing up into the starry night sky, he down thrusting into me vertically. I could hear, literally hear, the sound of his cock driving into me … a squishing sound as the cum and juice bahis siteleri inside me made way for his driving cock.I came hard, the pressure of this new angle impacting my clitoris with each stroke. That and every sound and new shadow shifting around us, the sound of a squirrel or owl in the surrounding trees, a dog somewhere barking at something beyond the yard, a cloud moving over the moon, the trees shifting in the breeze, all reminders in the back of the mind that this was happening outside in a public space. Everything heightening the sensations of risk with physical stimulation.Nick slowed his thrusts while my body moved and shook in orgasm, but as soon as I settled a little, he moved us, again. He dropped my legs from his shoulders, hugged me, and rolled us over so I was now on top of him, his cock still deep inside me through the entire movement.He smiled up at me with the moonlight on his face, “No reason I should do all the work …”I smiled right back at him, leaning forward to smother him with kisses filled with my passion, lust, and love. My lips moved against his, “No, Sir … not with me here …”As he achieved his climax, he brought me to another, sharing the final part of this public adventure. After, we lay on the smooth grass surface of the green, hands intertwined or softly caressing each other. We looked up into the dark sky of the night, the moon having moved behind some trees, the stars above us brilliant. When he gave me a hand to stand up, he grabbed my tank top and Harley’s leash. I guess I was walking back to the house naked. Somehow, it didn’t quite have the same intimidation that it might have earlier. Little by little, he was chipping away the edges of ‘proper’ behavior when we were expressing our love for each other and exploring opportunities to enjoy.I found myself anticipating what he might come up with next. Several nights came and went with our walks at night on the golf course being just walks. Sometimes, he would pull me to him, kiss me, maybe fondle me, but never more. Then … he did.It was a night like many. We were cuddled on the couch in the family, each with our Kindles reading. Harley was inside curled on a big round bed-cushion on the floor by the patio door. Nick was in shorts and a t-shirt. I was naked, his arm around me, occasionally toying with my arm or breast. We each had a nearly empty glass of wine near us. I felt his hand move up my arm and I looked up at him, my cheek pressed to his shoulder. His other hand moved under my chin encouraging me to look up further. He kissed me … as soon as I was in position … he kissed me. He had a glint in his eyes and I knew.“You’re thinking about something for me, aren’t you?”“And how does that make you feel?”“Horny.”“Not scared? Not apprehensive, nervous?”I put my head onto his chest and kissed it. “Never again scared. Maybe a little nervous, wondering, anticipating … but that is part of excitement. That’s the difference you give me, Nick … Love … Son. You give me safety, protection, and freedom.”“Good, we’re going for a walk.” I moved to get a tank top and he stopped me. “No, if needed, I’ll give you mine.” I looked at him questioning. He looked right back at me as if expecting me to object, to reject, or to negotiate a compromise. He wanted me to walk away from the house completely naked. If we were surprised along the way, there wouldn’t be time for him to take off his to give to me in time to be covered. If he was willing to take the risk, I was, too. I picked up the leash and Harley jumped up, eager to be out with the two of us.This time it wasn’t the 7th green. It wasn’t any of the greens. This time he led us further into the course to one of the locations where two fairways ran parallel in opposite directions and separated by a line of trees and shrubs. This time he was taking us to a location even further from any house or cart path. He attached Harley’s leash to a shrub, not really sufficient to hold him, he lay me on the grass, still warm from the day’s heat from the sun. We made wonderful love and it truly was making love in every way. We spent nearly as much kissing, licking, and sucking each other as fucking. When I came, I was desperate for it. He was inside me and I wanted to feel him cum inside me, to share the moment completely with him. I tried diverting my mind in many ways to hold off my imminent orgasm until I felt him twitch and jerk inside, felt him tension above, and felt him thrust deeply into me. Then I came. My body exploded, my pussy clenched around him, my pussy exploded in fluid, and he came, he spurted over and over into me. I hugged him tightly to me, a feeling of never wanting to let go of this man. I didn’t let him go, not for a while. He stayed inside me, slowly softening. But, in the meantime, he whispered into my ear; making me blush by describing the feeling of being inside me, my wetness, the heat he felt, and the way my pussy clenched around him; he made me giggle as his fingers moved slowly up my side; but, mostly, he held me like I held him.When he moved, he instructed me to get into position. Position? Then, I saw him move to Harley and I understood. I didn’t immediately believe, but I understood. Harley was a private thing. Sure, we had shared it with Abby Jorgenson, but it was still in the privacy of our home. This … making love with Nick was one thing, but mating with a dog was another. But, of course, that was why he had chosen a location that was more private and isolated. And, I knew immediately that he expected a complete mating, knot and all.No objection from me, though. I rolled to my knees and lowered myself to my hands. Nick brought Harley in front of me and like a good bitch I gave myself over to him. I lowered my head as Nick held Harley in front of me and my mouth sought out Harley’s penis. There was about an inch of the tip outside the sheath. I licked the tip and took the pre-cum off it before putting my lips around the tip and sucking out more. I continued to suck and use my tongue on the tip inside my mouth. The penis grew and extended, slowly growing in mouth, growing into a cock that could properly use my pussy properly, the way Harley can. Harley and Nick. I do like their cocks, differently, but I do enjoy their feel and style. I wondered as I work the cock in my mouth … was there a way to have both inside me at the same time?I sensed Nick crouching bahis şirketleri down and checking on my progress. God, that made me hot! Whether it was that controlling or not, it felt like it. It was as if he was checking to see if I had done a good enough job of getting his dog ready to fuck me. I felt like I was theirs, the two of them, the two males I was meant to please and satisfy. I was on fire by the time Nick pulled Harley away from my greedy mouth to my ass. I moaned as Harley jumped onto my back. Before I even felt his cock against me, I moaned just to have him on me, knowing all the feelings and wonders I would again be experiencing. The mind can be as powerful as the physical.My reaction to Harley mounting me has already become automatic. A hand slips between my legs and assists his cock into my hungry pussy. He thrusts into me deeply or my pussy devours his cock completely … one way or the other. After feeling Harley securely inside me, I look up to see Nick settling down in front of him. I lift my hands for him to move underneath me and I drop to my elbows as Harley is into a rhythm of pumping into me. I put my mouth and tongue to Nick soft penis. I began licking our mixed juices from it, feeling him grow ever so slightly under my touch. And, the thought came to me that he didn’t utter a sound, request, or instruction; he simply moved underneath me and I dutifully began cleaning and loving his cock. What was he turning me into? I didn’t know if he was purposely doing anything or not … but, whatever was happening to me, to us, I was loving it.Just like the first time Nick and I did it on the green, the location of this mating added much to the effect on me. Between a shrub and tree alongside a fairway I was being fucked by Harley and mouthing Nick’s cock in the process. After already having been fucked by Nick, the mental and physical aspects of being with Harley had me at a high level almost immediately. As I tried to concentrate on Nick’s cock at my mouth, I nearly lost track of what Harley was doing behind me. Yes, I felt his thrusting cock driving deep into my hungry pussy. What opened my eyes and mouth, though, was feeling his knot hitting the outside of my pussy. I was made aware that I was not only outside, mounted by a dog, but I would soon be knotted and immobile, unable to escape or move if anyone should by chance come down one of these two fairways. It sent a shiver through my body and an increased thrill at the same time.Nick’s cock was in my mouth, alternating between sucking and sliding up and down it, when I felt a more urgent pressure at the opening to my pussy. Instinctively, already instinctively, I pressed back into it and felt my body adjusting to the pressure to open my slippery pussy lips and hole. As the knot had me stretched wide and at the brink of pushing into me, my mouth opened as I pressed back with increased concentration and determination. Nick’s cock didn’t leave my mouth, but it hung just inside, only my bottom lip in contact. As the knot finally punched inside me, Harley’s hips pressing into me firmly from behind, my mouth was pushed down Nick’s cock and then off as I groaned at the feeling of fullness in my pussy. There was a slight pressure on my head, pressing it down, until my mouth again had a cock inside it.I couldn’t focus on Nick, though. What Harley was doing to me was too much for me to multi-task around. My mouth would come off Nick as I arched my back into Harley, then raise my head in a series of long moans, gasps, and groans. Then, I would remember Nick and find him holding his cock straight up for me to again engulf. It wouldn’t last long before I again lost it and only reacting to Harley’s consuming fucking. I was very near another orgasm and I could feel that Harley was swollen inside me, both his cock and knot, and I knew he would be seeding me very soon. That was what I was holding off for, but I was losing the battle. My body shook with explosive release. My arms shook and my stomach muscles quivered. I came and as I did my pussy clenched down hard around Harley’s cock and knot, making the feel even bigger and more filling than ever. Then, perhaps because of my orgasm, I felt Haley jerk inside me, his body tensing as he pushed deep into me, holding me even tighter with his front legs as he pressed desperately to get deeper. Then, I felt his cum, spurt after spurt sent into my pussy. What wasn’t filled with cock and knot was now filled with his seed.I was breathing hard when I realized my face on Nick’s thigh. I wearily pressed up to my hands, my ass firmly locked to Harley who had turned and watching behind us. I looked to Nick and gave him a weak smile and sighed my satisfaction as Harley tested the tie. Nick held my head and leaned forward, kissing me firmly, passionately, but lovingly.I then looked him in the eyes, not seeing much in the darkness, but seeing the gentleness, tenderness, and love in his attitude. “Is this what it is going to be like … my new life with you … is this what I can expect it to be like?”He smiled, reached forward and pinched a nipple causing me to flinch slightly, then the other with the same reaction. He applied pressure to the back of my head until I had again engulfed his cock. He leaned his head above mine and whispered with kisses into my hair, “Yes … yes it is.”I pulled my head up, replacing my hand over is cock, stroking up and down where my mouth had been. I reached up, kissed him, and sighed. “Good.”I returned my mouth to his cock and became dedicated to making him cum for the second time. Harley had released me from the tie by the time Nick filled my mouth with his seed.I crawled up his body, pressing him back onto the ground, content to be against him. We both dozed, awakened by Harley moving around us. My heart leapt, but it was only a night bird of some kind in the tree above us. This time, Nick joined me in walking back to the house naked. Along the way, my mind went to what I had just so willingly done. Loving Nick outside was one thing; mating with Harley was somehow different. But, not really a bad different. At home, being with Harley caused me to muse about being his bitch, this night made that feeling even more powerful … what would Nick come up with for me next? I had a sudden feeling and looked over at him as we neared the house. He was focused on the back gate, but I had a sense, a belief, a feeling that he had done nothing to express, that he was going to continue pressing, extending my willingness to be a bitch …* * CHAPTER ELEVEN: I AM SUCH A BITCH will follow * * Thanks for reading.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


MARTINI SARAH PART 2

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Asian

MARTINI SARAH PART 2Before and after we were married wife Sarah loved to be adventurous and “mess around” sexually at any time any place any where like the old drink commercial from the 1960-70s and some times it was embarrassing which tended to turn her on even more. Quite surprising we Didn,t get caught more often really. My face was really red when one evening when “courting” at her house in North London whilst I was on leave from my Air Base in West Germany we both got so carried away we lost track of time and Sarah was happily loudly sucking away on my throbbing cocks head when I exploded in her mouth. At that very moment her mother entered carrying a tray with two cups of coffee and cookies on it. Sarah quickly apologised taking my spunking prick out of her mouth as it continued to pump my heavy ejaculate and crammed it back in my trousers while I was too far gone to say a word. Her Mum said nothing, just set the tray down and left quickly. Sarah told me her Mum told her off about her “filthy habit” yet a few months later she walked in on her parents while they were having oral sex with her mother eagerly swallowing her father,s cum quite happily. “My Mum,s a bloody hypocrite!” Sarah sighed. As I hadn,t been able to fly to London till the Wednesday before our Saturday wedding we had little time for any kind of sex play, but on the Wednesday night Sarah managed to sneak into my room for a quickie fuck, our first fuck in f******n months and though it was hurried it was great and kept me going through that hectic next two days, our hen and stag parties held on Thursday night güvenilir bahis and of course Friday I slept at the best man,s house because of tradition. Saturday morning though I,d slept very little I rode, had breakfast and after I,d bathed put on my hired morning suit without a top hat as Sarah had asked me not to wear my uniform though I thought it looked rather smart. The day was cool and windy but no rain for the penultimate day of August at the lovely old church her parents had been married in as she and her father arrived twenty minutes late for the service. The ceremony took place without a hitch and we were married.the rigmarole Of signing paperwork and what seemed hundreds of photographs finally completed we jumped in a hired limousine and repaired to a local public house for the reception where we ate and drank for the first time asa wedded couple, had our first dance and gave my speech in a far different accent than I have now. I still sound American, but my speech is slower and more understandable now though when I fly back to the USA it dorsn,t take long to slip back into “quicker speech”. We managed to leave the reception by about 5pm, both of us now changed out of our wedding attire and were driven by hired car to a top West End Hotel and the Honeymoon Suite Sarah had pre booked. We decided to have our first supper in our room washed down with sparkling wine for her and champagne from the management for me as Sarah doesn,t like it. When she switched on the television “Saturday Nihht at the Palladeum” was on, first time I,d ever seen the programme and I,m not türkçe bahis sure if.Bruce Forsyth or Des O,Connor was hosting it. Sarah gave me my wedding gift a set of green silk pyjamas so as she continued to watch tv I soaked in the large bath getting nice and clean for her. Towelled off and now wearing my new pyjamas I took over watching the goggle box as she went for her bath and to put on my wedding gift to her a near transparent black lace negligee. Eventually as I became engrossed in the tv her voice came to me “Ahem Mr. Taylor! So what do you think of your new Bride?” I glanced up at a vision in lace. The only light in the room came from the lights beside the mirror in the bathroom so as Sarah stood framed in the doorway her body seemed illuminate like a heavenly being with a halo. This twenty two year old beauty had brushed her usual blonde beehive hair style our and wore her hair long past her shoulders and almost to the tips of those big breasts of hers, her face wreathed in angelic smiles as she stood before me, the negligee not concealing any of her body though shadows obscured her thick pubic curls and fleshy lower lips, legs long and feet almost too small for her dancer,s pins. “Will I do then?” she smiled even more magically as my cock rose in anticipation and my body left the sofa in quick time to embrace her. “Mrs Taylor. You will do very nicely indeed! How about a Lovely Fuck?” “You know I don,t like it when you use that sort of language!” she scolded me. In those days even though she could be a very passionate female she was still a bit of a prude when it came güvenilir bahis siteleri to dirty talking. “Oh come on my Love! It,s only you and me here! I want to make love to you, but hate all that flowery talk! I want to put my hard Cock in your hot Pussy and fill you up with Cum! What,s wrong with that?” I sniffed. “If you want to have a romantic night and have your way with me you,ll have to watch your language!” she warned. Half an hour later though as I thrust my stiffie in and out of her squelching twat though her body belied her prudishness as she matched me thrust for thrust then pleaded with me to fill her to the brim with baby gravy. But I worked on her and within a few months she Didn,t seem to mind me talking dirty to her though it would take nearly two years before she,d talk dirty to me and her language was so unexpected it turned me on even more and seemed to have the same effect on me. So instead of a horrid painful completely forgetful wedding night it was an enjoyable occasion with both of us experiencing intense sensual climaxes not worrying how messy the sheets became. It,s a good thing my wife booked a wake up call for 7am Sunday morning or I doubt we,d have made it to the train in time to travel to Somerset for our three day painfully short honeymoon. We took advantage to fuck as often as possible wherever we could and if we offended any one tough luck as we knew we,d be apart for at least a month as Sarah waited for her visa to join me in the USA till my eight years with the Air Force were completed. My flight left st 11:15 am the next Wednesday so we spent nearly all of Tuesday night sucking and fucking each other till we could barely walk yet somehow I managed to board the plane and fly back to remote North Dakota and six more weeks of loneliness and no Sarah or her sweet pussy. TBC

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


Stéphanie de femme fidèle à chienne _1

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Double Penetration

Stéphanie de femme fidèle à chienne _1Cette histoire est une fictionLa plageMoi, c’est Stéphanie, j’ai la cinquantaine passée et je suis mariée. Je fais un mètre soixante-dix pour soixante-cinq kilos. J’ai des kilos en trop ce qui me donne des fesses bien rondes qui s’équilibre parfaitement avec ma poitrine volumineuse qui fait 95 D. Mes cheveux blonds sont taillés dans un carré court d’une grande élégance. Je suis enseignante dans une université.Alors que l’arrivée de l’été devait annoncer de bons moments passés avec mon mari, je vais me retrouver toute seule dans l’appartement que nous possédons en bord de mer. Le pauvre doit partir en déplacement pour son travail pour une durée de deux mois. Il a beaucoup râlé, il n’était pas heureux du tout de me laisser pendant une telle période et moi non plus, mais il n’a pas le choix.Rapidement après mon arrivée sur la côte, j’ai découvert par hasard une petite crique tranquille accolée à des dunes et un petit bois. Elle est fréquentée par très peu de personnes, c’est rare qu’on soit plus d’une dizaine l’après-midi.Ce matin comme tous les matins, je suis là-bas. Alors que j’arrive souvent la première sur place, je découvre un couple enlacé. Ne voulant pas les déranger, je m’installe loin d’eux. Je n’aime pas être indiscrète, mais mon attention est attirée par eux. L’homme est un grand black d’une vingtaine d’années et la femme une toute jeune fille à la peau pâle qui doit à peine avoir dix-huit ans. Elle est allongée sur sa serviette et lui est appuyée contre elle. Il l’embrasse avec fougue. Il la dévore littéralement. Mes lunettes de soleil me permettent d’admirer discrètement la scène. J’ai honte de le penser, mais j’aurais bien aimé rencontrer un tel homme à son âge. Et même maintenant je dois l’avouer. J’ai beau être une épouse fidèle, j’ai beaucoup de plaisir à admirer les hommes, les jeunes de préférence.Toutes ces idées ont le don de me troubler. Pour me calmer, je pars me baigner.Lorsque je sors de l’eau, je me sens apaisée, mais cela ne dure pas. Le spectacle que ce couple offre est encore plus indécent. Le black l’embrasse toujours avec la même fougue sauf que désormais il a ses mains sous le haut de son maillot et il lui pelote la poitrine sans vergogne.De retour à ma serviette, j’essaie de ne plus les regarder, mais c’est dur. J’ai un frisson quand je vois le noir qui doit faire dans les deux mètres et tout en muscle se lever et tirer à lui sa conquête. Il l’emmène avec lui en direction des dunes. Il l’emmène là-bas pour pouvoir la prendre, la baiser. Quelle chanceuse?!Je les vois s’éloigner. Je ne sais pas ce qui me prend, mais dès qu’ils disparaissent, je me lève et pars à leur poursuite. J’ai honte, mais j’ai envie d’en voir plus. Je veux voir ce que cela fait d’être prise par un tel homme.Lorsque je les retrouve enfin, l’action a déjà commencé. Et quelle action?! Ils sont déjà nus, le black est debout et la femme agenouillée devant lui à le sucer. Non, elle ne le suce pas, c’est lui qui lui baise la bouche. Il tient sa tête à deux mains et avance entre ses lèvres à toute vitesse. J’ai le souffle coupé quand je le vois retirer son sexe de la bouche de sa partenaire pour lui permettre de reprendre sa respiration. Ce n’est pas une bite qu’il a, mais une poutre. Elle me semble absolument gigantesque. Il ne laisse que quelques secondes à la femme pour récupérer. Je comprends à peine comment elle est capable d’avaler un tel monstre en entier.Quand il la libère de nouveau, elle a le visage écarlate. Il passe derrière elle. Je pense qu’il va la prendre, mais il la saisit par la taille et la porte la tête en bas. Il passe ses jambes sur ses épaules et enfonce son visage entre ses cuisses. Il lui mange littéralement la chatte. Je l’entends gémir de plaisir. La tête en bas, elle lèche sa bite pour le remercier de ce qu’il lui fait et aussi entretenir son érection, mais il veut plus. Il reprend le contrôle et l’att**** par les cheveux. Il la force à rependre sa queue en bouche et recommence à la baiser comme si c’était son vagin.Je n’en peux plus, c’est trop excitant. C’est mal, mais j’ai besoin de me faire du bien moi aussi. Mes mains descendent vers le bas de mon maillot et je commence à me caresser sans jamais quitter les deux amants des yeux.— Alors, le spectacle te plaît ?Je sursaute en entendant la voix grave derrière moi. Je n’ai pas le temps de me retourner, des mains passent autour de ma taille et me serrent.— Qu’est-ce que vous faites ?L’homme qui me domine est un maghrébin d’une vingtaine d’années aux cheveux noirs taillées très court. Ses yeux marron brillent d’une lueur a****le. Il est grand, largement plus d’un mètre quatre-vingt. Il m’immobilise de ses bras puissants.— Chut, pas si fort ou sinon ils vont t’entendre et s’arrêter. Ce serait dommage. Tu es bien venu pour ça, pour les mater ?— Non.Je ne peux pas lui avouer qu’une femme avec une éducation comme la mienne puisse s’adonner à une telle activité.— Ah?! alors c’est par hasard si tu te caresses depuis cinq minutes à côté d’une pute qui se fait tringler ?Je me sens rougir. J’ai honte de moi. Je n’ai même pas pensé à regarder autour de moi pour être certaine que personne ne pouvait me voir. Je cherche une réponse à lui opposer quand je sens que l’une de ses mains sur son ventre glisse vers ma culotte de bain.— Arrêtez ou je crie.— Attend au moins que je te mette la queue dans ta chatte.Je suis parcouru d’un frisson.— Vous n’allez pas me violer ?— Bien sûr que non. Qui parle de viol puisque c’est toi qui vas me demander de t’enfiler.Il me serre un peu plus contre lui. Je sens son sexe dressé contre mes fesses. J’ai l’impression qu’il a un sexe énorme. Je devrais me débattre, tenter de me libérer, mais je reste passive. Je suis troublée. Plus par la scène qui se poursuit devant nous, mais par ce qui m’arrive. On peut être une femme fidèle et avoir des fantasmes très intenses. J’ai toujours rêvé d’être prise par un inconnu vigoureux.Plus loin, le jeune black vient de retourner sa partenaire pour la mettre à quatre pattes. Il la prend avec force lui envoyant des coups de reins puissants qui la bahis firmaları font hurler.Ce spectacle me trouble un peu plus et mon inconnu profite de mon égarement pour faire avancer de nouveau sa main. Ses doigts passent mon maillot et rentrent en contact avec mes poils pubiens taillés en ticket de métro avant que je n’aie le temps de réagir. Il les frotte avec force et continue sa descente écartant mes lèvres vaginales.— J’en étais sur. Tu es trempée. Ta chatte n’attend que ma bite.— Non.— Mais si. Regarde.Il sort sa main de ma culotte et la présente devant mon visage. Ses doigts sont brillants de mouilles. Ils les posent sur mes lèvres que je garde fermées. Ça le fait rire et il remet sa main entre mes cuisses sans que je m’y oppose.De son autre main, il se saisit de mon poignet gauche qu’il ramène dans mon dos. Je rencontre son torse musclé. Il guide ma main vers son caleçon et plonge dedans. J’ai un frisson en sentant le bout de mes doigts toucher son sexe dressé. Il me libère et ma main reste là à savourer ce sexe d’une taille qui m’est inconnue. Sa main remonte vers le haut de mon maillot qu’il écarte pour empoigner avec force mon imposante poitrine.— T’as vraiment de bonnes grosses loches. Ça doit être très agréable de se branler avec.Il malaxe mes seins avec forces, pince mes tétons. J’ai de plus en plus chaud. Je suis si excitée que je ne me rends même pas compte que j’ai commencé à le branler.— Tu la veux. Hein ? Tu la veux ma salope ? Tu veux que je t’enfile avec ma grosse bite.— Oui, soupiré-je— Non, mieux que ça salope.— Prends-moi.Sa main sur ma poitrine se referme durement dessus.— Applique-toi. Sois honnête. Exprime-toi comme la salope que tu es.— Enfile-moi ! Prends-moi comme la salope que je suis.Sa main dans ma culotte abandonne ma chatte pour la faire descendre le long de mes cuisses. Il guide ensuite son sexe dur comme du béton à l’entrée de ma chatte pendant que l’autre main quitte mes seins pour venir se poser sur ma bouche. Sans la moindre tendresse, il perfore ma chatte d’un coup de reins d’une v******e inouïe. Sa main sur ma bouche est là pour étouffer mon cri et empêcher que l’on nous surprenne.Jamais je n’ai eu un sexe d’une telle taille en moi. J’ai l’impression que mon vagin va éclater. Je n’ai pas le temps de m’habituer à l’intrusion de ce sexe monstrueux, il le retire complètement pour mieux me le remettre. De nouveau, il étouffe un de mes cris.Pendant plus d’une minute, il recommence le même mouvement pour le même effet. J’ai la chatte en feu.— Pose tes mains sur l’arbre et serre les dents, que je puisse te prendre comme tu le mérites, salope.Docilement, je lui obéis. Je prends appui sur l’arbre devant moi.— Cambre-toi. Montre-moi comme tu veux ma bite, sale chienne.Je me cambre autant que je peux prenant une pose aussi indécente que possible.Il pose ses deux mains sur mes hanches qu’il empoigne avec force et d’un coup puissant me transperce de nouveau. J’étouffe à grand-peine un cri. Cette fois, plus question pour lui de s’amuser, il me prend dans une série de va-et-vient rapides et puissants.« Je viens. Prends mon jus, salope !Le black en face de nous s’écrase dans un dernier coup de rein au fond du vagin de sa partenaire qu’il inonde de son foutre sous ses feulements de plaisir. Ils restent encore accouplés de longues secondes puis le black se relève. J’aperçois la chatte béante de celle qu’il vient de posséder. Même d’où je suis, je vois le sperme s’écouler à gros bouillons.Les deux amants remettent leurs maillots et s’éloignent par la dune en face de nous.Mon amant me tire brusquement par les cheveux et bascule ma tête en arrière vers lui.— Maintenant tu vas pouvoir te lâcher. Fais-moi entendre ta voix de salope.Il se met à me pilonner comme un fou furieux. J’essaie au début de me retenir par peur d’être entendue, mais il va trop fort et me fait trop de bien. Ma chatte dégouline autour de sa bite qui ramone ma chatte en profondeur.— Tu la sens ma bite, salope. C’est autre chose qu’avec ton cocu bande mou, je parie.Mon mari n’est pas très bien membré, en tout cas ça n’a rien de comparable avec ce sexe qui redessine l’intérieur de mon vagin à grands coups de reins, et jamais il ne m’a pris avec une telle intensité durant tout notre mariage. Moi qui me suis habitué à nos petits missionnaires, je perds pied devant des assauts si puissants, si virils. Je sens un orgasme monté, plus puissant que jamais. Je m’abandonne au plaisir et explose dans un long cri de jouissance.— OUI !!!Je bascule en avant, mes jambes me portent à peine. Mon orgasme ne calme pas les ardeurs de mon amant qui continue de me bourrer avec la même force.Encore en pleine jouissance, je remarque la présente du black de tout à l’heure qu’au moment où celui-ci se tient juste devant moi.— Alors Ahmed, tu t’amuses bien à ce que je vois. Elle est comment ?— Elle est bien baisable, mais elle ne vaut pas ta petite pute, Idris.— Une sacrée salope celle-là. Il m’a fallu une semaine pour pouvoir la tringler, mais ça valait le coup.— Dommage qu’elle reparte ce soir, on aurait bien pu s’amuser avec maintenant que tu l’as décoincée.— Je crois que tu nous as trouvé de quoi nous occuper pour le reste des vacances.— Clair ! Admire un peu ces loches comme ils se balancent quand je la bourre.Pour bien montrer l’effet produit, Ahmed me donne de puissants coups de reins sur toute la longueur de son sexe qui me secoue et fait bouger mes seins dans tous les sens.— Pas mal.Idris empoigne l’un de mes seins et le masse énergiquement.— Ils sont bien gros et lourds. Comment elle s’en sort niveau suce ?— J’en sais rien, j’ai pas eu le temps de vérifier. Elle était tellement excitée de te voir bourrer ta petite pute que je l’ai fourrée direct comme une bonne salope.— Et bas on va vérifier ça tout de suite.Idris me saisit les cheveux et me force à me pencher jusqu’à me retrouver devant son maillot qui disparaît pour laisser apparaître son gros boudin noir.— Ouvre ta bouche, salope.Fascinée par ce sexe devant moi, j’ouvre la bouche sans réfléchir.— Mieux que ça !J’étire mes mâchoires au maximum permettant à Idris de faire entrer kaçak iddaa son sexe dans ma bouche. Il ne bande pas encore et j’ai pourtant l’impression d’être déjà totalement remplie.— Suce-moi. Savoure ma bonne queue d’ébène au parfum de foutre et de jute de pute.Ces paroles m’enivrent et ma langue s’agite avec gourmandise sur cette bite qui arrosait un vagin encore frais quelques minutes auparavant.— Alors, c’est une bonne suceuse ?— Pas terrible, mais on va remédier à ça. T’es en vacance dans le coin pendant combien de temps sale pute de bourge ?— Deux mois, avoué-je entre deux gémissements.— Largement assez pour faire de toi la reine des vieilles putes. Et tu es toute seule ou le cocu qui va avec cette bague est là aussi.— Seule, dis-je dans un long feulement.Ahmed me prend avec plus de force en riant. Il est excité à l’idée de pouvoir me tirer tranquillement pendant aussi longtemps.— Parfait, déclare Idris. Première leçon. Les putes comme toi, quand elles ont une queue dans la bouche, elle l’avale en entier, peu importe leur taille.Sa main dans mes cheveux accentue sa prise pendant qu’il enfonce un peu plus son sexe dans ma bouche jusqu’à atteindre ma gorge dont il essaie de forcer le passage. Jamais un sexe n’est allé aussi loin. J’ai l’impression que je vais étouffer. Je tente de le retenir, de le repousser, mais Ahmed se saisit de mes deux poignets qu’il verrouille dans mon dos.Idris incline ma tête sur le côté pour une meilleure pénétration. Après de nouveaux efforts, il parvient à ses fins et son gland force le passage de ma gorge et je me retrouve finalement les lèvres écrasées contre ses poils pubiens. Je pleure, j’ai l’impression qu’il va me déboîter la mâchoire et en même temps je suis sur un nuage. J’ai tout son sexe en moi.— D’ici à ce que tu partes, tu m’avaleras sans difficulté comme une bonne pute.Et il recommence à me déboîter la mâchoire.— Deuxième leçon, dit Ahmed. Tous tes trous nous sont offerts.Sans arrêter de me besogner, il pose un pouce sur mon anus. Il exerce plusieurs pressions dessus avant de finalement parvenir à en forcer le passage. Je pousse un cri que la bite de Idris étouffe complètement.— Cette salope n’a pas l’air d’avoir l’habitude de se faire enfiler par là.— J’adore éclater les culs serrés, dit Idris en riant sans s’arrêter de malmener ma gorge.Mon anus n’a plus connu la visite d’un sexe depuis avant mon mariage il y a plus de vingt ans.— On échange ? J’ai la bite bien dure.Ahmed me donne un dernier violent coup de reins avant de laisser la place à son ami qui s’enfonce en moi sans aucune douceur et commence immédiatement à me ramoner. Malgré ce que j’ai déjà pris je sens nettement la différence de taille entre leurs sexes. La sensation de ma chatte qui se dilate encore un peu plus est délicieuse.Devant moi, Ahmed m’empoigne durement les cheveux pour me présenter sa queue brillante.— Viens goûter à ta mouille de chienne.— Attend. Je suis d’accord pour que vous vous amusiez avec ma bouche et mon vagin autant que vous voulez, mais laissez mon anus tranquille.Ahmed me bifle durement tout en souriant.— Tu rêves, salope. Ton cul de chienne, on va te le prendre et tu vas nous dire merci.Ahmed ne me laisse pas le temps de protester davantage, il enfourne sa bite dans ma bouche et me besogne de toute sa longueur comme il le faisait dans mon vagin un instant auparavant. La différence de taille ne rend pas l’expérience plus supportable pour autant et j’ai la gorge en feu. Et pourtant j’aime ça, je prends mon pied comme jamais.Je me sens soudain vide quand mes deux hommes me libèrent de leur sexe au même moment. Je reste un moment courbée. Je suis sur un petit nuage. J’attends qu’il échange de trous, mais ils ont d’autres projets. Idris me claque violemment les fesses.— À quatre pattes, Salope. Mets-toi dans ta position naturelle de chienne.Je leur obéis sans hésiter un instant, me moquant de la façon dont ils se comportent avec moi et me parlent, car je dois en fait l’avouer, j’adore ça. Moi, la femme mariée et auparavant si sage prend un plaisir monstrueux à être humiliée et utilisée ainsi par ces deux jeunes.Ahmed vient se placer derrière moi et s’agenouille. Il présente sa bite à l’entrée de mon cul. Ça y est, mon cul va de nouveau accueillir une bite et je ne cherche même plus à m’y opposer. J’ai peur de ce qu’il va me faire tout autant que je le désire.Son gland appuie sur mon anus, mais malgré la pression qu’il exerce il ne parvient pas à rentrer. Je l’entends râler. Il envoie un glaviot épais en plein sur mon œillet qu’il fait entrer en enfonçant brusquement son pouce. Le passage graissé, il retente sa chance pour peu d’effet. Énervé de ne pas y arriver, il m’empoigne férocement les hanches et appuie de toutes ses forces. Son gland force brusquement l’entrée et m’arrache un cri aigu.— Doucement !— Ta gueule, pétasse, ou je laisse à Idris le plaisir de t’élargir le cul. Crois-moi, il vaut mieux pas que ce soit lui qui s’en occupe.J’ai peur qu’il me déchire, mais maintenant que le gland est entré, le reste suit avec beaucoup plus de facilité que je ne l’aurais cru. Je le sens quand même sacrément passer. Pas un instant il ne me laisse le temps de m’habituer, il force son passage toujours plus loin dans mon anus surchauffé.Arrivé au bout, il lève ses mains qu’il abat de toutes ses forces sur mes fesses.— Jusqu’à la garde ! Tu la sens ma grosse bite dans ton cul de chienne. T’aimes ça, grosse salope.— Mon dieu, tu vas me déchirer. Sors, sors !Ahmed se retire de moi dans une lente délivrance. Mais je ne suis pas entre les mains d’un homme, mais d’un mâle voulant me dresser et me faire sienne. Je n’ai plus que son gland en moi quand il se lance soudain de nouveau à l’assaut de mon cul et m’embroche de toute la longueur de son sexe.— AH !Fier de lui et du cri qu’il m’a arraché, il se retire de nouveau pour mieux me reprendre. Je n’arrête pas de crier, j’ai le cul en feu. Je souffre le martyre et pourtant je sens monter en moi une pointe de plaisir. Il me déchire et je commence à aimer ça.Il continue son travail de démolition de mon anus qui lui oppose de moins en moins de résistance.— Le kaçak bahis passage est fait !Il se retire de mon anus. Il pose ses mains sur mes fesses qu’il garde écartées pour admirer le spectacle. Mon anus est rouge, il n’arrête pas de s’ouvrir et de se refermer.Idris présente sa matraque à l’entrée de mon cul. Dès que son gland est en moi, je sens la différence de calibre et je pousse un long feulement à mesure qu’il s’insinue en moi. Il arrive vite à la profondeur d’Ahmed avant d’investir des zones encore vierges.— Une vraie chienne, elle m’a avalé en entier directe.Il se lance dans les mêmes assauts que son ami pour le même effet. J’ai mal et j’aime ça.Quand il laisse sa place à Ahmed, celui-ci rentre en moi sans problème. Mon cul est définitivement grand ouvert. Il se lance aussitôt dans des coups de reins puissants qui me font couiner.— T’aimes ça te faire ouvrir le cul, salope.Je pousse un long soupir qui ne le satisfait pas et il me claque durement les fesses.— Dis-le !— J’adore me faire éclater le cul. Je suis votre chienne.— Et on va bien te dresser.Plus rien ne retient mes deux amants qui se relaient dans mon cul avec une énergie et une force qui me donne un plaisir terrible.— Troisième leçon. Peu importe d’où sort une bite, tu la suces.Malgré l’odeur que dégage le sexe dressé d’Ahmed devant moi, j’ouvre machinalement la bouche où il s’engouffre. J’ai des haut-le-cœur. Je salive abondamment pour atténuer le goût pendant qu’il me besogne la bouche. Pendant ce temps, Idris ravage mon cul avec force. Une fois son sexe bien propre, Ahmed retourne investir mon cul tandis qu’Idris m’offre sa poutre noire parfumée à sucer.Ils répètent l’opération de nombreuses fois. Je ne sais pas si je finis par m’habituer au goût ou si à force mon cul est un peu plus propre, mais je suis de moins en moins écœurée par le goût de leur sexe.— On va la finir comme elle le mérite.Ahmed s’allonge devant moi. Idris passe ses bras musclés autour de mes cuisses et sans quitter mon cul et me porte au-dessus de son ami. Il me descend vers sa bite dressée impatiente d’investir de nouveau ma chatte. Le gland d’Ahmed ouvre doucement mes lèvres vaginales. La sensation est décuplée. Je n’arrête pas de gémir à mesure que sa bite disparaît en moi. Sa bite est à moitié en moi quand Ahmed prend le relais de son ami. Il me porte à sa place avant de m’attirer brusquement vers lui faisant disparaître toute sa bite.— Ah !Je suis pleine. Idris se remet en action, rapidement rejoint par Ahmed. Ils me prennent dans de longs mouvements amples, ma chatte et mon cul sont stimulés à l’extrême, j’en ai la tête qui tourne. Jamais je n’aurais imaginé prendre un tel plaisir. Rapidement mes deux mâles s’accordent pour prendre leur chienne d’un même rythme. Je n’arrête pas de gémir.— Écoute-la couiner, cette chienne. Sa première double et elle prend son pied.— C’est une bonne grosse salope. On va bien la dresser.— Oui ! Je suis à vous ! Prenez-moi ! Encore ! Encore !Mes deux amants éclatent de rire. Ils s’amusent de ma réaction. Il continue de m’insulter et ça me fait un peu plus décoller. Ils me bourrent comme la dernière des salopes, ils me claquent le cul et les seins, et moi je n’arrête pas de jouir.— Putain, je vais bientôt jouir.— Moi aussi.Je reprends mes esprits et réalise soudain qu’aucun d’eux n’a mis de capote.— Pas en moi. Laissez-moi vous boire.Mes deux mâles ne l’entendent pas ainsi. Ils affermissent leurs prises sur moi et augmentent l’intensité de leurs assauts. Je tente de les convaincre de ne pas jouir en moi, mais mes mots se perdent au milieu de mes gémissements.— Quatrième leçon. Une chienne, ça se fait remplir tous ces trous de spermes, gémit Idris.Dans un dernier coup de reins phénoménal, ils m’embrochent aussi loin qu’ils peuvent et hurlent.— Salope !Je sens leurs bites exploser au même moment. Leur sperme m’inonde provoquant chez moi un orgasme dévastateur.— Oui ! Oui ! OUI !Ils n’arrêtent pas de jouir. J’avais oublié la sensation que cela fait de se faire remplir d’autant de sperme depuis le temps que mon mari n’est plus capable que d’envoyer que quelques gouttes. Et ces bites qui continuent d’être dures même après avoir joui.Idris est le premier à se retirer. Je me sens vide sans sa grosse poutre entre mes fesses. Mon anus béant se contracte évacuant progressivement le sperme. Il y en a tellement. J’ose à peine imaginer à quel point il aurait inondé mes intestins de foutre s’il n’avait pas rempli la chatte de cette femme juste avant de me prendre. Tout ce jus s’écoule sur les couilles d’Ahmed qui finit par me désemboiter de sa tige. Il me maintient au-dessus de lui le temps que mon vagin laisse ressortir son sperme.Idris m’att**** par les cheveux et me force à reculer puis il ramène ma tête juste au-dessus de la bite d’Ahmed englué sous le sperme.— Tu voulais boire notre jus, salope ? Fais-toi plaisir. Nettoie. Leçon numéro cinq. Une chienne nettoie les queues de ses maîtres entre chaque saillie.Je me penche sur le sexe d’Ahmed et tire la langue pour récupérer la crème blanche qui l’en recouvre. Le goût est fort, surtout celui du sperme sur ses couilles parfumé par mon cul, mais je m’en moque. J’adore ça. J’adore le goût de ces hommes, de mes mâles.Une fois la queue et les couilles d’Ahmed complètement nettoyés et brillants de salive, je me tourne vers Idris qui m’accueille avec un large sourire, heureux de ma réaction. Je fais disparaître de son sexe d’ébène toutes traces de nos ébats, de ma saillie.— T’es une bonne chienne, on va bien s’occuper de toi.— Tu crois qu’on doit s’en occuper nous-même ou on la présente à Paulo ?— C’est sur qu’il s’ennuie depuis qu’il a fini l’éducation de sa dernière pute ? Mais tu crois qu’elle supportera son examen de passage ? Il nous en a estropié plus d’une.— Ouep, c’est pas un tendre, mais c’est toujours un sacré spectacle et j’ai trop envie de le voir la dresser pour en faire une parfaite vide couille.L’excitation retombant, je commence à m’inquiéter de ce Paulo et ce qu’il pourrait me faire.— Vous savez les garçons, vous êtes tout ce dont j’ai besoin. Je peux être rien qu’à vous pour la durée de mes vacances.— Leçon numéro six, les chiennes obéissent à leur maître sans poser de question.Idris m’observe de longues secondes avant de se mettre à sourire.— On l’emmène se faire éclater par Paulo.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


About Gerrit + Petra Part EIGHT

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Anal

About Gerrit + Petra Part EIGHT@@@@@@@@_NETTE_BÄRIN_@@@@@@@@@___________ About Gerrit + Petra ___________________________ Part EIGHT ______________@@@@@@@@_NETTE_BÄRIN_@@@@@@@@@Hatte ich erst die Absicht gehabt, das Chaos im Badezimmer noch zu beseitigen, so ließ mich ein Blick auf die Uhr eine bessere Zeitgestaltung übernehmen. Licht aus im Bad und ab ins Bett, wo Petra schon tief und fest am Schlafen war. Der Wecker stand auf 05:45 Uhr. Von ausgeschlafen kann man in dem Fall nicht reden. Irgendwann in der Nacht hatte sie sich an mich gekuschelt, den Nacken geküsst und meinte noch abschließend, „…träume was feines, mein Held!“ Montag, den 13.Juni 1994Die Nacht war kurz, für uns alle drei. Als ich denn den Wecker hörte, hörte ich aus dem Gästezimmer wie Mama und Sohn ruhig und sachlich miteinander sprachen. Ich drehte mich noch einmal um und zog die Bettdecke über den Kopf. Wenige Minuten später kam Petra ins Schlafzimmer, trat ans Bett heran und zog die Bettdecke mit einem kräftigen weg. Sie setzte sich auf die Bettkante und ließ ihre rechte Hand mal kraftvoll auf meinen entblößten Arsch klatschen. Nicht einmal, sondern dreimal klatschte es und dies schien der jungen Frau mächtigen Spaß zu bereiteten. Durch meinen Aufschrei sah Rouven sich veranlasst, nach dem Rechten zu schauen und stand daher frech grinsend im Türrahmen.Nachdem ich denn duschen war, zog ich mich an und gesellte mich zu Mama & Sohn, wobei die beiden im Wohnzimmer saßen und Kaffee tranken. Irgendwann mussten wir denn alle los. Von der Entfernung her die gleiche Strecke, aber die Ampeln…. Wir verließen zusammen die Wohnung und gingen Richtung Garage. Dort nahm Petra mich in die Arme und drückte sich fest gegen mich. “Bevor ich es denn gänzlich vergessen sollte, dir noch schnell alles, alles Gute zum heutigen Geburtstag wünsche. Bla, bla, bla für das neue Lebensjahr! Geschenke bekommst du nicht. Ich bin Geschenk genug für dich!” Küsschen rechts und Küsschen links und wenige Momente später trennten sich unsere Wege. Den Nachmittag trafen wir uns denn wieder und gingen hinterher noch zusammen essen. Das übliche Kaffeetrinken bei meinen Eltern hatte ich schon vor geraumer Zeit abgesagt, weil ich es als nicht so wichtig ansah. Man sah sich oft genug! So hatte ich genug Zeit für Petra, welche wir denn auch vollkommen genossen und ausgiebig auslebten. Am späten Abend fuhr sie dann doch heim, nachdem wir noch viel Fun hatten. Und diesen Fun genossen wir denn auch auf der Terrasse, wo ja das große aufblasbare Reisebett stand. Was wir taten, sahen nur die Vögel und der liebe Herrgott im Himmel….Freitag, der 17.Juni 1994Die Woche verlief bisher eigentlich sehr harmonisch. Wir telefonierten viel und trafen uns eigentlich noch mehr jeden Tag. Man hätte auch sagen können, wir klebten wie zwei Kletten aneinander, was nicht einmal gelogen war. Oder anders formuliert, ich hätte auch bei ihr einziehen können, wobei zu klären wäre, was Heribert dazu sagen würde? Beate, dieses kleine Luder, hätte garantiert Freudensprünge gemacht. Inwieweit ich die Finger von ihr hätte lassen können? Schwer zu sagen!Nun hatten wir denn schon wieder Freitag. Ein geschichtsträchtiger Tag. Heute vor nunmehr 41 Jahren wurde der Aufstand der arbeitenden Bevölkerung in der DDR durch Sicherheitskräfte und durch Rotarmisten blutig niedergeschlagen. Gleiches würde so nicht noch einmal geschehen, da die beiden deutschen Staaten wieder vereint waren. Aber lassen wir dies so stehen und widmen uns den aktuellen Ereignissen. Heute Abend war das Meeting mit Petra und Beate, wobei die Alternative des Public Viewing mit Rouven hätte auch sehr unterhaltsam sein können. So würde ich das Eröffnungsspiel der deutschen Mannschaft gegen Bolivien unter ferner liefen verfolgen müssen! So gab es denn eine Vorfreude auf Dienstag, wo ich mit Rouven verabredet war und wir uns das 2.Spiel zusammen anschauen wollten! Gegen Spanien würde es bestimmt interessanter werden!Schon beim ersten Alarm des Weckers war ich fast wach. Ich blieb noch einen Moment liegen und ließ Mäxchen noch ein wenig Aufmerksamkeit zukommen. Er lag in meiner rechten Hand und fühlte sich dort saumäßig wohl, als er durch die geschlossene Hand gleiten könnte bzw. durfte. Es war denn einfach so, dass ich am Grübeln war, was ich machen sollte. Durchziehen oder Freude sparen für den Abend, welchen ich ja mit Petra und Beate gemeinsam verleben und verbringen würde. Der Abend war denn wichtiger und so blieb es denn bei der gedrosselten Ausführung.Die Arbeit verlief zum Glück relativ ruhig und war auch schnell erledigt. so dass ich mich auch pünktlich ins Wochenende begeben konnte. Während des Dienstes erreichte mich ein Anruf von Petra, die mir denn mitteilte, dass es ihr gerade nicht so rosig ging und eine Teilnahme an dem geplanten Meeting am Abend, momentan aus ihrer Sicht, in ziemlich weiter Ferne liegen würde. Die Begeisterung war hier und dort wenig groß.Nach Feierabend fuhr ich denn direkt nach Hause. Nach getaner Arbeit sollst du ruhen oder in Ruhe noch eine Tasse Kaffee trinken. Ich tat letzteres und ließ mich auf der Terrasse nieder. Machte noch ein Nickerchen und wurde durch das Telefonklingeln geweckt. Nun ja, der Kaffee erwies sich als zu kalt und nicht mehr zu genießen. Am Telefon meldete sich das kranke Huhn Petra. Sie tat von ihrem Befinden berichten und meinte abschließend noch dazu, dass sie mir absolut nicht böse sei, wenn ich nachher, sprich in einer Stunde, allein mit Beate losziehen würde. Es würde ja in der Familie bleiben. Und in ihren Gedanken sei sie ja dann doch dabei. Und ich sollte denn pünktlich hier sein. Pünktlich wäre ich ja eh.Pünktlichkeit war mein zweiter Vorname und so sollte es denn auch am heutigen Tage sein, als ich dort eintraf. illegal bahis Als ich klingeln wollte, öffnete sich die Tür wie von allein. Im Blickfeld stand ein Häufchen Elend, welches normalerweise auf den Namen Petra hörte. “Komm doch rein! Beate braucht noch einen Augenblick! Typisch Frau halt!” Und versuchte freundlich zu lächeln, wobei es beim Versuch blieb. Wir gingen aufeinander zu und nahmen uns in die Arme. “Du siehst alles andere als gesund aus!” “Ich weiß!” und gab einen Kurzbericht zu ihrer Situation ab. Und noch einmal gab sie mir grünes Licht, dass ich mit Beate allein auf Tour gehen sollte!Nachdem dieser Dialog beendet war, erschien Beate oben an der Treppe. Ein Hingucker schlechthin, nicht nur jetzt. Sie stand oben und drehte sich auf dem Absatz. Generell stimmte die Aussage. Aus Anlass des Abends war Beate auch noch beim Friseur gewesen, trug ein rotes, ärmelloses Kleid, welches ihr eine Handbreit über den Hintern reichte. Der Reißverschluss war vorn, was aus Mannessicht eine sehr verlockende Angelegenheit war. Der Rücken glänzte mit einem großen v-förmigen Ausschnitt, in welchem ein schwarzes Netz eingefügt war, so dass man den schwarzen BH sehen konnte, welchen sie trug. Die Beine waren top und blank, sprich enthaart. Und ihre Füße stecken zu meiner Freude in schwarzen, hochhackigen Pumps. Alles war aufeinander abgestimmt. Bei ihrer Topfigur wäre es auch kein allzu großes Problem gewesen, wenn sie einen alten schäbigen und zerrissenen Kartoffelsack getragen hätte. Und für die eventuell frischen Momente trug sie noch eine blaue Jeans-Jacke.Elegant kam sie die Treppen herunter. Petra rammte mir hart aber herzlich die Faust in die Seite. “Bevor du gehst, wirst du mal noch schnell den Flur wischen. Du sabberst gerade ganz schön viel!” Und lächelte fröhlich dazu. Ein schönes Lächeln in einem schönen Gesicht. Ich ging zur Treppe und reichte Beate die rechte Hand. “Mylady, es ist mir eine große Freude, am heutigen Abend ihr Begleiter sein zu dürfen!” Sagte ihr dies und verneigte mich vor. Die beiden Mädels hatten ihre Freude an meinem Auftritt. Aber sie wussten damit umzugehen.Es folgte eine gedämpfte Verabschiedung gegenüber Petra, aber es war okay. Für sie war es aus gesundheitlichen Gründen besser, dass sie daheim blieb. Dies war noch nicht einmal böse gemeint. Sie sollte sich viel lieber schonen und den Abend anderweitig planen. Ohne Zweifel, aber die Situation war wenig glücklich für sie. Ihr Herzblatt ließ sie allein zurück und ging mit einer anderen Frau aus. Glücklich und zufrieden sieht nun einmal anders aus bzw. fühlt sich auch anders an. Nicht nur bei ihr, auch ich fühlte mich arg bescheiden, ach was, ich fühlte mich echt beschissen in diesen Minuten! Eigentlich sollte ich an ihrer Seite stehen!!! Mit Beate fuhr ich nach Dortmund in die Innenstadt, wo wir gemütlich durch die City schlenderten und auch einen “Fresstempel” fanden, in dem wir auch einen Tisch fanden. Ganz Herr der alten Schule half ich ihr aus der Jeans -Jacke, welche sie denn angezogen hatte. Beim Mexikaner stärkten wir uns für den Tanzschuppen, wo wir im Anschluss waren. Aber so gegen 2:00 Uhr in der Frühe des Samstagmorgens brachen wir unsere Zelte ab und führen heimwärts.Geschafft haben wir den Heimweg bis zum Romberg-Park, wo wir auf Anregung von Beate noch eine Runde spazieren gehen sollten, wobei ich das Gefühl hatte, dass sie noch reichhaltigen Gesprächsbedarf hatte. Und so war es denn auch. Eine Parkbank war schnell gefunden und in Besitz genommen worden. Jedoch erwies sich dieses Mobiliar als zu unbequem. Beate hatte mich ganz zur Seite geschoben und legte sich dann auf die Sitzfläche, wobei ihr Kopf auf meinem Oberschenkel lag. Doch schon nach wenigen Minuten erhob sie sich, klagte über die harte Sitzfläche.Wir suchten und fanden eine abgeschiedene Ecke und legten uns ins Gras. Sie wollte natürlich wissen, wie der eigentliche Abend ausgesehen hätte, wenn Petra dabei gewesen wäre. Und so begann ich in kurzen Sätzen zu erläutern, was denn vorgesehen war. Essen gehen, Tanzen, Hohensyburg und dann zu mir. Kuscheln, duschen, Sex, alles was denn machbar erscheint. Gleichwohl hatte ich immer das Gefühl, dass Petra mit ihren Gedanken hin und her schwankte. Insbesondere, wo ich ihr von den “normalen” Gedankengänge aus meiner Fantasie erzählte. “Hört, hört. Und was ging da in deinem Kopf gerade vor?”, warf Beate eine Frage ein. “Du kennst doch sicherlich auch den Spruch, alle Männer sind Schweine?”, was sie durch ein nicken bestätigte. “Ohne Zweifel, ich bin auch ein Schwein, wenn ich mich nicht immer wieder bremsen würde. Nur bei verdammt geilen Weibern, kann ich mich nicht bremsen! Okay, wenn musste mich zwingen, dass ich deine Titten streichelte. In meiner Fantasie würden Petra und du euch gemütlich auf die Mauer lümmeln und mir eure Ärsche entgegen strecken!””Während ich Petras Arsch ja nun schon kannte, interessierte mich dein Arsch um Längen mehr. Ich schätze dich mal so ein, dass du in den Zusammenkünften sehr wohl mitbekommen haben wirst, dass ich dich mit meinen Blicken ausgezogen und auch in meiner Fantasie auch verdammt heißen Sex miteinander hatten. Hui, da ging mächtig die Post ab und führte zu enormen Erschöpfungsfolgen! In meiner Fantasie hatten wir jeden Quadratmeter meiner Wohnung entjungfert und uns dort richtgehend ausgetobt! Mitten in der Nacht haben wir dir dann ein Taxi gerufen, welches dich heimbringen sollte! Und jetzt am Kaiser-Wilhelm-Denkmal? Nun ja, dein Arsch fand ich in dem Moment sehr anziehend, denn du hast ihn bewusst und vor allem provokant eingesetzt! Und ich? Ich konnte mein inneres Verlangen nicht mehr zügeln oder bremsen. So fand sich recht schnell meine rechte Hand zwischen deinen Schenkeln und “spielte” illegal bahis siteleri voller Leidenschaft an deiner Pforte deiner Lusthöhle, was denn nicht ohne Wirkung blieb. Dein Körper bäumte sich bei dieser Attacke mächtig auf, sowie deine Pforte recht feucht wurde! Unter den neugierigen Blicken von Petra, hätte ich mein Mäxchen aus der Hose befreit und mich hinter dir in Position gebracht. Ohne irgendwelche Skrupel ließ ich Mäxchen näher heranrücken und wenige Momente später auch die Attacke vollziehen, sprich dich auch der Mauer vögeln! Petra tat was sie tun musste, schob ihre Hand zwischen ihre Schenkel und ließ ihrer Lust freien Lauf.””Du kannst nicht mittendrin aufhören zu erzählen! Wie ging es weiter? Los du Schwein, welches über eine wehrlose Frau herfällt!” Sagte dies mit einem breiten Lächeln im Gesicht! “Was erwartest du denn von mir? Den Prozess anhalten konnte und ehrlich gesagt, wollte ich denn auch nicht mehr! Also ließ ich meiner Lust hemmungslos freien Lauf und vögelte dich auf der Mauer von hinten, was mir denn sehr viel Spaß bereitete und deinen auch einiges abverlangte! Lautstark hast du dein Umfeld wissen lassen, was gerade in deinem Körper vonstattenging! Bis dass du mitgeteilt hast, dass du heftig gekommen bist!” Beate schaute mich an. “Einmal Schwein, immer Schwein! Und wie ging es weiter?” “Einfacher Sache. Wir fuhren zu mir nach Hause. Die Klamotten flogen im hohen Bogen durch das Wohnzimmer und wenig später fanden wir uns in der Duschkabine im großen Badezimmer wieder. Dort konnte ich mich ausgiebig an deiner Lustpforte auslassen und sie ebenso genussvoll lecken, wobei wir das Wasser auf uns herunter fiel.””Petra sollte sich auch mal an deiner Fotze ausprobieren, wobei ich bei ihr sicher war, dass sie schon mit der einen oder anderen Frau Intimverkehr hatte. Nur bei dir bin und war ich mir nicht sicher!” Schaute dabei Beate denn fragend an, vor allem in der Hoffnung, auf meine Frage vielleicht eine ehrliche Antwort zu bekommen! Es vergingen einige Augenblicke, bis sie das Wort ergriff. “Du meinst oder möchtest wissen, ob ich schon einmal mit einer Frau intim war? Ist zwar lange her, aber die Antwort ist ja!” Ich sah mich noch nicht einmal großartig überrascht in diesem Augenblick. Doch was danach kam, haute mich denn glattweg vom Hocker. “In deiner schmuddeligen Fantasie hast du dir wohl ein erotisches Date mit Mama und Tochter ausgemalt, oder???” “Ich kann nicht einmal nein dazu sagen, weil ich es wirklich tat!” Beate lächelte mich denn verstohlen an. “Nun ja, dann muss ich mal etwas Aufklärungsarbeit leisten. Das Petra eine verdammt süße Maus ist, kann und werde ich nicht einmal bestreiten. Was ich aber partout bestreiten werde, ist jene Zustand, dass ich “NICHT” ihre Mutter bin. Vielmehr bin ich “NUR” ihre Stiefmutter! Ich hoffe einmal, du bist jetzt nicht enttäuscht, oder?”In meiner Fantasie brach eine Welt zusammen, aber wer weiß denn schon, wozu dies gut sein würde. Beate war nicht ihre leibliche Mutter. Aber ich empfand auch Aufklärungsbedarf in dieser Situation, denn so groß war denn meine Neugier jetzt gerade und sie drohte zu platzen! Und so begann Beate das bestehende Rätsel zu lösen. Petras leibliche Mutter hieß Anna und war die wenige Minuten ältere Zwillingsschwester von Beate. Anna, Beate und Heribert “betrieben” eine Dreiecksbeziehung, von welcher offiziell außer den Dreien niemand etwas wusste. Sie führten auch ein sehr intensives Sexleben, wo jeder mit jedem Intimverkehr erleben konnte. Will heißen, die Schwestern teilten nicht nur den Mann miteinander, sondern auch die erotischen Momente unter den Schwestern. Anna kam bei einem schweren Verkehrsunfall ums Leben, als Jan gerade einmal 2 Monate alt war! Offiziell adoptierte Beate dann Annas Tochter und so wurde Jan zu Petras kleinem Bruder. Dies waren die wichtigsten Momente in Petras Leben und ihrem Leben!Beate setzte sich breitbeinig auf meine Oberschenkel und meinte dann etwas amüsiert zu mir, “…ich durfte doch!” Saß sie erst nur auf den Oberschenkeln, so rutschte sie mir denn gehörig auf den Pelz. Was dann geschah, hatte ich so denn nicht mehr erwartet. Sie führte unsere Lippen zusammen und ließ ein heftiges Zungengefecht folgen. Als dies von der Anstifterin beendet wurde, hatte ich doch das Gefühl, als dass Mäxchen zeitnah die Hose sprengen würde. Beate tat alles Mögliche, damit Mäxchen an Format gewann. Und Widerstand leistete er denn in keinster Weise. Was abging, blieb ihr nicht unbemerkt! Beate war eine Spielerin und so spielte sie unseren Trieben. Ihre Lust war genauso groß wie meine, aber sie zog sich zurück. Hockte auf meinen Knien und strich über meine Wangen. Auch wenn ich brav sein wollte, wie sollte ich dies bei dieser Frau denn sein?Beate spielte ein feuriges Spiel und dies war ihr auch bestens bewusst. Ihre Hände glitten über ihre Brüste und massierten diese auch. Sie zog den Reißverschluss ihres Kleides herunter und ließ ihren schwarzen BH hervor Blicken, was denn eine wahre Wonne war, da sie eine stramme Größe hatten. Da hing auch nichts herunter! Einfach vorbildlich, einfach geil. Und bevor ich mich versah, spielten meine Finger an ihren Nippeln. Den BH hatte ich nach unten geschoben und ihre wonnigen “Bälle” präsentierten sich in bester Form! Der Reißverschluss wurde komplett geöffnet. Als dem so war, stand sie breitbeinig über meinen Schenkel, wo sie sich ihr Höschen auszog. Als ich nach vorn schaute, blitzten mit einmal ihre frisch rasierten Venushügel auf! Beate strich sich zwischen ihre Schenkel inklusive ihrer Lustpforte!!! Ohne Zweifel, sie hatte das Kommando an sich gerissen und würde es auch nicht wieder freiwillig herausgeben! Oder anders formuliert, ich beugte mich ihrer Gewaltherrschaft! canlı bahis siteleri Smile!!!Sie blickte mich fordernd an. “Befreie deinen Schwanz aus seiner eingeengten Gefangenschaft, denn ich will ihn hier und jetzt tief in mir zu spüren bekommen.” Gesagt und getan, machte ich die Hose auf und entließ Mäxchen in die gewünschte Freiheit! Beate stellte sich direkt vor mir hin und drückte ihre Venushügel gegen mein Gesicht, damit ich ihren Intimgeruch aufnehmen konnte. Im Anschluss daran ließ sie sich zu Mäxchen herab, führte ihn per Hand zu ihrer Liebespforte und ließ ihn dort erst einmal schnuppern, bevor sie ihn sich in ihrer lustvollen Höhle einführte. Was denn gar nicht so vorgesehen war, begann denn doch noch. Unsere Körper verschmolzen zu einem einzigen Körper und ließen erahnen, was in ihm vorging. Nicht nur erahnend, sondern auch hörend war zu vernehmen, was ab ging! Dass wir inmitten einer großen Erholungspark uns unserer Lust hingaben, dies störte uns beide in diesem Augenblick nicht wirklich! Beate war heiß und geil. Eine Folge war, dass ihre Frische Sahne an meinem Mäxchen herunter lief. Und Mäxchen spritzte sein ganzes Hab und Gut in ihre Höhle, wo es denn zu einer Vereinigung der frischen Produkten kam und anschließend suchte sich die neue Gemischte Sahne als “Retour”-Menge wieder einen Rückweg nach draußen. Ehrlich gesagt, ich hätte keine Wette darauf abgegeben, dass es noch zu solch einer Vereinigung unserer Körper kommen würde. Sie ist nun einmal eine geile Frau, verfügte über einen verdammt heißen Körper, der mehr als nur begehrenswert war. Und noch eines sei am Rande noch erwähnt. Als wir uns denn wieder Abmarschbereit gemacht hatten, stand Beate mir gegenüber, nahm mir meine Sonnenbrille ab und holte mit Schwung aus zur mächtigen Ohrfeige! “Bevor du Idiot fragen solltest, wärst du mein Partner und würdest mit einer anderen Frau an einem Freitagabend erst Essen und dann Tanzen gehen, dann würde ich dir HÖCHSTPERSÖNLICH zeigen, wo der Holzhammer hängt. Der würde dir dann klipp und klar aufzeigen, WER hier der Chef im Ring ist und WO GEFÄLLIGST DEIN Platz zu sein hat! Garantiert nicht in irgendeiner Grünanlage und dort die andere Frau vögeln! Ehrlich gesagt, junger Mann, ich bin ein wenig enttäuscht von dir!” Ich sortierte gerade noch meine Gedanken nach diesem Angriff und versuchte klar zu denken! Schüttelte noch einige Male meinen Kopf, um dann weiter ihren Worten zu lauschen.„Zugegeben, ich habe auch meinen, nicht unbedeutenden Anteil an dieser echt beschissenen Situation. Aus diesem Grund werde ich mich morgen bei Petra entschuldigen und mir die Strafe abholen, welche mir zusteht. Und du DEPP, wirst dich auch bei ihr entschuldigen, denn dein Verhalten war ja wohl komplett Schwanzgesteuert und unter aller Kanone!!! So etwas hat Petra nicht verdient. Auch du wirst dir deine Bestrafung bei ihr abholen! Ohne Wenn und Aber! Steh zu deiner abscheulichen Tat, wie ich auch dazu stehe!“ Sagte dies, grinste über beiden Backen und wartete auf irgendeine Bemerkung von mir. Doch ich schwieg in diesem Moment. Beate und ich wussten beide nur zu genau, dass jenes, was hier denn geschehen war, keiner allein zu verschulden. Dies war denn auf Unser beiden Mist gewachsen ist. Da konnten wir uns auch nicht freisprechen. Augen zu und durch? Vielleicht ein bisschen zu oberflächig betrachtet! Wir packten unsere Sachen und gingen zurück zum Parkplatz. Im Auto war es denn sehr ruhig. Auf dem Heimweg erfuhren wir denn aus dem Autoradio, dass die deutsche Mannschaft mit 1:0 gegen Bolivien gewonnen hatte. Den Treffer erzielte Jürgen Klinsmann in der 61.min! Auf den letzten Metern zu Beates Anschrift überholten wir denn noch Rouven, der die letzten Meter gern mitgefahren ist.Der Wagen wurde vor der Garage abgestellt. Leise und ruhig betraten wir denn das Haus, wo es auch still und leise war. Einzig Rouven, der auch nicht mehr ganz allein mit sich war, sorgte für eine lautere Geräuschkulisse, als er hoch ging. Beate und ich standen erst unten an der Treppe und eilten dann doch hinter ihm her. Wir brachten ihn zusammen in sein Zimmer, zogen ihm T-Shirt und Hose noch aus und fertig war er. Schlafen? Er schlief verdammt schnell ein!Die Zimmertür noch leise zugemacht, wünschten wir uns denn noch eine gute Nacht und verschwanden im jeweiligen Zimmer. Petra lag für mich ungünstig im Bett. Und direkt auf der Kante liegen wollte ich denn dann doch nicht. Ich nahm dann mit dem Sessel Vorzug, wenn gleich dies auch nicht besonders bequem wurde. Aber wie so oft im Leben, wer müde ist, der schläft überall! Egal wie bequem oder unbequem es sein mag! Als ich denn einige Stunden später aufwachte, hatte ich eine Decke über mich liegen, die dort noch nicht lag, als ich mich hinlegte. Und Sexy Hexy lag auch nicht mehr in ihrem Bettchen. Sollte ich jetzt aufstehen oder mich umdrehen und weiterschlafen? Ich brauchte nicht weiter denken, denn wenige Sekunden später öffnete sich die Zimmertür und Petra betrat leise den Raum. Verschloss gleich auch die Tür wieder und kam zu mir, der dies alles irgendwie beobachtete. Nahm einen Stuhl und setzte sich zu mir. Minuten vergingen, wo sie mich einfach nur beobachtete. Aber alles hat bekanntlich einmal ein Ende! Auch mein kontrolliertes Nickerchen!!! „Jo, na du Takeo (Japanisch für „Großer Held“)! Du kannst mal dein Schauspielersein aufgeben! Du bist eh wach! Müssen wir den gestrigen Abend Revue passieren lassen? Ich denke nicht wirklich!“ Bevor sie weiter sprach, zog sie mir denn erst einmal die Decke weg.„Beate hat schon euren Fehltritt gebeichtet und sich dafür eine Ohrfeige bekommen? Und was soll ich mit dir machen?“ Unsere Blicke kreuzten sich, wobei ich auch die Schulter hochzog! „Wenn ich dir eine Ohrfeige verpasse, breche ich mir das Handgelenk! Und dies will ich dann doch nicht! Also lassen wir es unter den berühmten Tisch fallen, verbunden mit dem Versprechen, dass du es nie wieder tun wirst! Willst du mir dies versprechen? Kannst du mir dies versprechen?“

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


Erinnerungen 1966

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babes

Erinnerungen 1966Der Vietnamkrieg war gerade von den USA ausgeweitet worden, bei der Landung in Bremen zerschellte ein Flugzeug und alle Insassen starben, Florenz wurde von einer grossen Überschwemmung getroffen und viele Kunstschätze gingen verloren. Vieles ereignete sich auch in diesem Jahr und langsam wurde die Welt immer verrückter. Während der Sommerferien war Mario wie immer im Haus seiner Tante am Meer, verbrachte viel Zeit mit Freunden am Wasser, und ging mit einer Gruppe Freunden beim nahegelegenen Kap Tauchen. Er hatte endlich auch einen Tauchanzug, damals natürlich noch einen ungefütterten- doppel-glatthaut Neoprenanzug und er genoss die Tauchgänge besonders, da er schon damals dem herrlichen Material, Gummi, verfallen war. Manchmal gingen sie auch gleich in der Nähe des Strandes, bei den Klippen tauchen um sich einen Fisch zu fangen, aber meistens waren dort nur ganz kleine Fische zu finden und sie begnügten sich halt mit Brötchen. Eines Tages kam ein blondes Mädchen auf die Klippe auf der sie meistens sassen oder lagen und fragte ob sie auch mal tauchen dürfe. Sie hiess Inge und kam aus Dänemark oder Schweden, auf jeden Fall aus der Kälte. Die Tauchgruppe war gerade vollzählig und da Mario der einzige war der einige Worte Englisch konnte war er dazu verurteilt das Palaver der Clique in wenigen Worten zusammenzufassen. Es wurde abgemacht mal erst zu sehen was sie konnte, wie sie mit den Flaschen zurechtkam und so holte man einige Sätze Ausrüstung und eine kleine Gruppe testete Inges Fähigkeiten unter Wasser. Da die Küste an einer Stelle ziemlich steil abfiel konnten sie bis zu einer Tiefe von 35 Meter tauchen, aber sie hatten für Inge keinen Tiefenmesser mehr, respektive für 6 Personen waren nur zwei da! Inge bewegte sich sehr gut unter Wasser und am Ende hatte sie auch nicht mehr Luft als die anderen verbraucht. Sie wurde aufgenommen. Am nächsten Morgen brachte sie ihren Tauchanzug, Brille, Flossen, Gewichte und was sie sonst noch hatte mit und sie verstauten alles im kleinen Keller canlı bahis şirketleri den sie als Lager brauchten. Ausserdem beschlossen sie am darauffolgenden Abend einen nächtlichen Tauchgang am Kap zu machen um, im Schein der starken Lampen die wunderbaren Farben der Korallen und anderen Pflanzen besser sehen zu können. Sie planten mit drei Booten loszufahren, zwei Leute sollten auf den Booten bleiben, denn man konnte dort wo sie hinwollten wegen der Tiefe von fast 100 Metern nicht ankern und die anderen würden tauchen gehen. Inge sagte es ihrer Mutter damit sie sich keine Sorgen mache, und am Abend war dann alles bereit. Ausser den zwei Burschen die auf den Booten bleiben sollten, waren sie plötzlich nur zu sechst da, denn einige hatten plötzlich was Besseres vor. Die Ausrüstungen waren schon in den Booten verstaut worden und so entschied man sich halt trotzdem mit drei Booten zu fahren. Unterwegs fiel plötzlich der Motor eines der boote aus, aber die Insassen sagten es sei nichts, sie würden in kürze nachkommen. Die anderen beiden Boote fuhren zur geplanten Stelle. Als nach einer guten halben Stunde das dritte Boot noch nicht auftauchte sage der Führer des anderen Bootes Mario er würde zu den anderen fahren und sie notfalls abschleppen. Mario rief ihnen zu sie würden auf der Stelle warten und dann waren Mario und Inge alleine auf dem Meer. Sie warteten eine Weile und eine leicht Brise kam auf. Inge hatte kalt und Mario sagte ihr sie solle sich doch den Tauchanzug anziehen, dann würde sie sofort wieder warm haben. Inge zog sich zuerst den BH aus, dann schlüpfte sie in die gut gepuderte Anzugsjacke die auch eine gesichtsoffene Maske hatte, dann zog sie sich den Slip aus und schlüpfte in die Hosen. Mario hatte aber auch nicht gerade warm und so zog auch er sich Anzugsjacke, Hosen, Füsslinge und gesichtsoffene Maske an, natürlich auch er ohne Badehose, aber beim Anziehen der Hose steckte er sein bestes Stück durch ein Loch in der Hose und verschloss alles mit dem Schrittlatz. Die Zeit canlı kaçak iddaa verging und von den anderen war keine Spur. Mario legte sich auf den Bretterverschlag beim Bug und kurz darauf auch Inge. Sie kamen sich nun sehr nahe und Mario fing an Inge zu streicheln, was ihr offenbar gefiel und sie liess ihn machen. Langsam wurde Mario mit seinen Streicheleinheiten dreister und begann Inges Busen zu streicheln und auch das schien ihr gut zu gefallen. Auch Inge begann nun Mario zu streicheln und mittlerweile waren Marios Streicheleinheiten mehr aufgeilend als sanft. Inge wurde langsam unruhig und begann Mario im Schritt zu streicheln und konnte seine harte Beule unter der Gummischicht gut spüren, aber auch Mario hatte schon längst eine Hand in ihrem Schritt und geilte sie auf. Dann ganz plötzlich öffnete Inge die Druckknöpfe an Marios Schrittlatz und der steife Schwanz sprang ihr regelrecht entgegen. Sie umfasste ihn und begann ihn zu massieren und Mario änderte seine Stellung und konnte die kleine Schublade unter der Sitzbank erreichen in der sein Cousin, dem ja das Boot gehörte immer eine Reserve an Kondomen hatte. Er holte eines raus und gab es Inge die das Päckchen öffnete und den Präser über seinen harten pochenden Schwanz rollte. Mittlerweile hatte Mario entdeckt dass Inges Hose geschlossen war und konnte ein Tauchmesser ergreifen. Er wollte die Hose aufschlitzen aber im ersten Moment wehrte sich Inge dagegen, als er ihr an seinem Handschuh, der noch im Boot lag, zeigte wie er es machen wollte, und sagte am nächsten Tag würde er die Hose reparieren, war sie einverstanden und liess Mario die Hose aufschlitzen. Gleich darauf steckte schon sein Finger in ihrer Lustgrotte und sie begann wollüstig zu stöhnen. Sie liess von seinem pochenden Schwanz ab und genoss die Liebkosungen des Fingers bis ihr ein Orgasmus abging und sie stöhnte als sie davon durchzogen wurde. Mario liess aber nicht locker und brachte Inge noch einige Male zum Orgasmus um dann über sie zu steigen und seinen prallen Schwanz canlı kaçak bahis in ihre Lustgrotte einzuführen und sie ganz langsam zu ficken begann. Inge erlebte einen Orgasmus nach dem anderen während Mario sein Tempo steigerte und dann als auch er soweit war bäumten sich beide auf und erlebten einen alles übertönenden Orgasmus im gleichen Augenblick. Vollkommen erschöpft blieben sie liegen und Mario streichelte Inge zärtlich, bis die Wellen der Lust abgeebbt waren. Sie kuschelten sich aneinander, streichelten sich, schmusten und verbrachten so noch eine ganze Weile bis plötzlich das Boot leicht gegen einen Felsen stiess. Er setzte sich und ruderte das Boot vom Fels weg, dann sah er auf seine Uhr und da es schon fast Mitternacht war sagte er Inge sie würden zurückfahren, die anderen würden sicher nicht mehr kommen. Sie fuhren los und als sie kurz vor der kleinen Bucht waren wo sie ihre Boote aus dem Meer holten sahen sie die anderen beiden Boote die nach Hause ruderten. Beide Motoren waren ausgefallen und so mussten sie rudern. Mario warf ihnen ein Seil zu, sie banden die beiden Boote daran und er zog sie das letzte Stück noch mit. Am Ufer verstauten sie alles im kleinen Lokal, Inge und Mario zogen ihre Tauchanzüge aus und dann gingen alle nach Hause. Am nächsten Tag stellte sich der Grund der Panne der beiden Motoren heraus. Beiden war das Benzin ausgegangen! Inge blieb noch zwei Wochen im Ort und mehrere Male hatte sie noch wunderbaren Gummisex mit Mario, meistens weit vor der Küste im kleinen Boot. Dort gab sie auch Mario ihre Adresse und den Notizblock legte er in die kleine Schublade. Mario schrieb auch Inge seine Adresse auf und sie steckte sie in den Tauchanzug als sie ihre Sachen zur Ferienwohnung schleppten. Am nächsten Morgen fuhr Inge mit ihren Eltern ab. Sie wollte einmal zu Hause, sofort Mario schreiben, aber leider wurde das Auto in der Nacht in der sie in einem Hotel übernachteten da die Reise sonst zu lang gewesen wäre, gestohlen, denn sie hatten fast alle ihre Sachen gut sichtbar drinnen gelassen. Mario war wieder voll und ganz bei seiner Clique, und als der erste Sturm, der das Ende des Sommers einläutete kam, wurde das Boot seines Cousins von einer Welle erfasst, gegen die Felsen geschleudert und zu Kleinholz geschlagen.

Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32


sex hikayeleri tuzla escort muğla escort muş escort nevşehir escort niğde escort ordu escort osmaniye escort rize escort sakarya escort samsun escort siirt escort seks hikayeleri canlı bahis izmir escort izmir escort izmir escort kuşadası escort bayan çapa escort şişli escort sex hikaye bakırköy escort şişli escort sincan escort rus escort bursa escort bayan görükle escort bursa escort bursa merkez escort bayan etlik escort eryaman escort Bahis sitesi antalya rus escort taksim escort mersin escort mecidiyeköy escort çankaya escort etiler escort bahçeşehir escort şirinevler escort escort kocaeli escort kocaeli escort görükle escort bayan Escort bayan Escort bayan bahisu.com girisbahis.com Antalya escort ankara escort kızılay escort esat escort porno porno film izle hurilerim.com bursa otele gelen escort görükle escort bayan beylikdüzü escort escort escort escort travestileri travestileri porno izle Escort ankara Ankara escort bayan Ankara rus escort Eryaman escort bayan Etlik escort bayan Ankara escort bayan Escort sincan Escort çankaya gaziantep escort gaziantep escort Escort sex izle brazzers rokettube şişli escort bursa escort bursa escort bursa escort bursa escort istanbul travesti istanbul travesti istanbul travesti ankara travesti Moda Melanj Anadolu Yakası Escort Kartal escort Kurtköy escort Maltepe escort Pendik escort Kartal escort bornova escort balçova escort mersin escort