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Le Prince de Chair Ch. 03

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Pour le prince Arlor, le pouvoir était comme un alcool fort dont l’unique contrepartie n’était pas la gueule de bois, mais la peur de ne plus en avoir. Il en connaissait chaque saveur, mais aucune ne l’intoxiquait autant que celle de soumettre une femme comme la Duchesse Caeda.

Il l’observait en silence, savourant le champ des possibles avant de le moissonner. La belle soutenait son regard de ses yeux en amande comme s’il n’était qu’un vulgaire cancrelat. Sa poitrine se soulevait rapidement alors qu’elle serrait les poings contre les pans de sa robe.

— Approchez, ordonna le prince. Que je puisse vous admirer

Les phalanges de la Duchesse blanchirent légèrement, mais elle obtempéra. L’obéissance devait lui couter, elle qui était si habituée à commander à son personnel et à son armée de flatteurs.

Elle s’arrêta à une foulée du prince. Celui-ci se tenait dans son fauteuil comme sur son trône, les jambes légèrement écartées et les mains sur les accoudoirs. La raideur dans son haut-de-chausse devait être visible depuis le sommet du volcan de la baie Acérée. Et probablement, égaler sa chaleur.

— Plus près, ajouta-t-il.

La duchesse se rapprocha jusque dans l’espace de ses cuisses. D’aussi près, il pouvait sentir la discrète odeur de lilas de son eau de toilette et remarquer les tremblements de ses épaules dénudées. Ah quelle était loin sa confiance affichée pendant le bal. Exhiber son corps n’avait plus rien d’amusant sans la certitude que ses courbes étaient hors d’atteinte.

Comme on savoure un bon vin, Arlor la détailla. Son regard s’échoua pour la millième fois dans le fossé de son décolleté. La confection de la robe donnait le sentiment qu’à chaque mouvement, un sein risquait de s’échapper des replis de soie. Mais cela n’arrivait jamais. Il avait suffisamment observé la Duchesse danser pour en être certain.

Ses mains tremblaient de l’envie de libérer sa poitrine Erzincan Escort pour la contempler directement, mais il se retint. L’aube était loin.

— Vos seins tombent légèrement. J’imagine que c’est ce qu’il en coute de ne pas porter de corsage pour exciter vos prétendants.

La remarque désobligeante fit tressaillir la jeune femme.

— Votre opinion à ce sujet ne m’intéresse pas, cracha-t-elle, les joues rosies.

— Pourtant, vous aimez être désirée n’est-ce pas? La coupe de votre robe est osée, même pour votre royaume, et je doute que votre père soit à l’origine d’un tel choix vestimentaire.

— Epargnez-moi l’hypocrisie de me faire croire que mes habits sont seuls responsables de vos petits jeux pervers. Me couvrir de pied en cap ne m’aurait pas préservée de vos attentions.

Arlor sourit de plus belle. Elle avait du répondant et visait juste. Rien, pas même le voile d’une prêtresse, ne s’immisçait entre lui et ses plaisirs. Mais, elle n’était pas totalement innocente.

— Essaieriez-vous de me faire croire que vous ne prenez pas plaisir à jouer avec le feu? Depuis que je vous ai fait part de mon intérêt à votre égard, vos robes n’ont cessé d’être plus provocantes chaque année. D’ailleurs, tournez sur vous-même. Lentement.

La ligne de la fine mâchoire de la duchesse se crispa alors qu’elle pivotait. Ce faisant, elle prenait grand soin de maintenir sa tête tournée légèrement de côté afin de garder le prince à l’œil.

Arlor n’y avait pas fait attention jusque-là, mais les courbes de ses hanches, et surtout de ses fesses, se devinaient aisément malgré les jupons. Ceux-ci s’écoulaient comme des vagues depuis la base de ses reins pour sublimer sa silhouette. Et dire qu’elle se tenait debout. Cambrée et à quatre patte, le spectacle promettait de faire rougir les Dieux eux même.

La duchesse se retrouva de nouveau face au prince.

— Penchez-vous, Erzincan Escort Bayan ordonna-t-il. Posez vos mains sur les accoudoirs et inclinez-vous au-dessus de moi.

Cette fois, son regard se détourna, mais elle obéit aux instructions. Ainsi placées, les chairs lourdes de ses seins se pressaient à quelques centimètres du visage du prince.

Il tendit les mains, mais ne toucha pas l’offrande immédiatement. La respiration de la duchesse s’était accélérée devant ce geste. Un frisson la parcourut lorsque, n’y tenant plus, Arlor palpa l’arrogante poitrine à travers le tissu. Ses seins étaient légèrement plus imposants que ses paumes et bien plus fermes qu’il ne l’avait imaginé. Autre surprise agréable, il pouvait clairement sentir la dureté de ses tétons. La Duchesse gémit légèrement lorsqu’il les pinça.

Par Oldam, la situation commençait-elle à l’exciter?

— Quel dommage de cacher ainsi des seins aussi sensibles, susurra le prince. Libérez-les de votre robe.

A ces mots, le prince relâcha la poitrine de son étreinte. La Duchesse se redressa, son regard courroucé de nouveau vissé sur lui. D’une main tremblante, elle fit glisser les pans supérieurs du fourreau de sa robe, de l’autre, elle dissimula sa lourde poitrine libérée.

La respiration du prince s’accéléra face à ce réflexe de fille bien élevée. Rien de tel pour rendre encore plus attirantes les courbes généreuses qui débordaient du barrage de son bras. Avec sa peau claire et sa chevelure qui ondulait le long de ses épaules nues, elle ressemblait à une des trois Dénayades des légendes.

— Ne vous dissimulez pas. Être ainsi admirée vous plait et je compte bien explorer chaque parcelle de votre beauté.

Lentement, comme si une main invisible tirait sur l’étau de son bras, la belle libéra sa poitrine. Les volumineux seins s’épanouirent, leurs pointes dressées fièrement.

Arlor reprit Escort Erzincan son souffle qu’il ne se souvenait pas avoir retenu. Ils s’avéraient plus imposants encore qu’il ne l’avait cru. Les mamelons d’un rose très pâle se mêlaient à la nacre de sa peau. Le prince ne résista pas à leur galbe envoutant. D’une main, il les saisit contre ses paumes pour les soulever avant de les laisser retomber naturellement. La fermeté qu’il avait sentie sous le tissu ne se démentait pas.

— Penchez-vous à nouveau.

La Duchesse se repositionna les mains contre l’accoudoir, tendue vers l’avant. Offerte.

La poire de ses seins s’étirait légèrement sous leur poids. Le prince saisit un téton entre ses doigts, l’autre entre ses lèvres. La duchesse gémit avant de crisper la mâchoire pour se retenir. Mais Arlor comptait bien entendre ses cris, aussi accentua-t-il la pression, doucement, progressivement, comme s’il domptait une bête sauvage. D’abord le pouce et l’index, puis la langue et les dents qui mordillaient la douce pointe rose.

Caeda gémit à nouveau.

— Arrêtez… vous… vous me faites mal, dit-elle sans même chercher à se reculer.

Arlor la libéra avant de gifler un sein, puis l’autre, ses paumes mordant durement les tétons. La poitrine oscilla sous les coups et arracha de nouvelles plaintes à la Duchesse.

— Regardez-moi, dit-il.

Caeda obtempéra. Son regard de braise transmit sa chaleur au corps d’Arlor tout entier.

— Ne vous avisez plus de me donner ce genre d’ordre, dit le prince.

A ces mots, il lui maltraita encore un sein, pour le simple plaisir de contempler la crispation de son visage. La marque rouge de ses doigts se devinait sur la finesse de sa chair. La duchesse entrouvrit la bouche, mais n’osa pas rétorquer.

— À genou.

Le silence flotta dans l’air un instant. Le prince put lire dans le regard de la jeune femme le conflit entre les devoirs envers sa famille et sa fierté. Mais le devoir l’emporta et elle ploya.

Ainsi soumise, sa poitrine touchait presque l’intérieur des cuisses du Prince.

— Il est grand temps de passer aux choses sérieuses Duchesse. Retirez mon haut-de-chausse. Lentement.

(Suite au chapitre 4)

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La déchéance de Juliette Ch. 07

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Traduction d’un texte de TheDarkCloud

*****

Les pieds nus de la prisonnière frappèrent lourdement sur le sol froid et carrelé alors qu’elle marchait sous l’arche inférieure et pénétrait dans le couloir qui menait à la salle de douche commune de la prison.

Cette prisonnière est, bien sûr, l’ancienne commissaire Juliette PORTIER.C’est un chemin qu’elle connaît de façon déprimante. Elle est nue, à l’exception d’un vieux collier de chien en cuir autour de son cou et une serviette grise et rugueuse sur son avant-bras droit. Elle essaya de mettre un regard confiant et dur sur son visage, comme si elle était prête à faire face à tout ce qui pouvait l’attendre à l’intérieur. Mais c’était difficile et ça devenait de plus en plus difficile à chaque jour et nuit passé injustement dans cette prison.

L’énorme et musclée gardienne Jeanne LOYALE la regarda disparaître dans le bloc des douches. Elle aurait souhaité désespérément entrer avec elle et empêcher ce qui risquait de se passer. Oui c’était elle qui avait passé le collier au cou de Juliette lors de son arrivée à la prison. Oui c’était elle qui s’était équipée d’un gode-ceinture pour sodomiser et montrer à la prisonnière rousse qui dirige la prison.

Mais au cours des trente jours environ depuis l’arrivée de Juliette, le sentiment d’injustice avait grandi dans l’esprit de la gardienne. Celle-ci méprisait le réseau d’hommes bien placés et corrompus qui avait orchestré la chute et les dégradations de l’ancienne commissaire. Maintenant Jeanne avait de la pitié pour Juliette qui devait partager sa cellule avec deux sœurs, deux prostitués noires, Yasmine et Carla. Celles-ci avaient été mises en prison par Juliette et maintenant elles se vengeaient.

Jeanne regarda avec convoitise la peau blanche crème de la prisonnière nue. Elle admira sa silhouette qu’elle avait gardée athlétique et sexy malgré les tourments que ses compagnes de cellule lui infligeaient. Sachant qu’elle se dirigeait très probablement dans un autre piège, Jeanne gifla sa main avec sa matraque et commença à suivre Juliette. Elle en avait assez, il fallait arrêter tout ça.

Mais elle ne fit même pas un pas en avant qu’une main se posa sur son épaule et l’arrêta. Elle se retourna avec colère pour maudire celui qui avait osé, mais elle s’arrêta net en reconnaissant le directeur de la prison MASSEAU.

– Attendez officier LOYALE ! Je sais que ça vous irrite, mais suivez mes conseils, ne vous impliquez pas dans cette affaire.

– Mais comment pouvez-vous laisser ces salauds vous dire quoi faire ? Je…

– Tout doux Jeanne. Parce qu’ils sont trop nombreux et trop puissants pour se les mettre à dos vous et moi. En plus, la commissaire PORTIER ne nous a jamais vraiment aidé lorsqu’elle était au faîte de son pouvoir, n’est-ce pas ? Et disons que ça ne nous regarde pas ce que font ces putes avec elle. Alors laissez tomber et suivez mes conseils, ne vous impliquez pas dans cette affaire, d’accord ?

Le directeur la conduisit loin de l’entrée du bloc des douches. Il sentit que ce n’était pas ce qu’elle voulait et qu’elle ne continuerait pas à laisser faire.

A l’intérieur du bloc sanitaire chaud et humide, Juliette découvrit qu’elle allait avoir du public pour sa douche matinale. En entrant dans la grande pièce carrée et carrelée, elle découvrit une trentaine de détenues nues qui attendaient. Tous les yeux étaient braqués sur elle. Juliette déglutit et avança pour se placer sous un pommeau de douche en attendant que l’eau tiède coule. C’est alors qu’elle vit Yasmine et Carla, leur peau d’ébène brillante d’humidité. Chacune des deux sœurs portait un gros gode ceinture noir attaché autour de leurs hanches.

– Eh bien, voilà notre salope personnelle ! Se moqua Yasmine.

Les deux sœurs s’approchèrent de Juliette.

– Tu es venue pour une douche hein ? Eh bien, nous allons nous assurer que tu transpires d’abord pour pouvoir te laver.

Les deux femmes noires étaient vraiment intimidantes en s’approchant de leur « salope ». Elles n’étaient pas très grandes, mais leurs muscles ondulaient sous la peau. Les deux avaient d’énormes seins avec de gros mamelons qui ressortaient. Yasmine avait des dreadlocks courts tandis que Carla avait une queue de cheval qui la rendait plus féminine. C’était sûrement une fausse queue qu’elle avait ajouté.

Juliette fut bien consciente de ce que l’on attendait d’elle lorsque ses deux maîtresses approchèrent. La commissaire autrefois très sévère ne pensa à rien d’autre que s’agenouiller et baisser le regard.

Quel changement par rapport à toutes ces années où elle travaillait dans la rue et prenait du plaisir à houspiller et arrêter sans ménagement les prostituées qui marchaient sur les trottoirs. Elle avait pris un plaisir particulier à arrêter ces deux sœurs noirs. Qui aurait pu penser que les circonstances feraient qu’elle deviendrait leur esclave ?

Mais le chemin qu’elle avait été forcée et contrainte de prendre, sans parler des trente jours qu’elle venait d’endurer Erzincan Escort avec les deux prostituées noires, lui avait appris et l’avait conditionné à ne pas bouleverser les choses plus qu’elles ne l’étaient déjà.

Les doigts musclés, terminés par des ongles longs de Yasmine crochetèrent l’anneau métallique à l’avant du collier portés par Juliette et hissèrent la femme blanche sur ses pieds. L’ancienne commissaire resta immobile en essayant de ne pas trembler tandis que les mains des deux sœurs tripotaient et sondaient son corps, les yeux sur le public de codétenues qui regardaient attentivement. Carla se plaça derrière Juliette et lui caressa le cul avec une tendresse que Juliette n’avait pas encore connue de leur part. Yasmine se mit face à elle et attrape sa chevelure rouge pour lui parler :

– Es-tu prête à transpirer, salope ?

Les autres prisonnières présentes étaient un groupe soigneusement sélectionné. L’une des raisons devait devenir claire un peu plus tard dans la matinée, mais l’autre était qu’elles avaient toutes d’une manière ou l’autre étaient confrontées un jour ou l’autre à l’ancienne commissaire. Peu avaient été arrêtées directement par elle, mais la plupart avaient subi la répression et la politique qu’elle avait mené au sein des forces de police. Juliette était devenue pour elles une ennemie détestée. Elles tendirent toutes le cou pour mieux voir l’action dans les douches.

Ce qui se passa, c’est que lorsque Yasmine avait attrapé les cheveux de Juliette, elle l’avait positionnée sur son gode et lorsque qu’elle avait posé sa question, elle avait enfoncé la queue en plastique dans sa chatte imberbe. Involontairement Juliette cria une première fois à cette pénétration, puis poussa un nouveau cri alors que Carla derrière elle pénétra son petit trou du cul.

Le corps de Juliette fut empalé et soulevé avec facilité alors que les deux sœurs noires la pilonnaient. La femme blanche se rendit rapidement compte qu’elle était impuissante et était devenue une simple marionnette entre ses deux compagnes de cellule.

Elle eut l’impression d’être une simple poupée de chiffon entre deux chiens enragés. Yasmine et Carla martelèrent son corps en grognant sous l’effort. Quand elles purent retrouver leur souffle, elles insultèrent leur victime de tous les noms qu’elles avaient pu trouver depuis que celle-ci était devenue leur troisième membre de cellule.

– Sale pute policière !

– Enculée de salope !

– Prends ça, grosse pute rousse !

Dans ce féroce déchaînement, Carla se pencha doucement en arrière jusqu’à ce qu’elle soit assise sur le carrelage mouillé et que Juliette soit assise sur son gode qu’elle continuait à faire entrer et sortir du cul douloureux. Les deux godes jumeaux étaient de gros morceau de plastique noir moulé, de trente centimètres de longueur, veinés et épais pour ressembler à des bites. Ils étiraient les trous de l’ancienne policière au maximum. La nouvelle position trouvée permit à Carla et Yasmine de pousser plus profondément dans Juliette qui commença à transpirer sous la douleur.

Pour sa part, celle-ci n’offrit aucune résistance et aucune plainte. Elle avait depuis longtemps compris et accepté à contrecœur sa place dans la vie maintenant. D’une femme puissante, elle était aujourd’hui encore moins importante que de la terre sur des chaussures de jardinier, rien de plus important qu’un jouet pour ceux et celle qui s’étaient ligués contre elle.

Les deux sœurs continuèrent à la baiser sur le plancher des douches pendant quelques minutes sous les cris et les hués des autres prisonnières qui les entouraient. Puis, sur un signe de tête de Yasmine, elles retirèrent simultanément leurs godes en les laissant enterrés dans les trous de Juliette et elles lui présentèrent leurs chattes humides devant sa bouche.

– Mange-nous salope ! Lèche salope ! Lèche le jus de nos chattes ! C’est tout ce que tu es maintenant, une pute pour nous.

Ces mots étaient vicieux, mais ils ne dissuadèrent pas Juliette d’obéir. Elle savait ce qu’elles voulaient et elle savait que de ne pas le faire serait pire que cette humiliation. Alors elle rampa et se mit au travail sur les deux sexes. Et elles mouillaient ! Les deux sœurs noires étaient vindicatives et elles étaient prêtes à jouir de ce sentiment de pouvoir. Jouir sur le visage de Juliette ne serait que la cerise sur le gâteau.

Contrairement à celle de Juliette, leurs chattes n’étaient pas bien entretenues ? En fait c’était deux buissons velus et sombres. La langue de Juliette devait traverser les poils raides pour atteindre la chatte trempée et aigre de Yasmine et la laper comme une chienne obéissante. Pour sa part, la prostituée noire prit la tête de sa victime et la tint contre son entrejambe. Elle frotta grossièrement sa chatte de haut en bas sur la langue et le visage de Juliette jusqu’à ce qu’elle, quelques secondes plus tard, eut un orgasme et qu’un liquide chaud coula sur le visage surpris de la femme blanche.

Carla fit Erzincan Escort Bayan de même. Quelques instants plus tard, alors que Juliette se laissait tomber sur le dos, la figure recouverte du jus des deux femmes, Yasmine lui expliqua la dernière partie de son humiliation de ce matin.

– Reste allongée, salope ! Et ne bouge pas, tu es très bien comme ça. On dirait que tu as bien transpiré. Je crois que tu a besoin de ta douche. Les filles, venez ici !

Quatre prisonnières sélectionnées dans les spectateurs s’avancèrent.

– Voilà, ces femmes n’ont pas été choisies seulement pour assister au spectacle ou pour participer à cause de leur haine pour toi ou les forces de police que tu représentes, mais aussi parce qu’elles ont de belles vessies bien pleines.

Juliette écouta et digéra ces mots en comprenant pourquoi les quatre femmes l’entouraient. Elle se prépara, ferma les yeux et pinça ses lèvres. Mais ça devait se passer autrement.

– Non ! Tes maîtresses veulent que tu sois une chienne ! Alors obéis et garde bien les yeux et la bouche ouverte !

Son conditionnement prit le dessus et Juliette obéit aux deux femmes immédiatement au moment où les quatre autres prisonnières commencèrent à perdre le contrôle de leur vessie. Les jets d’urine fusèrent. Carla et Yasmine reculèrent alors que la douche « dorée » que Juliette devait recevoir commença. Elles encouragèrent leurs amies.

– C’est ça les filles, lavez toute sa sueur ! Et ne t’inquiète pas chienne, si elles n’y arrivent pas, il y a une quarantaine de femmes ici prêtes à te doucher !

***

Bien que le directeur l’eut distraite un peu plus tôt, Jeanne s’assura d’être là pour assister à la sortie honteuse de Juliette du bloc de douches. A la puanteur et à la vision de l’humidité jaune la recouvrant, elle comprit que ces salopes ne lui avaient pas permis de se doucher correctement.Elle grogna et fulmina. Elle essaya de se convaincre qu’elle était en colère parce que ça se passait dans sa prison, mais elle n’y arriva pas. Si cela arrivait à d’autres prisonnières, elle ne serait pas autant gênée.

Jusque-là, elle avait autorisé Yasmine et Carla à se venger. Jeanne, malgré sa force physique et la position qu’elle occupe au sein de l’établissement, n’était pas la plus intelligente des employés. Sinon elle aurait pu être plus maline dans ses pensées et élaborer un plan beaucoup plus rusé que celui qu’elle décida. Pour sa défense, elle voulait envoyer un message direct aux deux sœurs afin de leur montrer qu’elles n’étaient pas les seules à pourvoir imposer une domination sexuelle. Jeanne, n’étant pas du genre à tout laisser faire décida d’agir le soir-même après le verrouillage de toutes les cellules. Et c’est ce qu’elle fit.

Elle recruta deux des gardes masculins les moins soucieux de la loi. Elle les choisit pour son plan de cette nuit, car ils étaient deux salauds misogynes, sadique et méchants. Comme on peut l’imaginer à partir des descriptions précédentes, Jeanne n’était pas non plus un ange. Elle avait l’habitude de traiter les nouvelles arrivantes en les sodomisant comme elle l’avait fait avec Juliette dans le bureau du directeur. De toute façon, toute détenue qui défiait ses règles de fer était remise à sa place de façon brusque.

Cette nuit-là, immédiatement après la fermeture des cellules, Jeanne et ses deux collègues se sont présentés devant la cellule des trois femmes et ont sorti Juliette, ceci au grand dépit des deux sœurs noires qui avaient prévu une autre soirée d’abus et d’humiliations. Jeanne ne dit rien et se contenta d’emmener l’ancienne policière confuse. Elle la laissa enfermée dans une cellule vide avant de retourner retrouver les deux prostituées. En voyant le trio de garde qui tapotait leurs matraques, Yasmine et Carla changèrent de comportement. Elles n’étaient plus les putes arrogantes et confiantes qu’elles avaient été durant tout le mois. Elles avaient pu avoir de puissants appuis pour être transférées dans cette prison, mais pour l’instant ils leur étaient peu utile.

– Bien, vous, les deux salopes noires, à plat ventre sur votre lit, les mains dans le dos !

Ce n’était pas le type de ton qui invitait à questionner. Surtout que les gardes masculins souriaient pour les inviter presque à se plaindre. Yasmine et Carla obéirent immédiatement à l’injonction. Elles avaient peur de ce qu’ils pouvaient leur faire si elles désobéissaient. Bientôt les deux gardes furent à l’intérieur et leur attachaient des menottes dans le dos sans que les deux sœurs ne puissent dire quelque chose. Bien sûr, il était trop tard.

Jeanne demanda alors aux deux hommes de sortir de la cellule, à la déception évidente de ceux-ci qui voulaient s’amuser avec les deux salopes. Mais leur envie fut réfrénée par la réputation intimidante de la grande gardienne. Ils savaient qu’il valait mieux ne pas se mettre dans son chemin.

Jeanne avança entre les deux lits (Juliette était obligée de dormir en général sur le sol en pierre froid). Escort Erzincan Elle était impressionnante. Vêtue de son manteau en cuir brillant, des bottes et des gants en cuir réglementaires, les cheveux noirs et raides, elle représentait le pire cauchemar des sœurs à ce moment-là. Jeanne s’accroupit entre elle et saisit leurs deux têtes pour les forcer à tourner et à la regarder. Bien que ses lèvres rouge foncé se mettent à sourire, il s’agissait d’un sourire froid, sans cœur, qui n’indiquait rien de bon du tout.

– Je crois que vous, les deux salope, avez raté mon initiation spéciale pour les nouveaux prisonniers, alors j’ai pensé que je ferais mieux de vous initier correctement à la vie d’ici.

– Non ! Attends espèce d’idiote ! Ce n’est pas bien, nous sommes là parce que…

Yasmine ne put continuer à parler, car une paire de culotte rose à volants de Jeanne (malgré sa rudesse extérieure elle adorait les culottes à froufrous) fut poussée dans sa bouche pour étouffer ses protestations.

– Maintenant, vous allez apprendre les règles de la prison ! Je vais vous dire comment ça se passe, salopes. Vous faites ce que nous vous disons et vous vous taisez, d’accord ? On va un peu s’amuser à vos dépens afin de vous montrer comment souffre votre petite salope blanche.

Les deux sœurs froncèrent les sourcils aux mots de la grande gardienne. Elles ne pouvaient pas discuter, elles étaient menottées et impuissantes. Il ne leur restait plus qu’à hocher la tête et à se préparer à découvrir ce que c’était d’être du côté de la victime pour une fois.

– Bien les gars ! Pourquoi ne reviendriez-vous pas ici pour faire connaître aux deux sœurs la joie de la bite. Je parie que depuis qu’elles sont enfermées elles ont oublié ce que c’est d’avoir une grosse bite blanche dans le cul.

Les deux gardes étaient plus que prêts. Alors que Jeanne reculait vers la porte coulissante à barreaux de la cellule pour diriger et regarder l’action, ils grimpèrent sur les lit, à cheval sur l’arrière des cuisses des deux putes. Alors que Jeanne expliquait les règles de la vie dans la prison, ils avaient développé déjà des érections majeurs. C’était le genre de scénario qui leur plaisait.

Deux mouvements rapides sur la fermeture de leur braguette et deux queues épaisse et bien dures furent à l’air libre et avancèrent vers leur cible. Les pantalons des prisonnières ne furent pas bien durs à baisser sur leurs chevilles avant d’être complètement enlevés. Les deux sœurs savaient qu’elles étaient baisées (ou sur le point de l’être!). Avec leurs mains attachées dans le dos, elles ne pouvaient que rester allongées et attendre la pénétration.

Bien sûr Yasmine et Carla étaient en colère. C’était des putes à l’extérieur, mais elles étaient habituées à tout contrôler, à commander. En plus on leur avait promis une protection pour punir cette garce d’ancienne commissaire. Où était cette protection maintenant ?

Cela n’avait plus d’importance. Les deux hommes écartèrent leurs fesses et insérèrent violemment et profondément leurs bites dans leurs trous du cul. Alors que les hommes les enculaient brutalement, les deux femmes noires fermèrent les yeux pour essayer d’oublier ce qui se passait. Elles ne virent pas Jeanne passer entre les lits avec juste le gode en plastique le plus gros, le plus long et le plus épais entre ses jambes. Oui, elle allait profiter de cette nuit et ces chiennes allaient le sentir passer.

Seule dans sa cellule, Juliette profita au maximum de cette solitude. Elle n’en avait jamais eu beaucoup depuis son arrivée en prison. Elle ne se demanda même pas pourquoi l’imposante gardienne l’avait retiré de sa cellule où elle était tourmentée. Elle s’en fichait du moment que ça lui donnait le repos dont elle avait besoin. Et plutôt que de cogiter, elle s’allongea sur une couchette et elle se reposa. Elle était sûre que jusqu’à la réouverture de la porte, personne n’abuserait de son corps épuisé. Depuis qu’elle avait pénétré la cellule où se trouvaient les deux sœurs son existence était tout simplement misérable. Les hommes du complot contre elle avaient donné presque carte blanche aux deux prostituées pour briser l’ancienne policière.

Et peut-être qu’elles y étaient arrivées, car elle n’était plus qu’une esclave obéissante maintenant. Il y a seulement quelques mois, Juliette était une femme ambitieuse (peut-être trop), concentrée sur sa réussite et sur le chemin du sommet. Et maintenant ?

Maintenant, dans les bons jours, elle n’est guère plus qu’une chienne blanche soumise à ses deux maîtresses noires sadiques.

Juliette fut réveillée dans son demi-sommeil par la porte de la cellule qui s’ouvrit. Instantanément elle fut éveillée et alerte, fixant l’entrée sombre et se préparant à quoi que ce soit ou à qui pouvait venir. Elle avait pu se reposer, mais elle savait que ça ne durerait pas. Quand elle leva ses grands yeux tristes, ce fut pour voit la grande et imposante silhouette de la gardienne LOYALE. Elle entra dans la cellule, habillée de la tête aux pieds dans sa sinistre tenue noire avec toujours un énorme gode-ceinture attaché autour de la taille. Juliette frissonna à cette vue.

Mais Jeanne ferma la porte et se dirigea vers Juliette en détachant le gode et en le laissant tomber par terre. Juliette la regarda interrogative.

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Le Club – Partie 09

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Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe de 4 hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d’écraser toute la région sous leurs bottes. Afin de sceller leur alliance, ils décident d’asservir des jeunes femmes de différents milieux dont le seul défaut semble être d’avoir croisé leur chemin.

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d’affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l’élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l’homme politique le plus influent de toute la région. C’est surtout le produit d’une éducation chrétienne stricte qui l’a frustrée pendant toute sa vie et dont il s’est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c’est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services.

Guillaume Uron, 29 ans, c’est un riche héritier aux tendances psychopathes.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c’est la femme d’un notable reconnu qui s’est compromis dans de sales affaires d’escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d’Angel qui s’est emparé de tous ses biens et s’est installé chez elle, la transformant en esclave.

Laura Blenon, 18 ans, c’est la fille d’Amandine et elle est devenue l’esclave d’Angel pour les même raisons que sa mère.

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d’hébergement pour sans abri, victime d’un chantage de la part d’Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Madeleine Bonnet, 18 ans, lycéenne, jeune fille manipulée de manière odieuse par son petit ami Jérôme, un voyou à la petite semaine, elle est devenu l’esclave sexuelle du juge de Saint Servier.

Sarah Bonnet, 17 ans et demi, lycéenne, elle est la jeune sœur de Madeleine et la dernière cible du juge. Comme pour sa sœur, elle a été manipulée par Jérôme pour devenir l’esclave du juge mais ce dernier s’est aussi servi d’elle pour éliminer le jeune homme qui devenait trop indépendant.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Θ

Delphine avait du mal à réfléchir dans l’ambiance enfumée du club. Elle avait pourtant l’habitude d’évoluer dans ce lieu où se retrouvaient les joueurs invétérés. Mais ce soir tout elle se sentait différente : elle jouait avec des gros parieurs. Pourtant, après avoir perdu une petite fortune au cours des mois précédents, elle s’était juré de ne plus se risquer à ces jeux dangereux mais l’invitation inattendue à la table des joueurs privilégiés était une chose que l’on ne pouvait refuser. La plupart des clients de ce club passeraient toute leur vie à admirer les parties endiablées que se livraient ces flambeurs magnifiques sans jamais pouvoir s’assoir à leurs côtés ne serait que le temps d’une seule manche. Il fallait être soit très connu soit être recommandé par un autre joueur privilégié pour être admis parmi eux. Malheureusement cet honneur avait une contrepartie et non des moindres, il fallait pouvoir s’aligner. Les mises étaient tout simplement astronomique même pour elle qui était pourtant responsable de service à la mairie de Lilleland.

Ils jouaient au poker fermé mais avec des mises à chaque tour qui équivalaient à son salaire mensuel. Jusqu’à présent elle ne s’en était pas trop mal sortie puisqu’elle avait réussi à remporter plus du double de la somme qu’elle avait amené au départ mais la partie qu’elle était en train de jouer tournait à la folie. Elle avait tiré une paire d’as et en changeant deux cartes, elle s’était tout simplement retrouvée avec un carré. Elle ne comptait bien entendu pas lâcher prise avec un tel jeu. Sauf qu’en face l’un des joueurs ne voulait pas renoncer non plus. Il s’agissait d’un homme d’une quarantaine d’année de type hispanique à la carrure imposante et grand amateur de cigare. Depuis le début de la partie, il n’avait cessé de faire monter les enchères à chaque coup et de cette manière, il avait perdu des sommes considérables mais il semblait bénéficier de fonds inépuisables car personne ne lui faisait de remarques alors qu’il demandait sans cesse de nouveaux jetons. Cette fois, c’était à elle qu’il s’opposait.

-Dernière enchère, annonça le croupier.

Moment fatidique. La somme posée était conséquente. L’hispanique suait sous l’effet de la tension mais il sourit et poussa alors tous ses jetons vers le milieu de la table.

-Tapis! Lança — t — il comme un défi.

-Impossible! répondit Delphine. C’est beaucoup trop!

-Et alors, c’est une partie sans plafond, lui rétorqua l’hispanique. Si vous n’aviez pas les épaules suffisamment larges pour suivre toutes les enchères, il ne fallait pas vous assoir à cette table.

Delphine se tourna vers le croupier mais celui-ci resta totalement silencieux, donnant ainsi raison à son adversaire. Elle se sentit prise de nausées. Elle ne pouvait pas Erzincan Escort le croire ; elle allait perdre alors qu’elle possédait un jeu magnifique presque imbattable.

-Je vous signe une reconnaissance de dette, proposa — t — elle.

L’hispanique hésita. Visiblement, il n’avait pas prévu ça.

-C’est une somme importante et je ne vous connais pas.

-Je suis une haute fonctionnaire et monsieur Paris peut témoigner que j’ai toujours honoré mes dettes.

Le directeur du club qui suivait la partie avec attention comme toujours, s’approcha.

-Je confirme les dires de mademoiselle Rugol et la coutume vous oblige à accepter sa proposition.

L’hispanique s’empourpra de colère mais il fit un geste désinvolte pour signifier qu’il acceptait. On tendit un papier et un stylo à Delphine et elle rédigea à toute vitesse la reconnaissance de dette. La somme concernée lui donna des bouffées de chaleur. Elle se rassura en se disant qu’elle ne risquait rien avec son carré d’as et que son adversaire était un flambeur.

-Montrez vos jeux, ordonna le croupier.

Delphine s’exécuta en première, fière de son carré d’as. La petite foule qui suivait la partie poussa des petits cris d’acclamations et elle se sentit libérée d’un poids. Puis l’hispanique posa son jeu et son monde s’écroula.

-Quinte flush, annonça le croupier.

Delphine regardait la suite de Valet – 10 — 9 — 8 — 7 de cœur posée à moins d’un mètre d’elle et qui signifiait qu’elle venait de s’endetter pour plusieurs années de salaire. L’hispanique ramassa les jetons et ne se priva pas de glisser la reconnaissance de dette dans sa poche. Delphine quitta la partie sans un mot, sous le choc. Elle se posa au bar, prostrée. Elle fut tirée de ses noires pensées par l’odeur acre d’un cigare.

-C’est une somme énorme que vous me devez désormais mademoiselle Rugol, annonça l’hispanique en s’asseyant à côté d’elle.

-Je vous rembourserais jusqu’au dernier centime, promit — elle tout en savant qu’elle n’en aurait jamais les moyens.

-Mais je n’en doute pas une seconde mais nous pouvons négocier des modalités. Je vous propose d’en parler tranquillement autour d’un verre, demain. Je suis le propriétaire d’un petit bar que je suis en train de rénover, ce sera l’endroit idéal. Qu’en dîtes — vous?

-Ce sera très bien, accepta Delphine qui de toute façon savait qu’elle ne devait pas froisser cet homme. J’y serais, monsieur… monsieur?

-Diaz. Guillermo Diaz.

Θ

Le bar de Guillermo Diaz n’était pas facile à trouver. Il se trouvait dans une ruelle étroite du quartier historique. Quand il lui avait donné l’adresse, Delphine l’avait localisé par erreur au cœur des quartiers rénovés. Il s’agissait de ces anciens quartiers mal famés de Lilleland que les habitants appelaient naguère « la cour des miracles » et qu’un vaste projet immobilier avait totalement réhabilité voici une dizaine d’années. Delphine n’avait jamais vraiment connu cette « cour des miracles » ; elle n’avait que 16 ans quand elle avait disparue sans laisser de regrets mais elle s’était dit qu’un homme comme Diaz ne pouvait qu’avoir acheté l’un des bars à la mode qui pullulaient dans les quartiers chics qui l’avaient remplacée et où il lui arrivait de traîner. Elle se trompait.

Le « Fundo » se trouvait dans une rue adjacente qui avait gardé le caractère insalubre de l’époque précédente. Il était situé dans une impasse et sa porte s’enfonçait dans un sous — bassement. Vraiment, si elle n’avait pas su que ce bar existait, elle ne l’aurait jamais trouvé.

Le bar était fermé. Ce qui n’était pas surprenant puisque Diaz lui avait dit qu’il était en rénovation. Elle tapa et une un homme chauve et barbu au visage désagréable lui ouvrit. Elle recula devant cet homme à la mine peu avenante.

-J’ai rendez — vous avec monsieur Diaz.

-Oui, répondit l’homme en dévoilant un sourire malsain. Il vous attend.

Elle suivit cet homme d’assez petite taille et assez gros portant un tablier de cuisinier. Le bar était assez grand. Il y avait une vingtaine de tables organisées en ovale autour d’une petite scène. Dans le fond se trouvait un comptoir en chêne où une jeune serveuse rangeait des bouteilles. Elle portait une belle tunique mauve mais ce qui surprit Delphine fut son expression qu’elle trouva affreusement triste.

Diaz était assis à l’une des tables. Il se leva en la voyant et vint l’accueillir en lui serrant la main. Dans cette atmosphère moins enfumée, elle put mieux le détailler. Il avait bien la quarantaine et il lui parut moins gros qu’elle l’aurait cru. En réalité, il était plutôt costaud. Il n’était cependant pas séduisant, sa peau était tannée comme celle des hommes qui avait longtemps dû travailler dans des emplois subalternes ce qui ne cadrait pas avec son mode de vie actuel.

-Asseyons — nous donc, lui proposa — t — il. Vous prendrez quelque chose?

-Un verre de vin?

-Très bien.

Il se tourna vers le comptoir.

-Muriel! Un verre de bordeaux pour la demoiselle et pour moi comme d’habitude.

Delphine Erzincan Escort Bayan eut immédiatement un sentiment étrange dans cet endroit mais elle voulut rester concentrée sur son objectif : obtenir les meilleures conditions possibles pour le remboursement de sa dette colossale.

-Je sais que je vous dois une somme d’argent importante, reconnut — elle, mais je peux vous la rembourser. Comme vous le savez je suis responsable de secteur à la mairie et donc je gagne bien ma vie.

-Mais pas suffisamment, la doucha Diaz. Pas suffisamment. Vous ne gagnez même pas le dixième de ce que vous devriez gagner pour espérer pouvoir me rembourser un jour. En fait, même si je faisais saisir la totalité de vos biens, je pense que ne rentrerais pas dans le quart de mes frais. Certains diraient que j’ai fais une bien mauvaise affaire mais nous savons tous les deux que je ne fais jamais de mauvaises affaires.

Elle serra les dents. Elle s’était renseignée sur lui et il avait la réputation d’être un véritable requin.

-Alors que proposez — vous? abandonna — t — elle, consciente qu’il devait avoir une idée bien précise de ce qu’il attendait d’elle.

Elle imaginait qu’il comptait peut être sur elle pour faire pression sur le maire afin qu’il soutienne certain de ses projets. Dans ce cas, il faisait fausse route car elle n’était pas assez influente dans la hiérarchie tentaculaire municipale pour cela. Elle dirigeait le secteur comptabilité et commandait une vingtaine de personnes dont la plupart devaient avoir plus de quinze ans de plus qu’elle mais elle restait un rouage bien secondaire de l’immense machine de la mairie de Lilleland.

-Comme vous le voyez cet endroit est sur le point d’ouvrir, expliqua Diaz. C’est un petit bar sans prétention mais sur lequel je compte énormément.

-Il est très joli, complimenta Delphine qui tentait de satisfaire cet homme pour se sortir de cette mauvaise passe.

-Cependant je manque encore de personnel. Pour attirer une clientèle très sélect, je veux notamment des serveuses que grande qualité, pas les habituelles idiotes que l’on rencontre dans les autres établissements. Alors voilà ce que je vous propose, vous pourriez travailler ici pour rembourser votre dette.

-Vous… vous voudriez que j’abandonne mon emploi à la mairie pour devenir une simple serveuse?

-Je ne suis pas aussi déphasé voyons. Je vous propose de travailler ici en plus de votre emploi. La paye serait en conséquence et vous permettrait de rembourser en quelques années.

-Quelques années… C’est une blagues… la paye d’une serveuse n’est pas aussi…

-C’est qu’il ne s’agit pas d’un bar comme les autres. Muriel!

A ce moment, il claqua des doigts et la jeune fille qui se trouvait au bar accourut à son appel. A sa grande horreur, Delphine put détailler sa tenue alors que jusqu’alors elle n’avait vu que le veston de sa tunique. En réalité, elle ne portait que ça et des petits escarpins noirs. Elle était totalement nue en dessous de la taille. Elle portait un plateau avec leur commande qu’elle déposa sur la table en se cambrant en avant dévoilant à Diaz ses parties intimes. Ce dernier en profita alors pour plonger ses doigts dans son entrejambe et commencer à lui triturer le clitoris. Delphine vit la jeune fille se mordre les lèvres. Le plateau trembla et la moitié de son verre de vin se renversa. Elle posa rapidement le verre sur la table et se redressa, la main de Diaz toujours figée dans son intimité.

-Vous voyez, il y avait des bars topless, expliqua Diaz, moi j’ai inventé le bar cul nu. Mes serveuses se baladeront entre les tables vêtues de cette façon, les clients pourront y mettre les mains… mais rien de plus.

Delphine restait terrassée devant ce spectacle affligeant.

-Vous voudriez que je… Que moi, je me laisse tripoter de cette façon?

-Pourquoi pas. Vous croyez que Muriel était volontaire pour faire cela? En réalité, elle aussi rembourse une dette. Le plus ironique est que ce n’est pas la sienne mais celle de sa famille. Son père est un homme d’affaire qui n’est malheureusement pas aussi doué que moi. Il me devait des sommes énormes. Je lui ai mis le marché entre les mains, soit je lui prenais tout et j’envoyais toute sa famille à la soupe populaire soit il me donnait sa fille aînée. Devinez l’option qu’il a choisie.

Delphine regarda la jeune fille, elle devait avoir dans les 20 ans. Elle n’était pas très grande et avait des cheveux châtains foncé mi longs. Avec cette tenue dont le haut évoquait les majorettes et toutes ses parties intimes exposées à la vue de tous, elle faisait affreusement obscène. Delphine eut envie de vomir. Diaz retira sa main du vagin de la jeune fille qui prit cela comme un signal pour s’échapper. Alors qu’elle s’éloignait, il se pencha vers Delphine.

-Le meilleur est que le père de notre jeune ami a recommencé ses bêtises et qu’il me doit à nouveau une belle somme d’argent. Heureusement pour lui, il possède une seconde fille à peine plus jeune.

Ce fut la goutte d’eau qui fit déborder Escort Erzincan le vase pour Delphine.

-Vous n’imaginez pas une seconde que je m’abaisserais à cela, hurla — t — elle en se levant. Si vous voulez me ruiner, vous n’avez qu’à le faire mais je ne deviendrais jamais votre pute dans cet endroit sordide.

Alors qu’elle voulait quitter sa place, il la rattrapa par le poignet.

-Je le ferais si vous y tenez mais dans ce cas, je serais aussi à parler de la manière dont tu as remboursé ta dette précédente.

Le cœur de Delphine s’arrêta de battre et elle se figea. Diaz sourit en voyant sa réaction, il savait qu’il avait visé juste.

-Comme tu dois le savoir, je suis spécialisé dans tous les services. Je possède notamment un cabinet d’audit comptable et l’un de mes clients importants est la mairie de Lilleland. Il y a quelques mois, ce sont eux qui ont réalisé l’expertise des comptes de la mairie à la demande express du maire qui voulait savoir si sa gestion ne risquait pas d’être trop critiquée à quelques mois des élections. Ils ont relevé des irrégularités mais l’une d’entre elles m’a tout particulièrement intéressé puisqu’il ne s’agissait pas d’une erreur mais bel et bien de détournements de fonds. Ils avaient tellement habilement dissimulé que cela nous a facilité le travail pour retrouver le coupable : la responsable du secteur de comptabilité, la seule à avoir entre les mains tous les documents nécessaires en dehors du maire lui-même bien — sûr mais lui il n’a pas un gros problème de jeu et des mouvements de fonds suspects sur ses comptes. J’ai ordonné le silence sur cette malencontreuse découverte ; tu comprends pourquoi.

Ce fut comme un déclic. Delphine comprit alors qu’il l’avait piégée. L’invitation à la table des privilégiés venait de lui et il avait tout fait pour l’inciter à parier plus qu’elle ne le devait pour l’amener en ce lieu. Elle était comme une souris dans une cage et il était le chat.

-Je pense que tu as compris maintenant, rajouta — t — il devant son silence persistant. Ce n’est pas à la rue que je vais t’envoyer si tu refuses ma proposition mais en prison. Crois — moi notre ami le maire Andretti est en grande difficulté dans les sondages et il aurait bien besoin d’un bouc émissaire pour justifier sa gestion calamiteuse. Je suis sûr que tu vas aimer vivre entre quatre murs et puis ce ne sera pas longs seulement 5 ans, 6 maxi. Et bien sûr, la réputation de ta mère risque d’en pâtir grandement. Si je ne m’abuse, c’est une haute responsable au ministère et c’est en grande partie grâce à elle que tu as obtenu ce poste.

Il savait tout sur elle. Elle se rassit, consciente qu’elle n’avait plus le choix que de se plier à la volonté de cet homme. Le bruit d’une claque la tira de ses pensées et elle porta son regard vers le comptoir. L’homme gras qui lui avait ouvert était en train de tancer vertement la serveuse.

-Mais c’est pas vrai! criait — il sans se soucier du fait qu’on pouvait s’offusquer de son ton. Tu as encore renversé la commande!!! Quand vas — tu arriver à remplir correctement ton rôle? Nettoie!!

Sans essayer de se défendre, la jeune fille baissait les yeux. Elle prit alors une petite éponge et entreprit de nettoyer son plateau qu’elle avait posé sur le comptoir. Pour se faire, elle se pencha en avant. En même temps, Delphine, effarée, vit l’homme gras défaire le nœud de son pantalon pour en sortir sa queue en pleine érection. Sans autre forme de procès, il embrocha la pauvre fille jusqu’à la garde. Elle s’agrippa des deux mains aux rebords du comptoir pour résister au remous que l’homme lui imposait. Delphine la vit se mordre les lèvres et retenir des larmes alors que cet homme obscène qui devait avoir au moins 20 ans de plus qu’elle était en train de la prendre sans vergogne.

-Je vais t’apprendre à servir les consommations, moi! répétait — il au rythme de ses coups de boutoir.

Delphine détourna les yeux de ce spectacle qui l’horrifiait mais ce fut pour tomber sur la mine réjouie de Diaz.

-Ah! Il est de plus en plus difficile de trouver du petit personnel de qualité, lança — t — il. Heureusement Humberto est un excellent professeur et Muriel est entre de bonnes mains.

Delphine avait l’impression de se retrouver plongée en plein cauchemar. Elle voulait se persuader qu’elle allait se réveiller rapidement en se disant qu’elle avait imaginé tout cela.

-J’ouvre le bar dans une semaine, je veux que tu sois prête pour cette soirée!

Ce n’était pas un rêve mais bel et bien la réalité et elle allait devoir l’affronter.

Θ

Une semaine plus tard, ce fut à reculons que Delphine reprit le chemin du « Fundo ». Quand elle arriva, elle trouva la porte entrouverte et décida d’entrer. La salle était vide : aucune trace du maître des lieux ni de client. Il fallait dire qu’il était à peine 17h et qu’il restait encore trois heures avant l’ouverture de l’établissement. Cependant, se retrouver ainsi seule dans cet endroit renforça encore le malaise ressenti par la jeune femme.

Finalement, Humberto, le gros cuisinier apparut, ouvrant une porte latérale qu’elle n’avait pas remarquée. Il referma la porte en réarrangeant sa chemise dans son pantalon. Delphine détesta l’expression extatique qu’elle lut sur son visage. Il la dévisagea une seconde comme s’il ne comprenait pas ce qu’elle faisait là.

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Isabelle

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Shemale

Il fait très chaud en ce début du mois de juillet. Isabelle a décidé d’attendre la fin de l’après midi pour aller faire ses courses à l’hypermarché le plus proche de chez elle.

Elle est une femme au foyer épanouie, épouse d’un cadre d’une grande entreprise des télécoms, et mère de deux enfants.

En ce début de vacances, les enfants sont partis pour un mois chez leurs grands parents dans le sud. Son mari, Philippe, est très impliqué dans un projet stratégique pour sa boite, il part tôt et rentre tard, ce qui laisse à Isabelle beaucoup de temps pour elle.

Pour aller faire les courses, Isabelle s’habille simplement et légérement, pour supporter la chaleur : un débardeur, un short et des baskets.

Elle prend quand même soin de mettre un soutien gorge pour son 95E et une culotte très sage. A 35 ans, elle est encore une très belle femme, aidée en cela par des séances en salle de sport et une pratique la plus assidue possible du jogging.

En plus de ses seins, elle a conservé un fessier ferme comme à ses 20 ans : son mari la complimente assez souvent à ce sujet pour qu’elle en tire fierté!

10 minutes de trajet et la voilà rentrée dans la galerie marchande de l’Hypermarché de sa ville. Isabelle a une liste de courses assez longue-il faut dire que le frigo est presque vide- et elle voudrait en profiter pour flâner dans la galerie commerciale.

« Allez ma fille, au travail! » se dit elle « ces courses en vont pas se faire toutes seules! »

Dans la galerie, Isabelle n’a même pas prété attention au groupe de six beurs glandant sur deux bancs prés des portes coulissantes. Des petits glandeurs des cités voisines, 20 ans à peine. Mais ces jeunes sont à l’affut et l’arrivée d’Isabelle n’est pas passée inaperçue par eux :

– « Karim, téma la meuf! » dit l’un d’eux

– « Sa mèèère, comme elle est bonne! Regarde moi ce cul! » dit un autre.

– « et les nibs? Vous avez vu la paire qu’elle se trimbale? » reprit un troisième.

— « Putain, j’y mettrais bien mon os à moelle » reprit le premier

Sans même se concerter les six jeunes se levèrent et se mirent à suivre discrètement Isabelle à travers l’Hypermarché, tant pour admirer sa plastique que pour voir si il n’y avait pas une ouverture….

Mais Isabelle était trop absorbée par sa liste de courses pour remarquer la manège de la petite bande.

Une demi heure plus tard, Isabelle passait aux caisses.

Les jeunes se rassemblèrent dans la galerie pour attendre leur proie.

« Qu’est ce qu’on fait? » demanda l’un d’eux à Karim, le meneur.

« Putain, cette salope m’a mis une trique d’enfer, il faut qu’on se la saute! » renchérit un autre.

« On pourrait la suivre jusque chez elle, on rentre, on l’attache et on la baise à mort! » proposa un autre

« Ah ouais? Et si son mari est là? Ou ses gosses? Ou si on nous voit entrer et qu’un voisin appelle les keufs? Tu veux vraiment aller en taule toi! » gronda Karim « Faut être plus malins que ça! »

Pendant que le petit groupe réfléchissait au mauvais sort qu’il réservait à Isabelle, celle ci avait fini de payer et flânait dans la galerie marchande en regardant les vitrines des magasins de vêtements ou de chaussures.

Les beurs la suivaient à distance, avec Karim ruminant son plan.

Quand Isabelle se mit en chemin vers la sortie du centre commercial, suivie des jeunes, Karim avait muri son plan :

– « Abdel, va chercher ton fourgon en vitesse, tu vas te mettre derrière sa voiture pour la bloquer. Tu fais semblant de téléphoner. Les autres, vous me suivez. On la laisse mettre ses affaires dans la voiture et ranger son caddie, on passe à l’action quand elle arrive à sa caisse. Erzincan Escort Action! »

Inconsciente du danger, Isabelle arriva à sa voiture, rangea ses courses dans le coffre puis se dirigea vers l’abri à caddie. En revenant, elle vit un fourgon arrété devant sa voiture, un type téléphonant à son bord. Elle se disposait à aller lui demander de bouger pour qu’elle puisse sortir quand elle vit surgir de nulle part des jeunes qui la ceinturèrent. Deux lui bloquèrent les poignets, deux autres lui attrapèrent les chevilles pour la soulever comme un fétu de paille tandis que Karim la bâillonna prestement avec un gros scotch pour l’empêcher de crier.

En une fraction de seconde, Isabelle se retrouva à l’arrière du fourgon dont la porte se referma derrière eux.

Dans le parking, personne n’avait rien vu. C’était comme si Isabelle s’était volatilisée…

A l’intérieur du fourgon, Karim prit les choses en main : le scotch servit à attacher les chevilles et les poignets d’Isabelle qui tentait désespérément de se débattre mais qui était de peu de poids contre six hommes. Lassé de la voir s’agiter, Karim lui administra quatre claques magistrales en pleine figure.

« Continue à nous faire chier et on te défonce la gueule » lui dit il d’un air méchant.

Isabelle se prostra et sa panique se manifesta alors par des larmes.

Karim déroulait son plan. Le téléphone d’Isabelle fut éteint et jeté dans une poubelle. Il prit les clés dans le sac à main d’Isabelle et les lança

à Hamed :

« Prends sa bagnole et suis nous! Pas la peine de laisser de traces. »

Puis le petit convoi s’ébranla hors du parking et parcourut sans se faire remarquer les quelques kilomètres qui séparaient le centre commercial de la cité du Val, leur fief. Les deux véhicules passèrent directement vers les parkings souterrains des immeubles, que plus personne n’utilisait depuis bien longtemps, trop dangereux….

Dans le fourgon, les quatre beurs qui assuraient la garde d’Isabelle avaient commencé à laisser traîner leurs mains sur son corps. Ses seins étaient pelotés, son cul taté comme celui d’une pouliche.

– « ça c’est de la bonne salope » rigola l’un.

– « comme on va lui exploser ses trous! » dit un autre.

Isabelle n’avait aucun mal à comprendre que ces salopards avaient l’intention de la violer. Résister n’était pas une option, à moins de vouloir être rouée de coups. Elle se dit qu’une occasion de s’échapper finirait bien par se présenter.

Le fourgon s’arrêta devant l’entrée des caves. Karim fit entrer la voiture d’Isabelle dans un garage dont il avait les clés.

Isabelle fut soulevée et emmenée en poids à travers les couloirs sordides jusqu’à une des caves : celle ci avait été aménagée par la bande pour leur servir de QG.

Un canapé, un frigo et surtout un mauvais lit en fer dont les quatre montants étaient équipés de menottes.

Karim fit mettre Isabelle sur ses jambes pour faire la visite :

— « Bienvenue dans ton nouveau chez toi, salope! Le plumard c’est pour les chiennes comme toi. Les menottes, c’est des prises de guerre. Il en a vu passer des putes, la derniére c’est une fliquette municipale qu’on avait fait prisonnière aux dernières émeutes. On l’a baisée pendant dix jours! aujourd’hui elle fait la pute pour nous dans un bordel au Maroc! » expliqua il dans un rire mauvais.

En un instant, Isabelle fut couchée sur le lit, ses poignets et ses chevilles débarrassés du scotch pour faire place aux menottes. Sans attendre, elle fut délestée de tous ses habits, qui furent arrachés sans ménagement, sous les sifflets admiratifs des jeunes qui découvraient ses seins nus Erzincan Escort Bayan aux belles aréoles roses et délicates, et son pubis délicatement rasé.

– « Putain, on va se régaler! »

L’un des jeunes sortit son sexe de son pantalon de survetement et le présenta devant la bouche d’Isabelle :

– « Je vais t’enlever le scotch, si tu cries, je te cogne, si tu me mords la queue, je te découpe en morceaux. »

Sans aucune échappatoire, Isabelle se résigna dans un haut-le-cœur à gober le sexe du beur, qui commença des va et vient dans la bouche voluptueuse de la jeune femme.

« Aaaaahhh les mecs, c’est un bonheur, qu’est ce qu’on est bien dedans! » grogna t il.

Un autre n’avait pas perdu de temps et se placa entre les jambes écartés d’Isabelle. Il poussa son sexe contre le vagin et y pénétra sans douceur avant de la limer comme un malade.

Au bout de quelques minutes qui parurent indéterminables à Isabelle, celui qui la baisait finit par éjaculer abondamment dans son vagin avec un grognement sourd de satisfaction. Celui qui lui baisait la bouche ne tarda pas à cracher sa purée lui aussi, en maintenant la tête d’Isabelle pour l’obliger à tout avaler.

Immédiatement, deux autres prirent leur place et se mirent eux aussi à la besogner.

Une heure plus tard, les six beurs étaient passés dans le vagin ou dans la bouche de la jeune femme. Épuisée, Isabelle regardait hagarde ses violeurs la contempler en rigolant.

Karim prit la conduite des opérations : il détacha Isabelle, qui n’avait plus la force de résister, la fit mettre à quatre pattes et la prit en levrette en lui donnant de puissants et profonds coups de bite.

« Alors, pouffiasse, ça te plaît, hein? Tu commences à les aimer nos grosses queues? »

Isabelle ne répondait pas, répondant par le silence aux violences qui lui étaient faites. Hamed présenta son sexe devant son visage, attrapa ses cheveux et la força à engloutir son chibre jusqu’à la garde, manquant de l’étouffer.

– « Allez les mecs! » dit Karim « un de plus pour la prendre qu’on lui farcisse tous les trous à la fois! »

Un des mecs, nommé Mohammed ne se fit pas prier, glissa sous Isabelle et entra dans le vagin déjà lubrifié de la jeune femme et se mit à lécher ses seins offerts, tandis que Karim, d’une poussée bestiale, s’enfonça dans son anus.

Défoncée de tous les cotés, épuisée et résignée, Isabelle se laissait faire comme une poupée gonflable. Tour à tour les trois maghrébins remplirent de sperme les orifices d’Isabelle, qui n’eut pas de répit pour autant puisque les trois autres réclamaient leur part.

Toute la nuit, la bande profita du corps d’Isabelle dans les grandes largeurs : baisée, sodomisée, doublement et triplement pénétrée, elle n’était plus qu’une loque étendue sur le lit, refoulant le sperme.

Au petit matin, épuisés, la bande reprenait des forces. Karim contemplait Isabelle somnolant sur le lit, des traces de sperme séché sur tout le corps.

Bientôt, deux types se rapprochèrent d’Isabelle : l’un écarta ses cuisses et la pénétra, l’autre présenta sa bite devant sa bouche et l’enfourna sans même avoir à forcer. Karim constata qu’Isabelle avait complètement abdiqué devant les tourments que lui faisait subir la bande, elle se laissait faire sans broncher.

Tant mieux parce que les autres commençaient eux aussi à reprendre du poil de la bête…..

Quelques heures plus tard, le soleil était haut dans le ciel et dans la cave, la fête se terminait : Isabelle était étendue sur le matelas trempée de sueur et de sperme, ses orifices étaient rouges d’avoir été autant sollicités, sa mâchoire lui faisait mal d’avoir Escort Erzincan englouti toutes ces bites.

Karim s’approcha d’elle : « ça t’a plu, hein, grosse salope! A partir de maintenant tu es à nous! Je t’explique : on a filmé tout ce qui s’est passé du début à la fin! Si tu veux pas te retrouver sur tous les sites de cul d’internet, tu vas faire tout ce qu’on te dira à partir de maintenant! »

Isabelle semblait avoir abandonné tout libre arbitre, elle se contenta d’un timide « oui » en guise de réponse. Karim la fit rhabiller et raccompagner chez elle. Son mari ne s’était même pas rendu compte de son absence : il lui avait envoyé un texto pour l’avertir qu’il ne rentrait pas de la nuit car le projet au boulot était en phase terminale. Isabelle se doucha longuement avant d’aller se coucher en pensant à la nouvelle vie qui l’attendait.

Quelques mois plus tard…….

Au milieu de la nuit, deux grosses berlines étaient garées l’une en face de l’autre au beau milieu du parking désert d’un centre commercial. Karim était en grande discussion avec un autre maghrébine :

« On est d’accord en ce qui concerne le prix et la quantité, livraison dans une semaine. »

« On est d’accord. Comme d’habitude » répondit le maghrébin dans un sourire.

« C’est toujours un plaisir de traiter avec toi. Et comme d’habitude, tu as la petite prime de conclusion du marché » rigola Karim

Karim ouvrit la portière passager de sa voiture et fit sortir Isabelle. Elle était habillée d’un bustier noir qui comprimait de façon indécente ses seins, d’une micro jupe rouge au ras de la chatte, et de talons aiguilles. Associés à un maquillage très prononcé, elle était proprement accoutrée comme une pute.

Sans même que Karim dise quoi que ce soit, Isabelle marcha droit vers le maghrébin, se planta devant lui, tomba à genoux, dégrafa sa braguette, sortit le sexe a demi bandé et commença une pipe digne des meilleures professionnelles.

Le maghrébin râla de plaisir en plaçant une main derrière la tête d’Isabelle pour bien lui faire avaler son chibre.

« Aaahhh mon frère, elle est toujours aussi bonne ta pute! » dit il à Karim

« Je sais, c’est pour ça qu’elle est réservée à mes meilleurs fournisseurs et clients! »

Depuis qu’il l’avait « prise en main », Karim avait progressivement transformé Isabelle en une marchandise dont il usait et abusait à sa guise et suivant ses intérêts. Dressée dans la cave de la cité durant presque une semaine où elle fut baisée par quasiment tous les mâles de la cité, elle faisait maintenant tout ce que Karim lui disait : baisée par tous les ouvriers d’un chantier que Karim faisait payer à la passe, « récompense buccale» des guetteurs de la cité, elle avait même servi de complice au cambriolage d’un hangar plein de matériel hi-fi en allant se faire sauter par les deux vigiles pendant que la bande à Karim se servait dans l’entrepôt.

Celui dont elle s’occupait ce soir ne perdait pas de temps : il fit stopper sa pipe à Isabelle et la coucha sur le capot de sa voiture avant de la pénétrer sans autre forme de procès. Il retourna les bonnets de son bustier, faisant jaillir les beaux seins d’Isabelle pour les admirer ballotter au rythme de ses coups de queue. Les gémissements de plaisir d’Isabelle eurent tôt fait de faire parvenir l’homme à la jouissance. Il éjacula dans le vagin d’Isabelle dans un grognement.

Isabelle se rajusta et remonta dans la voiture de Karim. Les deux hommes se serrèrent la main et chaque voiture partit de son coté.

Isabelle pensait en être quitte pour ce soir mais elle remarqua que la voiture ne se dirigeait pas vers chez elle. Elle osa demander : « où allons nous? »

« Y a une petite fête à la cité pour les 18 ans de mon cousin. Tu seras mon cadeau pour lui, et si ses potes en veulent aussi, bah c’est pas tous les jours qu’on a 18 ans! » rigola Karim. « t’inquiète, ils doivent pas être plus de dix! »

La nuit promettait d’être longue….

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La Prêtresse de la Pureté Ch. 03

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Amateur

**Avertissement** : Le prince de chair n’est pas un protagoniste sympathique (c’est même une belle enflure) et ses actions en sont le reflet. Certains passages peuvent donc choquer.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Chapitre 3 – La confession

Arlor attendait la haute-prêtresse. Pour calmer son impatience, il se remémorait les instructions de l’alchimiste.

— L’effet ne dure que quatre à cinq heures, lui avait dit celui-ci alors qu’il lui glissait entre les mains un flacon rempli d’un liquide noir comme la poix. Et pour qu’il fonctionne, vous devez tout boire d’une traite. Inutile d’en garder un fond pour plus tard.

La fiole vide gisait sur l’autel de la salle des prières attenante à la chapelle de la pureté. Il aurait été navrant de jouer les grippe-sous si près du but.

— N’oubliez pas, avait poursuivi l’alchimiste. Cet élixir ne vous transforme pas réellement, il ne fait qu’influencer l’esprit de vos interlocuteurs qui verront en vous la personne qu’ils s’attendaient déjà à voir. Ce que j’entends par là, Sire, c’est que si vous souhaitez vous glisser dans le lit d’une dame, vous n’avez qu’à vous habiller comme son mari et rentrer dans ses appartements à une heure qui lui est habituelle. L’hypothétique dame vous confondra avec son époux et puis, et bien, je ne pense pas avoir besoin de vous faire de dessins?

L’alchimiste avait souri imperceptiblement au mot « hypothétique ». Sous ses airs moralisateurs, la vieille baderne était aussi sournoise qu’Arlor. Guère étonnant qu’ils s’entendent si bien.

Le prince agita son postérieur endolori par le large banc de pierre sur lequel il avait pris place dans une veine tentative d’y faire circuler le sang. Comment ces culs bénis faisaient pour tolérer du mobilier d’un tel inconfort le dépassait. Et leurs tenues, par Orlan! Arlor lissa l’avant de sa toge de lin. Le tissu lui gratta les paumes avec l’efficacité d’une meule de forge. Ses habituels vêtements de cuir et de satin lui manquaient déjà. Mais il n’avait guère le choix de l’accoutrement s’il voulait parvenir à ses fins. Heureusement que la suite des évènements promettait d’être plus plaisante. D’autant plus que l’attente avait été longue.

La haute-prêtresse Itana — représentante principale du culte de la pureté du royaume — avait piqué l’intérêt du prince dès le premier jour de son affectation au palais éternel il y a de cela plusieurs mois. Contrairement à certaines de ses disciples, de jeunes prêtresses au bas de l’échelle ecclésiastique qu’Arlor n’avait aucun mal à pervertir, Itana persistait à lui échapper. Inaccessible. Elle ne participait à aucun évènement social en dehors des cérémonies officielles du temple au cours desquels il ne pouvait que la dévorer du regard en rongeant sa frustration. Sa réputation le précédant, elle refusait purement et simplement de le croiser ou de répondre à ses convocations sans qu’il puisse l’y forcer. Son autorité ne s’étendait pas à cette branche de la révélation, la Reine-Mère y veillait depuis que certaines de ses « frasques » lui avaient été rapportées.

Heureusement, la haut-prêtresse avait une faiblesse fatale : sa foi stupide.

Des coups discrets à la porte arrachèrent le prince à ses ruminations. Il jeta un dernier coup d’œil au tableau accroché au fond de la salle de prière. La toile représentait Erzincan Escort l’Unique — le porte-parole du prophète suprême du culte de la pureté — et il s’en inspira pour perfectionner sa pose.

— Entrez, dit-il de sa voix la plus douce.

L’air lui-même retint son souffle lorsque la silhouette élancée de la Haute-Prêtresse Itana se coula par l’entrebâillement de la porte. Auréolée d’une longue chevelure tellement blonde qu’elle semblait presque éthérée, elle se figea sur le seuil. Sa robe de lin écru à col montant, bien que destinée à cacher toute tentation au regard des fidèles, laissait presque deviner des formes particulièrement généreuses. Une chainette de fer sertie d’un saphir de la Tour ceignait son front, seul signe la distinguant du reste des prêtresses

Par tous les Dieux et leurs catins, chacune de ses apparitions laissait le prince sans voix. Difficile de déterminer si cela était dû à son visage qui aurait tout aussi bien pu être taillé par les fées, ou son attitude de grâce contenue, voir tout simplement qu’en tant que représente de l’ordre de la pureté, l’idée de la pervertir lui apparaissait plus tabou encore qu’avec nulle autre femme.

Le prince calma sa respiration qui menaçait de trahir sa nervosité. Qu’attendait-elle? L’élixir ne marchait donc pas? Elle le prenait pour quelqu’un d’autre? Pourtant son chambellan avait imité le cachet de Sire de « l’Unique » à la perfection pour la convoquer ici. Et puis, il portait les mêmes vêtements faussement humbles et terriblement inconfortables que son fichu prophète. Alors qu’attendait-elle?

— C’est vraiment vous? demanda la prêtresse d’une voix qui coulait comme une cascade d’eau claire.

Avant que le Prince ne puisse répondre, elle se précipita à sa rencontre, non, plutôt, elle glissa vers lui ; ses mouvements gracieux lui donnaient l’air de flotter. Elle se mit à genoux à ses pieds et inclina la tête vers le sol. Ses longs cheveux blonds retenus par son bijou de front glissèrent de chaque côté de ses tempes.

— Votre Sainteté. Je n’osais croire à votre venue.

— Allons, ma fille, inutile de vous agenouiller.

La jeune femme se releva. Ses yeux brillaient de larmes de joie ; elle contenait à grande peine un sourire qui mettait en valeur ses lèvres ourlées. Arlor les imaginait sans peine s’étirer pour autre chose que des mots.

— Je ne pensais pas que vous auriez du temps à accorder à une simple prêtresse. Dois-je en déduire que vous avez reçu ma lettre?

— Haute-Prêtresse, corrigea le prince. Ne vous sous-estimez pas ainsi ma fille. Je l’ai reçue en effet (Du moins, mes espions.) et elle m’a particulièrement touchée. Votre détermination à vouloir intégrer l’ordre des Seraphs transparaissait avec beaucoup de force dans vos écrits.

Avant d’intercepter les missives de la belle prêtresse, Arlor n’avait jamais entendu parler de cet ordre. À en croire les quelques renseignements glanés par son réseau, il se composait de prêtresses sélectionnées personnellement par l’Unique pour l’accompagner dans ses pèlerinages. Une position tout aussi convoitée que mystérieuse au sein même du culte. Son processus de sélection n’était connu que des Séraphs et de l’Unique en personne.

— Vous m’en voyez ravi, votre Sainteté. Je craignais que de simples mots ne puissent Erzincan Escort Bayan supporter le poids de ma détermination à servir le prophète à travers vous.

Le Prince tapota le banc de pierre du plat de la main pour enjoindre la Haute-Prêtresse à l’y rejoindre. Ce qu’elle fit, ravie. Placés ainsi cote à cote, ils devaient ressembler à l’image idyllique de deux amoureux dans les jardins royaux. Par Orlan, d’aussi près, son parfum vanillé l’envoutait, et ses lèvres… Il lutta pour ne pas y mordre à pleine bouche!

— Vous n’êtes pas sans savoir que la sélection est rude, dit-il pour détourner sa propre attention. Nombreuses sont les appelées, rares sont les élues.

— J’en suis pleinement consciente, murmura-t-elle presque sensuellement. Mais je peux vous assurer que ma détermination est sans faille.

— Nous verrons mon enfant, nous verrons. (Le prince réajusta la position de ses jambes, il craignait que son érection grandissante ne devienne trop évidente. La toge légère faisait un piètre camouflage.) Mais avant de mettre votre foi à l’épreuve. (Arlor laissa un court silence pour appuyer ce mot.) Il nous faut partir sur des bases saines.

La Haute-Prêtresse buvait ses paroles avec l’air alangui d’une amoureuse après un bon troussage. Le prince prit ses mains entre les siennes, presque ému à la vue de ses doigts graciles. Elle ne chercha pas à l’en empêcher. Le fanatisme, quelle stupidité merveilleuse à double tranchant. Capable de rendre à la fois incroyablement naïf et extrêmement dangereux. Arlor se délectait d’avance de l’opportunité de jouer avec cette lame.

— C’est pourquoi je souhaiterais entendre votre confession.

Itana ne perdit pas son sourire. Elle avait anticipé cette demande évidente.

— Bien entendu, Votre Sainteté.

La prêtresse leva ses yeux gris acier vers la voute basse de la pièce avant de les braquer de nouveau sur le Prince.

— J’ai eu des pensées impures, finit-elle par lâcher.

— De quelle nature? insista Arlor lorsqu’il devint évident qu’Itana hésitait à en dire plus.

— Et bien, la prêtresse Eava, une nouvelle arrivée au couvent du palais éternelle. Elle… hum… comment dire.

— Elle quoi? demanda Arlor pour ébranler cette nouvelle hésitation

Les joues de la prêtresse prirent une douce teinte rosée.

— Elle a une très belle voix et lors des cantiques, et bien, je dois avouer que… que je ressens une pointe de jalousie. Je sais qu’il ne faut pas convoiter, mais je ne peux…

Arlor l’interrompit d’un profond soupir. Toutes ces simagrées pour ça!

— Ces menus détails ne m’intéressent guère, Haute-Prêtresse. Si je dois vous faire confiance avec ma propre rédemption, j’attends plus d’ouverture de votre part.

— Oui, Votre Sainteté. Je comprends.

— Écoutez, nous allons faire plus simple. À partir de maintenant, je vous pose des questions et vous y répondez avec la plus grande franchise. Est-ce clair?

Itana déglutit presque imperceptiblement avant d’acquiescer.

— Vous êtes vous déjà caressée? attaqua le prince.

— Je… euh… je ne suis pas sur de compr…

— Votre chatte j’entends.

La vulgarité calculée eut l’effet escompté. Le rose monta aux joues de la prêtresse et s’y installa. Elle ouvrit un instant sa bouche Escort Erzincan sensuelle avant de la refermer comme pour gober Orlan sait quelle réponse dans l’air.

— Parfois, finit-elle par dire sans quitter le Prince du regard, un petit sourire bravache au coin de la bouche.

— Je vois. Avez-vous déjà été pénétrée? Que ce soit dans votre chatte, votre cul ou votre bouche?

Cette fois, le petit sourire disparut, contrairement à l’érection du prince dont la présence devenait difficilement ignorable. Adresser des questions crues à cette image de la perfection et voir son assurance s’éroder avait quelque chose de particulièrement grisant.

— Jamais, Votre Sainteté.

— Même pas par la bite du Prince?

— Absolument pas, Votre Sainteté! cria presque la prêtresse, clairement outrée. J’ai été prévenu de ses appétits particuliers et, fidèle à nos préceptes, je n’ai rien fait pour tenter ce… ce satyre!

— En êtes-vous certaines?

— Bien entendu! Aussi certaine que je le suis de la parole du prophète, votre Sainteté.

À défaut d’élever la voix, la Haute-Prêtresse s’était levée du banc, ses poings serrés agrippés à sa robe.

Arlor se leva à son tour. Lentement. L’air aussi grave que possible. Itana le fixait, les ailes de son nez aquilin gonflé à chacune de ses inspirations.

Lorsque le prince agrippa fermement sa poitrine au travers du tissu rugueux de sa tenue, elle ne réagit pas immédiatement, tétanisée de surprise. Malgré la barrière, le prince sentait parfaitement la masse de ses imposants seins. Au creux de leur élasticité parfaite, il devinait la présence de ses tétons, presque déterminés à perforer la toile pour rejoindre ses doigts.

— Votre Sainteté! gémit furieusement la prêtresse sans rien faire pour le repousser. Vous ne pouvez pas!

— Ne comprenez-vous pas? demanda le Prince qui réprimait de plus en plus difficilement son sourire alors qu’il continuait de peloter la grosse poitrine. Votre faute?

— Qu’est-ce que mes… mes seins ont a voir avec tout ça?

Le souffle de la haute-prêtresse s’accélérait doucement.

— Pourquoi ne les comprimez-vous pas sous des bandages, pour les dissimuler autant que possible, comme le veut l’usage?

Le prince pinça les pointes, d’abord doucement puis, la prêtresse se réfugiant dans le silence, un peu plus fort.

— Vous avez raison, votre sainteté, gémit-elle. J’ai… j’ai péché par orgueil. Je ne voulais pas les dissimuler, pas complètement.

— Pourquoi? demanda doucement le prince sans cesser de torturer la poitrine. Vous n’êtes pourtant pas sans savoir que ce genre de spectacle pousse au désir et engendre de l’impureté?

— Vous avez raison, votre Sainteté, gémit la prêtresse, des larmes se formant au coin de ses grands yeux à mesure que les pressions des doigts du prince s’accentuaient. Je ne sais pas d’où me vient cette fierté, mais c’est une erreur, j’en prends conscience. Pitié vous me faite mal.

Arlor libéra à contrecœur la poitrine. La prêtresse l’abrita aussitôt de ses bras. Elle passa une main sur ses tétons meurtris comme pour se rassurer de leur présence.

— Un tel niveau d’honnêteté n’est jamais facile, je suis fier de vous.

Itana retrouva le sourire et releva le menton, son air de biche blessée très vite lavé par une vague de gratitude.

— Merci, votre Sainteté.

— Il est donc temps de vous mettre à l’épreuve.

Cette fois, le prince souriait franchement.

***

(Suite au chapitre 4, très bientôt, voir maintenant si vous venez du futur! N’hésitez pas à commenter, ça encourage toujours.)

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Lost to the War

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Ass

Author’s note: This story was inspired by the wonderful @tihomirovanatali_, after coming across her rural maiden photoshoot. She has served as my muse for the past two months as this story slowly got fleshed out. I began writing this in spring after my winter break, and now we’re in the thick of summer. I’m sure many more stories will follow this one, but I somehow remain fundamentally incapable of writing stories shorter than ten thousand words (and that’s before getting to the fun bits). I swear the next one will be shorter (I think).

This is a slow burn, so take your time with getting to know the world and the characters. Also, there’s allusions to violence/non-con at the end so steer clear of the epilogue if you’re not into that. Apart from that, hope you enjoy the story, and I’ll see you in the comments!

***

Janek had lost sight of his pursuers about half an hour ago. Yet he knew, as he zig-zagged his way between the trees, taking care not to brush up against the trunks as he ran past so as not to leave his scent or a rag of his clothing on them, that they were gaining on him. An occasional shouted order or a bark from one of the hounds tracking him punctuated the near-complete silence of the forest he was making his way through. Above him, beyond the tree cover, the sky was still the same shade of inky black that it had been when he had made his escape. But he knew dawn wasn’t too far away, and he had to put enough distance between him and his pursuers before the first light broke out over the horizon that they’d lose his trail.

His feet light on the underbrush, he briskly jogged through the forest. His ears were pricked, listening for the sound of running water. He knew there was a stream nearby, he had seen it on the maps. If he reached it and swum across, it would make the tracking hounds lose his scent trail. For the next quarter hour, he headed due east, squinting in the dark at the compass which he held in his hand. Behind him, the sounds of the hunt grew louder. He could tell they knew they were getting closer, too. The snarls of the pursuing canines drifted through the cool air, interspersed with Janek’s ragged breathing and the chatter of birds beginning to awaken high above. The sky was a dark lavender now, turning orange towards the horizon. In less than ten minutes it would be light, and then even the stream wouldn’t be able to save him. They’d just wait for him to pop into sight and they’d riddle his body with bullet holes.

Janek’s heart thudded in his chest as a primal fear overtook him. His hands and feet started to grow cold, and his vision tunnelled until all he could see in front of him was next tree to weave around. Something caught at the leg of his pants, tripping him. He fell heavily against a fallen tree, smashing his compass. Bits of broken glass sliced his palm open. When he tried to get up, a sharp, stabbing pain rocked his ankle. He felt a metallic taste in his mouth. Pushing himself back up with his uninjured hand, he resumed running, but only at half the pace he had before. Less than two minutes later, he heard excited barking and shouting behind him. They had already come across the place where he had fallen. At this rate they would catch up with him before the sun broke through the horizon. He’d die in darkness, like the rest of his comrades had the night before. He suddenly felt an immense weight in his limbs. His body was giving up on him. Darkness fell across his vision. His shoulder slammed into a tree and he stumbled. His legs gave out three steps later and Janek grunted as he fell for the second time, hitting his head hard on the ground.

A tinny silence fell across his world. His eyes were open but he saw nothing. This was it. He was about to die. He only prayed that they would do him the honour of letting him see the sunrise for one last time before putting a bullet in his brain. The sound of blood rushing in his ears grew louder, until…

Janek blinked, bringing his vision back into focus. He saw the thicket of dead leaves and underbrush that he was lying on. He craned his neck and his eyes scanned across a tree trunk, then another, and another, until they stopped, and there were no longer any trees in sight. He had come to the edge of the forest. Propping himself up on one elbow, he looked out and saw the ground dip a little. Then he realised that what he had been hearing for the past thirty seconds wasn’t the sound of blood in his ears.

Janek rose, aching all over. He only had to take a couple of steps to reach the bank. In front of him, the lavender of the sky was reflected in running water. It wasn’t a stream. It was a river. He had found it. He lunged into the current. The water was brisk and he immediately found himself getting dragged downriver. He kicked his shoes off underwater, surrendering them to the depths. The shock of the cold water imbibed his limbs with new energy. Adrenaline surged through his blood stream again as he began swimming over to the other side, in a long, Edirne Escort loping diagonal. It took him a minute to reach the other bank, in which time the river had carried him a quarter mile downstream. Janek dragged himself by his arms out of the frigid water. As he lay panting on the muddy bank, he heard a shout from somewhere up river. His eyes followed the source of the noise up the other bank till they fell upon a group of soldiers who had gathered around the spot on the edge of the forest where he had fallen for the second time. Three dogs accompanied them, off leash, sniffing the bank. The men’s heads were scanning the opposite bank. Janek knew he had to get out of sight before they spotted him, and the hunt began all over again.

A row of maize protruded from the ground about fifty feet from where he lay. Janek dragged himself up the bank, towards the fence which separated the crop field from the bank. Using what reserve of strength and willpower remained in him, he pulled himself up over the wooden fence, and into the thicket of maize. He couldn’t help but feel he had been just in time. But he also knew he had to keep moving. It wouldn’t take the soldiers long to cross the river and begin a grid search of the fields, looking for him. Surrounded by stalks of maize on all sides, he tried standing up. His ankle roared in pain and he grimaced, tears forming around the corners of his eyes. His hand dripped blood from the cuts. Janek bunched his handkerchief into a wad in his palm, hoping to stem the bleeding. Dragging his bad foot, he set off into the field. The sun had broken through the horizon, and the skies were turning lighter. Janek saw a hill in the distance, estimating it was due south-east. If he got to the top, he’d have a clear sightline of the surrounding country. He’d then be able to find tracks, roads. And if made it to the roads, he’d be able to hitch a ride to the border. He set off towards the hill.

Progress was slow. He had to push his way through the dense crop cover. Within minutes, the pain in his ankle grew unbearable. He opened his palm and saw that the cloth kerchief had been entirely stained scarlet. Janek closed his eyes, took a couple of deep breaths, and swallowed hard.

Have to reach the hill

When he tried to walk his feet felt like lead weights. The adrenaline had been purged from his system, leaving only numbness. His vison had begun to tunnel again. His throat felt dry. His wet clothes clung to his skin and he began to shiver.

Have to reach the hill

He thought of his comrades, culled like sick cattle during the night. He thought of his commanding officer, who had led them through enemy lines for six days and six nights. They had completed their mission on the fourth night. They just had another fifty miles to go to the border, where they were scheduled to be picked up. Images of the lifeless bodies of his team flashed across his mind, their eyes glassy, their bodies torn apart with lead. Janek had only managed to avoid the enemy ambush because he had gone into the bushes to do his business. When the bullets started flying, he had curled up on the ground, his pants still around his ankles. He waited until the enemy squad had done taking the camp apart, looking for survivors. When their voices had died down, he had snuck into the camp for the one thing that his team had been sent into enemy territory for, the vital piece of intelligence that they so desperately needed. No sooner than he had laid his hands upon it that a snarl arose from the surrounding forest, followed by ferocious barking. The hounds were onto him. He had run into the trees, and hadn’t stopped running until his first fall.

Have to reach

He was now bent over, putting his body weight into the maize stalks to pry them apart. The hill seemed so far away, but he dared not stop.

Have to

The maize suddenly gave away and Janek stumbled headfirst into a clearing. Too late, he saw a harvester advancing towards him, mere feet away. He held his hand up in a vain attempt to save himself. The giant machine stopped inches away from his nose. Someone got out of the cab and jumped onto the ground. But before they could approach Janek, his legs gave way and his whole world went black.

***

When Janek woke up he found himself covered under a sheet of canvas. Underneath his head lay not a pillow, but a folded blanket. He realised very quickly that he was naked under the covers. When he brought his right hand up to rub his eyes he found it bandaged – a bit more crudely than field medics would. His ankle felt dreadfully sore but it wasn’t wrapped. Whoever had brought him here hadn’t thought of, or known to, splint it.

He sat up gingerly and looked around. He was clearly in a barn. Bales of hay lay stacked up on the far corner, and straw covered the floor. Rolls of wire fencing, paint buckets, coils of rope and a ladder took up the corner closest to him. The far wall was covered in a pegboard from which Edirne Escort Bayan an assortment of tools and handheld machinery. On the other side, open enclosures lined the wall. They would have held horses, but it was clear from the state of disrepair that no horse had stayed in them for a long time. A loft with a step ladder leading up to it hung over the barn’s entrance. An amber bulb hung from the ceiling, switched off. Dusk light peered from between the wooden rafters.

With sudden horror, Janek realised that he had lost the thing he had been carrying. He spotted his clothes lying in a pile near one of the enclosures. He prayed it was still in his pocket. He put his feet down on the ground and tested his weight on them. His ankle was swollen, and would barely move. Steeling himself, Janek got up off the cot. It took him three tries, and he had to push himself off the cot with his uninjured hand. The canvas slid off his body and crumpled on the floor. He immediately stumbled. His legs were still weak. He hobbled over to the pile of clothes, bent down and dug through them. It wasn’t there. He went back to his cot, checking under the blanket on which his head had rested. With a sick feeling in the pit of his stomach, he limped over to the table under the pegboard, hoping that whoever had found him had left it on there. Still nothing.

Maybe they hadn’t found it. Janek had no recollection of it being in his possession when had climbed out of the river. Had he lost it in the water? He began shivering again. The air in the barn had suddenly grown chilly. Without it, Janek’s whole mission, the sacrifice of his team, would have all been for nothing. He mindlessly rummaged through the table’s drawers, hoping to manifest it into reality somehow. His face was flushed and the back of his eyes burned.

Please please please please

“Looking for this?”

Janek whipped around at the voice. A man stood at the entrance to the barn, holding out a thin metallic cylinder. Unmindful of his nudity, Janek limped over as fast as his legs would carry him, almost snatching the cylinder from the man’s hands. He unscrewed one end and looked inside. What he saw made a sigh of relief escape his body. He screwed the cap back on and clutched the cylinder to his chest.

“It obviously means a lot to you.”

Janek looked up at the man. He looked about sixty years old, and had a weather-beaten face. Veins, creases and splotches of crimson mottled his skin. His hands were callused, his digits thick and his palms wide. This was someone who had lived a life of hard manual labour. He was dressed in a grey shirt and faded denims, whose cuffs were streaked with dried mud. His boots were sturdy, although Janek could see that they had been stitched along the line of the sole many times.

“When was the last time you had something to eat?”

Janek’s rumbling stomach answered for him. The old man smiled.

“Come on, my daughter’s prepared dinner,” he beckoned. “You can bring that with you if you want.” He pointed at the metal cylinder which Janek was gripping. Janek gulped and nodded. Only then did he become keenly conscious of his nudity. He glanced at his pile of clothes.

“They’re too far gone, son.” The old man gently said. He handed Janek a towel.

“I’ve kept a bucket of water and a sponge next to the outhouse. Go get yourself cleaned up, I’ll bring you a fresh change of clothes.”

Janek took the towel and wrapped it around his waist. The old man turned and walked out of the barn, disappearing around the corner of the doorway. Janek made to follow him, but as soon as he crossed the threshold, heavy, cold fingers gripped his heart.

What if they’re out there, waiting?

Janek bent over and scrunched his eyes shut, waiting for gunfire to erupt from the shadows and rip his chest apart.

“You alright?” he heard the old man’s voice. It seemed to be coming from miles away. Janek dared not open his eyes.

What if it’s a trap

“You look like a deer caught in the headlights.” The old man called out again, closer this time. Janek gripped the cylinder in his palm, his fingernails digging into his skin. They were going to have to tear it out of his hands if they wanted it. It wasn’t until the stranger laid one hand on Janek’s shoulder and whispered,

“You’re okay, son. You can stop running now.”

that Janek opened his eyes. He saw the old man staring deeply into his eyes.

“You’re safe.”

Janek took a deep breath and exhaled.

“That’s it. Breathe.”

Janek took a couple more deep breaths before straightening up. He realised his heart was pounding in his chest, and his knuckles had gone white from clutching the cylinder.

“You good to walk? I can give you a shoulder” the old man offered.

Janek took another deep breath and shook his head. He looked around, found the outhouse and began walking towards it. The old man set off after him, after a moment. There was a pail and a sponge next to Escort Edirne the outhouse, like the old man had said. Janek unwrapped the towel and folded it up, slipping the cylinder between the folds. He set it down on the ground and walked over to the pail. Five minutes later, Janek had just finished drying off when the old man returned, carrying a shirt and khaki pants. A fresh pair of boxers and socks were on top of the clothes.

“I don’t know your shoe size but if you get dressed and come in, I’m sure we can find something for you inside the house.”

Janek pulled the clothes on. They were at least two sizes too large for him, especially the boxers. He found a piece of old bicycle inner tube lying next to the outhouse. He picked it up and slipped it over the waist of the khaki pants, cinching it tight and tying off the two ends above his crotch. When he walked inside the house, the old man was waiting for him. He held out two pair of boots to Janek.

“Try these on and see what fits.”

As Janek slipped the first pair on his feet, the old man noticed the belt that he had fashioned for himself.

“That’s handy.” He commented.

The second pair fit better than the first one.

“All set? Dinner’s waiting.” The old man announced. He led Janek into the small dining room. The table was already set, plates laid out and knives and forks arranged neatly. A big pot in the centre of the table contained what looked like broth. Wisps of steam rose up from the pot, and the smell wafted to Janek’s nose. After almost a week with no warm food, his mouth began watering at the smell. There were a couple loaves of bread in a basket next to the pot, and some cutlets in another dish.

“Sit down and serve yourself. My daughter usually serves our guests, but she’s out in town at the moment catching up with a friend.”

The food was simple but delicious. Janek hungrily devoured the cutlets and went for a second helping of the broth. The old man ate slowly, watching Janek relish the food. When he was done, Janek leaned back, turned his face to the ceiling and closed his eyes. He set his knife and fork down on the plate. The old man had finished a while before him.

“My daughter will take care of the plates. Come, I’ll show you where you will be sleeping tonight.”

The house had three bedrooms on the upper floor. The bedroom that the old man had picked out for Janek was at the end of the corridor. A wooden floorboard creaked underfoot as the two men entered the room. It was sparsely furnished: a bed was propped up next to the window on the east wall, and next to it was a desk with a woven rope-backed chair tucked underneath. A solitary bulb hung from the ceiling.

“This is where my wife used to come sleep on nights when she couldn’t take my snoring anymore”. The old man said quietly.

“It’s been a while since anyone has used this room. The window doesn’t open. Tomorrow I’ll come and fix it. If it gets too hot in the night, leave the door open.”

Janek sat down on the bed. The mattress had been worn thin over the years, but for someone who had been sleeping on bare earth for the past week, it felt luxurious. He began taking his shoes off.

“I’ll leave you to it, then.”

His hand hovered over the light switch next to the doorway.

“If you need anything during the night, my daughter’s room is next door. She’ll be back sometime later in the night. I apologise in advance if she wakes you up. I’m in the far room but I’m afraid once I hit the sack it’s hard to wake me up.”

Janek nodded at the old man.

“I… should’ve introduced myself earlier. My name is Piotr. My daughter is Natalia. Have a good sleep.”

Piotr switched off the light, plunging the room into darkness. A shaft of moonlight stabbed into the room crossways, illuminating the desk and chair into a wheatish glow. Janek reclined on the bed. Despite having woken up only hours earlier, sleep came quickly. But the old man had been right about the heat. At some point in the night, Janek woke up, his torso covered in a sheen of sweat. He got off the bed, feeling thirsty. He went out in the corridor, heading for the stairs to fetch a glass of water from the kitchen. He passed Natalia’s room, noticing the thin shaft of amber light that spilled from under the closed door. When he came back up a minute later, the light had gone out. All was silent in the house except for the dull snores that came from the direction of Piotr’s room. Janek went back into his room and lay down on the bed. It felt unnatural sleeping in complete silence. In the past week he had gotten used to the sounds of the forest. Out there, silence under the tree cover meant danger.

Janek tossed and turned in his bed for about half an hour before getting up again. This time, he grabbed the pillow and went downstairs. Before he left his room he made sure to grab the cylindrical canister with him as well, slipping it into the pocket of his pants. He slid out of the house and headed for the crop field. He walked into the wall of maize stalks and kept walking until he could no longer see the house behind him. There, in a narrow clearing, he threw down the pillow on the ground and lay down. Back under the moon and the sounds of the night, sleep came quickly to him…

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The Beardy Shagger

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Amateur

An annoying buzzing drilled its way into Sharon’s brain. Eye’s still firmly shut against the inevitable call of consciousness she flings her hand to the side, swatting at where memory says her bedside table should be. On the third attempt she grabs her phone and blindly swipes at the screen, miraculously managing to silence the alarm she didn’t remember setting. She pulls the phone to her chest and immediately drifts back to sleep. Five minutes later the phone starts up again, only now it’s sitting on top of her left breast and the unexpected vibrations violently reverberating through the soft tissue jolts her awake. Through bleary eyes she looks at the phone and manages to turn the alarm off this time. A dull throbbing behind her eyes reminds her that the second bottle of wine last night was definitely not the good idea it seemed at the time. As the phone screen starts to darken she notices the notification telling her she has new messages. Fuck. Who was she messaging? There were two possibilities. It was either Brian, or it was Lucy, about Brian. She cringed inwardly, she couldn’t face reading what she’d said last night, not yet.

A strong pressure in her bladder was making it clear she had been holding in a piss for far too long. She starts to shift her body weight towards the side of the bed and feels her hip hit something solid, peeling back the covers reveals her Hitachi Wand, she stares at it for a second puzzled, before a hazy recollection of crawling into bed last night, horny and frustrated bubbles to the surface, accompanied by the disappointment that it had inexplicably not worked. No matter how many times she had flicked the dial between on and off her up to now trusty friend had refused to buzz into life. She pushes the device further down the bed and swings her legs over the side, her left foot touches down but as her right touches down a sharp pain makes her cry out. She grabs at her foot and looking down sees an upturned plug, In a cruel twist of fate that only seems to happen in a hungover haze she had managed to put her foot directly on top of the only thing laying on an otherwise empty floor. Tracing the cord with her eyes she sees it snake up under the covers, well, guess that explains that little mystery, in her drunken state last night she hadn’t even plugged the fucking thing in.

She makes her way, with a slight limp, out of the bedroom into the hallway and towards the bathroom. She keeps her eyes fixed firmly forward as she passes the full length mirror on the wall. She doesn’t need to see her naked reflection, she knows what she will see and she doesn’t like it. She is a fifty-five year old, heavy set woman with more wobbly bits than she cares to look at. She had always been a heavier girl in her youth, but youthful exuberance and the desire to try to be one of the skinny girls had kept things in check. As she got older she had decided that there was more to life than what society thought of her and she had been determined to enjoy it. She stopped worrying about her figure, ate what she wanted, drank what she wanted and generally embraced the good things, and while she didn’t regret at all living that way, she also knew she could have done more to keep her weight down. When she looked in the mirror these days all she saw were big thighs, a round belly and a wobbly bum. Her body hadn’t even had the decency to lump some of the weight onto her boobs, they remained the modest C cup they had always been.

Focusing on each unsteady step she finds her way to the bathroom and sits heavily on the toilet. Feeling a welcome relief as her bladder empties, she finally lets her brain start to piece together the events of last night. It was fucking Brian’s fault. She’d met Lucy for a drink after work, in the pub in the small town where they both lived. As she took her first sip of her white wine Lucy had looked at her, one eyebrow raised.

“Well?”

“Well what?”

“Well Brian obviously, have you heard from him?”

“Ugh, do we have to?”

“Yes we have to, you’ve been moping around for two weeks now, three months of chatting and dates. All the while you were finally starting to seem like you might be ready to let someone in and now…..nothing?! not a word about him! You’re not looking at your phone and smiling like you were, no popping out for a quick call. What the hell happened?”

“I don’t know Lucy! That’s the annoying thing. He seemed so nice at first, we chatted easily and he didn’t come across as pervy like all the others.”

“Ha, online dating sites, you will never find a more wretched hive of scum and pervy”

Sharon looked quizzically at her friend, the quote completely lost on her. Lucy smiled and waved her on, knowing it was pointless to explain.

“Anyway, it all seemed to be going fine and then out of the blue he just sort of, changed”

“Changed?”

“Yeah, I dunno, we’d been chatting for weeks, met a couple of times and the last time we met up he was really pushy. Kept trying to get me to go into shops and try on clothes, it was weird. He was kinda insistent that Elazığ Escort he wanted to buy me something new. At first i thought it was kinda sweet, like maybe it was a lead in to going for a nice dinner, but he kept suggesting things that were too tight. Any time I looked at something he kept suggesting I try the smaller size. It was just weird, and when i didn’t go along with it he kinda got huffy. Suddenly he needed to be somewhere else and I’ve had barely any contact from him since. The odd “Hi, how’s things” but it’s always followed by requests for a picture and always a full body shot.”

She stopped talking, suddenly a little embarrassed. She hadn’t meant to spill out quite so much. Since trying online dating she’d found that it seemed the vast majority of men seemed to only want sex, and more, that they only wanted someone to fulfil the fantasies they were too afraid to seek out in their every day lives. So many opening messages that described, in badly written, misspelled, disturbing detail what they wanted to do to, on and with her belly. It was humiliating and soul destroying. She’d been about to give up entirely when she matched with Brian, he’d seemed different, at first.

Lucy, sensing her friend’s discomfort steered the conversation to other topics, though only after a parting shot about how Brian was clearly an insecure loser and she didn’t need him. She had got home that night, a little tipsy and annoyed and opened a bottle of wine. That had led to two and somewhere around a third into the second bottle she now remembered she had decided to let Brian know how she felt.

She finished up in the bathroom, washed her hands and face and with a determination to face it and get it over with, padded back to her bedroom to check her phone, see just how embarrassing she had been. She flopped onto the bed and fished her phone out from its new hiding place under the pillow. The message wasn’t from Brian, but she had messaged him last night, she’d told him she was done, he could go get his kicks from beating up someone else’s self esteem, ideally his own, she smiled to herself, that wasn’t bad. The following message, where she’d told him his unimpressive manhood might be a good place to start his self loathing, was maybe not her finest moment but fuck it he deserved it, She opened the message from Lucy.

“Did you hear back from Beardy? Can’t believe you sent it!”

Her blood turned to ice, Beardy? No! She didn’t?! She quickly looks through her sent messages, nothing. She breathes a sigh of relief and messages Lucy back.

“Lol very funny, i wasn’t that bad last night!”

A reply immediately comes back in, this time a photo. It’s a picture of her phone, clearly taken by Lucy and on her screen clear as day is a message addressed to “BS”

“Can you come round tonight?”

Another ping and Lucy fills in the blanks

“You sent it after the third glass in the pub, you deleted it immediately only Sharon, i think you only deleted it for you, pretty sure it got sent!”

Well Fuck. Fuckity Fuck Fuck Fuck. Beardy was sort of an in-joke, A one night stand from almost 15 years ago. Well not even really a one night stand, more like a transaction. Back then she had briefly worked with a woman called Jane, it was only for a month, maybe two, but they’d got on pretty well and once or twice had gone for drinks. One particularly messy night Sharon had been lamenting her love life. She’d been so career focused she’d never really had a boyfriend, and her last brush with romance had been a horribly regrettable drunken one night stand about a year before. A guy twice her age who had taken her home, shoved his half limp dick in her, with zero foreplay, thrashed around like a fish out of water for about a minute then rolled off and gone to sleep. It had all been over before she really registered it had started. She didn’t even stay the night, leaving his house feeling hollow and frustrated. Jane had listened to her woes and at the end of the night had written a number down on a napkin.

“Call him, he’s sweet. Trust me, just drop him a message and name a time, even if it’s only once, i promise he’ll make you feel like a princess.”

And one fateful day a few weeks later, after a couple of lunch time drinks with the girls she had done just that. She’d felt weird about it, this idea of having a man come and what, service her?, but she was tipsy and horny and in a fuck it kind of mood. She’d messaged a time and her address and he replied saying okay and he would bring dinner, and asked what she liked. There was a local Italian that did a great Carbonara so she had given him the name of the place and her order. He turned up that night, bang on time. When she opened the door she was pleasantly surprised. He was handsome without being striking, a few inches taller than her 5ft 8in frame, a sturdy yet slim figure, slim not skinny. It looked like he worked for a living rather than worked out. He had close cropped dark hair and the one stand out feature was his beard, a well groomed, shaped beard of curly Elazığ Escort Bayan black hair. He had a rucksack with him, but there was no sign of the take away food she was expecting. He smiled at her, a warm friendly disarming smile.

“Hi?”

“No names”

She didn’t know why she had said it, she hadn’t intended to but now she had she felt safer in it. It was an illusion she knew, he knew her address for god’s sake, but not knowing names would make it feel more like the transaction it was. He nodded in acknowledgement, there was maybe a hint of frustration, possibly confusion in his eyes but she decided it didn’t matter. Even if this wasn’t how it normally worked, it’s how it would work for her. She turned and invited him in, he enquired where the kitchen was and set off in that direction. As she joined him there she could see he’s already started laying out ingredients from his bag, and was opening a bottle of wine. He poured her a glass and handed it to her then instructed her to go put her feet up in the living room, give him half an hour and he would let her know when dinner was ready. She had sat, listening to music and the general clammer of cooking coming from her sadly underused kitchen and her stomach started to rumble at the smells emanating from the doorway.

Almost exactly thirty minutes later he called her into the kitchen, he’d laid her small table, table cloth, cutlery plates everything had clearly come from his bag as she didn’t recognize any of them. He had been prepared. She sat, and devoured one of the best carbonarra’s she’d ever tasted. It wasn’t just as good as the local italian, it was far better. They chatted casually as they ate, and had easy relaxed conversation. He did most of the heavy lifting, finding topics she was open to talking about and providing balanced, well reasoned opinions. By the time he dished up some Tiramisu for dessert, with a small smile and an apology that this part was store bought, she felt completely at ease in his company. After dinner he had cleared the table, washed the dishes and restacked everything into his rucksack. She had looked on, admiring the ease with which he worked, confident yet understated. She hoped his demeanor carried as easily into the bedroom.

When he’d finished packing she took his hand and without saying a word led him to her bedroom. Knowing that this was going to happen anyway, that she didn’t need to worry about judgment she stripped her clothes and stood in front of him. He leaned in and kissed her. It was a soft, gentle passionate kiss that sent a tingle down her spine. It had been unexpected, but as she kissed him back she realized it was definitely not unwanted. Placing his hand on the small of her back he guided her down on to the bed, their lips never breaking contact. Once they were both lying down, her fully naked and him still fully dressed, his hand started to explore her body. It brushed down the side of her face, traced the length of her neck and briefly came to rest cupping her right breast. Her nipples were fully erect and his thumb gently traced the outline. Over taking by a sudden eagerness she took hold of his hand and moved it from her breast to between her legs. He ran a finder down the length of her vagina and slowly pressed the tip into her. She gasped in delight, both from the pleasurable sensation but also the anticipation that this time she might actually get some attention herself. As his finger started stroking the roof of her pussy he thumb moved over her clitoris. He continued to kiss her passionately, his tongue chasing hers while his finger and thumb stimulated her. Her climax came quickly. She moaned into his mouth as her lower body shuddered.

“Thank you” she whispered.

“I’m not done yet”

And with quick powerful movements he got up moved to the bottom of the bed and with his hands under her thighs he lifted her body weight and pulled her towards the bottom of the bed. Then he knelt on the floor, put his head between her thighs and gently sucked on her clirotis. Her breath rushed out of her lungs in a gasp.

“Oh Fuck!”

His movements were gentle but efficient, in what felt like seconds she felt her body again racing towards orgasm. He didn’t make much noise, quietly working between sucking on her clit and working his tongue over and around it. A steady even pace which let her body enjoy the sensation without feeling like it was being lapped at by a thirsty dog. He clearly knew what he was doing and she was loving every second of it,

“Oh Fuck! Jesus! Oh! Mmmmmmmm!”

She came again, her body tensing, waves of pleasure sweeping through her. As the pleasure subsided she breathlessly looked down, she suddenly became self conscious, having let go in the moment she worried she had got too wet, even worse had she cum strong enough for it to get over his face? But he hadn’t reacted at all, in fact he was still going. He had eased the pressure a little and had slowed down, but his tongue was still working her clit, As the last of her orgasm started to ebb away she started Escort Elazığ to reach down to push his head back, she was done. Only before her hand got there he shifted his weight and brought his hand from where it had been resting on her thigh to under his chin. Two fingers gently pushed inside of her, her wetness allowing them to easily press into her, This time instead of her g-spot he was pushing further inside, giving her a fuller feeling and gently penetrating her deeply. His fingertips were stroking somewhere deeper inside, his tongue still all the while gently flicking and teasing her. The orgasm that had moments ago been fading away came charging back at full gallop, only this time it didn’t stop when it reached it’s previous peak, this time it charged on, an almost unbearable explosion of pleasure started radiating out from between her legs, pulsing and traveling throughout her entire body. It seemed to last for forever, wave after wave spreading through her. She was aware that she had cum flowing from between her lips, but in that moment something that normally mortified her barely registered. She suddenly realized her whole body was tensed and consciously forced it to relax, her muscles easing bringing their own little tingles of relief.

The memories of what happened after that were a little less clear, she had been completely wiped out with the experience. She’d possibly just fallen straight asleep, though she seems to remember thanking him and muttering something about needing to be up early. He’d left and she’d woken up the next morning not entirely convinced it hadn’t been a dream. She’d confessed the experience to Lucy one night, a little embarrassed at having sought the services of a gigolo and had been a little shocked when Lucy pointed out she hadn’t, because she hadn’t paid him. She had never quite been able to reconcile that and had always meant to ask Jane about it, but Jane had left the company the week before to take a contract in Australia, and despite many assurances they would stay in touch she hadn’t been able to reach her since.

Sitting on her bed, staring in horror at her phone Sharon tried to bring logic to bare on her current situation. It had been years since that encounter, she hadn’t even realized that she still had the number saved. He wouldn’t be on the same number, obviously not, but then why not…she was. He wouldn’t answer though, it had been 15 years, he wouldn’t still be doing it. He’d only been maybe a couple years younger than her. He’d easily be fifty by now. You don’t get fifty year old gigolo’s do you? Surely not. Her phone screen lit up, another message from Lucy ridiculing her drunken stupidity no doubt.

“Eight o’clock? Same address?”

It was him! She launches her phone to the far end of the bed, as if the act itself will fling the message out of existence. She pulls the covers up to her nose and stares at the phone. It’s like she’s expecting his voice to magically start coming out from it, or for her phone to leap up and run at her forcing her to accept the reality of what had just happened. After staring at the phone for a solid five minutes without moving she centers herself.

“Fuck this”

Leaving the phone exactly where it landed she gets up and goes for a shower. A few years ago she had treated herself to a new shower, one of the rainfall ones with a big fixed circular shower head that lets the water cascade down a downpour. It also came with a smaller hand held shower head for helping to wash hair and other more difficult to reach areas. As she stood under the steaming shower her mind kept jumping back to that night all those years ago. She had a had a few partners since, and some not unenjoyable sex, but she had never cum like she did that night. She’d never had someone put so much emphasis on her pleasure. All the guys since generally fit into two categories, two pump chumps who were only in it for themselves or enthusiastic but ultimately unskilled lovers who battered away at her nethers like they could brute force the pleasure into her. One or two of them had succeeded in getting her there, but it seemed more luck than judgment, As she reminisced about how Beardy had so skillfully manipulated her pleasure centers she found herself reaching for the smaller detachable shower head. She turned the water onto a pleasantly warm temperature and aims the head between her legs. She knew she was teasing herself, she’d experimented with this before and it had never been enough to get her over the edge but the combination of being lost in the memories and the water tapping against the outside of her pussy lips was a pleasant sensation. She spends a few minutes letting the water do its thing before sighing, replacing the nozzle and finishing showering off. Toweling off, she feels much more alive, the hangover has cleared and she’s much more clear headed.

Back in her bedroom she picks out some clothes, a simple dress which she likes because it’s black and she thinks it hides her curves, and a pair of light gray leggings. She brushed out her shoulder length black hair, well, gray in truth, but it’s only been a week since her last visit to the hairdresser so it is still reassuringly jet black for now. She checks how she looks in the mirror, she much prefers the view when everything is covered up and wry smile crosses her lips.

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Spring Semester

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Blonde

It started with a dream I had back in college, freshman year. I was so naive, so green, so inexperienced with relationships of any kind. I was a bit jumpy, sensitive, lacking in confidence but not utterly anti-social. I was also far from a he-man type — I was the bookish nerd, not the football hero. And I wore glasses early — I actually couldn’t wait until I could, because I thought they made me look better.

There was this one student who I’d see around. Her name was Melissa. She was from my hometown, the big city. I’d see her around on campus, and I thought in a vague way that she was kind of pretty.

She had sandy brown hair, steel blue eyes, freckles, and a friendly, open face. Her hair went almost to her neck and hung relaxedly on her head. She never wore make-up, something I always like in females in general — I never liked the idea of being “done-up”, all that paint and chemicals hid the natural beauty of a woman.

She and I both stood about the same height, which is to say about 5-10. Were I to embrace her, it would be comfortable, requiring neither of us to stand on tiptoe. Her frame was fairly skinny, but she had a pretty ample rack, a little more ample than her peers.

On a couple of occasions, she sported tops that were just short enough to reveal a peek at her midriff and her cute, oval-shaped, innie bellybutton. It was about as sublime an image as a chick could have, or so I thought. This one time she had a pastel blue polo shirt which rode up just a bit. I always found such fashion teases tantalizing.

Perhaps it was the swirl of activity being at a major engineering university, what with the classes, getting accustomed to schedules, balancing coursework, and whatever, but with my head spinning with all the new data, I had an extraordinary dream one night, and it was about her.

Imagine the classic clouds or “in the heavens” scenes, lots of white, misty gossamer clouds of white, gently wafting around, perhaps a fog obscuring everything. Nothing is clearly visible.

And then it slowly faded in, emerging gently. It was me and Melissa, leaning towards each other, face-to-face, seated, as if on a hillside.

And we were kissing — kissing sweetly, lovingly, blissfully, our soft lips, partially moist, feeling each others’ out, feeling the warmth of each others’ faces, cheeks, with me feeling the energy of her sandy hair, her presence, affection.

It wasn’t French kissing — there was no tongue. It wasn’t down-and-dirty. It was about as simple, as kindly, as one might imagine. It was slow, and sensual, and frankly, loving.

Seemingly, about 15 minutes later, the vision dissipated.

The natural chemistry made sense to me. I am a Pisces, and she was a Cancer. I always thought Cancer chicks were naturally sweet anyway — just a touch shy, but with the ability to flirt. Being a student of astrology (no, that was not my major; it was just an interest) I knew that each part of the body was ruled by a different sign. For Pisces, being the last sign in the astrological year, it was the feet, the last extremity in the body.

For Cancer, however, it’s the breasts, and it is reputed that Cancers have quite sensitive chests. They love having them stroked, touched, felt. (Gals and guys both, supposedly.) And, logically, I would imagine that Cancer chicks, in many cases, have pretty sizable racks to that end.

After having had this dream, the most extraordinary thing happened — I had a massive crush on Melissa. It was really odd, because this was someone I’d only seen around, but not really talked to much. I now found myself with this burning desire to get to know her.

As luck would have it, second semester, we would share a class together — a sociology course on marriage. I chose it as an elective, primarily to help boost the grade-point average. (I was already doing well, but one always hedges one’s bets against a rotten professor.)

Never one to hide out in the back of class, on the first day, I took a seat on the front row, in the 300-chair lecture room, with six large chalkboards and a front desk and lectern, all wooden, a setup that clearly had seen better days on this campus of over 150 years. Other students shuffled in with backpacks and spiral notebooks in hand.

Most of the seats on the first row were filling up, but there were a couple to my right. And then I saw her walk in, searching around. She took a seat just two from mine, to my right.

As she sat, she smiled warmly and said hi. I responded in kind, my heartbeat beginning to slowly accelerate. I introduced myself and asked her name, but I already knew it. I’d also seen her in my dorm and had done my share of sleuthing.

The professor, a grizzled man of 50, strolled in the room and called the class to order, giving the usual boilerplate speech about his name, the syllabus, and other introductory matters. After about three to five minutes of this, he began the first topic.

I found myself stealing looks sideways at Melissa. It was almost surreal that I had seen this Elazığ Escort lovely in a dream on a preceding night, and now, here she was, seated next to me.

Fifty minutes later, the bell rang, signaling the end of the first class. We had our first reading assignment, and our first homework. I chatted with her after class about what she thought of it. She said it would be an interesting course.

I asked her why she took the course. She said she was undecided as a major and thought a sociology course might be more accessible than psychology. I couldn’t deny that. She also admitted she had a bit of a fascination with people and culture, how people decide how to live. I suggested she might consider an anthropology course, but she replied that it sounded stuffy.

The course took place three days a week — Mondays, Wednesdays and Fridays — at 3pm. It was both of our last courses of the day, and was worth four credit hours. The second week after the Monday class I said I was going to the student snack bar/lounge and asked if she’d join me. She said yes, to my delight.

The snack bar/lounge was equal parts cafeteria, arcade, and entertainment center. It was also where the dorm mailboxes were situated, oddly, as well as a massive bulletin board announcing various campus events. For such a sizable campus, though, it was never overcrowded, and I found it a fairly chill place to relax.

It was in this environment that Melissa and I would study and get to know each other more. I don’t know if she felt it, but when I say chemistry, I really do mean it — I felt something chemical in my body when we were together. It was part calming, part relaxing, something I don’t usually feel with anyone else. There was definitely a sweet and gentle vibe to her.

As the weeks of class went on, we began to share more about ourselves with each other. Both of us had had challenging early lives. My Achilles’ heel was self-confidence, always feeling flawed and “never enough.” Hers was finding someone to connect to — while she was sweet and approachable, that never seemed to translate into the kind of buddy-buddy intimacy her classmates seemed to enjoy. In her own way, she was also nerdy, but not the kind that makes one awkward.

By midterms, I found myself thinking more and more about her, and not just emotionally, but also carnally. I was relatively inexperienced in the sack and, being the kind of guy I was, did not just simply play Casanova with anyone. I always liked the idea of being friends first, particularly if the upgrade path for that led to the bedroom.

In the privacy of my dorm room bed at night, I would find myself carrying my original dream a bit further, but not into the kind of tawdry scenes one would see in a XXX video. There would be cuddling. There would be hugging. There would be soft whispers, light tickling, playfulness. I would imagine running my fingers through her long strands of hair, and feel her ample presence in my arms.

As the eleventh week arrived, the end of the semester was beginning to come into focus. Both of us were doing well grade-wise, so we were both feeling pretty confident there. As it was now spring and getting warmer, a different energy was present.

With that energy, thankfully, came clothing that was appropriate to the warmer weather. On a particular Friday class, as I was reviewing the notes I’d scrawled in my notebook, my periphery was caught by Melissa as she strode into class.

She was wearing a polo shirt that rode up a little bit, just enough to let her oval-shaped bellybutton tease me, showing and hiding in alternating succession. I felt my crotch stir with excitement, but made a decision not to stare. But that was a bit of a challenge, as my eyes took in all of her as she got close to our seats.

Melissa had a rather nice pair of breasts. I mean, they were really quite noticeable, at least the size of grapefruits. The shirt she wore hugged them nicely, though, so they weren’t showy — just noticeable. No cleavage was visible, but my imagination filled in the gap anyway. And there was no profile of nipples, either — perhaps a wise call in the dignity of a college classroom.

Despite the adage that it’s not wise to compliment a female on her physical appearance, I went for it anyway and told her I thought her outfit looked really great. Her face lit up, and she thanked me, telling me it was something new for spring. I felt the energy of her pleasure and it buoyed me, too.

I needed the buoying. While I was doing well in the sociology course, a sort of existential angst had taken hold of my head, and I found myself questioning my worth, my value as a human being. Where was I going? I had chosen a major, but in so many ways, I felt like a misfit. I wasn’t a hip musician. I wasn’t a jock. I was a decent student, but not Dean’s List material. On some level, I felt invisible.

So when I felt her positivity, it really was a lift.

It was another Friday night near semester’s end. Melissa and I had actually started Elazığ Escort Bayan hanging out, outside of class, by this point. We often got dinner together, but it didn’t feel like dating. It was just, here was this really hot student chick that I seem to have developed a crush on, and got to spend lots of time with, but not in a suffocating kind of way. In many ways we really were good for each other.

The snack bar/lounge was closing. We’d been there a good 90 minutes. It was time to go. As effortlessly as breathing, I asked if she wanted to come back to my off-campus apartment. To my great delight, she said yes.

My apartment was in a nice part of the college town. It wasn’t far, and we walked there from the snack bar. My college town is picturesque, green and lush with oak trees, like many smaller places in the Midwest. It was a two-plex I got for a decent rate from a private landlord and had just the right amount of space for me and my belongings.

I turned the key in the lock and quietly pushed open the door to a peaceful, darkened apartment, with only a night light providing illumination in the spring night. I closed the door behind us, and for a moment, with only the soft hum of the central air, we stood there.

“May I hug you?” she asked me.

“Of course,” I quietly said.

We walked toward each other, and stepped into a warm, full, embrace. I cannot recall the last time I ever felt a hug quite like this one. Her cotton polo shirt brushed against my lower neck and felt wonderful. Being the same height, our upper body frames fit snugly together.

And I felt her breasts, her warm, comforting, firm but cushy breasts, pressing against my sternum. I felt my shaft stiffen.

“Wow,” I offered.

“What?” she asked.

“This…this feels so, so good,” I answered, approaching a reverie at this point.

“You’ve never been with a chick before?”

“Well…no, actually. I’ve had plenty of fantasies and dreams, but this is really a first. I mean…sometimes I just don’t feel like much. I see other guys around, and they’re always walking with someone, holding their hands…”

“And?”, she said, softly.

“I just don’t feel like that will ever be me, for some reason. I’ve always been a bit awkward, at least with relationships. We’ve talked about that before.”

She rested her head on my shoulder, lovingly.

“I think everyone has challenges like that from time to time,” she offered. “People are complicated, they really are.”

She paused.

“Besides,” she continued, “I think you’re pretty lovely.”

I allowed my head to fall on her shoulder now. We were wrapped in a more encompassing embrace.

“Mmmmm…” I hummed.

We stood, locked in each others’ arms, for what felt like 10 minutes.

“Wanna stay over?” I asked.

“That’s kinda what I had in mind,” she said with a bit of a chuckle and blush. I chuckled, too, thinking, you little rascal.

I reached for her hand and she gently took it, and in the dim light of the room, led her to the bedroom where, amazingly, I had remembered to make the bed that day with freshly laundered sheets.

We began to quietly take our clothes off. I could hear crickets chirping outside the window. A half moon provided some additional light through the window. I switched on the light on my nightstand. I wanted to be able to see this lovely person’s body.

She had stripped down to her panties and bra. I had stripped to my briefs.

Again, we walked toward each other and held each other. This time, the feeling was much more intimate, much softer, the feeling of warm skin against warm skin, hers incredibly smooth and soft. I felt the curve of her shoulder under my chin, and her hair brushing against the left side of my face.

She stepped back after a few moments, and undid her bra, allowing her breasts to hang loose. I watched the whole thing as if it had unfolded in slow-motion. It was absolutely beautiful.

I had estimated Melissa’s breasts were the size of grapefruits. I was wrong. They were larger. They were also real — no implants, nothing fake, just two ample, firm masses. Her nipples, erect, were a kind of cinnamon brown, and the size of a small grape, and the areolae were about the size of a silver dollar. I found my eyes drawn to the cleavage between her breasts, thinking it was about the right snugness and size for a thick, long shaft to go.

Now completely topless, we embraced again, this time feeling the full warmth and form of her breasts, with her nipples grazing my upper chest. I was now thoroughly horny, completely enraptured of this soft, kind, and incredibly generous female.

I nodded my head rightward, motioning we should climb into the bed, so I drew the covers back, and she gracefully slid in, under the covers. I removed my briefs at this point, and climbed into the bed with her.

For a few moments after we got in bed, we just lay there, once again, holding each other, enjoying the intimacy, the quiet of the moment, but Escort Elazığ also the almost psychic emotional connection we seemed to have found in one another. It was something I never could have imagined would ever have happened to me.

I ran my fingers through her hair as the side of her face lay on my upper chest. My own nipples were pretty hard at this point, as I was caressing her head. My penis was pretty hard at this point, all the muscles down there were at attention.

She began to move her hands, her fingers, across my body, giving me a sort of massage. The energy was unmistakably kind, and I felt it in her touch. Her fingers grazed my nipples, causing me to moan aloud with pleasure. Figuring she had hit a pleasure spot, she gently rested there, fingering them for what had to have been a good five minutes. It was unbelievably ecstatic. Had she kept at it long enough, I might have come right there from that, alone.

Apparently Melissa knew how to be sensuous and sexual, both. She planted a quick kiss on me here and there every few moments, while continuing to stroke me, and I felt her breasts gently brush up and down.

After a good 10 minutes of this, I lay back down. I watched while she, positioned over my body, quietly took her hands and cupped her breasts, holding them up for me.

I reached back with my hands and began to massage them. They were warm, large, and had a delightful weight to them. She moaned with pleasure almost imperceptibly. I gently squeezed them, admiring their firmness inside and their softness on the surface. Enraptured, I rubbed her breasts for what had to have been about five minutes, returning the nipple-flick favor to her with my own hands.

I sat up slightly, and brought her chest to my face, deeply burying my face in her cleavage, and holding her breasts against my lower face and chin, feeling the firm nipples on my cheeks. Her moans were ever so slightly more audible now. We had not said a single word to each other in a half hour, but we were clearly communicating.

Drawing back, I now brought her breasts near to my mouth, certain she could feel the warm breath from me. Opening my mouth, I stuck my tongue out and playfully gave her right nipple a flurry of lecherous licks before sucking the full nipple into my mouth and just letting it rest there, letting my saliva and tongue warm it. Moments later, I repeated the same for her left nipple, while continuing to lovingly stroke her right breast with my other hand.

The feeling was incredible. As I rested the side of my head on their curvature, I felt her nipples brush against my cheek. I turned my head to look at them momentarily before again taking the right one between my lips, beginning to suck slowly on it. I heard soft, fleeting grunts of pleasure from her, as I continued to lick the underside of her nipple. Then I again switched to the other one, feeling the heat from her body reaching the side of my face. I sucked her other nipple firmly, enjoying the sensation of her flesh on my tastebuds and tongue tip.

At this point, Melissa now sat up a little bit, again cupping her breasts in her hands, but motioning me to bring my penis up a bit. My erect shaft, completely upright, stood in the cool bedroom air.

Slowly, she wrapped my penis with her breasts, first softly and presently with a bit more pressure. It was absolutely the best physical sensation I’d ever felt in my life. The underside of my shaft was held in place against her warm, sensuous mounds, while I could enjoy the sight of her bared, stiff nipples and areolae.

Her breasts were so supple, so soft, so warm, and feeling them in a lockhold around my penis was marvelous.

She gently began to massage my penis with her breasts, gently sliding them up and down my shaft, very slowly. Because her skin was so soft, neither of us felt the need to reach for lube which I happened to have on my nightstand.

I watched while the crown tip of my penis appeared then disappeared into her cleavage, loving the sensation of being masturbated, and feeling precum beginning to rise to my piss slit and drip out.

I shut my eyes for a moment, simply enjoying the sensation of being stroked this way. I had heard something about tit jobs before, but never thought I’d have to good fortune to experience it like this.

As I lay there while she continued to work my penis rather masterfully, something psychically came to my mind. She was probably enjoying giving me a tit job more than I was. I guess I always had the impression that guys always liked sex more than women, but it never occurred to me that maybe the woman wanted to be the initiator, the one in power. As Melissa squeezed her breasts around my cock more firmly, I began to think my suspicion might be right.

I opened my eyes again, and watched her choking my penis with the firmness of her breasts, with the slightest, self-assured trace of a smile on her lips. What I saw was equal parts playfulness, equal parts lechery, and the rhythm of her rubbing me was gradually speeding up.

I felt myself approaching climax, the semen rising from my balls into my shaft, trying to hold it back a little bit so I wouldn’t come too fast. And yet, the sublime sight of my penis being massaged by these two lovely orbs with their nipples showing was incredible.

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Du vice à l’esclavage 02

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Babes

*****

Ce texte comprend de la soumission féminine, de la contrainte, de la violence, de l’humiliation, de l’esclavage et des relations interraciales. C’est une pure fiction. Si votre esprit est en contradiction avec ces thèmes, ne perdez pas votre temps à le lire.

*****

Luisa vient de quitter mon bureau. Je n’arrive toujours pas à croire à quel point cela a été facile de la soumettre.

Mon bureau, comme tout l’étage, est équipé de caméras de sécurité. Je m’installe dans mon fauteuil et visionne le film de cette fin d’après-midi.

La qualité est bonne et le son est parfait.

Je vérifie bien qu’elle est à l’origine de la proposition de cet accord. Cette idiote est tombée dans mon stratagème d’elle-même. Je suis tranquille en cas de problème.

J’en profite pour la mater en train de me pomper, de la baiser et de la sodomiser.

Quelle fin d’après-midi! Je n’ai pas encore totalement réalisé.

En réfléchissant à la suite, je me dis qu’il pourrait être vraiment facile de me constituer un petit cheptel de soumises lubriques.

L’idée de profiter de leurs vices pour assouvir les miens me plait de plus en plus.

Tout en rentrant chez moi, j’élabore un plan pour le lendemain…

J’ai dormi profondément, mais l’excitation de cette nouvelle situation m’a réveillé à l’aube. J’arrive donc tôt au travail. Je commence par vérifier s’il y a d’autres petites secrétaires qui pourraient être de nouvelles victimes.

Oh surprise, je me rends compte que le site est consulté par quelques innocentes secrétaires.

Mon plan va être simple, je vais espionner ces petites coquines et les amener à prendre des choix :

– me servir d’esclaves sexuelles pendant un mois

– rendre des compte au DRH

Dans les deux cas, je serais gagnant. J’aurais de belles femelles motivées à mon service et mon DRH me félicitera de mon travail.

Je surveille son arrivée au travail sur les caméras. Je la vois avancer lentement dans les couloirs, l’air abattu jusqu’à son bureau. Elle est habillée moins sexy. Elle porte un leggins rouge, un tee-shirt ample blanc et des baskets.

Elle a visiblement oublié ma consigne de mettre des chaussures à talons.

Un mise au point s’impose…

Je l’appelle sur son numéro direct en prenant une voix en colère.

Moi : “Ma petite pute, dépêche toi de descendre à mon bureau!”

Luisa, chuchotant : “Oui mon maître, j’arrive de suite”

Deux minutes plus tard, elle est de nouveau devant moi.

Moi : “Ferme la porte à clé!”

Luisa se retourne et ferme la porte à clé. Son stress vient d’augmenter.

Je suis assis sur ma chaise de bureau.

Moi : “Vient en fasse de moi!”

Elle s’avance et s’arrête à environ trois mètres de moi.

Moi : “Plus prêt salope!”

Elle ne sait pas pourquoi je suis fâché et hésite à avancer. Elle avance d’un mètre. Je lui fait signe d’avancer encore en montrant autoritairement du doigt là où je veux qu’elle attende.

Elle s’avance et attend. Je prend quelques secondes avec un air noir, passablement en colère.

Moi : “Tu n’as rien oublié de dire lorsque tu es arrivée devant ton maître?”

Luisa se rend compte qu’elle n’a effectivement rien dit…

Luisa : “Bonjour maitre, comment puis-je vous satisfaire?”

Moi : “A l’avenir, n’oublie pas les politesses qui me sont dues!”

Luisa est de nouveau plongée dans son rôle d’esclave.

Mais avant de lui expliquer la suite, il me faut la punir pour sa faute…

Moi : “Hier, je t’ai donné un ordre.”

Je regarde ses chaussures.

Elle se rend compte immédiatement de l’erreur et essaye de s’excuser.

Luisa : “Excusez-moi mon maître, j’ai oublié votre consigne ce matin en me réveillant. J’ai mal dormi. Excusez moi, s’il vous plaît!”

Moi : “Nos règles sont simples, j’ordonne, tu obéis”

Moi : “Tu n’as pas respecté notre contrat.”

Luisa : “Non, maître, s’il vous plait, je m’excuse, je ne le ferais plus”

Moi : “Tu n’as pas obéis. Soit tu pars et je donne le dossier au DRH, soit je te punis pour ta désobéissance.”

Elle a une tête décomposée. La journée commence plutôt mal pour ma soumise.

Luisa, d’une voix pas rassurée : “Punissez moi, maître”

Moi : “Je vais te punir. Allez à poil!”

Luisa enlève ses chaussures, son tee-shirt et son legging. Elle est toujours aussi belle, mais a visiblement décidé de ne pas trop me stimuler. Elle a un soutient gorge et une culotte en coton blanc. Rien d’extraordinaire.

Je l’arrête et mets les choses au point.

Moi : “Tu penses sérieusement satisfaire ton maître avec ces fringues! Tu as oublié ton rôle?”

Luisa : “Non maître, je suis là pour vous satisfaire”

Moi : “Est-ce que tu penses que tu es habillée pour me satisfaire?”

Elle est visiblement vexée et ne sais pas quoi répondre.

Moi, après quelques secondes de silence : “Est-ce que tu penses être bandante avec ces fringues?”

Luisa : “Euh, …, Je, …, non, … , j’imagine que je ne le suis pas, mon maître”

Moi : “Alors, petite idiote, pourquoi les a tu choisi ce matin?”

Moi Erzurum Escort : “Tu auras deux punitions. La première pour ne pas avoir cherché à satisfaire ton maître et la deuxième pour avoir désobéi à ton maître”

Luisa : “Oui maître, je mérite ces deux punitions”

Moi : “Termines de te foutre à poil, tu m’énerves!”

Pendant qu’elle enlève son soutien gorge et sa culotte, je fouille dans mon tiroir. Je cherche deux pinces à papier. Je les trouve enfin et me retourne vers elle qui m’attend nue et stressée.

Je me lève et me positionne à seulement quelques centimètres d’elle.

Moi : “Je t’interdis de te servir de tes mains. Si tu le fais, je te donnerais une punition encore plus dure.”

Luisa : “Oui maître”

Je prends la première pince à papier, je l’ouvre et la positionne devant le bout de son premier sein. Elle change de tête et a visiblement très peur. Ses seins durcissent avec l’air de la climatisation. C’est parfait pour ma première punition.

Moi : “Tu n’as pas cherché à satisfaire ton maître, en t’habillant comme si tu allais faire le ménage de ton appartement! Tu mérites ta première punition. Lorsque je te punirais, tu me remercieras de te corriger afin d’apprendre ton rôle d’esclave. Tu garderas ces deux pinces tant que je ne te les enlèverais pas”

Luisa : “Oui maître, punissez-moi”

Je suis conscient que la pression de ces deux pinces à papier va être forte. Elle va se rappeler de sa première punition!

Je referme doucement la première pince sur son téton. Elle a envie de reculer, mais je la regarde avec un air sévère. La pression augmente et elle commence à gigoter.

Je relâche la pince et la douleur se fait immédiatement sentir. Elle fait un petit cri et ses larmes coulent immédiatement.

Luisa : “Merci maître de me punir, j’apprends mon rôle d’esclave grâce à vous”

Je positionne la deuxième devant son autre téton. La douleur est déjà très forte sur son premier et elle angoisse de voir la deuxième en place. Je n’hésite pas une seconde et la ferme avec un geste plus sec.

Elle cri encore plus fort.

Luisa, en pleur : “Merci maître de me punir, j’apprends mon rôle d’esclave grâce à vous”

Les bouts de ses seins sont clairement écrasés et gonflent. Je me dis qu’elle va être beaucoup plus attentive à mon confort et à ma satisfaction après.

Il est temps de la punir pour sa désobéissance.

Je prends mon temps pour qu’elle profite bien de la douleur de ses tétons.

Moi : “Tu vas allonger ton haut du corps sur mon bureau, tes seins face au bureau. Ton cul à l’air le plus cambré possible. Je veux voir ta rondelle et ta chatte bien à l’air”

Luisa : “Oui maître”

Elle se positionne. Elle sursaute et grimace lorsque ses tétons finissent par toucher la table. C’est visiblement très sensible.

Moi : “Tu n’as pas obéis à un de mes ordres. Tu as choisi la punition!”

Moi : “Je vais te donner 20 claques sur ton petit cul de pute. Tu vas les compter et me remercier après chacune”

Luisa, en pleur : “Oui maître, je vous remercie de me punir”

Ma main est plutôt grosse, je pense qu’elle va bien la sentir.

Je me positionne derrière elle. Elle gigote avec la douleur de ses tétons. Ma vision est incroyable. Son cul est devant moi, sa rondelle et sa chatte exposées comme deux trophées.

Je l’admire quelques secondes. Il faut que j’immortalise le moment.

Je sors mon téléphone et prends une belle photo du cul de ma soumise.

Le bruit de la photo surprend Luisa. Elle se retourne et voit que je la photographie dans cette position obscène de soumission.

Luisa : “S’il vous plait mon maître, non, … , pas de photo”

Moi, autoritairement : “Qu’est ce que tu es?”

Luisa : “Votre esclave sexuelle, maître”

Moi : “Alors?”

Luisa, résignée : “Vous pouvez faire tout ce que vous satisfait de moi, maître”

Moi : “Alors ouvre ta bouche pour me remercier ou pour me sucer la bite!”

Luisa : “Oui mon maître”

Je prends quelques photos supplémentaires en prenant un pied incroyable.

Je pose mon téléphone et commence sa deuxième punition.

Je me positionne derrière elle et lui donne une claque bien sèche sur son petit cul. Elle crie, surprise.

Luisa : “Un. Je vous remercie de me punir”

La marque de ma main et de mes cinq doigts apparaît en rouge sur son cul. Je prends une nouvelle photo.

Je lui donne une deuxième fessée.

Luisa, en pleur : “Deux, Je vous remercie de me punir”

Je lui en donne encore quelques-unes. Elle me remercie. Son cul est bien rouge maintenant.

Elle souffre de plus en plus. Je vais changer d’angle pour frapper également sa petite chatte qui avait été épargnée pour le moment.

Je la claque en remontant du bas vers le haut. J’arrive à prendre toute sa chatte de son clitoris à sa rondelle.

Elle vient de hurler et gigote dans tous les sens.

Moi : “Alors?”

Luisa, en pleurs : “Douze, je vous … remercie … de me punir”

Je vois l’intégralité de sa chatte virer au rouge. Cela mérite une Erzurum Escort Bayan belle photo!

Je continue tranquillement. Elle gigote toujours, mais reste en place. Je suis tombée sur une soumise née.

La dernière fessée, bien appuyée…

Luisa : “Vingt, … je …. vous …. remercie … de … m’avoir … punis, … mon … maître”

Moi : “Relève toi!”

Son cul et sa chatte sont entre le rouge vif et le violet.

Moi : “Est-ce que tu as compris pourquoi tu as été punie?”

Luisa : “Oui maître, j’ai désobéi et je n’ai pas tout fait pour vous satisfaire”

Moi : “C’est bien cela. Tu seras encore puni si tu recommences”

Luisa : “Oui maître, je n’oublierais pas”

Son cul bien rouge et ses tétons écrasés me font bander comme un taureau.

Je vais lui libérer ses tétons. Elle a maintenant les pinces depuis une bonne vingtaine de minutes, cela suffit pour une première punition.

Je m’approche d’elle. La regarde dans les yeux. Elle a visiblement peur, mais ne bouge pas.

J’attrape ses deux pinces dans mes mains. Elle sursaute. Je les tire et les tourne légèrement. Elle hurle de douleur.

Ses tétons sont comme deux petites boules gonflées de sang.

J’ouvre d’un coup la première pince. Le sang circule à nouveau dans ses tétons. Immédiatement, je le suce et l’embrasse. Elle fait un bruit mélange de soulagement, de douleur et de libération mentale.

J’imagine le changement qu’elle peut ressentir.

J’arrête de le sucer. Son téton a encore la forme de la pince et est rouge vif.

Je retire la deuxième pince et suce le téton martyrisé.

Là, elle fait un bruit de soulagement intense. Je pense qu’elle n’a pas vécu de soulagement aussi grand dans sa vie.

Luisa : “Merci maître, je ne recommencerais plus”

Moi : “Tu as intérêt!”

Moi : “Tes punitions sont terminées, ta journée de petite pute peut commencer”

Elle pensait visiblement en avoir terminé. Mais cette séance de punition m’a donné une érection de malade. Maintenant, il faut qu’elle reprenne ses activités d’esclave sexuelle.

Moi : “Comment comptes tu satisfaire ton maître ce matin”

Elle est surprise de ma question et pensait sûrement rester passive à suivre mes ordres…

Elle hésite à répondre…

Moi : “Alors, ma petite pute, tu n’as pas d’idée? Tu préfères les punitions?”

Elle se reprend en sursaut…

Luisa : “Non maître, je vais vous sucer comme vous m’avez appris”

Sans attendre, elle se met à genoux devant moi et commence à descendre ma fermeture éclair. Je lui donne une gifle brutale. Elle recule, ne comprenant pas la correction.

Moi : “Debout!”

Moi : “En aucun cas tu décides à la place de ton maître!”

Moi : “Tu oublies ton rang d’esclave. Recommences!”

Luisa se relève. Elle est debout devant moi avec la marque de ma gifle sur le visage. J’y suis allé un peu fort, mais c’est une période de dressage indispensable pour ma soumise.

Luisa : “Mon maître, j’aimerais vous satisfaire en vous suçant comme vous me l’avez appris hier”

Moi : “C’est mieux. Fait voir à ton maître si tu as bien appris”

Elle se repositionne à genoux devant moi et cette fois, je la laisse faire. Elle descend ma braguette délicatement et enfin mon pantalon. Elle a compris le message, elle est bien concentrée sur mon plaisir maintenant.

Elle descend mon caleçon en libérant mon sexe qui se tend immédiatement.

La sensation de mon sexe que se déploie à l’air devant le visage magnifique de Luisa me fait un bien fou.

Elle positionne d’elle-même ses mains croisées dans son dos et enfourne délicatement ma bite dans sa bouche. C’est chaud, humide, doux et elle est tellement belle et sexy!

Elle fait des allers et retours en prenant ma bite plus profond dans sa bouche à chaque fois. En quelques secondes, je suis déjà à l’entrée de sa gorge.

Elle n’hésite pas à prendre mon gland en entier dans sa gorge tout en ayant des réflexes de régurgitation.

Je la laisse faire, sans rien dire. Elle a visiblement intégré que mon plaisir doit rester sa priorité.

Elle retire mon gland de sa gorge après quelques secondes tout en continuant à me sucer. Elle respire profondément par le nez et recommence des aller-retours dans sa gorge.

Elle continue en bavant et fait des bruits de succion et de gorge. Elle me fait une pipe bien baveuse et bruyante comme je les aime. Je suis ravi, mais je ne la félicite pas.

J’en profite pour lui expliquer comment va se dérouler son mois d’esclave sexuelle.

Moi : “Voici mes nouveaux ordres. Ne t’arrête pas de me sucer, je n’ai pas besoin que tu me répondes”

Moi : “Tu vas te mettre en congé tous les après-midi du mois. Le matin, tu arriveras une heure plus tôt au travail pour venir satisfaire ton maître. Tu reviendras tous les après-midi, dès ton travail terminé, pour me satisfaire et attendre mes nouveaux ordres.”

Luisa, tout en ayant ma bite bien au fond de sa gorge, fait un signe d’acceptation avec sa tête.

Moi : “Quand tu seras au travail, je veux que tu profites Escort Erzurum des pauses pour encourager les plus belles filles de l’entreprise à aller sur ton site de salope en chaleur.”

Moi : “Tu leur expliques à quel point c’est sympa d’avoir des conversations hot anonymes avec des hommes sur ce site”

Moi : “Je veux qu’au minimum, une nouvelle collègues sexy commence à utiliser ce site tous les jours!”

Moi : “Tu veilleras à t’assurer qu’elles continuent toutes régulièrement à se connecter. Tous les après midi, tu commenceras par me donner la liste des salopes que tu auras motivées”

Luisa continue à me sucer et a visiblement compris qu’elle ne sera pas seule dans cette situation dans très peu de temps. Vu le nombre de jeunes femmes sexy de l’immeuble, elle ne manquera pas de travail de recrutement.

Luisa continue à me sucer comme une chienne en chaleur. Elle apprend vite. Mes punitions l’ont bien motivées. Je la laisse continuer encore un peu, c’est trop bon.

Je me retire. Ma bite est énorme, recouverte de bave. Elle reprend sa respiration et me regarde sans comprendre.

Je vais la déstabiliser un peu plus.

Moi : “Tu penses me satisfaire seulement en me suçant”

Elle est surprise, essaye de reprendre ses esprits.

Luisa : “Non, mon maître. Je peux … , euh, …, non, …, j’aimerais vous donner du plaisir avec ma chate”

Je ne réponds rien et la laisse dans ses doutes. Cela fonctionne, je vois qu’elle panique. Elle est nue, à genoux, de la bave sur le visage et ses seins, les yeux toujours larmoyant.

Moi : “Non”

Moi : “Et j’en ai assez de cette mine triste!”

Elle est surprise de ma réponse sèche. Elle se force à me sourire.

Luisa : “J’aimerais vous donner du plaisir avec mon anus, mon maître”

Moi : “Appelle un chat un chat, salope”

Luisa, en se forçant à sourire : “J’aimerais vous donner du plaisir avec mon petit trou du cul, mon maître”

Moi : “C’est beaucoup mieux. Oui, je pense que je prendrais du plaisir à te défoncer la rondelle; Mais je ne vais pas t’aider. Tu te débrouilleras et tu as intérêt à me faire vraiment plaisir!”

Je vais m’asseoir dans ma chaise en m’avançant le plus possible. Ma bite, dressée comme un pieu, est recouverte de sa salive.

Moi : “Allez salope, viens me satisfaire avec ton trou du cul”

Elle s’avance, se positionne dos à moi. J’écarte mes jambes. Elle vient au milieu se baisse doucement.

La vue de ce spectacle m’excite énormément. Quel cul! Cette petite soumise vient s’enculer toute seule sur moi. Je suis en plein rêve!

Elle attrape délicatement ma bite dans sa main droite tout en se stabilisant avec sa main gauche sur mon genoux.

Elle positionne mon gland à l’entrée de sa rondelle. j’imagine qu’elle n’a pas encore récupéré de son dépucelage anal de la veille, mais je m’en fou. Elle ne bénéficiera que de la sa salive sur ma bite pour faciliter son enculage.

Elle hésite quelques secondes. Je suis donne une claque sur son cul écarlate de la punition. Elle sursaute et crie. Elle a retrouvé sa motivation, malgré son anus déjà bien rouge…

Elle force lentement tout en faisant des bruits gutturaux de douleurs.

La douleur actuelle de sa rondelle déjà bien bien échauffée par mes fessées, la peur d’une nouvelle pénétration douloureuse de cette partie intime et la pression qu’elle exerce sur mon gland la crispe complètement. Son trou du cul ne peut pas être plus serré. Il est minuscule et plissé.

Cependant, je vois qu’elle est motivée. Elle a besoin d’un peu d’encouragement pour passer le cap.

Moi, en lui donnant une nouvelle fessée sur son cul écarlate : “Allez salope! Tu me fais perdre mon temps! Tu penses me satisfaire en trainant comme çà!”

Elle est surprise. Elle doit imaginer la punition qui l’attend si elle n’y arrive pas rapidement.

Je sens la pression augmenter sur mon gland qui s’écrase sur sa rondelle. Elle positionne tout son poids sur ma bite.

Moi, en lui donnant une nouvelle fessée plus brutale : “Tu es une idiote! Tu mérites une punition”

Luisa, en pleurs : “Non maître….”

La peur l’emporte, elle pense moins à son trou du cul. Il se détend légèrement. D’un seul coup, ma bite s’enfonce jusqu’à la garde et disparaît dans son petit cul en l’espace d’un éclair.

Elle reste tétanisée en hurlant sa douleur. Ma bite est écrasée dans ses chairs. je sens mes pulsations cardiaques au bout de mon gland amplifiées par ses contractions musculaires de douleurs.

La sensation est incroyable! Cette soumise a réussi à s’empaler sur ma bite malgré sa peur et ses douleurs.

Je la laisse tranquille quelques secondes, le temps qu’elle s’habitue à la douleur. Je lui donne une nouvelle claque sur son cul écarlate pour l’encourager.

Elle commence à se relever sur ma bite doucement et à se rassoir.

Elle souffre clairement.

J’attrape son petit cul dans mes mains pour lui imprimer un mouvement ample et profond.

Elle m’accompagne. Après quelques aller-retours, elle a compris comment me donner du plaisir.

Pendant qu’elle s’encule profondément sur moi, je retire mes mains de son cul pour aller masser ses seins traumatisés. Ils sont bien ronds et fermes.

L’effet de la salive sur ma bite est en train de disparaître. Son conduit est moins lubrifié et son enculage est moins agréable.

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Rebecca Goes Job Hunting

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Asian

The third instalment of the continuing adventures of Rebecca. This is set in 1980 Birmingham so no social media, no internet, no smartphones so characters can be more confident about not being found out. I have deliberately chosen to have long introductions, including back story and development of the underlying story and some flirtation before sexual activity takes place. That reflects my own preference in stories, but YMMV.

Apologies for the typos in Strangers in a Bar. I tried changing too much in review mode and as I found them knocking me out of the story on rereading, I have no doubt it did for others.

I am a new writer so constructive criticism and suggestions as to which category my stories should go in are gratefully received.

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Rebecca cooked dinner for herself and Marion. While Marion was not actually her aunt, both had agreed that Rebecca should call her aunt or auntie. She had been Rebecca’s mother’s best friend and confidant and had stayed in contact after the accident in which her husband, mom and dad’s best friend died.

She had opened a bottle of wine to celebrate Rebecca’s news that she had been offered a place at Oxford. “Your mother would be so proud. She always said she should have gone to college, but her parents said that it was not for the likes of us and made her leave school at 15.”

Rebecca smiled. She recalled mom lamenting this but making it amusing by quoting Marlon Brando in On the Waterfront and saying, “I could have been a contender.” She had always encouraged her children to do well at school. Dad had originally gone along with this and had continued to support her brother. Unfortunately, he had took out his anger about the accident on Rebecca.

She had left home just before she had started at the school. Even dad had agreed that it was for the best. If anyone queried the arrangement explaining that Marion lived nearer the school, and it saved Rebecca having to take two buses to get from Ward End to Edgbaston and back again every morning and evening normally satisfied the enquirer.

Marion had opened another bottle of wine as she told her about having sex on the train with the American businessman. She laughed hysterically at the thought that Rebecca had been paid a few hundred pounds for having sex. “Even allowing for inflation, I don’t think any of your mother’s admirers ever gave her that much money.”

Next day was Friday. She was a little superstitious and wanted to see the offer from the college in writing before saying anything. The people who asked were told that the interviews had gone well and that they had made encouraging noises, she was waiting for the official response as they would have had other candidates to see. She was a little more open with Mr Hampton, her history teacher, and he was happy for her, but promised to keep it quiet for the moment. She felt that he had come close to embracing her but had thought better of it.

On Saturday she walked into Birmingham and went to the central library. She read up about anal sex and decide that in future she would insist on a durex being used at least by anyone doing it for the first time with her. While part of her suspected the books were written by people trying to scare off people from having sex at all, some of the reasons for caution made sense.

She had put on the blonde wig again. She believed that shops preferred to hire blondes than dark haired girls. She went round three stores who said nothing doing at the moment. They had already hired their Christmas and sale staff and the Saturday jobs had been taken back in August.

She then went shopping and bought a new pair of stockings, some lingerie, and some thigh high tights with the £10 earmarked for replacing the ones ripped yesterday. She recognised the shop assistant, Janet, as someone who had been two years above her at her previous school and asked about Saturday jobs. The girl stared at her for a moment and went to ask the manager. He looked at Rebecca, talked to Janet again, shrugged his shoulders and came over to her.

“Mademoiselle, we have no vacancies currently but expect to have one in early January. I have asked Janet to explain to you the special duties the job involves to make sure that we do not waste each other’s time. If you are still interested come back in the new year.”

Janet had been allowed to take her lunch break plus an extra twenty minutes and in a nearby pub explained the vacancy that the management were looking to fill. Apparently the fact that Rebecca was blonde and had bought the fishnet stockings had persuaded the supervisor to let Janet sound her out. Rebecca decided that while the potential commissions she could earn were tempting, the risks involved were too much. However, she found the images arousing and was sure Marion would be amused as well.

She went to a bank to change the foreign currency from yesterday. She paid some of the cash in and then went to another bank to open a new account. Edirne Escort She instinctively wanted to hide how much money she had earned yesterday. She kept about £50 back and went to M&S to buy some smart clothes.

Finally, she went to Hudsons to see if there were any books she wanted to buy. She was wandering round when she saw Julian from her history and English classes busily skimming books in the English history section. She was her best male friend at school and was in a relationship. She went up and lightly smacked his bum.

He jumped, looked round and then looked at her for a few seconds before seeing past the wig. “Rebecca, sorry, the hair confused me. Actually, you are just the woman I need.”

She laughed, “You’d better not let Claire hear that.”

He blushed. It was quite endearing that he was so easy to embarrass.

He said, “Do you have to be anywhere tonight?”

“No and again I’m not certain that this is what a man going out with Claire should be asking me?”

He lapsed into a Kenneth Williams impression and said, “Stop messing about. Let’s go to MacDonalds.”

He led her there past Thorntons (she was tempted to get Marion some toffee) and the Railway Tavern (sweet memories) to MacDonalds. He had a burger, and she had a milkshake for which he paid.

“My brother called me at three. He is meeting this afternoon with a potential new client.”

She raised an eyebrow. It was still not entirely clear to her what made her the woman Julian needed.

He blushed again. “James called me saying that he needed someone to talk about the Wars of the Roses and in particular Richard III with the man. I’m making a mess of this. The man lost his wife six months ago and she was a history obsessive and asked him to fund a Richard III permanent exhibition space at a reputable museum. He apparently needs to talk about Richard III with someone intelligent. He has insisted on dragging James off for a drink after the meeting to discuss Richard III and I am to meet them there, accidentally on purpose.”

“You have listened to me, and George argue about that enough to wing it.”

“The problem is that my brother needs to land this client, but it is his wedding anniversary this evening, so he wants me to take over from him in the wine bar.”

“And you are going to the party this evening with Claire?”

“Yes, of course, but I also want to support James. But being honest, I don’t have your knowledge of the detail.”

“Fine, I am happy to help you and your brother out. I owe him anyway after last year. I will discuss Dickon with his potential client. Will the client want me to say yes to anything he says or to push back when he is talking nonsense?”

“James says that he is a straight talker, but I would say polite contradiction rather than how you take down George is called for.”

“I can do that.”

Julian looked uncertain for a moment. She looked at him and said, “What else?”

“My brother said he thought the man was playing with him, but he did ask if my brother knew a Jane Shore. My brother said that he knew no one of that name and the man smiled at him. The name rang a bell with me, and I was trying to look it up when you goosed me.”

Rebecca burst into laughter, “Are you offering to be my pimp or has your brother turned procurer?”

“What?”

“Jane Shore was the mistress of Edward IV, his best friend Lord Hastings and Edward’s stepson. The man asked your brother to find him a mistress he could share with his friends.”

He blushed harder, “Fuck. Sorry about that, I really didn’t know. You do believe me, don’t you?”

“Fine, I was only yanking your chain. I know you well enough to believe that you did not read beyond the basic textbooks. I think you recall the name from the Shakespeare play. Probably best you don’t explain it to your brother.”

“I won’t. He would not find it funny. He is a bit Dudley Do Right. Seriously, my brother said the man protects his reputation and was known to be faithful to his wife. Maybe he actually knows a real Jane Shore. Are you still OK to join us?”

“Of course, I will help out. He was probably just winding your brother up. Even if he did mean the second bit then I will flirt with him as pleasantly and harmlessly as I can. What do I need to know about him and how important is he to your brother?”

“William Johnson. Self-made multi-millionaire from Brum. Now his wife is dead he is throwing himself into the business and apparently wants to buy and sell companies. He wants to upgrade all his advisers and wants a firm of lawyers to implement the transactions and double check the accountants tax advice. That’s my brother’s in. He analyses the advice and then makes certain the corporate lawyers implement it properly. If he can be client partner then he will be a shoe in for equity partner next year.”

“Fine. By the way have you heard from Bristol yet?”

“Three Bs. I should manage that. Otherwise, there is always Aberystwyth with Edirne Escort Bayan three Cs. You were rather non-committal on Friday. Have you got in and are just not telling us?”

She laughed and produced the letter from Oxford. He looked genuinely delighted for her and gave her a hug. “Fantastic news. I presume you would prefer I said nothing tonight at the party.”

“That would be good of you. I want to watch George when he hears the news. The longer he thinks that I am hiding the fact that I was rejected the sweeter it will be when he learns the truth.”

Julian nodded, “I still find it hard to forgive how he and his friends treated Elizabeth. Perhaps I am a little like my brother.”

“Only in the best ways.” She patted his leg and continued, “How were you thinking of rescuing your brother if I had not turned up? Wander in by yourself and say hi, did not expect to see you here, I’ve come in to get plastered before the party, by the way your wife expects you at home and can we talk about Richard III before you go.”

He shrugged, “That was one of the reasons I was delaying joining them.”

She said, “The things I do for friendship.” She outlined an alternative plan and then went and got changed in the toilets. The uniform for potential shop assistant was different from that of intelligent but sexually attractive lady.

She decided to assume that the man had meant the historical Jane Shore and flirt with him. The stories about the arrangements for special male (and some female) customers in the lingerie department of the store had turned her on. Besides which she had never flirted with a millionaire before.

She erred on the side of demure, the glasses were worn and while the dress was just above the knee, she had not undone any of the side buttons. While the black jumper was tight enough to accentuate her assets, she did not think that the bra could be seen. She was wearing stockings, silk knickers and a black bra. Her heels were about two inches. She tossed a mental coin on the wig and left it on.

As they walked in the wine bar and James called over Julian, she looked at the older man with James. He looked to be in about his mid-fifties, but he was in good physical shape and the salt and pepper hair made him look distinguished. The two of them were in a booth with a table which was covered by a red tablecloth which hung halfway down to the floor. She decided that she would not mind flirting with him.

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Bill Johnson was sitting in a wine bar entertaining himself by seeing how desperate the man in front of him was to win his business. He knew from a phone call he had overheard that the man had a date with his wife at 7.30 to celebrate their anniversary and it was past six now. He wondered how the man was going to deal with this quandary. The thought distracted him from his preoccupations, which were focused on how he fulfilled his wife’s last wishes and how to ensure that he had a business that he could either leave to his children or sell for enough money that they need never worry about money again.

He had loved his wife deeply and the last six months of her life had been traumatic for both of them. Anne had asked two things of him during the final days she was really with him. One was to endow a room in a respectable museum about Richard III which put his side fairly and the other was to find someone new to love. She told him that he had been a good companion and it would be waste of a good man not to let someone else have the benefit of it and that she wanted him to be happy again. She also said not to rush into things and that he should not marry the first person he fancied.

He had two problems. While lots of history museums would love to have a new permanent exhibition room funded by him, the curators all stood firm on not saying that Richard had definitely not murdered his nephews. Some up north had offered to laud his work in the north of England under Edward IV but that was the most they would concede. Until he had found a solution to this problem, he felt that he could not move on.

Secondly, he did not feel ready in any event to start courting someone seriously. Friends had started introducing him to perfectly pleasant women and, while he had not disliked them, could not contemplate making loving love to them as he had loved Anne. Trouble was that for the moment he wanted to have sex more than he wanted to be married and for those women sex would have to be linked to an engagement. The alternative of having sex with someone he had no respect or liking for did not appeal to him. That’s why he had jokingly referred to Jane Shore to James earlier today. He liked the idea of someone who would be happy for an affectionate relationship with no expectation of marriage, even if it involved gifts of cash and clothes from him.

Just then a young man and woman walked into the wine bar. The young man looked as though he could be related to James. He found it harder Escort Edirne to place the woman. She looked like someone trying to make the best of themselves but did not have the budget or the good taste. The wig was certainly a bad move. Not too obvious, but his wife told – had used to tell — him that one should always look at the eyebrows. The glasses were about as cheap NHS as you could get. Still the legs were good, and the jumper accentuated her breasts. It was a sign of how long it had been since he had sex that he mentally undressed her and imagined himself between her legs.

James had stood up and said clearly, “Julian. Is that you?” The boy had turned, waved, nudged the girl and the pair wandered over. The boy called Julian said, “James. You remember Rebecca? She’s just heard that she got into Oxford, and we came in to celebrate.”

James said, “Of course, Rebecca, I’m delighted to see you again.”

Bill looked her up and down and then smiled, “Congratulations, Rebecca. My name is William Johnson. This calls for champagne.” He signalled at the man serving who came straight over and said “Mr Johnson, what can I get you?”

“A bottle of Dom Perignon with four glasses.”

He invited Rebecca to sit next to him and she accepted. “What subject will you be doing?”

“Jurisprudence — law really, but they use a fancy name. I did history papers for my entrance exams.”

“My wife was fascinated by history, especially the fifteen and sixteenth centuries.”

“Oh, that’s the period Julian and I are studying for A levels. One of my Oxford entrance questions was on the reign of Richard III.”

“I would like to discuss that period with you.”

He re-evaluated James. He did not believe for a minute that this was an accidental meeting but found it hard to believe that he was trying so hard to satisfy a potential client.

The champagne arrived and he started talking about the Wars of the Roses to Rebecca and Julian. He knew the subject. On Richard III it he had heard all the theories about why Richard III had not killed his nephews but did not really believe them. He liked the way she countered the arguments. It was respectful rather than pushing back aggressively or calling him a fool. He looked her in the eyes and realised that she was enjoying the debate as much as he was (or at least was good at faking it).

After fifteen minutes, the girl put her hand to her head and grimaced, “I had forgotten about the wig. Just give me five minutes to take it off. It is part of my job-hunting uniform.”

As she hurried off to the toilets, he turned to the two brothers and asked, “Your girlfriend is clever and good company, Julian.”

The man blushed, “She’s not my girlfriend although she is my best female friend after Claire. Even if I were not going out with Claire, it would not happen.”

“Why not?”

Julian said “There are four boys to every girl in the sixth form. She was hassled a lot last year especially as she is not that well off.” There was clearly more behind it.

Julian trailed off, “Look, it’s not my story to tell. She has been a good friend to me and Claire and I am delighted for her.”

The girl returned and she looked more attractive with black hair. He decided that he wanted to get to know her better and that involved getting rid of the brothers.

He turned to James and said, “You should be with your wife. I heard the call. Mine would have had my guts for garters if I had been late for an anniversary meal.”

James looked relieved at his dismissal, but also a little perturbed. William looked at him and said, “You found me a Richard III expert within four hours. I respect speedy service.” At the same time, he patted Rebecca’s leg under the tablecloth. She did not object to the touch and indeed she patted his hand with hers. James and he dealt with the necessary pleasantries and the married man left.

After another ten minutes Rebecca released Julian who, apart from a few sentences early on, had been left out of the discussion of why Hastings was executed, the histories of Polydore Vergil and Thomas More, why Margaret of Burgundy acted as she did, and the importance of the treatment of the Duke of Warwick by Henry Tudor. She said to him, “Jules, aren’t you due to meet Claire at the party in thirty minutes? I am enjoying the conversation and I am certain Mr Johnson will be happy to continue it with just me.”

Julian clearly wanted to go but was uneasy about leaving his friend alone. “Are you certain, Rebecca?”

“I’m certain. I don’t think I need a chaperone to protect my honour.” Her hand squeezed Bill’s knee at that point.

Julian did not need much convincing and waiting only to thank William for the champagne, left for the party. William sat back down next to her after shaking the boy’s hand as another bottle of champagne arrived. It was opened and he poured her a glass. His hand brushed her right breast as he did so, and she did not pull away.

He was starting to be impressed by James. He had shown no indications of knowing who Jane Shore was when he had mentioned the name. Less than four hours later he had produced a Richard III expert who also happened to be an attractive woman who was happily flirting with him and making him feel intelligent.

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