Claire, ou les intentions troubles

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Ass

Pour profiter de la liberté toute neuve d’un premier jour de vacances scolaires, jour caniculaire de surcroît, j’enfourche mon vélo. Objectif : une baignade à la rivière. Pour cela, il suffit de prendre la rue qui mène au cap, puis le chemin sur la droite, et voilà on surplombe les flots turbulents qui n’attendent que moi.

Faute de mieux, la vitesse me rafraîchit : le vent siffle à mes oreilles. Merde! je vais trop vite pour négocier le virage à 90 degrés à la mi-pente! Une voiture me double en me rasant. Me voici sur l’accotement, bientôt dans le fossé. Au lieu du vol plané, je choisis de tomber.

Quelques véhicules passent en trombe, tandis que je me relève, les genoux en sang, le dos douloureux et l’orgueil abîmé.

C’est en boitant que je termine la descente, péniblement. Impossible de me remettre en selle.

Au bas de la pente, depuis toujours, il y a ce kiosque de fruits et légumes. Une immense fraise est sommairement dessinée sur son côté et, devant, une dame à la silhouette carrée, les mains sur les hanches, m’attend pour, je le présume, me servir quelques sarcasmes. Je baisse les yeux, en espérant passer sans m’arrêter. Raté!

– Pauvre toi! Tu as pris toute une fouille! Viens que je voie si tu n’as rien de cassé.

Je n’ai pas le temps de protester, déjà elle m’empoigne et me couche dans l’herbe. À califourchon sur mon dos, elle me broie le reste des os épargnés par ma chute.

– Où ça fait mal?

Je cherche mon souffle, tandis qu’elle me tâte fébrilement les vertèbres et les muscles. Elle reprend:

– De ce côté , rien de cassé. Retourne-toi.

Péniblement, je lui fais face, toujours immobilisé entre ses jambes. Je suis l’objet d’un regard doux et malicieux dans un visage jeune, cadré des cheveux… roses. La matrone s’est métamorphosée en une jolie femme dotée d’une carrure impressionnante.

– Crois-moi, j’ai fait du water-polo pendant sept ans. Je m’y connais en bosses et blessures, et je constate que tu n’auras rien de spécial à raconter à tes petits-enfants! Tu t’appelles…?

– Jules.

Elle me tend la main, j’extirpe la mienne de sous sa robe.

– Moi, c’est.. Claire. Enchantée, Jules! Oh! parlant de bosses, tu en as toute une dans le pantalon!

Elle se lève et je constate l’évidence : je suis bandé. Je me relève péniblement. Elle me tend la bicyclette, l’air malicieux et je pars en bredouillant merci.

– Reviens me voir demain. Je veux être sûre que tu vas mieux. Et tu me tiendras compagnie! que je m’emmerde toute seule ici!

Le lendemain, chacun des mes muscles me rappelle mon accident et ma bienfaitrice.Dois-je retourner la voir? Je pencherais plutôt pour oublier ces moments d’humiliation. Enfin la courtoisie l’emporte. Le temps magnifique me donnera l’occasion de faire la baignade prévue hier.

J’arrive à l’heure du rush : trois automobiles sont stationnées aux abords de la cabine. Je ne vois pas Claire, mais l’entend bonimenter au milieu d’un attroupement de clients.

– … Ce panier-là, c’est 4,99$. Le plus gros, à côté, 8,99$. Cueillies ce matin même, oui, Monsieur!… Non, Madame, toutes mes tomates sont vendues. Repassez…

Je joue du coude. Je remarque que quelques hommes la fixent, manifestement fascinés. Je suis leur regard. Les yeux brillants, le sourire rougeoyant éclatant au soleil, Claire se penche au-dessus de son petit comptoir. Le décolté plongeant de sa robe fleuri contient avec peine ses seins ronds et laiteux. Je suis hypnotisé comme les autres.

Finalement, le groupe se disperse, et les messieurs jettent un dernier coup d’oeil avant de démarrer en trombe.

Elle m’aperçoit et sort de son kiosque pour me sauter au cou.

– Jules! Comme c’est gentil de t’arrêter! Comment va mon accidenté favori?

Elle me tient serré contre elle, comme un ami de longue date. Je suis sans voix, tandis qu’elle m’inspecte sous toutes mes coutures.

– Tu es déjà mieux, c’est clair. Mais tu as encore cette “méchante” bosse au bas-ventre, ajoute-t-elle en éclatant de rire. Hé! C’est une joke! Tu vas apprendre assez vite qu’il ne faut pas croire tout ce que je dis! Viens t’asseoir derrière le comptoir avec moi. Tu as le temps?

Elle me tire par la main avant que je puisse dire quoi que ce soit. Le peu d’espace à l’intérieur du cabanon est un capharnaüm de boîtes vides et d’affiches illustrées de bleuets ou d’un épi de maïs. Un gros bouquin jonche le plancher.

– Je lis dès que j’ai une minute. Ça, c’est un roman comme je les aime: un peu olé-olé! C’est l’histoire abracadabrante d’une fille qui…

Elle trouve finalement une chaise qu’elle déplie à mon intention.

– Raconte-moi. Comment tu vas? Parle-moi de toi.

Elle a posé sa main sur ma cuisse, je me concentre comme je peux pour affronter son barrage de questions.

– Et tu as une blonde?

– Oui.. Non… pas vraiment… Il y a bien Geneviève, mais c’est juste une amie.

Son visage devient grave tout à coup.

– Geneviève, elle s’occupe bien de toi? Je veux dire de “ceci”?

Elle pose sa main sur mon entrejambe en me décochant un clin bycasino d’oeil. Je me fige.

– Tu me sembles si gros là-dessous que ça doit demander beaucoup de soins. Alors, avec ta blonde, c’est comment… pour… Tu vois que je veux dire?

– Non! Non! On ne fait pas ça! m’écrié-je en m’essuyant quelques sueurs froides.

– Ne bouge pas, je ferme la boutique un instant et je suis à toi.

Elle se lève, abat le panneau sur le présentoir, revient, ferme la porte. Seuls quelques rayons de soleil passent entre les planches disjointes. Même à mes côtés, je ne discerne plus son visage. Je suis tétanisé quand elle défait ma ceinture. Elle me déboutonne en s’excusant: elle est incapable de résister à sa curiosité, m’explique-t-elle en s’emparant de mon sexe. Je frémis, de terreur comme de plaisir.

– Pas mal!

Elle se met à me caresser d’une main, soupèse de l’autre mes testicules.

J’aimerais bien partager son étonnement, mais les mots me restent coincés dans la gorge.

– Oh! tu es déjà sur le point de venir!

Je pousse un grognement et j’éjacule à grands traits, à m’en vider les entrailles. Claire lance un petit cri satisfait, et me colle un baiser sur la joue.

– Regarde ce que tu as fait, vilain garçon : trois paniers de fraises maintenant bons pour la poubelle!

La lumière m’éblouit douloureusement comme elle rouvre son kiosque. Je me rhabille en cherchant toujours ma respiration. Elle déclare que jamais elle n’a fermé le magasin si longtemps, même pour aller aux bécosses situées derrière.

– Cependant, aujourd’hui, c’était un cas de force majeure… Tiens! voilà du monde!

Je me réfugie à l’arrière. Le dos appuyé contre le mur, je suis distraitement des yeux un voilier qui remonte la rivière. Tout ceci n’est-il qu’un rêve?

Plusieurs voitures s’arrêtent successivement au kiosque. Claire prend un instant pour me glisser:

– Pas la peine de rester, je n’ai pas le temps. Et le patron qui vient me prendre dans quelques minutes. Tu veux bien repasser demain? Il faut qu’on parle!

Elle s’éclipse sans attendre de réponse. Encore désarçonné, je monte à bicyclette et m’éloigne en zigzaguant, les jambes flageollantes.

Sans faute, je suis au rendez-vous le lendemain à la même heure, le coeur battant, encore fatigué d’une nuit tourmentée d’émotions.

À l’ombre de son petit magasin, Claire m’attend, les coudes sur le comptoir, l’oeil rêveur.

– Le preux chevalier arrive sur son destrier pour sauver la belle des griffes… de l’ennui mortel! Tu es venu, Louis! fait-elle en souriant. J’étais en train de m’inventer des histoires sur la dernière cliente qui vient de passer. Je la vois s’embarquer à l’instant sur un voilier long comme d’ici à la rivière. Elle tend gracieusement à son mari le panier de fraises qu’elle vient de m’acheter. Il choisit la plus charnue et la croque en plongeant son regard de braises dans celui de son amante. Il sourit de toutes ses dents rougies. Ils appareillent pour un périple autour du monde…

Claire est ravissante dans cette autre robe imprimée qui dénude ses larges épaules bronzées.

Elle continue son récit devant un client qui arrive et la fixe avec des yeux ronds.

– Le fier esquif fend les flots. La dame prend du soleil sur le pont… intégralement nue. Lui la rejoint, le membre dressé comme un mat de beaupré, et ils font l’amour…

– Torride! fait le client en s’éloignant.

– J’en étais rendue là dans mon histoire… Tu ne m’en veux pas pour hier? demande Claire, avec une moue désolée. Je ne suis pas la fille que tu crois! Je ne sais ce qui m’a pris. Il faut dire que tu es si mignon. Et tu semblais en avoir bien besoin. Viens voir, j’ai quelque chose à te montrer!

Elle m’entraîne le long de la route. Après quelques pas, elle s’arrête, tout sourire:

– Regarde!

Elle me désigne un immense bosquet de roses sauvages qui fleurit au soleil. Il est l’objet d’une intense activité de la part des bourdons et autres insectes. Ils volètent d’une fleur à l’autre, se disputant fébrilement les pistils qu’ils piétinent allègrement quelques instants pour ensuite voir ailleurs.

– Les taons n’arrêtent pas de la journée, comme s’ils n’en avaient jamais assez. Ça me fait penser à vous, les gars!

Elle me parle de son chum parti planter des arbres dans l’Ouest pour l’été: sa présence lui manque. Et, elle, toute seule ici dans ce trou perdu à vendre des salades! Rien de plus terrible! Pas étonnant qu’elle ait perdu la tête hier!

Je ne saisis pas tout ce qu’elle raconte, car je la regarde plus que je ne l’écoute.

Elle m’invite à m’asseoir derrière le comptoir auprès d’elle. Nous conversons dans l’attente des clients.

Je ne sais plus trop ce que je m’étais préparé à lui dire. Je lui annonce plutôt que j’ai trouvé un job à la pharmacie. Je serai livreur à bicyclette. On me demandera de…

Je suis incapable de finir ma phrase : sa robe légèrement retroussée expose sa cuisse.

Ma main effleure sa peau. Elle se tait et me fixe, l’oeil étincelant. Le temps est suspendu.

Claire bycasino giris se penche vers moi. Sa bouche saisit la mienne. Ses lèvres sont une caresse. Sa langue…

Nous sous séparons subitement. Le vrombissement d’un moteur, des freins qui crissent: un camion s’immobilise dans un nuage de poussière.

– Merde! le patron! Cache-toi vite!

Pas le temps de sortir sans être vu! Je ne trouve pas mieux de passer derrière Claire et de m’enfouir sous sa robe. Elle pousse un oh! et grommelle:

– Es-tu f..? Bonjour, Monsieur Roland! Quelle surprise! Vous arrivez bien tôt!

J’entends une voix enrouée qui explique que les tomates et les concombres sont maintenant disponibles. Au contact de la peau douce et parfumée de Claire, je frémis.

J’entends l’homme fourrager en déplaçant des boites.

– Bon! Voilà , Claire. Je repasse te prendre dans une heure.

Le camion s’éloigne.

– Mais enlève ta main de là, grand fou!

Je n’ai pas pu résister à la tentation d’explorer sous sa culotte.

Claire passe ses mains sur sa robe pour la défroisser. Ses joues ont viré au rouge et elle semble hésiter à me gifler. Elle baisse les yeux et aperçoit la bosse qui gonfle mon pantalon.

– Encore!

Une voiture s’arrête.

– Va-t-en! me siffle-t-elle.

Il n’en est pas question, alors je contourne le kiosque et attend.

J’ai eu le temps de revivre dix fois en pensée les émotions précédentes, avant d’entendre son pas fermé s’approcher. Son visage est de glace.

Un pas de plus, elle est sur moi, littéralement. Elle me projette à terre et entreprend de me baisser le pantalon. Ceci fait, elle se redresse et guide mon pénis dressé entre ses jambes. Elle me prend d’un mouvement brusque. Je suffoque de plaisir tout autant que de son poids qui m’écrase. Elle monte et redescend sur moi à quelques reprises. Je viens très vite et très fort. Elle s’affale sur moi, haletante.

– Tu es vierge …? Je veux dire que… tu ne l’es plus maintenant, n’est-ce pas?

Je hoche la tête.

– Qu’est-ce que j’ai fait! Je deviens folle! J’ai profité de ton inexpérience! Je te promets que…

-Claire… , je t’aime!

– Il ne manquait plus que ça! dit-elle en hurlant. Déguerpis! Ne reviens pas!

Sa transformation est si soudaine et si violente que je me sauve en oubliant presque mon vélo.

Le temps couvert se maintient sur la région et le goût de la natation m’a passé. Je ne retourne donc pas aux abords de la rivière lors des jours suivants. De toute façon, l’horaire de travail me l’interdit. J’ai revu Geneviève que j’avais presque oubliée. Notre amitié n’est plus comme avant. Mes pensées battent la campagne et elle le sent.

Ce matin, en allant au travail je fais un détour par le cap qui surplombe la rivière. La camionnette au nom de “Rolland fruits et légumes” est là. Claire et un petit homme à la tête grise s’affairent à ouvrir la boutique. Je roule en bas de la côte et m’approche. Monsieur Rolland me jette un rapide coup d’oeil, Claire m’ignore.

J’accote mon vélo contre le kiosque, j’attends. Ils échangent quelques mots que je ne saisis pas. Le camion s’éloigne. Claire se montre.

– Tu n’aurais pas dû venir! gronde-t-elle. Le patron croit que tu es mon petit ami, et cela ne l’enchante pas.

Je plaide que je ne veux que quelques instants avec elle, sans rien demander d’autre. Le temps d’expliquer que je ne suis pas vraiment en train de tomber amoureux d’elle. Claire ne se laisse pas convaincre. Coucher ensemble était une erreur. D’autant que pour elle, ça ne veut rien dire.

Je me tais, le coeur en lambeaux.

– Et si mon chum apprenait ça! Je serais morte, dit-elle, le regard humide.

– Claire…, tu as raison, mais je t’aime…

Elle devient livide et serre les poings. Elle avance et me bouscule avec force. Je suis projeté contre le mur et tombe sur ma bicyclette dans un grand fracas.

À ce moment apparaît monsieur Rolland:

– Eh! c’est quoi, ce bordel! Toi, ti-gars, décrisse! Claire, je viens tout juste de te dire que je ne veux pas de trouble à la job!… Tiens! j’avais oublié ceci! dit-il en lui mettant la petite caisse sur les bras.

Il part. Claire dépose la boîte sur le comptoir sans un autre regard pour moi. Je m’en vais avec mes idées noires.

Je ne fais pas dix mètres qu’elle m’appelle. D’un geste, elle me demande de revenir. Elle griffonne quelque chose sur un bout de papier et me le tend, l’air sombre.

– Chez moi, après 19h! On met ça au clair, et… “bonjour bonsoir”!

La porte se situe au fond d’un corridor sombre. Elle s’ouvre avant même que je frappe. J’entre. C’est le salon. L’appartement paraît minuscule et très encombré. Claire ferme la porte et se tourne vers moi. Je suis bouleversé par son visage défait et barbouillé de rimmel: elle a pleuré.

– Qu’est-ce qui est arrivé?

-Oh! Jules! Si tu savais…!

– Tes parents? Ton chum? Viens t’asseoir!

– Ce n’est pas ça. Ils vont tous bien. C’est monsieur Rolland.

Je la rassure: je n’irai plus au kiosque. Mais bycasino giriş ce n’est pas ça encore. Elle m’explique, la voix baignée de larmes:

– Il est revenu à la fin de la journée, comme d’habitude. Tout était rangé, le magasin fermé. Au moment de partir, il m’a dit de le rejoindre dans la caisse du camion… Ce matin, il avait écouté notre conversation. Il sait ce que nous avons fait, il sait que j’ai peur qu’Aurélien (mon chum s’appelle Aurélien), qu’il l’apprenne.

– Il ne peut pas faire ça!

– Il menace de le trouver à son retour, et de tout lui déballer. “Ce ne devrait pas être trop difficile à trouver, quelqu’un avec un nom pareil!” Ce sont ses paroles!

– Mais il est dégueulasse!

– À moins… À moins que je lui fasse quelques faveurs. Là, tout de suite, dans le camion.

– Et…?

– J’ai paniqué! Monsieur Rolland a dit qu’il ne me toucherait pas. Il voulait “voir”, voilà tout.

Je n’en crois pas mes oreilles. Il lui a ordonné de se déboutonner, bien lentement. De laisser tomber sa robe. Il a fallu qu’elle tourne sur elle-même, toujours en sous-vêtements. Il la complimentait sur ses formes sensuelles, surtout sa gorge si affriolante.

Claire a cru qu’il en resterait là. Elle a ramassé sa robe, mais il a commandé très sèchement de continuer. Il était là comme un pacha vautré sur les boîtes vides.

Moi, je l’écoute, sans comprendre pourquoi elle me décrit tout par le menu. C’est comme si moi-même je suis témoin de la scène et je vois ce que voit monsieur Rolland. JE suis dans le camion et JE m’entends sussurer à Claire de retirer son soutien-gorge. Elle hésite, je hausse le ton.

Elle se retourne. Ses mains tremblent et peinent à dégrafer le délicat sous-vêtement de dentelles. Ma gorge s’assèche. Lentement elle se retourne. ..

– Enlève tes mains, que je voie!

J’ai crié. Ses yeux barbouillés de maquillage et de larmes m’implorent de lui faire grâce. Je ne fléchis pas et découvre deux superbes mamelons foncés sur une peau très pâle. Ses seins hauts et fermes pointent vers moi. Je me lève, tout excité, avec l’envie de les caresser, de les masser, de les téter. Mais je me contrôle et exige le reste. Oui oui! Tout! Elle se penche…

Tandis qu’elle retire sa culotte , je découvre entre ses fasses rondes et appétissantes, une fleur rasée aux lèvres aussi foncées que celles de sa bouche. Je la complimente sur sa performance et son charme. Elle est une bonne fille. Je pousse encore un peu ma chance en exigeant qu’elle s’agenouille et, tant qu’à y être, qu’elle me suce. Elle rechigne, car je lui ai promis de ne pas la toucher.

– C’est TOI qui vas me toucher, argumenté-je. Moi, je ne bouge pas.

Elle proteste, mais lui reparler de son Aurélien lui cloue le bec. Pour l’amadouer , je lui brandis un condom. J’ai tout prévu.

Elle s’exécute, à mon plus grand plaisir. Elle me fais un peu mal en sortant mon engin, mais je demeure compréhensif: je suis bandé comme un cheval. Je ressens bien un brin de culpabilité, mais elle est si jolie, agenouillée à mes pieds, à me pomper avec énergie, presque avec enthousiasme, que j’oublie vite mes bons sentiments. Elle a de l’expérience, la petite pute, c’est clair! Je décharge comme jamais. Je la félicite et lui suggère de changer de métier: elle a des talents qui lui rapporteraient beaucoup.

Claire achève son récit et je sors comme d’un rêve éveillé, muet et tout honteux d’avoir presque vécu ces infâmes événements.

Elle me demande de rester avec elle. J’appelle à la maison, m’invente un collègue de travail qui m’invite à coucher chez lui.

Claire et moi nous serrons bien fort. Les heures passent. Elle ne sait pas quoi faire. Elle tremble de revoir son patron. Pire : de retrouver son copain. Rien ne sera plus pareil.

Son corps chaud me chavire. Je lui touche le bras, le caresse un peu. Elle s’éveille à moitié, m’enserre dans ses bras puissants. Nous nous embrassons, roulons à terre. Chacun cherche maladroitement à déshabiller l’autre . Elle m’entraîne dans la chambre du fond où le lit nous accueille et faisons l’amour, lentement, tendrement.

Après l’amour, elle sanglote un peu, puis sa respiration s’apaise.

Je me réveille en l’entendant chantonner aux toilettes. Je la rejoins et elle me dit qu’elle a réfléchi. Elle va essayer de mettre tout ça de côté dansa tête, de rester le plus loin possible de ce sale individu.

– Je vais trouver un autre travail. Je…

Claire insiste pour affronter seule son patron qui viendra la chercher dans un instant. Moi, je dois partir. Je me résigne et gagne mon lieu de travail.

De retour le lendemain après-midi, alors que j’approche, elle répond sans enthousiasme apparent. Quelque chose cloche.

Claire affiche un air abattu que je ne lui reconnais pas. Je l’interroge du regard, l’estomac noué.

– Tu ne peux rester qu’un instant : la police s’en vient.

– Quoi?!

– Dès que monsieur Rolland, ce vieux salaud, dès qu’il se présente, ils mettent le grappin dessus.

À voix basse, elle m’explique qu’hier après-mid, il est venu, comme à son habitude, comme s’il ne s’était rien passé la veille. À un moment donné, il l’a poussée dans la caisse du camion, et le cauchemar a recommencé. Il l’a forcée à s’étendre par terre (il est petit, mais vachement costaud, le saligot!) Il est monté sur elle, a retroussé sa robe…

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Marie fait de moi une Belle de jour

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Amateur

Marie m’expliqua qu’elle avait pu exceptionnellement faire venir mes premiers clients le matin mais qu’en général, c’était plutôt le soir que ça se passait, voire même dans la nuit. Les moments à ne pas rater c’était les vendredis et samedis entre dix heures du soir et trois heures du matin. En particulier, elle connaissait un endroit discret qui faisait partie d’un club libertin qui était équipé de gloryhole.

Nous avons passé l’après midi à chercher comment je pourrais bien justifier d’un emploi du temps si particulier auprès de mon mari. Je devais pouvoir m’absenter toutes les nuits des vendredis et des samedis sans éveiller ses soupçons ni intriguer les enfants.

Ce jour là, nous n’avons pas trouvé. Mais sa description du gloryhole, qu’elle avait elle-même essayé à plusieurs reprises, m’avait troublée. J’essayais de l’imaginer suçant des bites à la chaîne qui sortaient d’un trou dans le mur, menant le maximum d’inconnus à l’éjaculation dans un minimum de temps. Elle précisa qu’il y avait de tout, des petits sexes, des gros, des blancs, des noirs. Tous étaient propres mais certains sentaient assez fort, une odeur prononcée de mâle en rut.

Je suis rentrée à la maison avant mon mari pour éviter d’éventuelles questions et avoir le temps de prendre une bonne douche. Je m’étais tant attardée chez Marie que j’en étais partie encore pleine de sperme dans mes trois trous.

Pendant toute la soirée, sans en avoir l’air, j’avais cette image d’une femme sur ses talons, sans culotte, cuisses écartées, tenant un gros braquemart dans sa main et en léchant le gland. Je cherchais en vain un moyen d’aller discrètement expérimenter le gloryhole.

Le lendemain, je retournai chez Marie vers onze heures. Elle m’avait dit qu’il y aurait encore deux hommes mais que cette fois, nous partagerions. J’avais la boule au ventre en allant chez elle, comme quand on inaugure un nouvel emploi. C’était la première fois que de plein gré, j’allais aux asperges comme on disait dans les romans populaires du siècle dernier pour parler des professionnelles. J’étais en passe de devenir belle de jour en somme.

Ils nous ont prises en même bycasino temps, en levrette sur le lit, l’une à côté de l’autre mais tête-bêche. Je voyais Marie se faire baiser et Marie voyait mon partenaire me pilonner. C’est très stimulant de voir un couple copuler. L’homme bourrait le cul de Marie, lui écrasait les seins dans ses paumes tandis qu’il se projetait en avant ou repartait vers l’arrière. Elle subissait ses assauts mais en même temps, elle se branlait furieusement le clitoris. Leur frénésie était communicative et mon partenaire imitait son ami. Cette force dans l’acte était inhabituelle pour moi, mon mari étant toujours plutôt doux. Je fis comme Marie, me masturbant pour arriver à l’orgasme. Nos clients devaient être très excités de voir deux putes qui prenaient visiblement du plaisir. Nous étions loin du cliché de la catin qui simule. Mais ils devaient se rendre compte que moi tout du moins, j’étais une débutante.

L’homme qui baisait Marie se libéra enfin. Je le vis rester collé à son cul, la chair des seins qui blanchissait tellement il les serrait. Il eut un long râle tout le temps que ses couilles se vidaient par giclées successives. Marie cria à son tour. Ils jouissaient tous les deux, lui avec un plaisir bestial, elle de sentir le plaisir de cet homme envahir son intimité.

Mon partenaire me lâcha les seins pour me prendre aux hanches et me claquer les fesses à intervalle régulier. Je sentis qu’il faisait tomber de la salive à l’aplomb de mon anus. Il m’écarta les fesses avec ses pouces et m’en mit un dans le rectum. “J’ai envie de te gicler dans le cul.” Il sortit de mon vagin, remplaça son pouce par son gland et m’enfila d’un coup jusqu’au pubis. Comme il avait libéré ma chatte, je pouvais me branler plus largement, mouillant mes doigts à la source pour ne pas irriter mon petit bouton rose.

Je calquais mes mouvements sur les siens. Il m’enculait à un rythme régulier et je m’astiquais à la même cadence. Je sentis qu’il allait jouir parce qu’il commençait à crier de plus en plus fort. Comme Marie, j’ai joui de sentir mes fesses prises dans l’étau des mains et le liquide bycasino giris chaud qui remplissait mes entrailles par saccades.

Les hommes sont partis et nous sommes allées nous laver, nous savonnant mutuellement sous la douche.

Enfin, Marie m’annonça qu’elle avait peut-être trouvé la solution pour le gloryhole. Elle connaissait un couple qui tenait une boutique à Paris. Ils acceptaient de nous servir d’alibi. J’étais censée venir travailler tous les samedis et dimanches pour leur permettre de rester ouvert sept jours sur sept. Je devais partir le vendredi soir pour faire l’ouverture le samedi matin et revenir le dimanche, tard dans la soirée. Ils avaient un grand appartement et pouvaient m’héberger gratuitement. Pour ce qui est du salaire, nos gains à Marie et moi suffiraient largement à alimenter un compte et même à payer les charges de mon emploi fictif. Je serais même déclarée, avec fiche de paye et il était peu probable que mon mari se doute de quelque chose.

Pour que cette proposition ne semble pas tomber du ciel, nous avons convenu que d’abord, je présenterais Marie à mon époux, puis Marie nous inviterait chez elle où nous ferions la connaissance du couple. Au cours de la discussion ils seraient amenés à me proposer ce travail. Marie serait simplement une amie de fraîche date, rencontrée dans une galerie d’art et partageant ma passion de la peinture.

Je trouvais ce scénario convaincant et j’étais vraiment excitée à l’idée de mes futurs weekends de putain consentante.

Le soir même, je parlais de Marie et je proposais une invitation pour le samedi suivant. Mon mari accepta avec enthousiasme. Un homme ne s’inquiète pas des amitiés féminines de sa femme. Au contraire, cela l’émoustille en général.

Nous avions emmené les enfants chez leurs grands-parents pour pouvoir dîner entre adultes. Mon mari semblait trouver ma nouvelle amie à son goût. Il était enjoué dans la conversation. Nous faisions tous les deux face à Marie. Il ne voyait pas qu’elle me faisait du pied sous la table, caressant même mes mollets. Il voulait se montrer sous son meilleur jour, faisant bycasino giriş preuve d’une serviabilité hors norme. Il desservit, prépara le plat suivant en cuisine, fit le service, s’occupa des vins. Il disait qu’il voulait nous laisser profiter l’une de l’autre et nous le faisions au delà de ce qu’il suggérait. A chaque fois qu’il sortait de la salle à manger, Marie levait sa jambe et posait son pied sur mon sexe, sous ma robe. Elle me demanda même de retirer ma culotte et de la lui donner. Ses orteils s’engluaient dans ma fente et je frottais son pied sur ma vulve. Quand mon mari revenait, nous reprenions une posture innocente, continuant une conversation sur l’art et la peinture.

A la fin du repas, nous avons inversé les rôles. Marie et moi sommes allées à la cuisine pour remettre de l’ordre et j’ai dit à mon mari qu’il avait été formidable mais qu’il pouvait aller se reposer au salon et que nous le rejoindrions. Nous avons pu nous embrasser, nous caresser, Marie s’est agenouillée pour me lécher et j’en ai fait autant avec elle. Mais nous ne pouvions pas nous attarder sans risquer de nous découvrir et nous avons rejoins sagement mon mari.

Marie nous proposa de nous rendre notre invitation le mardi soir. Elle nous présenterait à un couple de ses amis.

Le mardi, après avoir laissé les enfants se débrouiller seuls, nous sonnions chez Marie. Ses amis étaient déjà arrivés et nous sommes assez vite passés à table. Ils nous expliquèrent les difficultés des petits commerçants parisiens, notamment pour trouver du personnel. Ils étaient à la recherche d’un employé depuis plusieurs mois et ne trouvaient personne pour travailler le weekend. Candidement, je me proposais pour le poste. Mon mari n’osa pas me contredire devant le monde mais il me regardait d’un air incrédule. Les amis de Marie prirent ma proposition au sérieux et nous commençâmes à mettre sur pied une solution réaliste. Mon mari restait silencieux. Je savais qu’au retour à la maison, je devrais trouver des arguments convaincants pour contrebalancer mon éventuelle absence du vendredi soir au dimanche soir.

Cela ne manqua pas. Il n’était pas totalement hostile, mais plutôt réticent. Ce qui emporta la décision ce fut que je lui dis que ça me ferait du bien d’avoir un rôle social, de ne pas être que la maman au foyer. Il n’osa pas s’opposer à mon désir d’émancipation.

Je devais commencer mon nouveau travail le weekend suivant.

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Barbie Outragée!

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Babes

Chacun d’entre nous a entendu parler du succès colossal du film « Barbie ». Certains l’ont vu, d’autres pas. Pour le récit qui va suivre, se souvenir de la belle actrice jouant le rôle de Barbie. Un film dénonçant le machisme, la phallocratie. Les hommes se retrouvant méprisés et ridiculisés dans ce film. À la fin, Barbie choisi de devenir un être fait de chair et de sang. Une décision, lourde de conséquence comme nous allons le voir…

Barbie vivait désormais San-Francisco et habitait avec une militante de la ligue des droits féminins. Barbie allait vieillir comme n’importe quelle femme, mais pour l’instant, son corps était comme celle d’une poupée, celle d’une blonde aux formes parfaites. Ni grande, ni petite. Des seins ni petits, ni gros. Des cuisses fines, mais justement galbées. Un ventre plat, un fessier rebondi sans extravagance. Un visage toujours souriant. De belles lèvres, charnues comme il le faut. Et cette belle chevelure blonde, brillante. Son amie s’appelait Maude. C’était une vraie activiste des droits féminins, et Maude était devenue la maitresse de Barbie. Celle-ci avait découvert le plaisir lesbien. Un plaisir uniquement clitoridien. Toute pénétration d’un corps étranger ne pouvait être que l’expression de la phallocratie. Ainsi Barbie, avait découvert la jouissance, celle faite de caresses, de baisers, de léchages. Elle qui était imberbe comme toutes les poupées, avait laissé pousser une jolie toison dorée, sur les recommandations de Maude. La toison représentait la toute puissance féminine. Maude et Barbie s’aiment et affichaient leur relation. Barbie, tout innocente, était devenue une égérie sur les réseaux sociaux. Phallocratie ou pas, Barbie posait avec des tenues parfois des plus suggestives et faisaient bander les hommes et mouiller les lesbiennes. Maude en avait fait un bizness et était aussi son guide, car Barbie ne connaissait pas grand-chose de l’humanité…

Mais l’humanité a des aspects sombres. Ce matin-là, Barbie, toute souriante, quittait l’appartement qu’elle partageait avec sa compagne. Elle fit quelques pas sur le trottoir, quand un van noir et teinté s’arrêta à sa hauteur. Deux hommes cagoulés en sortirent et saisirent Barbie. Un troisième la piqua à l’aide d’une seringue contenant un sédatif et l’entrainèrent à l’intérieur du van. Tout avait duré que quelques secondes. Seule une vielle dame avait été témoin de cet enlèvement. Barbie s’évanouissait dans le véhicule. Barbie était désormais aux mains de la terrible et occulte « IAH », « l’ile aux hommes ».

Cette mystérieuse organisation avait été crée il n’y a que quelques années. Elle réunissait des décideurs, des hommes puissants, qui ne supportaient plus de ne pouvoir exercer un droit de cuissage qu’ils estimaient légitime sur les femmes. Depuis « me too », les procès étaient nombreux et la disqualification morale était fréquente. Un petit groupe avait donc eu l’idée de créer un espace qui ne serait consacré qu’au plaisir masculin et à toute sa perversité. Il s’agissait d’une île dans les Caraïbes, qui avait été aménagée pour être un paradis de luxure.

Au départ, des putes avaient été engagées pour travailler sur l’île et accepter d’être Ataşehir travesti des esclaves du sexe à mi-temps, mais cela avait produit des effets indésirables, car des fuites avaient eu lieu. C’est pourquoi, depuis deux ans, le cheptel était celui de prisonnières venant du monde entier à qui avait été proposé d’être libéré au bout d’une année d’esclavage. Ces femmes étaient choisies en fonction de leur beauté, de leur âge. A la différence des putes, elles présentaient l’avantage de ne pas être des professionnelles. Leur innocence était plus excitante et les adhérents de l’organisation en étaient des plus satisfaits. Un certain nombre de prisonnières refusaient, mais la plupart dont les peines étaient les plus longues dans des conditions terribles acceptaient. Le contrat était des plus clairs. Au bout d’une année, elles étaient libres, mais durant celle-ci, elles devraient être de parfaites soumises. Elles seraient violées, parfois torturées, seraient considérés comme des choses à plaisir. Leur bouche, anus, et vagin seraient indifféremment utilisés et disponibles. Leur libération, la moindre parole valait un retour en prison ou pire une disparition…

Cette île aurait pu ressembler à un bordel comme les autres, mais dans de prochains récits, je reviendrais plus en détail sur cette île fantastique. Sachez, par exemple, qu’étaient organisés des chasses à la femme. Des hommes en équipes de trois ou quatre devaient être les premiers à attraper une femelle lâchée dans la nature, vêtue simplement d’un mini-string et les seins nus. Si celle-ci parvenait à échapper à ses poursuivants et rejoindre un abri, ce qui était rare, elle évitait un viol collectif en pleine nature et d’une grande sauvagerie. La prise était des plus humiliantes puisque la femelle devait être attrapée avec un filet. D’autres scénarios avaient lieu ainsi que des tortures raffinées.

Une dizaine de gardes était employé sur l’île et commandés par Yasmina et Vascos. Yamina était une ancienne prostituée d’origine marocaine. Quarante ans et encore fort désirable, elle était chargée de former les esclaves, de veiller à leur obéissance, mais aussi de diriger certaines séances de torture. Elle avait perdu toute morale et humanité. Quant à Vascos, c’était un ancien acteur de porno. Il était doté d’un sexe impressionnant. Il veillait, lui aussi, sur l’obéissance des esclaves, mais aussi les instruisait sur l’art de sucer, et de recevoir des queues dans leurs orifices.

Enlever Barbie était d’une grande audace. Tout un programme avait été conçu. Elle ne resterait que 24 heures sur l’île et serait l’unique attraction de… 30 hommes. Ces derniers, dont la plupart étaient des mâles blancs de plus de 50 ans, avaient payé 1 million de dollars pour vivre un moment inoubliable. La sélection avait été des plus rigoureuse. Il s’agissait d’adhérents qui participaient régulièrement aux activités ignobles de l’île. L’idée d’enlever Barbie était venue d’un pari, puis s’était imposé comme un défi. L’originalité devait être de mise et il ne s’agissait pas d’un vulgaire viol collectif. L’organisation avait mis les moyens et fabriquer grandeur nature… une maison Barbie.

Tel Ataşehir travestileri un studio de cinéma, une maison Barbie avait été reconstitué, jusqu’à l’allée bordant la maison avec une voiture Barbie. La maison était composée d’un rez-de-chaussée et d’un étage. Les pièces étaient fort grandes et ouvertes sur l’extérieur comme une scène de théâtre ; Les couleurs des murs, des meubles, étaient vives et chatoyantes. Il y avait néanmoins un détail. Toutes les pièces étaient munies de discrètes sangles sur les meubles et d’un crochet en hauteur. Il y avait un grand salon, une cuisine, une salle de bain, une salle de gym, une chambre rose. Un petit ascenseur extérieur allait être utile pour se déplacer confortablement. Chaque pièce avait une caméra mobile de haute définition. Un caméraman supplémentaire serait chargé des plans serrés et rapprochés.

Deux gardes portant Barbie toujours inconsciente arrivèrent devant la maison et la déposèrent sur le lit de la chambre au premier étage, puis partirent, laissant Yasmina et Vascos seuls avec elle. Les deux complices la déshabillèrent complètement. Barbie portait un jean et un adorable petit pull en laine sexy. Ses dessous étaient blancs et des plus sages. Yasmina et Vascos sourirent lorsque Barbie fut nue.

Yasmina : « Ils vont se régaler! »

Yasmina palpa le corps de Barbie ainsi que Vascos.

Vascos : « Il va falloir lui raser la chatte. Le grand Maitre veut qu’elle soit comme une poupée ».

Yasmina écarta les lèvres du minou de Barbie.

Yasmina : « Bien, elle est encore vierge….tu as vu cette souplesse? »

En effet Barbie avait la souplesse d’une poupée. Vascos et Yasmina s’amusèrent a lui écarter les cuisses dans un grand écart. Yasmina passa un coup de langue sur un téton et embrassa les lèvres de la prisonnière.

Vascos : « Comme j’aimerais la baiser, là tout de suite »

Yasmina sourit : « Ce n’est pas pour nous, pas tout de suite…le grand Maitre m’a promis de nous la laisser pour la fin…. Bon, il est temps de la préparer! »

IL était 14 heures pile. 30 hommes viennent prendre place sur de confortables chaises au rez-de-chaussée de la maison. Un écran vidéo géant placé a coté s’allume, ainsi que toutes les pièces de la maison. Ils découvrent alors, Barbie, allongée inconsciente sur le lit. Ses cuisses nues sont relevées et écartées, perpendiculaires à son ventre, maintenues par une corde et un crochet. Ses deux mains sont réunies au-dessus de sa tête et tiré par une corde. Elle porte un mini string rouge et les seins a l’air. Un tonnerre d’applaudissements accompagne cette vision des plus excitantes. Un homme grand et mince, distingué, mais le visage dur, s’assoit au bord du lit. Il fait sentir à Barbie une essence forte qui la réveille. L’homme met un masque de carnaval qui lui recouvre les yeux.

Barbie ouvre les yeux. D’abord surprise, elle essaye de se défaire de ses liens par de vaines ruades.

Barbie : « Mais qu’es ce qui se passe?, ce n’est pas amusant.. »

L’homme « Bien au contraire, chère Barbie! »

Barbie : ‘« Qui êtes-vous? »

Un cameraman filmait les expressions de Barbie, Travesti ataşehir mais aussi la main de l’homme qui caressait les cuisses, le ventre, les seins de la petite.

L’homme : « On m’appelle le grand Maitre… Vous êtes notre invitée… Nous sommes 30 ou plutôt 31 avec moi, à qui vous serez offerte. »

Barbie : « Si c’est un jeu… Ce n’est pas drôle… Vous pouvez recouvrir mes seins s’il vous plait monsieur. Je dois me rhabiller. Ou est Maude? »

Le grand Maitre: « Hum, votre amie lesbienne… Celle qui bouffe ce charmant minou… »

L’homme arracha le mini-string. On entendit les murmures de l’assistance.

Barbie : « Nooonn »

Le grand Maitre, après lui avoir peloté la poitrine, vient poser sa main sur la fente rasée.

Le grand Maitre : « On t’a rasée la chatte… Imberbe comme quand tu étais une poupée. Tu es si douce. Tu vas redevenir cette poupée quelques heures, mais ce ne seront pas des petites filles qui joueront avec toi. Tu dois savoir ce que sont les hommes, pas des Ken sans sexe. Tu vas prendre 30 queues et de bien des manières… »

Barbie se rendit alors compte de l’horreur de sa situation. Maude lui avait parlé de ce qu’était un viol et que de toutes les manières, les hommes ne savaient que violer. Une queue était une horreur. Elle devait les fuir.

Barbie : « Je ne veux pas… Laissez-moi!, s’il vous plait’

Le grand Maitre : « Tu devrais nous remercier. Nous avons reconstitué ta maison, avec quelques petits aménagements qui t’intéresseront et pour notre plaisir. »

Yasmina vécu de cuir, et aux formes sensuelles, fit alors son apparition. Elle s’approcha du visage de Barbie. Celle-ci pensant trouver une aide féminine.

Barbie : « S’il vous plait Madame… »

Le grand Maitre : « Yasmina sera comme une coach pour toi et nos…. Elle va te raconter le programme de nos réjouissances »

Yasmina parla à l’oreille de Barbie, dont le visage se décomposa petit à petit avec des larmes glissant sur ses joues. Elle voyait également le Grand Maitre sortir son sexe et se branler tranquillement en regardant son corps et la position dégradante qu’elle subissait.

Yasmina : « Le Grand Maitre va te baiser, d’abord ta jolie chatte qui ne sera bientôt plus vierge, mais il va aussi t’enculer, prendre ton petit cul. Tu devras le sucer avant. Toutes ces choses que tu ne connais pas encore, vont devenir une habitude. Ensuite, les trente invités te baiseront chacun leur tour, comme ils le voudront et ou ils le voudront. Chacun a réservé la pièce de son choix. Puis, tu seras baisée par groupe de trois pour que tu connaisses un viol collectif. Ce sera donc dix séances. Pas mal pour cette journée. Tu pourras te reposer. Et demain, tu subiras quelques séances de torture qui feront à nouveau bander nos invités. Puis, tu seras libérée et ramené chez toi. Tes larmes ou tes cris les exciteront bien davantage. Tu peux te laisser aller…. »

Barbie : « Pourquoi êtes aussi méchante, vous êtes une femme »

Yasmina porta ses lèvres sur celles de Barbie qui les gardait fermées. Elle lui tordit alors une pointe d’un de ses adorables nichons. Barbie poussa un cri. Yasmina engouffra sa langue puis se retira.

Yasmina : « Petite conne…tu vas morfler! »

Yasmina sourit au grand Maitre.

Yasmina : « Elle est à vous! »

La grand Maitre : « Merci chère Yasmina… Que la fête commence.. »

Des applaudissements montèrent jusqu’à la chambre.

A suivre…..

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A 19 ans j’étais encore vierge. J’avais bien flirté avec une de mes cousines plus jeunes, ou sucé un ou deux camarades de classe plus âgés quand nous étions en sortie, mais je restais vierge. Pas par désir, mais par timidité maladive. Pourtant je savais que j’étais plutôt attirant et bien fait, mais j’étais facilement impressionnable. Je ne me sentais pas attiré par un genre particulier. La population n’était pas séparée par des sexes à mes yeux, mais par les dominants d’un côté, les alphas, et les dominés de l’autre. Dont faisait partie l’immense majorité dont moi. Et encore dans mon esprit, moi tout en bas. J’avais beau cherché je n’avais rien pour moi, aucune activité, pensée, culture dont je pouvais parler. Aucun ami non plus. J’étais incroyablement isolé, et je trouvais cela plutôt normal, compte tenu de l’image que j’avais de moi-même. Lorsque je croisais un dominant, un vrai, alors je sentais un coup de poing au fond de mon estomac, un désir profond, une fébrilité incontrôlable, et la réaction stupide alors de fuir, alors que je ne rêvais que de cela.

Quand je disais cela, en fait je ne sais pas trop ce que cela pouvait être en fait, mais pourtant il y avait là une évidence.

Si je commençais à avoir une belle collection de livres de femmes dominantes et de magazines, j’étais un peu frustré par le côté construit de la plupart de ces récits et encore plus des photos. Les dominatrices en faisaient bien trop pour être crédibles, mais sans doute était-ce nécessaire dans une société aussi marquée par la domination masculine. Je ne rêvais pas de cuissardes ou talons aiguilles, mais d’une présence et d’une autorité extrême, voire d’un certain sadisme et méchanceté pour me mettre à ma place. Je me tournais du coup vers le sm gay, mais lui frustrant d’une autre manière. Les récits étaient assez basiques et frustres. Seuls les dessins d’hommes suppliciés auprès de musculeux sadiques me tordaient les tripes et envahissaient mes pensées. Je pouvais imaginer des scenario sophistiqués et très pervers, là où je trouvais les écrits trop fades.

Je me rendais régulièrement dans un hangar qui faisait office de sex shop gay dans un quartier populaire de la ville. Il était au bout d’une impasse, toujours très calme, avec un étage réservé à des pratiques plus hard qui m’attirait régulièrement. J’étais fasciné par tout le matériel exposé, par les odeurs de cuir ou latex, par les images que je pouvais y voir. J’achetais parfois un objet, toujours déçu de ne susciter aucun intérêt des vendeurs. Ils étaient ouvertement gay et efféminés, ce qui n’était réciproquement pas mon cas. Je n’osais jamais aborder le sujet d’une rencontre avec un mâle alpha.

Un samedi après-midi, je regardais les vêtements en latex, en particulier un boxer couvert de fines pointes à m’intérieur. Ma main posée dessus mesurais bien leur agressivité et la douleur qu’elles devaient infligées. J’étais perdu dans mes pensées à imaginer porter cette culotte de torture, lorsqu’un vendeur s’approcha de moi.

– Tu souhaites l’essayer? C’est un modèle très particulier, je pense que tu l’as remarqué? (Tout le monde tutoyait tout le monde ici, je ne savais pas pourquoi)

– Oui je l’ai remarqué (j’étais rouge pivoine, je voulais juste m’enfuir. D’autant que je ne le connaissais pas, qu’il était âgé pour un vendeur et qu’il était très impressionnant par sa taille et sa carrure. Il me regardait droit dans les yeux, sans un sourire commercial, je me sentais très mal à l’aise)

– Mais est-ce que tu souhaites l’essayer?

– Oui, mais je n’ai pas les moyens de me l’acheter. Je…

– Essaie toujours

Il prit le short et m’entraîna vers un coin de la pièce, mais pas celui où il y avait un vestiaire. Il me tendit le short, je compris que je devais l’essayer là. Je n’osais pas, en fait je n’arrivais pas à bouger.

– Bon maintenant tu essaies ce short ou bien tu t’en vas et tu ne reviens plus. Les midinettes nous cela nous gonfle. Tu as compris?

– Oui Monsieur.

– C’est bien, alors mets-toi tout nu et enfile ce short, je ne vais pas le faire pour toi.

– Oui Monsieur

Je n’en menais pas large, et j’obéi malgré ma honte. Je me retrouvais tout nu devant cet homme qui ne manqua pas de me mater. Je faisais de la musculation pour ressembler à ces hommes que je voyais soumis sur les images et j’espérais que cela lui plaisait. Je ne commis pas l’erreur de masquer mon sexe, ayant peu de pudeur de ce côté-là pour avoir toujours pris des douches collectives. Même si je savais que mon sexe était moyen, voire petit, cela ne me gênait pas, je savais que je n’étais pas un mâle alpha. Mais il ne dit rien, même devant mon pubis bien épilé, il devait s’en foutre. Moi j’étais content d’être nu, pour un timide, être exhibitionniste était peut-être contradictoire, je ne savais pas. Au moins je n’avais pas besoin de parler.

Si ce n’était pas la première fois que j’enfilais du latex, avec les pointes c’était encore plus difficile. D’autant que le short me semblait vraiment petit, même si finalement Bostancı travesti mes jambes réussirent à entrer complètement. Le monter fut douloureux, je m’écorchais un peu partout. Enfin en place, il semblait en effet très serré, mais à ma taille. La sensation était d’une intensité que je n’avais jamais connue. Tout mon fessier et mon pubis était en feu, quant à mon sexe, il semblait brûler. J’étais à fleur de peau et quand le vendeur me demanda de marcher, la souffrance ne fit que s’accroître. Et à ma grande honte et douleur, l’excitation aussi. Mon sexe ne cessait de gonfler, bien visible, moulé par le latex, et transpercé de toute part. Il appela lors ses collègues d’en-bas, m’expliquant que c’était la première fois qu’il était porté. Je rougis, flatté. Et du coup je masquais mieux mon intense souffrance et irritation.

Je dû faire un défilé devant eux, recevant de multiples caresses sur le sexe et sur les fesses me faisant gémir de douleur. Quand je pensais à toutes les fois où j’étais venu espérant au moins un regard, le contraste était saisissant. J’eu même peur de jouir sur une caresse plus appuyée qui, heureusement, ne dura pas. Plus tard, allongé sur le ventre, à même une grande table d’exposition, les fesses exposées, ils essayèrent une tapette en bois sur mes fesses, pour constater les effets des pointes ainsi frappées. Curieusement, si la douleur était plus franche, la sensation semblait plus supportable. Mais c’était pour moi la première fois que j’étais frappé et sans que je ne puisse anticiper. Je me mis à jouir avec force cri.

Une fois apaisé, la honte me recouvra entièrement et je n’osais regarder personne. Le premier vendeur m’envoya alors dans l’arrière-boutique, retirer le short clouté et le nettoyer avec application. Je ne savais où me mettre d’autant que je dû traverser tout le magasin nu, après la douche. Personne ne semblant s’intéresser à moi, je me rhabillais le plus vite possible pour disparaître et ne plus jamais revenir. Enfin c’est ce que je me promettais.

En fait les nuits et les semaines suivantes, je fus envahi par le souvenir de cette scène, mais surtout de cette culotte si douloureuse et perverse. Je m’imaginais ne pas pouvoir la quitter avec une chaîne cadenassée autour de la taille, devoir prendre le métro bondé, m’asseoir longuement au cinéma et souffrir ainsi de mille points me torturant. J’avais aussi entre aperçu des chaussettes de la même matière et ornées des mêmes pointes, et je devenais fou. Malgré le prix exorbitant pour ma pauvre rente, je décidais de les acheter, ne serait-ce que pour me libérer de ce désir et ce rêve.

Le même vendeur était bien là au rayon hard et ne sembla pas me reconnaître quand j’entrais. J’en fus un peu soulagé. Non, en vérité, j’en fus déçu. J’étais donc bien complètement transparent. Je choisis à nouveau le boxer qui était à la même place et me décidait pour prendre aussi les chaussettes hautes cloutées en espérant qu’ils pourraient me faire un prix. J’étais un peu stressé, mais quand il s’agit d’argent j’étais tellement juste que cela me donnait du courage.

– Bonjour Monsieur, je voudrais prendre ces deux articles. Est-ce que vous pensez que vous pourriez me faire un prix? (Il m’a regardé surpris de ma demande)

– Oui cela fait cher pour un jeune homme comme toi. De quoi vis tu?

– Je, je donne des cours de mathématiques et j’ai un petit pécule que j’ai hérité de mes parents

– Oh, je suis désolé pour toi.

– Je, je ne comprends pas (j’étais désarçonné d’un coup)

– Pour tes parents voyons!

– Oh oui, merci Monsieur.

– Ecoute la dernière fois tu t’es très bien comporté, et nous nous sommes dits que nous avons besoin d’un petit soumis maso comme toi pour faire la démonstration de notre matériel (Je rougis au souvenir de la dernière fois, mais aussi que j’avais été catalogué ainsi, pour moi c’était juste des jeux, une fantaisie sexuelle).

– Oui Monsieur

– Alors voilà ce que je te propose, si tu viens tous les soirs de 18h à 22h pendant les deux prochaines semaines, nu et à la disposition des clients pour essayer des objets ou des tenues, nous pourrions te rémunérer en matériel d’ici. Qu’en penses-tu?

– (Mon cœur battait la chamade, il semblait très gentil et conciliant, Eh oui cela me permettrait du coup d’avoir des jouets moins chers). Oui Monsieur, mais je devrais faire quoi?

– Un peu comme la dernière fois, essayer des vêtements, faire ce qu’on te demande, rien de sexuel. D’ailleurs il ne faudra pas que tu rejouisses d’accord?

– Oui Monsieur.

– Alors on se dit qu’on fait affaire?

– Oui Monsieur.

– Ce que je te propose alors, c’est que tu enfiles ce short et ces bas, et que tu reviennes à 18h pour commencer tes deux semaines.

Je me déshabillais sur place et enfilait le short avec déjà plus de dextérité. Retrouver ces sensations douloureuses me fit bander à nouveau immédiatement, ce qui fit rire le vendeur. Il me massa le sexe pour le plaisir de me voir le supplier. Bostancı travestileri Je réalisais que c’était bizarre leur proposition car il y avait tellement de mecs voulant se soumettre. Mais j’ignorais à ce moment-là que l’immense majorité ne fait que fantasmer, et que personne n’aurait pris le risque de s’exposer ainsi dans un tel lieu. Sauf moi, totalement naïf. Et sans aucun repère.

Ce que je n’avais pas vu c’était que les bas se fixaient sur le boxer pour être bien tirés. Eux aussi me semblaient petits et la tension était forte, plaquant les pointes sur toute la longueur de mes jambes, sans parler de celle qui étaient sous mes plantes de pied, me faisant hurler. Je remis mon pantalon, mes chaussettes et mes chaussure, ce qui ne me soulagea qu’à peine. Me mouvoir était une souffrance terrible, et au sourire carnassier du vieux vendeur, je me dis que j’allais bien mériter mon salaire. Mon sexe ne faisait que bander malgré les souffrances dans tout le bas de mon corps.

Je sortis dans l’impasse en marchant doucement, ayant laissé mon portefeuille à la caisse. Ils ne voulaient pas que je disparaisse avec la marchandise. J’avais trois heures à tuer, et j’habitais trop loin pour aller m’y reposer. Je décidais de me prendre un goûter dans un square, transférant la souffrance de mes pieds à mes fesses. Je venais de m’infliger des souffrances comme jamais et en plus je m’étais engagé pour deux semaines de démonstration. Je n’arrivais à penser à rien d’autre, et juste d’imaginer ce qui risquait de m’arriver, je bandais de plus en plus. J’étais heureux qu’ils aient pensé à moi. Ne pouvant pas tenir plus longtemps, je m’engouffrais à nouveau dans l’impasse du magasin et dans un coin calme je me fis jouir pour apaiser la tension. L’orgasme éclata dans la souffrance des pointes me déchirant, remplissant la culotte de mon sperme. Et sans doute de mon sang.

Je fus d’un coup dégrisé, me demandant comment faire avec Victor, le vieux vendeur qui semblait être le patron et m’avait interdit de jouir dans le boxer. Il me restait deux heures à tuer et peut être je pourrais trouver un endroit pour tout nettoyer.

A 18h je rentrais à nouveau dans le hangar, tremblant de fébrilité tant les pointes me rendaient fou et excitaient déjà à nouveau mon sexe. J’étais allé dans des toilettes pour tout nettoyer, me sentant affreusement coupable et n’osant regarder personne. Le vendeur au rez de chaussée me fit monter et je retrouvais Victor, souriant et affable. Il me fit déshabiller, hormis les vêtements de latex qui me torturaient par leur chaleur mais surtout par les pointes acérées. Il me serra un large collier autour du cou, m’empêchant de bouger la tête, une sorte de camisole, puis m’installa sur une croix de saint André en plein milieu de l’espace. J’avais des ceintures à chaque membre, et je ne pouvais quasiment pas bouger, ni même soulagé les souffrances provoquées par les piqures. Pour terminer, il prit des pinces japonaises lestées et me pinça les tétons avec.

– Voilà mon cœur, tu es là pour mettre de l’ambiance et je suis certain que nos clients vont apprécier!

Je n’étais jamais venu en fin de journée, et fus très surpris de voir autant de monde! Y compris quelques couples hétérosexuels. Je n’avais rien d’autre à faire que regarder toutes ces personnes qui semblaient en effet apprécier la mise en scène qui leur était proposée! Beaucoup vinrent me toucher, presser les pointes pour voir mes réactions, tirer un peu sur me tétons déjà très douloureux. Certaines mains me caressaient doucement, c’était une sensation incroyable d’être exhibé comme cela, moi si timide et en retrait. Je ne cessais de bander et finalement j’étais soulagé de m’être fait jouir tout à l’heure, pouvant plus facilement me retenir.

Une fois le magasin fermé à 22h je fus enfin libéré par un employé qui m’aida à me redresser et à enlever le latex si douloureux. Ma peau était parsemée de points rouges et de quelques points de sang quand les pointes ont traversé ma chair. Il me regarda un peu effaré, tandis que je me massais pour faire circuler les petits vaisseaux de sang. Je rentrais chez moi, complètement épuisé, mais avec une érection énorme. J’avais tellement envie de me masturber avec ce caleçon, c’était quelque chose d’incroyable. Je savais que j’étais complètement fou, le regard de cet employé me l’avait bien montré, mais je n’y pouvais rien. Et je ne voulais surtout pas résister. Mon sexe était tellement douloureux que je retrouvais vite le plaisir de la souffrance en le masturbant longuement. Quand enfin j’explosais, je criai mon plaisir comme jamais, la jouissance dura une éternité, j’étais épuisé. Comme souvent, je recueillais mon sperme et je l’avalais, comme pour bien m’habituer. Ou m’humilier, je ne savais pas. J’étais loin d’être au clair avec ma sexualité. Parfois je ne me masturbais pas pendant plusieurs jours, sentant la fièvre m’emmener dans des délires que je ne comprenais pas, une fois la jouissance enfin là.

Les jours suivants, les choses Travesti bostancı évoluèrent, se renouvelant à chaque fois. J’étais moins juste un modèle d’exposition, mais aussi un modèle pour tester et évaluer le matériel. Par principe, mais aussi timidité et luxure, je m’interdisais de refuser quoi que ce soit, et également de craquer malgré parfois des situations très pénibles. Mais j’avais la chance de pouvoir sans doute, subir à peu près tout ce que le magasin pouvait proposer. Un soir ce fut un couple qui voulait évaluer différentes résistances. La femme, ressemblant à mon ancienne proviseure, sévère et âgée, était positionnée face à moi. J’étais penché en avant, enfermé dans un carcan, les jambes écartées par une barre, ainsi offert à tous les clients. Ce fut d’ailleurs finalement la position dans laquelle j’étais le plus souvent.

Son mari avait serré autour de mes couilles un parachute en cuir, très serré, avec des pointes intérieures. A croire que tous les articles de ce magasin étaient étudiés pour faire le plus de dégâts possible. Puis, suivant les directives de la matrone, il ajoutait des poids. Elle étudiait mes réactions pour savoir ce que je supportais ou pas. Quelques personnes étaient autour, amusés de l’expérience. A 5 kg je commençais à bien souffrir. Cela tirait dans le ventre, mais je ne montrais rien, je ne voulais pas les décevoir, et je devais de faire de mon mieux. Elle demanda alors de rajouter deux kg pour voir.

Cette fois-ci, il me fut impossible de rester impassible, je grimaçais, et gémissait. Elle me força à soutenir son regard, ce que je fis, la convaincant alors que ce n’était pas mon maximum. A son signe, il rajouta encore un poids de 1 kg. Mes couilles allaient s’arracher, la tension était folle. Mon sexe était dur comme l’acier. Comme pendant toutes ces séances, c’était étonnant. J’avais du mal à respirer, mais j’arrivais à contrôler, et après quelques minutes je relevais à nouveau la tête pour la regarder, lui sourire. C’était bon de s’offrir ainsi à cette inconnue. Pour le poids suivant, à 9kg, ce fut la même chose, même si je mis encore plus de temps.

Enfin elle fit un dernier signe, et je supportais 10 Kg sur mes deux pauvres couilles qui avaient déjà subi maintes sévices les jours précédents. Mon gémissement était continu, entrecoupé de mes halètements, les larmes me montaient aux yeux, la torture était terrible, à la douleur dans le ventre, s’additionnait cette tension extrême. Elle émit un son de satisfaction, indiquant à son mari qu’elle pensait bien que 10 Kg étaient possible et que dès ce soir leur chien serait ainsi supplicié. Et ils me laissèrent ainsi, se désintéressant de moi.

Un homme pris le relais, pour s’occuper de mes tétons. Une coupelle avec différents modèles était posée, et une autre avec différents poids. Les pinces japonaises lâchèrent à 1 kg, à sa grande frustration et à ma grande douleur. Il décida alors de prendre de simples pinces crocodiles. Je les avais déjà expérimentées plusieurs jours et mes tétons étaient blessés tous les soirs. Lorsqu’il installa deux kilos à chacun des tétons, il du mettre un bâillon tant je ne pouvais retenir mes cris. Je ne pensais plus à mes couilles, mais à la souffrance qui irradiait de ma poitrine. Il fut satisfait, pris une photo et lui aussi me laissa ainsi. La fermeture était proche, aussi Victor vint me libérer de toutes ces souffrances, doucement, presque tendrement. Me passant une pommade et se déclarant très satisfait. C’était si bon d’être ainsi réconforté.

Un autre soir, ils avaient décidé de mettre en avant tous les instruments pour frapper ou marquer. Toujours dans mon carcan, cela semblait plaire à la population. Le cul toujours fermé d’un plug, je ne manquais pas de remarquer que le plug était de plus en plus énorme. Comment aurais-je pu le manquer, tant à la fin de ces deux semaines, sa seule présence était un supplice sans fin.

Ainsi exposé, les clients pouvaient tester les instruments mis à leur disposition. Cela n’avait rien à voir avec une flagellation car je recevais un ou deux coups, parfois une série, mais rien de très long. Mais cependant des coups parfois d’une violence inouïe pour tester l’accessoire. Je bondissais, hurlais, au grand plaisir des clients. Mes fesses, mon dos et mes cuisses furent rapidement couvert de marques diverses et variées. Je sentais mes fesses en carton et j’étais un peu inquiet. J’espérais que là aussi Victor aurait une crème.

Mais ce ne fut rien, avant qu’une jeune femme, au regard noir, clairement une dominatrice, ne se saisit d’un accessoire appelé griffes de tigre. Une réplique en acier d’une patte de tigre, aux dents plus qu’acérés. Elle me lacéra le corps, longuement, méthodiquement, cherchant à me faire le plus mal possible, à faire couler aussi le sang partout, insensible à mes cris. J’aurais voulu demander pitié, mais les mots même ne venaient pas. La brûlure était profonde, continue, intense. Bien pire que le moindre coup de canne. L’engin sembla lui plaire puisqu’elle décida de l’acheter.

A la fermeture, j’étais tremblant de souffrance, le corps à vif. Victor me consola. Ils partirent tous dîner ensemble, sans même penser à m’inviter. C’était surprenant comme une fois le magasin fermé, personne ne s’intéressait à moi. Victor vu ma souffrance d’être ainsi exclus de leur cercle :

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Je prête ma femme Sabah à un black

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Brunette

Samedi dernier j’ai emmené ma copine Sabah, une magnifique beurette algérienne dans les quartier chauds de Paris pour bien nous exciter avant de revenir dans ma chambre sous les toits et nous y offrir une belle partie de galipettes.

Nous nous sommes fixés comme lieu de rendez-vous le carrefour à l’angle des rues de Saint-Denis et de la Grande Truanderie car en prévision de se son anniversaire (et aussi pour me faire plaisir), je veux lui offrir une tenue coquine et un beau jouet.

Âgés de 24 ans l’un et l’autre, nous sommes quelque peu libertins et lorsque nous baisons, nous nous racontons tout un tas de fantasmes, tous plus chauds les uns que les autres, nous imaginant toutes sortes de scénarios plus ou moins osés. Sabah ne savait rien de mes intentions mais lorsqu’elle me rejoint avec près d’une demi-heure de retard (comme d’habitude), je m’aperçois qu’elle est déjà bien chaude : jupette en jean à ras la touffe, cuissardes, teeshirt largement échancré au travers duquel pointent les tétons de son opulente poitrine, maquillage des yeux et de la bouche très appuyé et ses longs cheveux noir noués en queue de cheval. Elle ressemble à une des filles qui racolent à proximité! Bref une véritable allure de pute!

Elle ne s’excuse même pas de son retard tant c’est habituel chez elle. Nous entrons dans un des sex-shops qui sont nombreux dans cette rue. Je connais bien les lieux car je viens de temps à autre mater une des filles qui s’exhibent dans les cabines et je sais que nous trouverons ce que je cherche pour Sabah.

Une vendeuse assez court vêtue elle aussi nous présente une série de tenues que Sabah part essayer dans une des cabines situées à proximité du rayon des vêtements. Bien évidemment je l’accompagne pour l’aider à choisir. Son choix se porte sur un ensemble string et soutif fait uniquement de lanières étroites qui mettent en relief ses formes un peu généreuses. Mais ce n’est pas trop ce que je souhaitais. Avec la complicité de la vendeuse (que j’ai baisée une fois avant de rencontrer Sabah), je Ataşehir travesti fais essayer à ma copine un serre-taille qui, s’évasant juste au dessus des hanches, monte jusqu’à la poitrine qu’elle présente plus qu’elle ne la soutient… dans des demis bonnets.

Le laçage dorsal permet de serrer plus ou moins la taille pour la rendre plus étroite alors que par effet inverse, les hanches et la poitrine paraissent plus volumineuses. C’est un peu un carcan de torture mais j’aime et Sabah aussi. Je lui dis que c’est son cadeau d’anniversaire qu’elle peut garder sur elle pour le moment. Elle peut y ajouter un beau gode vibrant pour se donner du plaisir quand elle ne peut pas me rejoindre.

Lorsqu’elle sort de la cabine après avoir remis sa jupette, l’effet est formidable et bon nombre de mecs se retournent pour l’admirer. Certains manifestent aussi par des sifflements. C’est vrai que dans cette tenue, elle est canon mais elle a un look de salope…

Je lui ordonne de déambuler dans le magasin pour bien se montrer à tous les mecs (et quelques filles) qui sont là. Quand elle s’arrête devant le rayon des DVD, elle se baisse pour en prendre un sur une étagère basse et regarder le synopsis. Quelle n’est pas ma stupeur quand je découvre que Sabah n’a pas remis son string! Elle a le cul nu! Décidément ce soir, elle a décidé de la jouer « SALOPE » et çà me plait au point que j’ai la bite dressée dans mon boxer à m’en faire mal tant j’ai envie de sauter ma chienne de beurette dans un coin du magasin.

Nous lisons ensemble le résumé du film, je suis collé dans son dos et je regarde par-dessus son épaule, me frottant contre elle pour lui faire sentir combien je bande… et cela augmente encore quand je découvre que je peux voir ses tétons sortis dans le soutif et que Sabah répond en tortillant des fesses contre mon érection. Je lui dis à l’oreille :

– Salope! Tu me fais bander avec ton cul nu! Viens à l’étage, je vais te sauter comme une chienne en chaleur que tu es!

– Oh oui! Ataşehir travestileri Ta pute a la chatte qui coule!

Je prends Sabah par le coude et je la guide vers les escaliers qui conduisent aux « love room », ces quelques petites chambres où des couples en chaleur comme nous peuvent venir s’ébattre pour une dizaine d’euro de péage. Je sais que certaines sont pourvues de miroirs sans tain pour que des voyeurs se régalent à loisir.

En moins d’une minute, nous sommes à genoux sur le lit. Sabah, à ma demande ne s’est pas déshabillée alors que je suis complètement nu! Elle plonge sur ma bite bandée comme un arc et l’engloutit jusqu’au fond de sa gorge pour l’enduire de salive et me sucer comme elle sait si bien le faire. Mais je freine ses ardeurs car je ne veux pas inonder sa bouche! C’est son cul que je veux!

Comme je fais face à la porte, je la vois s’entrouvrir et un black apparait dans l’entrebâillement. D’un geste il me fait comprendre qu’il apprécie notre baise et je lui fais signe de s’approcher en silence. Il ouvre son pantalon et sort un vit déjà bandé comme je n’en ai vu que chez les hardeurs de films X. Un diamètre qui approche celui d’une canette de boisson et au moins 25cm de longueur.

Doucement et silencieusement, il s’approche et relève la jupette de Sabah qui, passée la surprise accepte de se laisser caresser les fesses et la fente. Elle redouble d’ardeur dans sa fellation au point que je m’arrache de sa bouche pour ne pas gicler… Le black prend ma place et Sabah (qui ne passe pas pour avoir une petite bouche) a bien du mal à le faire entrer. Elle se contente de sucer le gland et de lécher la hampe qui est de plus en plus dure quand soudain ma copine s’écrie en lui tendant un préservatif :

– Défonce-moi fils de pute, tu ne vas pas te contenter de jouer les voyeurs!

Je n’ai rien contre, ce ne serait pas la première fois que cette garce se ferait sauter devant moi! Le black revient derrière elle qui est toujours à genoux. Il la fait mettre en Travesti ataşehir levrette pendant qu’il se couvre, repasse une main dans la fente et d’un seul mouvement il embroche Sabah sur son pieu, faisant claquer son pubis contre les fesses de ma beurette.

Cette dernière semble brusquement manquer d’air et en ouvrant grand la bouche elle dit :

– Waouh quelle putain de zeb! Vas-y défonce moi, je suis ta pute de beurette, ta qahba!

– Vas-y kahlouch, démontes ta pute et insultes-là, elle aime ça!

Et là, le black avec qui nous n’avons pas échangé plus de dix mots, entreprend de baiser Sabah à longs traits rapides, sortant de la chatte à chaque fois pour mieux y rentrer ensuite en puissance. Les seins de ma copine sont sortis du soutif sous les coups de boutoir que son baiseur lui met à chaque fois qu’il arrive contre ses fesses. Ce claquement est excitant!

– T’aimes ma queue salope? T’aime voir cette queue de black pilonner ton gros cul de beurette?

– Ah que oui putain, j’adore me faire défoncer devant mon mec par un black!

Sabah part une première fois, beuglant sa jouissance haut et fort et le black, sans sortir de la chatte accueillante, retourne Sabah sur le dos, lui remonte les jambes en appui sur ses épaules et reprendre la copulation sans laisser à ma copine le temps de dire « OUF! »

D’un geste elle me fait comprendre qu’elle veut encore me sucer. Je ne me fais pas prier et je m’engage une fois encore dans cette bouche vorace qui a vu passer plus d’une bite.

Quand Sabah jouit pour la seconde fois, le black se lâche au fond du préservatif dans un râle de plaisir alors que moi, je me vide dans la bouche de Sabah qui avale tout ce que je lui ai servi :

– Oulla! Qu’est-ce qu’il ma mis!

C’est vrai que quand il sort et retire le préservatif, nous ne pouvons que constater l’ampleur de son éjaculation : au moins la valeur d’un apéritif servi dans un bistrot!

– Merci les potes! C’était génial! Quelle baiseuse ta meuf!

Nous nous essuyons avec les serviettes en papier à notre disposition puis nous nous séparons. Je passe à la caisse pour régler nos achats et, au lieu du ciné prévu, nous rentrons dans mon 6ème étage sous les toits où nous baisons encore une fois : A mon tour de gicler dans la chatte de Sabah et là, pas de capote, direct au fond!

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Amateur

La vie pour Mlle Pinaud avait radicalement changé. Désormais sous la coupe du délégué syndical, Roger, sous peine de se retrouver en prison, Mlle Pinaud était devenue l’esclave sexuelle de tous les ouvriers de l’usine. Une journée pour notre chef-comptable était donc très bien remplie.

Elle arrivait vers 9 h à l’usine. Elle se garait dans le parking. Sortait de sa voiture où en général il y avait deux ou trois ouvriers pour l’aider à descendre. Pas par galanterie! Mais pour se rincer l’œil ; Mlle Pinaud avait maintenant comme instruction de ne mettre que des jupes courtes, des bas et des talons aiguilles les plus hauts possibles. Elle ne devait également ne mettre que des décolletés. Et bien sûr, pas de sous-vêtements.

Elle passait devant le vigile, à qui elle faisait parfois une gâterie. Elle allait pointer et se rendait à son bureau. Ce qui lui prenait plusieurs minutes, ralentie par les multiples attouchements pervers venant de la part des ouvriers, qui devaient vérifier, chaque matin, si elle avait bien mis des bas et ne portait pas de string. Les doigts s’égaraient dans sa fente et on la branlait rapidement. Elle arrivait à son bureau, essoufflée, et en général ne restait pas tranquille très longtemps. Rejointe par Roger celui-ci, selon son envie, exigeait une pipe ou qu’elle se courbe sur son bureau, jupe relevée, jambes écartées, pour qu’il puisse la baiser. Quand la pause du déjeuner arrivait, elle devait de nouveau se mettre à la disposition des ouvriers. Elle se faisait sauter par au moins 5 ou 6 hommes qui la besognaient brutalement. Ils repartaient ensuite travailler la laissant pantelante dans son bureau, recouverte de spermes sur ses vêtements et son corps. Elle se nettoyait tant bien que mal et mangeait rapidement.

Le soir, elle devait dire au revoir à tous les ouvriers en leur faisant une pipe! Elle avait la mâchoire douloureuse à force de sucer toutes ses queues. C’était le pire moment de la journée en fait!

Et justement, Mlle Pinaud attendait, inquiète, l’heure de la fermeture.

Des exclamations la firent sursauter. Dans l’usine, on criait, éclatait de rire.Des cris de protestations également résonnèrent. Curieuse, Mlle Pinaud se leva Kadıköy travesti et alla regarder par la fenêtre de son bureau.

Elle mit sa main sur sa bouche, étouffant un cri, quand elle découvrit ce qui se passait.

Roger ainsi que ses deux acolytes, Carlos et André accueillent Charles, le chauffeur de Guillaume de Saint-Preux. Celui-ci est bâillonné ainsi que Hubert Bourbon Dumas. Derrière eux, titubantes sur leurs talons aiguilles, Mlle Pinaud reconnaît Bénédicte de Saint-Preux ainsi que l’épouse d’Hubert, Marie-Chantal. Elles ne sont vêtues que de leurs sous-vêtements, bas, porte-jarretelles et soutiens-gorges baissés laissant apparaître leurs volumineuses poitrines. Elles aussi sont bâillonnées et des cris de protestations indistincts s’échappent de leurs gorges. Elles ont le regard terrifié devant tous ces hommes qui les regardent déjà avec convoitises.

Elles portent un collier autour du cou avec une laisse, tenues par Maria qui se réjouit déjà de les livrer à tous ces mâles en rut.

Mlle Pinaud aperçu Roger qui lui faisait signe de descendre et son coeur cognant dans sa poitrine, elle obtempéra.

A peine arriver en bas, quatre ouvriers l’encerclèrent et on lui remonta sa courte jupe en cuir laissant apparaître les bas résille qu’elle portait. Ses escarpins noir vernis aux talons aiguilles démesurément hauts la faisaient tituber à chaque pas.

On lui dégagea les seins de son haut et on les lui malmène. On tire sur les tétons, on lèche ses mamelons; Des doigts s’aventurent dans sa chatte. Puis dans son cul, un index et un majeur la branlent sans ménagements. Elle pousse un gémissement. Rejoint par celui étouffé de Bénédicte, courbée sur un atelier de travail et pénétrée par un vieux maghrébin, doyen de l’usine bientôt à la retraite, malgré son âge, il est encore en pleine forme et il besogne la femme du patron avec une joie sadique. Son ventre vient claquer contre les fesses de Bénédicte qui gémit sourdement derrière son bâillon.

Hubert et Guillaume eux, ligotés, bâillonnés, ne participent pas, le sexe à l ‘air, c’est la pire des humiliations! Assister impuissants à la déchéance de leurs épouses. Et devant leurs employés Kadıköy travestileri qui se moquent d’eux.

Hubert regarde sa femme, à genoux au milieu de l’usine. On lui a retiré son bâillon, elle se débat avec 5 ouvriers qui veulent absolument lui enfoncer en même temps leurs bites dans la bouche.Ce qui n’est pas possible reconnaissons le.

Elle lutte désespérément, crachant une queue pour en reprendre une autre, branlant une troisième.

Marie-Chantal, halète, gémit, la mâchoire déformée par l’épaisseur des bites qu’elle suce du mieux qu’elle peut. Elle donne des coups de langue sur le gland, lèche la hampe, l’engloutit de nouveau.Les rires et les insultes la font frémir de dégout.

– Putain! Quelle salope, une vraie chienne. Elle suce comme une pro.

Maria, intéressée par Mlle Pinaud a demandé l’autorisation de s’en servir. Grand Seigneur, Roger accepte ; Maria s’est allongée sur le sol et jambes écartées se fait brouter le minou par Mlle Pinaud. Contrainte d’obéir. C’est la 1ere fois qu’elle a une relation de ce genre, sa langue d’abord timide lui titille le clitoris, ses lèvres.Maria appui fermement sur la tête de la chef-comptable à quatre pattes sur le sol crasseux de l’usine, Un de ses bas est filé.Carlos s’approcha par derrière et, pointant sa bite aux proportions impressionnantes, encula Mlle Pinaud qui poussa un hurlement.

Bénédicte sentit que le vieil homme qui la bourrait frénétiquement se vidait sur son dos. Elle sentit le sperme chaud couler.Elle se dit que c’était terminé mais son répit fut de courte durée. André la souleva et l’allongea à terre. Il lui écarta les cuisses et lui lécha la fente, s’introduisant entre ses lèvres intimes. Mme de Saint-Preux, donna un coup de reins et poussa un gémissement. Les yeux hagards, elle sent ce salopard d’André lui donner de grand coups de langue dans son intimité.Et elle mouille, elle sent sa fente s’humidifier, la cyprine couler. Elle secoue la tête de droite à gauche. André se releva, souleva ses jambes et la pénétra en poussant un rugissement. Il s’agita entre ses cuisses. La pénétrant de plus en plus loin. Bénédicte répond à ses coups de reins en ondulant du Travesti kadıköy bassin. Elle gémit.

André la retourna brutalement et la positionnant à quatre pattes comme une chienne prête pour la saillie, il l’encula.

Au comble de l’humiliation, Marie-Chantal, à quatre pattes également doit lécher le trou du cul d’un des ouvriers de l’usine pendant que l’autre lui déchire sa chatte tout en lui donnant des claques sur les fesses.

– Allez salope de bourgeoise, nettoie lui le cul, après, on te prendra en double.

Marie-Chantal frissonne. Elle veut protester mais on appuie sur sa tête, la tenant par les cheveux et elle lèche l’anus de son ouvrier.

On la tira en arrière et on la mit debout. Ses seins sont malaxés par plusieurs mains.Un ouvrier s’allonge à terre, la bite dressée et elle doit s’empaler dessus avec une grimace.Puis, penchée en avant, elle sent le gland d’une queue forcer son anus. Elle pousse un grognement. Empalée, enculée, les deux bites commencèrent à coulisser, ses gros seins ballottant, elle ne tarda pas à gémir.

La fin des festivités arrivant, Charles et Roger positionnèrent Bénédicte, Mlle Pinaud et Marie-Chantal au milieu de l’usine. Tous les ouvriers en cercle autour d’eux. Se branlant mécaniquement. Elles durent ouvrir la bouche pour recevoir la semence des ouvriers. On leur éjacula sur le visage, certain cherchant à viser les yeux, le nez, les lèvres. D’autre préférèrent se vider directement dans leurs bouches, les contraignant à avaler leurs foutres. Certains lâchèrent des giclées de sperme qui atterrirent sur leurs seins qu’elles durent se nettoyer mutuellement après. Léchant à petits coups de langue, le liquide poisseux.

Les trois femmes, recouvertes de sperme, se relèvent péniblement. Hubert et Guillaume, humiliés, effondrés, observent leurs femmes, le regard perdu.

Charles et André s’approchent…

– Pour un début, c’était pas mal, estime André, mais il faudra nous les ramener.

– Bien sûr, pas de problème.

Nos deux bourgeoises, épouses respectables et respectées, se regardent : Elles ont compris que leur vie ne sera plus comme avant.

Et comme pour le confirmer, Charles les interpella :

– Eh les salopes! Et nous? Faudrait voir à ne pas nous oublier! Venez nous vider les couilles!

Devant leurs maris, Bénédicte et Marie-Chantal s’accroupirent, et commencèrent leurs dernières fellations de la journée.

Il y en aurait d’autres.

Beaucoup d’autres..

Fin

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Traduction d’un texte de FullyLoadedUK.

*****

Un SMS sur mon téléphone me réveille après une nuit inconfortable. Il est écrit : « S’il te plaît, laisse-moi t’expliquer! »

Je repose mon téléphone sur la table de nuit, puis je me lève et me dirige vers la salle de bain pour vider ma vessie.

Je n’ai aucune idée de ce que je vais faire. Hier, toute ma vie a volé en éclats lorsque Mary m’a envoyé un bref SMS contenant un lien vers une vidéo montrant ma femme faire l’amour avec de nombreux hommes et femmes. De là j’en ai trouvé d’autres sur le site. Certaines sont courtes et ne décrivent qu’un acte sexuel alors que d’autres sont des orgies de plus d’une heure où ma femme est maltraitée tout le temps. La première vidéo que j’ai vu est une ce celles-là.

J’essaie de voir à quelle date ont été faites certaines vidéos et à quel point elles ont croisé ma vie. Par exemple, dans l’une, je vois ma femme guidée dans les toilettes d’un restaurant par deux des types de la première vidéo. Ils la baisent à tour de rôle et la vidéo se termine quand elle revient à table. Je connais ce restaurant, je connais le jour où a été tourné cette vidéo grâce à la robe d’été que portait ma femme et à la serveuse à qui elle parle à la fin de la vidéo. Cette serveuse était la nôtre ce soir-là. Je ne lui avais pas donné de pourboire, parce qu’elle avait été grossière avec ma femme. Maintenant, en sachant pourquoi elle avait agi de la sorte, j’ai envie de la retrouver et de lui donner un gros pourboire pour avoir été gentille avec moi.

En tirant la chasse d’eau, je me regarde dans le miroir. Le visage heureux et chanceux que j’y voyais habituellement a disparu, remplacé par celui d’un homme hanté par les mauvaises choses qui lui arrivent.

Mary m’a dit hier soir que Perry, son ex-mari lui avait montré les vidéos. Selon lui – m’a-t-elle dit — un ami féru d’informatique avait reconnu ma femme sur une photo de nous quatre qu’il gardait sur son bureau. Il a ensuite utilisé son téléphone pour lui montrer une des vidéos afin que Perry confirme que c’était bien elle.

A partir de là, Perry s’est lancé dans l’aventure. Il a demandé à son ami de créer un site web pour lui, puis de récupérer toutes les vidéos de ma femme et de les mettre sur ce site afin qu’il les partage avec tous ceux qu’il pensait pouvoir être intéressés.

Donc il a commencé à montrer ce site à nos amis communs, nos voisins et tant d’autres. Apparemment il a dit à Mary qu’il se fichait de ce que ça pouvait nous faire à ma femme et moi. Son mariage étant foutu, il n’en avait rien à faire de celui des autres.

Mary m’a également raconté que son ex-mari avait également exprimé le souhait d’être l’un des hommes de la vidéo ou au moins de pouvoir bien baiser ma femme. Il lui a dit qu’il pensait qu’elle était une grosse salope qui le ferait avec n’importe qui lui demanderait. Et il avait bien l’intention de lui demander.

Perry n’est plus rien pour moi. De toute façon il l’était déjà après avoir trompé Mary. Mais là, il est vraiment mort pour moi. Et le reste des voisins le sont aussi. Pas un seul d’entre eux n’a eu le courage de me dire ce qui se passait. Je me dis que tous ceux qui connaissent Perry doivent être écartés de mon cercle d’amis, et probablement tous les hommes que j’ai connus par l’intermédiaire de ma femme.

J’ai du mal à trouver des personnes qui ne savaient pas. Peut-être les gens avec qui je travaille. Beaucoup de monde a dû voir le site de Perry et les mauvaises nouvelles se propagent toujours comme une traînée de poudre. En y réfléchissant, il est probable que certains au bureau le savent aussi. Ils sont tous férus d’informatique. Oui, ils sont certainement au courant. Ce sont des bâtards, tous autant qu’ils sont.

Ma seule issue semble être un nouveau départ aussi loin que possible de cet endroit. Trouver un nouveau nom si je pouvais, un nouveau travail dans un autre secteur si possible, et d’autres amis par la suite.

Il est temps pour moi de faire des plans. La première chose est de dire que je suis malade pour la journée. J’ai besoin de temps pour faire le point et me préparer au nouveau monde dans lequel je me trouve, un nouveau monde où ma femme est une salope et une star de porno et où tout le monde le sait. C’est le monde dans lequel tout le monde vit depuis un moment et que je viens juste de rejoindre. Pendant une fraction de seconde, je souhaite revenir à mon ancienne vie où je ne sais rien et ou je vis heureux, mais je reprends vite mes esprits. Le fait de savoir me permet de faire face à la situation et d’essayer d’aller de l’avant, de construire quelque chose de meilleur un jour avec de la chance.

Deuxièmement je dois voir un médecin. Il faut que je sache si je suis en bonne santé et si ma femme n’a pas partagé avec moi une maladie sexuellement transmissible obtenue en offrant sa bouche, sa chatte et son cul. Si elle m’a transmis une maladie, construire quelque chose de mieux pourrait juste se transformer en s’assurer que je vive bien en Dikmen travesti attendant de mourir. Cela va être le point positif de la journée, un test de dépistage de MST. Puis mon cerveau un peu embrumé me rappelle que le test pour le VIH doit attendre trois mois après ma dernière activité sexuelle. Et j’ai fait l’amour le week-end dernier avec ma femme. D’ailleurs c’était un des rares jours où elle a passé toute la journée avec moi.

Troisièmement il faut que je recherche un nouvel emploi. Il va déterminer où je vais finir. La première partie va consister à déterminer ce que je veux faire dans ma nouvelle profession. Je suis chef de projet actuellement après avoir été développeur de logiciels.

Quatrièmement, il faut que je décide que faire d’elle, de la maison et de nos biens. A part divorcer, je ne veux plus rien faire avec elle. Pour la maison, je veux la vendre, car il me faudra ma part pour m’aider à recommencer ma vie, surtout si trouver un nouveau travail s’avère difficile. Elle peut garder les souvenirs de notre vie commune, mais je veux mes vêtements, ma collection de DVD et mes outils au garage.

Cinquièmement, il faut que je trouve un endroit où dormir. Je ne peux pas continuer à m’imposer dans la maison de Mary. Celle-ci a assez de problème en ce moment et je ne voudrais pas les aggraver.

Je prends mon téléphone et je rédige un e-mail disant que je n’irai pas au travail aujourd’hui parce que je ne me sens pas très bien. C’est alors que je me souviens que j’avais mis mon téléphone en mode silencieux la nuit dernière. Pourquoi l’arrivée d’un SMS m’a réveillé? En y repensant, je ne pense pas que ce soit çà. J’ai dû me réveiller et voir l’écran s’allumer lorsque le message est arrivé.

En examinant les notifications, je découvre que ma femme a appelé quinze fois au cours des deux dernières heures. En plus, il y a une douzaine de SMS de longueur décroissante. Le dernier contient quatre mots où il m’implore d’avoir une chance de tout me dire ;

Je regarde la chambre et je me rends compte que les seuls vêtements que j’ai sont ceux que je portais hier. J’ai tout laissé dans ma maison avec elle. Donc il faut que j’arrive à résoudre ce problème, mais je vais devoir porter mes habits sales.

Je descends et je trouve Mary en train de lire un livre dans le salon. Elle me propose un café quand elle me voit. J’acquiesce et elle va en chercher. En me tendant le café elle me demande avec sympathie :

– Tu as bien dormi?

– Non. Et elle a appelé et envoyé des SMS pendant les deux dernières heures. Elle a au moins attendu que ce soit l’heure où je vais travailler habituellement. Au fait, je leur ai envoyé un mail pour leur dire qe je n’irai pas aujourd’hui.

– D’accord. Tu es le bienvenu chez moi aussi longtemps que tu en auras besoin. J’espère que tu le sais.

– Merci Mary. Mais le problème c’est que ta maison est trop proche de la mienne. Pour le moment c’est bien parce que je peux la surveiller, amis je ne voudrais pas qu’elle sache où je suis. En parlant de surveillance…

J’attrape mon ordinateur portable, l’allume et j’utilise Skype pour appeler l’ordinateur du salon à côté. Je me connecte et je peux voir mon salon.

Ma femme, Gillian, fait les cent pas devant la télévision qu’elle a réussi à éteindre. Elle crie sur quelqu’un au téléphone :

– Putain de merde, mets-toi ça dans le crâne! Je m’en fous de ce qui va m’arriver. Mon mari est au courant de la merde que vous m’avez fait faire et je l’ai perdu. J’ai perdu l’amour de ma vie! Perdu! Toute ma vie est foutue. J’aurai dû lui dire ce qui se passe. Et je lui dirais s’il veut bien m’écouter… Vas-y, balance tout ce que tu as d’autres… Tu ne pourras pas l’atteindre… J’EN AI PLUS RIEN A FOUTRE!!!!! Son patron??? Fous-moi la paix, il va rien faire ou j’enverrai à sa femme la vidéo avec lui dedans. Je parie qu’elle le reconnaîtra avec ou sans le masque de PD qu’il portait… JE VAIS RACCROCHER!!! Et ne vous attendez pas à me voir cette semaine. Et vous feriez mieux de continuer à me payer et de vous assurer que mon mari ne perde pas son emploi… Faites ce que vous voulez, je vais appeler la police et leur dire moi-même ce que j’ai fait et ce que vous faites… OUI JE LE FERAI PUTAIN. EMMERDEZ-MOI ET VOUS VERREZ!!!!

Après avoir raccroché, elle jette le téléphone sur le canapé. Si fort qu’il rebondit et tombe sur le sol à ses pieds. Elle le reprend et le jette au loin. Puis elle saisit son téléphone portable sur la table basse et commence à taper furieusement un message.

A peine a-t-elle fini que l’écran de mon téléphone s’allume avec le message suivant : « Appelle-moi avant d’aller travailler ».

Ce que je viens d’entendre me conforte dans l’idée que je ne retournerai pas à mon travail et que mon patron ne va pas me forcer. Mais j’ai besoin de m’en assurer. Je fais défiler mes contacts et je trouve le numéro dont j’ai besoin. Je l’appelle.

Comme personne ne répond, j’appelle le cabinet de mon médecin. Ils Dikmen travestileri me proposent de prendre un rendez-vous pour demain ou d’essayer un centre médical sans rendez-vous où les premiers arrivés sont les premiers servis. Je prends rendez-vous en pensant que je ne ferais sûrement pas l’amour dans les prochaines vint-quatre heures.

Puis je décide d’envoyer un message à ma femme en utilisant la messagerie de Facebook :

« J’ai pris rendez-vous chez le médecin pour m’assurer que je n’ai pas de maladie et que je ne transmettrai rien si je décide d’avoir des relations sexuelles avec quelqu’un. Mon rendez-vous est demain. Je te suggère de le faire aussi. Mais pas demain, je ne veux pas te voir chez le médecin. Je veux juste que tu restes loin de moi.

J’ai aussi besoin d’une liste de tous ceux que tu as baisés. Je veux leurs noms. J’en connais quelques-uns, mais je veux savoir à qui je ne peux plus faire confiance. Je ne veux plus que ces gens m’approchent. C’est pareil pour tous ceux qui sont au courant de ça. Ne t’inquiète pour nos voisins dans la rue, je sais déjà qu’ils savent. l’un d’eux me l’a dit. Tu peux remercier Perry et ses amis, ils ont créé le site que tu as vu sur la télé hier soir. Ils l’ont montré à tous ceux qu’ils connaissent. Au fait, il a pu te baiser? Je ne l’ai pas vu dans les films, mais apparemment c’était le prix de son silence.

Je dois récupérer des vêtements et des affaires. j’ai oublié de les emmener hier soir. Dis-moi quand tu ne seras pas à la maison pour que je puisse passer.

Et enfin, je n’ai pas l’intention d’aller travailler cette semaine. Mais dis-moi pourquoi je dois te contacter avant de le faire? Est-ce que tous mes collègues sont dans le coup? »

Après avoir envoyé ce message, Mary et moi regardons l’écran de mon ordinateur. Je vois le téléphone portable de ma femme sonner pour une notification. Pendant une seconde je vois de l’espoir dans ses yeux. Il disparaît à la seconde où elle commence à lire le message. Et l’espoir est remplacé par des sanglots et des larmes.

Lentement, elle commence à taper une réponse. Elle est assise sur le canapé, les pieds relevés et repliés sous elle. Je réalise alors qu’elle porte toujours les mêmes vêtements que lorsqu’elle est rentrée à la maison hier soir. Elle ne s’est pas couchée? Je ressens un léger sentiment de pitié pour elle. Je l’aimais. Non, j’aimais ce que je pensais qu’elle était. Mais je ne sais pas ce qui était réel ou des mensonges pour qu’elle puisse aller baiser d’autres personnes devant des caméras. Je décide donc de penser à elle comme Gillian et non comme ma femme.

Mary prend ma tasse à café vide et va nous en chercher d’autres. La réponse de Gillian arrive alors que Mary s’installe à côté de moi sur le canapé avec nos tasses de café remplies.

« Je comprends tes demandes. j’ai fait des tests tous les mois durant l’année dernière. C’était pour nous protéger toi et moi de ce qui se passait dans les vidéos que tu as vues. J’ai besoin que tu comprennes qu’il y a une explication à tout ç et il faut que je te le dise en face. S’il te plaît, accepte de me rencontrer.

La lise de tous les participants risque d’être difficile à rédiger. Parfois, j’ignorais qui ils étaient. J’ai honte d’apprendre que Perry a informé nos voisins et nos amis. Du moins ceux qu’il connaît. Il ne m’a jamais baisé, car je ne suis pas vraiment son genre. Je ne sais pas si vous le savez, mais il est gay. Je ne l’ai jamais dit à Mary. Mais si tu veux une preuve, j’ai un vidéo que je lui ai promis de ne jamais diffuser. Mais comme ce bâtard l’a fait pour moi, je le ferai aussi.

Je comprends que tu ne veuilles pas que je sois là quand tu rentreras, mais comprends que j’ai besoin de te parler. Pour te dire ce qui s’est passé et tout t’expliquer. Si tu acceptes ça, je ne me battrai pas avec toi pour le divorce. J’accepterai sans restrictions tes conditions. Mais s’il te plaît, viens me parler. Si tu as besoin d’une bonne raison pour le faire, alors appelle Sharon et demande-lui. Elle ne sait pas que c’est toujours en cours, mais elle sait comment ça a commencé. »

je lis le message puis je le montre à Mary. Elle sourit et me dit :

– Je veux cette vidéo. Elle va m’aider pour l’audience de mon divorce.

Mary est une femme riche, enfin relativement. Elle a hérité de l’entreprise de son père et l’a développé avant de la vendre. Puis elle en a racheté trois autres. L’une d’elle a été vendue récemment et lui a rapporté quatre fois ce qu’elle avait investi. Elle va faire de même avec les deux autres. Cet argent n’est que du bonus en plus des salaires qu’elle tire de ces entreprises. Elle a toujours travaillé sans relâche pour que ses sociétés soient prospères et lui offrent des avantages ainsi qu’à ses salariés.

Perry, quant à lui, était un cadre moyen dans une petite entreprise de développement de logiciels. Sa famille avait eu de l’argent dans son enfance, mais elle avait tout perdu à cause des investissements hasardeux Travesti dikmen de son père et des dépenses excessives de sa mère et de sa sœur. La famille cherchait un riche bienfaiteur pour les aider. En fin de compte c’était Perry qui l’avait fait en épousant Mary, mais il avait tourné le dos à sa famille. Son père s’était suicidé, sa mère avait été la maîtresse d’un homme jusqu’à ce que son physique ne soit plus efficace. Alors elle s’était tournée vers le chantage et avait fini en prison. Sa sœur avait accumulé des dettes et avait disparue. Personne ne l’avait revu depuis des années.

Perry a trompé Mary dès le début de leur mariage. c’était sa façon de rester quelqu’un. Si quelqu’un l’apprenait à Mary, il réussissait toujours à apaiser sa femme. Il était habile pour transformer la colère, la haine et la trahison qu’elle ressentait en dévouement et amour. Mais la dernière fois, il s’est loupé et a laissé échapper qu’il avait subi une vasectomie. Il l’a privé de la seule chose qu’elle désirait plus que tout : avoir des héritiers pour ses entreprises et ainsi continuer l’œuvre de son père et lui rendre hommage. Elle a dépensé beaucoup d’argent pour savoir si ce qu’il disait était vrai, même s’il avait essayé de la convaincre du contraire. Alors la procédure de divorce a commencé et Perry se bat pour essayer de revenir chez Mary, de se retrouver dans son lit et de profiter de son compte bancaire. S’il a révélé le secret de Gillian, c’est pour la blesser elle et tous ses amis. Il l’a fait par dépit parce qu’il voit que tout lui échappe. Il veut blesser des gens, n’importe qui et les vidéos ont été pour lui un moyen de blesser du monde.

Donc entendre de parler de la vidéo démontrant que son mari est gay a réjoui Mary. Perry se bat bec et ongles pour essayer de sauver son mariage et essayer de retourner l’esprit de sa femme afin qu’elle renonce. Mais avec cette vidéo, son divorce sera rapide, et lui coûtera moins qu’elle ne le pensait.

– Qui est Sharon? Me demande Mary en me rendant mon téléphone.

– Ma nièce, la fille de ma sœur! Elle est venue travailler avec Gillian cet été après avoir obtenu son diplôme du cycle secondaire. Je ne sais même pas comment la contacter. Je crois qu’elle est partie dans une université au canada. Si elle a quelque chose à voir avec cette affaire, je peux comprendre qu’elle soit loin maintenant. Après tout je pourrais aller au Canada moi aussi.

– Mais peut-être qu’elle est chez elle. Ici l’année scolaire s’arrête la semaine prochaine, mais peut-être que là-bas c’est terminé. Tu pourrais peut-être appeler ta sœur pour savoir?

Je regarde dans mes contacts pour trouver ma sœur quand la sonnette retentit sur l’écran de mon pc portable. J’arrête de chercher dans mon téléphone pour regarder l’image à l’écran et voir qui est là. j’entends Gillian crier :

– Entre! Comment ça se fait que tu sois là? Je croyais qu’on était d’accord pour que tu restes à Toronto jusqu’à ton diplôme.

– J’avais besoin de te voir, tante Gillian. Je suis ici parce que maman m’a demandé de venir. Elle m’a dit que tu l’avais appelé très tôt et que tu cherchais mon oncle Bob. Elle m’a aussi dit que tu n’avais pas l’air bien. Est-ce que ça va?

– Non ça ne va pas. A cause de notre affaire. Tout ne s’est pas terminé après le premier paiement. En fait c’est juste terminé, car j’ai fini de payer. Mais ton oncle a tout découvert hier soir et il a disparu. Il m’a quitté et après tout, je ne lui en veux pas, je le comprends.

– Donc les vidéos sont devenues publiques? Et tout le reste?

– Oui ma chérie. Donc je voudrais que tu reprennes l’avion pour le Canada. Mais avant, si ton oncle devait t’appeler, pourrais-tu le rencontrer et lui en dire autant que tu le souhaites, puis insister pour qu’il me parle. s’il te plaît.

Gillian est en pleurs quand elle a terminé. Sharon la prend dans ses bras et essaie de la calmer. Il semble que ce soit impossible.

– Je vais essayer tante Gillian, je vais essayer.

Je regarde Mary et je lui dis :

– Qu’est-ce que tu en penses? Je devrais aller à côté, non?

– Oui. De toute façon il faudra bien que vous parliez un jour. Peut-être que c’est le bon moment si tu te sens assez calme. Et si tu veux, je peux t’accompagner et aider…

– Oui et tu pourras lui demander la vidéo de Perry. Allez, finissons-en!

Je coupe la connexion Skype et nous sortons de la maison pour marcher jusqu’à la porte à côté et ma maison, vers Gillian et ses mensonges. J’ouvre la porte et je fais signe à Mary d’entrer. Je la suis.

– Bob? Crie Gillian depuis le salon en se précipitant tête baissée vers la porte d’entrée.

Elle tombe sur Mary et elle se fige en la voyant. Elle pense que son mari l’a envoyé chercher ses affaires. Si c’est ça, il est sûrement dans la maison à côté. Elle pourra le voir.

– Oui, et moi! Dit Mary en avançant vers le salon.

– Mary?

Gillian n’a pas remarqué que je suis derrière. Déçue que ce soit elle, elle n’a même pas remarqué que Mary a confirmé que j’étais avec elle.

– Oui, nous devons parler d’une vidéo que tu possèdes et qui va me faire économiser des tonnes d’argent.

– Et Bob?

Je décide de lui faire comprendre que je suis là. Mais il faut aussi que je ne parle pas de la connexion vidéo.

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Domination Noire

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Amateur

Je m’appelle Sylvie Martin, je suis professeure de math dans un lycée privé assez coté en banlieue parisienne. Je suis une mère de famille de 43 ans et j’ai eu la chance d’avoir deux magnifiques jeunes filles dans ma vie. Juliette qui a maintenant 25 ans, que j’ai eu quand j’étais très jeune avec mon copain de lycée, elle est en couple avec son homme depuis 2 ans et ils pensent se fiancer. Puis Lisa qui a eu 18 ans il y a quelques jours. Lisa rentre en dernière année de lycée.

Côté relation, à part quelques aventures avec des hommes que j’ai rencontrés dans des bars avec des amies, rien depuis que mon mari est mort. Il était militaire et nous a laissé une bonne bourse avec son assurance, ce qui nous a permis de nous acheter un pavillon dans un quartier très chic et de vivre plus que convenablement… Malgré tout, le sexe me manque beaucoup et c’est pourquoi j’ai décidé d’acheter des godes il y a quelques mois. Une long gode noir et un vibromasseur qui font mon plaisir et qui occupent bien mes nuits solitaires. Je suis pourtant assez jolie, blonde, de taille moyenne avec une silhouette élancée et un bon 90D. Une grosse poitrine que j’ai d’ailleurs transmise à mes filles qui sont aussi sexy que moi à leur âge…

Le boulot ne me passionne pas tellement mais il faut bien gagner sa vie et aujourd’hui, c’est le début d’une nouvelle année de cours. Je m’habille donc assez classe, tailleur blanc et talons hauts. Je conduis ma fille par la même occasion et me voilà dans la salle des profs. Le proviseur nous parle et nous annonce que cette année, le lycée reçoit trois élèves âgés de 18 ans venant de banlieues défavorisées et que nous devons tout faire pour qu’ils se sentent intégrés. « Voilà une bonne idée » me dis-je. Je me penche sur la table pour voir mes classes de cette année et vois que ma fille est dans ma classe dont je suis la prof principale. Il y a aussi les nouveaux élèves venant du milieu défavorisé, deux filles nommées Farida et Leia et un garçon nommé Moha.

La journée se passe normalement jusqu’à mon cours avec ma classe principale, celle qui comprend ma fille. Tous les élèves sont assis et je vois que les trois nouveaux sont au fond de la salle et discutent bruyamment. Je réclame le silence et essuie les regards courroucés des deux filles noires qui m’ont l’air d’être des vraies pétasses. Tout du long de mon cours sur le théorème de Thalès, ils chahutent mais ce qui me surprend le plus c’est quand Leia fait tomber son stylo et qu’elle demande à une fille, d’un notaire respecté que je connais, de le ramasser. La fille se précipite et lui ramène le stylo. Leia ne la remercie même pas et continue à parler avec Farida. Plus tard, Farida envoie une boulette de papier sur ma fille qui se retourne pour voir qui lui a lancé cela. J’ai envie de protester et de punir l’insolente mais ma fille se lève et lui ramène la boule de papier. J’assiste estomaquée à la scène, ne comprenant pas le comportement de Lisa qui n’a pourtant pas l’habitude de se faire marcher dessus.

Le cours se finit et les élèves sortent de ma salle. Les deux filles noires sortent en dernière non pas sans m’avoir lancé un regard étrange. Je les regarde s’éloigner et je remarque qu’elles ont donné leurs sacs de cours à ma fille et à sa meilleur amie…

Je finis ma journée et rentre chez moi. Ma fille, finissant plus tard, je suis seule à la maison pendant un moment. Je vais à la douche et profite de ce moment calme, après avoir passé une journée auprès des élèves. Je repense à l’étrange histoire qui s’est déroulée durant mon cours. Je ne comprends toujours pas pourquoi les filles de ma classe se laissent faire par ces deux nouvelles fortes têtes. Je n’ai pourtant pas élevé ma fille comme cela. Lorsqu’elle rentre, elle va directement dans sa chambre et ne réapparait que pour le repas. Nous mangeons en silence jusqu’à ce que je prenne la parole :

-Alors cette nouvelle classe sympa?

-Oh oui ça va! me répond-elle la bouche pleine.

-Pas trop dur d’avoir sa mère en prof ma chérie?

-Ne t’en fait pas maman, je l’ai dit à toute la classe et ils savent tous que tu es ma mère et ils s’en fichent.

J’essaye d’amener la conversation vers le sujet des nouveaux…

-Et les élèves qui viennent de la banlieue, ils sont sympas?

Elle s’arrête de manger pendant un moment et rétorque :

-Oui bien sûr, pourquoi cette question?

-C’était juste pour savoir mon poussin ne t’énerve pas, je réponds surpris par son ton.

-Farida et Leia sont très cool et Moha aussi même s’il parle moins.

-D’accord. Finis-je par répondre voyant que continuer sur cette conversation ne servira à rien.

On monte se coucher et je prends mon vibromasseur comme chaque nuit. Mais mes pensées s’égarent un peu ce soir et je me surprends à penser à Leia et Farida et à leurs actions. Je me reprends Cebeci travesti et me concentre sur d’autres images mais je ne peux m’empêcher d’y revenir et je suis horrifiée de voir que cela m’excite. Quelle sorte de femme suis-je? Elles ont quasiment harcelé ma petite fille! Mais c’est plus fort que moi et je finis par jouir, mon corps s’arquant d’un seul coup, avec l’image de ma fille qui ramène la boulette de papier en tête… Après avoir récupérée de cet orgasme destructeur, je vais vers la salle de bain pour me débarbouiller et j’entends ma fille gémir. Je sais qu’elle est en train de se masturber et je me demande bien en pensant à quoi… Mais je ne le saurai jamais.

Le lendemain rebelotte, je conduis ma fille au lycée et après un arrêt en salle des profs, je me rends dans ma salle pour mon premier cours. En première heure, j’ai la classe de ma fille. Les élèves rentrent et je vois que les sacs de Farida et Leia sont portés par deux mecs cette fois-ci. Ils les déposent au fond de la salle, aux places de leur détentrices et vont s’assoir. Toujours aucun remerciement de la part des filles. Je vois que le regard de Farida est fixé sur moi et ce regard me rend mal à l’aise. Sait-elle sur quoi je me suis masturbée hier? Je sais que c’est impossible mais cette pensée me traverse l’esprit et me trouble.

Je remarque que pendant le cours, Leia n’a pas prit ses affaires et emprunte littéralement tout à ma fille qui lui passe ses affaires sans discuter, malgré la demande forte impolie de la nouvelle. Moha lui s’amuse à lancer des projectiles sur les élèves de la classe qui ne disent rien. Mon instinct me dit de me lever et de les jeter à la porte mais étrangement, je reste assise et regarde la scène, comme hypnotisée par ce que je vois. Je réalise que mes tétons commencent à pointer sous mon tailleur et que les élèves pourraient le remarquer. C’est là que je vois le regard de Farida toujours fixé sur moi, elle a un sourire en coin qui me fait froid dans le dos.

La cloche sonne et les élèves sortent. Leia et Farida sortent encore une fois en dernière en me lançant un regard de plus en plus étrange. Deux heures de cours plus tard, je me rends aux toilettes des filles mais lorsque je suis dedans, j’entends des filles parler fortement.

-Putain t’a vu comment mes pompes sont dégueulasses! Nettoie-moi ça espèce de truie, tu les as salies en marchant dessus.

-Désolé Leia, je vais les nettoyer, je m’excuse!

-Avec la langue connasse!

Je n’entends pas la réponse de la fille à qui parle Leia mais je suis rassurée de savoir que ce n’était pas la voix de ma fille. Je m’approche discrètement et regarde à travers la serrure. Chloé, une jeune fille brune très jolie qui est la fille d’un médecin connue dans le quartier, est à quatre pattes en train de lécher les chaussures de Leia tandis que Farida prend des photos. Farida s’approche ensuite de Chloé et lui claque les fesses en rigolant. La pauvre élève pousse des cris de douleurs mais Leia lui lance un regard noir et elle se dépêche de nettoyer la paire de chaussure. Farida remonte la jupe de Chloé et prend une photo de la culotte de celle-ci. En tant que professeure, je devrais intervenir et faire cesser ce scandale mais je n’arrive pas à bouger et reste figée devant la scène. La cloche annonçant la fin de la pause me sort de ma torpeur et je me dépêche de fuir en entendant les paroles de Leia derrière moi :

-Bon on n’a pas le temps pour aujourd’hui mais si tu recommences je peux te dire que ça va barder!

Toute émoustillée, je retourne en classe et me reconcentre sur mon cours. Mais je m’aperçois vite que mes tétons pointent encore et je sens même ma chatte s’humidifier à ma plus grande honte. J’essaie de ne pas le montrer et à la fin du cours je me précipite dans la salle des profs pour souffler un peu. Je suis excitée et c’est plus fort que moi, il faut que je me doigte! Je me dirige vers les toilettes des profs et m’enferme dans une d’elles. Je retire ma jupe et mon string et me hâte de triturer mon clitoris. Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive, je n’ai jamais ressenti autant de besoin de sexe… Il m’en faut plus et je cherche autour de moi quelque chose pour remplacer mon gode. Je finis par tomber sur le manche du balai pour nettoyer les toilettes et me l’enfonce dans le vagin. Je suis tellement mouillée qu’il rentre d’un coup et je m’empresse de me tringler avec, prise dans une folie sexuelle. Je sens l’orgasme monter et me pince le téton, cela me fait jouir et tout mon corps tremble me donnant un énorme orgasme qui me laisse pantelante et haletante. Je me rhabille et me passe de l’eau sur le visage avant de ressortir comme si de rien n’était.

L’après-midi se passe comme d’habitude et j’en viens à oublier les deux filles noires. Mais cependant, un dernier évènement va avoir Cebeci travesti lieu dans la journée. Alors que je patrouille dans la cour de récréation, je me rends à l’endroit où ma fille et ses amies trainent. Elle fait partie de la bande un peu populaire des dernières années et toutes ses amies ont 18 ans et sont des filles de riches PDG ou médecins. Je me rends donc à cet endroit et ce que j’y trouve me laisse sans voix. Leia, Farida et Moha sont avec le groupe de ma fille. Les nouveaux arrivants sont assis sur les marches et regardent défiler les filles de notre établissement. Chaque fille doit passer en se déhanchant devant eux et finir par soulever son uniforme pour montrer ses seins. À plusieurs reprises, Leia ou Moha leurs pincent les tétons ou leurs mettent des claques sur les seins puis les filles laissent la place aux autres. Même ma fille va aller montrer ses seins à Leia qui va les tirer violemment, lui arrachant un cri de douleur. Ses gros seins attireront d’ailleurs l’attention de Farida qui déclare :

-Elle, elle me plait bien avec ses airs de sainte nitouche et sa mère professeure!

Je suis sous le choc, comment trois nouveaux élèves peuvent-ils contrôler le groupe des filles les plus populaires de l’école en deux jours? Mais surtout, pourquoi ma fille se laisse-t-elle faire par ces pervers?

Encore une fois, je ne peux pas bouger et assiste impuissante à l’humiliation de ces petites bourgeoises et de ma fille. Les filles donnent après un peu d’argent à Moha qui part s’acheter une glace à la cafétéria. Ma fille et ses copines sont forcées par Leia d’enlever leurs soutien-gorge et Leia les prend puis les attache sur un arbre à la vue de tous. Tout le reste de la récrée, les jeunes filles subissent quelques attouchements, leurs tourmenteuses s’amusant à leur prendre les seins à pleines mains et jouer avec. De mon observatoire, je réalise que la vision de cette scène m’a fait trempée ma culotte et je sens mon jus couler le long de ma jambe. Je décide de battre en retraite avant de me faire voir et quitte avec regret la vision de la soumission des filles.

Ma chatte est gorgée de cyprine et j’ai encore besoin de me doigter… Je décide de dire que je suis malade et de rentrer chez moi. Arrivée à la maison, je me déshabille en plein milieu du salon et me précipite fiévreusement vers ma chambre puis vers le tiroir de ma table de nuit. Je sors le gode et commence à me pistonner le con avec, puis décidant que ce n’était pas assez, je pose le vibromasseur sur mon clitoris en renfort. Haletante et gémissante, je tortille mon corps en ressassant les images de ma fille montrant ses seins à ces filles noires. L’imaginer soumise m’excite honteusement et énormément à la fois. Je suis prise d’un premier orgasme puis très vite d’un deuxième. La violence du plaisir me fait tomber dans les vapes et je m’endors, le gode toujours enfoncer en moi…

Je sors de mon sommeil et je vois que la nuit est presque tombée. Je me rends compte que le gode est toujours dans ma chatte et que le vibro a continué à fonctionner et n’a maintenant plus de batterie. Je me dépêche de ranger mon matériel et sors de ma chambre après m’être habillée. Je croise alors ma fille dans le salon.

-Maman ça va? Je ne t’ai pas vu cet après-midi!

-Oui tout va bien, je ne me sentais juste pas bien mais tout va mieux, je réponds priant pour qu’elle ne se doute de rien.

-Tu feras gaffe, il y a tes vêtements par terre, dit-elle en montrant du doigt mon tailleur et ma jupe

Je panique et réponds à la hâte.

-Oui, je ne me sentais vraiment pas bien et j’ai foncé à la douche, ma puce.

Je ramasse mes affaires et remarque en la regardant qu’elle ne porte toujours pas de soutien-gorge, ses gros seins ne connaissant malgré tout pas la gravité. Je chasse cette pensée de mon esprit et me dirige vers la cuisine pour faire à manger. La soirée se passe bien et on parle de tout et de rien. Le soir, je m’endors sans passer par l’étape masturbation, mettant suffisant vidée aujourd’hui.

Le lendemain, c’est mercredi. Une demi-journée et je me dis que normalement, il ne peut pas arriver grand-chose. Je nous conduis donc ma fille et moi à notre établissement. Je suis convoqué avant mon premier cours par le proviseur qui veut savoir si les nouveaux élèves s’intègrent bien. J’ai envie de lui dire la vérité sur leurs activités mais je ne sais pas pourquoi je me tais et je mens en disant que tout se passe à merveille. Le reste de la journée se passe bien et j’appelle ma fille pour savoir si je dois la ramener à la maison ce midi. Ce à quoi elle me répond qu’elle va manger avec des copines et qu’elle reviendra dans la journée à pied. Je rentre donc à la maison et décide de regarder un film pour me détendre. Vers 16h, voyant que ma fille n’est toujours pas rentrée, je commence Cebeci travesti à m’inquiéter et prends la voiture pour voir si je la trouve dans le quartier.

Alors que je fais des tours de notre quartier aisé, je remarque alors quelque chose : un garçon noir, ce qui n’est pas très fréquent ici, qui monte la garde devant une ruelle. Je décide de m’approcher pour voir ce qu’il se passe et je stop la voiture. Je connais le quartier et contourne le veilleur pour avoir accès à la ruelle. Je me cache derrière une porte et découvre alors ce qui se trame.

Ma fille et sa meilleure amie sont toutes deux à genoux en train de prodiguer un cunnilingus à deux filles à la peau mate, que je reconnais être Leia et Farida. Ma petite fille chérie suce la chatte de Leia en donnant des coups de langues qui font gémir sa tortionnaire. Leia a posé les mains sur la tête de Lisa et l’oblige à enfoncer sa langue encore plus loin. Farida qui se fait lécher par la meilleure amie de ma fille, Émilie, gémit en les insultant copieusement :

-Léchez-nous bande de putains, ça vous a excité de montrer vos chattes aux serveurs du restaurant hein? Vous vous dites bourgeoises mais vous êtes juste des salopes comme les autres!

Les deux filles de bonnes familles, ne disent rien et poussent des gémissements étouffés par la chatte qu’elles sucent. Je me demande, horrifiée, ce qui a bien pu se passer au restaurant.

-Moha vient profiter de ces salopes, personne ne va se pointer. Lui crie Leia.

-Il faut faire gaffe on n’est pas loin de la maison de la chienne, dit-il en désignant ma fille. Sa mère pourrait se pointer.

-Mme Martin, notre professeure? Elle n’a qu’à venir, je parie que c’est une aussi grosse chienne que sa fille. Je l’ai vu nous mater ce midi quand on les faisait défiler et je peux te dire qu’elle n’a pas baissée les yeux, rétorque Farida.

Je suis humiliée de savoir que Farida m’a vu et que ma fille sait maintenant que j’étais là quand elle a du leur montrer ses seins. Moha ne se fait pas prier et demande à ma fille de le sucer. Lisa s’arrête devant son membre, les yeux ronds.

-Ne me dit pas que tu n’as jamais sucé de bites?

-Si je l’ai déjà fait… répond ma fille.

Moha la gifle et lui crie :

-Pour nous c’est maître!

-Je vous demande pardon maître et oui je l’ai déjà fait, répète ma fille, les yeux baissés.

-Alors suce ma bite et applique-toi! ordonne Moha

Je suis outrée de les entendre parler comme ça à ma fille mais la vision de ma fille suçant la bite noire de Moha me laisse tremblante d’excitation. Je comprends que ma fille et ses amies sont réellement soumises aux nouveaux. Ma fille s’active sur sa bite tout en lui caressant les couilles tandis que Leia passe une main le long des fentes des deux jeunes filles.

-J’en étais sûr! Elles sont trempées ces putes! rugit Leia.

Je suis choquée mais bizarrement encore plus excitée de savoir que ma fille est elle-même excitée par la situation. Ma main descend automatiquement vers mon entre-jambe et je me mets à me caresser mécaniquement le clitoris. Leia caresse maintenant frénétiquement la chatte de ma fille et d’Émilie et les filles laissent échapper des gémissements. Je vois les tétons de ma fille pointés et son bassin commencé à suivre les mouvements des doigts de Leia. Farida et Moha arrêtent de se faire lécher et sucer et on peut maintenant entendre les halètements de ma fille et Émilie. Lisa a le regard dans le vide et la bouche ouverte tandis qu’elle bouge son bassin comme pour des invitations muettes aux doigts de Leia.

Je suis complètement excitée par la scène et j’ai maintenant baissé ma jupe et mon string tandis que mes doigts ont investi mon vagin. Je me doigte rapidement en essayant d’étouffer les cris de plaisirs qui veulent sortir de ma bouche. Moha et Farida prennent des photos des deux filles bourgeoises, qui n’ont plus rien de respectable et qui poussent des petits cris de plaisir en balançant furieusement leurs bassins. Leia sent qu’elles sont proches de l’orgasme et pince alors leurs clitoris. Leurs orgasmes se déclenchent en même temps et elles poussent un cri rauque tout en vibrant sous la puissance du plaisir. Moha en profite pour se finir dans la bouche de ma fille, qui est trop occupée à respirer pour se rendre compte qu’il lui décharge tout son sperme en bouche. Il la force à avaler et ils sont vont, non sans avoir pris d’autres photos.

Ma fille et sa meilleur amie restent allongées par terre dans la ruelle, la fente à l’air, un petit moment, puis se relèvent, se regardent gênées et se disent au revoir. De mon côté, j’ai joui comme une folle en mordant ma lèvre pendant que Moha était en train d’éjaculer sur ma fille. Je retourne à ma voiture et me dépêche d’être de retour à la maison avant ma fille. Quand elle rentre, je lui dis un simple bonjour et continue mon film. Elle me regarde avec un regard un peu anxieux, elle se demande si je vais parler du fait que je l’ai vu montrer ses seins à d’autres élèves pendant la recrée. Mais je ne dis rien, faisant comme si rien ne s’était passé.

Demain est un autre jour…

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Anne, ou la naissance d’une chienne

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Préambule : Anne est née en septembre 1968 à Dunkerque. À cette époque, sa mère avait quitté son mari depuis quelques mois. À sa naissance, le père d’Anne ne la reconnaît pas, contrairement à son frère ainé et à sa sœur. La mère d’Anne souffre de surdité plongeant ainsi la famille dans une forme de communication difficile. Au fil des années, Anne se développe. Dans la cour de l’école, Anne est une enfant timide et réservée, souvent mise à l’écart par son frère et par sa sœur dont le nom de famille est différent. Anne se sent différente tant par le nom, mais aussi par son physique. Elle a des attaches fines, de longs bras et de longues jambes qui mettent en valeurs les traits doux et sensuels de son visage qui possède une grande bouche délicatement ornée de lèvres finement dessinées et de grands yeux d’un bleu profond. Blonde, elle attire le regard à l’inverse de sa sœur brune et plutôt ronde.

Les difficultés de communication au sein de la famille se renforcent avec l’arrivée du beau père, chauffeur de camion de transports de marchandises qui parcourt principalement l’Europe. À 16 ans, Anne habite une petite maison familiale de la région parisienne proche de la ville de Charenton. Elle suit des études techniques et pratique le basket-ball. Sa taille de 1,74 m et son poids léger de 50 kg, lui donne l’impression d’être toute en longueur, sauf sa poitrine, un 95 C dont les formes attirent le regard. Mais Anne garde cette discrétion, comme une fracture secrète. Si Anne est extrêmement sensuelle, elle souffre de ce manque de reconnaissance, par le nom et principalement l’indifférence de son père, ou du moins du père de son frère et de sa sœur. Pourtant, Anne ressent le regard des hommes sur elle, et aussi celui des femmes.

1- Le frère ou l’éveil du corps.

Thierry, le frère d’Anne est son ainé de 4 années. Il habite toujours dans la maison familiale, dont la chambre est sous les combles, au-dessus des chambres de ses deux sœurs. Il est interdit de pénétrer dans ce lieu et ce message est d’autant plus fort qu’il provient de leur mère. Un jour où Anne est seule dans la maison, elle est attirée par l’escalier qui conduit dans ce lieu interdit, la chambre de son frère Thierry. Ce frère qui ne l’a jamais considéré comme sa sœur, mais plutôt comme une demi-sœur, voire comme celle qui était la cause du divorce de ses parents. Anne est dans la chambre de Thierry, elle découvre ce lieu jusqu’alors interdis. Cette chambre est composée d’un grand lit, d’un bureau et d’un placard composé de portes coulissantes fixées sur tout un pan de mur. Fébrile et curieuse, Anne visite ce lieu sans prendre conscience du temps qui passe et surtout de l’arrivée de Thierry dans la maison, qui se croyant seul se dirige directement vers sa chambre. Arrivé au premier étage et en prenant le chemin de l’escalier qui le mène à sa chambre les premières marchent craquent dans un bruit qui s’il est anodin, éveille les sens d’Anne et la pétrifie sur Cebeci travesti place. Le temps de quelques marches il sera là avec elle, alors que ce lieu lui est interdit, expressément interdit par sa mère. Elle réfléchit vite une solution. Seule une fenêtre sur le toit éclaire la chambre, la fuite ne peut pas se faire par cette voie. Elle part vers le grand placard, déplace une des portes coulissantes, et se réfugie comme elle peut derrière les cintres et les vêtements suspendus. Thierry entre dans sa chambre, puis en fermant la porte, il tourne la clé afin d’éviter que celle-ci puisse par moment s’ouvrir. Les maisons anciennes travaillent, et les portes, surtout sous les toits, sont soumises à des contraintes.

Anne dans le placard a très chaud, son cœur bat fort. Thierry commence à se mettre à l’aise, puis part en direction de son placard afin d’accrocher sur un porte-manteau sa veste. La porte coulissante se déplace sous l’action de la main de Thierry. Anne se plaque contre le mur, son 1m74 est trop grand pour qu’elle puisse se fondre dans les aspérités du mur du fond du placard. Son frère la découvre ainsi, muet, statique et livide. Il perçoit ses grands yeux bleus, sa bouche entre ouverte, son chemisier blanc cassé tendu sur cette poitrine arrogante rythmée par une respiration rapide, et cette petite jupe noire tout en haut de longues jambes fines et gracieuses. Anne ne bouge pas. Thierry d’un regard étonné, passe à un regard carnassier. Anne ne comprend pas. Elle attend sans oser penser quoi que ce soit. Tout en laissant la porte ouverte, Thierry recule et part s’assoir sur le siège de son bureau. Il pose son regard sur son corps. Puis après un moment qui semble durer une éternité, Thierry parle. « Anne tu es dans un lieu, interdit. Notre mère t’a informé des conséquences du non-respect de mon intimité. Sorte de suite de ce placard, et tu viens vers moi de suite. » Les mots sont autant de gifles qui frappent le visage d’Anne. Comme un robot, elle sort du placard et se déplace vers le bureau où Thierry est assis. Arrivée à quelques pas du bureau, Anne, les mains dans le dos et le regard baissé, attend les prochains propos. Elle sait qu’elle ne doit pas se trouver là, et plus encore, elle ne sait pas comment expliquer au reste de la famille sa cache dans le placard. Thierry prend le temps de regarder Anne sous toutes les coutures. Il ne voit pas l’adolescente, mais une femme. Il se sent fort devant elle. Pour lui, elle n’est pas sa sœur et elle est la cause du divorce de ses parents. Il le sait, et elle va souffrir pour tout cela.

« Qu’as-tu à me dire qui expliquerait ta présence ici? » Anne ne peut rien dire pour se défendre, car tout en elle sait qu’elle ne devait pas se rendre ici. « Je vais informer notre mère de la situation et tu sais quelle est l’action». Anne ne dit rien, mais son corps parle pour elle. Le léger duvet blond de ses avant-bras se redresse, elle frissonne. Ses yeux Cebeci travesti se remplissent de larmes qui viennent rouler sur ses joues. « Je vais te punir, si tu acceptes sans jamais t’opposer à mes ordres, je ne dirais rien à notre mère. Acceptes-tu d’obéir? »

Anne réfléchit et elle sait que c’est la seule solution. À ce moment, naïvement, elle n’imagine pas l’ensemble des conséquences. Elle espère encore une voie de sortie. « Oui, j’obéirai ». « Pour te punir, je vais te donner une fessée. Enlève de suite ta jupe ». Anne ne comprend pas les mots. Punir, fesser, enlever la jupe. « Je ne vais pas le répéter. Soit tu le fais de suite, soit tu pars et je préviens notre mère ». Anne laisse tomber sa jupe. Thierry suit la chute de la jupe pour remonter le long de ces jambes et s’arrêter sur la culotte blanche en coton. Anne regarde le plancher et attend la suite des événements. « Viens vers moi ». Elle se déplace lentement puis la main de Thierry attrape son bras et le tire pour qu’elle puisse se pencher. « Allonge-toi sur mes cuisses les bras d’un côté et les jambes de l’autre ». Ainsi positionnée, Anne attend. Thierry pose son bras droit sur le dos d’Anne, et de son autre main descend la culotte en coton sur les cuisses. Anne essaye de réagir. « Ne bouge pas. Tu m’obéis. Tu vas recevoir une fessée. À chaque frappe, tu dois compter sans jamais essayer de te soustraire ». La main tombe une première fois et le bruit retentit dans la chambre. « Un », « deux », « trois », « quatre, aie ». À la dixième Anne pleure, à la vingtième, elle crie et se débat. La trentième, elle ne pleure plus, ni ne crie. Ses fesses sont rouges et chaudes. Thierry arrête, sa main le fait aussi souffrir tant les dernières frappes furent fortes pour couvrir les cris et les pleures d’Anne. Elle est encore sur ces cuisses, elle ne bouge plus. Thierry bande très fort. Le corps en abandon d’Anne éveille des sentiments nouveaux. Sa main vient reprendre possession des fesses chaudes. Ses doigts glissent entre les cuisses et viennent se poser sur le sexe d’Anne. Il est humide, chaud et doux. Anne sent les doigts de Thierry se poser sur son intimité. Elle veut réagir, elle ne veut pas de cette caresse. Sur son dos, le bras appuie plus fort comme pour lui dire de ne pas bouger, car c’est lui qui commande. « Ne bouge pas. Tu es à moi et à mes ordres. Je fais ce que je veux de toi ». Les mots sont durs, et Anne les reçoit difficilement. Pourtant elle est vaincue. Les doigts écartent les grandes lèvres et viennent chercher son clitoris. Il le caresse, le tire et le pince. Anne sent une autre chaleur l’envahir. Elle sent une onde partir du fond de son ventre. Elle monte et gronde dans tout son être. Sa respiration est plus rapide et des gémissements sortent de sa bouche. Anne jouit de tout son être. Thierry arrête de la caresser. Il sent ses doigts. Il aime cette odeur, il goute maintenant et se régale de ce nectar. Anne est toujours sur ces Cebeci travesti cuisses, elle est inerte. Il la pousse et elle tombe à ses pieds.

Il se lève. Du bout de ses pieds, il la pousse. « Lève-toi, chienne! » Les mots sont durs. Anne inerte sur le plancher entend et ne comprend plus. Thierry défait la ceinture en cuir de son jean, et l’utilise pour frapper les fesses d’Anne. Le premier coup génère une telle douleur qu’Anne crie et se relève en même temps. Elle se frotte les fesses qui la brulent encore plus. « À poil, je te veux nue ». Sans réfléchir, elle se met nue pour la première fois devant un homme. Il la regarde et lui caresse les seins. Puis en prenant chaque téton, il les tire vers le bas pour la forcer à la mettre à genoux. Il défait son jean et descend son caleçon. Il bande très dur. « Ouvre la bouche, et laisse tes mains dans ton dos ». Son sexe vient prendre possession de la bouche d’Anne. Ses mains en appui sur la tête impriment le mouvement de la bouche qui glisse sur toute la longueur de son sexe. Un moment, il sent les dents d’Anne, sur la tendre peau de son gland. Il sort sa queue. Une gifle vient laisser la marque de ses doigts sur la joue d’Anne. « Tu dois faire attention avec tes dents, ouvres ta bouche! » Il reprend possession de sa bouche et vient pénétrer sa gorge. Son sexe grossit et il jouit profondément dans sa gorge. Il maintient sa tête le temps qu’elle avale tout. Puis, il lui demande de nettoyer son sexe avec sa bouche et sa langue. Anne épuisée s’écroule. Thierry repart s’assoir à son bureau comme si rien ne s’était passé.

Quelques minutes après, Anne refait surface. « Rhabille-toi. À partir d’aujourd’hui et sans contre ordre de ma part, toutes les fins d’après midi, lorsque nous serons seuls dans la maison, tu viendras dans ma chambre, chienne! Je vais faire ton éducation de chienne soumise. As-tu compris? » Anne écoute, entend et comprend. Elle comprend que cela ne fait que commencer. Comment le dire et à qui? Sa mère sourde et qui lui a interdit d’être ici. À sa sœur qui est jalouse d’elle. À son beau-père qui ne la considère pas plus. Non, elle n’a personne à qui le dire et surtout, elle n’a personne qui pourrait venir à son aide. Anne sait maintenant que la soumission vient tout juste de commencer. « Oui, j’ai compris ». Thierry la regarde un moment puis il ajoute. « Tu m’appelleras Maître, et tu le diras à chaque fin de phrases. Redis-le maintenant! » « J’ai compris maître ». Le sexe de Thierry reprend de la vigueur à l’écoute de ses mots et aux idées à venir. « Passe sous le bureau, tu défais mon jean et tu prends mon sexe en bouche. Cette fois, tu vas me sucer sans que je te dise quoi que ce soit. Lorsque je jouis, tu avales tout et tu ne laisses aucune trace. Ensuite, tu pourras partir ». Thierry venait de jouir. Il était plus endurant. En travaillant, il avait des difficultés à se concentrer sur sa tâche. Il ne savait pas si cela venait de la fellation d’Anne ou de toutes les idées qui lui venaient quant à l’éducation de celle-ci dans un monde nouveau, la soumission. Il l’imaginait dans bien des situations dont certaines étaient des fantasmes inavouables.

Fin du chapitre 1

Si le début de ce récit vous plait, je continuerai.

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Bonjour, je m’appelle Jonas, j’ai dix-huit ans et je suis un génie. Attention, un vrai, pas un de ces surdoués d’opérette. J’ai déjà quatre doctorat, un en nanotechnologie, un en neuroscience, un en électronique avancée et enfin un en recherche médicamenteuse. J’ai une chaire dans la plus prestigieuse université de mon pays. Elle est mondialement connue. Si je suis un véritable génie, je suis aussi puceau. Je suis un gars vraiment très laid. Un peu comme un golum avec des cheveux et de grosse lunette. Je lis beaucoup de manga, je mate pas mal de films hentaï ainsi que des pornos japonais. Ce que me fait vivre ma sœur et ma belle-mère, m’a rendu haineux des femmes, je ne fantasme que sur le viol. Je peux concevoir une relation basée sur l’amour. D’ailleurs la belle Siobanne à kidnappé mon cœur. C’est la meilleure amie de ma sœur, elles sont dans la même université. Mais n’ont pas le même cursus. Mais bon, avec mon physique, je doute qu’une seule femme, conçoive une relation amoureuse avec moi. D’ailleurs je me suis inscrit dans la même université que la belle Siobanne, en psycho.

Donc si je n’étais pas aussi lâche, si je n’avais pas aussi peu de capacité physique, je serais déjà sûrement passé à l’acte. Je vis avec mon père, Hugues quarante et un ans, ma belle mère, Martha, trente ans et enfin ma sœur Léa dix-neuf ans. Ma mère est morte lors de ma naissance. Mon père qui est prof de philo, c’est installer avec Martha, alors que je n’avais que six ans. Ma belle-mère n’avait alors que dix-huit ans. C’était alors une élève de mon père. Je ne sais pas pourquoi, mais elle m’a aussitôt pris en grippe. Me frappant dés que mon père avait le dos tourné. Ma sœur, pour qui j’étais responsable de la mort de ma mère, ne se privait pas de me frapper elle aussi, dés qu’elle le pouvait. Bien entendu les deux se sont bien entendu pour me faire du mal. Mais jamais rien de visible. Beaucoup de torture psychologique. Ma sœur, contrairement à moi était un vrai canon, par contre elle avait une intelligence normale, dans la moyenne basse de la population. J’avais l’intelligence, elle la beauté. Une vrai splendeur blonde, avec un corps de rêve. Le style de femme que l’on ne voit que dans ses rêves. D’ailleurs, ma sœurette était arrivée deuxième au concours nationale des miss de mon pays.

Elle sortait avec Jordan, ils étaient ensemble depuis qu’ils avaient douze ans. Jordan aussi me maltraite, il me force à faire ses devoirs. Il vit avec sa mère, qui à quarante ans. C’est elle qui me gardait quand j’étais enfant. Bien entendu, comme ma sœur, ma belle-mère et son fils l’ont monté contre moi, elle aussi me maltraite. Mais aujourd’hui, je vais me venger. Ma deuxième invention est enfin prête. Dix ans que je suis dessus. Dix ans que j’en rêve.

Ma première invention, est une sorte de pilule bleue améliorée, qui permet de bander et d’éjaculer à volonté pendant deux heures. Elle marche très bien, je m’en sert à chaque fois que je me masturbe devant mon ordi. Pour tout vous dire, je me masturbe très souvent. Je la commercialiserais sûrement plus tard, pour l’instant elle est à usage unique, sur moi. Ma deuxième invention, par contre, je ne la garde que pour moi. Elle est trop dangereuse. Celle-ci permet de prendre le contrôle de n’importe quel cerveau, le mettant dans une transe hypnotique. Les limites sont les mêmes que pour un hypnotiseur, elle permet tout, sauf de mettre fin à ses jours. Après tout le reste est possible. Pour vous expliquez succinctement le fonctionnement, le système stoppe et modifie les impulsions électrique du cerveau. Quand j’ai entendu la porte s’ouvrir, je suis descendu, mon boîtier à la main. C’était Jordan et ma sœur. Mon père et sa femme, partant tout les week-ends, mon beau-frère le passe chez moi. Personne n’a jamais sut où mon père et sa femme partaient. C’est le mystère de notre famille. On était vendredi soir. Ils n’eurent que le temps de sourire en me voyant descendre les escaliers. J’ai appuyé immédiatement sur le bouton de mon invention. Aussitôt les deux se sont immobilisé. Droit comme un i, le regard vide.

– Qui est le maître?

– C’est toi.

Ils ont répondu en chœur.

– Et vous, vous êtes qui?

– L’esclave.

Nouvelle réponse en chœur.

– Bien vous ne sortez plus ensemble. Vous le vivez bien. Jordan, tu va rentrer chez toi, tu va battre et violer ta mère. Tu la bâillonnera jusque à trois heures du matin. Pendant ce temps tu la viole non stop.

Je lui tend deux de mes pilules.

– ça te permettra de tenir. A trois heures, tu lui enlève le bâillon, je veux qu’elle hurle jusque à ce que les flics viennent. Tu avoueras tout. Compris?

– Oui, maître.

– Bien vas-y.

Vingt minutes plus tard, Jordan ouvre la porte de chez lui, il frappe et viole sauvagement sa mère. Jusque à ce que la police arrive à trois heures du matin, alertés par les voisins. La mère se suicida dix jours plus tard. Jordan fut condamné à une très lourde peine. Tout ça je ne le sut que plus tard bien sur. Je me suis alors retourné vers ma sœur en lui souriant.

– Quand à toi…

Léa me regardait toujours avec le même regard complètement vide. Ma sœur était vraiment magnifique. Ses grands yeux verts Kızılay travesti étaient ensorceleur. Je sentis mon sexe durcir. Mais j’allais d’abord m’amuser avec elle.

– Bon, je présume que Jordan t’a baisée des centaines de fois.

– Non.

– J’étais étonné par sa réponse.

– Combien de fois?

– Jamais.

Cette fois, je suis resté quelques secondes sans voix. Comment avec une copine aussi bandante, on pouvait ne pas baiser, ne pas la toucher.

– Tu es vierge alors?

– Oui, complètement, de partout.

– Il ne t’a même pas prise par derrière? Tu ne l’as pas sucé?

– Non plus.

– Tu ne voulais pas?

– Si, je voulais. On a essayé plusieurs fois.

– Il c’est passé quoi?

– Il ne bande pas, même avec du viagra.

Je suis parti dans un fou rire de fou. Heureusement que je lui avait donné ma drogue. Même un mort banderait avec.

– Ce n’est pas drôle.

Une larme à coulée sur la joue de ma sœur.

– Je l’ai mal vécu. J’ai cru que ça venait de moi, qu’il ne m’aimait pas.

– Je comprends, toi, tu avais envie?

– Oui, beaucoup.

– Tu mouillais?

– Tu es mon frère, ça me gêne.

– Je suis le maître.

– Je suis l’esclave.

– Alors répond.

– Oui, je mouillais.J’avais une telle envie de faire l’amour avec lui.

– OK, donc tu aimerais te faire baiser?

– Oui, je veux connaître les joies du sexe.

– Avec n’importe qui?

– Non!

Cette fois, Léa avait crié. Même en transe, certaine émotion pouvait transparaître. J’étais vraiment heureux, ma création allait au delà de toutes mes espérances.

– Je ne suis pas ce genre de fille. Je veux connaître le sexe, mais seulement avec Jordan.

– Vous n’avez rien fait pour remédier à ça?

– Oui, on a été chez des spécialistes. Mais ils n’ont rien trouvé. C’est un très gros blocage psychologique, d’origine inconnu.

– D’accord. Tu voudrais que je te baise?

– Non, tu es mon frère?

– Ben moi, j’en ai envie. Quand je te le dirais tu iras prendre ta douche.

– D’accord.

Tu auras une envie irrésistible de me sucer. Tu ne sais pas d’où ça vient, mais me tailler une pipe seras la chose la plus importante pour toi. Tu feras tout pour que je te laisse faire.

– S’il te plaît.

– Non, tu obéiras.D’ailleurs tu es obligée de m’obéir, tu ne peux résister.

– D’accord.

– Bien, tu vas aller sous la douche, tu oublieras cette conversation. Dés que l’eau touchera ta peau, tu auras une envie monstrueuse de me sucer. Débrouille toi comme tu veux, mais il faut que je te cède. Dés que ma bite entreras dans ta gorge tu mouilleras comme une chienne, tu auras même un orgasme. Maintenant vas-y.

Comme si elle ne me voyait pas, ma sœur monta les escalier. Je la suivit, je suis allé dans ma chambre, j’ai verrouillé la porte, je me suis allongé sur mon lit. J’ai pris dans la poche du jeans que je porte, une de mes pilules magique. Je savais que ma partie de baise avec cette salope allait durer longtemps. Aussi longtemps que je le voulais. A ma grande stupeur, j’ai entendu la porte de sa chambre s’ouvrir. Léa y est restée quinze bonnes minutes dedans, avant que je ne l’entende ressortir. Je me suis longtemps demandé ce qu’elle avait put bien y faire. Ensuite c’est la porte de la salle d’eau qui c’est ouverte. Mais Léa ne l’a pas refermée. Dés que j’ai entendu l’eau coulée, je me suis mis à bander dur. Si j’étais sorti, j’aurais pus la voir prendre sa douche. Elle n’avait pas tiré le rideau, ni fermé la porte, espérant sans doute, que ce soit moi qui aille vers elle.

J’ai essayé de regardé la télévision, mais rien à faire, je pensais trop à Léa. Les secondes me paraissent des minutes, les minutes des heures. Je n’ai plus qu’une idée, perdre enfin mon pucelage, savoir ce que ça fait d’avoir une fille. Que cette fille soit ma sœur m’importe peu. Je veux juste me vider dans un être vivant. Les autres, je les auraient après. En ce moment, seule Léa existe. Je ne peux pas dire si une heure ou dix minutes ont passé, mais j’entends frapper à ma porte.

– C’est qui?

– Léa. Tu le sais bien, il n’y a que nous.

– Tu veux quoi?

– Il faut que je te parle.

– Je n’ai rien à te dire.

– S’il te plaît, c’est urgent.

– Non.

– Ne me force pas à te supplier.

– J’ai dit non.

Pourtant je suis tenté de lui dire d’entrer, de me jeter sur cette maudite porte, mais le fait de la faire attendre, de la rendre folle de désir pour moi, augmente considérablement mon excitation. Elle tourne la poignée malgré mon interdiction. Mais la porte est fermée.

– Je t’en prie, Jonas, ouvre-moi.

– Non, dis moi pourquoi.

– Je suis ta sœur.

– Et alors?

– Tu veux que je te supplie, alors je le fais. Je t’en supplie Jonas, ouvre-moi.

Je souris.

– Non.

– Pitié.C’est vraiment important pour moi!

Il y a un sanglot dans sa voix. Ma sœur se met à pleurer. Je l’entends renifler derrière la porte.

– Je t’en supplie, ouvre-moi.

Je me lève en silence, je met ma main sur la clé.

– D’accord, je vais ouvrir, mais tu n’entreras que quand je te le dirais.

Kızılay travestileri D’accord, c’est juré.

J’ai donné un tour de clé pour déverrouillé la serrure. Lentement je suis retourné me coucher. Une minutes plus tard, j’ai entendu Léa murmurer en reniflant.

– Je peux entrer?

– Vas-y.

La poignée à tournée, ma sœur est entrée, tandis que ma bouche s’ouvrait en grand.

Elle était complètement nue. Son pubis était complètement épilée. Elle avait une paire de sein encore plus impressionnant sans habit.

– Tes seins c’est qu’elle taille?

Elle m’a fait son plus beau sourire, comme si elle était vraiment heureuse de ma question. En y repensant, son conditionnement faisait qu’elle était vraiment heureuse.

– Ils te plaisent?

– Réponds-moi.

– Quatre-vingt quinze C.

Elle avait des seins en poire, terminés par de longues et épaisses aréoles, d’un rose à peine plus foncé que sa peau. Léa avait aussi de petits tétons. Une paire de seins défiant toutes les lois de la pesanteur, tenant droit tout seul, sans le moindre petit besoin de soutien-gorge.

– Pourquoi tu es nue?

Elle ne me répondit pas, baissant les yeux, on pouvait y lire une profonde humiliation.

– J’ai envie de te sucer.

Je pouvais voir sa cyprine qui trempait son entre-jambe. Qu’est-ce que ça serait quand mon sexe entrerait dans sa bouche. Ma sœur était-elle une de ses femmes fontaines?

– Quoi, mais tu es ma sœur…

– Je t’en prie, Jonas, laisse-moi te sucer.

– Pourquoi je ferais ça? Tu n’as fais que m’embêter depuis que je suis né.

– Justement, je m’en veux, je veux me faire pardonner.

Je suis resté bête. Ma sœur n’avait pas mon intelligence, mais elle était maligne. Je ne m’attendais pas à sa réponse.

– Qu’est-ce qui te dis que me faire une pipe, fais que je te pardonnerais?

– Ben tu dois être puceau. Tu dois avoir envie d’avoir du plaisir autrement qu’avec tes mains. Que ce soit une vraie femme qui te fasse éjaculer.

– Pourquoi je dois être puceau? Une autre fille ne pourrais pas avoir envie de me pomper?

– Ben, tu n’as pas un physique facile. Je suis ta sœur, ça ne me gêne pas.

Il n’y a pas à dire, cette conne savait y faire. Léa avait tapé dans le mille, donner l’argument parfait.

– Mais c’est de l’inceste.

Et alors? On est majeur, consentant. Ne me dis pas qu’une bouche sur ton engin, qu’une langue douce qui le caresse, ne te plairais pas. Fusse-moi qui te prodigue cette fellation…

De mieux en mieux. Léa était parfaite.

– En plus je suis splendide, le fantasme de la plupart des mecs. Il ne dois pas y avoir plus de trois filles encore plus belle que moi dans toute la région.

L’argument était parfait. Bravo à elle, mais surtout bravo à moi. Mon invention était fantastique, allant au-delà de tout mes espoirs.

– D’accord, mais débrouille toi seule pour me sucer, je ne ferais rien pour te faciliter la tache.

– Et pour m’en empêcher?

– Non plus.

– Merci, vraiment merci.

On voyais que je venais de lui faire le plus beau cadeau de sa vie. Elle refondit en larmes.

Mais à une condition, tu t’approches à quatre pattes.

– Je t’en prie, ne m’humilie pas.

– Tu n’as pas le choix.

Alors ma sœur se laissa tomber au sol. Elle s’approcha du lit, en marchant à quatre pattes, allant bien plus loin que mes fantasmes les plus fous.

Ma sœur est montée sur le lit, j’ai écarter les jambes. En me regardant droit dans les yeux, elle s’est avancer vers moi. Léa a défait la ceinture de mon jeans, déboutonné, l’a descendu à mi-cuisses. Tout ça, sans quitter mon regard des yeux, ce qui était fortement érotique. Elle a ensuite attrapé mon caleçon avec les dents, l’a fait descendre, faisant jaillir ma bite dure. Léa à avancé sa tête vers mon sexe, la bouche grande ouverte. Mais au lieu de gober mon gland, elle à sortit sa langue, entreprenant de le lécher. J’étais tellement excité, que j’ai éjaculé de suite. Mon sperme à jaillit comme un geyser, à la stupeur de ma frangine. Inondant son front, ses cheveux. Elle m’a regardée comme déçu, quand plus rien ne sortait.

– Déjà…

Mais la pilule que j’avais pris faisait son effet, j’étais toujours bien dur, prêt à jouir une nouvelle fois.

– C’est pas grave, tu peux continuer, j’ai encore envie.

Encore une fois, Léa m’a fait son merveilleux sourire.

– Merci.

A ma grande satisfaction, elle à lécher ma semence qui macule mon ventre, mon pieu. Toujours et encore, avec son regard rivé dans le mien. Je l’ai vu surplombé mon pénis de son visage, descendre lentement vers lui. Quand ses lèvres se sont refermée sur lui, j’ai entendu ma sœur poussé de gros gémissement. Son corps à tremblé plusieurs fois. Cette pute venait d’avoir un violent orgasme. Décidément cette machine fonctionne à merveille. J’ai un sexe de taille normale, dix-sept centimètre pour quatre de diamètre. Léa à commencé à monter et descendre le long de ma hampe, jouant avec sa langue, l’enroulant et la déroulant autour de mon braquemart. Titillant mon gland. Elle à jouée comme ça quelques minutes avec mon sexe. Au gémissement Travesti kızılay qu’elle produisait, je savais qu’elle y prend un grand plaisir. Léa est ensuite descendu complètement sur mon pieu, le faisant rentrer dans sa gorge, avec un gargouillis bizarre. Son nez touchait mon ventre. Sa pipe était merveilleuse, j’étais étonné que ce soit pour elle sa première fellation. Léa à continué une bonne dizaine de minutes, me regardant toujours, enfonçant ma bite, à chaque fois dans sa gorge. Quand mon premier jet à jaillit dans sa gorge, elle a vite remonter la tête, pour que le reste de mon sperme arrive sur sa langue. Elle à gémit plus fort que la dernière fois. Léa à eut un orgasme plus puissant. Quand j’eus fini de cracher, Léa s’est redressé, me regardant toujours. Ma sœur à ouvert la bouche, me montrant tout le sperme qui l’emplissait. Puis, avec un sourire coquin, elle à refermée ses lèvres. Je l’ai vu déglutir, de nouveau elle a ouvert sa bouche, Léa avait tout avalé. Elle a encore donné quelques coups de langues sur mon pieu, enlevant toutes traces de spermes. J’étais au paradis.

Une fois fini, elle s’est relevée, c’est mise debout devant mon lit.

– Je croyais que tu n’avais jamais sucée, pourtant ta pipe m’a l’air d’être digne d’une experte.

Ma sœur à eut un petit rire.

– J’ai jamais sucé, mais j’ai regardé sur internet comment on faisait, avant de me doucher.

J’ai enfin compris ce qu’elle avait fait dans sa chambre.

– On recommencera?

– Bien sur Léa.

– Super, merci.

Elle s’est retourné, j’ai put voir son magnifique cul. Bien bombé, aux fesses rebondit et fermes, au reins hyper-cambrés, mais pourtant assez fin. Un cul de rêve.

– Attends.

J’ai pris mon appareil sur la commode. J’ai appuyé sur le bouton.

– Retourne-toi.

Léa m’a obéit, de nouveau son regard était vide. Moi je bandais encore dur, avec toujours cette envie de baiser.

– On va faire l’amour. Tu obéiras à chacun de mes ordres.

– S’il te plaît, pas avec toi…

– Pourquoi?

– Tu es mon frère, puis tu me dégoûte.

– Je sais, mais c’est plus fort que toi. Tu auras horreur de ça, tu seras humiliée, mais tu ne pourras pas te retenir, tu as envie de ma bite en toi.

– D’accord.

– Ce seras dur pour toi, une dualité difficile. D’une part ton horreur de moi, de baiser avec moi. D’autre part, ton envie insatiable de ma queue. C’est désormais ton but, avoir ma bite en toi.

– Bien.

– Chaque fois que je jouirais, tu auras un orgasme. A chaque fois plus puissant que le précédent. Ce qui renforcera ta honte de jouir de ma bite. Mais tu ne jouiras pas seulement quand j’éjaculerais, tu auras des tas d’orgasmes pendant notre copulation, malgré l’horreur que tu éprouveras à baiser avec moi. Tu as compris?

– J’ai compris.

– Tu ne pourras pas résister à mes ordres, tu n’en auras pas la force. Aussi horrible et dégoûtant que cela te paraisse.

– D’accord.

– Bien, oublie cette conversation, reviens à toi.

A mon ordre les yeux de ma sœur se sont de nouveau emplit de vie.

Elle reste debout devant moi, les yeux baissée. Je vois la cyprine qui la trempe, qui coule de son sexe. D’une petite voix craintive Léa me parle.

– Jonas, tu veux me dépuceler?

– Mais bien sur ma chère. Tu prends la pilule?

– Non.

Mettre ma propre sœur enceinte me plairait bien.

– Pas grave. Viens.

Je me suis levé. Je me suis mis nu. Léa s’est allongée sur le lit, jambes écartées. Je voyais son vagin. On allaient se dépuceler mutuellement. Je savais que j’allais la prendre longtemps. Ma sœur regardait le plafond, l’air dégoûtée, comme si elle allait à l’abattoir. Mais sa chatte trempée, me disait le contraire. C’était la première fois que je voyais un vagin de femme. Celui de ma sœur était d’un rose pale, je voyais son clitoris, sortit de son capuchon, ses lèvres vaginale gonflée. Je suis monté sur le lit, me suis couché contre elle.

– Sale pute, tu vas m’enjamber et te dépuceler toute seule.

– S’il te plaît, ne m’insulte pas…

– Obéis.

– D’accord.

Léa s’est redressée, m’a enjambée. Lentement, elle est descendu vers moi, quand sa chatte à touché mon gland, elle s’est immobilisée. Léa s’est mise à pleurer.

– Tu as envie de bite, hein sale chienne?

– Ne m’humilie pas…

– Réponds!

– Oui, j’ai envie de bite, de ta bite.

J’ai souris.

– Allez fais-toi plaisir.

Avec sa mine de chien battu, Léa à repris sa descente. Quand mon gland à buté contre son hymen, ma sœur s’est de nouveau immobilisé. Elle pleure maintenant à grosses larmes, avec des sanglots. D’un petit coup, elle s’est fait descendre, faisant sauter son hymen. Ma frangine à poussé un petit cri de douleur lors de l’ablation de son pucelage. Suivit d’un long feulement de plaisir, terminé par un cri rauque. A la contraction de son sexe, j’ai compris qu’elle venait d’avoir un orgasme. Juste après avoir pris son plaisir, ses pleures ont augmenté. Mon idée fonctionne à merveille. Je vois parfaitement son dégoût de baiser avec moi, sa honte, son humiliation. Mais aussi le plaisir qu’elle prend. C’est fantastique. Lentement elle a repris sa descente. Cette pute était bien serrée, c’était magnifique pour moi. Son ventre était comme un étau douillet pour ma pine. Quand, en ondulant du ventre, elle a commencé à monter, j’ai put voir ma bite maculée par le sang du pucelage de Léa. J’avais fait de ma sœur une femme.

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