Claire, ou les intentions troubles

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Ass

Pour profiter de la liberté toute neuve d’un premier jour de vacances scolaires, jour caniculaire de surcroît, j’enfourche mon vélo. Objectif : une baignade à la rivière. Pour cela, il suffit de prendre la rue qui mène au cap, puis le chemin sur la droite, et voilà on surplombe les flots turbulents qui n’attendent que moi.

Faute de mieux, la vitesse me rafraîchit : le vent siffle à mes oreilles. Merde! je vais trop vite pour négocier le virage à 90 degrés à la mi-pente! Une voiture me double en me rasant. Me voici sur l’accotement, bientôt dans le fossé. Au lieu du vol plané, je choisis de tomber.

Quelques véhicules passent en trombe, tandis que je me relève, les genoux en sang, le dos douloureux et l’orgueil abîmé.

C’est en boitant que je termine la descente, péniblement. Impossible de me remettre en selle.

Au bas de la pente, depuis toujours, il y a ce kiosque de fruits et légumes. Une immense fraise est sommairement dessinée sur son côté et, devant, une dame à la silhouette carrée, les mains sur les hanches, m’attend pour, je le présume, me servir quelques sarcasmes. Je baisse les yeux, en espérant passer sans m’arrêter. Raté!

– Pauvre toi! Tu as pris toute une fouille! Viens que je voie si tu n’as rien de cassé.

Je n’ai pas le temps de protester, déjà elle m’empoigne et me couche dans l’herbe. À califourchon sur mon dos, elle me broie le reste des os épargnés par ma chute.

– Où ça fait mal?

Je cherche mon souffle, tandis qu’elle me tâte fébrilement les vertèbres et les muscles. Elle reprend:

– De ce côté , rien de cassé. Retourne-toi.

Péniblement, je lui fais face, toujours immobilisé entre ses jambes. Je suis l’objet d’un regard doux et malicieux dans un visage jeune, cadré des cheveux… roses. La matrone s’est métamorphosée en une jolie femme dotée d’une carrure impressionnante.

– Crois-moi, j’ai fait du water-polo pendant sept ans. Je m’y connais en bosses et blessures, et je constate que tu n’auras rien de spécial à raconter à tes petits-enfants! Tu t’appelles…?

– Jules.

Elle me tend la main, j’extirpe la mienne de sous sa robe.

– Moi, c’est.. Claire. Enchantée, Jules! Oh! parlant de bosses, tu en as toute une dans le pantalon!

Elle se lève et je constate l’évidence : je suis bandé. Je me relève péniblement. Elle me tend la bicyclette, l’air malicieux et je pars en bredouillant merci.

– Reviens me voir demain. Je veux être sûre que tu vas mieux. Et tu me tiendras compagnie! que je m’emmerde toute seule ici!

Le lendemain, chacun des mes muscles me rappelle mon accident et ma bienfaitrice.Dois-je retourner la voir? Je pencherais plutôt pour oublier ces moments d’humiliation. Enfin la courtoisie l’emporte. Le temps magnifique me donnera l’occasion de faire la baignade prévue hier.

J’arrive à l’heure du rush : trois automobiles sont stationnées aux abords de la cabine. Je ne vois pas Claire, mais l’entend bonimenter au milieu d’un attroupement de clients.

– … Ce panier-là, c’est 4,99$. Le plus gros, à côté, 8,99$. Cueillies ce matin même, oui, Monsieur!… Non, Madame, toutes mes tomates sont vendues. Repassez…

Je joue du coude. Je remarque que quelques hommes la fixent, manifestement fascinés. Je suis leur regard. Les yeux brillants, le sourire rougeoyant éclatant au soleil, Claire se penche au-dessus de son petit comptoir. Le décolté plongeant de sa robe fleuri contient avec peine ses seins ronds et laiteux. Je suis hypnotisé comme les autres.

Finalement, le groupe se disperse, et les messieurs jettent un dernier coup d’oeil avant de démarrer en trombe.

Elle m’aperçoit et sort de son kiosque pour me sauter au cou.

– Jules! Comme c’est gentil de t’arrêter! Comment va mon accidenté favori?

Elle me tient serré contre elle, comme un ami de longue date. Je suis sans voix, tandis qu’elle m’inspecte sous toutes mes coutures.

– Tu es déjà mieux, c’est clair. Mais tu as encore cette “méchante” bosse au bas-ventre, ajoute-t-elle en éclatant de rire. Hé! C’est une joke! Tu vas apprendre assez vite qu’il ne faut pas croire tout ce que je dis! Viens t’asseoir derrière le comptoir avec moi. Tu as le temps?

Elle me tire par la main avant que je puisse dire quoi que ce soit. Le peu d’espace à l’intérieur du cabanon est un capharnaüm de boîtes vides et d’affiches illustrées de bleuets ou d’un épi de maïs. Un gros bouquin jonche le plancher.

– Je lis dès que j’ai une minute. Ça, c’est un roman comme je les aime: un peu olé-olé! C’est l’histoire abracadabrante d’une fille qui…

Elle trouve finalement une chaise qu’elle déplie à mon intention.

– Raconte-moi. Comment tu vas? Parle-moi de toi.

Elle a posé sa main sur ma cuisse, je me concentre comme je peux pour affronter son barrage de questions.

– Et tu as une blonde?

– Oui.. Non… pas vraiment… Il y a bien Geneviève, mais c’est juste une amie.

Son visage devient grave tout à coup.

– Geneviève, elle s’occupe bien de toi? Je veux dire de “ceci”?

Elle pose sa main sur mon entrejambe en me décochant un clin bycasino d’oeil. Je me fige.

– Tu me sembles si gros là-dessous que ça doit demander beaucoup de soins. Alors, avec ta blonde, c’est comment… pour… Tu vois que je veux dire?

– Non! Non! On ne fait pas ça! m’écrié-je en m’essuyant quelques sueurs froides.

– Ne bouge pas, je ferme la boutique un instant et je suis à toi.

Elle se lève, abat le panneau sur le présentoir, revient, ferme la porte. Seuls quelques rayons de soleil passent entre les planches disjointes. Même à mes côtés, je ne discerne plus son visage. Je suis tétanisé quand elle défait ma ceinture. Elle me déboutonne en s’excusant: elle est incapable de résister à sa curiosité, m’explique-t-elle en s’emparant de mon sexe. Je frémis, de terreur comme de plaisir.

– Pas mal!

Elle se met à me caresser d’une main, soupèse de l’autre mes testicules.

J’aimerais bien partager son étonnement, mais les mots me restent coincés dans la gorge.

– Oh! tu es déjà sur le point de venir!

Je pousse un grognement et j’éjacule à grands traits, à m’en vider les entrailles. Claire lance un petit cri satisfait, et me colle un baiser sur la joue.

– Regarde ce que tu as fait, vilain garçon : trois paniers de fraises maintenant bons pour la poubelle!

La lumière m’éblouit douloureusement comme elle rouvre son kiosque. Je me rhabille en cherchant toujours ma respiration. Elle déclare que jamais elle n’a fermé le magasin si longtemps, même pour aller aux bécosses situées derrière.

– Cependant, aujourd’hui, c’était un cas de force majeure… Tiens! voilà du monde!

Je me réfugie à l’arrière. Le dos appuyé contre le mur, je suis distraitement des yeux un voilier qui remonte la rivière. Tout ceci n’est-il qu’un rêve?

Plusieurs voitures s’arrêtent successivement au kiosque. Claire prend un instant pour me glisser:

– Pas la peine de rester, je n’ai pas le temps. Et le patron qui vient me prendre dans quelques minutes. Tu veux bien repasser demain? Il faut qu’on parle!

Elle s’éclipse sans attendre de réponse. Encore désarçonné, je monte à bicyclette et m’éloigne en zigzaguant, les jambes flageollantes.

Sans faute, je suis au rendez-vous le lendemain à la même heure, le coeur battant, encore fatigué d’une nuit tourmentée d’émotions.

À l’ombre de son petit magasin, Claire m’attend, les coudes sur le comptoir, l’oeil rêveur.

– Le preux chevalier arrive sur son destrier pour sauver la belle des griffes… de l’ennui mortel! Tu es venu, Louis! fait-elle en souriant. J’étais en train de m’inventer des histoires sur la dernière cliente qui vient de passer. Je la vois s’embarquer à l’instant sur un voilier long comme d’ici à la rivière. Elle tend gracieusement à son mari le panier de fraises qu’elle vient de m’acheter. Il choisit la plus charnue et la croque en plongeant son regard de braises dans celui de son amante. Il sourit de toutes ses dents rougies. Ils appareillent pour un périple autour du monde…

Claire est ravissante dans cette autre robe imprimée qui dénude ses larges épaules bronzées.

Elle continue son récit devant un client qui arrive et la fixe avec des yeux ronds.

– Le fier esquif fend les flots. La dame prend du soleil sur le pont… intégralement nue. Lui la rejoint, le membre dressé comme un mat de beaupré, et ils font l’amour…

– Torride! fait le client en s’éloignant.

– J’en étais rendue là dans mon histoire… Tu ne m’en veux pas pour hier? demande Claire, avec une moue désolée. Je ne suis pas la fille que tu crois! Je ne sais ce qui m’a pris. Il faut dire que tu es si mignon. Et tu semblais en avoir bien besoin. Viens voir, j’ai quelque chose à te montrer!

Elle m’entraîne le long de la route. Après quelques pas, elle s’arrête, tout sourire:

– Regarde!

Elle me désigne un immense bosquet de roses sauvages qui fleurit au soleil. Il est l’objet d’une intense activité de la part des bourdons et autres insectes. Ils volètent d’une fleur à l’autre, se disputant fébrilement les pistils qu’ils piétinent allègrement quelques instants pour ensuite voir ailleurs.

– Les taons n’arrêtent pas de la journée, comme s’ils n’en avaient jamais assez. Ça me fait penser à vous, les gars!

Elle me parle de son chum parti planter des arbres dans l’Ouest pour l’été: sa présence lui manque. Et, elle, toute seule ici dans ce trou perdu à vendre des salades! Rien de plus terrible! Pas étonnant qu’elle ait perdu la tête hier!

Je ne saisis pas tout ce qu’elle raconte, car je la regarde plus que je ne l’écoute.

Elle m’invite à m’asseoir derrière le comptoir auprès d’elle. Nous conversons dans l’attente des clients.

Je ne sais plus trop ce que je m’étais préparé à lui dire. Je lui annonce plutôt que j’ai trouvé un job à la pharmacie. Je serai livreur à bicyclette. On me demandera de…

Je suis incapable de finir ma phrase : sa robe légèrement retroussée expose sa cuisse.

Ma main effleure sa peau. Elle se tait et me fixe, l’oeil étincelant. Le temps est suspendu.

Claire bycasino giris se penche vers moi. Sa bouche saisit la mienne. Ses lèvres sont une caresse. Sa langue…

Nous sous séparons subitement. Le vrombissement d’un moteur, des freins qui crissent: un camion s’immobilise dans un nuage de poussière.

– Merde! le patron! Cache-toi vite!

Pas le temps de sortir sans être vu! Je ne trouve pas mieux de passer derrière Claire et de m’enfouir sous sa robe. Elle pousse un oh! et grommelle:

– Es-tu f..? Bonjour, Monsieur Roland! Quelle surprise! Vous arrivez bien tôt!

J’entends une voix enrouée qui explique que les tomates et les concombres sont maintenant disponibles. Au contact de la peau douce et parfumée de Claire, je frémis.

J’entends l’homme fourrager en déplaçant des boites.

– Bon! Voilà , Claire. Je repasse te prendre dans une heure.

Le camion s’éloigne.

– Mais enlève ta main de là, grand fou!

Je n’ai pas pu résister à la tentation d’explorer sous sa culotte.

Claire passe ses mains sur sa robe pour la défroisser. Ses joues ont viré au rouge et elle semble hésiter à me gifler. Elle baisse les yeux et aperçoit la bosse qui gonfle mon pantalon.

– Encore!

Une voiture s’arrête.

– Va-t-en! me siffle-t-elle.

Il n’en est pas question, alors je contourne le kiosque et attend.

J’ai eu le temps de revivre dix fois en pensée les émotions précédentes, avant d’entendre son pas fermé s’approcher. Son visage est de glace.

Un pas de plus, elle est sur moi, littéralement. Elle me projette à terre et entreprend de me baisser le pantalon. Ceci fait, elle se redresse et guide mon pénis dressé entre ses jambes. Elle me prend d’un mouvement brusque. Je suffoque de plaisir tout autant que de son poids qui m’écrase. Elle monte et redescend sur moi à quelques reprises. Je viens très vite et très fort. Elle s’affale sur moi, haletante.

– Tu es vierge …? Je veux dire que… tu ne l’es plus maintenant, n’est-ce pas?

Je hoche la tête.

– Qu’est-ce que j’ai fait! Je deviens folle! J’ai profité de ton inexpérience! Je te promets que…

-Claire… , je t’aime!

– Il ne manquait plus que ça! dit-elle en hurlant. Déguerpis! Ne reviens pas!

Sa transformation est si soudaine et si violente que je me sauve en oubliant presque mon vélo.

Le temps couvert se maintient sur la région et le goût de la natation m’a passé. Je ne retourne donc pas aux abords de la rivière lors des jours suivants. De toute façon, l’horaire de travail me l’interdit. J’ai revu Geneviève que j’avais presque oubliée. Notre amitié n’est plus comme avant. Mes pensées battent la campagne et elle le sent.

Ce matin, en allant au travail je fais un détour par le cap qui surplombe la rivière. La camionnette au nom de “Rolland fruits et légumes” est là. Claire et un petit homme à la tête grise s’affairent à ouvrir la boutique. Je roule en bas de la côte et m’approche. Monsieur Rolland me jette un rapide coup d’oeil, Claire m’ignore.

J’accote mon vélo contre le kiosque, j’attends. Ils échangent quelques mots que je ne saisis pas. Le camion s’éloigne. Claire se montre.

– Tu n’aurais pas dû venir! gronde-t-elle. Le patron croit que tu es mon petit ami, et cela ne l’enchante pas.

Je plaide que je ne veux que quelques instants avec elle, sans rien demander d’autre. Le temps d’expliquer que je ne suis pas vraiment en train de tomber amoureux d’elle. Claire ne se laisse pas convaincre. Coucher ensemble était une erreur. D’autant que pour elle, ça ne veut rien dire.

Je me tais, le coeur en lambeaux.

– Et si mon chum apprenait ça! Je serais morte, dit-elle, le regard humide.

– Claire…, tu as raison, mais je t’aime…

Elle devient livide et serre les poings. Elle avance et me bouscule avec force. Je suis projeté contre le mur et tombe sur ma bicyclette dans un grand fracas.

À ce moment apparaît monsieur Rolland:

– Eh! c’est quoi, ce bordel! Toi, ti-gars, décrisse! Claire, je viens tout juste de te dire que je ne veux pas de trouble à la job!… Tiens! j’avais oublié ceci! dit-il en lui mettant la petite caisse sur les bras.

Il part. Claire dépose la boîte sur le comptoir sans un autre regard pour moi. Je m’en vais avec mes idées noires.

Je ne fais pas dix mètres qu’elle m’appelle. D’un geste, elle me demande de revenir. Elle griffonne quelque chose sur un bout de papier et me le tend, l’air sombre.

– Chez moi, après 19h! On met ça au clair, et… “bonjour bonsoir”!

La porte se situe au fond d’un corridor sombre. Elle s’ouvre avant même que je frappe. J’entre. C’est le salon. L’appartement paraît minuscule et très encombré. Claire ferme la porte et se tourne vers moi. Je suis bouleversé par son visage défait et barbouillé de rimmel: elle a pleuré.

– Qu’est-ce qui est arrivé?

-Oh! Jules! Si tu savais…!

– Tes parents? Ton chum? Viens t’asseoir!

– Ce n’est pas ça. Ils vont tous bien. C’est monsieur Rolland.

Je la rassure: je n’irai plus au kiosque. Mais bycasino giriş ce n’est pas ça encore. Elle m’explique, la voix baignée de larmes:

– Il est revenu à la fin de la journée, comme d’habitude. Tout était rangé, le magasin fermé. Au moment de partir, il m’a dit de le rejoindre dans la caisse du camion… Ce matin, il avait écouté notre conversation. Il sait ce que nous avons fait, il sait que j’ai peur qu’Aurélien (mon chum s’appelle Aurélien), qu’il l’apprenne.

– Il ne peut pas faire ça!

– Il menace de le trouver à son retour, et de tout lui déballer. “Ce ne devrait pas être trop difficile à trouver, quelqu’un avec un nom pareil!” Ce sont ses paroles!

– Mais il est dégueulasse!

– À moins… À moins que je lui fasse quelques faveurs. Là, tout de suite, dans le camion.

– Et…?

– J’ai paniqué! Monsieur Rolland a dit qu’il ne me toucherait pas. Il voulait “voir”, voilà tout.

Je n’en crois pas mes oreilles. Il lui a ordonné de se déboutonner, bien lentement. De laisser tomber sa robe. Il a fallu qu’elle tourne sur elle-même, toujours en sous-vêtements. Il la complimentait sur ses formes sensuelles, surtout sa gorge si affriolante.

Claire a cru qu’il en resterait là. Elle a ramassé sa robe, mais il a commandé très sèchement de continuer. Il était là comme un pacha vautré sur les boîtes vides.

Moi, je l’écoute, sans comprendre pourquoi elle me décrit tout par le menu. C’est comme si moi-même je suis témoin de la scène et je vois ce que voit monsieur Rolland. JE suis dans le camion et JE m’entends sussurer à Claire de retirer son soutien-gorge. Elle hésite, je hausse le ton.

Elle se retourne. Ses mains tremblent et peinent à dégrafer le délicat sous-vêtement de dentelles. Ma gorge s’assèche. Lentement elle se retourne. ..

– Enlève tes mains, que je voie!

J’ai crié. Ses yeux barbouillés de maquillage et de larmes m’implorent de lui faire grâce. Je ne fléchis pas et découvre deux superbes mamelons foncés sur une peau très pâle. Ses seins hauts et fermes pointent vers moi. Je me lève, tout excité, avec l’envie de les caresser, de les masser, de les téter. Mais je me contrôle et exige le reste. Oui oui! Tout! Elle se penche…

Tandis qu’elle retire sa culotte , je découvre entre ses fasses rondes et appétissantes, une fleur rasée aux lèvres aussi foncées que celles de sa bouche. Je la complimente sur sa performance et son charme. Elle est une bonne fille. Je pousse encore un peu ma chance en exigeant qu’elle s’agenouille et, tant qu’à y être, qu’elle me suce. Elle rechigne, car je lui ai promis de ne pas la toucher.

– C’est TOI qui vas me toucher, argumenté-je. Moi, je ne bouge pas.

Elle proteste, mais lui reparler de son Aurélien lui cloue le bec. Pour l’amadouer , je lui brandis un condom. J’ai tout prévu.

Elle s’exécute, à mon plus grand plaisir. Elle me fais un peu mal en sortant mon engin, mais je demeure compréhensif: je suis bandé comme un cheval. Je ressens bien un brin de culpabilité, mais elle est si jolie, agenouillée à mes pieds, à me pomper avec énergie, presque avec enthousiasme, que j’oublie vite mes bons sentiments. Elle a de l’expérience, la petite pute, c’est clair! Je décharge comme jamais. Je la félicite et lui suggère de changer de métier: elle a des talents qui lui rapporteraient beaucoup.

Claire achève son récit et je sors comme d’un rêve éveillé, muet et tout honteux d’avoir presque vécu ces infâmes événements.

Elle me demande de rester avec elle. J’appelle à la maison, m’invente un collègue de travail qui m’invite à coucher chez lui.

Claire et moi nous serrons bien fort. Les heures passent. Elle ne sait pas quoi faire. Elle tremble de revoir son patron. Pire : de retrouver son copain. Rien ne sera plus pareil.

Son corps chaud me chavire. Je lui touche le bras, le caresse un peu. Elle s’éveille à moitié, m’enserre dans ses bras puissants. Nous nous embrassons, roulons à terre. Chacun cherche maladroitement à déshabiller l’autre . Elle m’entraîne dans la chambre du fond où le lit nous accueille et faisons l’amour, lentement, tendrement.

Après l’amour, elle sanglote un peu, puis sa respiration s’apaise.

Je me réveille en l’entendant chantonner aux toilettes. Je la rejoins et elle me dit qu’elle a réfléchi. Elle va essayer de mettre tout ça de côté dansa tête, de rester le plus loin possible de ce sale individu.

– Je vais trouver un autre travail. Je…

Claire insiste pour affronter seule son patron qui viendra la chercher dans un instant. Moi, je dois partir. Je me résigne et gagne mon lieu de travail.

De retour le lendemain après-midi, alors que j’approche, elle répond sans enthousiasme apparent. Quelque chose cloche.

Claire affiche un air abattu que je ne lui reconnais pas. Je l’interroge du regard, l’estomac noué.

– Tu ne peux rester qu’un instant : la police s’en vient.

– Quoi?!

– Dès que monsieur Rolland, ce vieux salaud, dès qu’il se présente, ils mettent le grappin dessus.

À voix basse, elle m’explique qu’hier après-mid, il est venu, comme à son habitude, comme s’il ne s’était rien passé la veille. À un moment donné, il l’a poussée dans la caisse du camion, et le cauchemar a recommencé. Il l’a forcée à s’étendre par terre (il est petit, mais vachement costaud, le saligot!) Il est monté sur elle, a retroussé sa robe…

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Marie fait de moi une Belle de jour

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Amateur

Marie m’expliqua qu’elle avait pu exceptionnellement faire venir mes premiers clients le matin mais qu’en général, c’était plutôt le soir que ça se passait, voire même dans la nuit. Les moments à ne pas rater c’était les vendredis et samedis entre dix heures du soir et trois heures du matin. En particulier, elle connaissait un endroit discret qui faisait partie d’un club libertin qui était équipé de gloryhole.

Nous avons passé l’après midi à chercher comment je pourrais bien justifier d’un emploi du temps si particulier auprès de mon mari. Je devais pouvoir m’absenter toutes les nuits des vendredis et des samedis sans éveiller ses soupçons ni intriguer les enfants.

Ce jour là, nous n’avons pas trouvé. Mais sa description du gloryhole, qu’elle avait elle-même essayé à plusieurs reprises, m’avait troublée. J’essayais de l’imaginer suçant des bites à la chaîne qui sortaient d’un trou dans le mur, menant le maximum d’inconnus à l’éjaculation dans un minimum de temps. Elle précisa qu’il y avait de tout, des petits sexes, des gros, des blancs, des noirs. Tous étaient propres mais certains sentaient assez fort, une odeur prononcée de mâle en rut.

Je suis rentrée à la maison avant mon mari pour éviter d’éventuelles questions et avoir le temps de prendre une bonne douche. Je m’étais tant attardée chez Marie que j’en étais partie encore pleine de sperme dans mes trois trous.

Pendant toute la soirée, sans en avoir l’air, j’avais cette image d’une femme sur ses talons, sans culotte, cuisses écartées, tenant un gros braquemart dans sa main et en léchant le gland. Je cherchais en vain un moyen d’aller discrètement expérimenter le gloryhole.

Le lendemain, je retournai chez Marie vers onze heures. Elle m’avait dit qu’il y aurait encore deux hommes mais que cette fois, nous partagerions. J’avais la boule au ventre en allant chez elle, comme quand on inaugure un nouvel emploi. C’était la première fois que de plein gré, j’allais aux asperges comme on disait dans les romans populaires du siècle dernier pour parler des professionnelles. J’étais en passe de devenir belle de jour en somme.

Ils nous ont prises en même bycasino temps, en levrette sur le lit, l’une à côté de l’autre mais tête-bêche. Je voyais Marie se faire baiser et Marie voyait mon partenaire me pilonner. C’est très stimulant de voir un couple copuler. L’homme bourrait le cul de Marie, lui écrasait les seins dans ses paumes tandis qu’il se projetait en avant ou repartait vers l’arrière. Elle subissait ses assauts mais en même temps, elle se branlait furieusement le clitoris. Leur frénésie était communicative et mon partenaire imitait son ami. Cette force dans l’acte était inhabituelle pour moi, mon mari étant toujours plutôt doux. Je fis comme Marie, me masturbant pour arriver à l’orgasme. Nos clients devaient être très excités de voir deux putes qui prenaient visiblement du plaisir. Nous étions loin du cliché de la catin qui simule. Mais ils devaient se rendre compte que moi tout du moins, j’étais une débutante.

L’homme qui baisait Marie se libéra enfin. Je le vis rester collé à son cul, la chair des seins qui blanchissait tellement il les serrait. Il eut un long râle tout le temps que ses couilles se vidaient par giclées successives. Marie cria à son tour. Ils jouissaient tous les deux, lui avec un plaisir bestial, elle de sentir le plaisir de cet homme envahir son intimité.

Mon partenaire me lâcha les seins pour me prendre aux hanches et me claquer les fesses à intervalle régulier. Je sentis qu’il faisait tomber de la salive à l’aplomb de mon anus. Il m’écarta les fesses avec ses pouces et m’en mit un dans le rectum. “J’ai envie de te gicler dans le cul.” Il sortit de mon vagin, remplaça son pouce par son gland et m’enfila d’un coup jusqu’au pubis. Comme il avait libéré ma chatte, je pouvais me branler plus largement, mouillant mes doigts à la source pour ne pas irriter mon petit bouton rose.

Je calquais mes mouvements sur les siens. Il m’enculait à un rythme régulier et je m’astiquais à la même cadence. Je sentis qu’il allait jouir parce qu’il commençait à crier de plus en plus fort. Comme Marie, j’ai joui de sentir mes fesses prises dans l’étau des mains et le liquide bycasino giris chaud qui remplissait mes entrailles par saccades.

Les hommes sont partis et nous sommes allées nous laver, nous savonnant mutuellement sous la douche.

Enfin, Marie m’annonça qu’elle avait peut-être trouvé la solution pour le gloryhole. Elle connaissait un couple qui tenait une boutique à Paris. Ils acceptaient de nous servir d’alibi. J’étais censée venir travailler tous les samedis et dimanches pour leur permettre de rester ouvert sept jours sur sept. Je devais partir le vendredi soir pour faire l’ouverture le samedi matin et revenir le dimanche, tard dans la soirée. Ils avaient un grand appartement et pouvaient m’héberger gratuitement. Pour ce qui est du salaire, nos gains à Marie et moi suffiraient largement à alimenter un compte et même à payer les charges de mon emploi fictif. Je serais même déclarée, avec fiche de paye et il était peu probable que mon mari se doute de quelque chose.

Pour que cette proposition ne semble pas tomber du ciel, nous avons convenu que d’abord, je présenterais Marie à mon époux, puis Marie nous inviterait chez elle où nous ferions la connaissance du couple. Au cours de la discussion ils seraient amenés à me proposer ce travail. Marie serait simplement une amie de fraîche date, rencontrée dans une galerie d’art et partageant ma passion de la peinture.

Je trouvais ce scénario convaincant et j’étais vraiment excitée à l’idée de mes futurs weekends de putain consentante.

Le soir même, je parlais de Marie et je proposais une invitation pour le samedi suivant. Mon mari accepta avec enthousiasme. Un homme ne s’inquiète pas des amitiés féminines de sa femme. Au contraire, cela l’émoustille en général.

Nous avions emmené les enfants chez leurs grands-parents pour pouvoir dîner entre adultes. Mon mari semblait trouver ma nouvelle amie à son goût. Il était enjoué dans la conversation. Nous faisions tous les deux face à Marie. Il ne voyait pas qu’elle me faisait du pied sous la table, caressant même mes mollets. Il voulait se montrer sous son meilleur jour, faisant bycasino giriş preuve d’une serviabilité hors norme. Il desservit, prépara le plat suivant en cuisine, fit le service, s’occupa des vins. Il disait qu’il voulait nous laisser profiter l’une de l’autre et nous le faisions au delà de ce qu’il suggérait. A chaque fois qu’il sortait de la salle à manger, Marie levait sa jambe et posait son pied sur mon sexe, sous ma robe. Elle me demanda même de retirer ma culotte et de la lui donner. Ses orteils s’engluaient dans ma fente et je frottais son pied sur ma vulve. Quand mon mari revenait, nous reprenions une posture innocente, continuant une conversation sur l’art et la peinture.

A la fin du repas, nous avons inversé les rôles. Marie et moi sommes allées à la cuisine pour remettre de l’ordre et j’ai dit à mon mari qu’il avait été formidable mais qu’il pouvait aller se reposer au salon et que nous le rejoindrions. Nous avons pu nous embrasser, nous caresser, Marie s’est agenouillée pour me lécher et j’en ai fait autant avec elle. Mais nous ne pouvions pas nous attarder sans risquer de nous découvrir et nous avons rejoins sagement mon mari.

Marie nous proposa de nous rendre notre invitation le mardi soir. Elle nous présenterait à un couple de ses amis.

Le mardi, après avoir laissé les enfants se débrouiller seuls, nous sonnions chez Marie. Ses amis étaient déjà arrivés et nous sommes assez vite passés à table. Ils nous expliquèrent les difficultés des petits commerçants parisiens, notamment pour trouver du personnel. Ils étaient à la recherche d’un employé depuis plusieurs mois et ne trouvaient personne pour travailler le weekend. Candidement, je me proposais pour le poste. Mon mari n’osa pas me contredire devant le monde mais il me regardait d’un air incrédule. Les amis de Marie prirent ma proposition au sérieux et nous commençâmes à mettre sur pied une solution réaliste. Mon mari restait silencieux. Je savais qu’au retour à la maison, je devrais trouver des arguments convaincants pour contrebalancer mon éventuelle absence du vendredi soir au dimanche soir.

Cela ne manqua pas. Il n’était pas totalement hostile, mais plutôt réticent. Ce qui emporta la décision ce fut que je lui dis que ça me ferait du bien d’avoir un rôle social, de ne pas être que la maman au foyer. Il n’osa pas s’opposer à mon désir d’émancipation.

Je devais commencer mon nouveau travail le weekend suivant.

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Je prête ma femme Sabah à un black

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Brunette

Samedi dernier j’ai emmené ma copine Sabah, une magnifique beurette algérienne dans les quartier chauds de Paris pour bien nous exciter avant de revenir dans ma chambre sous les toits et nous y offrir une belle partie de galipettes.

Nous nous sommes fixés comme lieu de rendez-vous le carrefour à l’angle des rues de Saint-Denis et de la Grande Truanderie car en prévision de se son anniversaire (et aussi pour me faire plaisir), je veux lui offrir une tenue coquine et un beau jouet.

Âgés de 24 ans l’un et l’autre, nous sommes quelque peu libertins et lorsque nous baisons, nous nous racontons tout un tas de fantasmes, tous plus chauds les uns que les autres, nous imaginant toutes sortes de scénarios plus ou moins osés. Sabah ne savait rien de mes intentions mais lorsqu’elle me rejoint avec près d’une demi-heure de retard (comme d’habitude), je m’aperçois qu’elle est déjà bien chaude : jupette en jean à ras la touffe, cuissardes, teeshirt largement échancré au travers duquel pointent les tétons de son opulente poitrine, maquillage des yeux et de la bouche très appuyé et ses longs cheveux noir noués en queue de cheval. Elle ressemble à une des filles qui racolent à proximité! Bref une véritable allure de pute!

Elle ne s’excuse même pas de son retard tant c’est habituel chez elle. Nous entrons dans un des sex-shops qui sont nombreux dans cette rue. Je connais bien les lieux car je viens de temps à autre mater une des filles qui s’exhibent dans les cabines et je sais que nous trouverons ce que je cherche pour Sabah.

Une vendeuse assez court vêtue elle aussi nous présente une série de tenues que Sabah part essayer dans une des cabines situées à proximité du rayon des vêtements. Bien évidemment je l’accompagne pour l’aider à choisir. Son choix se porte sur un ensemble string et soutif fait uniquement de lanières étroites qui mettent en relief ses formes un peu généreuses. Mais ce n’est pas trop ce que je souhaitais. Avec la complicité de la vendeuse (que j’ai baisée une fois avant de rencontrer Sabah), je Ataşehir travesti fais essayer à ma copine un serre-taille qui, s’évasant juste au dessus des hanches, monte jusqu’à la poitrine qu’elle présente plus qu’elle ne la soutient… dans des demis bonnets.

Le laçage dorsal permet de serrer plus ou moins la taille pour la rendre plus étroite alors que par effet inverse, les hanches et la poitrine paraissent plus volumineuses. C’est un peu un carcan de torture mais j’aime et Sabah aussi. Je lui dis que c’est son cadeau d’anniversaire qu’elle peut garder sur elle pour le moment. Elle peut y ajouter un beau gode vibrant pour se donner du plaisir quand elle ne peut pas me rejoindre.

Lorsqu’elle sort de la cabine après avoir remis sa jupette, l’effet est formidable et bon nombre de mecs se retournent pour l’admirer. Certains manifestent aussi par des sifflements. C’est vrai que dans cette tenue, elle est canon mais elle a un look de salope…

Je lui ordonne de déambuler dans le magasin pour bien se montrer à tous les mecs (et quelques filles) qui sont là. Quand elle s’arrête devant le rayon des DVD, elle se baisse pour en prendre un sur une étagère basse et regarder le synopsis. Quelle n’est pas ma stupeur quand je découvre que Sabah n’a pas remis son string! Elle a le cul nu! Décidément ce soir, elle a décidé de la jouer « SALOPE » et çà me plait au point que j’ai la bite dressée dans mon boxer à m’en faire mal tant j’ai envie de sauter ma chienne de beurette dans un coin du magasin.

Nous lisons ensemble le résumé du film, je suis collé dans son dos et je regarde par-dessus son épaule, me frottant contre elle pour lui faire sentir combien je bande… et cela augmente encore quand je découvre que je peux voir ses tétons sortis dans le soutif et que Sabah répond en tortillant des fesses contre mon érection. Je lui dis à l’oreille :

– Salope! Tu me fais bander avec ton cul nu! Viens à l’étage, je vais te sauter comme une chienne en chaleur que tu es!

– Oh oui! Ataşehir travestileri Ta pute a la chatte qui coule!

Je prends Sabah par le coude et je la guide vers les escaliers qui conduisent aux « love room », ces quelques petites chambres où des couples en chaleur comme nous peuvent venir s’ébattre pour une dizaine d’euro de péage. Je sais que certaines sont pourvues de miroirs sans tain pour que des voyeurs se régalent à loisir.

En moins d’une minute, nous sommes à genoux sur le lit. Sabah, à ma demande ne s’est pas déshabillée alors que je suis complètement nu! Elle plonge sur ma bite bandée comme un arc et l’engloutit jusqu’au fond de sa gorge pour l’enduire de salive et me sucer comme elle sait si bien le faire. Mais je freine ses ardeurs car je ne veux pas inonder sa bouche! C’est son cul que je veux!

Comme je fais face à la porte, je la vois s’entrouvrir et un black apparait dans l’entrebâillement. D’un geste il me fait comprendre qu’il apprécie notre baise et je lui fais signe de s’approcher en silence. Il ouvre son pantalon et sort un vit déjà bandé comme je n’en ai vu que chez les hardeurs de films X. Un diamètre qui approche celui d’une canette de boisson et au moins 25cm de longueur.

Doucement et silencieusement, il s’approche et relève la jupette de Sabah qui, passée la surprise accepte de se laisser caresser les fesses et la fente. Elle redouble d’ardeur dans sa fellation au point que je m’arrache de sa bouche pour ne pas gicler… Le black prend ma place et Sabah (qui ne passe pas pour avoir une petite bouche) a bien du mal à le faire entrer. Elle se contente de sucer le gland et de lécher la hampe qui est de plus en plus dure quand soudain ma copine s’écrie en lui tendant un préservatif :

– Défonce-moi fils de pute, tu ne vas pas te contenter de jouer les voyeurs!

Je n’ai rien contre, ce ne serait pas la première fois que cette garce se ferait sauter devant moi! Le black revient derrière elle qui est toujours à genoux. Il la fait mettre en Travesti ataşehir levrette pendant qu’il se couvre, repasse une main dans la fente et d’un seul mouvement il embroche Sabah sur son pieu, faisant claquer son pubis contre les fesses de ma beurette.

Cette dernière semble brusquement manquer d’air et en ouvrant grand la bouche elle dit :

– Waouh quelle putain de zeb! Vas-y défonce moi, je suis ta pute de beurette, ta qahba!

– Vas-y kahlouch, démontes ta pute et insultes-là, elle aime ça!

Et là, le black avec qui nous n’avons pas échangé plus de dix mots, entreprend de baiser Sabah à longs traits rapides, sortant de la chatte à chaque fois pour mieux y rentrer ensuite en puissance. Les seins de ma copine sont sortis du soutif sous les coups de boutoir que son baiseur lui met à chaque fois qu’il arrive contre ses fesses. Ce claquement est excitant!

– T’aimes ma queue salope? T’aime voir cette queue de black pilonner ton gros cul de beurette?

– Ah que oui putain, j’adore me faire défoncer devant mon mec par un black!

Sabah part une première fois, beuglant sa jouissance haut et fort et le black, sans sortir de la chatte accueillante, retourne Sabah sur le dos, lui remonte les jambes en appui sur ses épaules et reprendre la copulation sans laisser à ma copine le temps de dire « OUF! »

D’un geste elle me fait comprendre qu’elle veut encore me sucer. Je ne me fais pas prier et je m’engage une fois encore dans cette bouche vorace qui a vu passer plus d’une bite.

Quand Sabah jouit pour la seconde fois, le black se lâche au fond du préservatif dans un râle de plaisir alors que moi, je me vide dans la bouche de Sabah qui avale tout ce que je lui ai servi :

– Oulla! Qu’est-ce qu’il ma mis!

C’est vrai que quand il sort et retire le préservatif, nous ne pouvons que constater l’ampleur de son éjaculation : au moins la valeur d’un apéritif servi dans un bistrot!

– Merci les potes! C’était génial! Quelle baiseuse ta meuf!

Nous nous essuyons avec les serviettes en papier à notre disposition puis nous nous séparons. Je passe à la caisse pour régler nos achats et, au lieu du ciné prévu, nous rentrons dans mon 6ème étage sous les toits où nous baisons encore une fois : A mon tour de gicler dans la chatte de Sabah et là, pas de capote, direct au fond!

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Barbie Outragée!

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Babes

Chacun d’entre nous a entendu parler du succès colossal du film « Barbie ». Certains l’ont vu, d’autres pas. Pour le récit qui va suivre, se souvenir de la belle actrice jouant le rôle de Barbie. Un film dénonçant le machisme, la phallocratie. Les hommes se retrouvant méprisés et ridiculisés dans ce film. À la fin, Barbie choisi de devenir un être fait de chair et de sang. Une décision, lourde de conséquence comme nous allons le voir…

Barbie vivait désormais San-Francisco et habitait avec une militante de la ligue des droits féminins. Barbie allait vieillir comme n’importe quelle femme, mais pour l’instant, son corps était comme celle d’une poupée, celle d’une blonde aux formes parfaites. Ni grande, ni petite. Des seins ni petits, ni gros. Des cuisses fines, mais justement galbées. Un ventre plat, un fessier rebondi sans extravagance. Un visage toujours souriant. De belles lèvres, charnues comme il le faut. Et cette belle chevelure blonde, brillante. Son amie s’appelait Maude. C’était une vraie activiste des droits féminins, et Maude était devenue la maitresse de Barbie. Celle-ci avait découvert le plaisir lesbien. Un plaisir uniquement clitoridien. Toute pénétration d’un corps étranger ne pouvait être que l’expression de la phallocratie. Ainsi Barbie, avait découvert la jouissance, celle faite de caresses, de baisers, de léchages. Elle qui était imberbe comme toutes les poupées, avait laissé pousser une jolie toison dorée, sur les recommandations de Maude. La toison représentait la toute puissance féminine. Maude et Barbie s’aiment et affichaient leur relation. Barbie, tout innocente, était devenue une égérie sur les réseaux sociaux. Phallocratie ou pas, Barbie posait avec des tenues parfois des plus suggestives et faisaient bander les hommes et mouiller les lesbiennes. Maude en avait fait un bizness et était aussi son guide, car Barbie ne connaissait pas grand-chose de l’humanité…

Mais l’humanité a des aspects sombres. Ce matin-là, Barbie, toute souriante, quittait l’appartement qu’elle partageait avec sa compagne. Elle fit quelques pas sur le trottoir, quand un van noir et teinté s’arrêta à sa hauteur. Deux hommes cagoulés en sortirent et saisirent Barbie. Un troisième la piqua à l’aide d’une seringue contenant un sédatif et l’entrainèrent à l’intérieur du van. Tout avait duré que quelques secondes. Seule une vielle dame avait été témoin de cet enlèvement. Barbie s’évanouissait dans le véhicule. Barbie était désormais aux mains de la terrible et occulte « IAH », « l’ile aux hommes ».

Cette mystérieuse organisation avait été crée il n’y a que quelques années. Elle réunissait des décideurs, des hommes puissants, qui ne supportaient plus de ne pouvoir exercer un droit de cuissage qu’ils estimaient légitime sur les femmes. Depuis « me too », les procès étaient nombreux et la disqualification morale était fréquente. Un petit groupe avait donc eu l’idée de créer un espace qui ne serait consacré qu’au plaisir masculin et à toute sa perversité. Il s’agissait d’une île dans les Caraïbes, qui avait été aménagée pour être un paradis de luxure.

Au départ, des putes avaient été engagées pour travailler sur l’île et accepter d’être Ataşehir travesti des esclaves du sexe à mi-temps, mais cela avait produit des effets indésirables, car des fuites avaient eu lieu. C’est pourquoi, depuis deux ans, le cheptel était celui de prisonnières venant du monde entier à qui avait été proposé d’être libéré au bout d’une année d’esclavage. Ces femmes étaient choisies en fonction de leur beauté, de leur âge. A la différence des putes, elles présentaient l’avantage de ne pas être des professionnelles. Leur innocence était plus excitante et les adhérents de l’organisation en étaient des plus satisfaits. Un certain nombre de prisonnières refusaient, mais la plupart dont les peines étaient les plus longues dans des conditions terribles acceptaient. Le contrat était des plus clairs. Au bout d’une année, elles étaient libres, mais durant celle-ci, elles devraient être de parfaites soumises. Elles seraient violées, parfois torturées, seraient considérés comme des choses à plaisir. Leur bouche, anus, et vagin seraient indifféremment utilisés et disponibles. Leur libération, la moindre parole valait un retour en prison ou pire une disparition…

Cette île aurait pu ressembler à un bordel comme les autres, mais dans de prochains récits, je reviendrais plus en détail sur cette île fantastique. Sachez, par exemple, qu’étaient organisés des chasses à la femme. Des hommes en équipes de trois ou quatre devaient être les premiers à attraper une femelle lâchée dans la nature, vêtue simplement d’un mini-string et les seins nus. Si celle-ci parvenait à échapper à ses poursuivants et rejoindre un abri, ce qui était rare, elle évitait un viol collectif en pleine nature et d’une grande sauvagerie. La prise était des plus humiliantes puisque la femelle devait être attrapée avec un filet. D’autres scénarios avaient lieu ainsi que des tortures raffinées.

Une dizaine de gardes était employé sur l’île et commandés par Yasmina et Vascos. Yamina était une ancienne prostituée d’origine marocaine. Quarante ans et encore fort désirable, elle était chargée de former les esclaves, de veiller à leur obéissance, mais aussi de diriger certaines séances de torture. Elle avait perdu toute morale et humanité. Quant à Vascos, c’était un ancien acteur de porno. Il était doté d’un sexe impressionnant. Il veillait, lui aussi, sur l’obéissance des esclaves, mais aussi les instruisait sur l’art de sucer, et de recevoir des queues dans leurs orifices.

Enlever Barbie était d’une grande audace. Tout un programme avait été conçu. Elle ne resterait que 24 heures sur l’île et serait l’unique attraction de… 30 hommes. Ces derniers, dont la plupart étaient des mâles blancs de plus de 50 ans, avaient payé 1 million de dollars pour vivre un moment inoubliable. La sélection avait été des plus rigoureuse. Il s’agissait d’adhérents qui participaient régulièrement aux activités ignobles de l’île. L’idée d’enlever Barbie était venue d’un pari, puis s’était imposé comme un défi. L’originalité devait être de mise et il ne s’agissait pas d’un vulgaire viol collectif. L’organisation avait mis les moyens et fabriquer grandeur nature… une maison Barbie.

Tel Ataşehir travestileri un studio de cinéma, une maison Barbie avait été reconstitué, jusqu’à l’allée bordant la maison avec une voiture Barbie. La maison était composée d’un rez-de-chaussée et d’un étage. Les pièces étaient fort grandes et ouvertes sur l’extérieur comme une scène de théâtre ; Les couleurs des murs, des meubles, étaient vives et chatoyantes. Il y avait néanmoins un détail. Toutes les pièces étaient munies de discrètes sangles sur les meubles et d’un crochet en hauteur. Il y avait un grand salon, une cuisine, une salle de bain, une salle de gym, une chambre rose. Un petit ascenseur extérieur allait être utile pour se déplacer confortablement. Chaque pièce avait une caméra mobile de haute définition. Un caméraman supplémentaire serait chargé des plans serrés et rapprochés.

Deux gardes portant Barbie toujours inconsciente arrivèrent devant la maison et la déposèrent sur le lit de la chambre au premier étage, puis partirent, laissant Yasmina et Vascos seuls avec elle. Les deux complices la déshabillèrent complètement. Barbie portait un jean et un adorable petit pull en laine sexy. Ses dessous étaient blancs et des plus sages. Yasmina et Vascos sourirent lorsque Barbie fut nue.

Yasmina : « Ils vont se régaler! »

Yasmina palpa le corps de Barbie ainsi que Vascos.

Vascos : « Il va falloir lui raser la chatte. Le grand Maitre veut qu’elle soit comme une poupée ».

Yasmina écarta les lèvres du minou de Barbie.

Yasmina : « Bien, elle est encore vierge….tu as vu cette souplesse? »

En effet Barbie avait la souplesse d’une poupée. Vascos et Yasmina s’amusèrent a lui écarter les cuisses dans un grand écart. Yasmina passa un coup de langue sur un téton et embrassa les lèvres de la prisonnière.

Vascos : « Comme j’aimerais la baiser, là tout de suite »

Yasmina sourit : « Ce n’est pas pour nous, pas tout de suite…le grand Maitre m’a promis de nous la laisser pour la fin…. Bon, il est temps de la préparer! »

IL était 14 heures pile. 30 hommes viennent prendre place sur de confortables chaises au rez-de-chaussée de la maison. Un écran vidéo géant placé a coté s’allume, ainsi que toutes les pièces de la maison. Ils découvrent alors, Barbie, allongée inconsciente sur le lit. Ses cuisses nues sont relevées et écartées, perpendiculaires à son ventre, maintenues par une corde et un crochet. Ses deux mains sont réunies au-dessus de sa tête et tiré par une corde. Elle porte un mini string rouge et les seins a l’air. Un tonnerre d’applaudissements accompagne cette vision des plus excitantes. Un homme grand et mince, distingué, mais le visage dur, s’assoit au bord du lit. Il fait sentir à Barbie une essence forte qui la réveille. L’homme met un masque de carnaval qui lui recouvre les yeux.

Barbie ouvre les yeux. D’abord surprise, elle essaye de se défaire de ses liens par de vaines ruades.

Barbie : « Mais qu’es ce qui se passe?, ce n’est pas amusant.. »

L’homme « Bien au contraire, chère Barbie! »

Barbie : ‘« Qui êtes-vous? »

Un cameraman filmait les expressions de Barbie, Travesti ataşehir mais aussi la main de l’homme qui caressait les cuisses, le ventre, les seins de la petite.

L’homme : « On m’appelle le grand Maitre… Vous êtes notre invitée… Nous sommes 30 ou plutôt 31 avec moi, à qui vous serez offerte. »

Barbie : « Si c’est un jeu… Ce n’est pas drôle… Vous pouvez recouvrir mes seins s’il vous plait monsieur. Je dois me rhabiller. Ou est Maude? »

Le grand Maitre: « Hum, votre amie lesbienne… Celle qui bouffe ce charmant minou… »

L’homme arracha le mini-string. On entendit les murmures de l’assistance.

Barbie : « Nooonn »

Le grand Maitre, après lui avoir peloté la poitrine, vient poser sa main sur la fente rasée.

Le grand Maitre : « On t’a rasée la chatte… Imberbe comme quand tu étais une poupée. Tu es si douce. Tu vas redevenir cette poupée quelques heures, mais ce ne seront pas des petites filles qui joueront avec toi. Tu dois savoir ce que sont les hommes, pas des Ken sans sexe. Tu vas prendre 30 queues et de bien des manières… »

Barbie se rendit alors compte de l’horreur de sa situation. Maude lui avait parlé de ce qu’était un viol et que de toutes les manières, les hommes ne savaient que violer. Une queue était une horreur. Elle devait les fuir.

Barbie : « Je ne veux pas… Laissez-moi!, s’il vous plait’

Le grand Maitre : « Tu devrais nous remercier. Nous avons reconstitué ta maison, avec quelques petits aménagements qui t’intéresseront et pour notre plaisir. »

Yasmina vécu de cuir, et aux formes sensuelles, fit alors son apparition. Elle s’approcha du visage de Barbie. Celle-ci pensant trouver une aide féminine.

Barbie : « S’il vous plait Madame… »

Le grand Maitre : « Yasmina sera comme une coach pour toi et nos…. Elle va te raconter le programme de nos réjouissances »

Yasmina parla à l’oreille de Barbie, dont le visage se décomposa petit à petit avec des larmes glissant sur ses joues. Elle voyait également le Grand Maitre sortir son sexe et se branler tranquillement en regardant son corps et la position dégradante qu’elle subissait.

Yasmina : « Le Grand Maitre va te baiser, d’abord ta jolie chatte qui ne sera bientôt plus vierge, mais il va aussi t’enculer, prendre ton petit cul. Tu devras le sucer avant. Toutes ces choses que tu ne connais pas encore, vont devenir une habitude. Ensuite, les trente invités te baiseront chacun leur tour, comme ils le voudront et ou ils le voudront. Chacun a réservé la pièce de son choix. Puis, tu seras baisée par groupe de trois pour que tu connaisses un viol collectif. Ce sera donc dix séances. Pas mal pour cette journée. Tu pourras te reposer. Et demain, tu subiras quelques séances de torture qui feront à nouveau bander nos invités. Puis, tu seras libérée et ramené chez toi. Tes larmes ou tes cris les exciteront bien davantage. Tu peux te laisser aller…. »

Barbie : « Pourquoi êtes aussi méchante, vous êtes une femme »

Yasmina porta ses lèvres sur celles de Barbie qui les gardait fermées. Elle lui tordit alors une pointe d’un de ses adorables nichons. Barbie poussa un cri. Yasmina engouffra sa langue puis se retira.

Yasmina : « Petite conne…tu vas morfler! »

Yasmina sourit au grand Maitre.

Yasmina : « Elle est à vous! »

La grand Maitre : « Merci chère Yasmina… Que la fête commence.. »

Des applaudissements montèrent jusqu’à la chambre.

A suivre…..

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Asian

A 19 ans j’étais encore vierge. J’avais bien flirté avec une de mes cousines plus jeunes, ou sucé un ou deux camarades de classe plus âgés quand nous étions en sortie, mais je restais vierge. Pas par désir, mais par timidité maladive. Pourtant je savais que j’étais plutôt attirant et bien fait, mais j’étais facilement impressionnable. Je ne me sentais pas attiré par un genre particulier. La population n’était pas séparée par des sexes à mes yeux, mais par les dominants d’un côté, les alphas, et les dominés de l’autre. Dont faisait partie l’immense majorité dont moi. Et encore dans mon esprit, moi tout en bas. J’avais beau cherché je n’avais rien pour moi, aucune activité, pensée, culture dont je pouvais parler. Aucun ami non plus. J’étais incroyablement isolé, et je trouvais cela plutôt normal, compte tenu de l’image que j’avais de moi-même. Lorsque je croisais un dominant, un vrai, alors je sentais un coup de poing au fond de mon estomac, un désir profond, une fébrilité incontrôlable, et la réaction stupide alors de fuir, alors que je ne rêvais que de cela.

Quand je disais cela, en fait je ne sais pas trop ce que cela pouvait être en fait, mais pourtant il y avait là une évidence.

Si je commençais à avoir une belle collection de livres de femmes dominantes et de magazines, j’étais un peu frustré par le côté construit de la plupart de ces récits et encore plus des photos. Les dominatrices en faisaient bien trop pour être crédibles, mais sans doute était-ce nécessaire dans une société aussi marquée par la domination masculine. Je ne rêvais pas de cuissardes ou talons aiguilles, mais d’une présence et d’une autorité extrême, voire d’un certain sadisme et méchanceté pour me mettre à ma place. Je me tournais du coup vers le sm gay, mais lui frustrant d’une autre manière. Les récits étaient assez basiques et frustres. Seuls les dessins d’hommes suppliciés auprès de musculeux sadiques me tordaient les tripes et envahissaient mes pensées. Je pouvais imaginer des scenario sophistiqués et très pervers, là où je trouvais les écrits trop fades.

Je me rendais régulièrement dans un hangar qui faisait office de sex shop gay dans un quartier populaire de la ville. Il était au bout d’une impasse, toujours très calme, avec un étage réservé à des pratiques plus hard qui m’attirait régulièrement. J’étais fasciné par tout le matériel exposé, par les odeurs de cuir ou latex, par les images que je pouvais y voir. J’achetais parfois un objet, toujours déçu de ne susciter aucun intérêt des vendeurs. Ils étaient ouvertement gay et efféminés, ce qui n’était réciproquement pas mon cas. Je n’osais jamais aborder le sujet d’une rencontre avec un mâle alpha.

Un samedi après-midi, je regardais les vêtements en latex, en particulier un boxer couvert de fines pointes à m’intérieur. Ma main posée dessus mesurais bien leur agressivité et la douleur qu’elles devaient infligées. J’étais perdu dans mes pensées à imaginer porter cette culotte de torture, lorsqu’un vendeur s’approcha de moi.

– Tu souhaites l’essayer? C’est un modèle très particulier, je pense que tu l’as remarqué? (Tout le monde tutoyait tout le monde ici, je ne savais pas pourquoi)

– Oui je l’ai remarqué (j’étais rouge pivoine, je voulais juste m’enfuir. D’autant que je ne le connaissais pas, qu’il était âgé pour un vendeur et qu’il était très impressionnant par sa taille et sa carrure. Il me regardait droit dans les yeux, sans un sourire commercial, je me sentais très mal à l’aise)

– Mais est-ce que tu souhaites l’essayer?

– Oui, mais je n’ai pas les moyens de me l’acheter. Je…

– Essaie toujours

Il prit le short et m’entraîna vers un coin de la pièce, mais pas celui où il y avait un vestiaire. Il me tendit le short, je compris que je devais l’essayer là. Je n’osais pas, en fait je n’arrivais pas à bouger.

– Bon maintenant tu essaies ce short ou bien tu t’en vas et tu ne reviens plus. Les midinettes nous cela nous gonfle. Tu as compris?

– Oui Monsieur.

– C’est bien, alors mets-toi tout nu et enfile ce short, je ne vais pas le faire pour toi.

– Oui Monsieur

Je n’en menais pas large, et j’obéi malgré ma honte. Je me retrouvais tout nu devant cet homme qui ne manqua pas de me mater. Je faisais de la musculation pour ressembler à ces hommes que je voyais soumis sur les images et j’espérais que cela lui plaisait. Je ne commis pas l’erreur de masquer mon sexe, ayant peu de pudeur de ce côté-là pour avoir toujours pris des douches collectives. Même si je savais que mon sexe était moyen, voire petit, cela ne me gênait pas, je savais que je n’étais pas un mâle alpha. Mais il ne dit rien, même devant mon pubis bien épilé, il devait s’en foutre. Moi j’étais content d’être nu, pour un timide, être exhibitionniste était peut-être contradictoire, je ne savais pas. Au moins je n’avais pas besoin de parler.

Si ce n’était pas la première fois que j’enfilais du latex, avec les pointes c’était encore plus difficile. D’autant que le short me semblait vraiment petit, même si finalement Bostancı travesti mes jambes réussirent à entrer complètement. Le monter fut douloureux, je m’écorchais un peu partout. Enfin en place, il semblait en effet très serré, mais à ma taille. La sensation était d’une intensité que je n’avais jamais connue. Tout mon fessier et mon pubis était en feu, quant à mon sexe, il semblait brûler. J’étais à fleur de peau et quand le vendeur me demanda de marcher, la souffrance ne fit que s’accroître. Et à ma grande honte et douleur, l’excitation aussi. Mon sexe ne cessait de gonfler, bien visible, moulé par le latex, et transpercé de toute part. Il appela lors ses collègues d’en-bas, m’expliquant que c’était la première fois qu’il était porté. Je rougis, flatté. Et du coup je masquais mieux mon intense souffrance et irritation.

Je dû faire un défilé devant eux, recevant de multiples caresses sur le sexe et sur les fesses me faisant gémir de douleur. Quand je pensais à toutes les fois où j’étais venu espérant au moins un regard, le contraste était saisissant. J’eu même peur de jouir sur une caresse plus appuyée qui, heureusement, ne dura pas. Plus tard, allongé sur le ventre, à même une grande table d’exposition, les fesses exposées, ils essayèrent une tapette en bois sur mes fesses, pour constater les effets des pointes ainsi frappées. Curieusement, si la douleur était plus franche, la sensation semblait plus supportable. Mais c’était pour moi la première fois que j’étais frappé et sans que je ne puisse anticiper. Je me mis à jouir avec force cri.

Une fois apaisé, la honte me recouvra entièrement et je n’osais regarder personne. Le premier vendeur m’envoya alors dans l’arrière-boutique, retirer le short clouté et le nettoyer avec application. Je ne savais où me mettre d’autant que je dû traverser tout le magasin nu, après la douche. Personne ne semblant s’intéresser à moi, je me rhabillais le plus vite possible pour disparaître et ne plus jamais revenir. Enfin c’est ce que je me promettais.

En fait les nuits et les semaines suivantes, je fus envahi par le souvenir de cette scène, mais surtout de cette culotte si douloureuse et perverse. Je m’imaginais ne pas pouvoir la quitter avec une chaîne cadenassée autour de la taille, devoir prendre le métro bondé, m’asseoir longuement au cinéma et souffrir ainsi de mille points me torturant. J’avais aussi entre aperçu des chaussettes de la même matière et ornées des mêmes pointes, et je devenais fou. Malgré le prix exorbitant pour ma pauvre rente, je décidais de les acheter, ne serait-ce que pour me libérer de ce désir et ce rêve.

Le même vendeur était bien là au rayon hard et ne sembla pas me reconnaître quand j’entrais. J’en fus un peu soulagé. Non, en vérité, j’en fus déçu. J’étais donc bien complètement transparent. Je choisis à nouveau le boxer qui était à la même place et me décidait pour prendre aussi les chaussettes hautes cloutées en espérant qu’ils pourraient me faire un prix. J’étais un peu stressé, mais quand il s’agit d’argent j’étais tellement juste que cela me donnait du courage.

– Bonjour Monsieur, je voudrais prendre ces deux articles. Est-ce que vous pensez que vous pourriez me faire un prix? (Il m’a regardé surpris de ma demande)

– Oui cela fait cher pour un jeune homme comme toi. De quoi vis tu?

– Je, je donne des cours de mathématiques et j’ai un petit pécule que j’ai hérité de mes parents

– Oh, je suis désolé pour toi.

– Je, je ne comprends pas (j’étais désarçonné d’un coup)

– Pour tes parents voyons!

– Oh oui, merci Monsieur.

– Ecoute la dernière fois tu t’es très bien comporté, et nous nous sommes dits que nous avons besoin d’un petit soumis maso comme toi pour faire la démonstration de notre matériel (Je rougis au souvenir de la dernière fois, mais aussi que j’avais été catalogué ainsi, pour moi c’était juste des jeux, une fantaisie sexuelle).

– Oui Monsieur

– Alors voilà ce que je te propose, si tu viens tous les soirs de 18h à 22h pendant les deux prochaines semaines, nu et à la disposition des clients pour essayer des objets ou des tenues, nous pourrions te rémunérer en matériel d’ici. Qu’en penses-tu?

– (Mon cœur battait la chamade, il semblait très gentil et conciliant, Eh oui cela me permettrait du coup d’avoir des jouets moins chers). Oui Monsieur, mais je devrais faire quoi?

– Un peu comme la dernière fois, essayer des vêtements, faire ce qu’on te demande, rien de sexuel. D’ailleurs il ne faudra pas que tu rejouisses d’accord?

– Oui Monsieur.

– Alors on se dit qu’on fait affaire?

– Oui Monsieur.

– Ce que je te propose alors, c’est que tu enfiles ce short et ces bas, et que tu reviennes à 18h pour commencer tes deux semaines.

Je me déshabillais sur place et enfilait le short avec déjà plus de dextérité. Retrouver ces sensations douloureuses me fit bander à nouveau immédiatement, ce qui fit rire le vendeur. Il me massa le sexe pour le plaisir de me voir le supplier. Bostancı travestileri Je réalisais que c’était bizarre leur proposition car il y avait tellement de mecs voulant se soumettre. Mais j’ignorais à ce moment-là que l’immense majorité ne fait que fantasmer, et que personne n’aurait pris le risque de s’exposer ainsi dans un tel lieu. Sauf moi, totalement naïf. Et sans aucun repère.

Ce que je n’avais pas vu c’était que les bas se fixaient sur le boxer pour être bien tirés. Eux aussi me semblaient petits et la tension était forte, plaquant les pointes sur toute la longueur de mes jambes, sans parler de celle qui étaient sous mes plantes de pied, me faisant hurler. Je remis mon pantalon, mes chaussettes et mes chaussure, ce qui ne me soulagea qu’à peine. Me mouvoir était une souffrance terrible, et au sourire carnassier du vieux vendeur, je me dis que j’allais bien mériter mon salaire. Mon sexe ne faisait que bander malgré les souffrances dans tout le bas de mon corps.

Je sortis dans l’impasse en marchant doucement, ayant laissé mon portefeuille à la caisse. Ils ne voulaient pas que je disparaisse avec la marchandise. J’avais trois heures à tuer, et j’habitais trop loin pour aller m’y reposer. Je décidais de me prendre un goûter dans un square, transférant la souffrance de mes pieds à mes fesses. Je venais de m’infliger des souffrances comme jamais et en plus je m’étais engagé pour deux semaines de démonstration. Je n’arrivais à penser à rien d’autre, et juste d’imaginer ce qui risquait de m’arriver, je bandais de plus en plus. J’étais heureux qu’ils aient pensé à moi. Ne pouvant pas tenir plus longtemps, je m’engouffrais à nouveau dans l’impasse du magasin et dans un coin calme je me fis jouir pour apaiser la tension. L’orgasme éclata dans la souffrance des pointes me déchirant, remplissant la culotte de mon sperme. Et sans doute de mon sang.

Je fus d’un coup dégrisé, me demandant comment faire avec Victor, le vieux vendeur qui semblait être le patron et m’avait interdit de jouir dans le boxer. Il me restait deux heures à tuer et peut être je pourrais trouver un endroit pour tout nettoyer.

A 18h je rentrais à nouveau dans le hangar, tremblant de fébrilité tant les pointes me rendaient fou et excitaient déjà à nouveau mon sexe. J’étais allé dans des toilettes pour tout nettoyer, me sentant affreusement coupable et n’osant regarder personne. Le vendeur au rez de chaussée me fit monter et je retrouvais Victor, souriant et affable. Il me fit déshabiller, hormis les vêtements de latex qui me torturaient par leur chaleur mais surtout par les pointes acérées. Il me serra un large collier autour du cou, m’empêchant de bouger la tête, une sorte de camisole, puis m’installa sur une croix de saint André en plein milieu de l’espace. J’avais des ceintures à chaque membre, et je ne pouvais quasiment pas bouger, ni même soulagé les souffrances provoquées par les piqures. Pour terminer, il prit des pinces japonaises lestées et me pinça les tétons avec.

– Voilà mon cœur, tu es là pour mettre de l’ambiance et je suis certain que nos clients vont apprécier!

Je n’étais jamais venu en fin de journée, et fus très surpris de voir autant de monde! Y compris quelques couples hétérosexuels. Je n’avais rien d’autre à faire que regarder toutes ces personnes qui semblaient en effet apprécier la mise en scène qui leur était proposée! Beaucoup vinrent me toucher, presser les pointes pour voir mes réactions, tirer un peu sur me tétons déjà très douloureux. Certaines mains me caressaient doucement, c’était une sensation incroyable d’être exhibé comme cela, moi si timide et en retrait. Je ne cessais de bander et finalement j’étais soulagé de m’être fait jouir tout à l’heure, pouvant plus facilement me retenir.

Une fois le magasin fermé à 22h je fus enfin libéré par un employé qui m’aida à me redresser et à enlever le latex si douloureux. Ma peau était parsemée de points rouges et de quelques points de sang quand les pointes ont traversé ma chair. Il me regarda un peu effaré, tandis que je me massais pour faire circuler les petits vaisseaux de sang. Je rentrais chez moi, complètement épuisé, mais avec une érection énorme. J’avais tellement envie de me masturber avec ce caleçon, c’était quelque chose d’incroyable. Je savais que j’étais complètement fou, le regard de cet employé me l’avait bien montré, mais je n’y pouvais rien. Et je ne voulais surtout pas résister. Mon sexe était tellement douloureux que je retrouvais vite le plaisir de la souffrance en le masturbant longuement. Quand enfin j’explosais, je criai mon plaisir comme jamais, la jouissance dura une éternité, j’étais épuisé. Comme souvent, je recueillais mon sperme et je l’avalais, comme pour bien m’habituer. Ou m’humilier, je ne savais pas. J’étais loin d’être au clair avec ma sexualité. Parfois je ne me masturbais pas pendant plusieurs jours, sentant la fièvre m’emmener dans des délires que je ne comprenais pas, une fois la jouissance enfin là.

Les jours suivants, les choses Travesti bostancı évoluèrent, se renouvelant à chaque fois. J’étais moins juste un modèle d’exposition, mais aussi un modèle pour tester et évaluer le matériel. Par principe, mais aussi timidité et luxure, je m’interdisais de refuser quoi que ce soit, et également de craquer malgré parfois des situations très pénibles. Mais j’avais la chance de pouvoir sans doute, subir à peu près tout ce que le magasin pouvait proposer. Un soir ce fut un couple qui voulait évaluer différentes résistances. La femme, ressemblant à mon ancienne proviseure, sévère et âgée, était positionnée face à moi. J’étais penché en avant, enfermé dans un carcan, les jambes écartées par une barre, ainsi offert à tous les clients. Ce fut d’ailleurs finalement la position dans laquelle j’étais le plus souvent.

Son mari avait serré autour de mes couilles un parachute en cuir, très serré, avec des pointes intérieures. A croire que tous les articles de ce magasin étaient étudiés pour faire le plus de dégâts possible. Puis, suivant les directives de la matrone, il ajoutait des poids. Elle étudiait mes réactions pour savoir ce que je supportais ou pas. Quelques personnes étaient autour, amusés de l’expérience. A 5 kg je commençais à bien souffrir. Cela tirait dans le ventre, mais je ne montrais rien, je ne voulais pas les décevoir, et je devais de faire de mon mieux. Elle demanda alors de rajouter deux kg pour voir.

Cette fois-ci, il me fut impossible de rester impassible, je grimaçais, et gémissait. Elle me força à soutenir son regard, ce que je fis, la convaincant alors que ce n’était pas mon maximum. A son signe, il rajouta encore un poids de 1 kg. Mes couilles allaient s’arracher, la tension était folle. Mon sexe était dur comme l’acier. Comme pendant toutes ces séances, c’était étonnant. J’avais du mal à respirer, mais j’arrivais à contrôler, et après quelques minutes je relevais à nouveau la tête pour la regarder, lui sourire. C’était bon de s’offrir ainsi à cette inconnue. Pour le poids suivant, à 9kg, ce fut la même chose, même si je mis encore plus de temps.

Enfin elle fit un dernier signe, et je supportais 10 Kg sur mes deux pauvres couilles qui avaient déjà subi maintes sévices les jours précédents. Mon gémissement était continu, entrecoupé de mes halètements, les larmes me montaient aux yeux, la torture était terrible, à la douleur dans le ventre, s’additionnait cette tension extrême. Elle émit un son de satisfaction, indiquant à son mari qu’elle pensait bien que 10 Kg étaient possible et que dès ce soir leur chien serait ainsi supplicié. Et ils me laissèrent ainsi, se désintéressant de moi.

Un homme pris le relais, pour s’occuper de mes tétons. Une coupelle avec différents modèles était posée, et une autre avec différents poids. Les pinces japonaises lâchèrent à 1 kg, à sa grande frustration et à ma grande douleur. Il décida alors de prendre de simples pinces crocodiles. Je les avais déjà expérimentées plusieurs jours et mes tétons étaient blessés tous les soirs. Lorsqu’il installa deux kilos à chacun des tétons, il du mettre un bâillon tant je ne pouvais retenir mes cris. Je ne pensais plus à mes couilles, mais à la souffrance qui irradiait de ma poitrine. Il fut satisfait, pris une photo et lui aussi me laissa ainsi. La fermeture était proche, aussi Victor vint me libérer de toutes ces souffrances, doucement, presque tendrement. Me passant une pommade et se déclarant très satisfait. C’était si bon d’être ainsi réconforté.

Un autre soir, ils avaient décidé de mettre en avant tous les instruments pour frapper ou marquer. Toujours dans mon carcan, cela semblait plaire à la population. Le cul toujours fermé d’un plug, je ne manquais pas de remarquer que le plug était de plus en plus énorme. Comment aurais-je pu le manquer, tant à la fin de ces deux semaines, sa seule présence était un supplice sans fin.

Ainsi exposé, les clients pouvaient tester les instruments mis à leur disposition. Cela n’avait rien à voir avec une flagellation car je recevais un ou deux coups, parfois une série, mais rien de très long. Mais cependant des coups parfois d’une violence inouïe pour tester l’accessoire. Je bondissais, hurlais, au grand plaisir des clients. Mes fesses, mon dos et mes cuisses furent rapidement couvert de marques diverses et variées. Je sentais mes fesses en carton et j’étais un peu inquiet. J’espérais que là aussi Victor aurait une crème.

Mais ce ne fut rien, avant qu’une jeune femme, au regard noir, clairement une dominatrice, ne se saisit d’un accessoire appelé griffes de tigre. Une réplique en acier d’une patte de tigre, aux dents plus qu’acérés. Elle me lacéra le corps, longuement, méthodiquement, cherchant à me faire le plus mal possible, à faire couler aussi le sang partout, insensible à mes cris. J’aurais voulu demander pitié, mais les mots même ne venaient pas. La brûlure était profonde, continue, intense. Bien pire que le moindre coup de canne. L’engin sembla lui plaire puisqu’elle décida de l’acheter.

A la fermeture, j’étais tremblant de souffrance, le corps à vif. Victor me consola. Ils partirent tous dîner ensemble, sans même penser à m’inviter. C’était surprenant comme une fois le magasin fermé, personne ne s’intéressait à moi. Victor vu ma souffrance d’être ainsi exclus de leur cercle :

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Anne, ou la naissance d’une chienne

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Préambule : Anne est née en septembre 1968 à Dunkerque. À cette époque, sa mère avait quitté son mari depuis quelques mois. À sa naissance, le père d’Anne ne la reconnaît pas, contrairement à son frère ainé et à sa sœur. La mère d’Anne souffre de surdité plongeant ainsi la famille dans une forme de communication difficile. Au fil des années, Anne se développe. Dans la cour de l’école, Anne est une enfant timide et réservée, souvent mise à l’écart par son frère et par sa sœur dont le nom de famille est différent. Anne se sent différente tant par le nom, mais aussi par son physique. Elle a des attaches fines, de longs bras et de longues jambes qui mettent en valeurs les traits doux et sensuels de son visage qui possède une grande bouche délicatement ornée de lèvres finement dessinées et de grands yeux d’un bleu profond. Blonde, elle attire le regard à l’inverse de sa sœur brune et plutôt ronde.

Les difficultés de communication au sein de la famille se renforcent avec l’arrivée du beau père, chauffeur de camion de transports de marchandises qui parcourt principalement l’Europe. À 16 ans, Anne habite une petite maison familiale de la région parisienne proche de la ville de Charenton. Elle suit des études techniques et pratique le basket-ball. Sa taille de 1,74 m et son poids léger de 50 kg, lui donne l’impression d’être toute en longueur, sauf sa poitrine, un 95 C dont les formes attirent le regard. Mais Anne garde cette discrétion, comme une fracture secrète. Si Anne est extrêmement sensuelle, elle souffre de ce manque de reconnaissance, par le nom et principalement l’indifférence de son père, ou du moins du père de son frère et de sa sœur. Pourtant, Anne ressent le regard des hommes sur elle, et aussi celui des femmes.

1- Le frère ou l’éveil du corps.

Thierry, le frère d’Anne est son ainé de 4 années. Il habite toujours dans la maison familiale, dont la chambre est sous les combles, au-dessus des chambres de ses deux sœurs. Il est interdit de pénétrer dans ce lieu et ce message est d’autant plus fort qu’il provient de leur mère. Un jour où Anne est seule dans la maison, elle est attirée par l’escalier qui conduit dans ce lieu interdit, la chambre de son frère Thierry. Ce frère qui ne l’a jamais considéré comme sa sœur, mais plutôt comme une demi-sœur, voire comme celle qui était la cause du divorce de ses parents. Anne est dans la chambre de Thierry, elle découvre ce lieu jusqu’alors interdis. Cette chambre est composée d’un grand lit, d’un bureau et d’un placard composé de portes coulissantes fixées sur tout un pan de mur. Fébrile et curieuse, Anne visite ce lieu sans prendre conscience du temps qui passe et surtout de l’arrivée de Thierry dans la maison, qui se croyant seul se dirige directement vers sa chambre. Arrivé au premier étage et en prenant le chemin de l’escalier qui le mène à sa chambre les premières marchent craquent dans un bruit qui s’il est anodin, éveille les sens d’Anne et la pétrifie sur Cebeci travesti place. Le temps de quelques marches il sera là avec elle, alors que ce lieu lui est interdit, expressément interdit par sa mère. Elle réfléchit vite une solution. Seule une fenêtre sur le toit éclaire la chambre, la fuite ne peut pas se faire par cette voie. Elle part vers le grand placard, déplace une des portes coulissantes, et se réfugie comme elle peut derrière les cintres et les vêtements suspendus. Thierry entre dans sa chambre, puis en fermant la porte, il tourne la clé afin d’éviter que celle-ci puisse par moment s’ouvrir. Les maisons anciennes travaillent, et les portes, surtout sous les toits, sont soumises à des contraintes.

Anne dans le placard a très chaud, son cœur bat fort. Thierry commence à se mettre à l’aise, puis part en direction de son placard afin d’accrocher sur un porte-manteau sa veste. La porte coulissante se déplace sous l’action de la main de Thierry. Anne se plaque contre le mur, son 1m74 est trop grand pour qu’elle puisse se fondre dans les aspérités du mur du fond du placard. Son frère la découvre ainsi, muet, statique et livide. Il perçoit ses grands yeux bleus, sa bouche entre ouverte, son chemisier blanc cassé tendu sur cette poitrine arrogante rythmée par une respiration rapide, et cette petite jupe noire tout en haut de longues jambes fines et gracieuses. Anne ne bouge pas. Thierry d’un regard étonné, passe à un regard carnassier. Anne ne comprend pas. Elle attend sans oser penser quoi que ce soit. Tout en laissant la porte ouverte, Thierry recule et part s’assoir sur le siège de son bureau. Il pose son regard sur son corps. Puis après un moment qui semble durer une éternité, Thierry parle. « Anne tu es dans un lieu, interdit. Notre mère t’a informé des conséquences du non-respect de mon intimité. Sorte de suite de ce placard, et tu viens vers moi de suite. » Les mots sont autant de gifles qui frappent le visage d’Anne. Comme un robot, elle sort du placard et se déplace vers le bureau où Thierry est assis. Arrivée à quelques pas du bureau, Anne, les mains dans le dos et le regard baissé, attend les prochains propos. Elle sait qu’elle ne doit pas se trouver là, et plus encore, elle ne sait pas comment expliquer au reste de la famille sa cache dans le placard. Thierry prend le temps de regarder Anne sous toutes les coutures. Il ne voit pas l’adolescente, mais une femme. Il se sent fort devant elle. Pour lui, elle n’est pas sa sœur et elle est la cause du divorce de ses parents. Il le sait, et elle va souffrir pour tout cela.

« Qu’as-tu à me dire qui expliquerait ta présence ici? » Anne ne peut rien dire pour se défendre, car tout en elle sait qu’elle ne devait pas se rendre ici. « Je vais informer notre mère de la situation et tu sais quelle est l’action». Anne ne dit rien, mais son corps parle pour elle. Le léger duvet blond de ses avant-bras se redresse, elle frissonne. Ses yeux Cebeci travesti se remplissent de larmes qui viennent rouler sur ses joues. « Je vais te punir, si tu acceptes sans jamais t’opposer à mes ordres, je ne dirais rien à notre mère. Acceptes-tu d’obéir? »

Anne réfléchit et elle sait que c’est la seule solution. À ce moment, naïvement, elle n’imagine pas l’ensemble des conséquences. Elle espère encore une voie de sortie. « Oui, j’obéirai ». « Pour te punir, je vais te donner une fessée. Enlève de suite ta jupe ». Anne ne comprend pas les mots. Punir, fesser, enlever la jupe. « Je ne vais pas le répéter. Soit tu le fais de suite, soit tu pars et je préviens notre mère ». Anne laisse tomber sa jupe. Thierry suit la chute de la jupe pour remonter le long de ces jambes et s’arrêter sur la culotte blanche en coton. Anne regarde le plancher et attend la suite des événements. « Viens vers moi ». Elle se déplace lentement puis la main de Thierry attrape son bras et le tire pour qu’elle puisse se pencher. « Allonge-toi sur mes cuisses les bras d’un côté et les jambes de l’autre ». Ainsi positionnée, Anne attend. Thierry pose son bras droit sur le dos d’Anne, et de son autre main descend la culotte en coton sur les cuisses. Anne essaye de réagir. « Ne bouge pas. Tu m’obéis. Tu vas recevoir une fessée. À chaque frappe, tu dois compter sans jamais essayer de te soustraire ». La main tombe une première fois et le bruit retentit dans la chambre. « Un », « deux », « trois », « quatre, aie ». À la dixième Anne pleure, à la vingtième, elle crie et se débat. La trentième, elle ne pleure plus, ni ne crie. Ses fesses sont rouges et chaudes. Thierry arrête, sa main le fait aussi souffrir tant les dernières frappes furent fortes pour couvrir les cris et les pleures d’Anne. Elle est encore sur ces cuisses, elle ne bouge plus. Thierry bande très fort. Le corps en abandon d’Anne éveille des sentiments nouveaux. Sa main vient reprendre possession des fesses chaudes. Ses doigts glissent entre les cuisses et viennent se poser sur le sexe d’Anne. Il est humide, chaud et doux. Anne sent les doigts de Thierry se poser sur son intimité. Elle veut réagir, elle ne veut pas de cette caresse. Sur son dos, le bras appuie plus fort comme pour lui dire de ne pas bouger, car c’est lui qui commande. « Ne bouge pas. Tu es à moi et à mes ordres. Je fais ce que je veux de toi ». Les mots sont durs, et Anne les reçoit difficilement. Pourtant elle est vaincue. Les doigts écartent les grandes lèvres et viennent chercher son clitoris. Il le caresse, le tire et le pince. Anne sent une autre chaleur l’envahir. Elle sent une onde partir du fond de son ventre. Elle monte et gronde dans tout son être. Sa respiration est plus rapide et des gémissements sortent de sa bouche. Anne jouit de tout son être. Thierry arrête de la caresser. Il sent ses doigts. Il aime cette odeur, il goute maintenant et se régale de ce nectar. Anne est toujours sur ces Cebeci travesti cuisses, elle est inerte. Il la pousse et elle tombe à ses pieds.

Il se lève. Du bout de ses pieds, il la pousse. « Lève-toi, chienne! » Les mots sont durs. Anne inerte sur le plancher entend et ne comprend plus. Thierry défait la ceinture en cuir de son jean, et l’utilise pour frapper les fesses d’Anne. Le premier coup génère une telle douleur qu’Anne crie et se relève en même temps. Elle se frotte les fesses qui la brulent encore plus. « À poil, je te veux nue ». Sans réfléchir, elle se met nue pour la première fois devant un homme. Il la regarde et lui caresse les seins. Puis en prenant chaque téton, il les tire vers le bas pour la forcer à la mettre à genoux. Il défait son jean et descend son caleçon. Il bande très dur. « Ouvre la bouche, et laisse tes mains dans ton dos ». Son sexe vient prendre possession de la bouche d’Anne. Ses mains en appui sur la tête impriment le mouvement de la bouche qui glisse sur toute la longueur de son sexe. Un moment, il sent les dents d’Anne, sur la tendre peau de son gland. Il sort sa queue. Une gifle vient laisser la marque de ses doigts sur la joue d’Anne. « Tu dois faire attention avec tes dents, ouvres ta bouche! » Il reprend possession de sa bouche et vient pénétrer sa gorge. Son sexe grossit et il jouit profondément dans sa gorge. Il maintient sa tête le temps qu’elle avale tout. Puis, il lui demande de nettoyer son sexe avec sa bouche et sa langue. Anne épuisée s’écroule. Thierry repart s’assoir à son bureau comme si rien ne s’était passé.

Quelques minutes après, Anne refait surface. « Rhabille-toi. À partir d’aujourd’hui et sans contre ordre de ma part, toutes les fins d’après midi, lorsque nous serons seuls dans la maison, tu viendras dans ma chambre, chienne! Je vais faire ton éducation de chienne soumise. As-tu compris? » Anne écoute, entend et comprend. Elle comprend que cela ne fait que commencer. Comment le dire et à qui? Sa mère sourde et qui lui a interdit d’être ici. À sa sœur qui est jalouse d’elle. À son beau-père qui ne la considère pas plus. Non, elle n’a personne à qui le dire et surtout, elle n’a personne qui pourrait venir à son aide. Anne sait maintenant que la soumission vient tout juste de commencer. « Oui, j’ai compris ». Thierry la regarde un moment puis il ajoute. « Tu m’appelleras Maître, et tu le diras à chaque fin de phrases. Redis-le maintenant! » « J’ai compris maître ». Le sexe de Thierry reprend de la vigueur à l’écoute de ses mots et aux idées à venir. « Passe sous le bureau, tu défais mon jean et tu prends mon sexe en bouche. Cette fois, tu vas me sucer sans que je te dise quoi que ce soit. Lorsque je jouis, tu avales tout et tu ne laisses aucune trace. Ensuite, tu pourras partir ». Thierry venait de jouir. Il était plus endurant. En travaillant, il avait des difficultés à se concentrer sur sa tâche. Il ne savait pas si cela venait de la fellation d’Anne ou de toutes les idées qui lui venaient quant à l’éducation de celle-ci dans un monde nouveau, la soumission. Il l’imaginait dans bien des situations dont certaines étaient des fantasmes inavouables.

Fin du chapitre 1

Si le début de ce récit vous plait, je continuerai.

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Bonjour, je m’appelle Jonas, j’ai dix-huit ans et je suis un génie. Attention, un vrai, pas un de ces surdoués d’opérette. J’ai déjà quatre doctorat, un en nanotechnologie, un en neuroscience, un en électronique avancée et enfin un en recherche médicamenteuse. J’ai une chaire dans la plus prestigieuse université de mon pays. Elle est mondialement connue. Si je suis un véritable génie, je suis aussi puceau. Je suis un gars vraiment très laid. Un peu comme un golum avec des cheveux et de grosse lunette. Je lis beaucoup de manga, je mate pas mal de films hentaï ainsi que des pornos japonais. Ce que me fait vivre ma sœur et ma belle-mère, m’a rendu haineux des femmes, je ne fantasme que sur le viol. Je peux concevoir une relation basée sur l’amour. D’ailleurs la belle Siobanne à kidnappé mon cœur. C’est la meilleure amie de ma sœur, elles sont dans la même université. Mais n’ont pas le même cursus. Mais bon, avec mon physique, je doute qu’une seule femme, conçoive une relation amoureuse avec moi. D’ailleurs je me suis inscrit dans la même université que la belle Siobanne, en psycho.

Donc si je n’étais pas aussi lâche, si je n’avais pas aussi peu de capacité physique, je serais déjà sûrement passé à l’acte. Je vis avec mon père, Hugues quarante et un ans, ma belle mère, Martha, trente ans et enfin ma sœur Léa dix-neuf ans. Ma mère est morte lors de ma naissance. Mon père qui est prof de philo, c’est installer avec Martha, alors que je n’avais que six ans. Ma belle-mère n’avait alors que dix-huit ans. C’était alors une élève de mon père. Je ne sais pas pourquoi, mais elle m’a aussitôt pris en grippe. Me frappant dés que mon père avait le dos tourné. Ma sœur, pour qui j’étais responsable de la mort de ma mère, ne se privait pas de me frapper elle aussi, dés qu’elle le pouvait. Bien entendu les deux se sont bien entendu pour me faire du mal. Mais jamais rien de visible. Beaucoup de torture psychologique. Ma sœur, contrairement à moi était un vrai canon, par contre elle avait une intelligence normale, dans la moyenne basse de la population. J’avais l’intelligence, elle la beauté. Une vrai splendeur blonde, avec un corps de rêve. Le style de femme que l’on ne voit que dans ses rêves. D’ailleurs, ma sœurette était arrivée deuxième au concours nationale des miss de mon pays.

Elle sortait avec Jordan, ils étaient ensemble depuis qu’ils avaient douze ans. Jordan aussi me maltraite, il me force à faire ses devoirs. Il vit avec sa mère, qui à quarante ans. C’est elle qui me gardait quand j’étais enfant. Bien entendu, comme ma sœur, ma belle-mère et son fils l’ont monté contre moi, elle aussi me maltraite. Mais aujourd’hui, je vais me venger. Ma deuxième invention est enfin prête. Dix ans que je suis dessus. Dix ans que j’en rêve.

Ma première invention, est une sorte de pilule bleue améliorée, qui permet de bander et d’éjaculer à volonté pendant deux heures. Elle marche très bien, je m’en sert à chaque fois que je me masturbe devant mon ordi. Pour tout vous dire, je me masturbe très souvent. Je la commercialiserais sûrement plus tard, pour l’instant elle est à usage unique, sur moi. Ma deuxième invention, par contre, je ne la garde que pour moi. Elle est trop dangereuse. Celle-ci permet de prendre le contrôle de n’importe quel cerveau, le mettant dans une transe hypnotique. Les limites sont les mêmes que pour un hypnotiseur, elle permet tout, sauf de mettre fin à ses jours. Après tout le reste est possible. Pour vous expliquez succinctement le fonctionnement, le système stoppe et modifie les impulsions électrique du cerveau. Quand j’ai entendu la porte s’ouvrir, je suis descendu, mon boîtier à la main. C’était Jordan et ma sœur. Mon père et sa femme, partant tout les week-ends, mon beau-frère le passe chez moi. Personne n’a jamais sut où mon père et sa femme partaient. C’est le mystère de notre famille. On était vendredi soir. Ils n’eurent que le temps de sourire en me voyant descendre les escaliers. J’ai appuyé immédiatement sur le bouton de mon invention. Aussitôt les deux se sont immobilisé. Droit comme un i, le regard vide.

– Qui est le maître?

– C’est toi.

Ils ont répondu en chœur.

– Et vous, vous êtes qui?

– L’esclave.

Nouvelle réponse en chœur.

– Bien vous ne sortez plus ensemble. Vous le vivez bien. Jordan, tu va rentrer chez toi, tu va battre et violer ta mère. Tu la bâillonnera jusque à trois heures du matin. Pendant ce temps tu la viole non stop.

Je lui tend deux de mes pilules.

– ça te permettra de tenir. A trois heures, tu lui enlève le bâillon, je veux qu’elle hurle jusque à ce que les flics viennent. Tu avoueras tout. Compris?

– Oui, maître.

– Bien vas-y.

Vingt minutes plus tard, Jordan ouvre la porte de chez lui, il frappe et viole sauvagement sa mère. Jusque à ce que la police arrive à trois heures du matin, alertés par les voisins. La mère se suicida dix jours plus tard. Jordan fut condamné à une très lourde peine. Tout ça je ne le sut que plus tard bien sur. Je me suis alors retourné vers ma sœur en lui souriant.

– Quand à toi…

Léa me regardait toujours avec le même regard complètement vide. Ma sœur était vraiment magnifique. Ses grands yeux verts Kızılay travesti étaient ensorceleur. Je sentis mon sexe durcir. Mais j’allais d’abord m’amuser avec elle.

– Bon, je présume que Jordan t’a baisée des centaines de fois.

– Non.

– J’étais étonné par sa réponse.

– Combien de fois?

– Jamais.

Cette fois, je suis resté quelques secondes sans voix. Comment avec une copine aussi bandante, on pouvait ne pas baiser, ne pas la toucher.

– Tu es vierge alors?

– Oui, complètement, de partout.

– Il ne t’a même pas prise par derrière? Tu ne l’as pas sucé?

– Non plus.

– Tu ne voulais pas?

– Si, je voulais. On a essayé plusieurs fois.

– Il c’est passé quoi?

– Il ne bande pas, même avec du viagra.

Je suis parti dans un fou rire de fou. Heureusement que je lui avait donné ma drogue. Même un mort banderait avec.

– Ce n’est pas drôle.

Une larme à coulée sur la joue de ma sœur.

– Je l’ai mal vécu. J’ai cru que ça venait de moi, qu’il ne m’aimait pas.

– Je comprends, toi, tu avais envie?

– Oui, beaucoup.

– Tu mouillais?

– Tu es mon frère, ça me gêne.

– Je suis le maître.

– Je suis l’esclave.

– Alors répond.

– Oui, je mouillais.J’avais une telle envie de faire l’amour avec lui.

– OK, donc tu aimerais te faire baiser?

– Oui, je veux connaître les joies du sexe.

– Avec n’importe qui?

– Non!

Cette fois, Léa avait crié. Même en transe, certaine émotion pouvait transparaître. J’étais vraiment heureux, ma création allait au delà de toutes mes espérances.

– Je ne suis pas ce genre de fille. Je veux connaître le sexe, mais seulement avec Jordan.

– Vous n’avez rien fait pour remédier à ça?

– Oui, on a été chez des spécialistes. Mais ils n’ont rien trouvé. C’est un très gros blocage psychologique, d’origine inconnu.

– D’accord. Tu voudrais que je te baise?

– Non, tu es mon frère?

– Ben moi, j’en ai envie. Quand je te le dirais tu iras prendre ta douche.

– D’accord.

Tu auras une envie irrésistible de me sucer. Tu ne sais pas d’où ça vient, mais me tailler une pipe seras la chose la plus importante pour toi. Tu feras tout pour que je te laisse faire.

– S’il te plaît.

– Non, tu obéiras.D’ailleurs tu es obligée de m’obéir, tu ne peux résister.

– D’accord.

– Bien, tu vas aller sous la douche, tu oublieras cette conversation. Dés que l’eau touchera ta peau, tu auras une envie monstrueuse de me sucer. Débrouille toi comme tu veux, mais il faut que je te cède. Dés que ma bite entreras dans ta gorge tu mouilleras comme une chienne, tu auras même un orgasme. Maintenant vas-y.

Comme si elle ne me voyait pas, ma sœur monta les escalier. Je la suivit, je suis allé dans ma chambre, j’ai verrouillé la porte, je me suis allongé sur mon lit. J’ai pris dans la poche du jeans que je porte, une de mes pilules magique. Je savais que ma partie de baise avec cette salope allait durer longtemps. Aussi longtemps que je le voulais. A ma grande stupeur, j’ai entendu la porte de sa chambre s’ouvrir. Léa y est restée quinze bonnes minutes dedans, avant que je ne l’entende ressortir. Je me suis longtemps demandé ce qu’elle avait put bien y faire. Ensuite c’est la porte de la salle d’eau qui c’est ouverte. Mais Léa ne l’a pas refermée. Dés que j’ai entendu l’eau coulée, je me suis mis à bander dur. Si j’étais sorti, j’aurais pus la voir prendre sa douche. Elle n’avait pas tiré le rideau, ni fermé la porte, espérant sans doute, que ce soit moi qui aille vers elle.

J’ai essayé de regardé la télévision, mais rien à faire, je pensais trop à Léa. Les secondes me paraissent des minutes, les minutes des heures. Je n’ai plus qu’une idée, perdre enfin mon pucelage, savoir ce que ça fait d’avoir une fille. Que cette fille soit ma sœur m’importe peu. Je veux juste me vider dans un être vivant. Les autres, je les auraient après. En ce moment, seule Léa existe. Je ne peux pas dire si une heure ou dix minutes ont passé, mais j’entends frapper à ma porte.

– C’est qui?

– Léa. Tu le sais bien, il n’y a que nous.

– Tu veux quoi?

– Il faut que je te parle.

– Je n’ai rien à te dire.

– S’il te plaît, c’est urgent.

– Non.

– Ne me force pas à te supplier.

– J’ai dit non.

Pourtant je suis tenté de lui dire d’entrer, de me jeter sur cette maudite porte, mais le fait de la faire attendre, de la rendre folle de désir pour moi, augmente considérablement mon excitation. Elle tourne la poignée malgré mon interdiction. Mais la porte est fermée.

– Je t’en prie, Jonas, ouvre-moi.

– Non, dis moi pourquoi.

– Je suis ta sœur.

– Et alors?

– Tu veux que je te supplie, alors je le fais. Je t’en supplie Jonas, ouvre-moi.

Je souris.

– Non.

– Pitié.C’est vraiment important pour moi!

Il y a un sanglot dans sa voix. Ma sœur se met à pleurer. Je l’entends renifler derrière la porte.

– Je t’en supplie, ouvre-moi.

Je me lève en silence, je met ma main sur la clé.

– D’accord, je vais ouvrir, mais tu n’entreras que quand je te le dirais.

Kızılay travestileri D’accord, c’est juré.

J’ai donné un tour de clé pour déverrouillé la serrure. Lentement je suis retourné me coucher. Une minutes plus tard, j’ai entendu Léa murmurer en reniflant.

– Je peux entrer?

– Vas-y.

La poignée à tournée, ma sœur est entrée, tandis que ma bouche s’ouvrait en grand.

Elle était complètement nue. Son pubis était complètement épilée. Elle avait une paire de sein encore plus impressionnant sans habit.

– Tes seins c’est qu’elle taille?

Elle m’a fait son plus beau sourire, comme si elle était vraiment heureuse de ma question. En y repensant, son conditionnement faisait qu’elle était vraiment heureuse.

– Ils te plaisent?

– Réponds-moi.

– Quatre-vingt quinze C.

Elle avait des seins en poire, terminés par de longues et épaisses aréoles, d’un rose à peine plus foncé que sa peau. Léa avait aussi de petits tétons. Une paire de seins défiant toutes les lois de la pesanteur, tenant droit tout seul, sans le moindre petit besoin de soutien-gorge.

– Pourquoi tu es nue?

Elle ne me répondit pas, baissant les yeux, on pouvait y lire une profonde humiliation.

– J’ai envie de te sucer.

Je pouvais voir sa cyprine qui trempait son entre-jambe. Qu’est-ce que ça serait quand mon sexe entrerait dans sa bouche. Ma sœur était-elle une de ses femmes fontaines?

– Quoi, mais tu es ma sœur…

– Je t’en prie, Jonas, laisse-moi te sucer.

– Pourquoi je ferais ça? Tu n’as fais que m’embêter depuis que je suis né.

– Justement, je m’en veux, je veux me faire pardonner.

Je suis resté bête. Ma sœur n’avait pas mon intelligence, mais elle était maligne. Je ne m’attendais pas à sa réponse.

– Qu’est-ce qui te dis que me faire une pipe, fais que je te pardonnerais?

– Ben tu dois être puceau. Tu dois avoir envie d’avoir du plaisir autrement qu’avec tes mains. Que ce soit une vraie femme qui te fasse éjaculer.

– Pourquoi je dois être puceau? Une autre fille ne pourrais pas avoir envie de me pomper?

– Ben, tu n’as pas un physique facile. Je suis ta sœur, ça ne me gêne pas.

Il n’y a pas à dire, cette conne savait y faire. Léa avait tapé dans le mille, donner l’argument parfait.

– Mais c’est de l’inceste.

Et alors? On est majeur, consentant. Ne me dis pas qu’une bouche sur ton engin, qu’une langue douce qui le caresse, ne te plairais pas. Fusse-moi qui te prodigue cette fellation…

De mieux en mieux. Léa était parfaite.

– En plus je suis splendide, le fantasme de la plupart des mecs. Il ne dois pas y avoir plus de trois filles encore plus belle que moi dans toute la région.

L’argument était parfait. Bravo à elle, mais surtout bravo à moi. Mon invention était fantastique, allant au-delà de tout mes espoirs.

– D’accord, mais débrouille toi seule pour me sucer, je ne ferais rien pour te faciliter la tache.

– Et pour m’en empêcher?

– Non plus.

– Merci, vraiment merci.

On voyais que je venais de lui faire le plus beau cadeau de sa vie. Elle refondit en larmes.

Mais à une condition, tu t’approches à quatre pattes.

– Je t’en prie, ne m’humilie pas.

– Tu n’as pas le choix.

Alors ma sœur se laissa tomber au sol. Elle s’approcha du lit, en marchant à quatre pattes, allant bien plus loin que mes fantasmes les plus fous.

Ma sœur est montée sur le lit, j’ai écarter les jambes. En me regardant droit dans les yeux, elle s’est avancer vers moi. Léa a défait la ceinture de mon jeans, déboutonné, l’a descendu à mi-cuisses. Tout ça, sans quitter mon regard des yeux, ce qui était fortement érotique. Elle a ensuite attrapé mon caleçon avec les dents, l’a fait descendre, faisant jaillir ma bite dure. Léa à avancé sa tête vers mon sexe, la bouche grande ouverte. Mais au lieu de gober mon gland, elle à sortit sa langue, entreprenant de le lécher. J’étais tellement excité, que j’ai éjaculé de suite. Mon sperme à jaillit comme un geyser, à la stupeur de ma frangine. Inondant son front, ses cheveux. Elle m’a regardée comme déçu, quand plus rien ne sortait.

– Déjà…

Mais la pilule que j’avais pris faisait son effet, j’étais toujours bien dur, prêt à jouir une nouvelle fois.

– C’est pas grave, tu peux continuer, j’ai encore envie.

Encore une fois, Léa m’a fait son merveilleux sourire.

– Merci.

A ma grande satisfaction, elle à lécher ma semence qui macule mon ventre, mon pieu. Toujours et encore, avec son regard rivé dans le mien. Je l’ai vu surplombé mon pénis de son visage, descendre lentement vers lui. Quand ses lèvres se sont refermée sur lui, j’ai entendu ma sœur poussé de gros gémissement. Son corps à tremblé plusieurs fois. Cette pute venait d’avoir un violent orgasme. Décidément cette machine fonctionne à merveille. J’ai un sexe de taille normale, dix-sept centimètre pour quatre de diamètre. Léa à commencé à monter et descendre le long de ma hampe, jouant avec sa langue, l’enroulant et la déroulant autour de mon braquemart. Titillant mon gland. Elle à jouée comme ça quelques minutes avec mon sexe. Au gémissement Travesti kızılay qu’elle produisait, je savais qu’elle y prend un grand plaisir. Léa est ensuite descendu complètement sur mon pieu, le faisant rentrer dans sa gorge, avec un gargouillis bizarre. Son nez touchait mon ventre. Sa pipe était merveilleuse, j’étais étonné que ce soit pour elle sa première fellation. Léa à continué une bonne dizaine de minutes, me regardant toujours, enfonçant ma bite, à chaque fois dans sa gorge. Quand mon premier jet à jaillit dans sa gorge, elle a vite remonter la tête, pour que le reste de mon sperme arrive sur sa langue. Elle à gémit plus fort que la dernière fois. Léa à eut un orgasme plus puissant. Quand j’eus fini de cracher, Léa s’est redressé, me regardant toujours. Ma sœur à ouvert la bouche, me montrant tout le sperme qui l’emplissait. Puis, avec un sourire coquin, elle à refermée ses lèvres. Je l’ai vu déglutir, de nouveau elle a ouvert sa bouche, Léa avait tout avalé. Elle a encore donné quelques coups de langues sur mon pieu, enlevant toutes traces de spermes. J’étais au paradis.

Une fois fini, elle s’est relevée, c’est mise debout devant mon lit.

– Je croyais que tu n’avais jamais sucée, pourtant ta pipe m’a l’air d’être digne d’une experte.

Ma sœur à eut un petit rire.

– J’ai jamais sucé, mais j’ai regardé sur internet comment on faisait, avant de me doucher.

J’ai enfin compris ce qu’elle avait fait dans sa chambre.

– On recommencera?

– Bien sur Léa.

– Super, merci.

Elle s’est retourné, j’ai put voir son magnifique cul. Bien bombé, aux fesses rebondit et fermes, au reins hyper-cambrés, mais pourtant assez fin. Un cul de rêve.

– Attends.

J’ai pris mon appareil sur la commode. J’ai appuyé sur le bouton.

– Retourne-toi.

Léa m’a obéit, de nouveau son regard était vide. Moi je bandais encore dur, avec toujours cette envie de baiser.

– On va faire l’amour. Tu obéiras à chacun de mes ordres.

– S’il te plaît, pas avec toi…

– Pourquoi?

– Tu es mon frère, puis tu me dégoûte.

– Je sais, mais c’est plus fort que toi. Tu auras horreur de ça, tu seras humiliée, mais tu ne pourras pas te retenir, tu as envie de ma bite en toi.

– D’accord.

– Ce seras dur pour toi, une dualité difficile. D’une part ton horreur de moi, de baiser avec moi. D’autre part, ton envie insatiable de ma queue. C’est désormais ton but, avoir ma bite en toi.

– Bien.

– Chaque fois que je jouirais, tu auras un orgasme. A chaque fois plus puissant que le précédent. Ce qui renforcera ta honte de jouir de ma bite. Mais tu ne jouiras pas seulement quand j’éjaculerais, tu auras des tas d’orgasmes pendant notre copulation, malgré l’horreur que tu éprouveras à baiser avec moi. Tu as compris?

– J’ai compris.

– Tu ne pourras pas résister à mes ordres, tu n’en auras pas la force. Aussi horrible et dégoûtant que cela te paraisse.

– D’accord.

– Bien, oublie cette conversation, reviens à toi.

A mon ordre les yeux de ma sœur se sont de nouveau emplit de vie.

Elle reste debout devant moi, les yeux baissée. Je vois la cyprine qui la trempe, qui coule de son sexe. D’une petite voix craintive Léa me parle.

– Jonas, tu veux me dépuceler?

– Mais bien sur ma chère. Tu prends la pilule?

– Non.

Mettre ma propre sœur enceinte me plairait bien.

– Pas grave. Viens.

Je me suis levé. Je me suis mis nu. Léa s’est allongée sur le lit, jambes écartées. Je voyais son vagin. On allaient se dépuceler mutuellement. Je savais que j’allais la prendre longtemps. Ma sœur regardait le plafond, l’air dégoûtée, comme si elle allait à l’abattoir. Mais sa chatte trempée, me disait le contraire. C’était la première fois que je voyais un vagin de femme. Celui de ma sœur était d’un rose pale, je voyais son clitoris, sortit de son capuchon, ses lèvres vaginale gonflée. Je suis monté sur le lit, me suis couché contre elle.

– Sale pute, tu vas m’enjamber et te dépuceler toute seule.

– S’il te plaît, ne m’insulte pas…

– Obéis.

– D’accord.

Léa s’est redressée, m’a enjambée. Lentement, elle est descendu vers moi, quand sa chatte à touché mon gland, elle s’est immobilisée. Léa s’est mise à pleurer.

– Tu as envie de bite, hein sale chienne?

– Ne m’humilie pas…

– Réponds!

– Oui, j’ai envie de bite, de ta bite.

J’ai souris.

– Allez fais-toi plaisir.

Avec sa mine de chien battu, Léa à repris sa descente. Quand mon gland à buté contre son hymen, ma sœur s’est de nouveau immobilisé. Elle pleure maintenant à grosses larmes, avec des sanglots. D’un petit coup, elle s’est fait descendre, faisant sauter son hymen. Ma frangine à poussé un petit cri de douleur lors de l’ablation de son pucelage. Suivit d’un long feulement de plaisir, terminé par un cri rauque. A la contraction de son sexe, j’ai compris qu’elle venait d’avoir un orgasme. Juste après avoir pris son plaisir, ses pleures ont augmenté. Mon idée fonctionne à merveille. Je vois parfaitement son dégoût de baiser avec moi, sa honte, son humiliation. Mais aussi le plaisir qu’elle prend. C’est fantastique. Lentement elle a repris sa descente. Cette pute était bien serrée, c’était magnifique pour moi. Son ventre était comme un étau douillet pour ma pine. Quand, en ondulant du ventre, elle a commencé à monter, j’ai put voir ma bite maculée par le sang du pucelage de Léa. J’avais fait de ma sœur une femme.

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Les malheurs de Rémi

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Rémi était accoudé au bar. Une bière en main à tenter d’oublier le mauvais sort qui l’accablait depuis 12 mois. Un an déjà qu’il avait été licencié, ses primes de chômage achevaient et il savait que s’il ne trouvait pas un emploie au plus vite, les prochains mois seraient difficiles avec une femme à la maison et une fille aux études.

À 43 ans cela devenait de plus en plus difficile car les jeunots avaient la cote auprès des compagnies. Sa vie était cousue d’erreurs, la première avait été de mettre enceinte une fille de 16 ans alors qu’il en avait 25. Le détournement de mineur lui pesant au bout du nez, il avait accepté d’épouser Mélissa sous la contrainte de son beau père laissant Mélissa sous l’illusion qu’il s’agissait d’un mariage d’amour.

Être mère à 17 ans affecta grandement Mélissa et leur union connu des moments difficiles au début. Comme le revenu de Rémi était tout de même respectable, elle profita du confort qu’il pouvait lui apporter. Karina ayant commencée l’école, Mélissa entreprit de se refaire une condition physique en s’entrainant au gym régulièrement. Sa détermination porta fruit si bien qu’à 34 ans elle avait acquit un corps à faire bander un curé.

Blonde aux yeux bleus, ses 125 livres se justifiaient par ses 5’3”. Elle volait souvent la vedette à sa fille avec son air gamine quand cette dernière organisait des soirées à la maison, on la prenait souvent pour la grande sœur. Rémi avait un tempérament jaloux et n’appréciait pas les regards qu’on posait sur sa femme. Plusieurs prises de bec en résultèrent, aussi quand lors d’un party de compagnie son patron fit des avances à Mélissa, il fit une scène devant tout le monde.

Le lundi matin quand il entra au bureau, ses effets personnels avaient été mit dans une boite et une prime de congédiement l’attendait. Quand il retourna à la maison et expliqua la situation à Mélissa, une chicane éclata. Elle lui reprocha son engueulade avec son patron non seulement pour sa jalousie mais aussi par son raciste envers Mr. Wilson qui était noir.

Rémi reçu sa sentence le soir même, Mélissa lui refusa le privilège de lui lécher la chatte. Depuis presque un an il n’avait eu aucune pénétration permise. À cause de son fort besoin de sexe, Mélissa lui avait permit de se masturber pendant qu’il lui léchait la chatte. Quand elle avait jouit, elle lui tournait le dos le laissant s’organiser avec son plaisir. Rémi était là à boire, racontant ses déboires et ses doléances envers sa femme au barman quand un colosse assit à ses cotés intervint. Rémi serra les dents quand il vit le géant noir mais du se montrer aimable quand Tim Moore lui fit part d’une possibilité de travail.

Leur échange fut profitable et Rémi eu une entrevue pour le lendemain. Rémi rentra chez lui fier d’annoncer la bonne nouvelle à sa femme. Le soir venu quand il se colla sur sa femme, cette dernière lui fit comprendre qu’il devrait attendre le résultat de la rencontre avant qu’il puisse espérer un changement dans leurs relations.

Le lendemain Rémi se rendit à son rendez-vous comme prévu. Il n’en croyait pas ses yeux quand une jeune fille à peine sortit de l’adolescence vint l’accueillir habillée toute en noir et blanc. Elle portait un mini short noir moulant parfaitement sa chatte et ses fesses par dessus des collants blancs, un top blanc transparent laissait voir un soutient gorge noir en forme de main qui laissait voir une partie de ses seins blancs. Ses cheveux fixés en queue de cheval étaient attachés avec un ruban noir et ses lèvres noircies allaient de pair avec ses souliers à talons hauts noirs.

Elle lui fit signe de prendre place sur la chaise installée à coté de la porte du patron. Bien que la porte soit fermée, Rémi pouvait entendre des lamentations provenant du bureau. « S.V.P. Mr. Moore, j’ai besoin de ce travail – Désolé Francis mais j’ai déjà quelqu’un d’intéressé par ton boulot et au prix que je paye j’exige une obéissance totale et cela ne fait pas partie de tes qualités, Bon maintenant assez les jérémiades, j’ai un rendez-vous. Si tu changes d’attitude tu sais ce que tu as à faire ».

La porte s’ouvrit et Rémi vit sortir un jeune homme tout en larmes suivit du patron. » Francis, tient apporte ça avec toi au cas où tu voudrais revenir un jour » .Rémi regarda le jeune homme s’éloigné avec une boite sous le bras puis entra dans le bureau sous l’invitation de Mr. Moore. « Je vais être bref, j’ai une grosse journée, voici j’ai besoin d’un assistant pour la comptabilité, j’offre $55,000.00 la première année avec un ajustement de $5,000.00 à chaque année plus 3 semaines de vacances, assurances et fond de pension inclus. J’exige un rendement normal mais une obéissance totale, tu as la fin de semaine pour y penser, si tu es intéressé présente toi lundi matin 9heure, ma secrétaire te montrera ton bureau avec le travail à faire ». Mr. Moore lui serra la main et partit.

Rémi était médusé, il n’avait pas la chance de parler et maintenant il devait prendre une décision, il avait hâte d’en discuter avec Mélissa. Quand il parla de l’offre Dikmen travesti à sa femme, celle-ci s’écria « J’espère que tu vas accepter mon chéri. Nos finances ne permettent pas que tu refuses un tel poste -Oui mais il ne m’a pas dit qu’est-ce qu’il entendait par obéissance absolue — Peu importe, si tu as envie de retrouver tes droits à ma chatte, c’est un sacrifice que tu devras faire — Je vais accepter pour te plaire mon amour — Bonne décision, pour ça je vais t’offrir une petite gâterie ce soir.

Ce soir là Mélissa ouvrit ses cuisses pour son mari. Le pauvre Rémi n’avait pas sentit la chaleur d’une chatte depuis plus d’un an et ce qui devait arriver arriva, deux trois aller retour et il avait éjaculé. « Ah non, espèce d’égoïste, je n’ai même pas eu le temps de jouir –Je m’excuse mais ça faisait si longtemps que je n’ai pas pu me retenir. — Je vais te pardonner si tu prends bien soin de ma chatte — Mais! — Y a pas de mais, fais ce que je te dis sinon ça pourrait prendre un bon bout de temps avant que tu puisses t’en approcher ». Rémi hésita un moment, elle n’avait jamais eu cette exigence et cela le répugnait beaucoup. « Je n’ai pas toute la nuit, je suis fatigué, vite au boulot »

Beurk! Rémi eu un haut le cœur en léchant sa première charge de sperme. « Tu as intérêt à t’y habituer étant donné que c’est la seul façon que tu peux me satisfaire et mets y un peu plus d’ardeur ». Mélissa ne mit pas longtemps avant de sombrer dans un terrible orgasme. «Ce n’est pas juste, vous avez des orgasmes qui dure longtemps alors que nous ça dure à peine 15 secondes — je sais mon chérie mais il y a toujours moyen de remédier au problème. — Comment? — Si tu acceptes de te soumettre à moi, je peux doubler ton temps de jouissance. Je trouve que je suis déjà pas mal soumis. Tu pourrais commencer maintenant. — Comme tu veux, c’est toi qui vois. »

Rémi était songeur. Sa queue avait reprit de la vigueur suite à la proposition de sa femme. Il n’avait pas grand chose à perdre, déjà que sa femme lui refusait la pénétration. « Que veux- tu dire par me soumettre à toi? – Je serai en charge et tu devras m’obéir en tout temps. » Son érection grandissant Rémi savait qu’il ne pouvait résister devant la perspective de plus de jouissances. « Ok! J’accepte — Bon mets toi à genoux et demande moi si je veux bien être ta maitresse et prendre tous les moyens qu’il faut pour faire de toi mon soumis. — S.V.P. maitresse voulez-vous faire de moi votre soumis? – Demandez avec un tel désir, j’accepte.»

Le lundi matin, Mélissa l’obligea à aller travailler avec sa culotte qu’elle avait portée la veille.

Rémi mal à l’aise dans sa culotte de nylon, s’installa à son nouveau bureau. « En passant je m’appelle Julie, je suis la secrétaire de Mr. Moore. Voici les dossiers que tu dois vérifier. Ha oui! J’oubliais, Tim as un penchant pour la famille alors tache de mettre des photos de ta femme et de tes enfants sur ton bureau; si tu en as bien sur, il appréciera. Tim rentra de son voyage le jeudi matin. Un sourire se glissa sur son visage quand il vit Rémi installé prêt de la porte de son bureau. Il alla déposer ses affaires et revint saluer son nouvel employé. Après une courte conversation de politesse Tim prit une des photos dans ses mains.et malicieusement demanda « Ce sont tes filles? Elles sont mignonnes — non celle que vous avez, c’est ma femme et l’autre c’est ma fille.

Pendant ce temps là, Mélissa profitait de la journée pour magasiner et acquérir tout ce qu’il lui fallait pour son statue de maitresse. Le soir venu quand Rémi rentra du bureau, il du embrasser les pieds de sa maitresse, Mélissa l’obligea à se dévêtir. « J’imagine que tu trouves que ça va un peu vite mais plus vite tu accepteras ton rôle comme tu l’as promit hier plus vite ton plaisir sera augmenté. À partir de maintenant tu vas porter de nouveaux sous-vêtements. — Maitresse la journée a été difficile pour moi dans votre culotte je ne peux pas mettre ça, ce sont des culottes de femmes et roses en plus. — Je les ai choisit à ta grandeur tu vas être plus confortable et puis tu n’as rien à dire, tu mets déjà en doute les décisions de ta maitresse, tu seras punis pour ton insolence. — Pardon maitresse, je ne voulais pas vous offenser. »

Rémi avait hâte au couché, il ne l’avait pas dit à sa femme mais il avait été bandé une bonne partie de la journée et était très excité.

Une semaine avaient passé quand devant les reproches continuelles de Sue Yong, Francis décida de donner les vraies raisons de son renvoi. Sue Yong était furieuse devant les exigences de ce porc qu’était Tim Moore comment avait-il pu penser qu’elle aurait accepté de s’abaisser à baiser avec lui un noir. Le temps fit son œuvre, les deux sans emploie les comptes s’accumulèrent et un matin pendant que Francis était partit, Sue répondit à la porte et vit un huissier lui remettre un avis de saisie.

Dans les coutumes chinoises les femmes font tout pour leur mari, elle ne perdit pas une minute et partit rendre visite à Mr. Moore pour lui dire Dikmen travestileri sa façon de penser. Quand Tim l’aperçu dans le cadre de porte de son bureau, l’irritation se vit sur son visage. « Vous n’êtes pas habillée convenablement pour demander une audience alors fiché le camp d’ici, Julie appelle la sécurité ». Furieuse d’être rabrouée ainsi Sue tourna les talons et rebroussa chemin.

Francis trouva son amie en pleine jonglerie. Leur vie bascula à jamais quand il lui expliqua qu’il n’avait pas pu trouver les fonds nécessaires pour rembourser l’hypothèque. Sue croisa le regard suppliant de Francis et sans qu’ils n’échangent un mot ils abdiquèrent. Sue larme aux yeux regarda Francis monté à l’étage, elle comprit le sacrifice qui lui était demandé quand Francis redescendit avec la boite donné par Mr, Moore. Nerveusement ils ouvrirent la boite, des instructions se trouvaient sur le dessus des vêtements.

Sue sortit les fringues en noires et blancs qu’elle devait porter et lança une culotte en dentelle jaune à Francis. « Il semble que celle-là soit pour toi ».Les deux étaient humiliés mais l’heure des refus était écoulée. Un malaise s’empara de Francis quand il obtint une érection en se glissant dans la culotte. Sue trouva ça étrange mais par amour s’abstint de tout commentaire. Rémi travaillait à son bureau quand Sue et Francis demanda à voir Mr. Moore.

Il resta bouche bée, devant les paroles que prononça son patron. « Francis assit toi là pendant que je m’entretiens avec ta femme. Quand la porte se referma tous purent entendre le clic-clic d’une barrure Sue figea lorsqu’elle réalisa qu’elle se trouvait enfermé avec cet ignoble individu. «

Tu fais un gros sacrifice en venant me rencontrer, mais quand j’en aurai fini avec toi tu connaîtras ce qu’est le plaisir et tu me supplieras pour être ma chienne alors ton sacrifice deviendra celui de Francis mais lui aussi ne le sait pas encore. — Vous êtes très prétentieux monsieur, je suis déjà satisfaite avec Francis et ce n’est pas votre petit bout de viande noire qui va y changer grand chose. — Quand tu sortiras d’ici, j’aurai fait de toi ma nouvelle chienne. »

Tim l’empoigna par sa queue de cheval, la pencha sur le bureau et après lui avoir abaissé son short et ses collants lui administra une fessée dans elle garderait le souvenir longtemps. SLAP – SLAP – SLAP Nooooooonnnnnnnnnnnnnnnnn SLAP – SLAP — SLAP- SLAP – SLAP — SLAP Ouuuaille!

Rémi était mal à l’aise, personne ne pouvait ignorer les raisons de ses bruits. De son coté Francis semblait inquiet pour son amie. « Tu vas maintenant avoir ta récompense salope mais la prochaine fois que tu me fais languir de cette façon tu le regretteras amèrement. — Oui monsieur, ça n’arrivera plus ». Tim regardait le cul rougit, il était fier de son travail, il coucha Sue sur le bureau et entreprit la préparation de sa chatte.

Honteuse devant la réaction de son corps, Sue du malgré elle, reconnaître l’expertise de la langue de Tim. Quand il appuya un doigt sur son anus, s’en était fait des réticences. « Ooooooooohhhhhhh Hoooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiii » quand elle fut à point Tim la ramona d’un seul coup avec son pieu de 11 pouces « Hiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeee huuuuuuummmmmmm ooooooouuuuuuuuuiiiiiiiiiii au fooooooonnnnnnnd » Elle fut baisée ainsi pendant plus de 45 minutes pour en fin trouver la béatitude. « Jeeeee viiiiiiiiiiiiiiiiieeeeeeennns Oh Ooouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiii Eeeeeeeeecoooooooooorrrrrreeee Haaaaaaaaaaaaaaaaaaa. Tim cessa sa pénétration. « Nooooonnnnnn continuez, je veux venir encore — Alors êtes vous prêtes à devenir ma chienne soumise » Les besoins de Sue étaient criants, elle ressassait les paroles de Tim (Quand tu sortiras d’ici, j’aurai fait de toi ma nouvelle chienne).

« Monsieur s.v.p. baisez moi encore avec votre grosse queue, faites de moi votre chienne soumise, je serai obéissante — Voilà qui est raisonnable, demain tu viendras de toi même et je te défoncerai le cul comme il ne l’a jamais été mais avant tu vas m’aider à humilier la mauviette qu’est ton mari et faire en sorte qu’il se soumettre lui aussi.- Oui maître, »

La porte s’ouvrit et Rémi vit Sue les collants déchirés, les seins nus et le short aux genoux venir appeler Francis qui en se levant eu du mal à dissimuler son érection. Sue vit une occasion de plaire à son maître. « Retire ton pantalon et suis moi, ». La porte se referma derrière le couple et Rémi n’en croyait pas ses yeux. » Approche lavette, regarde Sue il est tout excité de t’avoir entendu gueuler comme une salope. Ton amie a été très coopérative et m’a donné de bons arguments pour te reprendre à mon service, je dis bien à mon service alors il reste à faire un peu de nettoyage de ta part pour rendre ton retour officiel. »

Le cœur de Francis s’arrêta aux dernières paroles de Tim, Sue : « Approche mon chéri, viens te prosterner devant notre maître » Sue mit ses deux mains sur les épaules de Francis et d’une légère pression lui fit fléchir les genoux. Francis n’avait jamais vu un membre de cette Travesti dikmen taille et encore moins d’aussi proche. Tout gluant de sperme et de cyprine Sue guida la queue entre les lèvres de Francis. « Imagine toi un bâtonnet au chocolat gorgé de crème à l’intérieur que tu as hâte de goûter ». Heurp! Francis faillit vomir mais après quelques minutes, il se montra docile et vaincu, il suça sa première bite.

Sue avait glissé sa main dans la culotte de Francis pour l’encourager un peu et emporté par le plaisir qui montait en lui, ce dernier prenait goût à sa tache. « Tu fais un si bon travail lopette que tu as gagné le droit de mener à terme ce que tu as commencé. »

Sue sentit que c’est mots avaient provoqué une contraction du petit zizi de Francis, serrant sa main sur le gros clitoris de son ami elle dit « Maître, il est prêt! — Bien, ne le faisant pas attendre trop longtemps. » Francis sentit les premiers balancements de hanches de Tim. Sue serra le pénis de Francis, ses joues se creusaient sous les efforts qu’il faisait pour sucer son maître. Tim le gratifia d’une décharge incroyable mais dans son incapacité à tout avaler, son visage écopa. Au même instant Sue l’aida à se libérer dans sa belle culotte de nylon.

Rémi fut horrifié quand il vit sortir Sue à moitié nu et Francis dans une culotte de femme et le visage m’acculé de sperme. « Devant un tel dévouement, je te reprends à mon service. Je vais avoir besoin de quelqu’un pour prendre le poste de directeur pendant que je vais aller ouvrir une autre compagnie à New-York et à un salaire de plus $100,000.00 par année, je préfère avoir plus d’un choix comme candidat pour me remplacer. À l’unisson.ils s’écrièrent « Merci Maître! » et ils quittèrent le bureau.

Rémi fut si bouleversé par les évènements qu’il ne pu en parler à Mélissa. Le lendemain quand Sue se présenta au bureau avec son accoutrement noir et blanc, il fut très intrigué mais Tim dénoua l’énigme rapidement. « Bonjour Sue, que me vaut le plaisir de votre venu? — Monsieur je suis venu vous offrir mes remerciements pour vous avoir montré si magnanime envers mon mari. — Tout le plaisir fut pour moi, je trouve votre tenue parfaite, passé dans mon bureau, nous serons plus à l’aise pour discuter.»

La porte se referma et de nouveau un clic-clic se fit entendre. De sa position près de la porte, Rémi ne manquait rien de la conversation. « Approche salope et déshabilles toi! Tu es venu pour te faire baiser et bien tu vas être servit mais avant, mets toi à genoux montre moi que tu mérites que je te baise comme la putain que tu es — Oui maître, » Rémi travaillait sous une symphonie de Hoooooo! de Haaaaaaaaaaaaaaa! de Huuuuuummm! d’Eeeeencooorrrre et de Ouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!

Rémi était chagriné pour le pauvre Francis, il avait lu sur internet que lorsqu’une femme allait noir une fois, elle devient une chienne pour noir et ne peut plus revenir en arrière. Il décida de se mêler de ses affaires, après tout maintenant ils étaient en compétition. Rémi devint irrité quand Tim venant souvent jeter un coup d’œil à son travail, en profitait pour prendre la photo de sa femme et y glisser un doigt en disant « Très jolie ».Un jour que Tim caressait la photo de Mélissa et lui dit « Je vais avoir à prendre bientôt une décision pour mon remplaçant et je m’aperçois que je ne connais pas encore ta famille, tu devrais remédier à la situation. Je sais que tu as une belle piscine alors une baignade serait l’idéale pour faire connaissance. »

Rémi ne voulait aucunement le voir dans l’entourage de sa famille mais le poste était invitant et à contrecœur, les mots sortirent de sa bouche. « Bien monsieur, je vais en parler à ma femme — Lui en parler c’est bien mais la persuader d’accepter serait un plus pour toi. » Le soir même il en discuta avec elle et comme elle n’était pas au courant des agissements de Mr. Moore elle trouva l’idée bonne étant donné les conditions de travail que son mari avait obtenu grâce à cet homme.

La semaine fut pénible pour Rémi, la décision avait été prise. Une baignade suivit d’un souper aurait lieu le samedi suivant. Le vendredi, Rémi dit bonjour à Tim en lui souhaitant à demain. Julie lui offrit son plus beau sourire et lui souhaita une bonne fin de semaine.

Depuis une bonne heure tous pataugeaient dans la piscine, Mélissa était mal à l’aise dans son costume de bain un peu ringard. Karina quand à elle portait celui que sa mère lui avait acheté. Les deux étaient gênées en voyant Samantha la femme de Tim déambuler dans son minuscule bikini laissant voir ses formes féminines. Tim n’était pas en reste en portant un petit Speedo moulant outrageusement son organe. Mélissa et l’innocente Karina eurent du mal à éviter que leurs regards ne s’attardent sur l’énorme déformation. Tim surveillait leurs réactions car il avait malicieusement laissé tomber un comprimé d’ecstasy dans chacun de leurs breuvages. La pauvre Karina ne cessa de serrer les cuisses cherchant à entretenir les sensations agréables qui émanaient de sa chatte, elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, quand ses yeux se posaient sur la grosse déformation de Tim, sa chatte se contractait et mouillait son costume de bain. Profondément chrétienne, elle n’avait jamais apporté beaucoup d’importance aux sensations qui émanaient de son sexe avant aujourd’hui.

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La Femme du Consul 01

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Amateur

Chapitre 1 – Soirée chez les princes

Les soirées du scheik Abdoul el Hassan étaient réputées pour leur magnificence,la splendeur du palais formait un écrin parfait pour une débauche de mets fins, de précieux vins millésimés, et de toutes sortes de délices que pouvaient inviter ses cuisiniers pâtissiers et autres hommes de bouche.

De plus on était sur d’y croiser le gratin de la société saoudienne qui ne quittait ses palais fastueux que pour de telles fêtes ou se mêlaient richis-simes émirs, diplomates, et escrocs de tout poil.

Vincent Delerme, fraîchement débarqué en Arabie Saoudite se réjouissait de se retrouver dans cette soirée.

Nommé au consulat de France en tant que directeur adjoint, dans l’attente de la libération du poste de consul qui lui était promis, il voyait dans cette soirée, l’opportunité d’identifier les notables présents, que lui désignait son premier secrétaire, afin d’établir avec eux des relations qu’il espérait rapidement profitables.

A son bras, sa femme remplissait pleinement son rôle, elle semblait sortir d’un écrin : la trentaine épanouie, la douce Odile lui faisait honneur, et c’était peu de le penser, d’ailleurs il n’avait jamais douté d’elle. Elle était parfaite, sa timidité naturelle transparaissait dans son sourire légèrement figé par l’appréhension, dans son attitude légèrement gauche, dans sa réserve affirmée.

Arrimée à son mari, elle suivait tous ses déplacements, naviguant de petit groupe en petit groupe au gré de son époux, saluant d’un hochement de tête ici, tendant une main fragile là, esquissant parfois un sourire gracieux lorsqu’elle croisait une personne déjà connue.

Sa tenue elle-même témoignait de son bon goût : elle portait une robe d’apparence très simple de lin léger, d’un vert pastel, discrètement décolletée sur une gorge opulente révélée, ay gré des mouvements par la souplesse du tissu englobant parfois ses charmes pour mieux les mettre en valeur. Outre cette gorge pigeonnante, la fluidité de la robe soulignait la longueur des jambes de la jeune femme ainsi que la charmante ampleur de ses hanches en amphore.

Conscient des regards envieux que jetaient discrètement ses interlocuteurs sur les charmes de sa femme, Monsieur le futur consul se rengorgeait fier d’avoir une telle compagne à son bras, et ce d’autant plus qu’elle ne semblait aucunement se rendre compte de l’intérêt que beaucoup lui portait. Elle passait, insouciante des désirs primaires de possession qu’elle éveillait chez ces hommes pourtant habitués aux jeunes houris très serviables qu’ils côtoyaient à longueur de journée. C’est d’ailleurs ce cité quelque peu virginal qui lui conférait un cet aspect d’inaccessibilité qui la caractérisait le mieux.

Bien installé dans un confortable fauteuil Hakim; le chef de la sécurité, jetait un œil aux nombreux écrans de surveillance qui tapissaient le mur de son QG. Il était de sa responsabilité d’éviter tout attentat, tout esclan-dre qui pouvait survenir au cours de ces soirées; au besoin, ses sbires intervenaient discrètement pour évincer le indésirables.

Pour l’instant; il suivait les évolutions des différents couples dans la grande salle de réception, notant qui paradait au bras de qui, s’attardant parfois sur de frais minois, échafaudant des plans visant à circonvenir quelques beautés qui lui seraient bien utiles dans les alcôves de ces messieurs il avait d’ailleurs déjà repéré deux ou trois femmes mariées, qu’il avait corrompue et qui, par peur du scandale lui obéissait au doigt et à l’oeil. Il se servait de ces créatures aussi bien pour espionner les maris, leurs services que pour agrémenter ses après-midi personnel, ou les nuits de certain de ses amis toujours heureux de pouvoir disposer à discrétion de ces femmes habituellement inabordables.

Son regard s’attardait sur la compagne du futur consul, il appréciait fortement ce genre d’ingénue, qui bien souvent se révélait volcanique une fois matée. Il avait déjà furtivement rencontré la jeune femme dans des cocktails mondains et avait su apprécier son impact sur les mâles de l’assistance, dans un brusque sursaut, il se redressa, Konyaaltı travesti sa décision était prise. Il fit appeler Mohamed et Bruno ses bras droits pour leur donner des ordres visant à circonvenir madame et mettre momentanément hors de circuit monsieur. Des caméras ajoutées au circuit, à l’insu de tous lui permettraient de suivre et de filmer à satiété le développement de son plan.

Au salon les choses se précisaient, chacun prenait place dans la grande salle de réception, s’asseyant en fonction de l’étiquette aux places dési-gnées, enfin les agapes commencèrent, les sbires d’Hakim veillant à ce que le couple soit abreuvé considérablement. Un bal devait ensuite réunir les convives, et c’est ce moment que guettaient Mohamed et Bruno pour intervenir, enfin les prémisses s’annoncèrent selon un emploi du temps dûment respecté. Se levant de son trône, le cheik Abdallah convia ses invités à un dernier toast signal de l’exode vers les salons de danse, c’était le moment, les serviteurs tendirent à chacun une coupe à vider cul sec, Vincent Delerme vida ainsi sa coupe épicée de somnifère, alors que sa douce épouse consommait la sienne additionnée de rohypnol, ou drogue du sexe. Cette drogue avait tous les avantages pour les drogueurs, elle annihilait toute volonté de la victime, la livrant corps et âme à ses suborneurs, et bien que lui permettant de ressentir pleinement les sensations lors des manipulations subies au cours de son absence, ne lui laissant au réveil que des flashs récurrents, des images fugitives, entraînant un profond sentiment de culpabilité, bien utile, par la suite pour subjuguer les proies des maîtres chanteurs.

Comme prévu, les drogues ne tardèrent pas à produire leur effet, ce fut d’abord Vincent qui tituba, ayant de plus en plus de mal à tenir les yeux ouverts, Mohamed lui prêta une épaule secourable tandis que le sourire d’Odile se figeait dans une expression hagarde, immédiatement, les deux comparses appelèrent à l’aide deux serviteurs et les emmenèrent en toute discrétion vers les chambres du palais, Vincent fut bordé dans un large lit douillé, tandis qu’ils emmenaient Odile dans la chambre voisine, rejoignant Hakim qui avait momentanément quitté son poste d’observation, ladite chambre se trouvant d’ailleurs sous caméra reliée à un graveur de DVD qui immortaliserait le développement de la soirée, à l’insu même du garde à qui il avait momentanément confié la surveillance de la soirée.

Sur le pas de porte, il accueillit la charmante droguée testant ses réac-tions.

– “Bonjour charmante Odile”, lui lança-t-il avec désinvolture, “venez donc m’embrasser”.

Et, comme un sourire hésitant aux lèvres elle le rejoignait, lui tendant la joue, il surenchérit,

– “Ce n’est pas ta joue que je veux, tu vas me rouler un patin, une galoche”!

Avec un imperceptible frisson, elle tendit alors ses lèvres dont il s’empara avec fougue, lui installant tout de go la langue dans la bouche, de façon à lui visiter intimement le palais. Bien que n’ayant jamais subi ce genre d’assaut de la part de son mari, après un faible recul, totalement désinhibée, elle se laissa aller, ouvrant largement les lèvres pour mieux le laisser s’aventurer dans sa bouche.

– “Maintenant que nous avons fait connaissance, intima-t-il tu vas rouler une pelle à chacun de mes copains, pour leur montrer ta bonne volonté,”

ajoutant pour ces derniers :

– “A voir comment elle est réceptive, on va se marrer les gars …… vous allez en tirer tout ce que vous voudrez … mais vous avez vo-tre temps … la dose est déterminée pour agir 8 heures!

Et docilement, elle se laissa embrasser, participant même aux fiévreux baisers échangés.

Hakim la reprit alors en main, assis sur le lit, il l’attira à lui, saisissant le bas de sa robe il la releva vivement sans qu’elle esquisse le moindre geste de protestation et lui fit passer par dessus la tête, elle se retrouva alors en slip, soutien-gorge, bas et porte-jarretelles sous les yeux enfié-vrés de ses ravisseurs.

En tant que chef, Hakim voulait profiter le premier de ses charmes, il Konyaaltıi travestileri voulait se servir de ses trois trous à satiété avant de la livrer à ses sbires, retournant lui-même à sa mission de surveillance, il savait que s’il voulait satisfaire tous ses désirs il devait se dépêcher, ne disposant pas de l’éternité.

Cependant, ayant détecté des tendances à la luxure chez sa victime, il voulait provoquer ses sens, la rendre coopérante, participante, pour que les flashs réminitoires soient bien imprégnés de sa contribution à sa dé-chéance, ce qui ne pourrait que renforcer son sentiment de culpabilité.

L’attirant entre ses genoux, fébrilement il dégrafa son soutien-gorge et l’en libéra, livrant ses seins fermes à ses caresses abusives. Il empauma les globes élastiques, en évalua rapidement la fermeté toute naturelle avant de survoler d’un doigt léger les larges aréoles qui tout de suite granulèrent traduisant l’effet immédiat de la caresse sur ses sens s’exa-cerbant, le mamelon bientôt pincé entre deux doigts experts se raidit, c’est alors qu’il saisit le tétin turgescent entre ses dents, le mordillant, le mâchouillant avec vigueur avant de sucer la mamelle épanouie. Odile frissonna longuement, puis elle pressa son buste sur les lèvres de son suborneur, accentuant encore les sensations délicieuses émanant de sa poitrine si habilement cajolée.

Son bassin, mut d’une force propre se mit alors en action, basculant d’avant en arrière, recherchant visiblement la caresse salvatrice, conscient de son emprise sur les sens de la belle, il décida alors de contenter ses sens. D’un geste rapide, il empoigna et descendit son slip sur ses jarrets, elle ouvrit largement les cuisses et sa main se perdit dans la douce chaleur des cuisses offertes. Cambrant le ventre elle vint alors à la rencontre des doigts qui s’enfouirent profondément dans sa chatte, sans aucun préalable, elle gémit alors sa béatitude, s’agitant avec fièvre sur les doigts possessifs. Le pouce ne tarda pas à rejoindre ses compagnons dans son anus, y trouvant une rondelle élastique, assez détendue et graissée par la cyprine s’échappant à grosses gouttes de sa cramouille pour permettre une intrusion aisée. Alors qu’en temps normal, elle se serait refusé à toute initiative de ce genre, se serait même rebellé contre de telles pratiques si étrangères de ses mœurs, réservées aux femmes de mauvaise vie, cette fois, toute censure abolie, elle se livra avec enthousiasme à ces manipulations lui évasant le fondement, déjà pensa-t-il elle savait intuitivement que cette initiative préparait son inéluctable défloration anale.

Le ventre soudain lourd d’envie, les jambes flageolantes elle se laissa tomber sur ses genoux, ouvrant encore plus le compas de son intimité pour se livrer encore plus à ses doigts initiateurs, pressé de goûter à ses charmes, il l’entraîna à plat dos sur le lit, s’étendit sur son corps frémis-sant, tandis qu’elle empoignait avec décision son sexe dardé, le guidant vers le centre de sa féminité dans lequel il s’engouffra sans coup férir. Tout de suite, il la força à ralentir le rythme, s’enfouissant en de vastes et langoureux allées au plus profond de sa fente subjuguée, avant que d’en presque ressortir avec a même lenteur majestueuse. Elle était comblée, jamais elle n’avait ressenti telle sensation d’empalement, de possession totale.

Il la laissa ensuite adopter son propre rythme, se tourna sur le dos se laissant chevaucher, maîtrisant parfaitement la montée de sève dans son pénis, la contrôlant de façon à faire durer son plaisir.

Elle se démena assez longuement sur son torse, échevelée, avant de s’écrouler vagissante sur son ventre, abattue par une jouissance extrême, qu’elle avoua à plein poumon, heureusement, les chambres étaient parfaitement insonorisées pensa-t-il furtivement, détaché de son orgasme.

Pantelante, étalée sur lui, il la laissa reprendre lentement son souffle avant de renouer possession de son sexe. Lentement il lui caressait le dos, trois doigts enfouis dans son anus lui évasant lentement le goulot, enfin d’une claque légère sur les Travesti konyaaltı fesses il la disposa en levrette, un oreiller plaqué sous son ventre pour mieux rehausser sa croupe. Désireux de toujours la faire participer, il lui fit empaumer ses fesses, et comprenant le message induit elle écarta largement ses fesses, exhibant la corolle de son anus déjà entrouvert par la manuelisation subie.

Décidé il approcha son gland de l’étroite grotte, il paraissait inenvisageable qu’elle put s’adapter, se conformer aux dimensions de ce qu’il prétendait introduire dans son boyau culier, et pourtant, inexorablement il força la rondelle à s’arrondir, et tandis que le souffle de la future enculée se faisait haletant, avec un plop sonore, le gland fran-chit les sphincters récalcitrants, se logeant jusqu’à la hampe dans le cul maintenant soumis. Il s’immobilisa quelques instants, la laissant s’habituer à cette présence incongrue dans son fondement, puis d’un seul élan, il s’enfouit avec détermination jusqu’au ras des couilles dans le boyau résigné, elle accompagna ce lent empalement d’un feulement désespéré, et soudée à son enculeur, le corps tremblant elle profita d’une nouvelle pause de son ravisseur pour laisser s’adapter son tunnel plus du tout secret aux dimensions de son hôte.

Lentement la douleur déserta ses lombes, elle osa un mouvement du ventre, faisant ainsi coulisser son implacable envahisseur dans son conduit soumis, une fulgurante vague de sensations luxurieuses partit alors de ses reins pour exploser dans son cerveau, et c’est avec furie qu’elle se déhancha sur sa mentule tendue à l’extrême, inconsciente de son épaisseur, de sa longueur, se défonçant le tuyau sur ce chibre envoûtant. A nouveau, au bord de l’évanouissement elle cria son bonheur avant de s’effondrer sur le lit, haletant de tous ses flancs, éperdue de jouissance.

Elle reprit lentement ses esprits, une force inouïe la poussait à continuer ses découvertes alors que maintenant sa tête se révoltait de ce qu’elle avait subi, …. C’était pire encore, une petite voix susurrait dans son cer-veau qu’elle n’avait pas tant subi que ça …… et même que ….

Elle ne pouvait se douter à ce moment que revenue à elle-même, sortie de la drogue qui embrumait son cerveau cette impression stockée dans les cases censurées de son cerveau filtrerait au cours des flashs rémi-niscents qu’elle subirait … que cette idée même serait le fondement de la culpabilité qu’elle engendrerait de façon sournoise, mais sûre.

Soudain une masse mafflue vint frotter ses lèvres, une voix autoritaire ordonna :

-” Ouvre la bouche …”

Docile elle écarta les lèvres, tout de suite le pénis de son futur maître se planta au fin fond de sa gorge ….

– “Suce ” ordonna la même voix

Et avec veulerie, elle se livra à cet acte que jusqu’ici elle considérait comme dégradant, accordé avec parcimonie à in mari exigeant sur ce point précis, aussi bien que peu experte c’est avec une technique rudi-mentaire mais efficace qu’elle se lança à bouche perdue dans cet acte avilissant. Hakim, qui sentait sa sève bouillir en lui n’en demandait pas plus, et après quelques lècheries plus ou moins appuyées sur le gland et la hampe, il sentit la semence gronder dans ses burnes, lui agrippant alors les oreilles pour interdire tout retrait, avec délectation il se vida à gros bouillon dans la bouche conquise. Au bord de la suffocation, la bouche pleine de ses secrétions, le sperme filtrant aux commissures de ses lèvres, elle déglutit et avala l’épais breuvage qui l’enivra aussi sûrement qu’un vin millésimé, inconsciemment elle en apprécia la vis-cosité, le goût, légèrement salé et l’onctueuse abondance.

Epuisée, elle ferma les yeux sur son plaisir inavouable et sombra dans un état semi comateux, absolument normal lorsqu’elle ne se trouvait pas stimulée.

Hakim les quitta alors, leur spécifiant :

– “Prenez tout votre plaisir avec elle … farcissez lui tous les trous ……. Faites participer Abdou, comme ça elle aura appartenu à deux arabes un noir et un métis dans la même soirée ……. Et qui sait si en plus son milieu s’avérait raciste … Moi je vous quitte, je dois reprendre mes fonctions …. Ah n’oubliez pas, sur le coup de six heures, vous la nettoyez avec soin, la rhabillez, et l’allongez chastement aux cotés de son mari …. Rien de ce s’est passé cette nuit ne doit subsister ……”

Coulybaca

A suivre

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La Reine de Glace Pt. 04

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Big Dicks

Et ils vécurent malheureux…

1.

Quelques jours avant le mariage, une dispute majeure éclata entre les deux amoureux.

– Sylvie, Tu ne trouves pas que tu consommes trop?

– Euh… Je ne sais pas mon amour.

– J’ai dressé une liste de ce que tu as pris dans les deux dernières semaines.

– Je sais, c’est beaucoup. C’est que je suis stressée depuis que Léo l’Italien… ben… tu sais… J’en ai eu besoins.

– C’est trop Sylvie. Tu deviens une junkie.

– QUOI! Je dois me faire baiser par cette brute pour sauver ton cul et maintenant tu me fais des reproches…

Le ton se mis à monter. La querelle dégénéra au point ou Maxime claqua la porte en disant :

– Je te parie que tu ne peux même pas rester sobre jusqu’au mariage.

Sylvie était bien décidée à prouver que Maxime avait tort. Elle se dirigea vers la pharmacie pour dresser l’inventaire des différentes drogues présentes afin de prouver sa future sobriété. Maxime avait déjà tout retiré, il ne restait plus rien.

2.

Quand Sylvie se présenta au mariage, elle était sobre depuis un peu moins d’une semaine. Les premières journées s’étaient bien passées, mais elle commençait rapidement à éprouver des symptômes de sevrages. Elle était nerveuse et se sentait fiévreuse. Elle avait des nausées. Elle suait abondamment. Bref, elle se sentait très mal.

Maxime ne lui avait pratiquement pas adressé la parole depuis leur dispute. Il rentrait aux petites heures du matin et s’enfermait dans son bureau puis repartait sans un mot. Cette situation bouleversait Sylvie encore plus que le manque de drogue. Leurs rares querelles s’étaient toujours terminées par des réconciliations spectaculaires. Maxime passa brièvement à la maison la veille en fin de journée pour lui remettre sa robe de soirée et lui indiquer en un minimum de mots, l’heure de leur départ. Désespérément seule, Sylvie entrepris une nouvelle fois une fouille minutieuse de l’appartement. Elle cherchait une dose ou quelque chose qui pourrait calmer son angoisse. Elle ne trouva rien. Maxime rentra vers minuit et se coucha dans le lit. Heureuse, Sylvie se blottit contre lui, mais il la repoussa gentiment et s’endormie. Elle tenta de lui faire une fellation, mais il la repoussa encore, cette fois plus fermement. Le reste de la nuit se passa dans la fièvre et les larmes.

Au matin du mariage, ils quittèrent la maison tôt. En chemin, Sylvie babillait sans cesse tant pour tenter de renouer le contact avec son amoureux que pour cacher son manque de drogue. Il répondait par oui ou non, sans plus. Arrivés sur les lieux, Maxime la conduisit à la chapelle où on lui indiqua sa place et alla rejoindre Raphaël. Très nerveuse, elle observait les allez et venus des gens autour d’elle. C’est alors que son cœur sauta un battement. Léo Gianti, l’homme qui l’avait humiliée, venait de faire son entrer. Il avançait dans la chapelle comme un roi pour gagner sa place. La nervosité et l’angoisse de Sylvie explosèrent. Les symptômes de son sevrage aussi.

L’attente et la cérémonie furent interminables. Comme Maxime accompagnait le Parrain, Sylvie restait désespérément isolée. Sa seule compagne était sa mère dont la froideur et l’attitude de marbre empêchaient toute forme de communication. Pire encore, elle se sentait observée. Elle devinait le regard de Léo Gianti sur elle. Elle le surprit à quelques reprises qui l’observait en souriant tout en parlant à d’autres hommes. Elle l’imaginait racontant comment il l’avait baisée, comment il l’avait manipulée.

La noce ne fut pas plus facile. Maxime l’ignorait. Partout, elle voyait le visage de Léo qui lui souriait. Elle était totalement désorientée. Elle tentait de rester en retrait et d’éviter les contacts, mais c’était impossible. A plusieurs reprises, des hommes qu’elle ne connaissait pas venaient vers elle. Il la prenait par le bras, sans dire un mot et l’amenait sur la piste de danse. Là, il la pelotait sans gêne, lui disait des mots d’amour, lui passait des commentaires salaces sur son corps. Ils lui disaient ouvertement qu’ils voulaient la baiser, qu’ils voulaient se faire sucer, qu’ils voulaient l’enculer. Sylvie réussissait toujours à s’arracher à ces hommes, mais il y en avait toujours un pour la retrouver.

Un observateur aurait remarqué que Sylvie tranchait vraiment dans cette foule. Son corsage désajusté, sa robe froissée, son regard paniqué et les tremblements qui commençaient à secouer son corps lui donnait une allure de névrosé parmi ces gens si chics. Quand Marie et Raphaël quittèrent la réception pour leur chambre, Sylvie n’y tenait plus. Elle parti à la recherche de Maxime. Elle avait besoin de lui, de sa protection et surtout… d’une dose. Elle le supplierait. Elle commencerait une désintoxication dès le lendemain, mais elle devait avoir une dose, maintenant.

Elle chercha Maxime pendant un bon moment. Lorsqu’elle le vit, il était en discussion avec Léo, un peu en retrait, près de la piscine. Elle marcha jusqu’à lui d’un pas décidé. Elle le pris par le bras et le tira jusqu’à une petite cabane où on rangeait l’équipement d’entretien Lara Travesti de la piscine. Une fois seule avec, elle s’agenouilla toute tremblante et l’implora.

– Je m’excuse pour tout Maxime. Tu as raison. Je suis une droguée. SVP, aide-moi. Demain, je commencerai un traitement. J’ai besoin d’aide Maxime. Je n’en peu plus. J’ai peur. Je ne veux pas te perdre.

Maxime la fixait sans dire un mot. Sylvie continua en pleurnichant.

– Je t’en prie mon amour. Aide moi. Je ferai ce que tu voudras. Donne moi une dose. Une seule petite et amène moi loin d’ici. Demain, on ira dans une clinique. Promis. Je te le jure…

Pour seule réponse, elle reçu une violente gifle au visage qui l’envoya rouler sur le sol. Elle se releva lentement, s’agenouilla de nouveau devant lui en pleurant de plus en plus fort. Elle fini par dire à travers ses larmes

– Frappe moi encore… si tu le veux Je… je… le mérite. Frappe moi plus fort si tu… le désir. Je… ne te… mérite pas. SVP aide moi… Juste pour tenir jusqu’à demain…

– Tu es pathétique.

– S…V…P…

– Avant longtemps, tu vas m’offrir une pipe en échange d’une dose. Tu es devenue une pute Sylvie.

– NON!

– Je t’ai vu te faire trousser sur la piste de danse. Pas moins de trois hommes différents ont mis leurs mains dans ta robe.

– Je n’avais pas le choix.

– Tu ne t’es pas défendu très fort d’après ce que j’ai vu.

– Maximmme!

– Je dois partir Sylvie. J’ai besoin de réfléchir.

Sans rien ajouter, il quitta la petite cabane. Sylvie s’écroula en pleure sur le sol, totalement désespérée et plus en manque que jamais. Lorsque finalement elle reprit ses esprits et se redressa, elle vit la silhouette de Léo qui la regardait en souriant.

– Hey Cagna! Tu n’as pas l’air bien. Ton mac t’a plaqué ou quoi?

Sylvie ne savait plus quoi faire, quoi dire. Elle resta un moment dans cette position, assise dans la poussière, son maquillage coulant sur ses joues, tremblante et fiévreuse. Finalement, des mots sortirent de sa bouche sans qu’elle les contrôle vraiment.

– J’ai besoin d’une dose Monsieur Léo.

L’Italien éclata d’un long rire sonore. Il sortie de la poche de son veston deux petits sacs de plastique. Le premier contenait une poudre brunâtre et le second, une petite quantité de cachets. Sylvie se releva, prête à bondir.

– Un momento.

Sylvie s’immobilisa aussitôt. Elle était toujours accroupie, sur le point de se relever. Léo remit les sacs dans sa poche et dégrafa son pantalon, exhibant sa queue déjà durcie.

– Si tu veux la drogue Cagna, tu devras travailler pour. Viens. Lentement.

Sylvie traversa les quelques mètres qui la séparaient de l’homme en rampant à quatre pattes sur le sol poussiéreux. Une fois au pied de Léo, elle se redressa pour se mettre à la hauteur de son membre, mais celui-ci l’arrêta. Il prit un vieux linge sale qui traînait, cracha dedans à plusieurs reprises et entrepris de laver le visage taché de maquillage de la pauvre fille qui tremblait à ses genoux. L’odeur du torchon était infecte. Une fois sa tâche terminée, il posa sa queue sur ses lèvres. Elle engloutit le pénis sans hésiter tout en gardant les mains derrière son dos. Elle suçait furieusement. Elle voulait en finir au plus vite et partir avec la précieuse drogue.

Il l’agrippa soudain par les cheveux et tira violemment sa tête vers l’arrière, lui arrachant un petit cri.

– Hey doucement salope. Moi j’aime quand sa dure, quand c’est long et c’est bon. Si le client n’est satisfait, pas de cam pour la dame.

Sylvie repris sa fellation sous le rire tonitruant de Léo. Elle avalait lentement son membre jusqu’à ce que le poil lui pique les narines pour ensuite reculer lentement et lécher son gland. Elle entendait sans comprendre les insultes que lui lançait son tortionnaire. La seule pensée qui hantait son esprit était qu’elle suçait l’homme qu’elle détestait le plus au monde pour de la drogue. Maxime avait raison, Jeanne avait raison. Elle était une pute.

Léo la repoussa durement et replaça son membre dans son pantalon. Sylvie le regardait interloquée.

– Je veux te baiser.

Elle se redressa et passa les mains sous sa robe pour retirer sa culotte. Léo intercepta le mouvement et souleva la robe le plus haut possible. Il agrippa son joli string bleu et d’un coup sec, le tira vers le haut. Le tissu craqua, mais résista. Il du répéter le mouvement à trois reprises avant que la culotte cède. À chaque fois, le string entrait profondément dans le sillon intime de Sylvie et lui arrachait un cri de douleur.

– Viens Cagna, pas ici.

Il l’attrapa par le bras et ils sortirent de la cabane. Ils traversèrent la réception ainsi. Léo marchant devant, traînant Sylvie par le bras. Ils passèrent devant le gros moustachu qui avait servi de père au mariage, Rodriguo. Léo lui lance deux petites phrases courtes en Italien et le bonhomme suivit le couple. Ils entrèrent dans le petit enclos qui était situé sous le balcon de la chambre. La musique était très forte. Léo baissa son pantalon Lara Travesti en vitesse et se coucha à même le sol. Il plaça Sylvie de manière à ce qu’elle soit de dos à lui pour le chevaucher et il l’attira vers elle en relevant sa robe. Rodrigo avait roulé sa chemise bien proprement sur son ventre et avait sortie une petite queue bien raide. Il l’enfouie dans la bouche de la jeune femme malgré ses protestations. Le trio s’exécuta tant bien que mal dans cette position pendant plusieurs minutes.

Discrètement, Maxime entra dans l’enclos et regarda l’étrange coït les bras croisés. N’importe quel observateur aurait pu dire à ce moment que l’homme avait le teint très pâle, la mâchoire serrée et qu’il était sur le point de vomir.

La porte de la chambre qui donnait sur le balcon s’ouvrit…

3.

Sylvie n’avait rien vu de la cohue qui avait suivit l’évanouissement de Marie. Rodrigo s’était déversé à gros bouillons dans sa gorge et elle s’était étouffée, régurgitant la semence. Léo l’avait alors brutalement retournée pour la posséder par derrière en s’assurant de bien lui mettre le nez dans ses déjections. Il l’avait baisée ainsi pendant un court instant avant de se vider dans son vagin. Il s’est alors rapidement relevé et avait lancé les deux sacs vers Sylvie avant de quitter l’endroit.

La pauvre femme ramassa la drogue en vitesse et releva la tête au moment précis où Maxime s’éloignait de l’enclos pour se diriger vers une petite porte situé plus loin. Il l’avait vu. Sylvie se releva à toute vitesse et courue vers lui. Elle le rattrapa au moment où il entrait dans une petite pièce qui faisait penser à une salle de réunion.

Les ex amants restèrent face à face, en silence, pendant plusieurs minutes. Sylvie gardait les yeux obstinément fixés vers le sol. Si elle les avait relevés, sa vie aurait été changée. Le regard de Maxime était embué de larmes. Il combattait un urgent besoin de la prendre dans ses bras et de l’amener loin de cette pièce. Dans ce milieu, ce genre de chose ne se faisait pas, mais si elle l’avait regardé…

La porte s’ouvrit finalement. Léo Gianti entra dans la pièce accompagné d’une toute petite femme aux cheveux blonds et de deux hommes armés. Il parla avec Maxime en italien. Maxime ne dit pas grand-chose, mais à un moment donné, il acquiesça de la tête. Léo sortie une impressionnante liasse d’argent et la remis à Maxime. Celui-ci tourna les talons sans même jeter un dernier regard à Sylvie.

Elle tenait toujours les sacs de drogues dans ses mains, la bouche entrouverte, ne comprenant rien à ce qui se passait. La petite blonde s’était penchée sur le sexe de Léo et le suçait avec un enthousiasme toute professionnel. Sylvie n’osait pas bouger. Elle fixait la porte par laquelle Maxime avait quitté la pièce, priant de toute son âme pour qu’il revienne l’arracher à ces brutes.

– Tu es vraiment plus conne que tu en as l’air.

– Maxime…

– Il ne reviendra pas idiote, il t’a vendue.

Il repoussa la blonde qui trébucha et s’approcha de Sylvie. Il la retourna pour qu’elle soit dos à lui. Il déchira sa robe et sorti ses lourds seins de son corsage. Il la projeta sur le mur en face d’elle. Sa tête frappa la paroi avec un bruit sourd. Il se précipita sur sa proie. De la main droite, il pris le bras de Sylvie et le releva dans son dos dans une clef très douloureuse. De son pied gauche, il écarta ses jambes et de sa main gauche, il releva sa robe. Il se cala tout contre elle et guida sa queue jusqu’à son anus. Le geste avait été répété plus d’une fois et il n’eu aucune difficulté à trouver la rondelle de sa victime. D’un coup de rein sec et puissant, il l’encula.

Sylvie pleurait et criait sa douleur et son chagrin. Léo adorait le moment. Il dégustait la déchéance de cette femme racée. Le drame de la situation nourrissait son plaisir. Il sortait lentement sa queue de son anus et il la replongeait avec force au plus creux de l’intestin de son nouveau jouet. À chaque pénétration, Sylvie frappait durement le mur en gémissant. Les coups se firent de plus en plus durs et finalement, Léo se vida dans son cul en disant:

– Tu vois, ton trou du cul m’appartient maintenant.

Puis, se retournant vers ses hommes.

– Amenez-la au moulin. Installez-la au sous sol. Vous pouvez vous amuser avec si ça vous chante, mais je vous préviens, elle pue.

Il retourna son attention vers Sylvie. Il se pencha, arracha les sacs de drogue de ses mains et sorti de la pièce au bras de la petite blonde.

4.

On avait rapidement ramené Marie à sa chambre. La petite foule était en émoi, la mariée s’était évanouie. Elle se réveilla bien vite, mais elle était fiévreuse, délirante. L’humiliation qu’elle avait subie combinée au choc de voir sa sœur et sa mère traitées comme des jouets sexuels l’avait anéantie.

Anne, sa confidente et meilleur amie, se précipita dans la chambre. Il y avait le médecin du Parrain, Raphaël Da Silva lui-même ainsi que la petite compagnie de gardes du corps et autres lécheurs de bottes qui ne le quittait que rarement. Marie la regarda dans les Travesti Lara yeux et aussitôt, Anne fit évacuer la chambre. Le médecin remis des calmants a la servante et encouragea tout le monde à laisser la jeune femme se reposer. Raphaël se retira, inquiet et ne comprenant visiblement pas l’émoi de sa femme. Il n’avait rien vu de ce qui se passait dans les enclos et il voyait dans l’exposition du drap de virginité un honneur issu de traditions lointaines visant à souligner le caractère virginal de la femme et à montrer à tous qu’elle ne s’était donnée qu’à son homme.

Dès qu’elles furent seules, Marie éclata en sanglot. Anne l’écouta en silence, lui caressant les cheveux, la réconfortant. Après un certain temps, Marie se calma. Son caractère pragmatique reprit le dessus. Elle raconta tout à Anne: le viol de sa mère, l’asservissement de sa sœur, les cruelles soirées à la villa des Castillos et finalement l’emprise d’Alphonso sur sa mère. Au fur et à mesure qu’elle racontait son histoire, ses idées redevenaient claires. Et plus Marie parlait, plus les yeux de Anne devenaient sombres. Les deux femmes parlèrent toute la nuit. Jamais Marie ne s’était sentie si soulagée. Elles tirèrent les conclusions qui s’imposaient.

Le soleil se levait quand Anne résuma la situation.

– Pour Da Silva et ses mignons, le sexe est un outil. Avant ton arrivée, il y avait régulièrement des prostituées qui fréquentaient le domaine. La rumeur dit que les partouzes étaient monnaies courantes. Je ne sais pas jusqu’à quel point ton mari était impliqué, mais trois choses sont sures. L’idée de violer ta mère vient de lui. C’est également lui qui a donné ta mère à Alphonso. Ici, tout passe par le Parrain. Finalement, s’il n’est pas l’architecte de la déchéance de Sylvie, il est parfaitement au courant.

– Mon Dieu.

– Je sais que tu n’es pas naïve Marie. Tu dois savoir qu’une grande partie des affaires de ton mari repose sur des activités de prostitution et sur la production de matériel porno. C’est Maxime qui est en charge de cette division.

– J’aurais dû m’en douter.

– Et le Parrain suit de très près les activités de son lieutenant alors que les gens qui s’occupent du commerce de la drogue, des armes et de la protection restent assez éloignées du domaine et de l’entourage du chef.

– Comment sais-tu toutes ces choses.

– Tu sais Marie, je vie sur le domaine depuis que j’ai 4 ans. Je fais partie des meubles et je suis la petite fille de tout le monde ici… Alors, j’ai des connections.

– Pourquoi tu ne m’en as jamais parlé?

– Les choses ont changé au domaine depuis ton arrivé. Je ne voulais pas te faire peur pour rien.

– Je me sens mal Anne.

– Marie, tu n’as plus le choix. Tu dois rester forte, quoiqu’il t’en coûte. Après ce que tu as vu, il est certain que les choses n’ont pas changé. Le sexe est le point faible de ton mari. Si tu te rebelles contre lui sur ce point, il te fera subir un sort pire que celui de ta sœur, mais si tu collabores, il mangera dans ta main.

– Je sais.

– Prends exemple sur ta mère. Sers les dents. Contrairement à elle, le temps joue en ta faveur.

Peu après, Marie réussie à fermer les yeux.

5. Les paroles d’Anne résonnèrent longtemps dans la tête de Marie. Bien après son réveil, elle méditait sur ces mots : « Le sexe est le point faible de ton mari. ». Elle retournait la phrase dans tous les sens. Elle repassait le fil des événements avec une froideur qui lui faisait peur. Elle s’inquiétait pour elle-même. Elle aurait dû être terrorisée, elle aurait dû être intimidée, elle aurait dû être démolie par l’asservissement de sa sœur, par le viol de sa mère, par la mort de son père, par son mariage forcé, par toutes les humiliations. Au contraire, sa tête était plus froide que jamais. Elle maudissait Raphaël Da Silva pour avoir fait d’elle une personne si mature, si jeune. Il lui avait volé la plus belle période de sa vie. Elle n’était pas insensible aux malheurs de sa sœur et de sa mère, mais dans son esprit, elle vivait dans un théâtre de guerre. Elle n’avait pas le loisir de s’apitoyer sur son sort. Si elle baissait sa garde maintenant, elle en mourrait. Peut-être pas physiquement, mais certainement moralement.

Alors, elle calculait. Son mari l’avait rejoint au matin et il s’était occupé d’elle personnellement avec une attention et une tendresse non feinte. Le premier constat de Marie avait été que Raphaël Da Silva l’aimait vraiment et qu’il prenait très au sérieux ce mariage. Elle n’était pas sotte au point de penser que cette situation était définitive, mais tant que l’homme ne se retournerait pas contre elle, il ne serait pas une menace.

Le second constat, était qu’elle ne pouvait rien pour sa mère et sa sœur. Jeanne devrait subir les assauts d’Alphonso. Elle ne pouvait en aucun cas s’en prendre a lui car son influence était immense. C’était certainement la personne la plus dangereuse de l’organisation. Quand à sa sœur, elle devait la sacrifier. L’influence de Maxime sur elle était trop forte et sa dépendance aux drogues trop grande. Marie réalisait que son influence sur le Parrain n’était pas assez grande pour changer le destin de sa sœur. Elle regardait cette situation avec froideur. Non qu’elle ait été insensible, mais elle voyait la chose comme un générale qui sacrifie un bataillon pour sauver son armée.

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